Qualification du danger sanitaire dans les trois compartiments (faune sauvage, animaux domestiques, population humaine)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Qualification du danger sanitaire dans les trois compartiments (faune sauvage, animaux domestiques, population humaine)"

Transcription

1 Points à documenter pour analyser la pertinence de mettre en œuvre une surveillance du danger sanitaire «TRICHINELLOSE» dans la faune sauvage dans le cadre de la Plateforme ESA Description synthétique du danger sanitaire Nématode zoonotique présent en France sans conséquences cliniques pour les monogastriques (suidés notamment), les oiseaux et les reptiles qu ils infectent, transmissible à l Homme par ingestion de viande (de sanglier notamment) insuffisamment cuite et responsable alors d un œdème de la face et de symptômes musculaires voire de complications neurologiques ou cardiaques. Qualification du danger sanitaire dans les trois compartiments (faune sauvage, animaux domestiques, population humaine) Quelle est la nature du danger sanitaire (agent pathogène (microbe ou parasite), contaminant, etc.? L agent pathogène est il inscrit dans la liste OIE? Quelle est sa catégorisation en France (1, 2 ou 3)? Virulence de l agent pathogène : existence de différentes souches, sérotypes, etc.? virulence vis-à-vis des espèces sensibles? Potentiel d évolution de l agent pathogène : variabilité de l agent (mutations, réassortiments)? Changements d espèces hôtes ou de vecteurs identifiés récemment? Espèces réceptives au danger, dont l Homme (susceptibles d'être infectées ou d'héberger le pathogène considéré)? Espèces sensibles à l agent pathogène (chez lesquelles l'infection peut se traduire par des signes cliniques) et statut de conservation des espèces? Potentiel de contagion de l agent pathogène Parasite transmis par les aliments Oui Si le danger sanitaire est un agent pathogène Trichinella sp. : catégorie 2 (arrêté du 13 août 2013) Trichinella : genre comportant 9 espèces et 3 génotypes qui tous sont susceptibles d infecter l'homme. En France présence de T. spiralis (hôte de prédilection : espèce porcine), T. britovi (capacité d infestation plus fort chez le renard) et de T. pseudospiralis (oiseaux et reptiles). Pas de signes cliniques chez l animal. Virulence variable chez l Homme en fonction de l espèce (T. spiralis > T. britovi et T. pseudospiralis). Aucun potentiel évolutif fort n a été décrit jusqu à maintenant. Le parasite est régulièrement détecté chez de nouvelles espèces mais cela est due à l amélioration des outils de détection et de caractérisation (biologie moléculaire) et pas à l évolution de l agent. Espèces réceptives : monogastriques dont l Homme, oiseaux détritivores et reptiles. Espèce sensible : Homme Contagion par consommation. Le nombre de nouveaux infectés à partir d un individu infecté est conditionné par le 1/7

2 dans les différentes espèces réceptives (R0) Potentiel d introduction? Modalités de diffusion de l agent pathogène? Vitesse de dissémination dans une population infectée? Persistance du danger sanitaire dans l environnement physique (hors vecteurs) : durée de persistance en fonction des conditions climatiques? S agit-il d une maladie tellurique? Conséquences de l infection/contamination dans les différentes espèces réceptives : portage, maladie clinique (durée d incubation, signes cliniques, lésions, morbidité, létalité, mortalité, séquelles), constitution d un réservoir. nombre d animaux consommant une carcasse. Chez l Homme, 5 à 10 humains infectés par consommation d 1 sanglier ou porc infecté ; une centaine de cas humain pour un cheval infecté. Introduction sur un nouveau territoire par transit de carcasse ou d individu sur pied infectés donc potentiel d introduction lié au commerce, aux chasses à l étranger ou au renforcement de population (introduction de sangliers). La diffusion de l agent s effectue par consommation de muscle infecté donc les modalités de diffusion sont dépendantes des chaines trophiques. La vitesse de dissémination dans les compartiments sauvages est davantage liée à la longévité des espèces réceptives (plusieurs années) qu au pouvoir infectant du pathogène (un animal contaminé devient infectant au bout de 3 semaines). Trichinella n a pas de phase libre dans l environnement. Le parasite survit dans une carcasse jusqu à sa consommation, même longtemps après la mort de l animal, ou jusqu à sa disparition (décomposition). Le portage chez les animaux monogastriques, les oiseaux et les reptiles est sans conséquence clinique ; ces espèces constituant des réservoirs. Symptômes cliniques uniquement chez l Homme : incubation de 3 semaines ; infection à vie avec symptômes musculaires (migration des larves dans les cellules musculaires striées) ; complications neurologiques ou cardiaques pouvant aller jusqu à la mort de l individu. Quantification du danger sanitaire dans les trois compartiments (faune sauvage, animaux domestiques, Homme) Danger exotique : quelle est la situation épidémiologique de la maladie au plan géographique, l évolution récente de la distribution spatiale, le risque d introduction à court terme? Danger présent dans au moins un des trois compartiments : localisation, prévalence, incidence, évolution spatio-temporelle de l incidence, potentiel de diffusion aux autres compartiments Impact économique, social, sanitaire? Impact sur dynamique de pop? Les autres espèces que T. spiralis, T. britovi et pseudospiralis sont des dangers exotiques potentiels ; l introduction de T. nativa est cependant peu probable car les conditions climatiques ne sont pas favorables (espèce inféodée au climat arctique). En France, Trichinella sp. Est décrit dans le bassin méditerranéen, les Alpes, les Cévennes et les Pyrénées. Prévalence chez les sangliers : inférieure à 0,4% dans l Aveyron et à 0,3% dans les Pyr.-Atlantiques (Rapport DGAL-ONCFS-Anses-FNC ) Prévalence chez les renards : inférieure à 1,5% dans l Aveyron, à 4% dans les PA, à 5% en Corse? De l ordre de 10% en Savoie (enquête FDC73-LDAV73) Incidence détectée chez les sangliers (nombre de cas confirmés au LNR) : 6 sangliers entre 2004 et 2012 (2 en 2/7

3 2006, 1 en 2007, 2 en 2011, 1 en 2012). Incidence/prévalence détectée chez l Homme : 129 cas autochtones liés à la consommation de viande de sanglier (correspondant à 19 sangliers infectés) en France notifiés de 1975 à Diffusion du compartiment sauvage à l Homme : 5 à 10 cas humains pour 1 sanglier infecté. Impact économique : - Impact sur les filières domestiques : saisi des carcasses de porcs si infectés ; lors des cas humains de 1985 liés à la consommation de cheval trichiné (provenant d Europe de l Est) : baisse de 25% de la consommation de viande de cheval en France en 1 mois. - Impact sur la «filière» chasse : cout de la prévention gibier pour les sociétés de chasse (90 l analyse pour 10 à 20 individus) pouvant dissuader la consommation de viande de sanglier dans le cadre de repas associatifs (consommation alors privée uniquement). - Coût de la prise en charge des cas humains (coût médicaux, paramédicaux, traitements, hospitalisations, arrêt de travail, décès, avortement) Impact sanitaire : incidence humaine faible mais lourde (conséquences cliniques). Pas d impact connu sur la dynamique des populations d animaux sauvages. Cycle épidémiologique Quel est le rôle épidémiologique de la faune sauvage : cul de sac épidémiologique (dead-end host), hôte occasionnel (spillover host), réservoir (héberge et entretient l agent pathogène), participe au cycle épidémiologique (système multi-agents) S agit-il d une maladie vectorielle? Dans ce cas, le vecteur est il présent en France métropolitaine? si oui, quels sont les contacts entre les vecteurs et les différentes espèces de faune sauvage réceptives? Le vecteur permet-il le maintien de l agent pathogène d une année sur l autre? S agit-il d une maladie nécessitant un hôte intermédiaire? Dans ce cas, l HI est il présent en France métropolitaine? si oui, quels sont les Faune sauvage = réservoir Pas maladie vectorielle Pas d hôte intermédiaire 3/7

4 contacts entre les HI et les différentes espèces de faune sauvage réceptives? Est-ce une maladie densité dépendante 1 ou fréquence dépendante 2 dans la faune sauvage? Caractéristiques de la faune sauvage par rapport au danger sanitaire : - proximité zoologique avec des animaux domestiques (plus grande facilité de franchissement de la barrière d espèce), - proximité physique avec les animaux domestiques (pratiques d élevage, contacts potentiels, sous catégories d animaux domestiques à risque (par ex. élevages de plein air), - démographie de la faune sauvage (évolution démographique, localisation géographique) Zoonoses : Mode de transmission à l Homme : ingestion, contact avec animaux, environnement Zoonoses : Qualification du risque que représente la faune sauvage pour l Homme : professionnel (forestiers, éleveurs, employés d abattoir), alimentaire (gibier), loisir («usagers de la nature», promenades en forêt, chasse) Enjeu conservation : statut de conservation des espèces visées et impact sociologique Maladie plutôt fréquence dépendante (force d infection proportionnelle à la proportion de malades dans la population) - Danger identique chez tous les monogastriques - Danger accrue en élevage de porcs plein air (ou de chevaux plein air) du fait de la proximité physique avec le compartiment sauvage. - Démographie des 2 espèces sauvages réservoir (sanglier, renard) favorable (notamment dans le Sud et l Est de la France pour le sanglier) Transmission par ingestion. Risque alimentaire pour l Homme. Pas d enjeu de conservation. 1 Force d infection proportionnelle au nombre de malades dans la population hôte - règle générale pour les maladies à transmission environnementale et certaines maladies à transmission vectorielle [Guégan J.F. & Choisy M. (eds.) (2008) Introduction à l'épidémiologie Intégrative des maladies infectieuses et parasitaires. De Boeck Université, 552 Pp.] 2 Force d infection est proportionnelle à la proportion de malades dans la population - courante pour les maladies directement transmissibles, où la transmission se fait par contact rapproché entre un individu susceptible et un individu infecté, et où le nombre de ces contacts est une quantité fixe, indépendante de la taille de la population totale et donc du nombre d individus infectés. [Guégan et Choisy, 2008] 4/7

5 De quelle surveillance bénéficie actuellement le danger sanitaire en France métropolitaine Décrire le dispositif éventuel (objectif, organisation, modalités de surveillance, résultats) ; évaluer sa pertinence Faut-il surveiller ce danger sanitaire dans la faune sauvage? Pour les filières d élevage : réglementation européenne n 2075/2005. Aujourd hui, la France contrôle 100% des porcs plein-airs, 100% des porcs reproducteurs et 100% des chevaux abattus sur le territoire Pour les sangliers : note de service de la DGAl et arrêté Hygiène. Objectif : surveillance de la viande mise sur le marché ou consommée en repas associatif. Organisation et modalités : - Filière de proximité (repas associatif) : analyse (recherche de Trichinella par digestion artificielle sur 5g de pilier du diaphragme frais) sous la responsabilité du propriétaire de la carcasse (généralement l association de chasse). - Filière longue (passage par atelier de traitement de gibier avec estampille vétérinaire) : analyse sous la responsabilité du professionnel (atelier de traitement). Résultats de la surveillance : Sangliers sauvages (chiffres déclarés par les DDPP et LDA pour 2012) : de l ordre de sangliers analysés (13303 pour la filière de proximité et pour les sangliers passant par les ateliers de traitement) [parallèlement de l ordre de sangliers abattus par an en France]. 6 sangliers infectés entre 2004 et 2012 (dont 1 en 2012). Si présence du parasite, destruction de la carcasse sinon libération. Pertinence de la surveillance : - Méthode analytique : bonne dans le cadre de la prévention de la maladie chez l Homme (sensibilité de 1 larve par gramme sur 5 g analysés). Par contre, ne permet pas de surveiller le danger dans l ensemble des populations réservoirs et d établir par exemple des cartes de circulation du pathogène et donc d exposition potentiel au danger. - Echantillonnage : de l ordre de 10% des sangliers chassés sont analysés mais échantillon pas représentatif pour la surveillance de la présence du danger dans la faune sauvage (échantillon orienté sur la prévention de la zoonose). 5/7

6 Paramètres pour une éventuelle surveillance de la faune sauvage Outils de dépistage disponibles pour la faune sauvage (clinique, anatomo-pathologique, tests biologiques (validation sur faune sauvage, performances)) Connaissance du compartiment faune sauvage (taille et distribution spatio-temporelle des populations sensibles) Statut des populations sauvages (espèces protégées, chassées, nuisibles ) Potentiel d amélioration de l efficacité de la surveillance par la concertation au sein de la Plateforme Difficultés/facilités de mise en œuvre d une surveillance de qualité (contraintes pour l accès aux spécimens, accessibilité des prélèvements, acheminement des prélèvements dans les délais ) Autres contraintes à la mise en œuvre de la surveillance Faut-il surveiller ce danger sanitaire dans la faune sauvage? Le dépistage par digestion artificielle est un outil performant et validé dans l objectif de prévention de la zoonose. LA méthode sérologique, utilisable pour une surveillance de la circulation du parasite, a une valeur prédictive non déterminée. Sangliers : bonne connaissance des tailles et de la distribution des populations. Renards : connaissance moins fine (d après données FDC, piégeurs, ONCFS) mais correcte. Sanglier : gibier chassé, susceptible d être classé nuisible. Renard : gibier chassable, susceptible d être classé nuisible. Il existe un potentiel d amélioration de l efficacité de la surveillance non pas sur le plan méthodologique mais sur le plan organisationnel qui nécessiterait une mise en relation des parties prenantes principales de la surveillance (FNC-FDC, réseau de laboratoires et DGAl-DDPP) pour améliorer la circulation de l information et le déploiement de la prévention. La surveillance du pathogène chez les suidés est contrainte par la logistique de terrain (présence de chambre froide sur le terrain pour conserver les carcasses, organisation des circuits des prélèvements), le cout dissuasif potentiel des analyses et la volonté des acteurs. 6/7

7 SYNTHESE Au vu de l analyse ci-dessus, de la connaissance de la situation épidémiologique et en prenant en compte les contraintes qui s appliquent au danger sanitaire (réglementations nationales et internationale, contexte sociétal, etc.) est-il pertinent de proposer une surveillance dans le compartiment faune sauvage? Si oui, avec quel objectif(s) potentiel(s), quelle(s) espèce(s) seraient-elles à surveiller, quelles principes de surveillance (ponctuelle/longitudinale, événementielle/programmée), quelle zone de surveillance, etc. S agissant de faune sauvage, les principes généraux sont les suivants : surveillance active (infection à effet clinique faible ou peu détectable), surveillance événementielle (mortalité pour les maladies suraigües sans circulation détectable chez animaux sains), les deux (effet clinique ou lésionnel variable, plus ou moins fréquent selon le stade de l infection et la classe de risque). Il ne s agit pas de décrire dans le détail un dispositif potentiel de surveillance, mais d en dessiner les grandes lignes. La déclinaison opérationnelle relèvera d une deuxième phase, si la décision de mettre en œuvre une surveillance est prise. Actuellement, il n apparait pas nécessaire que la plateforme propose une alternative ou un complément méthodologique à la surveillance basée sur le risque zoonotique (surveillance du parasite chez les suidés encadrée par la réglementation européenne). En revanche, pour donner davantage de poids à la prévention, il y aurait un intérêt général à mettre en œuvre une surveillance nationale de la circulation du parasite qui aurait pour but de cartographier le risque (exposition des sangliers ou renards au pathogène) mais cette surveillance est contrainte actuellement par le fait que l outil sérologique n est pas suffisamment spécifique (réaction croisée avec d autres nématodes chez les espèces sauvages) et sensible (pas de détection précoce des anticorps). Cette perspective relève donc de la recherche. L amélioration de ces outils de surveillance et l affinage de la connaissance de la répartition du parasite pourrait à terme permettre d alléger les procédures de qualification en élevage loco-régionalement, par dérogation à la réglementation européenne. De plus une mise en relation des parties prenantes principales de la surveillance (FNC-FDC, réseau de laboratoires et DGAl-DDPP) permettrait d améliorer la circulation de l information et le déploiement de la prévention du risque pour l homme par consommation de carcasse. 7/7

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA

Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Claude SAEGERMAN Département des maladies infectieuses et parasitaires, Service d épidémiologie et analyse de risques appliquées aux

Plus en détail

ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE

ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE ENTENTE INTERDEPARTEMENTALE DE LUTTE CONTRE LA RAGE ET AUTRES ZOONOSES ETAT D AVANCEMENT DES TRAVAUX 2011 SUR L ECHINOCOCCOSE ALVEOLAIRE et autres zoonoses Toutous, vous saurez tout sur l échino! Note

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014 Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2014, dans le cadre du monitoring actif, 3.036 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.

Plus en détail

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2013, dans le cadre du monitoring actif, 3.181 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.

Plus en détail

La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène»

La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène» La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène» Direction Départementale des Services Vétérinaires de Meurthe-et-Moselle Plan 1. Objectifs de la réforme 2. Quels

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la

Plus en détail

Infestation par Dipylidium caninum,

Infestation par Dipylidium caninum, Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le

Plus en détail

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose

Plus en détail

Objet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution

Objet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution Ordre de méthode Direction générale de l'alimentation Sous-direction de la sécurité sanitaire des aliments Bureau des établissements d'abattage et de découpe 251 rue de Vaugirard 75 732 PARIS CEDEX 15

Plus en détail

Qualité. Sécurité Alimentaire

Qualité. Sécurité Alimentaire Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en

Plus en détail

LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE

LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE Direction Départementale de la Protection des Populations De Seine-Saint-Denis (DDPP 93) - Immeuble l Européen - 5 et 7 promenade Jean

Plus en détail

FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE

FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la

Plus en détail

Restauration collective. quelques aspects réglementaires

Restauration collective. quelques aspects réglementaires Restauration collective quelques aspects réglementaires JL Fumery Marseille, 17 mai 2005 1 La restauration collective n est pas vraiment un concept nouveau de la préhistoire au moyen-âge quelles que soient

Plus en détail

HACCP et sécurité sanitaire des aliments

HACCP et sécurité sanitaire des aliments HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et

Plus en détail

Direction de l Alimentation, de l Agriculture et de la Forêt Service de l Alimentation Jardin botanique 97109 BASSE TERRE

Direction de l Alimentation, de l Agriculture et de la Forêt Service de l Alimentation Jardin botanique 97109 BASSE TERRE Réglementation relative à l hygiène alimentaire des marchands ambulants et des vendeurs sur foires et marchés (Activités de restauration, vente de poissons, activités de boucherie, charcuteries, pâtisseries,

Plus en détail

Contexte réglementaire en hygiène alimentaire

Contexte réglementaire en hygiène alimentaire Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel

Plus en détail

Demande d autorisation de faire du commerce d animaux

Demande d autorisation de faire du commerce d animaux Demande d autorisation de faire du commerce d animaux 1 Autorité et auteur de la demande 1.1 Adresse du service cantonal de la protection des animaux (adresse d envoi): 1.2 Nom et adresse de la personne

Plus en détail

République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION

République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN

Plus en détail

Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)

Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) 105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site

Plus en détail

Destinataires d'exécution

Destinataires d'exécution Ordre de méthode Direction générale de l'alimentation Service des actions sanitaires en production primaire Sous-direction de la santé et de protection animales Bureau de la santé animale 251 rue de Vaugirard

Plus en détail

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»

Plus en détail

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité

Plus en détail

ETUDE TECHNIQUE MISE EN PLACE DE LA DEMARCHE QUALITE DANS LES ABATTOIRS DU DEPARTEMENT DE L AVEYRON

ETUDE TECHNIQUE MISE EN PLACE DE LA DEMARCHE QUALITE DANS LES ABATTOIRS DU DEPARTEMENT DE L AVEYRON INSTITUT NATIONAL DE FORMATION DES PERSONNELS DU MINISTÈRE DE L AGRICULTURE ETUDE TECHNIQUE Soutenue dans le cadre de la formation des Techniciens Supérieurs des Services du Ministère de l Agriculture

Plus en détail

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la

Plus en détail

Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali

Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali S. Wullschleger, B. Bonfoh; A. Sissoko, I. Traoré; S. Tembely, J. Zinsstag, C. Lacroix,

Plus en détail

PAQUET HYGIÈNE : MODE D EMPLOI

PAQUET HYGIÈNE : MODE D EMPLOI PAQUET HYGIÈNE : MODE D EMPLOI AOÛT 2007 Ce document est une synthèse de cette nouvelle réglementation en matière de sécurité des aliments à destination des diététiciens. Il a été validé par le comité

Plus en détail

Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires

Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires Applicable au 1 er janvier 2006 Objectif : Etablit les règles générales en matière d hygiène, est directement applicable

Plus en détail

AVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail

AVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail Le Directeur général Maisons-Alfort, le 1 er avril 2014 AVIS de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la demande d autorisation de mise

Plus en détail

1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE»

1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE» 1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE» In Partnership with Le Master 2 MAN-IMAL c est : Formation innovante et interdisciplinaire (Médecins, Véto, Ingénieurs agro/iaa, Biologistes ) Double compétence

Plus en détail

FORMATION REFERENTS HYGIENE 14 HEURES (Décret 2011-731 du 24/06/2011 et Arrêté du 5/10/2011)

FORMATION REFERENTS HYGIENE 14 HEURES (Décret 2011-731 du 24/06/2011 et Arrêté du 5/10/2011) FORMATION REFERENTS HYGIENE 14 HEURES (Décret 2011-731 du 24/06/2011 et Arrêté du 5/10/2011) Interlocuteur Eurofins Biosciences : Lionel GROSJEAN Eurofins Biosciences Responsable Formation Conseil RHD

Plus en détail

Les animaux vertébrés sont-ils réservoirs de rickettsies?

Les animaux vertébrés sont-ils réservoirs de rickettsies? Les animaux vertébrés sont-ils réservoirs de rickettsies? Bernard DAVOUST 1,2, Oleg MEDIANNIKOV 2, Jean-Lou MARIÉ 1,2, Cristina SOCOLOVSCHI 2, Philippe PAROLA 2 et Didier RAOULT 2 1 - Direction régionale

Plus en détail

H A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations.

H A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations. H A C C P Hazard Analysis, Critical Control Point Analyse des dangers, maîtrise des points critiques Objectifs : L'HACCP est une norme de mise en œuvre destinée à évaluer les dangers, et, mettre en place

Plus en détail

Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique

Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique Samedi 23 Mai 2015 Marché des animaux de la ferme & ferme pédagogique REGLEMENT GENERAL Le Clos du Verger organise cette année les Champêtreries a Jasseron le 23 Mai 2015. Au programme : Marché des animaux

Plus en détail

Décrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.

Décrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous. DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

LES MISSIONS DE LA DDPP 13 s organisent autour de 3 axes :

LES MISSIONS DE LA DDPP 13 s organisent autour de 3 axes : LES MISSIONS DE LA DDPP 13 s organisent autour de 3 axes : I - Pôle sécurité qualité et loyauté de l alimentation, Santé et Protection Animale, Protection de l Environnement constitué de 4 services : Service

Plus en détail

22/12/11. Plan de la présentation

22/12/11. Plan de la présentation http://www.dda.ulg.ac.be L appréciation quantitative du risque microbiologique et la microbiologie prévisionnelle pour les entreprises. La microbiologie prévisionnelle Deux exemples simples L appréciation

Plus en détail

Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires

Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : culture versus PCR Résultats préliminaires J. Assoukpa, L. Dupraz, D. Lecointe UFHHLIN, Centre Hospitalier Sud Francilien,

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective 1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

BREVES DU GDS 85. ont plutôt tendance

BREVES DU GDS 85. ont plutôt tendance Editorial BREVES DU GDS 85 N 29 - NOVEMBRE 2010 Ne pas confondre le PSE et le SPE (Support Personnalisé d Epidémiosurveillance), ce dernier mis en place avec le GTV (Groupement Technique Vétérinaire) et

Plus en détail

Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)

Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.

Plus en détail

Contrat d insémination 2015

Contrat d insémination 2015 Centre de reproduction équine du Petit Hautier 2 Route de Paris 76220 Ménerval Tél : 02 32 89 07 11 Port : 06 88 83 60 20 www.petithautier.fr Email: doc.chollet@orange.fr Contrat d insémination 2015 Entre

Plus en détail

COMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail

COMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail Saisine n 2010-SA-0215 Le directeur général Maisons-Alfort, le 11 août 2011 COMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration

Hygiène alimentaire en restauration 2 0 1 4 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 89 Sensibilisation à l hygiène

Plus en détail

PMS Plan de maitrise sanitaire. HACCP CONSEILLER Agrément sanitaire CE. VETHYQUA Enregistrements Contrôles de température

PMS Plan de maitrise sanitaire. HACCP CONSEILLER Agrément sanitaire CE. VETHYQUA Enregistrements Contrôles de température Plan de maitrise sanitaire Mercredi 17 octobre 2012 Traiteurs Organisateurs de Réception L agrément CE, simple formalité ou génial outil de développement? Jean-Philippe CLAUDE, Dr Vétérinaire Audit Hygiène

Plus en détail

25 février 2005 Vol. 18 N o 8. Sommaire

25 février 2005 Vol. 18 N o 8. Sommaire ISSN 1012-5310 25 février 2005 Vol. 18 N o 8 Sommaire Stomatite vésiculeuse en Bolivie 67 Influenza aviaire hautement pathogène en Thaïlande : rapport de suivi nº 46 69 Influenza aviaire hautement pathogène

Plus en détail

EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II. Autres propositions

EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II. Autres propositions Prop. 11.33 EXAMEN DES PROPOSITIONS D'AMENDEMENT DES ANNEXES I ET II Autres propositions A. Proposition Transférer Eunymphicus cornutus cornutus de l'annexe II à l'annexe I. La perruche de la chaîne a

Plus en détail

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège

Plus en détail

REPOBLIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana Fahafahana Fandrosoana ----------------------- PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

REPOBLIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana Fahafahana Fandrosoana ----------------------- PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPOBLIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana Fahafahana Fandrosoana ----------------------- PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE LOI n 2006-030 du 24 novembre 2006 relative à l élevage à Madagascar L Assemblée nationale

Plus en détail

Animal de compagnie. Les fiches pratiques de la concurrence et de la consommation

Animal de compagnie. Les fiches pratiques de la concurrence et de la consommation Les fiches pratiques de la concurrence et de la consommation Animal de compagnie Les animaux de compagnie sont des animaux dont l'homme a la garde, notamment dans son foyer, pour son agrément et qui ne

Plus en détail

Qu est-ce que la peste?

Qu est-ce que la peste? Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant

Plus en détail

Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test»

Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test» Sida : «Avant d arrêter le préservatif, faites le test» Dossier de presse Juin 2008 Sida : le test du dépistage encore trop peu souvent associé à l arrêt du préservatif dans le couple Situation de l infection

Plus en détail

Conseil Spécialisé fruits et légumes

Conseil Spécialisé fruits et légumes Conseil Spécialisé fruits et légumes Proposition d axes pour l expérimentation pour 2013/2015 dans la filière fruits et légumes frais (hors pomme de terre) 18 décembre 2012 FranceAgriMer Préparation de

Plus en détail

Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages

Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages Première tournée / premier spectacle Nouvelle tournée / nouveau spectacle Entrée en Suisse de l étranger

Plus en détail

Formation aux enseignants intervenant en SEGPA

Formation aux enseignants intervenant en SEGPA Formation aux enseignants intervenant en SEGPA Réglementation de la sécurité sanitaire des aliments Informations préalables Ce document informe des dispositions réglementaires en vigueur et applicables

Plus en détail

Histoire et Sociologie de la Santé Publique Vétérinaire INRA - Ritme. Décembre 2009

Histoire et Sociologie de la Santé Publique Vétérinaire INRA - Ritme. Décembre 2009 Histoire et Sociologie de la Santé Publique Vétérinaire INRA - Ritme. Décembre 2009 Entre médecine humaine et médecine vétérinaire: l usage et l abandon de la vaccination dans la prophylaxie de la tuberculose

Plus en détail

De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités

De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités De vraies perspectives d avenir Des dispositifs d accompagnement et de financements De multiples complémentarités Organisateurs : Partenaires : Des outils d accompagnement Des outils de financement Zoom

Plus en détail

14 26 mars 2007. 25 avril 17 mai 2007 8 16 décembre 2007

14 26 mars 2007. 25 avril 17 mai 2007 8 16 décembre 2007 Le Centre de gestion des crises santé animale (CMC-AH) est un mécanisme de l Organisation des Nations Unies pour l alimentation et l agriculture (FAO) et de l Organisation mondiale de la santé animale

Plus en détail

CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.

CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail. CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.com Espèces locales et territoire, un destin commun? Pâturage

Plus en détail

Permet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles

Permet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles Atelier Biocontrôle Matthieu BENOIT Chambre régionale d agriculture de Normandie - arboriculture Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de

Plus en détail

AVIS 1 / 6. Afssa Saisine n 2008-SA-0319 Saisine liée n 2005-SA-0081. Maisons-Alfort, le 18 août 2009. Rappel de la saisine

AVIS 1 / 6. Afssa Saisine n 2008-SA-0319 Saisine liée n 2005-SA-0081. Maisons-Alfort, le 18 août 2009. Rappel de la saisine Maisons-Alfort, le 18 août 2009 AVIS LA DIRECTRICE GÉNÉRALE ADJOINTE de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif à une demande d'avis relatif au guide de bonnes pratiques d'hygiène

Plus en détail

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur

Plus en détail

TITRE : On est tous séropositif!

TITRE : On est tous séropositif! PRÉPARER UNE «SITUATION COMPLEXE DISCIPLINAIRE», SITUATION D APPRENTISSAGE ET/OU D ÉVALUATION TITRE : On est tous séropositif! classe : 3 ème durée : 30 min I - Choisir des objectifs dans les textes officiels.

Plus en détail

Surveillance des toxi infections alimentaires collectives

Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Nombre de foyers Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2011 En 2011, 1 153 foyers de toxi infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés

Plus en détail

Liste des diplômes français généralement comparables au niveau du Diplôme d études collégiales en formation technique

Liste des diplômes français généralement comparables au niveau du Diplôme d études collégiales en formation technique Liste des diplômes français généralement s au niveau du Diplôme en formation technique Ministère de l Immigration et des Communautés culturelles Service d évaluation comparative des études effectuées hors

Plus en détail

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose

Plus en détail

Le bien-être animal : fiction ou réalité?

Le bien-être animal : fiction ou réalité? Le bien-être animal : fiction ou réalité? Par Daniel-Mercier Gouin Coll. Denis Beaudoin Définition Plan de la présentation Le point sur la réglementation ici et ailleurs Les implications opérationnelles

Plus en détail

Système de management H.A.C.C.P.

Système de management H.A.C.C.P. NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février

Plus en détail

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de

Plus en détail

INVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT

INVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT INVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT LA SECURITE ALIMENTAIRE DANS L INDIANOCEANIE INVESTIR DANS LA PRODUCTION AGRICOLE 25-27 MARS

Plus en détail

FORMATION HYGIENE. (D après méthode HACCP) EN INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE

FORMATION HYGIENE. (D après méthode HACCP) EN INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE 1. Objectif : Comprendre les enjeux de la maîtrise de l hygiène dans votre entreprise «Agroalimentaire» (Fabrication, conditionnement, logistique, ) Savoir identifier les risques spécifiques à votre activité

Plus en détail

HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE

HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE Dr Erick KEROURIO DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE L ESSONNE Le cadre réglementaire LA RESTAURATION COLLECTIVE Notion de «clientèle» captive

Plus en détail

Laboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche

Laboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche Laboratoire Eau de Paris Analyses et Recherche L eau, un aliment sous contrôle public Pour Eau de Paris, approvisionner la capitale en eau, c est garantir à ses 3 millions d usagers une ressource de qualité,

Plus en détail

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban

Vaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec

Plus en détail

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :

Projet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date

Plus en détail

Redéploiement et conservation des Antilopes Sahélo-Sahariennes en Tunisie Atelier technique, Douz, 18 et 19 avril 2004

Redéploiement et conservation des Antilopes Sahélo-Sahariennes en Tunisie Atelier technique, Douz, 18 et 19 avril 2004 Redéploiement et conservation des Antilopes Sahélo-Sahariennes en Tunisie Atelier technique, Douz, 18 et 19 avril 2004 Atelier technique tenu à l invitation de la Direction Générale des Forêts de Tunisie,

Plus en détail

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement

Plus en détail

Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration

Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration FORMATION : THEORIQUE C.H.R. / INTRA-ENTREPRISE MODULE Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration TYPE DE FORMATION : Hygiène et sécurité, qualité normalisation,

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Développement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage

Développement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage Développement d un système de monitoring du bien-être des veaux en élevage Joop LENSINK 1, Kees VAN REENEN 2, Hélène LERUSTE 1 1 Institut Supérieur d Agriculture (ISA) Lille, France 2 Animal Science Group,

Plus en détail

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I

LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE. Hervé LETHIER, EMC2I LE MONITORING DE LA BIODIVERSITE EN SUISSE Hervé LETHIER, EMC2I INTRODUCTION OBJECTIFS L INSTRUMENT LES INDICATEURS UN PREMIER BILAN INTRODUCTION OBJECTIF De simples inventaires spécialisés et ciblés Combler

Plus en détail

COMMISSION EUROPÉENNE DIRECTION GÉNÉRALE DE LA SANTÉ ET DES CONSOMMATEURS

COMMISSION EUROPÉENNE DIRECTION GÉNÉRALE DE LA SANTÉ ET DES CONSOMMATEURS Ref. Ares(2013)2807435-01/08/2013 COMMISSION EUROPÉENNE DIRECTION GÉNÉRALE DE LA SANTÉ ET DES CONSOMMATEURS Direction F Office alimentaire et vétérinaire DG(SANCO) 2013-6657 RM FINAL PROJET DE RAPPORT

Plus en détail

AVIS. Complément d étude. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.1565. Liège, le 23 octobre 2006

AVIS. Complément d étude. Objet : Réf. : CWEDD/06/AV.1565. Liège, le 23 octobre 2006 AVIS Réf. : CWEDD/06/AV.1565 Liège, le 23 octobre 2006 Objet : Demande de permis unique relative à la régularisation d une porcherie d engraissement de 3.500 porcs et d une étable de 30 bovins à Kettenis

Plus en détail

Parasites externes du chat et du chien

Parasites externes du chat et du chien Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?

Plus en détail

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables

Plus en détail

Index alphabétique. Liste des mots clés du FORMACODE (nomenclature du Centre INFFO) utilisés pour décrire les domaines de formation.

Index alphabétique. Liste des mots clés du FORMACODE (nomenclature du Centre INFFO) utilisés pour décrire les domaines de formation. Index alphabétique Commission permanente du 09/09/2005 Index alphabétique Liste des mots clés du FORMACODE (nomenclature du Centre INFFO) utilisés pour décrire les domaines de formation. Accompagnement

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire

Plus en détail

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules

Plus en détail

Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives

Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2012 En 2012, 1 288 foyers de toxi-infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés en France,

Plus en détail

Conditions Générales pour l achat de biens et services

Conditions Générales pour l achat de biens et services Conditions Générales pour l achat de biens et services 1 Champ d application 1.1 Les conditions générales règlent la conclusion, le contenu et l exécution des accords d achat de biens et services. 1.2

Plus en détail

Objectifs stratégiques et opérationnels 2009-2011: état des lieux

Objectifs stratégiques et opérationnels 2009-2011: état des lieux Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Objectifs stratégiques et opérationnels 2009-2011: état des lieux Comité de consultation du 30/11/2011 Objectifs stratégiques 2 16% 9% 29% 46%

Plus en détail

Brucella. B. abortus as viewed by electron microscopy Cells are approximately 0.5-0.7 µm in diameter and 0.6-1.5 µm in length

Brucella. B. abortus as viewed by electron microscopy Cells are approximately 0.5-0.7 µm in diameter and 0.6-1.5 µm in length Brucella B. abortus as viewed by electron microscopy Cells are approximately 0.5-0.7 µm in diameter and 0.6-1.5 µm in length Projet BBSRC-ZELS: contrôle multisectoriel de la brucellose dans les principales

Plus en détail