LA POPULATION MONDIALE : DYNAMIQUE ET ÉVOLUTION

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LA POPULATION MONDIALE : DYNAMIQUE ET ÉVOLUTION"

Transcription

1 LA POPULATION MONDIALE : DYNAMIQUE ET ÉVOLUTION 1. La population mondiale et son étude La population est l ensemble de personnes qui habitent un territoire. De cette façon, la population mondiale est l ensemble d habitants de la planète. Plusieurs sciences s occupent d étudier la population : la démographie, la géographie, la sociologie, l économie... La géographie s intéresse aux rapports entre la population et l espace où elle habite : sa distribution, l évolution, les mouvements ou migrations, sa composition, etc. Elle utilise des sources d information diverses, nationales et internationales, comme les recensements nationaux et municipaux, les registres de population, des enquêtes, etc. De l étude de la population on peut obtenir des conclusions qui servent à établir une politique démographique par les autorités politiques. P. ex les politiques natalistes favorisent les naissances et les politiques antinatalistes essaient de contrôler le nombre de nouveau-nés. Ces décisions politiques peuvent aussi affecter la politique migratoire et limiter l entrée des immigrants ou favoriser l exode des habitants vers des régions peu peuplées. En savant l évolution future de la population on peut estimer les besoins de scolarisation ou des pensions de la société. 1. Établis quel est le sujet d étude de chaque science (relie avec des flèches) : Niveau de consommation de la population Taux de naissance et mortalité Causes de la réduction des mariages DÉMOGRAPHIE GÉOGRAPHIE SOCIOLOGIE L ÉCONOMIE Distribution de la population sur la planète Population active et secteurs économiques Déplacement de la population : migrations 2. Qu est-ce que la politique démographique? 3. LA CHINE : LA FIN DE LA POLITIQUE DE L ENFANT UNIQUE La Chine a officiellement mis fin à la politique de l enfant unique avec la promulgation de la loi autorisant tous les couples à avoir un deuxième enfant. La loi entrera en vigueur le 1 er janvier [2016], a annoncé l agence Chine nouvelle. Tous les couples mariés seront alors autorisés à avoir un deuxième enfant, mais des limitations sur les naissances additionnelles existeront toujours. Les Chinois, préoccupés par leur nombre qu ils voient comme un poids autant que comme un élément de puissance, ont reconnu au strict contrôle des naissances, mis en place en 1979, d avoir accéléré la transition démographique à un moment où l Etat engagea des réformes économiques. Toutefois, le planning familial est rapidement devenu synonyme de violente intrusion de l Etat dans la vie la plus intime des citoyens. Obsédés par des statistiques déterminantes pour leurs carrières, ses centaines de milliers de fonctionnaires accordaient des permis et infligeaient des amendes, mais ont usé également de méthodes controversées comme la stérilisation forcée et l avortement tardif. Parfois présentée comme un cadeau du pouvoir politique relâchant son contrôle sur la vie privée des citoyens, la fin de l enfant unique est en réalité un impératif économique et social pour le pays. Ces évolutions sont destinées à corriger l inquiétant déséquilibre hommes-femmes (116/100 au sein d une même génération) du pays et à enrayer le vieillissement de la population. L indice de fécondité y est aujourd hui à 1,7 enfant par femme, en deçà du seuil de renouvellement des générations et bien plus bas que d autres puissances émergentes, à commencer par l Inde concurrente, actuellement à 2,5 enfants par femme en âge de procréer, chiffre qui représente également la moyenne mondiale. Le Monde.fr, 28 décembre 2015 Un panneau prônant la politique de l'enfant unique le long d'une route près de Pékin en AFP a. Qu est-ce que la «politique de l enfant unique»? _ b. Quand et pourquoi on a établi cette loi? c. Quelles ont été les conséquences? Positives : Négatives : d. Bilan : Pourquoi on a fini avec cette politique en Chine? (Distinguer entre les causes réelles et les excuses) Rubén Diestre IES Pablo Serrano (Zaragoza) Curso

2 2. Le dynamisme de la population La population d un territoire augmente ou diminue tout au long du temps. Il y a deux causes : A. Les mouvements migratoires : Ce sont les déplacements de la population dans l espace. (voir unité 4) B. Le mouvement naturel de la population : C est la croissance ou décroissance de la population par causes naturelles, c'est-àdire, la différence entre la natalité et la mortalité. Cette différence est aussi appelée accroissement naturel. Ces mouvements on peut les étudier moyennant des taux exprimés en %0. La natalité : c est le nombre de naissances dans une population pendant un an. Pour la mesurer on peut utiliser le taux de natalité et l indice de fécondité. Dans la planète les valeurs son moyens (20%0 dans le taux de natalité, et 2 5 enfants par femme dans l indice de fécondité), mais il existe de fortes différences selon les pays. Dans les régions sousdéveloppées les taux sont élevés, et dans les pays développés très bas. On peut trouver plusieurs causes : biologiques comme l âge des mères, démographiques comme le pourcentage de jeunes ou l âge moyen de mariage ; socio-économiques comme le coût d avoir un enfant, le travail des femmes, les croyances religieuses et l accès aux contraceptifs ; politiques comme la légalité de l avortement, l existence d aides aux familles... LES TAUX DÉMOGRAPHIQUES Taux pour mesurer la natalité 1. Taux de natalité Naissances x Indice de fécondité Moyen d enfants par femme (entre 15 et 49 ans) Élevé : > 30%0 Moyen : 20%0 et 30%0 Bas : < 20%0 Élevé : > 3 5 enfants Moyen: entre 3 5 et 2 1 Bas : < 2 enfants Renouvellement des générations : 2 1 enfants / femme Taux pour mesurer la mortalité 1. Taux de mortalité Décès x Taux de mortalité infantile Décès (<1 an) x Espérance de vie Calcul statistique de l âge prévu de décès Élevé : > 15%0 Moyen : 10%0 et 15%0 Bas : < 10%0 Élevé : > 50%0 Moyen : 50%0 et 25%0 Bas : < 25%0 Élevé : > 70 ans Moyen : 60 et 70 ans Bas : < 60 ans La mortalité : c est le nombre de décès dans une population pendant un an. On peut la mesurer avec trois taux : le taux de mortalité, le taux de mortalité infantile et l espérance de vie. En 2014 le taux de mortalité dans la planète était bas (8%0). Dans les pays développés le taux ne diminue pas et il peut même augmenter dû au vieillissement de la population. Dans les pays sous-développés le taux diminue à cause de l amélioration des conditions sanitaires et alimentaires. Mais il existe de différences selon les territoires ou les groupes humains à cause des conditions biologiques (l espérance de vie des femmes et plus élevé que celle-ci des hommes), démographiques comme le pourcentage de jeunes et personnes âgées ; socio-économiques (la profession et revenus, le niveau culturel, l alimentation et les saines habitudes de vie) ou politiques comme les investissements publiques en santé ou l accès à l eau potable. Principales données démographiques par continent (2015) Rubén Diestre IES Pablo Serrano (Zaragoza) Curso

3 L accroissement naturel : c est la différence entre la natalité et la mortalité, il peut être positif (la natalité est supérieur à la mortalité) ou négatif (la natalité est inférieur à la mortalité). Il existe aussi de forts contrastes entre les pays. Dans les pays développés l accroissent est faible (< 1%) ou même négatif à cause de la basse fécondité et le vieillissement de la population. Dans les pays sous-développés il est élevé (> 2%) à cause de la réduction de la mortalité et le taux de natalité élevé. Dans les pays en voie de développement la tendance est à équilibrer les deux taux (entre 1% et 2%). 1. Qu est-ce que l espérance de vie? Les régions avec l espérance la plus élevée sont et les régions avec l espérance la plus basse sont 2. Pourquoi l espérance de vie a amélioré sur la planète? 3. Qu est-ce qu il faut faire pour continuer avec cette tendance? 4. Complète le tableau avec une évaluation (élevée, moyenne ou basse) de chaque élément CONTINENT NATALITÉ MORTALITÉ ESPÉRANCE DE VIE NIVEAU DÉVELOPPEMENT Amérique du Nord et Europe Amérique Latine Afrique Asie Océanie L ESPÉRANCE DE VIE AUGMENTE DANS LE MONDE L espérance de vie dans le monde a augmenté de cinq ans entre 2000 et 2015, a annoncé, jeudi 19 mai, l Organisation mondiale de la santé (OMS), grâce, notamment, aux progrès enregistrés en Afrique dans la lutte contre le sida et le paludisme. Il s agit de la hausse la plus rapide depuis les années Ces progrès inversent les tendances à la baisse observées dans les années 1990, notamment en Afrique à cause de l épidémie de sida et en Europe de l Est après la chute de l Union soviétique. La hausse a été la plus rapide dans la région africaine, où l espérance de vie a gagné 9,4 ans pour atteindre 60 ans, grâce aux progrès en matière de survie de l enfant, de lutte contre le paludisme et d extension de l accès aux soins et aux médicaments antirétroviraux pour le traitement du VIH. «Le monde a progressé à grands pas pour réduire les souffrances inutiles et le nombre des décès prématurés dus aux maladies que l on peut éviter et les traiter», a déclaré le docteur Margaret Chan, directrice générale de l OMS. Mais ces progrès ont été inégaux. (...) Le rapport montre que les nouveau-nés dans 29 pays, tous à haut revenu, ont une espérance de vie moyenne d au moins 80 ans tandis que, dans 22 autres pays, tous en Afrique subsaharienne, elle est de moins de 60 ans. Les statistiques indiquent qu une fillette née aujourd hui au Japon a la plus longue espérance de vie : 86,8 ans. Pour les hommes, c est la Suisse qui offre le meilleur environnement, avec une durée de vie moyenne de 81,3 ans. La Sierra Leone occupe la dernière place du classement pour les deux sexes, avec 50,8 ans en moyenne pour les femmes et 49,3 ans pour les hommes. Pour allonger encore la durée de vie, l OMS pointe des domaines où des progrès sont nécessaires : fournir de l eau potable à quelque 1,8 milliard de personnes qui boivent de l eau contaminée chaque jour, réduire le nombre de fumeurs qui dépasse le milliard dans le monde et donner accès à des toilettes salubres aux 946 millions de personnes qui défèquent en plein air. Le monde.fr, Rubén Diestre IES Pablo Serrano (Zaragoza) Curso

4 5. Établis le taux de natalité, de mortalité et l accroissement naturel de chaque pays (Argentine, Espagne, Tchad). Établis s il s agit d un pays développé, sous-développé ou en voie de développement. PAYS A Population: 46 millions Naissances: Décès : PAYS B Population: 43 millions Naissances: Décès : PAYS C Population: 13 millions Naissances: Décès : PAYS T. Natalité T. Mortalité Accroissement Niveau Développement A: B: C: 3. L évolution de la population mondiale Depuis l'apparition des premiers êtres humains jusqu'au XVIII e siècle, la population mondiale a augmenté très lentement. Le nombre élevé de naissances était compensé par un taux de mortalité aussi élevé causé surtout par le manque de progrès sanitaires. Cette mortalité élevée s'intensifiait pendant des périodes de guerres, de famines et d'épidémies comme la célèbre Peste Noire du XIV e siècle. Ainsi, la population mondiale qu'on estime à 300 millions d'habitants en l'an 1, a augmenté jusqu'à 800 millions seulement en À partir de 1750, avec la révolution industrielle, la population mondiale a augmenté très rapidement. L'amélioration des techniques agricoles ont permis plus de récoltes et donc de nourrir mieux la population. Les progrès de la médecine et de meilleures conditions de vie ont réduit les épidémies et les décès provoqués par certaines maladies. Tout au long du XIX e siècle, la population mondiale passe de millions d'habitants à millions. La croissance de la population mondiale s'est accélérée au XX e siècle surtout à partir des années 1950, surtout dans les pays sous-développés. On parle d'explosion démographique : une forte baisse du taux de mortalité, et un taux de natalité élevé. Elle est passée d'environ 2,5 milliards de personnes en 1950 à 4 milliards en Actuellement, la planète est habitée par 7,4 milliards de personnes, mais l accroissement de la population mondiale est dans une phase de ralentissement : la population continue d augmenter (70 millions de personnes par an) mais à un rythme plus lent qu au XX e siècle car la natalité est en train de descendre. 1. Qu est-ce que l explosion démographique? 2. Combien de temps est nécessaire actuellement pour doubler la population mondiale? _ 3. Selon le graphique, quels événements ont favorisé l augmentation de la population et quels autres ont réduit la population? _ Quel a été le plus important? Pourquoi? _ Rubén Diestre IES Pablo Serrano (Zaragoza) Curso

5 3. Une explication à l évolution de la population : la théorie de la transition démographique La théorie de la transition démographique explique l évolution de la population tout au long de l histoire à partir de trois étapes ou régimes démographiques différenciés par la natalité et la mortalité. a. Régime démographique traditionnel : la période est caractérisée par une «démographie naturelle», ça veut dire que la natalité est élevée (inexistence de moyens contraceptifs, besoin d enfants pour aider dans les ménages, idées religieuses...) et la mortalité aussi élevée dû aux crises de subsistance provoquées par la famine, les épidémies ou les guerres. Comme conséquence, l espérance de vie est basse (< 35 ans) et l accroissement naturel faible. C était la situation de tous les pays avant Actuellement aucun pays du monde ne se trouve dans cette situation. b. Transition démographique : les transformations agricoles et industrielles provoquent des changements démographiques. Dans une première phase le taux de natalité reste élevé et la mortalité souffre une forte réduction grâce à l amélioration de la nutrition, l hygiène et la santé. La conséquence est un très fort accroissement de la population. Certains pays sous-développés restent encore dans cette phase. Dans une seconde phase la natalité commence aussi à descendre dû au développement de l économie urbaine et industrielle. Malgré cette diminution, la croissance de la population est positive car la mortalité continue à descendre. Beaucoup de pays en voie de développement et émergents se trouvent dans cette phase. c. Régime démographique moderne : le taux de natalité arrive au même niveau que le taux de mortalité qui se stabilise dans des chiffres très bas. On peut même constater une légère augmentation du taux de mortalité dû au vieillissement de la population. Comme conséquence l accroissement de la population est très faible ou même négatif si la natalité arrive à descendre au-dessous de la mortalité. C est actuellement la situation des pays développés. 1. Dans quels moments l accroissement de la population est négatif? Comment on peut le savoir? 2. Dans quelle période l accroissement est plus élevé? Quelle est la cause? 3. Compare les différences et les ressemblances entre le régime démographique traditionnel et le moderne. _ 4. Actuellement, quelle variable est plus facile à contrôler, la natalité ou la mortalité? Pourquoi? 5. Pourquoi la mortalité augmente dans le régime moderne? _ 6. Établis le régime démographique ou phase de la transition. (TN= Taux Natalité ; TM= Taux Mortalité) PAYS TN TM PHASE DÉMOGRAPHIQUE PAYS TN TM PHASE DÉMOGRAPHIQUE ESPAGNE 9 9 AUSTRALIE 13 7 INDE 21 7 MALI ALLEMAGNE 8 11 MONDE 20 8 Pourquoi dans ce tableau il n y a pas de pays dans le régime démographique traditionnel? Rubén Diestre IES Pablo Serrano (Zaragoza) Curso

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ

Plus en détail

à la Consommation dans le monde à fin 2012

à la Consommation dans le monde à fin 2012 Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du

Plus en détail

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien

Plus en détail

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013 LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz

Plus en détail

Où sont les Hommes sur la Terre

Où sont les Hommes sur la Terre Où sont les Hommes sur la Terre Introduction : Notre planète est constituée de régions peuplées et d autres qui sont presque vides, ainsi 90% de la population vit dans l hémisphère nord. Dans certains

Plus en détail

Burkina Faso Profil pays EPT 2014

Burkina Faso Profil pays EPT 2014 Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine

Plus en détail

TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO

TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000

Plus en détail

L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE

L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L Aide publique au développement (APD) désigne les dépenses publiques au bénéfice des pays en développement dont le but essentiel est de favoriser le développement économique

Plus en détail

résumé un développement riche en emplois

résumé un développement riche en emplois ne pas publier avant 00:01 Gmt le mardi 27 mai 2014 résumé un développement riche en emplois Rapport sur le Travail dans le Monde 2014 Un développement riche en emplois Résumé ORGANISATION INTERNATIONALE

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

Les inégalités de conditions de vie dans le monde

Les inégalités de conditions de vie dans le monde Notes de l Observatoire N 2, février 2014 Les inégalités de conditions de vie dans le monde 89 % de la population mondiale a accès à l eau potable. L espérance de vie a progressé de 21 ans depuis les années

Plus en détail

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus

Plus en détail

LES DÉFIS DE L EXPANSION

LES DÉFIS DE L EXPANSION LES DÉFIS DE L EXPANSION DU MONDE 49 e ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES ÉLEVEURS DE PORCS DU QUÉBEC JEAN-LOUIS ROY, 28 MAI 2015 L ESPACE AGRICOLE GLOBAL JEAN-LOUIS ROY, MAI 2015 Tous les pays du monde 1,35 milliards

Plus en détail

DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT?

DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT? DANS QUELLE MESURE LA CROISSANCE ECONOMIQUE PERMET-ELLE LE DEVELOPPEMENT? Notions Celles que vous devez déjà connaître : Liste page 12 du manuel : si vous ne les connaissez pas, il faut reprendre vos cours

Plus en détail

Résumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues

Résumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues Résumé Cette étude a été lancée par l Organisation Internationale pour les Migrations à la demande du Gouvernement du Tchad par le biais du Ministère des Affaires Etrangères et de l Intégration Africaine.

Plus en détail

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement

Plus en détail

Un Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique

Un Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique Un Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique Extrait de Un Aperçu de la Situation de l Eau Potable et de l'assainissement en Afrique Une perspective régionale s'appuyant sur des données récentes

Plus en détail

Analyse et exploitation des données du rapport. du PNUD sur le développement humain

Analyse et exploitation des données du rapport. du PNUD sur le développement humain Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions financières Analyse et exploitation des données du rapport du PNUD sur le développement humain Novembre 1995 Document de travail n 02 Analyse et

Plus en détail

La question sociale globale et les migrations. Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010

La question sociale globale et les migrations. Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010 La question sociale globale et les migrations Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010 1. Nous connaissons un moment sans précédent de victoire contre la pauvreté 2.

Plus en détail

1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales

1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales Quinzième inventaire Édition 2013 La production d électricité d origine renouvelable dans le monde Collection chiffres et statistiques Cet inventaire a été réalisé par Observ ER et la Fondation Énergies

Plus en détail

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement

Plus en détail

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance

Plus en détail

WS32 Institutions du secteur financier

WS32 Institutions du secteur financier WS32 Institutions du secteur financier Session 1 La vision chinoise Modernisation du système financier chinois : fusion de différentes activités bancaires et financières, accès des ménages au marché des

Plus en détail

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections

Plus en détail

Commission des finances

Commission des finances Autorité internationale des fonds marins ISBA/21/FC/5 Commission des finances Distr. limitée 4 juin 2015 Français Original : anglais Vingt et unième session Kingston (Jamaïque) 13-24 juillet 2015 État

Plus en détail

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.

Plus en détail

Plan d orientations stratégiques 2012-2016

Plan d orientations stratégiques 2012-2016 Plan d orientations stratégiques 2012-2016 Agence Française de Développement Établissement public, l Agence Française de Développement (AFD) agit depuis soixante-dix ans pour combattre la pauvreté et favoriser

Plus en détail

Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines

Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Symposium des Gouverneurs sur le thème «Inclusion financière

Plus en détail

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre

Plus en détail

CARTOGRAPHIE ET ANALYSE DES ETUDES D IMPACT DU COMMERCE EQUITABLE

CARTOGRAPHIE ET ANALYSE DES ETUDES D IMPACT DU COMMERCE EQUITABLE CARTOGRAPHIE ET ANALYSE DES ETUDES D IMPACT DU COMMERCE EQUITABLE SYNTHESE Une étude à l initiative de la Plate-forme pour le Commerce Equitable Réalisée par Isabelle Vagneron et Solveig Roquigny CIRAD

Plus en détail

Délégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai. Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge?

Délégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai. Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge? Délégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge? Le Tour du Monde en 8 heures Poitiers, le 21 juin 2011 Agenda

Plus en détail

Intervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève ***

Intervention de M. Assane DIOP Directeur exécutif, Protection sociale Bureau international du Travail, Genève *** Atelier de présentation du Programme Améliorer les capacités institutionnelles pour la gouvernance des migrations de main-d oeuvre en Afrique du Nord et de l Ouest (Bamako, Mali, 3 au 5 mars 2009) Intervention

Plus en détail

CULTURE D ENTREPRISE ET GESTION DES RISQUES. Favoriser la performance des organisations publiques par l influence des valeurs opérantes

CULTURE D ENTREPRISE ET GESTION DES RISQUES. Favoriser la performance des organisations publiques par l influence des valeurs opérantes CULTURE D ENTREPRISE ET GESTION DES RISQUES Favoriser la performance des organisations publiques par l influence des valeurs opérantes L exemple du Comité de Bâle Julien Benomar Culture d entreprise et

Plus en détail

En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures

En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme

Plus en détail

L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier.

L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier. L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier. Sommaire Synthèse 1 Arrivées hôtelières par pays 2 Nuitées

Plus en détail

Le processus du développement économique

Le processus du développement économique DOUGLASS C. NORTH Prix Nobel d économie Le processus du développement économique Présentation de Claude Ménard Traduit de l anglais par Michel Le Séac h, 2005 ISBN : 2-7081-3397-7 13 Où allons-nous? Le

Plus en détail

Introduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants?

Introduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants? Renforcement des capacités en matière de Leadership au niveau du Secteur Public dans le contexte de la crise financière et économique Par Dr. Najat ZARROUK Introduction Quels défis pour l Administration

Plus en détail

Responsabilité en matière de santé et d'environnement

Responsabilité en matière de santé et d'environnement Responsabilité en matière de santé et d'environnement Toutes les fiches se trouvent sur le site du collège Gernez Rieux (rubrique : matières et SVT) ou dans le dossier Public de la classe (sous-dossier

Plus en détail

S.A.E.I.F - Bureau d Études

S.A.E.I.F - Bureau d Études La société Africaine d Études & d Ingénierie Financière est un bureau d Études multidisciplinaire qui travaille depuis 1997 dans le domaine de l appui au développement en Afrique. La SAEIF Bureau d Études

Plus en détail

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde

au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources

Plus en détail

Le système de santé au Cambodge

Le système de santé au Cambodge Le système de santé au Cambodge Actualisation au 3 mai 2006 MINEFI DGTPE Prestation réalisée sous système de management de la qualité certifié AFAQ ISO 9001 INDICATEURS DE SANTE Les infrastructures sanitaires

Plus en détail

PREMIERE CONFERENCE DES HAUTS RESPONSABLES CHARGES DE L ETAT CIVIL DES ETATS MEMBRES DE L OCI

PREMIERE CONFERENCE DES HAUTS RESPONSABLES CHARGES DE L ETAT CIVIL DES ETATS MEMBRES DE L OCI REPUBLIQUE DU SENEGAL Un peuple - Un but - Une Foi ----------------- PREMIERE CONFERENCE DES HAUTS RESPONSABLES CHARGES DE L ETAT CIVIL DES ETATS MEMBRES DE L OCI TEHERAN 15-17 AVRIL 2013 Présenté par

Plus en détail

Observatoire de la Démographie

Observatoire de la Démographie - INSTITUT MONÉGASQUE DE LA STATISTIQUE ET DES ÉTUDES ÉCONOMIQUES Observatoire de la Démographie Données 2013 Publication 2014 - 2 - 1 INTRODUCTION...5 1.1 CONTEXTE DE REALISATION ET SPECIFICITES...5 1.2

Plus en détail

DEMANDE DE VISA TOURISME/ (VISITE FAMILIALE/OU AMICALE)

DEMANDE DE VISA TOURISME/ (VISITE FAMILIALE/OU AMICALE) DEMANDE DE VISA TOURISME/ (VISITE FAMILIALE/OU AMICALE) UN FORMULAIRE DUMENT REMPLIS AVEC UNE PHOTO RECENTE. PASSEPORT D UNE VALIDITE MINIMALE DE 3 MOIS APRES L EXPIRATION DU VISA ET UN MINIMUM DE 2 PAGES

Plus en détail

Comptes de la folie (auto)routière 1

Comptes de la folie (auto)routière 1 INSTITUT POUR UN DÉVELOPPEMENT DURABLE Institut pour un Développement Durable Rue des Fusillés, 7 B-1340 Ottignies Tél : 010.41.73.01 E-mail : idd@iddweb.be Comptes de la folie (auto)routière 1 par Philippe

Plus en détail

Le système de protection sociale en santé en RDC

Le système de protection sociale en santé en RDC REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection

Plus en détail

CHAPITRE VI UN ESSAI DE SYNTHESE

CHAPITRE VI UN ESSAI DE SYNTHESE CHAPITRE VI UN ESSAI DE SYNTHESE CHAPITRE VI : UN ESSAI DE SYNTHESE Introduction 1) La relation dialectique entre dynamiques démographiques et développement 2) Les dynamiques démographiques et les théories

Plus en détail

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?

Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? 1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%

Plus en détail

LES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES

LES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES Enquête complémentaire mentaire de mars 2009 LES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES présentée par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université de Paris X - Nanterre - Mercredi 22 juillet 2009 -

Plus en détail

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,

Plus en détail

Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010

Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010 Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement

Plus en détail

Analyses approfondies

Analyses approfondies PROJET PAN ARABE POUR LA SANTE DE LA FAMILLE Enquête Algérienne sur la Santé de la Famille 2005 1 PREFACE C est avec beaucoup de plaisir et beaucoup de fierté que j écris cette préface. D abord tout Algérien

Plus en détail

Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012. 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux

Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012. 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux Les facteurs de compétitivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle 2012 18 juin 2013 Vinexpo 2013, Bordeaux 1 Les facteurs de compétitivit titivité sur le marché mondial du vin Veille concurrentielle

Plus en détail

Banque Africaine de Développement

Banque Africaine de Développement The Next 50 Years: The Africa We Want Banque Africaine de Développement Programme Provisoire Côte d Ivoire, Abidjan, 25 29 mai 2015 Samedi 23 et dimanche 24 mai 2015, de 9 h à 17 h : Enregistrement des

Plus en détail

CORRECTION BREVET PONDICHERY 2014

CORRECTION BREVET PONDICHERY 2014 CORRECTION BREVET PONDICHERY 2014 PREMIERE PARTIE : HISTOIRE (13 POINTS) 1. Questions (6 points) 1. A quels siècles correspond l «âge des églises gothiques»? (1 point) L «âge des églises gothiques» va

Plus en détail

COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION -------------------

COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- DOSSIER TYPE A FOURNIR PAR LES INDUSTRIELS ET A PRESENTER PAR LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC

Plus en détail

Analyse de la carte :

Analyse de la carte : Amorcée au 18eme siècle en Angleterre la révolution industrielle s accélère dans les années 1870 1880 et se diffuse dans toute l Europe et aux USA. Stimulé par de nouvelles inventions comme l électricité,

Plus en détail

Le point sur l épidémie de sida

Le point sur l épidémie de sida 07 Le point sur l épidémie de sida ONUSIDA/07.27F / JC1322F (version française, décembre 2007) Version originale anglaise, UNAIDS/07.27E / JC1322E, décembre 2007 : AIDS epidemic update: December 2007 Traduction

Plus en détail

4. Résultats et discussion

4. Résultats et discussion 17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les

Plus en détail

FAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE

FAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance

Plus en détail

Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté

Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté 18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté

Plus en détail

Modèle de budget mensuel

Modèle de budget mensuel Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir

Plus en détail

Résumé. La transformation du système de crédit du Brésil. Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil?

Résumé. La transformation du système de crédit du Brésil. Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil? Que peuvent apprendre les pays africains de la croissance et du développement du Brésil? Résumé de recherche : Affectation de crédit pour l'investissement, la stabilité et la croissance : Leçons tirées

Plus en détail

de plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.

de plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39. postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre

Plus en détail

Quel est le temps de travail des enseignants?

Quel est le temps de travail des enseignants? Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans

Plus en détail

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement

Plus en détail

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE

Plus en détail

BASE DE DONNEES - MONDE

BASE DE DONNEES - MONDE BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar

Plus en détail

PAUVRETE(S) ET DEVELOPPEMENT

PAUVRETE(S) ET DEVELOPPEMENT Comité mixte franco-marocain inter universitaire Action Intégrée (MA/02/62) PAUVRETE(S) ET DEVELOPPEMENT (le cas du Maroc) Premières approches Robert CHARVIN Professeur à la Faculté de Droit, des Sciences

Plus en détail

C. Facteurs économiques fondamentaux affectant le commerce international

C. Facteurs économiques fondamentaux affectant le commerce international RAPPORT SUR LE COMMERCE MONDIAL 213 C. Facteurs économiques fondamentaux affectant le commerce international La section précédente a montré que l avenir du commerce et de la croissance économique dépend

Plus en détail

Les pratiques de simulation de crise: enquête auprès de quarante-trois grands établissements financiers

Les pratiques de simulation de crise: enquête auprès de quarante-trois grands établissements financiers Ingo Fender (+41 61) 280 9458 ingo.fender@bis.org Michael S. Gibson (+1 202) 452 2495 michael.s.gibson@frb.gov Les pratiques de simulation de crise: enquête auprès de quarante-trois grands établissements

Plus en détail

VIVRE EN BONNE SANTÉ TOUT AU LONG DE LA VIE

VIVRE EN BONNE SANTÉ TOUT AU LONG DE LA VIE by Du global au local : 2015-2030 - 2050 3 VIVRE EN BONNE SANTÉ TOUT AU LONG DE LA VIE En 1970, le slogan de l OMS était La santé pour tous en l an 2000. Les évolutions récentes laissent planer un doute

Plus en détail

3 The Millennium Development Goals: Report 2010. Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014. asdf NATIONS UNIES

3 The Millennium Development Goals: Report 2010. Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014. asdf NATIONS UNIES 3 The Millennium Development Goals: Report 2010 Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014 asdf NATIONS UNIES Le présent rapport est fondé sur un ensemble de données compilées par le Groupe

Plus en détail

Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents

Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Rencontre francophone internationale sur les inégalités sociales de santé

Plus en détail

Etnoka.fr. De la démocratie en France

Etnoka.fr. De la démocratie en France Etnoka.fr De la démocratie en France Partie 1 : UN SIÈCLE DE TRANSFORMATIONS SCIENTIFIQUES, TECHNOLOGIQUES, ÉCONOMIQUES ET SOCIALES Séquence 1 : LES GRANDES INNOVATIONS SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES

Plus en détail

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse

Plus en détail

DUXTON ASSET MANAGEMENT

DUXTON ASSET MANAGEMENT DUXTON ASSET MANAGEMENT Afrique : Un élément clef dans un (ou environnement) agricole global et diversifié Point de vue des investisseurs sur les potentialités de l agriculture africaine et problèmes à

Plus en détail

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable

Charte. pour. de la coopération décentralisée. le développement durable Charte de la coopération décentralisée pour le développement durable Mise en œuvre des principes de l Agenda 21 dans les coopérations transfrontalières, européennes et internationales des collectivités

Plus en détail

POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY

POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY «Penser et agir famille» LES OBJECTIFS 1. Accueillir les familles avec respect et ouverture d esprit dans toutes leurs formes et leurs différences. 2. Stimuler

Plus en détail

Le nouveau régime d Assurance Maladie. Mécanismes de mise en œuvre

Le nouveau régime d Assurance Maladie. Mécanismes de mise en œuvre Le nouveau régime d Assurance Maladie Mécanismes de mise en œuvre Principes et objectifs Le rapprochement entre les régimes d assurance maladie: régime de base obligatoire et unifié. Le maintien du principe

Plus en détail

demain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS

demain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS ACDIC Aujourd hui & demain A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS D. QUATRE THEMES D ACTIONS PRIORITAIRES E. NOS AMBITIONS

Plus en détail

Uniterres. Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux

Uniterres. Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux Le réseau des épiceries solidaires A.N.D.E.S. Uniterres Assurer la sécurité alimentaire des plus démunis et soutenir une agriculture durable et locale Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux

Plus en détail

QUELLES PERSPECTIVES POUR LES RETRAITES EN France?

QUELLES PERSPECTIVES POUR LES RETRAITES EN France? QUELLES PERSPECTIVES POUR LES RETRAITES EN France? Janvier 2007, par Charles MBENGUE MATANGA À moyen et long terme la situation des retraites en France sera de plus en plus préoccupante, compte tenu notamment

Plus en détail

TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)

TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en

Plus en détail

Deuxième Conférence internationale sur la nutrition. Rome, 19-21 novembre 2014. Document final de la Conférence: Déclaration de Rome sur la nutrition

Deuxième Conférence internationale sur la nutrition. Rome, 19-21 novembre 2014. Document final de la Conférence: Déclaration de Rome sur la nutrition Octobre 2014 ICN2 2014/2 Deuxième Conférence internationale sur la nutrition Rome, 19-21 novembre 2014 Document final de la Conférence: Déclaration de Rome sur la nutrition Nous félicitant de la participation

Plus en détail

Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas

Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de

Plus en détail

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de

Plus en détail

Atlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris

Atlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris Atlas économique de Paris 213 du greffe du tribunal de commerce de Paris Sommaire INTRODUCTION... 3 PARTIE 1 PARIS DANS SA GLOBALITÉ... 4 GÉOGRAPHIE DES ENTREPRISES PARISIENNES... 5 DENSITÉ DES ENTREPRISES

Plus en détail

Innovation & Internationalisation (I²)

Innovation & Internationalisation (I²) Partenariats d intérêt mutuel bien compris, tout azimut Les inter-pme panafricaines et internationales réalisées massivement Innovation & Internationalisation (I²) L Afrique se tire elle-même du marécage

Plus en détail

Nouvelle Classification Europerformance. Règles de mapping - Ancien schéma versus nouveau schéma

Nouvelle Classification Europerformance. Règles de mapping - Ancien schéma versus nouveau schéma Nouvelle Classification Europerformance Règles de mapping - Ancien schéma versus nouveau schéma ANCIENNE CLASSIFICATION EUROPERFORMANCE NOUVELLE CLASSIFICATION EUROPERFORMANCE Famille Trésorerie Tresorerie

Plus en détail

Lutter contre les exclusions

Lutter contre les exclusions D 2 COHESION SOCIALE ENTRE LES POPULATIONS, LES TERRITOIRES, LES GENERATIONS Si, globalement, la population vélizienne semble peu exposée au risque d exclusion (taux d emploi élevé, revenu médian moyen,

Plus en détail

INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes

INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes INTERPRETER UN RAPPORT ACTUARIEL Sélection des hypothèses actuarielles dans le contexte africain Par Papa Babou NDIAYE, Directeur des Etudes IPRES_SENEGAL Responsabilité d un administrateur Les évaluations

Plus en détail

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre

Plus en détail

P opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP

P opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP P opulation Photo : Philippe Desmazes/AFP Près de 40 % des immigrés résidant en métropole vivent en Ile-de-France en 1999. Environ 15 % de la population francilienne est immigrée, c est une proportion

Plus en détail

I. PRESENTATION DE LA CHAIRE

I. PRESENTATION DE LA CHAIRE PANEL 6 LES CENTRES ET ECOLES DE FORMATION EN ADMINISTRATION ELECTORALE DANS L ESPACE FRANCOPHONE LA CHAIRE UNESCO DES DROITS DE LA PERSONNE ET DE LA DEMOCRATIE UNIVERSITE D ABOMEY-CALAVI (BENIN) PAR NOEL

Plus en détail

PORTEFEUILLES SYMÉTRIE. Solution de placement façon fonds de pension

PORTEFEUILLES SYMÉTRIE. Solution de placement façon fonds de pension PORTEFEUILLES SYMÉTRIE Solution de placement façon fonds de pension MOINS ÉLEVÉ POTENTIEL DE RENDEMENT PLUS ÉLEVÉ PORTEFEUILLES SYMÉTRIE Portefeuille croissance Symétrie Portefeuille croissance modérée

Plus en détail

Comité monétaire et financier international

Comité monétaire et financier international Comité monétaire et financier international Vingt-neuvième réunion Le 12 avril 2014 Déclaration de M. Akagha-Mba, Ministre de l Économie et de la Prospective, Gabon Représentant les pays suivants : Bénin,

Plus en détail

PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE

PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan

Plus en détail

Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO

Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO Novembre 2013 Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO 1 Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO Le présent document est un résumé

Plus en détail

Comment les pauvres gèrent-ils le risque?

Comment les pauvres gèrent-ils le risque? Comment les pauvres gèrent-ils le risque? Le présent dossier donne un aperçu de la manière dont les ménages pauvres gèrent les risques. Fondé sur les recherches effectuées via les journaux financiers dont

Plus en détail