COMMENTAIRE INTRODUCTIF SUR LA SEQUENCE, SUR LES POINTS IMPORTANTS A RETENIR. La première section consacrée aux choix fondamentaux de l'organisation

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "COMMENTAIRE INTRODUCTIF SUR LA SEQUENCE, SUR LES POINTS IMPORTANTS A RETENIR. La première section consacrée aux choix fondamentaux de l'organisation"

Transcription

1 COMMENTAIRE INTRODUCTIF SUR LA SEQUENCE, SUR LES POINTS IMPORTANTS A RETENIR. La première section consacrée aux choix fondamentaux de l'organisation doit vous permettre de comprendre quel est le véritable rôle des structures et quelles sont les décisions à prendre. Elle s'articule autour de cinq décisions qui sont essentielles. Mais avant de les aborder, précisons que le terme d'organisation possède ici un double sens. Par organisation il faut à la fois entendre la volonté et le processus qui conduit à définir une organisation, et le résultat de celui-ci. Les cinq questions que nous posons concernent tant le processus que son résultat. 1- Comment spécialiser le travail et quel type de spécialisation choisir? On retrouve là des questions chères aux théories des organisations et vous pouvez lire avec intérêt dans le dossier les développements consacrés aux théoriciens classiques TAYLOR et FAYOL. Vous devez bien comprendre que la question de la spécialisation du travail se pose à tous les niveaux de l'entreprise. Elle concerne aussi bien la direction générale lorsqu'elle choisit un type de départementalisation (par fonction ou par division) que le responsable de service qui décide de spécialiser ou de ne pas spécialiser ses collaborateurs par client, produit ou technologie. La spécialisation verticale, c'est-à-dire le nombre de niveaux hiérarchiques dépend, cela est souligné dans l'ouvrage, de l'éventail de subordination. Apportons quelques compléments. L éventail de subordination (span of control) indique le nombre de collaborateurs rattachés directement à un supérieur hiérarchique. Pour les auteurs classiques, il existe un nombre optimal de collaborateurs qu un supérieur hiérarchique pourrait efficacement diriger. Cette limite s expliquerait par la saturation du nombre de relations qu une personne peut valablement entretenir, l élargissement de l éventail de contrôle se traduisant par une multiplication des relations verticales entre le chef et ses subordonnés, mais aussi des relations horizontales entre ceux-ci.

2 tableau: Eventail de subordination et relations potentielles En fait, le problème de la définition de l éventail de subordination ne se pose pas en termes arithmétiques, mais plutôt en termes organisationnels. L éventail de contrôle est en interdépendance avec d autres variables organisationnelles. La hauteur de l organigramme définit le nombre de niveaux hiérarchiques du P.D.G. au chef d équipe. L on retient le service qui a le plus de niveaux. Deux études portant sur des entreprises anglaises [WOODWARD] et françaises [KALIKA] nous renseignent sur les pratiques des entreprises (% arrondis). nombre de niveaux hiérarchiques entreprises anglaises entreprises françaises &plus 5% 23% 34% 16% 12% 5% 21% 37% 24% 13%

3 Le nombre de niveaux hiérarchiques est une variable clé de l organisation dans la mesure où il conditionne la longueur de la ligne hiérarchique. Il traduit la division verticale du travail. La longueur de la ligne hiérarchique dépend : - des effectifs de l entreprise et des besoins de coordination par la supervision directe. - du besoin de responsables ayant un niveau de qualification plus élevé. - de l éventail de subordination (cf. ci-dessous) 2- Où situer l'autorité? Question classique et importante dans les organisations puisqu'il s'agit en pratique de répartir le pouvoir. C'est probablement sur ce thème que l'évolution des conceptions et des pratiques a été la plus sensible. L'on passe, en effet de plus en plus, d'une autorité unique et centralisée (cf. FAYOL) à une autorité répartie, partagée, éclatée. 3- Faut-il décentraliser et jusqu'où? Question récurrente dans les entreprises, celle du niveau de prise de décision. La tendance lourde des dernières décennies a été dans le sens d'une plus grande décentralisation, notamment pour des raisons de motivation des personnels et d'adaptation aux nécessités de l'environnement. On peut se demander si la conjoncture actuelle n'a pas provoqué dans les entreprises un effet inverse. Vous verrez en lisant les développements du manuel que le sujet est complexe et qu'il existe diverses formes de décentralisation. On notera qu actuellement, les développements liés aux TIC (technologies de l information et de la communication) peuvent faciliter une centralisation des décisions. Ainsi, si l on observe ce qui se passe en matière d achat dans les entreprises, on note une tendance à la centralisation des choix de fournisseurs accompagnée d une décentralisation des décisions de quantités achétées (e-procurement). 4- Comment coordonner? C'est probablement actuellement la question qui préoccupe le plus les organisateurs d'entreprises. En effet, la croissance de la taille des entreprises, l'autonomie dont disposent les différents services, renforce les besoins de coordination. L'actualité nous montre qu'une des difficultés majeures que rencontrent de nombreuses entreprises réside dans la coordination mal maîtrisée entre les services. Combien de campagnes de publicité réalisées au moment où les produits ne sont pas sur les linéaires des hypermarchés ou dans les points de vente des réseaux de franchises? Combien de produits développés par des chercheurs ou des techniciens sans que le

4 marketing ou la distribution ne soient consultés? Le succès de L Oréal ne s explique-t-il pas par cette exceptionnelle capacité à coordonner les fonctions marketing et Recherche et Développement (R&D)? C'est pour ces raisons que les structures évoluent vers la transversalité. Complément sur les modes de coordination. Ceux-ci dépendent en effet de la complexité des problèmes et des effectifs concernés comme le montre le schéma suivant: Mode de coordination en fonction de la complexité des problèmes et des effectifs concernés Complexité des problèmes + Ajustement mutuel Standardisation des qualifications Standardisation des résultats - Ajustement mutuel Supervision directe Standardisation du travail - + Effectifs concernés 5- Quel équilibre trouver entre différenciation et intégration? C'est une question que nous considérons comme essentielle... mais sans réponse! Soyons sérieux, nous voulons dire qu'il s'agit là d'une question à laquelle il n'existe pas de réponse simple et définitive. Vous le comprendrez, les concepts de différenciation et d'intégration sont plus larges que la spécialisation ou la division du travail et la coordination. Ils sont également plus riches d'implication et d'enseignement. Considérez les comme des clés fondamentales de compréhension de l'organisation. Le schéma suivant illustre cette relation.

5 Structure Division du travail et spécialisation + Coordination Différenciation Intégration En conclusion, vous devez savoir qu'il n'existe pas en matière de structure de réponse unique et définitive aux cinq questions posées. Tout dépend, vous l'avez compris des circonstances, du contexte propre à l'entreprise. Vous remarquerez d'ailleurs assez fréquemment dans les entreprises des phénomènes de balancier. Cela montre bien qu'en la matière de bonnes capacités de réflexion valent mieux que des certitudes! Le thème des formes de structure retenues par les entreprises ( les structures dans la pratique) et des facteurs qui les déterminent ( les facteurs de contingence) est amplement développé dans le manuel et nous n'allons pas ici l'alourdir. Deux remarques cependant, l'une d'ordre conceptuel, l'autre liée à l'actualité du thème traité : - En matière de types de structure, de profils de structure, vous trouverez deux types de typologies de nature différente. Il existe, d'une part, des classements de structures que nous qualifierons d'empiriques, car ils résultent de l'observation des entreprises. C'est le cas des typologies d'organigrammes proposées dans le manuel. IL existe, d'autre part, des classements conceptuels, comme celui de MINZTBERG, plus inspirés par les travaux

6 théoriques réalisés par les chercheurs. Il s'agit là, de ce que WEBER appellerait des modèles-idéaux types qui "idéalisent", schématisent les traits des structures. C'est pourquoi il est parfois difficile de retrouver ces formes exactes dans les entreprises. - Sur le plan de l'actualité, si le thème des formes structurelles n'est pas nouveau, il faut souligner qu'il prend actuellement un intérêt particulier au travers des questions de "gouvernement de l'entreprise" (corporate governance). Notons, pour terminer, que les points abordés ici sont importants et d'actualité. Il suffit pour s'en convaincre de consulter certains articles de presse pour observer que les entreprises en crise connaissent des problèmes organisationnels. De cette séquence vous devez retenir : 1. Les avantages et les inconvénients de la spécialisation. 2. Les différents types de spécialisation du travail. 3. Les différentes formes de répartition de l'autorité. 4. Les différentes formes de décentralisation. 5. Les avantages et les inconvénients de la décentralisation/centralisation. 6. Les formes de coordination. 7. L'importance de la différenciation et de l'intégration dans le fonctionnement des structures. 8. Les formes types et les facteurs de contingence

Dès qu'une action atteint un certain degré de complexité ou qu'il s'agit d'actions collectives il est nécessaire d'organiser, c'est-à-dire de diviser et coordonner. L'organisation suppose donc division

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données

Plus en détail

TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut?

TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut? TPE/PME : comment me situer et justifier de mon statut? Vérification du statut de PME par les micro, petites et moyennes entreprises au sens du règlement REACH Ce document est traduit et librement adapté

Plus en détail

LES DÉTERMINANTS DE MATRICES

LES DÉTERMINANTS DE MATRICES LES DÉTERMINANTS DE MATRICES Sommaire Utilité... 1 1 Rappel Définition et composantes d'une matrice... 1 2 Le déterminant d'une matrice... 2 3 Calcul du déterminant pour une matrice... 2 4 Exercice...

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

CHAPITRE 14 LA DIVERSITÉ ET L ORGANISATION DES RÉSEAUX D UNITÉS COMMERCIALES.

CHAPITRE 14 LA DIVERSITÉ ET L ORGANISATION DES RÉSEAUX D UNITÉS COMMERCIALES. CHAPITRE 14 LA DIVERSITÉ ET L ORGANISATION DES RÉSEAUX D UNITÉS COMMERCIALES. I. L organisation en réseau. A. Définition. Un réseau est un ensemble organisé d unités commerciales (UC) liées par des intérêts

Plus en détail

Les artisans du bâtiment : une profession aux multiples facettes

Les artisans du bâtiment : une profession aux multiples facettes Les artisans du bâtiment : une profession aux multiples facettes principaux résultats de l'étude Artiscan 4000 conduite par DEVELOPPEMENT CONSTRUCTION sur les artisans du bâtiment L'artisanat du bâtiment

Plus en détail

Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie.

Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie. C HAPI TRE 8 Tableau de bord et reporting Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie. 1 Principes A Le tableau

Plus en détail

GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE

GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE La logistique représentait traditionnellement l activité allant de la mise à disposition des produits finis par l usine ou le négociant jusqu à la

Plus en détail

PLAN. --> PDV (Promotion de ventes) et PLV (Publicité sur lieu de vente)

PLAN. --> PDV (Promotion de ventes) et PLV (Publicité sur lieu de vente) COURS N 4 : LA POLITIQUE DE DISTRIBUTION COURS DE MARKETING / Cours n 4 : La politique de distribution --> MSG / IAE --> Novembre 2005 1 --> Introduction --> Les fonctions de la distribution --> Canal

Plus en détail

CIRCULAIRE N Mesdames et Messieurs les préfets de régions et de départements

CIRCULAIRE N Mesdames et Messieurs les préfets de régions et de départements Paris le, Le ministre de l'intérieur, le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie et la ministre de l'aménagement du territoire et de l'environnement CIRCULAIRE N Mesdames et Messieurs les

Plus en détail

Les obligations des entreprises multinationales et leurs sociétés membres

Les obligations des entreprises multinationales et leurs sociétés membres Justitia et Pace Institut de Droit international Session de Lisbonne - 1995 Les obligations des entreprises multinationales et leurs sociétés membres (Quinzième Commission, Rapporteur : M. Andreas Lowenfeld)

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1

Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1 Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une

Plus en détail

Analyse Financière. Séance 1/ L'information comptable et la lecture financière du bilan

Analyse Financière. Séance 1/ L'information comptable et la lecture financière du bilan Analyse Financière Module de 27h. Projets de groupe ( analyse financière de quelques entreprises du CAC40 ). CC : 40% Participation (20%), contrôle intermédiaire (40%), projet à rendre ( 40% ) CF : 60%

Plus en détail

Les outils classiques de diagnostic stratégique

Les outils classiques de diagnostic stratégique Chapitre I Les outils classiques de diagnostic stratégique Ce chapitre présentera les principaux outils de diagnostic stratégique dans l optique d aider le lecteur à la compréhension et à la manipulation

Plus en détail

Management par les processus Introduction et définitions. Lionel Di Maggio Master 1 MIAGE

Management par les processus Introduction et définitions. Lionel Di Maggio Master 1 MIAGE Management par les processus Introduction et définitions Lionel Di Maggio Master 1 MIAGE 1 Le fonctionnement du cours Cours ou TD tous les vendredi après-midi Pause de 10 mn Téléphone éteint La presentation

Plus en détail

LE DEVENIR DES DIPLOMÉS

LE DEVENIR DES DIPLOMÉS LE DEVENIR DES DIPLOMÉS Finalité : Professionnelle Situation professionnelle deux ans après l obtention d un master 2 Les enquêtes sur le devenir des diplômés du master «Marketing, publicité et communication»,

Plus en détail

Gestion de la Relation Client (GRC)

Gestion de la Relation Client (GRC) Techniques de DM pour la GRC dans les banques Page 2 I.1 Introduction La gestion de la relation client est devenue un processus essentiel dans les institutions bancaires. Ils essaient toujours d améliorer

Plus en détail

Comité national d évaluation du rsa Annexes

Comité national d évaluation du rsa Annexes Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont

Plus en détail

a) La technique de l analyse discriminante linéaire : une brève présentation. 3 étapes de la méthode doivent être distinguées :

a) La technique de l analyse discriminante linéaire : une brève présentation. 3 étapes de la méthode doivent être distinguées : a) La technique de l analyse discriminante linéaire : une brève présentation. Nous nous limiterons ici à l'analyse discriminante linéaire et à deux groupes : - linéaire, la variante utilisée par ALTMAN

Plus en détail

L Entreprise Mobile Charles-Henri Besseyre des Horts

L Entreprise Mobile Charles-Henri Besseyre des Horts L Entreprise Mobile Charles-Henri Besseyre des Horts Professeur Titulaire de la Chaire «Mobilité & Organisation» HEC-Toshiba Directeur Scientifique du MS HEC part-time «Management Stratégique RH» 1 Plan

Plus en détail

Chapitre 10. Architectures des systèmes de gestion de bases de données

Chapitre 10. Architectures des systèmes de gestion de bases de données Chapitre 10 Architectures des systèmes de gestion de bases de données Introduction Les technologies des dernières années ont amené la notion d environnement distribué (dispersions des données). Pour reliér

Plus en détail

Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC EN CÖTE D'IVOIRE. Des origines ä nos jours. Preface de Joseph Y. Yao

Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC EN CÖTE D'IVOIRE. Des origines ä nos jours. Preface de Joseph Y. Yao Patrick K. N'Gouan TRESOR PUBLIC ET POLITIQUE FINANCIERE EN CÖTE D'IVOIRE Des origines ä nos jours Preface de Joseph Y. Yao L'Harmattan TABLE DES MATIERES Avant-propos 7 Preface 9 Sigles et abreviations

Plus en détail

Diagnostic CRM en 2 parties. Votre organisation a-t-elle besoin d un CRM? Quels sont vos besoins?

Diagnostic CRM en 2 parties. Votre organisation a-t-elle besoin d un CRM? Quels sont vos besoins? Diagnostic CRM en 2 parties Votre organisation a-t-elle besoin d un CRM? Quels sont vos besoins? Votre organisation a-t-elle besoin d un CRM? Perspective courte durée. L important c est la vente L approche

Plus en détail

LES BANQUES. I. Les différents services proposés par les banques :

LES BANQUES. I. Les différents services proposés par les banques : LES BANQUES I. Les différents services proposés par les banques : Les services bancaires représentent l ensemble des produits proposés par une banque. Les services bancaires les plus connus sont : Epargne

Plus en détail

Arithmétique binaire. Chapitre. 5.1 Notions. 5.1.1 Bit. 5.1.2 Mot

Arithmétique binaire. Chapitre. 5.1 Notions. 5.1.1 Bit. 5.1.2 Mot Chapitre 5 Arithmétique binaire L es codes sont manipulés au quotidien sans qu on s en rende compte, et leur compréhension est quasi instinctive. Le seul fait de lire fait appel au codage alphabétique,

Plus en détail

P résentation. L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines. La Gestion des Ressources Humaines (collection Les Zoom s)

P résentation. L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines. La Gestion des Ressources Humaines (collection Les Zoom s) P résentation L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines est développé dans le livre rédigé par Chloé Guillot-Soulez et publié dans la même collection : La Gestion des

Plus en détail

OPTIMISATION À UNE VARIABLE

OPTIMISATION À UNE VARIABLE OPTIMISATION À UNE VARIABLE Sommaire 1. Optimum locaux d'une fonction... 1 1.1. Maximum local... 1 1.2. Minimum local... 1 1.3. Points stationnaires et points critiques... 2 1.4. Recherche d'un optimum

Plus en détail

Les opérations binaires

Les opérations binaires Les opérations binaires Compétences associées A2 : Analyser et interpréter une information numérique Objectifs Etre capable: - De coder les nombres entiers en code complément à 2. - De résoudre les opérations

Plus en détail

Comprendre les enjeux actuels. et les defis futurs. Carine Bouthevillain Gilles Dufrenot. Philippe Froute Laurent Paul. Preface de Michel Bouvier

Comprendre les enjeux actuels. et les defis futurs. Carine Bouthevillain Gilles Dufrenot. Philippe Froute Laurent Paul. Preface de Michel Bouvier Les politiques budgetaires dans la crise Comprendre les enjeux actuels et les defis futurs Carine Bouthevillain Gilles Dufrenot Philippe Froute Laurent Paul Preface de Michel Bouvier ^ ECONOMIQUES in W

Plus en détail

TPE et PME : comment me situer et justifier de mon statut?

TPE et PME : comment me situer et justifier de mon statut? DRC- 10-107725 - 03911 A mars 2010 TPE et PME : comment me situer et justifier de mon statut? Vérification du statut de PME par les micro, petites et moyennes entreprises au sens du règlement REACH Ce

Plus en détail

L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ

L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ L ANALYSE EN COMPOSANTES PRINCIPALES (A.C.P.) Pierre-Louis GONZALEZ INTRODUCTION Données : n individus observés sur p variables quantitatives. L A.C.P. permet d eplorer les liaisons entre variables et

Plus en détail

Sécuriser les données 1

Sécuriser les données 1 Sécuriser les données 1 Table des matières 1. LES DONNEES: LE NERF DE LA GUERRE.... 3 1.1. VOS DONNEES SONT MENACEES... 3 1.2. UNE SAUVEGARDE C'EST QUOI?... 3 1.3. LA DIFFICULTE DE LA SAUVEGARDE... 3 2.

Plus en détail

La division horizontale du travail traite de la question du degré de spécialisation ou de polyvalence du travail. Partie 3. L organisation du travail

La division horizontale du travail traite de la question du degré de spécialisation ou de polyvalence du travail. Partie 3. L organisation du travail Les théories des organisations portent sur la division du travail. On distingue la division du travail horizontale et la division du travail verticale. Partie 3. L organisation du travail La division horizontale

Plus en détail

Cahier de charge application cartographie (base de données des acteurs et des lieux culturels)

Cahier de charge application cartographie (base de données des acteurs et des lieux culturels) Cahier de charge application cartographie (base de données des acteurs et des lieu culturels) Page 1 sur 19 TABLE DES MATIERES Cahier de charge application cartographie... 1 (base de données des acteurs

Plus en détail

quelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI?

quelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI? LA GOUVERNANCE DES PME-PMI Gérard CHARREAUX Professeur de Sciences de Gestion à 1 Université de Bourgogne, Dijon PREAMBULE Il est probable que vous vous interrogez sur l'apport des recherches en matière

Plus en détail

DÉVELOPPEMENT INFONUAGIQUE - meilleures pratiques

DÉVELOPPEMENT INFONUAGIQUE - meilleures pratiques livre blanc DÉVELOPPEMENT INFONUAGIQUE MEILLEURES PRATIQUES ET APPLICATIONS DE SOUTIEN DÉVELOPPEMENT INFONUAGIQUE - MEILLEURES PRATIQUES 1 Les solutions infonuagiques sont de plus en plus présentes sur

Plus en détail

TD 3 : suites réelles : application économique et nancière

TD 3 : suites réelles : application économique et nancière Mathématiques Appliquées Cours-TD : K. Abdi, M. Huaulmé, B. de Loynes et S. Pommier Université de Rennes 1 - L1 AES - 009-010 TD 3 : suites réelles : application économique et nancière Exercice 1 Calculer

Plus en détail

Chiffres clés de l assurance transport 2011 réalisés par l ABAM

Chiffres clés de l assurance transport 2011 réalisés par l ABAM Chiffres clés de l assurance transport 2011 réalisés par l ABAM Contenu 1. Facultés : la Belgique reste dans le top 15... 2 2. La branche CMR reste dans le vert... 3 3. Corps fluviaux... 4 4. Corps maritimes...

Plus en détail

DESCRIPTION DU PROGRAMME PLATO

DESCRIPTION DU PROGRAMME PLATO Opération PLATO Programme 2008-2009 Un tremplin pour les PME / PMI Dossiier «ENTREPRISE» 1 DESCRIPTION DU PROGRAMME PLATO 1- DESCRIPTION DU PROGRAMME PLATO L'origine de PLATO PLATO est un programme de

Plus en détail

UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL

UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 01/017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL Les présentes règles s inscrivent dans le cadre réglementaire national défini par les tetes

Plus en détail

A. Définition et formalisme

A. Définition et formalisme Les cardinalités et les différents types d'associations I. Les cardinalités A. Définition et formalisme Les cardinalités sont des couples de valeur que l'on trouve entre chaque entité et ses associations

Plus en détail

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles.

Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Contributions françaises à la problématique internationale de la protection sociale des travailleurs informels et de leurs familles. Un groupe de travail se réunit sous la Présidence de Pierre BURBAN au

Plus en détail

Centre d Analyse Stratégique

Centre d Analyse Stratégique Centre d Analyse Stratégique Choix d une complémentaire santé Le regard des Assurés et des Entreprises 7 juillet 2009 Centre d Analyse Stratégique Tristan KLEIN Perrine FREHAUT Contacts TNS Sofres Emmanuel

Plus en détail

DOSSIER DE DOSSIER PRESSE DE PRESSE

DOSSIER DE DOSSIER PRESSE DE PRESSE -- DOSSIER DE DOSSIER PRESSE DE PRESSE SOMMAIRE un peu d histoire le concept chiffres clés 2015 notre solution globale comment ça marche notre identité 2 - VirtualExpo.com un peu d histoire VirtualExpo,

Plus en détail

ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION

ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et

Plus en détail

Les Contrats Collectifs face aux nouvelles normes sociales et fiscales

Les Contrats Collectifs face aux nouvelles normes sociales et fiscales En clair COMPLÉMENTAIRES SANTÉ / PRÉVOYANCE Les Contrats Collectifs face aux nouvelles normes sociales et fiscales Quand la Prévoyance vous appartient. Sommaire Exonération des cotisations Sociales...

Plus en détail

Note partielle sur le E-Commerce

Note partielle sur le E-Commerce Note partielle sur le E-Commerce (Centrée sur le marché de l habillement ; source : IFM 2011) 1. Remarques générales ; quelques définitions et orientations 1. Les Pure Player Il s agit du commerce en ligne

Plus en détail

Contexte : «l e-business» TECHNIQUES DE MARKETING EN LIGNE. Contexte : «l e-business» Création de valeur 02/02/12

Contexte : «l e-business» TECHNIQUES DE MARKETING EN LIGNE. Contexte : «l e-business» Création de valeur 02/02/12 Contexte : «l e-business» TECHNIQUES DE MARKETING EN LIGNE La notion «d E-Business» recouvre les différentes applications possibles de l'informatique faisant appel aux technologies de l'information et

Plus en détail

Pourquoi l apprentissage?

Pourquoi l apprentissage? Pourquoi l apprentissage? Les SE sont basés sur la possibilité d extraire la connaissance d un expert sous forme de règles. Dépend fortement de la capacité à extraire et formaliser ces connaissances. Apprentissage

Plus en détail

2 Grad Info Soir Langage C++ Juin 2007. Projet BANQUE

2 Grad Info Soir Langage C++ Juin 2007. Projet BANQUE 2 Grad Info Soir Langage C++ Juin 2007 Projet BANQUE 1. Explications L'examen comprend un projet à réaliser à domicile et à documenter : - structure des données, - objets utilisés, - relations de dépendance

Plus en détail

LA COMPTABILITE PATRIMONIALE. des milieux naturels et culturels : des différences mais une logique de base

LA COMPTABILITE PATRIMONIALE. des milieux naturels et culturels : des différences mais une logique de base LA COMPTABILITE PATRIMONIALE des milieu naturels et culturels : des différences mais une logique de base Des travau s'engagent, depuis quelques années, pour élaborer des comptabilités patrimoniales et,

Plus en détail

Christophe CANDILLIER Cours de DataMining mars 2004 Page 1

Christophe CANDILLIER Cours de DataMining mars 2004 Page 1 Christophe CANDILLIER Cours de DataMining mars 2004 age 1 1. Introduction 2. rocessus du DataMining 3. Analyse des données en DataMining 4. Analyse en Ligne OLA 5. Logiciels 6. Bibliographie Christophe

Plus en détail

TEST ET RÉGLAGE DES SUSPENSIONS

TEST ET RÉGLAGE DES SUSPENSIONS TEST ET RÉGLAGE DES SUSPENSIONS Généralités En règle générale, toutes les suspensions pour les motos standard sont réglées pour un conducteur d'un poids moyen de 70 kg. Généralement, le poids moyen du

Plus en détail

ETUDE DE CAS PROJET CRM DU GROUPE PASSION BEAUTE

ETUDE DE CAS PROJET CRM DU GROUPE PASSION BEAUTE Master 2 Marketing Communication et Stratégies Commerciales CRM & E Business - Session octobre 2011 Alexandra Vignolles ETUDE DE CAS PROJET CRM DU GROUPE PASSION BEAUTE Opportunité et complexité de la

Plus en détail

Circulaire du 7 juillet 2009

Circulaire du 7 juillet 2009 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l économie, de l industrie et de l emploi NOR : ECEC0907743C Circulaire du 7 juillet 2009 concernant les conditions d application de l arrêté du 31 décembre 2008 relatif

Plus en détail

Article L 132-9 du code des assurances modifié par la loi n 2007-1775 du 17 décembre 2007 elle même intervenue après la loi du 5 mars 2007

Article L 132-9 du code des assurances modifié par la loi n 2007-1775 du 17 décembre 2007 elle même intervenue après la loi du 5 mars 2007 Normal 0 21 false false false MicrosoftInternetExplorer4 LEGISLATION RECENTE EN MATIERE D ASSURANCE-VIE Article L 132-9 du code des assurances modifié par la loi n 2007-1775 du 17 décembre 2007 elle même

Plus en détail

Nomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2. Section M Division 70

Nomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2. Section M Division 70 Nomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2 Section M Division 70 70 ACTIVITÉS DES SIÈGES SOCIAUX ; CONSEIL DE GESTION Cette division comprend le conseil et l'assistance à des entreprises et autres organisations

Plus en détail

Finance et performance des jeunes viticulteurs : les conséquences pour l installation

Finance et performance des jeunes viticulteurs : les conséquences pour l installation Finance et performance des jeunes viticulteurs : Julien Cadot, ISG Paris 1 Introduction A un moment ou un autre, le candidat à l installation en viticulture doit se poser la question du revenu qu il va

Plus en détail

LE MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES

LE MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES LE MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES Principe : A partir d'un cahier des charges, concevoir de manière visuelle les différents liens qui existent entre les différentes données. Les différentes étapes de réalisation.

Plus en détail

«Bases de données géoréférencées pour la gestion agricole et environnementale en Roumanie»

«Bases de données géoréférencées pour la gestion agricole et environnementale en Roumanie» «Bases de données géoréférencées pour la gestion agricole et environnementale en Roumanie» Dr. Alexandru BADEA Directeur Applications Spatiales Agence Spatiale Roumaine Tél : +40(0)744506880 alexandru.badea@rosa.ro

Plus en détail

Partie 2 : Qui crée la monnaie?

Partie 2 : Qui crée la monnaie? Partie 2 : Qui crée la monnaie? Marché monétaire Masse monétaire Banque centrale Prêteur en dernier ressort Notions clés I. La mesure de la création monétaire : la masse monétaire La masse monétaire n

Plus en détail

Synchroniser le son et la vidéo dans Lightworks

Synchroniser le son et la vidéo dans Lightworks Formation de Duduf http://www.duduf.training Ce document n est qu un résumé, un pense-bête, d un bout de formation dispensée par Duduf. Il réunit les principaux points théoriques à retenir sans être exhaustif,

Plus en détail

INTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre

INTRODUCTION. 1. L innovation permet de renforcer la compétitivité de l entreprise et influe sur les stratégies mises en oeuvre INTRODUCTION Il y a 20 ans, toute l attention de l entreprise se portait sur la diminution des coûts et la maîtrise des filières de production autour des produits standardisés. Dans les années 1990, le

Plus en détail

Sylvie Guessab Professeur à Supélec et responsable pédagogique du Mastère Spécialisé en Soutien Logistique Intégré des Systèmes Complexes

Sylvie Guessab Professeur à Supélec et responsable pédagogique du Mastère Spécialisé en Soutien Logistique Intégré des Systèmes Complexes Préface Toute personne est un jour confrontée à devoir prendre une décision, qu il s agisse de l étudiant qui réfléchit à son orientation académique, du chercheur qui doit privilégier une option scientifique

Plus en détail

Tutoriel - flux de facturation

Tutoriel - flux de facturation 1 of 12 17.01.2007 01:41 Tutoriel - flux de facturation Le schéma ci-dessous illustre le flux de facturation classique : Lors de la création d'une facture, elle possède l'état de brouillon, ce qui veut

Plus en détail

Analyse du jeu des acteurs

Analyse du jeu des acteurs Analyse du jeu des acteurs Pr Lotfi Bouzaïane Pr Rim Mouelhi Projet de M2PA Université Virtuelle de Tunis 2008 Analyse du jeu des acteurs Objectifs de la séquence : Initier les étudiants à l'utilisation

Plus en détail

AGENT DE VOIRIE POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE MISSIONS

AGENT DE VOIRIE POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE MISSIONS Direction des Ressources humaines AGENT DE VOIRIE DANS UN CENTRE D EXPLOITATION DÉPARTEMENTAL POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE Direction : Direction des Routes Service : Centre Technique Départemental

Plus en détail

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises. R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,

Plus en détail

Les nouveaux métiers de la Communication

Les nouveaux métiers de la Communication 2. Les nouveaux métiers de la Communication Marketing is Dead Méthodologie Cette étude a été réalisée en deux temps > Une première phase qualitative réalisée avec un groupe de 15 annonceurs > Une seconde

Plus en détail

Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP

Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP 1- Sécurité civile et police administrative L activité opérationnelle des sapeurs pompiers s exercent dans le cadre de la police administrative. La police administrative

Plus en détail

LES METHODES D ESTIMATION DES VALEURS VENALES : L INCIDENCE DE LA CONJONCTURE

LES METHODES D ESTIMATION DES VALEURS VENALES : L INCIDENCE DE LA CONJONCTURE L Actualité Juridique de la Propriété Immobilière 10 Septembre 1996 LES METHODES D ESTIMATION DES VALEURS VENALES : L INCIDENCE DE LA CONJONCTURE par François ROBINE - Expert près de la Cour d appel de

Plus en détail

Province du Nouveau Brunswick

Province du Nouveau Brunswick Province du Nouveau Brunswick Ministère des gouvernements locaux- Adoption des normes du CCSP Conseils portant sur les commissions de gestion des déchets solides, les commissions d'aménagement et les zones

Plus en détail

ANALYSE DU RISQUE DE CRÉDIT

ANALYSE DU RISQUE DE CRÉDIT ANALYSE DU RISQUE DE CRÉDIT Banque & Marchés Cécile Kharoubi Professeur de Finance ESCP Europe Philippe Thomas Professeur de Finance ESCP Europe TABLE DES MATIÈRES Introduction... 15 Chapitre 1 Le risque

Plus en détail

Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles?

Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles? CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 7 mai 2015 à 13:59 Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles? Introduction Regards croisés? car apports de la science économique (économie de la firme)

Plus en détail

LA METHODE DE L'ARBRE DES CAUSES

LA METHODE DE L'ARBRE DES CAUSES LA METHODE DE L'ARBRE DES CAUSES ANALYSER LES INCIDENTS/ACCIDENTS LA METHODE DE L'ARBRE DES CAUSES Par Jean-Pierre HECKMANN D'après un document de l'iuta de l'université de Bordeaux SOMMAIRE I. HISTORIQUE

Plus en détail

FRANCHISE, COOPÉRATION ET ORGANISATION EN RÉSEAU

FRANCHISE, COOPÉRATION ET ORGANISATION EN RÉSEAU FRANCHISE, COOPÉRATION ET ORGANISATION EN RÉSEAU 1. LE RÉSEAU COMME FORME D ORGANISATION L objet de cet articles est de comprendre, à l aide de concepts théoriques simples, pourquoi la forme organisationnelle

Plus en détail

INTRODUCTION GENERALE AU MARKETING

INTRODUCTION GENERALE AU MARKETING INTRODUCTION GENERALE AU MARKETING 1. La notion de marché 2. La définition du Marketing et du Marketing - Mix 3. Les fonctions de l entreprise 4. La stratégie push ( fonction de production ) 5. La stratégie

Plus en détail

FctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines

FctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines FctsAffines.nb 1 Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008 Fonctions affines Supports de cours de mathématiques de degré secondaire II, lien hpertete vers la page mère http://www.deleze.name/marcel/sec2/inde.html

Plus en détail

PROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE <<MESURES D ACCOMPAGNEMENT>> (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE)

PROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE <<MESURES D ACCOMPAGNEMENT>> (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE) 1 PROJET D ELECTRIFICATION RURALE PAR RESEAU SBEE (MISSION D INTERMEDIATION SOCIALE) STRATEGIE DE DISTRIBUTION DES CARTES PREPAYEES 2 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION... 3 1.

Plus en détail

2. CONSTRUIRE LE CONCEPT DE. la dialectique enseigner / apprendre

2. CONSTRUIRE LE CONCEPT DE. la dialectique enseigner / apprendre 2. CONSTRUIRE LE CONCEPT DE NOMBRE, OUI MAIS COMMENT? la dialectique enseigner / apprendre 1 un modèle d'apprentissage : Piaget psychologie du développement sujet milieu (d'apprentissage) équilibre élément

Plus en détail

Améliorer la performance des ressources de la production par la TPM

Améliorer la performance des ressources de la production par la TPM Dossier paru dans la tribune de l'industrie des Editions WEKA N 29 Mars 2006 Améliorer la performance des ressources de la production par la TPM La mise en place d'une démarche TPM nécessite plusieurs

Plus en détail

ANALYSE DU BESOIN. L ANALYSE FONCTIONNELLE par Jean-Marie VIRELY & all (ENS Cachan) Cette présentation décrit l outil «Analyse du Besoin».

ANALYSE DU BESOIN. L ANALYSE FONCTIONNELLE par Jean-Marie VIRELY & all (ENS Cachan) Cette présentation décrit l outil «Analyse du Besoin». -- Cette présentation décrit l outil «Analyse du Besoin». AA-GC-CL-JMV Page mis à jour le oct 00 L'objectif L'Analyse du Besoin est une méthode qui permet de caractériser le besoin exprimé -- L objet est

Plus en détail

Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration

Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration Arnaud Marchand et Olivier Jérusalmy Réseau Financité L attirance des Belges pour le compte d épargne est loin d être fortuite. Deux facteurs principaux

Plus en détail

De l idée au produit acheté

De l idée au produit acheté De l idée au produit acheté les ressorts d une démarche de vente orientée clients : le «full house marketing concept» Parce que le produit acheté n est pas celui qui est vendu......les hommes de marketing

Plus en détail

Complémentaire Santé. Assurance Santé, Prévoyance, Retraite : risques perçus, risques assurés

Complémentaire Santé. Assurance Santé, Prévoyance, Retraite : risques perçus, risques assurés Complémentaire Santé 9 Français sur 10 estiment être bien couverts alors même qu ils ne connaissent pas exactement les frais de santé restant réellement à leur charge 9 Français sur 10 déclarent être couverts

Plus en détail

PROFESSEUR ENCADRANT: M. Abdellatif CHAKOR

PROFESSEUR ENCADRANT: M. Abdellatif CHAKOR UNIVERSITE MOHAMMED V -Agdal Rabat- École Doctorale de Gestion Exposé en GESTION ET ORGANISATION DES ENTREPRISES sous le thème: PROFESSEUR ENCADRANT: M. Abdellatif CHAKOR REALISE PAR : Meriama EDA-AIF

Plus en détail

Question 1: Informations sur la personne ou entité interrogée

Question 1: Informations sur la personne ou entité interrogée Juin 2013 QUESTIONNAIRE REPONSE DES AUTORITES FRANCAISES CONSULTATION SUR LES RÉSULTATS DE L ÉTUDE SUR LA SITUATION ACTUELLE ET LES PERSPECTIVES DES SOCIÉTÉS MUTUELLES EN EUROPE Question 1: Informations

Plus en détail

Chapitre 4 : les stocks

Chapitre 4 : les stocks Chapitre 4 : les stocks Stocks et actifs Une entreprise achète généralement des biens pour les utiliser dans son processus de production, ce sont les matières premières et les fournitures, elle peut également

Plus en détail

Chapitre Ier : Qualifications.

Chapitre Ier : Qualifications. G / Vte fds comm forma Décret n 98-246 du 2 avril 1998 relatif à la qualification professionnelle exigée pour l'exercice des activités prévues à l'article 16 de la loi n 96-603 du 5 juillet 1996 relative

Plus en détail

Une fonction ressources humaines performante?*

Une fonction ressources humaines performante?* Une fonction ressources humaines performante?* Depuis quelques années, les services du personnel ont pour la plupart été rebaptisés en départements Ressources humaines, sous l influence des tendances observées

Plus en détail

LES BONNES PRATIQUES DE LA RELATION CLIENTS

LES BONNES PRATIQUES DE LA RELATION CLIENTS LES BONNES PRATIQUES DE LA RELATION CLIENTS 1. Améliorez votre efficacité commerciale pour augmenter le taux de réussite de vos devis 80% du temps d un commercial n est pas affecté à la vente (Proudfoot

Plus en détail

Stéphanie Dupays. du fait de stratégies individuelles ou familiales ou bien de contraintes liées aux changements

Stéphanie Dupays. du fait de stratégies individuelles ou familiales ou bien de contraintes liées aux changements En un quart de siècle, la mobilité sociale a peu évolué Stéphanie Dupays En 2003, un homme âgé de 40 à 59 ans sur trois a une position sociale identique à celle de son père au même âge. Ce chiffre cache

Plus en détail

LES BONNES PRATIQUES DE LA RELATION CLIENTS

LES BONNES PRATIQUES DE LA RELATION CLIENTS LES BONNES PRATIQUES DE LA RELATION CLIENTS Lorsque la conjoncture économique est plus dure, l'entreprise ne peut plus se permettre de gérer approximativement ses prospects et ses clients. Chaque dossier

Plus en détail

Colloque International IEMA-4

Colloque International IEMA-4 Comment mettre en place un dispositif coordonné d intelligence collective au service de la stratégie de l entreprise. Conférence de Mr. Alain JUILLET - Le 17/05/2010 IEMA4 Pour ne pas rester dans les banalités

Plus en détail

Entités contrôlées Gouvernements locaux du Nouveau-Brunswick. Octobre 2010

Entités contrôlées Gouvernements locaux du Nouveau-Brunswick. Octobre 2010 Entités contrôlées Gouvernements locaux du Nouveau-Brunswick Octobre 2010 Points à l'ordre du jour Pourquoi la consolidation est-elle nécessaire? Détermination du contrôle exercé Types d'entités Méthodes

Plus en détail

Suite dossier d appel

Suite dossier d appel Suite dossier d appel Table des matières 1. INTRODUCTION... 3 2. TRAITEMENT D'UN APPEL... 4 2.1. TRAITEMENT EN DIRECT... 4 2.2. TRAITEMENT DIFFERE... 4 2.3. MECANISME DU TRAITEMENT D'UN APPEL AU NIVEAU

Plus en détail

L OPTIMISATION DU MARKETING GRÂCE À PIVOTAL CRM

L OPTIMISATION DU MARKETING GRÂCE À PIVOTAL CRM LIVRE BLANC L OPTIMISATION DU MARKETING GRÂCE À PIVOTAL CRM Une situation optimale pour la force de vente et pour le marketing LIVRE BLANC OPTIMISATION DU MARKETING 2 A PROPOS Au cours des dernières années,

Plus en détail

Objet : Mise en place d'un régime collectif de remboursement de frais de santé à adhésion obligatoire.

Objet : Mise en place d'un régime collectif de remboursement de frais de santé à adhésion obligatoire. Raison Sociale : SIRET : Adresse : À, le / / Objet : Mise en place d'un régime collectif de remboursement de frais de santé à adhésion obligatoire. Madame, Monsieur, La Direction de l'entreprise 1 a pris

Plus en détail

L entreprise virtuelle

L entreprise virtuelle L entreprise virtuelle 1 2 Vers l entreprise virtuelle. Quel management de l entreprise virtuelle? L entreprise virtuelle L entreprise virtuelle. Conventional Organization Virtual Organization Technologies

Plus en détail