Effet d échelle : la panacée pour le déploiement de la filière de biodiesel de deuxième génération en France?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Effet d échelle : la panacée pour le déploiement de la filière de biodiesel de deuxième génération en France?"

Transcription

1 Effet d échelle : la panacée pour le déploiement de la filière de biodiesel de deuxième génération en France? Juliette IMBACH 1

2 Contexte de développement de la filière BtL Les modèles de développement identifiés jusqu à présent en terme d industrialisation de la filière BtL ne s appuient pas uniquement sur des choix technologiques mais s inscrivent dans un contexte global. Amont L approvisionnement en ressource Procédé Enchaînement des briques technologiques Aval Distribution du carburant Typologie du pays Contexte industriel Stratégie nationale par rapport à l énergie et aux biocarburants 2

3 modèle «raffineurs - grande capacité» En France, un modèle de développement se dessine mais est implicitement basé sur les similitudes technologiques avec les raffineries Un contexte français plutôt favorable au déploiement de la filière BtL Une volonté nationale Un capital en biomasse potentiellement attractif avec un modèle de développement proche de celui d une raffinerie. Changement radical de procédés par rapport à contrairement à la filière éthanol la première génération, Un projet industriel en terme de conditions opératoires (température et pression élevées) et niveau d investissement (industrie capitalistique) plus proche d une raffinerie que d une usine de première génération 3

4 modèle «raffineurs - grande capacité» renforcé par un enjeu fort de diminution de coûts de production escompté en particulier via un effet d échelle. Capacité moyenne généralement citée 1 Mt de biomasse humide / an Coût de production Procédé autothermique Capacité biomasse sèche (kt/an) 4

5 autre modèle possible? Etant donné les questionnements actuels en terme de gestion durable de la ressource, ne peut-on pas envisager un autre modèle de développement centré sur la ressource? Modèle «ressource» Description : Collecte de biomasse à proximité (< 80 km?) Zone riche en ressource, a priori plutôt rurale (i.e. Bourgogne, Limousin, Franche Comté) Modèle induisant une capacité de production plus faible Plus d installations situées sur le territoire français comparé au modèle «Procédé» pour une même quantité de biocarburant Quelle typologie d acteurs en charge du projet? Un ou des acteur(s)? Pétrolier, société d engineering? Un acteur de la ressource : un industriel des services énergétiques? Collectivité locale? 5

6 quelle viabilité? Mais un tel modèle conduit à des coûts de production supérieurs limitant sa viabilité économique Coût de production Diminution de la capacité : facteur > 4 Augmentation du coût de production : ~ 30% Procédé autothermique Capacité biomasse sèche (kt/an) 6

7 quelle viabilité? même en intégrant le gain associé à l approvisionnement en biomasse Comparaison modèle «ressource» vs «procédé» Coût de la biomasse rendu sur site Diminution de la distance de transport Une diminution du prix de vente de la plaquette forestière livrée sur site de l ordre de 30% peut être escomptée ECONOMIQUE Coût de production Diminution de la capacité de l usine Une augmentation du coût de production % du coût global de production / au modèle «procédé» 7

8 les conditions d existence d un tel modèle sauf à avoir une vision plus globale et évaluer quelles conséquences économiques pourraient avoir, pour un industriel, les impacts positifs d un tel projet. Comparaison modèle «ressource» vs «procédé» ENVIRONNEMENTAL Diminution des émissions de Gaz à Effet de Serre liés au transport Création d emplois SOCIETAL Maintien d emplois indirects Création de chiffre d affaires Redynamisation de zones en perte d activités 8

9 Synthèse Nécessité d inscrire la réflexion du déploiement industriel de la filière BtL dans son environnement global En France, deux schémas de déploiement la filière BtL : Un premier basé sur le procédé Un deuxième, centré sur la ressource, de capacité de production plus faible : Envisageable : bien que relativement différents, les coûts de production restent du même ordre de grandeur Mais non évident : nécessite de revoir complètement le schéma de développement dans sa globalité Prochaines étapes pour l Itésé : évaluation plus fine des impacts positifs d un tel modèle susceptible d entrer en compte dans le coût de production global 9

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30

Plus en détail

Groupe ROQUETTE. Usine de BEINHEIM. Chaufferie Biomasse

Groupe ROQUETTE. Usine de BEINHEIM. Chaufferie Biomasse Groupe ROQUETTE Usine de BEINHEIM Chaufferie Biomasse Congrès «Eco-technologies pour le futur» - Lille - 14 juin 2012 Plan de la présentation Le groupe ROQUETTE Notre site de BEINHEIM Nos motivations environnementales

Plus en détail

Épreuve collaborative

Épreuve collaborative Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?

Plus en détail

Bois Bocage Energie. www.boisbocageenergie.fr. SCIC Bois Bocage Energie, Laurent NEVOUX, Place de l église, 61800 CHANU

Bois Bocage Energie. www.boisbocageenergie.fr. SCIC Bois Bocage Energie, Laurent NEVOUX, Place de l église, 61800 CHANU Société Coopérative d Intd Intérêt Collectif Bois Bocage Energie www.boisbocageenergie.fr Comment organiser la filière bois et mobiliser la ressource? Acte 1 : Mécaniser la récolte du bois Acte 2 : Moderniser

Plus en détail

Développement rural 2007-2013. Document d orientation

Développement rural 2007-2013. Document d orientation Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

Panorama des bioénergies en Europe. Colloque Bioénergies

Panorama des bioénergies en Europe. Colloque Bioénergies Panorama des bioénergies en Europe Panorama des bioénergies en Europe Synthèse des informations existantes sur le sujet des bioénergies en Europe Sources : législation : Europa, portail de l Union européenne

Plus en détail

Le bois, la première des énergies renouvelables

Le bois, la première des énergies renouvelables Le bois, la première des énergies renouvelables Chiffres clés du bois-énergie en France La France dispose de l un des plus importants massifs européens avec une forêt qui couvre près de 1/3 du territoire

Plus en détail

RÉDUISEZ VOS CONSOMMATIONS ALLÉGEZ VOS FACTURES ÉNERGÉTIQUES

RÉDUISEZ VOS CONSOMMATIONS ALLÉGEZ VOS FACTURES ÉNERGÉTIQUES RÉDUISEZ VOS CONSOMMATIONS ALLÉGEZ VOS FACTURES ÉNERGÉTIQUES «Lean Energy Analysis» : une étude de 3e-performance pour traquer vos gaspillages et bâtir une stratégie d action 1 LEAN ENERGY ANALYSIS: DISTINGUER

Plus en détail

Cofely Services et la condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014

Cofely Services et la condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014 Journée technique CIBE ATEE Lorraine Forbach-Farébersviller 1 er avril 2014 Condensation biomasse Journée technique CIBE ATEE Lorraine Cofely Services Le choix de la condensation biomasse Fonctionnement

Plus en détail

L'amélioration des performances économiques des territoires : méthodologie des cartes de performance. Application à la liaison Grenoble Sisteron

L'amélioration des performances économiques des territoires : méthodologie des cartes de performance. Application à la liaison Grenoble Sisteron L'amélioration des performances économiques des territoires : méthodologie des cartes de performance Application à la liaison Grenoble Sisteron **** 1 Sommaire Introduction : les facteurs de développement

Plus en détail

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS

Présentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux

Plus en détail

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche

La gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine

Plus en détail

Distribution d électricité et réseaux souterrains

Distribution d électricité et réseaux souterrains Distribution d électricité et réseaux souterrains Cabos 09-2 - 3 octobre 2009 Maceió, Alagoas, Brésil Les réseaux de distribution : un enjeu essentiel Les réseaux de distribution constituent une infrastructure

Plus en détail

Synthèse N 6. Les unités du boisénergie

Synthèse N 6. Les unités du boisénergie Mémento aquitain du bois énergie Synthèse N 6 Synthèse bibliographique Les unités du boisénergie Octobre 2013 2 Les unités du bois-énergie Objectifs : Connaître les unités du bois énergie. Clarifier les

Plus en détail

Réduction de la pollution d un moteur diesel

Réduction de la pollution d un moteur diesel AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel

Plus en détail

ENJEUX ENERGETIQUES. Le Monde et la France. L énergie dans les territoires

ENJEUX ENERGETIQUES. Le Monde et la France. L énergie dans les territoires ENJEUX ENERGETIQUES Le Monde et la France L énergie dans les territoires * Bernard LAPONCHE (Données statistiques : Enerdata) 1 Monde : Consommation d énergie primaire (2008 : 12,2 milliards de tep) Energies

Plus en détail

France Telecom SA. Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012

France Telecom SA. Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012 France Telecom SA Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012 1. Description de la personne morale concernée Raison sociale : France Telecom SA Code NAF : 6110Z / Télécommunications filaires

Plus en détail

Opportunité de co-combustion de biomasse dans une centrale charbon

Opportunité de co-combustion de biomasse dans une centrale charbon Opportunité de co-combustion de biomasse dans une centrale charbon Sophie Demassey et Paul Hugues CMA, MINES ParisTech sophie.demassey@mines-paristech.fr 1 er octobre 2014 Résumé En mai 2013, la société

Plus en détail

GLOSSAIRE PSYCHOLOGICAL AND BEHAVIORAL BARRIER

GLOSSAIRE PSYCHOLOGICAL AND BEHAVIORAL BARRIER GLOSSAIRE THEME CREST WP1 BARRIERE PSYCHOLOGIQUE ET COMPORTEMENTALE BATIMENT INTELLIGENT CAPTEURS CHANGEMENT CLIMATIQUE CHEMINEMENT EDUCATIF COMPORTEMENT CONSEIL ECHANGES PROFESSIONNELS ECO UTILISATION

Plus en détail

Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière

Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière L'impact des biocarburants sur l'effet de serre Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière Auteur(s) : Etienne POITRAT, ADEME (Agence de l'environnement

Plus en détail

MESURER LA VALEUR ET LE ROI D UN PROJET DE RÉSEAU SOCIAL D ENTREPRISE

MESURER LA VALEUR ET LE ROI D UN PROJET DE RÉSEAU SOCIAL D ENTREPRISE Livre Blanc MESURER LA VALEUR ET LE ROI D UN PROJET DE RÉSEAU SOCIAL D ENTREPRISE Une méthode opérationnelle proposée par un groupe de professionnels (DSI et experts des RSE) pour analyser la valeur d

Plus en détail

CENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE -

CENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE - CENTRE HOSPITALIER DE PERIGUEUX CHAUFFERIE BIOMASSE - Définition des enjeux - Disposer à la fin des grosses opérations de construction en cours (Tranche 1 et 2 du Plan Directeur MCO-Plateau Technique/Pôle

Plus en détail

Enjeux d une vision supply chain globale et défis associés. Yves Dallery Professeur à l Ecole Centrale Paris Associé au sein du cabinet Diagma

Enjeux d une vision supply chain globale et défis associés. Yves Dallery Professeur à l Ecole Centrale Paris Associé au sein du cabinet Diagma Enjeux d une vision supply chain globale et défis associés Yves Dallery Professeur à l Ecole Centrale Paris Associé au sein du cabinet Diagma LA VISION SUPPLY CHAIN GLOBALE COMME ENJEU DE LA COMPÉTITIVITÉ

Plus en détail

La gestion opérationnelle de la météosensibilité. La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société

La gestion opérationnelle de la météosensibilité. La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société La gestion opérationnelle de la météosensibilité La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société La société METNEXT METNEXT en bref Notre métier : L assistance aux entreprises

Plus en détail

Proposition en vue de la préparation du budget fédéral 2015

Proposition en vue de la préparation du budget fédéral 2015 Proposition en vue de la préparation du budget fédéral 2015 Recommandations pour appuyer la croissance et le développement de la production commerciale de biocarburants cellulosiques pour une économie

Plus en détail

L empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés

L empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires

Plus en détail

Le miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme. Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014

Le miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme. Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014 Le miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014 Plan de l exposé Pourquoi du miscanthus? Chaudières polycombustibles : aspects techniques

Plus en détail

Bourbon Offshore Surf

Bourbon Offshore Surf Bourbon Offshore Surf 148, rue Sainte 13007 MARSEILLE Bilan réglementaire des Emissions de Gaz à Effet de Serre EKOS Ingénierie Le Myaris - 355, rue Albert Einstein 13852 Aix en Provence Cedex 3 Tél. 04.42.27.13.63

Plus en détail

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be

Plus en détail

COMPETITIVITE ENERGETIQUE DES PMI AGRO ALIMENTAIRES Déclencher l action par la formation de 1000 dirigeants

COMPETITIVITE ENERGETIQUE DES PMI AGRO ALIMENTAIRES Déclencher l action par la formation de 1000 dirigeants COMPETITIVITE ENERGETIQUE DES PMI AGRO ALIMENTAIRES Déclencher l action par la formation de 1000 dirigeants Okavango energy 18 rue Gounod 92210 Saint-Cloud contact@okavango-energy.com tel : 09 81 02 95

Plus en détail

La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre.

La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. Contexte / Objectifs La consommation énergétique des usines de dépollution est un poste de dépense important et l un des plus émetteurs de gaz à effet de serre. A titre d exemple, pour compenser les émissions

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011

Bilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011 Bilan des émissions de gaz à effet de serre 21-211 Méthode Bilan Carbone - Rapport final - février 212 II. DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE Page 6 Sommaire I. CONTEXTE III. ANNÉE DE REPORTING ET ANNÉE

Plus en détail

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://

2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http:// 2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation

Plus en détail

De l intérêt du combustible bois pour le séchage de maïs. La nouvelle génération de centrales thermiques

De l intérêt du combustible bois pour le séchage de maïs. La nouvelle génération de centrales thermiques De l intérêt du combustible bois pour le séchage de maïs La nouvelle génération de centrales thermiques I. Quelques principes pour faire des économies La température de l air L épaisseur du grain Le refroidissement

Plus en détail

NEC Virtual PC Center

NEC Virtual PC Center NEC Virtual PC Center 24 mai 2007 Thomas LUQUET 1 Problématiques du poste client Sécurité & accès à l information Protéger l information contre les menaces internes Séparer l utilisation du PC personnel

Plus en détail

COMPTE-RENDU DE LA CRM DU 4 JUILLET 2013

COMPTE-RENDU DE LA CRM DU 4 JUILLET 2013 INTERREGION DE DIJON COMPTE-RENDU DE LA CRM DU 4 JUILLET 2013 - Déclaration préliminaire CGT (joint en annexe). - Le Directeur Interrégional, Président du Conseil de la Masse, M. BAILLET annonce que la

Plus en détail

La construction écologique

La construction écologique La construction écologique Au Visiatome le 16 octobre 2008 Par Bruno Comby Directeur de l institut Comby (IBC) Fondateur et président de l AEPN Introduction : L énergie Qu est-ce que l habitat écologique?

Plus en détail

Enjeux d une vision supply chain globale et défis associés. Yves Dallery Professeur à l Ecole Centrale Paris Associé au sein du cabinet Diagma

Enjeux d une vision supply chain globale et défis associés. Yves Dallery Professeur à l Ecole Centrale Paris Associé au sein du cabinet Diagma Enjeux d une vision supply chain globale et défis associés Yves Dallery Professeur à l Ecole Centrale Paris Associé au sein du cabinet Diagma LA VISION SUPPLY CHAIN GLOBALE COMME ENJEU DE LA COMPÉTITIVITÉ

Plus en détail

ERDF prend le virage technologique des Smart Grids

ERDF prend le virage technologique des Smart Grids Smart Grids, nos clients au cœur du réseau de demain ERDF prend le virage technologique des Smart Grids Association Carbon AT, Nantes, le 16 avril 2013 Régis LE DREZEN Regis.le-drezen@erdf-grdf.fr Film

Plus en détail

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015 Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence

Plus en détail

FICHE METIER. «Documentaliste» Documentaliste en radiodiffusion APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER

FICHE METIER. «Documentaliste» Documentaliste en radiodiffusion APPELLATION(S) DU METIER DEFINITION DU METIER Documentaliste radio «Documentaliste» APPELLATION(S) DU METIER Documentaliste en radiodiffusion DEFINITION DU METIER Le documentaliste radio exerce trois missions principales : > Il gère le fonds documentaire

Plus en détail

FORD FOCUS 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 17 19 20 21 9 3 1 1 6 4 2 5 7 8 10 23 25

Plus en détail

BILAN CARBONE 2011. avril 13. Services Technologies Industries Pour l Environnement

BILAN CARBONE 2011. avril 13. Services Technologies Industries Pour l Environnement Services Technologies Industries Pour l Environnement BILAN CARBONE 2011 avril 13 STIPE SARL SIEGE SOCIAL : 842 RUE JEAN GIONO 83600 FREJUS TEL FAX 04 94 53 55 74 AGENCE IDF : 22 RUE SADI CARNOT 92000

Plus en détail

Continent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses

Continent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses Tribune Paris, le 19 janvier 2015 Continent africain / Evaluation de préjudice Les économistes apportent des réponses à 360 degrés lors des procédures litigieuses Par Gildas de Muizon (Directeur associé)

Plus en détail

La combinaison. naturelle DAIKIN ALTHERMA HYDRIDE POMPE À CHALEUR CHAUFFAGE ET EAU CHAUDE SANITAIRE. Informations préliminaires

La combinaison. naturelle DAIKIN ALTHERMA HYDRIDE POMPE À CHALEUR CHAUFFAGE ET EAU CHAUDE SANITAIRE. Informations préliminaires La combinaison naturelle DAIKIN ALTHERMA HYDRIDE POMPE À CHALEUR CHAUFFAGE ET EAU CHAUDE SANITAIRE Informations préliminaires 2 Le futur c'est maintenant 3 et le futur est plus respectueux de l'environnement,

Plus en détail

Economies d énergies dans le milieu SANITAIRE Jeudi 31 mai 2012. 31 Mai 2012

Economies d énergies dans le milieu SANITAIRE Jeudi 31 mai 2012. 31 Mai 2012 Economies d énergies dans le milieu SANITAIRE Jeudi 31 mai 2012 31 Mai 2012 Plan Présentation d Ad3e Présentation de la mission d audit énergétique Présentation des résultats Présentation d Ad3e Qui sommes

Plus en détail

Traçant le chemin vers l Electrification de l Automobile - Les Véhicules à Pile à Combustible de GM

Traçant le chemin vers l Electrification de l Automobile - Les Véhicules à Pile à Combustible de GM Traçant le chemin vers l Electrification de l Automobile - Les Véhicules à Pile à Combustible de GM Congrès SATW, Yverdon 29-30 août 2008 G. Planche Directeur Déploiement HydroGen4, Berlin 1 Agenda La

Plus en détail

LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte

LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de

Plus en détail

Carbone Des occasions d'affaires pour les entreprises québécoises

Carbone Des occasions d'affaires pour les entreprises québécoises PLAN DE COURS FORMATION SUR LE MARCHÉ DU CARBONE POSSIBILITES DE CRÉATION DE CRÉDITS DE GAZ À EFFET DE SERRE Mise en contexte Depuis quelques années, les activités de réduction de gaz à effet de serre

Plus en détail

Le pétrole fournit 40% de l énergie mondiale. C est lui qui a régulé jusqu à présent le prix de l énergie.

Le pétrole fournit 40% de l énergie mondiale. C est lui qui a régulé jusqu à présent le prix de l énergie. ² Le pétrole fournit 40% de l énergie mondiale. C est lui qui a régulé jusqu à présent le prix de l énergie. La production mondiale d énergie exprimée en équivalent tonnes de pétrole (TEP) est de plus

Plus en détail

THEME : LE PLAN D AFFAIRE. MR. Jacob AMEMATEKPO CONSEILLER SPECIAL DU GOUVERNEUR DU DAA CHARGE DES QUESTIONS DE FINANCEMENT

THEME : LE PLAN D AFFAIRE. MR. Jacob AMEMATEKPO CONSEILLER SPECIAL DU GOUVERNEUR DU DAA CHARGE DES QUESTIONS DE FINANCEMENT THEME : LE PLAN D AFFAIRE PRESENTE PAR MR. Jacob AMEMATEKPO CONSEILLER SPECIAL DU GOUVERNEUR DU DAA CHARGE DES QUESTIONS DE FINANCEMENT 1 LE PLAN D AFFAIRE COMMENT PREPARER UN PLAN D AFFAIRE GAGNANT 2

Plus en détail

TOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN

TOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN TOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN QU EST-CE QUE LE CHAUFFAGE URBAIN? Tout simplement un chauffage central, mais à l échelle d un quartier! La chaufferie urbaine de Nemours assure la production et la

Plus en détail

Compresseurs d air à vis lubrifiées. Série R 37-160 kw (50-200 hp)

Compresseurs d air à vis lubrifiées. Série R 37-160 kw (50-200 hp) Compresseurs d air à vis lubrifiées Série R 37-160 kw (50-200 hp) L expérience au service de la performance énergétique Plus de 100 ans d innovation en matière d air comprimé Ingersoll Rand a présenté

Plus en détail

Gestion de production

Gestion de production Maurice Pillet Chantal Martin-Bonnefous Pascal Bonnefous Alain Courtois Les fondamentaux et les bonnes pratiques Cinquième édition, 1989, 1994, 1995, 2003, 2011 ISBN : 978-2-212-54977-5 Sommaire Remerciements...

Plus en détail

Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron

Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron PREFET DE l AVEYRON Amélioration de la continuité écologique sur la rivière Aveyron Réunion d information des propriétaires et des exploitants Mercredi 10 décembre 2014 Pourquoi restaurer la continuité

Plus en détail

SUPPLY CHAIN MANAGEMENT STRUCTURE & PILOTAGE DES FLUX. NRJ Nov. 2005 Page 1

SUPPLY CHAIN MANAGEMENT STRUCTURE & PILOTAGE DES FLUX. NRJ Nov. 2005 Page 1 Page 1 Robert Nondonfaz Professeur adjoint HEC-ULg Professeur invité HEMES-GRAMME Chargé de cours H.E. CHARLEMAGNE Chargé de cours H.E. TROCLET Co-responsable scientifique du programme SCM [ IAG-SBS-HEC.ULg

Plus en détail

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe

Plus en détail

ETUDE DE MARCHE DEPARTEMENTALE DIAGNOSTIC IMMOBILIER - 2010

ETUDE DE MARCHE DEPARTEMENTALE DIAGNOSTIC IMMOBILIER - 2010 ETUDE DE MARCHE DEPARTEMENTALE DIAGNOSTIC IMMOBILIER - 2010 Analyse du marché départementale : nombre de ventes et locations et chiffre d affaires, prix de la concurrence, attente des prescripteurs et

Plus en détail

Accélérer les projets de géoservices des PME. Réunion d information Paris, le 17 juillet 2014

Accélérer les projets de géoservices des PME. Réunion d information Paris, le 17 juillet 2014 ign.fr En partenariat avec Accélérer les projets de géoservices des PME 1 ère ÉDITION JUILLET 2014 Réunion d information Paris, le 17 juillet 2014 Nicolas Lambert (IGN) Eric Dubois (Cap Digital) LE PROGRAMME

Plus en détail

Le séchage des ateliers :

Le séchage des ateliers : Le séchage des ateliers : Quelles technologies et quels coûts énergétiques? Jacques GUILPART- MF Conseil j. guilpart@mfconseil.fr 06 43 44 66 28 www.mfconseil.fr Adam TCHAÏKOWSKI, Dessica a.tchaikowski@dessica.fr

Plus en détail

Se raccorder à un réseau de chaleur

Se raccorder à un réseau de chaleur L habitat COMPRENDRE Se raccorder à un réseau de chaleur Le chauffage urbain peut-il être un moyen de diminuer la facture énergétique? Édition : décembre 2013 Pourquoi pas le raccordement À UN RÉSEAU DE

Plus en détail

L OPERATION PROGRAMMEE D AMELIORATION DE L HABITAT (OPAH) Revitalisation Rurale du Pays du Ternois

L OPERATION PROGRAMMEE D AMELIORATION DE L HABITAT (OPAH) Revitalisation Rurale du Pays du Ternois L OPERATION PROGRAMMEE D AMELIORATION DE L HABITAT (OPAH) Revitalisation Rurale du Pays du Ternois L OPAH RR du Pays du Ternois est un dispositif d aides financières ouvert aux propriétaires privés occupants

Plus en détail

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret

Plus en détail

La demande d énergie dans la transition énergétique : technologies et modes de vie dans les visions de l ADEME

La demande d énergie dans la transition énergétique : technologies et modes de vie dans les visions de l ADEME La demande d énergie dans la transition énergétique : technologies et modes de vie dans les visions de l ADEME François MOISAN Directeur exécutif Stratégie, Recherche, International Directeur Scientifique

Plus en détail

LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES. Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS

LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES. Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS PEKIN TOKYO SHANGHAI NEW DELHI AHMEDABAD BANGALORE SHENZHEN

Plus en détail

FABRICATION FRANÇAISE ET NORMES PMR

FABRICATION FRANÇAISE ET NORMES PMR Limiance Dimensions extérieures : 2206 X 1667 mm (habillage extérieur compris, hors prestation hva-concept) Largeur porte : 830 mm Surface utile : 2,95 m² Poids : 920 kg (+/- 5 %) Présentation avec finition

Plus en détail

Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles

Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du

Plus en détail

PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR

PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR 2014 ACTIVITE DE CORETEC Notre principal objectif est de réduire la facture énergétique de nos 450 clients au travers

Plus en détail

V- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation Prévision à l horizon 2014

V- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation Prévision à l horizon 2014 V- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation A- Les marchés du Bâtiment à l horizon 2014 1. Scénario prospectif sur le territoire de la Les prévisions à horizon 2014 reposent sur plusieurs hypothèses

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie

CAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS

Plus en détail

RESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT

RESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT RESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT Dans un avenir marqué par : des incertitudes importantes de nature économique, énergétique et technologique, à l échelle mondiale, européenne

Plus en détail

Batteries stationnaires Saft. Une large gamme de solutions fiables et durables

Batteries stationnaires Saft. Une large gamme de solutions fiables et durables Batteries stationnaires Saft Une large gamme de solutions fiables et durables Les batteries stationnaires Saft, des solutions sur lesquelles vous pouvez compter En offrant un grand choix de technologies,

Plus en détail

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00

ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00 ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA

Plus en détail

Zoom sur La Poursuite Solaire

Zoom sur La Poursuite Solaire Zoom sur La Poursuite Solaire www.solar-tracking.com Optimiser le rendement énergétique Le réchauffement climatique mondial et la volonté commune de réduire les émissions de gaz à effet de serre ont relancé

Plus en détail

CQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions. Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification

CQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions. Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification CQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification DESIGNATION DU METIER OU DES COMPOSANTES DU METIER EN LIEN AVEC LE CQP Le titulaire

Plus en détail

Le futur compteur communicant gaz. Tout savoir sur...

Le futur compteur communicant gaz. Tout savoir sur... Le futur compteur communicant gaz Tout savoir sur... Votre distributeur de gaz naturel GrDF, Gaz Réseau Distribution France, est la filiale du groupe GDF SUEZ chargée de la gestion du réseau de distribution

Plus en détail

Appuis de l ADEME à la Transition Energétique dans les Transports

Appuis de l ADEME à la Transition Energétique dans les Transports Appuis de l ADEME à la Transition Energétique dans les Transports Jérôme CICILE Transports, Mobilité, Qualité de l Air ADEME Direction Régionale PACA ORT- Avril 2015 De l évaluation des filières énergétique

Plus en détail

LES CONTRATS EN AVICULTURE. Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1

LES CONTRATS EN AVICULTURE. Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1 LES CONTRATS EN AVICULTURE Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1 CONTEXTE, OBJECTIFS ET MÉTHODE Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 2 CONTEXTE Déficit de compétitivité français

Plus en détail

MODERNISATION DE LA LIGNE DIJON-DOLE DOSSIER DE PRESSE 14 AVRIL 2014

MODERNISATION DE LA LIGNE DIJON-DOLE DOSSIER DE PRESSE 14 AVRIL 2014 MODERNISATION DE LA LIGNE DIJON-DOLE DOSSIER DE PRESSE 14 AVRIL 2014 SOMMAIRE UN EFFORT DE MODERNISATION SANS PRECEDENT SUR LE RESEAU NATIONAL... 1-2 PRÉSENTATION TRAVAUX LIGNE DIJON-DOLE-BESANCON.....

Plus en détail

1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE

1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE CONFERENCE DERBI 1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE 1er SYSTEME SOLAIRE COMBINE La climatisation Le chauffage L eau chaude sanitaire HISTORIQUE Fin 2003 : Lancement du projet Début 2005 : 1er prototype opérationnel

Plus en détail

La dégringolade des marchés financiers et les assureurs

La dégringolade des marchés financiers et les assureurs GUYLAINE POTTIER CONSULTANTE EN ASSURANCE AUUDDI ITT EETT COONNSSEEI ILL UNNEE EEXXPPEERRTTI ISSEE OOBBJ JEECCTTI IVVEE AAUU SSEEUULL BBEENNEEFFI ICCEE DDEESS EENNTTRREEPPRRI ISSEESS Pibrac, le 5 novembre

Plus en détail

MAISON INDIVIDUELLE 2013

MAISON INDIVIDUELLE 2013 MAISON INDIVIDUELLE 2013 Analyse régionalisée du marché et des acteurs du secteur de la maison individuelle Perspectives à l horizon 2013 Les 1 100 premiers constructeurs et promoteurs du secteur Descriptif

Plus en détail

Annexe 3 Captation d énergie

Annexe 3 Captation d énergie 1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,

Plus en détail

L Univers SWIFTNet. Transformons l essai. Multiplexons les relations

L Univers SWIFTNet. Transformons l essai. Multiplexons les relations L Univers SWIFTNet Transformons l essai Multiplexons les relations High performance. Delivered. High performance. Delivered.* Globalisation de la communication bancaire Vincent.Lebeault Partner Accenture

Plus en détail

16/05/2012. 15 et 16 mai 2012

16/05/2012. 15 et 16 mai 2012 15 et 16 mai 212 Le monitoring i centralisé Par Michel Morin Coordonnateur à l énergie et à l entretien de la Commission scolaire des Samares Plan de la présentation Le monitoring énergétique? Une solution

Plus en détail

Réduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles

Réduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles Martina Kost Réduire sa consommation d énergie dans les entreprises industrielles B4E 80 rue Voltaire BP 17 93121 La Courneuve cedex Joseph Irani www.b4e.fr Tél: 01.48.36.04.10 Fax: 01.48.36.08.65 Réduire

Plus en détail

Les mesures compensatoires des atteintes à la biodiversité en France

Les mesures compensatoires des atteintes à la biodiversité en France Les mesures compensatoires des atteintes à la biodiversité en France Paris, 22 septembre 2010 SIFEE Delphine MORANDEAU Chargée de mission biodiversité Ministère de l écologie, de l énergie, du développement

Plus en détail

AMENAGEMENT DE PARIS SACLAY

AMENAGEMENT DE PARIS SACLAY AMENAGEMENT DE PARIS SACLAY Paris Saclay, un territoire du Grand Paris Paris Saclay, état initial de la frange sud du Plateau de Saclay N 1 km SACLAY CEA SAINT- AUBIN Soleil Supélec Danone Thales IOGS

Plus en détail

DEMANDE 2015 DE PRISE EN CHARGE AU PREALABLE PLAN DE FORMATION PERIODE DE PROFESSIONNALISATION FORMATION TUTEUR COMPTE PERSONNEL DE FORMATION (CPF)

DEMANDE 2015 DE PRISE EN CHARGE AU PREALABLE PLAN DE FORMATION PERIODE DE PROFESSIONNALISATION FORMATION TUTEUR COMPTE PERSONNEL DE FORMATION (CPF) >DPC Unique DEMANDE 2015 DE PRISE EN CHARGE AU PREALABLE PLAN DE FORMATION PERIODE DE PROFESSIONNALISATION FORMATION TUTEUR COMPTE PERSONNEL DE FORMATION (CPF) A RETOURNER A L ADRESSE DE VOTRE CENTRE DE

Plus en détail

PROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÉLÈVES QUESTIONS ET RÉPONSES DE L ÉVALUATION PISA 2012 DE LA CULTURE FINANCIÈRE

PROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÉLÈVES QUESTIONS ET RÉPONSES DE L ÉVALUATION PISA 2012 DE LA CULTURE FINANCIÈRE PROGRAMME INTERNATIONAL POUR LE SUIVI DES ACQUIS DES ÉLÈVES QUESTIONS ET RÉPONSES DE L ÉVALUATION PISA 2012 DE LA CULTURE FINANCIÈRE TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 3 QUESTION NIVEAU 1: FACTURE... 4

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014

CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014 CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» I.Contexte : Convaincue de l intérêt stratégique de l innovation pour le renforcement de la compétitivité des entreprises, la a lancé un appel

Plus en détail

La mise en œuvre du principe de participation du public défini à l article 7 de la charte de l environnement

La mise en œuvre du principe de participation du public défini à l article 7 de la charte de l environnement La mise en œuvre du principe de participation du public défini à l article 7 de la charte de l environnement Journée de formation commissaires enquêteurs du 14 novembre 2013 Crédit photo : Arnaud Bouissou/MEDDE

Plus en détail

Qualité de l environnement intérieur de bâtiments performants en énergie : premiers résultats d exploitation des données de la base nationale OQAI-BPE

Qualité de l environnement intérieur de bâtiments performants en énergie : premiers résultats d exploitation des données de la base nationale OQAI-BPE Qualité de l environnement intérieur de bâtiments performants en énergie : premiers résultats d exploitation des données de la base nationale OQAI-BPE DERBEZ Mickaël Chef de projet CSTB/OQAI Objectifs

Plus en détail

ITIL Gestion de la capacité

ITIL Gestion de la capacité ITIL Sommaire 1 GENERALITES 3 2 PERIMETRE DE LA GESTION DES CAPACITES 3 3 ACTIVITES ET LIVRABLES DE LA GESTION DES CAPACITES 4 3.1 ACTIVITES ITERATIVES OU GESTION DE PERFORMANCES : 4 3.2 GESTION DE LA

Plus en détail

Par: Michel Morin, coordonnateur à l énergie et à l entretien. Président du comité d énergie régional LLL.

Par: Michel Morin, coordonnateur à l énergie et à l entretien. Président du comité d énergie régional LLL. Par: Michel Morin, coordonnateur à l énergie et à l entretien. Président du comité d énergie régional LLL. Pierre Lefrancois, B.ing., consultant en gestion d énergie. Plan de la présentation La commission

Plus en détail

Mobilité et Soutien Logistique des SDIS Vers plus d efficience et d agilité

Mobilité et Soutien Logistique des SDIS Vers plus d efficience et d agilité Mobilité et Soutien Logistique des SDIS Vers plus d efficience et d agilité Journées Innovation Recherche BSPPP Matthieu LAURAS (EMAC), Cdt Florent COURREGES (SDIS81) matthieu.lauras@mines-albi.fr, florent.courreges@sdis81.fr

Plus en détail

Promouvoir l identité coopérative via la RSE? Quelques premiers résultats sur données européennes et françaises

Promouvoir l identité coopérative via la RSE? Quelques premiers résultats sur données européennes et françaises Promouvoir l identité coopérative via la RSE? Quelques premiers résultats sur données européennes et françaises Nadine Richez-Battesti (Lest et Université de la Méditerranée) nrichezbattesti@wanadoo.fr

Plus en détail

UNE REFLEXION PREALBLE

UNE REFLEXION PREALBLE UNE REFLEXION PREALBLE NOUS N AVONS JAMAIS ETE AUSSI RICHES IL N Y A JAMAIS EU AUTANT DE PAUVRES QUI GERE LA REPARTITION? 1 ÉNERGIE ET TRANSITION Comprendre la situation est facile Ce qu il faut faire

Plus en détail