Gestion de la relation industrielle au GANIL

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Gestion de la relation industrielle au GANIL"

Transcription

1 Gestion de la relation industrielle au GANIL Marie-Hélène MOSCATELLO Journées Infrastructures de Recherche 25 Mars Paris 1/15

2 Présentation du GANIL Ganil et les relations industrielles Applications industrielles avec les faisceaux du GANIL Transfert de technologie vers les industriels Contrats de collaboration avec les industriels Réseau normand de l Innovation Implication du GANIL dans l Incubateur Normand Journées Infrastructures de Recherche 25 Mars Paris 2/15

3 Une Très Grande Installation de Recherche (TGIR) pluridisciplinaire pour la recherche française, européenne et mondiale Physique Nucléaire Astrophysique Nucléaire Physique Atomique Matière Condensée Chimie sous rayonnement Radiobiologie Physique appliquée Transfert de technologie Applications industrielles Trois fois plus de demandes que de faisceaux disponibles Journées Infrastructures de Recherche 25 Mars Paris 3/15

4 Schéma GANIL-SPIRAL2 SPIRAL2 GANIL-SPIRAL Complexe Accélérateur Unique au monde 5 expériences en Parallèle Fonctionnement X2 + de 1000 utilisateurs GANIL Journées Infrastructures de Recherche 25 Mars Paris 4/15

5 Installation SPIRAL2 LINAC: 33MeV p 40 MeV d 14.5 AMeV HI Under commissionning Neutrons For Science Under construction S3 separator-spectrometer Under construction DESIR Facility low energy RIB To be constructed in 2017 A/q=3 HI source Up to 1mA A/q=2 source p, d, 3,4 He 5mA Existing GANIL facility HRS+RFQ Cooler RIB Production Cave Up to fiss./sec. Under Reconsideration CIME cyclotron RIB at 1-20 AMeV (up to 10 AMeV for fiss.fragments) Journées Infrastructures de Recherche 25 Mars Paris 5/15

6 Applications industrielles avec les faisceaux du GANIL Entreprises de: Allemagne, Belgique, Suède, Chine Configuration expérimentale pour les membranes micro-poreuses fenêtre inox (10 mm) Dérouleur de membranes faisceau (vide) faisceau quelques cm dans l air Film polymère L intensité des faisceaux du GANIL permet une production de 100 m²/h Journées Infrastructures de Recherche 25 Mars Paris 6/15

7 Applications industrielles avec les faisceaux du GANIL Test et durcissement de composants électroniques pour l espace Ils font leurs tests au GANIL: Airbus/Atmel, CNES, EADS, ESA, INFINEON, TRAD, ST Microelectronics Le support d échantillons avec ses 3 degrés de liberté L heure de faisceau est vendue aux industriels au «prix du marché» (coût marginal) Le nombre d installations concerné est faible (2 en Europe, 1 aux USA, 1 en Russie mais très peu accessible) Journées Infrastructures de Recherche 25 Mars Paris 7/15

8 Transfert de technologie Transfert de technologie : Sources d ions «ECR» GANIL (CEA-CNRS) Accélérateur de particules Sources d ions Création de PANTECHNIK 1991: C. Bieth et C.Detraz : Recapitalisation (Saphyn, IBA, SOMINEX) + Fondateurs 2015: 9 salariés; leader mondial Collaboration forte entre le GANIL et Pantechnik Accord de confidentialité Brevets GANIL (CEA-CNRS) 5 déposés, 1 en cours, 1 en projet 3 licences d exploitation PANTECHNIK (>2014) une «globale» signée mi 2014 Contrat de collaboration recherche (le 2 nd ) en cours Autres transferts en cours, sur des techniques d accélérateurs (brevet, savoir-faire) Journées Infrastructures de Recherche 25 Mars Paris 8/15

9 Contrats de collaboration avec les industriels PANTECHNIK: Contrat de collaboration recherche (le 2 nd ) en cours sur le développement d un nouveau type de source d ions ECR EdF: contrat de collaboration de recherche sur les études de tenues aux rayonnements d équipements (forte implication du CIMAP) CYCLHAD (programme ARCHADE): contrat de collaboration de recherche -> expertise du GANIL (projets, accélérateurs) -> faisceaux pour R&D en hadronthérapie Autres contrats en cours de discussion Journées Infrastructures de Recherche 25 Mars Paris 9/15

10 Le programme ARCHADE Hadronthérapie: radiothérapie par hadrons; par extension, avec des ions légers (Carbone): des accélérateurs de particules pour soigner le cancer. Projet en région de Centre de Recherche et de Ressources pour l hadronthérapie en lien avec l industrie : Volet scientifique: Soins en protons Recherche en ions légers (Carbone) Volet industriel: Création d une filière bas-normande pour la conception, la réalisation et la commercialisation de ces dispositifs, basés sur des cyclotrons (expertise du GANIL) Journées Infrastructures de Recherche 25 Mars Paris 10/15

11 Le réseau normand de l innovation Journées Infrastructures de Recherche 25 Mars Paris 11/15

12 Implication du GANIL dans l incubateur normand Aide à la création d entreprises: Approche mutualisée 3 Membres fondateurs Normandie Incubation (créé en 2000 par Université Caen, ENSICAEN, GANIL) Incubateur d entreprises Région, Etat, Europe 85 projets, 66 entreprises, taux de survie:83% (MN:73%) 365 emplois dont 60% Docteurs & Ingénieurs 20 M de CA cumulé Données fin 2014 EP2I (Etape de Pré-Incubation et Innovation) -> 2015 Aide à la maturation de projets dans les labos Région et Europe 6 à 8 projets par an Depuis fin 2015, Normandie Valorisation GANIL est membre du bureau de Normandie Incubation, et membre des comités de sélection des projets pour l incubation Journées Infrastructures de Recherche 25 Mars Paris 12/15

13 NUCLEOPOLIS Entreprises Pôle des Sciences Nucléaires et de leurs applications Recherche Formation Journées Infrastructures de Recherche 25 Mars Paris 13/15

14 1978, GANIL au milieu des champs Journées Infrastructures de Recherche 25 Mars Paris 14/15

15 Aujourd hui Journées Infrastructures de Recherche 25 Mars Paris 15/15

DOCUMENT STRATEGIE SCIENTIFIQUE GANIL/SPIRAL2

DOCUMENT STRATEGIE SCIENTIFIQUE GANIL/SPIRAL2 1/34 DOCUMENT STRATEGIE SCIENTIFIQUE GANIL/SPIRAL2 Ind. Date Historique des modifications A 19/12/2012 Émission initiale Rédacteur Adjoint Direction à la Coordination scientifique SPIRAL2 H. SAVAJOLS Directeur

Plus en détail

Introduction. Installation de SPIRAL

Introduction. Installation de SPIRAL JOURNEES ACCELERATEURS Roscoff 20/22 mars 2000 PROJET SPIRAL : LE POINT M.P. Bourgarel, P. Bertrand, C. Barué, D. Bibet, B. Bru, A. Chabert, F. Chautard, M. Di Giacomo, M. Duval,G. Gaubert, S. Gibouin,

Plus en détail

Advanced Resource Centre for Hadrontherapy in Europe PROJET SCIENTIFIQUE

Advanced Resource Centre for Hadrontherapy in Europe PROJET SCIENTIFIQUE 1 Advanced Resource Centre for Hadrontherapy in Europe PROJET SCIENTIFIQUE ARCHADE / Ion Beam Applications (IBA) Coordination : Pr. J. Bourhis Rédaction : E Baron, A. Batalla, J. Bourhis, J. Colin, D.

Plus en détail

a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov

a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov V. Les réactions r thermonucléaires 1. Principes a. Fusion et énergie de liaison des noyaux b. La barrière Coulombienne c. Effet tunnel & pic de Gamov 2. Taux de réactions r thermonucléaires a. Les sections

Plus en détail

HADRONTHERAPIE PAR IONS CARBONE

HADRONTHERAPIE PAR IONS CARBONE HADRONTHERAPIE PAR IONS CARBONE Annexes au rapport préliminaire Février 2010 Service évaluation des actes professionnels 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis La Plaine CEDEX Tél. : 01 55 93 70

Plus en détail

LE NUCLEAIRE POUR L'ENERGIE ET LA SANTE : VERS UN POLE D'EXCELLENCE EN BASSE-NORMANDIE

LE NUCLEAIRE POUR L'ENERGIE ET LA SANTE : VERS UN POLE D'EXCELLENCE EN BASSE-NORMANDIE LE NUCLEAIRE POUR L'ENERGIE ET LA SANTE : VERS UN POLE D'EXCELLENCE EN BASSE-NORMANDIE AVIS du Conseil Economique et Social Régional de Basse-Normandie adopté par 66 voix pour, 1 contre et 2 abstentions

Plus en détail

Principe ALARA mis en place lors de la phase de conception des cyclotrons. Ch. Bouvy; J-M. Geets; B. Nactergal 11/06/14

Principe ALARA mis en place lors de la phase de conception des cyclotrons. Ch. Bouvy; J-M. Geets; B. Nactergal 11/06/14 Principe ALARA mis en place lors de la phase de conception des cyclotrons Ch. Bouvy; J-M. Geets; B. Nactergal 11/06/14 Table des matières Société IBA Vue d ensemble Procédure Product Life Management (PLM)

Plus en détail

Rad4Med.be, premier acteur global dans le nucléaire médical

Rad4Med.be, premier acteur global dans le nucléaire médical Bruxelles, 15 octobre 2013 Communiqué de presse Rad4Med.be, premier acteur global dans le nucléaire médical La radioactivité au service de la médecine, un savoir-faire belge qui s exporte dans le monde

Plus en détail

Mon métier, mon parcours

Mon métier, mon parcours Mon métier, mon parcours Les métiers de la Physique Le domaine Sciences, Technologies, Santé Alexis, chargé de recherche diplômé d un Master Physique du rayonnement et de la matière et d un Doctorat en

Plus en détail

FR9807031 SPIRAL. Système de Production d'ions Radioactifs Accélérés en Ligne. Marcel Lieuvin - GAN1L-14021 CAEN Cedex

FR9807031 SPIRAL. Système de Production d'ions Radioactifs Accélérés en Ligne. Marcel Lieuvin - GAN1L-14021 CAEN Cedex 288 SPIRAL FR9807031 Système de Production d'ions Radioactifs Accélérés en Ligne Marcel Lieuvin - GAN1L-14021 CAEN Cedex 1 Les ions radioactifs, pour quelle recherche? Les atomes radioactifs intéressent

Plus en détail

Stratégie régionale de recherche et d innovation pour une spécialisation intelligente en Basse-Normandie 2014-2020

Stratégie régionale de recherche et d innovation pour une spécialisation intelligente en Basse-Normandie 2014-2020 Stratégie régionale de recherche et d innovation pour une spécialisation intelligente en Basse-Normandie 2014-2020 SYNTHÈSE OPÉRATIONNELLE UNION EUROPÉENNE Document de travail au 25 février 2014 Document

Plus en détail

Équivalence masse-énergie

Équivalence masse-énergie CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en

Plus en détail

Synthèse de l étude de la filière nucléaire

Synthèse de l étude de la filière nucléaire Synthèse de l étude de la filière nucléaire en Basse-Normandie Une filière structurante pour le territoire Des savoir-faire spécifiques développés par les entreprises Une conjoncture qui joue en faveur

Plus en détail

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément

Plus en détail

TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée

TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.

Plus en détail

Les activités de Recherche et Développement sur les sources d ions au LPSC

Les activités de Recherche et Développement sur les sources d ions au LPSC Les activités de Recherche et Développement sur les sources d ions au LPSC 1. Introduction aux Source d ions ECR 2. Booster de Charge 3. LBE Spiral2 et source d ions lourds Q/A=1/3 4. R&D 60 GHz 5. Projet

Plus en détail

Janvier 2011. recherche et innovation un autre visage de la basse-normandie

Janvier 2011. recherche et innovation un autre visage de la basse-normandie Janvier 2011 recherche et innovation un autre visage de la basse-normandie Supplément Ne peut être vendu séparément sommaire Le cahier 2 de «La Recherche» ne peut être vendu séparément du cahier 1 (LR

Plus en détail

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement

Plus en détail

P17- REACTIONS NUCLEAIRES

P17- REACTIONS NUCLEAIRES PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules

Plus en détail

Groupe Areva Usine de La Hague Métier CNP

Groupe Areva Usine de La Hague Métier CNP Groupe Areva Usine de La Hague Métier CNP Jean-Christophe Dalouzy ANP 17 Novembre 2014 Rencontres Jeunes Chercheurs Sommaire Présentation du groupe AREVA Présentation du cycle du combustible Présentation

Plus en détail

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)

De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

Recherche et Formation dans un environnement de pointe. Contact: Eric.Beaugnon@ujf-grenoble.fr

Recherche et Formation dans un environnement de pointe. Contact: Eric.Beaugnon@ujf-grenoble.fr Recherche et Formation dans un environnement de pointe Contact: Eric.Beaugnon@ujf-grenoble.fr 1 Grenoble: forte synergie recherche formation relations industrielles Années 8 International training courses

Plus en détail

Physique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale

Physique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale Physique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale Mention : Physique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale Nature de la formation :

Plus en détail

ROYAUME DU MAROC. Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique

ROYAUME DU MAROC. Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique ROYAUME DU MAROC Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique UNIVERSITE : Hassan II ETABLISSEMENT : Faculté de Médecine &

Plus en détail

Travailler ensemble : Coopération, Collaboration, Coordination

Travailler ensemble : Coopération, Collaboration, Coordination Travailler ensemble : Coopération, Collaboration, Coordination Emmeric DUPONT Comment travailler dans un environnement de plus en plus irrationnel complexe et contraint? 20 ans de la SCM, Paris, 11-12

Plus en détail

La physique nucléaire et ses applications

La physique nucléaire et ses applications La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension

Plus en détail

Ingénierie Audits & Conseils Etudes de risques Formations

Ingénierie Audits & Conseils Etudes de risques Formations Ingénierie Audits & Conseils Etudes de risques Formations FICHE D IDENTITE. DE LA SOCIETE ZI Daudel 17, rue Jean-Baptiste Colbert 26700 PIERRELATTE Tél : 04.75.27.94.84 - Fax : 04.75.27.96.92 contact.f@phenix-conseils.com

Plus en détail

La «smart valley» De Minatec à GIANT en passant par Campus et Minalogic 21/01/2010. Micro- nanotechnologies and embedded software Nanoelectronics

La «smart valley» De Minatec à GIANT en passant par Campus et Minalogic 21/01/2010. Micro- nanotechnologies and embedded software Nanoelectronics La «smart valley» De Minatec à GIANT en passant par Campus et Minalogic 21/01/2010 www.minalogic.com About Minalogic Domain Location Micro- nanotechnologies and embedded software Nanoelectronics Grenoble/France,

Plus en détail

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015

Energie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015 Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la

Plus en détail

DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION

DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)

Plus en détail

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2

Lycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la

Plus en détail

Communiqué de presse Information réglementée

Communiqué de presse Information réglementée IBA PUBLIE SES RESULTATS DU 1 ER SEMESTRE 2015 PROGRESSION DES VENTES DE 23,3 % ET PREVISIONS DE CROISSANCE 2015 REVUES A LA HAUSSE Louvain-La-Neuve, Belgique, 27 août 2015 - IBA (Ion Beam Applications

Plus en détail

8/10/10. Les réactions nucléaires

8/10/10. Les réactions nucléaires Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que

Plus en détail

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie

Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie

Plus en détail

Quelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand

Quelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand Quelques liens entre l'infiniment petit et l'infiniment grand Séminaire sur «les 2» au CNPE (Centre Nucléaire de Production d'électricité) de Golfech Sophie Kerhoas-Cavata - Irfu, CEA Saclay, 91191 Gif

Plus en détail

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis

Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron. à Saint-Louis Document d information dans le cadre de l installation d un cyclotron à Saint-Louis Cancers & imagerie médicale Un progrès majeur pour une meilleure prise en charge des patients. Accroitre les possibilités

Plus en détail

Le savoir-faire du Centre d Études Nucléaires de Bordeaux-Gradignan au service d une mission spatiale internationale

Le savoir-faire du Centre d Études Nucléaires de Bordeaux-Gradignan au service d une mission spatiale internationale Le savoir-faire du Centre d Études Nucléaires de Bordeaux-Gradignan au service d une mission spatiale internationale La naissance de la mission internationale GLAST Observer des étoiles et des planètes,

Plus en détail

Mise en Forme des Matériaux Polymères Polymer Processing. Philippe Cassagnau

Mise en Forme des Matériaux Polymères Polymer Processing. Philippe Cassagnau Mise en Forme des Matériaux Polymères Polymer Processing Philippe Cassagnau Que dit Internet? http://mediamef.utt.fr Mise en forme des polymères: Approche thermomécanique de la plasturgie ANTEC, the plastic

Plus en détail

GLOSSAIRE PSYCHOLOGICAL AND BEHAVIORAL BARRIER

GLOSSAIRE PSYCHOLOGICAL AND BEHAVIORAL BARRIER GLOSSAIRE THEME CREST WP1 BARRIERE PSYCHOLOGIQUE ET COMPORTEMENTALE BATIMENT INTELLIGENT CAPTEURS CHANGEMENT CLIMATIQUE CHEMINEMENT EDUCATIF COMPORTEMENT CONSEIL ECHANGES PROFESSIONNELS ECO UTILISATION

Plus en détail

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les

Plus en détail

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE

A retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4

Plus en détail

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES

U-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie

Plus en détail

Sensibilisation à la protection contre les rayonnements ionisants

Sensibilisation à la protection contre les rayonnements ionisants Sensibilisation à la protection contre les rayonnements ionisants version 2010 Formateur: Patrice Charbonneau Pourquoi une sensibilisation Code du travail 2008 (ex 2003-296) relatif à la protection des

Plus en détail

Pourquoi un fort intérêt de l industrie du pneumatique pour les nanomatériaux?

Pourquoi un fort intérêt de l industrie du pneumatique pour les nanomatériaux? Pourquoi un fort intérêt de l industrie du pneumatique pour les nanomatériaux? Les faits nous interpellent! En 1950 il y avait 50 millions de véhicules sur terre En 2009 : il y a 800 millions de véhicules

Plus en détail

LES FORMATIONS A LA RADIOPROTECTION

LES FORMATIONS A LA RADIOPROTECTION LES FORMATIONS A LA RADIOPROTECTION NSTN Paul LIVOLSI 2 AVRIL 2014, CERN - GENÈVE DE QUOI PARLE T-ON? Sécurité Nucléaire Sûreté INB RADIOPROTECTION Prévention et lutte contre les actes de malveillance

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

3 Charges électriques

3 Charges électriques 3 Charges électriques 3.1 Electrisation par frottement Expérience : Frottons un bâton d ébonite avec un morceau de peau de chat. Approchonsle de petits bouts de papier. On observe que les bouts de papier

Plus en détail

Groupe professionnel énergie de Centrale Nantes Intergroupe des centraliens de l énergie

Groupe professionnel énergie de Centrale Nantes Intergroupe des centraliens de l énergie Groupe professionnel énergie de Centrale Nantes Intergroupe des centraliens de l énergie Conférence du 19 mai 2006 rue Jean Goujon, 19h certitudes et incertitudes sur la fusion nucléaire - rôle d ITER

Plus en détail

Animations. Liste des 114 animations et 145 vidéos présentes dans la Banque de Ressources Physique Chimie Lycée. Physique Chimie Seconde

Animations. Liste des 114 animations et 145 vidéos présentes dans la Banque de Ressources Physique Chimie Lycée. Physique Chimie Seconde Animations Physique Chimie Seconde Extraction de l'eugénol La nature inspire les hommes Identification de principes actifs Identification d'une espèce chimique Support de l'exercice - Colorants alimentaires

Plus en détail

Transformations nucléaires

Transformations nucléaires I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière

Plus en détail

Analyse des incidents

Analyse des incidents Analyse des incidents Formation B-Quanum 26/06/2012 N. Jacques Coordinatrice Qualité CMSE Introduction Contexte Contrat SPF Coordinateur qualité Médecine nucléaire Hôpital = Entreprise à Haut Risque Efficacité

Plus en détail

c-max le monte escalier universel monter et descendre les escaliers en toute sécurité

c-max le monte escalier universel monter et descendre les escaliers en toute sécurité c-max le monte escalier universel monter et descendre les escaliers en toute sécurité www.aat-online.de La mobilité est un facteur important de votre qualité de vie. Les escaliers ne doivent pas constituer

Plus en détail

LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE

LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE Enseignement : 1 ère STL Mesures et instrumentation Thème : Instrumentation : Instruments de mesure, chaîne de mesure numérique Notions et contenus :

Plus en détail

INSTITUT D OPTIQUE GRADUATE SCHOOL

INSTITUT D OPTIQUE GRADUATE SCHOOL INTÉGREZ LA LUMIÈRE INSTITUT D OPTIQUE GRADUATE SCHOOL UNE GRANDE ÉCOLE SCIENTIFIQUE TROIS DIPLÔMES POUR FORMER AU MEILLEUR NIVEAU INTERNATIONAL en partenariat avec les universités de Paris-Saclay, Saint-Étienne

Plus en détail

Martin Pohl. CAP Space Projects. Martin Pohl Journée de réflexion du DPNC 18 juin 2012 DEPARTEMENT DE PHYSIQUE NUCLEAIRE ET CORPUSCULAIRE.

Martin Pohl. CAP Space Projects. Martin Pohl Journée de réflexion du DPNC 18 juin 2012 DEPARTEMENT DE PHYSIQUE NUCLEAIRE ET CORPUSCULAIRE. CAP Space Projects Martin Pohl Journée de réflexion du DPNC 18 juin 2012 Page 1 CAP Genève Science Astrophysique de haute énergie Cosmologie Physique des particules Physique des astro-particules: Rayons

Plus en détail

La méthode de l amortissement direct

La méthode de l amortissement direct Cours 8 (STS, J.-M. Schwab) L amortissement Méthodes et calculs d'amortissements Les biens d une entreprise se déprécient par l usure, par l extinction d un droit (brevet, licence, exclusivité) ou plus

Plus en détail

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique

Energie nucléaire. Quelques éléments de physique Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par

Plus en détail

:SPECIMEN SPECIMEN SUPPLÉMENT AU DIPLÔME (ANNEXE DESCRIPTIVE AU DIPLÔME)

:SPECIMEN SPECIMEN SUPPLÉMENT AU DIPLÔME (ANNEXE DESCRIPTIVE AU DIPLÔME) ########### : La présente annexe descriptive au diplôme (supplément au Université de La Rochelle diplôme) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l Europe et l UNESCO/CEPES.

Plus en détail

52 53 L état de l Enseignement supérieur et de la Recherche n 4 [édition 2010]

52 53 L état de l Enseignement supérieur et de la Recherche n 4 [édition 2010] 21 Le financement de la recherche nationale par des crédits budgétaires absorbe en 0,75 % des moyens budgétaires de l État à travers les établissements publics de R&D et les mesures d aide et d incitation

Plus en détail

UNIVERSITE DE BREST Référence GALAXIE : 4201

UNIVERSITE DE BREST Référence GALAXIE : 4201 UNIVERSITE DE BREST Référence GALAXIE : 4201 Numéro dans le SI local : 6300MCF0617 Référence GESUP : 0617 Corps : Maître de conférences Article : 26-I-1 Chaire : Non Section 1 : 63-Génie électrique, électronique,

Plus en détail

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire

Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie

Plus en détail

HABILITATION A DIRIGER DES RECHERCHES Sandrine Courtin. Structures Exotiques et Mécanismes de Réactions entre Ions Lourds àlabarrière de Coulomb

HABILITATION A DIRIGER DES RECHERCHES Sandrine Courtin. Structures Exotiques et Mécanismes de Réactions entre Ions Lourds àlabarrière de Coulomb HABILITATION A DIRIGER DES RECHERCHES présentée par Sandrine Courtin Spécialité :PhysiqueNucléaire Structures Exotiques et Mécanismes de Réactions entre Ions Lourds àlabarrière de Coulomb soutenue le 14

Plus en détail

développement innovation

développement innovation phases d un projet de recherche développement innovation Programme, projet et opération Programme : un ensemble de projets concourant à un même objectif. Projet : un ensemble finalisé d activités et d

Plus en détail

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)

Plus en détail

Jeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur

Jeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur PROJET JANUS Jeunes en Apprentissage pour la réalisation de Nanosatellites au sein des Universités et des écoles de l enseignement Supérieur Contact : alain.gaboriaud@cnes.fr OBJECTIFS Satellites Etudiants

Plus en détail

Nouveaux! Analyseurs de COT M9

Nouveaux! Analyseurs de COT M9 Intègre également la mesure de Conductivité de l échantillon! Nouveaux! Analyseurs de COT M9 Record de Productivité Les outils qui optimisent la productivité sont essentiels pour mieux organiser vos journées

Plus en détail

Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées

Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi Les solutions envisagées Laurent PINARD Responsable Technique Laboratoire des Matériaux Avancés - Lyon 1 Plan de l exposé Introduction Virgo, les

Plus en détail

PHY113 : Cours de Radioactivité 2009-2010

PHY113 : Cours de Radioactivité 2009-2010 Cours de Radioactivité Le but de ce cours est de permettre aux étudiants qui seront amenés à utiliser des sources radioactives d acquérir les bases de la radioactivité. Aussi bien au niveau du vocabulaire

Plus en détail

Région Haute-Normandie. Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie

Région Haute-Normandie. Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie Région Haute-Normandie Plan régional pour l internationalisation des entreprises en Haute-Normandie Novembre 2013 ! "# $"% &%'' $ (')#!*+,*'-#&+,./ 0 $1&/2+,(.'1&/2+,(.'' 3,/,// 4 (553 5#+' 2 '+ 0 6 #

Plus en détail

Chap 2 : Noyaux, masse, énergie.

Chap 2 : Noyaux, masse, énergie. Physique. Partie 2 : Transformations nucléaires. Dans le chapitre précédent, nous avons étudié les réactions nucléaires spontanées (radioactivité). Dans ce nouveau chapitre, après avoir abordé le problème

Plus en détail

LES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.

LES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol. LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont

Plus en détail

ITER et la fusion. R. A. Pitts. ITER Organization, Plasma Operation Directorate, Cadarache, France

ITER et la fusion. R. A. Pitts. ITER Organization, Plasma Operation Directorate, Cadarache, France ITER et la fusion R. A. Pitts ITER Organization, Plasma Operation Directorate, Cadarache, France This report was prepared as an account of work by or for the ITER Organization. The Members of the Organization

Plus en détail

Innover plus et mieux Maintenir et développer les activités industrielles sur nos territoires

Innover plus et mieux Maintenir et développer les activités industrielles sur nos territoires Les Jeudis de l économie Chambre de Commerce et d Industrie Territoriale d Alençon Innover plus et mieux Maintenir et développer les activités industrielles sur nos territoires Olivier GAUSSENS Chef projet

Plus en détail

Interactions des rayonnements avec la matière

Interactions des rayonnements avec la matière UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

The space to start! Managed by

The space to start! Managed by The space to start! Managed by ESA Business Incubation Centers (ESA BICs) : un programme de soutien à la création d entreprises L Agence Spatiale Européenne (ESA) dispose d un programme de transfert de

Plus en détail

Capteurs. centrales nucléaires. de température pour. performances. fiabilité. Sûreté. La mesure de vos exigences

Capteurs. centrales nucléaires. de température pour. performances. fiabilité. Sûreté. La mesure de vos exigences Capteurs de température pour centrales nucléaires Sûreté fiabilité performances La mesure de vos exigences Pyro-Contrôle l expertise d un précurseur Dès la fin des années 1970, Pyro-Contrôle s illustre

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

LES FILIERES DE LA DECONSTRUCTION ET DU DEMANTELEMENT NUCLEAIRE LE DEMANTELEMENT NUCLEAIRE EN BASSE-NORMANDIE

LES FILIERES DE LA DECONSTRUCTION ET DU DEMANTELEMENT NUCLEAIRE LE DEMANTELEMENT NUCLEAIRE EN BASSE-NORMANDIE LES FILIERES DE LA DECONSTRUCTION ET DU DEMANTELEMENT NUCLEAIRE LE DEMANTELEMENT NUCLEAIRE EN BASSE-NORMANDIE AVIS du Conseil Economique, Social et Environnemental Régional de Basse-Normandie adopté à

Plus en détail

Où est passée l antimatière?

Où est passée l antimatière? Où est passée l antimatière? CNRS-IN2P3 et CEA-DSM-DAPNIA - T1 Lors du big-bang, à partir de l énergie disponible, il se crée autant de matière que d antimatière. Alors, où est passée l antimatière? Existe-t-il

Plus en détail

Radioactivité et chimie nucléaire

Radioactivité et chimie nucléaire Radioactivité et chimie nucléaire ) Rappels sur la structure de l atome et du noyau D après le modèle lacunaire de Rutherford, l atome se subdivise en deux parties : - le noyau : minuscule grain de matière

Plus en détail

La Fusion Nucléaire (Tokamak) Nicolas Carrard Jonathan Carrier Guillomet 12 novembre 2009

La Fusion Nucléaire (Tokamak) Nicolas Carrard Jonathan Carrier Guillomet 12 novembre 2009 La Fusion Nucléaire (Tokamak) Nicolas Carrard Jonathan Carrier Guillomet 12 novembre 2009 La matière L atome Les isotopes Le plasma Plan de l exposé Réactions nucléaires La fission La fusion Le Tokamak

Plus en détail

Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement

Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l

Plus en détail

FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 16 Y a-t-il quelqu un pour sauver le principe de conservation de l énergie?

FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 16 Y a-t-il quelqu un pour sauver le principe de conservation de l énergie? FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 16 Y a-t-il quelqu un pour sauver le principe de conservation de l énergie? Type d'activité Activité avec démarche d investigation, étude documentaire (synthèse

Plus en détail

Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire.

Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire. Performances énergétiques de capteurs solaires hybrides PV-T pour la production d eau chaude sanitaire. Patrick DUPEYRAT 1,2*, Yu BAI 3,4, Gérald KWIATKOWSKI 5, Gilles FRAISSE 3 Christophe MENEZO 2,3 et

Plus en détail

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)

SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance

Plus en détail

W i r e l e s s B o d y S c a l e - i B F 5 T h a n k y o u f o r p u r c h a s i n g t h e W i r e l e s s B o d y S c a l e i B F 5. B e f o r e u s i n g t h i s u n i t f o r t h e f i r s t t i m

Plus en détail

Sujets de mémoires Master Physique Institut de Physique Nucléaire (FYNU/CP3) Année Académique 2008-2009

Sujets de mémoires Master Physique Institut de Physique Nucléaire (FYNU/CP3) Année Académique 2008-2009 Sujets de mémoires Master Physique Institut de Physique Nucléaire (FYNU/CP3) Année Académique 2008-2009 FYNU/CP3 expérimental : Physique des interactions fondamentales et des particules élémentaires Le

Plus en détail

Rapport de l AERES sur l unité :

Rapport de l AERES sur l unité : Section des Unités de recherche Rapport de l AERES sur l unité : Centre de Recherche sur les Ions, les Matériaux et la Photonique (CIMAP) UMR 6252 sous tutelle des établissements et organismes : ENSICAEN

Plus en détail

Conseil stratégique et opérationnel Smart City Smart Building Smart Home Efficacité énergétique Smart Grids Smart metering

Conseil stratégique et opérationnel Smart City Smart Building Smart Home Efficacité énergétique Smart Grids Smart metering Conseil stratégique et opérationnel Smart City Smart Building Smart Home Efficacité énergétique Smart Grids Smart metering Eric MOREL Mach&Team ( 06 08 71 99 48 email : eric.morel@machnteam.com, 54 ans

Plus en détail

Imaginons le métier de la logistique et de la supply chain de demain

Imaginons le métier de la logistique et de la supply chain de demain Quels développements logistiques de l Axe Seine? Présentation de Nov@log, pole de compétitivité logistique Hugues Valenton (Directeur Général) Club logistique de Seine & Marne, le 22 juin 2010 Imaginons

Plus en détail

5 >L énergie nucléaire: fusion et fission

5 >L énergie nucléaire: fusion et fission LA COLLECTION > 1 > L atome 2 > La radioactivité 3 > L homme et les rayonnements 4 > L énergie 6 > Le fonctionnement d un réacteur nucléaire 7 > Le cycle du combustible nucléaire 8 > La microélectronique

Plus en détail

Lycée français La Pérouse TS. L énergie nucléaire CH P6. Exos BAC

Lycée français La Pérouse TS. L énergie nucléaire CH P6. Exos BAC SVOIR Lycée français La Pérouse TS CH P6 L énergie nucléaire Exos BC - Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. - Définir et calculer l'énergie de liaison par nucléon. - Savoir

Plus en détail

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA 3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre

Plus en détail

Retour d'expérience CC-IN2P3

Retour d'expérience CC-IN2P3 Dominique Boutigny Retour d'expérience CC-IN2P3 ANF - Datacentres Le CC-IN2P3 au CNRS Centre de calcul dédié Institut National de Physique Nucléaire et de Physique des Particules Le CC-IN2P3 centralise

Plus en détail

Panorama de l astronomie

Panorama de l astronomie Panorama de l astronomie 7. Les étoiles : évolution et constitution des éléments chimiques Karl-Ludwig Klein, Observatoire de Paris Gaël Cessateur & Gilles Theureau, Lab Phys. & Chimie de l Environnement

Plus en détail

BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures 30

BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES. Durée : 3 heures 30 Terminales S1, S2, S3 2010 Vendredi 29 janvier BAC BLANC SCIENCES PHYSIQUES Durée : 3 heures 30 Toutes les réponses doivent être correctement rédigées et justifiées. Chaque exercice sera traité sur une

Plus en détail

July 1, 2013. Stéphan Clémençon (Télécom ParisTech) Mastère Big Data July 1, 2013 1 / 15

July 1, 2013. Stéphan Clémençon (Télécom ParisTech) Mastère Big Data July 1, 2013 1 / 15 Mastère Spécialisé Big Data Stéphan Clémençon Télécom ParisTech July 1, 2013 Stéphan Clémençon (Télécom ParisTech) Mastère Big Data July 1, 2013 1 / 15 Agenda Contexte et Opportunité Les grandes lignes

Plus en détail

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)

EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre

Plus en détail