L Initiative de l UNESCO pour la formation des enseignants en Afrique subsaharienne (TTISSA)
|
|
- Éloïse Ledoux
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ED/HED/TED/2006/ME/13 mars 2006 Original: Français L Initiative de l UNESCO pour la formation des enseignants en Afrique subsaharienne (TTISSA) Première réunion des coordonnateurs nationaux de l Initiative de l UNESCO pour la formation des enseignants en Afrique subsaharienne BREDA, Dakar, 7-9 mars 2006 République Démocratique du Congo Note sur la politique de formation des formateurs en République Démocratique du Congo Clément MWABILA MALELA Coordinateur national TTISSA
2 Les idées et les opinions exprimées dans ce rapport sont celles de l auteur et ne représentent pas nécessairement celles de l UNESCO et des Etats membres. Par ailleurs, elles n impliquent aucun engagement de la part de l Organisation.
3 Aperçu du système éducatif congolais Le système éducatif congolais est coordonné par trois ministères : le Ministère de l Enseignement Primaire, Secondaire et Professionnel (MEPSP), pour l enseignement fondamental, secondaire et professionnel ; le Ministère de l Enseignement Supérieur et Universitaire, pour l enseignement supérieur et universitaire (MESU) et le Ministère des Affaires sociales pour l éducation non formelle, spécialement l alphabétisation des adultes et le rattrapage scolaire des enfants hors âge scolaire (MAS). Un travail récent coordonné par la Banque Mondiale et consacré au renouveau du système éducatif de la République Démocratique du Congo indique qu en 2001/2002, le système éducatif comptait près de écoles primaires avec enseignants pour un effectif d élèves estimé à 5,47 millions. Un peu plus de écoles secondaires avec enseignants et 1,6 millions d élèves. Dans l enseignement supérieur, pour la même période, il y avait 326 établissements avec près de étudiants. La même étude signale que malgré les bouleversements des 25 dernières années, le système éducatif congolais a continué à se développer, fait d autant plus remarquable que le financement public s est effondré dès 1986 et que le système est essentiellement soutenu par le financement des ménages. En dépit de cette évolution favorable, le système présente des défis majeurs regroupés en quatre problèmes importants identifiés comme principaux entraves à son bon fonctionnement. Bien qu au sortir des conflits de 1996 et de , il ait pu préserver son cadre institutionnel (conseil de gestion pour les écoles primaires et secondaires, les conseils d administration et les comités de gestion pour l enseignement supérieur et universitaire, l association des parents ), on a pu relever : - une couverture relativement faible au niveau primaire, avec de grandes inégalités dans l accès, et une expansion incontrôlée aux niveaux secondaire et supérieur ; - une grave détérioration de la qualité de l éducation à tous les niveaux ; - un système d administration lourd et désuet et, - un très bas niveau des dépenses et un système financier inefficace et inéquitable. 1 S agissant plus particulièrement du corps enseignant de tous les niveaux, les entraves ainsi identifiées ont encore aggravé une situation peu reluisante. Le 1 Le renouveau du système éducatif de la République Démocratique du Congo ; Priorités et alternative. Banque Mondiale, 2005
4 manque d attraction de la carrière enseignante à cause principalement de la précarité et des incertitudes de la rémunération allouée à cette catégorie professionnelle, s ajoute à la déconsidération sociale qui accompagne ce corps de métier. Ceci entraîne pour conséquence le vieillissement du corps enseignant, faute d une politique réaliste de relève des effectifs éligibles à la retraite 2, la détérioration de la performance attendue de ce corps et une démotivation généralisée due sans doute à la fatigue physique, au stress consécutif aux exigences du métier et aux conditions déplorables d exercice de la profession enseignante. Cependant, l environnement politique favorable à l amélioration de la situation générale du pays observé depuis la mise en place des institutions de la Transition politique en cours depuis l année 2002, a suscité quelques espoirs à la suite de l instauration du dialogue syndical ayant abouti, il y a deux ans, à la fixation d une grille salariale améliorée au bénéfice des enseignants et à la promesse de reprise par l Etat du versement aux écoles des subsides de fonctionnement en lieu et place des ménages. En dépit du retard mis par le Gouvernement à concrétiser ses engagements et malgré la multiplicité des mouvements de grève, principalement dans le chef des enseignants du primaire et du secondaire, l espoir semble renaître au travers d un dialogue désormais possible entre le Gouvernement et les représentants des enseignants reconnus depuis comme partenaires sociaux. Le renouveau du système éducatif L une des premières tâches à laquelle s est attelé le Gouvernement de Transition dans le secteur éducatif consistait à se doter d une vision pour le pilotage de ce secteur. Ainsi a pris corps le Projet de modernisation de l Enseignement Supérieur dénommé «PADEM» qui s est donné pour objectif de définir les lignes directrices de l évolution de l Enseignement Supérieur et Universitaire. Le plan d action du PADEM prévoyait, entre autre activité, la valorisation de la carrière enseignante par l amélioration des conditions de vie et de travail du corps enseignant, par l octroi à ce corps d une rémunération décente et par une politique courageuse de préparation de formation des formateurs en vue de la relève d un corps professoral dont la moyenne d âge avoisinait les 60 ans. Par la mise en application de cette politique, le salaire du personnel de l Enseignement supérieur et universitaire a connu une augmentation sensible dès la promulgation du budget de l Etat de l année La moyenne d âge des enseignants est estimée à 50 ans pour le primaire et le secondaire, et à plus ou moins 60 ans pour le supérieur
5 Prenant appui sur le PADEM le Gouvernement, qui en a fait son programme d action pour l enseignement supérieur et universitaire, ainsi que d autres partenaires ont entrepris de financer la réalisation de quelques activités retenues dans ce cadre. Ainsi en est-il : - de l élaboration des nouveaux programmes des cours financé par le Gouvernement ; - de l approfondissement de la réforme initiée dans le cadre du PADEM sous financement de la Banque Africaine de Développement (BAD) ; - de la publication du recueil de nouveaux programmes d études et du recueil d instructions académiques, administratives et financières à l usage des gestionnaires des établissements d enseignement supérieur et universitaire, sous financement UNESCO ; - du lancement de la première phase de l initiative sur l utilisation de l enseignement ouvert à distance pour la formation des formateurs, initiative financée par l UNESCO ; - de l élaboration du Projet de redressement du système éducatif congolais (PRESEC) financé par la Banque Mondiale Il convient de signaler, au cours de la même période, et sans doute à cause du même élan, la mise sur pied d un Comité de concertation, plate-forme regroupant les représentants des bailleurs de fonds, les représentants du Gouvernement et des partenaires actifs dans le domaine de l éducation, en vue d une concertation permanente sur les différentes initiatives entreprises au bénéfice du système éducatif congolais. Le Comité entend ainsi prévenir toute duplication des activités entreprises et assurer une meilleure coordination des financements dans le secteur de l éducation, aussi bien ceux effectués par le Gouvernement que ceux en provenance des partenaires éducatifs. Le document de politique de formation des formateurs. Partant du constat tiré de plusieurs études menées sur le système éducatif congolais en vue, notamment, de la réalisation des objectifs du millénaire et ceux de l Education pour tous, il est apparu une nette régression de la qualité de l enseignement et donc la nécessité de l élaboration d une politique volontariste de redressement du système à tous les niveaux. La politique à mener devait de ce fait reposer sur une vision holistique des problèmes à résoudre, en prenant appui sur les quatre axes stratégiques ciaprès : - le renforcement du cadre institutionnel ;
6 - l amélioration des l accès à l éducation ; - la préservation de la qualité de l enseignement et de l équité dans l offre de l éducation ; - l élaboration d une politique nationale d alphabétisation. Sur la base de ces axes stratégiques repris du Document de Stratégie pour la Réduction de la Pauvreté ( DSRP) dans son volet sur l éducation et des enquêtes antérieures 3, il est apparu que l amélioration de l accès à l éducation, la préservation de la qualité et de l équité n étaient réalisable sans un plan d action réaliste sur la formation des maîtres. Les prévisions les plus réalistes montrent, en effet qu en considération du taux de croissance annuel de la population de 2,7%, la population scolarisable doublerait, d ici à l an 2015, et celle des enseignants augmenterait dans la même proportion. Pour faire face à cette obligation, le Gouvernement entend affirmer une politique de formation des formateurs dont l objectif est de pallier le déficit du personnel enseignant et d améliorer l offre d enseignement à tous les niveaux du système éducatif. Former des enseignants capables d impulser une nouvelle dynamique au nouveau type d éducation qui devra viser, suivant les recommandations des Etats Généraux de l Education (EGE 1992), à former des hommes et des femmes compétents, imprégnés des valeurs humaines, morales spirituelles, culturelles, civiques et artisans créatifs, bâtisseurs d une nouvelle société congolaise, démocratique, solidaire, prospère et pacifique. L ambition ainsi affirmée a conduit à l élaboration d un document de politique de formation des formateurs devant servir de catalyseur aux initiatives à entreprendre dans ce domaine. Ce document affirme, entre autres actions, la volonté du Gouvernement : - d allouer au moins 25% du budget national à l éducation d ici à l an 2015 ; - de redéfinir le rôle de l enseignant et d améliorer son statut professionnel et social afin de raffermir sa crédibilité dans la société ; - de renforcer et d accélérer la formation des enseignants à tous les niveaux du système éducatif à travers des efforts conjugués à l intérieur comme avec le concours des partenaires éducatifs ; - de mettre en place une politique d incitation au retour volontaire des enseignants nationaux formés et résidant à l étranger ; - de faire jouer à l Enseignement supérieur un rôle de premier plan dans le processus de formation des enseignants, 3 L Enquête MICS-2, coordonné par l Université de Kinshasa (2004), a montré par exemple qu en RDC, le taux net de scolarisation des garçons est de 55% contre 49% pour les filles. Par rapport à son niveau de 1990, l indicateur de l objectif visé par l EPT a accusé un recul annuel moyen de 3,4% au lieu d un accroissement annuel de 4% requis pour atteindre l éducation universelle en 20015, soit un retard de 7% par an.
7 - de relancer de manière soutenue le partenariat, en faveur de cette initiative, le partenariat dans le cadre des accords de coopération bilatéraux et multilatéraux. Les axes stratégiques fixés à cet effet répondent aux quatre objectifs spécifiques suivants : - renforcer la capacité institutionnelle et opérationnelle du système éducatif ; - renforcer la politique de formation des formateurs dans l ensemble du dispositif éducatif : enseignement maternel, primaire, secondaire et professionnel, enseignement supérieur et universitaire, éducation non formelle (alphabétisation et rattrapage scolaire) ; - améliorer et gérer rationnellement les ressources financières affectées à l éducation ; - gérer rationnellement les ressources humaines et enfin, - développer un partenariat éducatif dynamique, notamment en ce qui regarde l utilisation des nouvelles technologies de l information dans le processus de formation (continue) des formateurs. En conclusion A la faveur de la renaissance de l Etat congolais augurée par l évolution politique actuelle favorable à une gestion démocratique des institutions, un renouveau parallèle du système éducatif se met progressivement en place. Des études de faisabilité entreprises dans le cadre de ce même dynamisme ont permis de tracer des axes des réformes indispensables au bon fonctionnement du secteur éducatif mais de façon intégrée dans une politique d ensemble de réduction de la pauvreté, de lutte contre le VIH/Sida et de gestion des conflits. La politique de formation des formateurs est conçue comme une des composantes de cet ensemble qui se réalise dans un effort conjugué du Gouvernement et des partenaires éducatifs, parmi lesquels la coopération bilatérale et multilatérale, les associations des parents, le secteur privé et les partenaires sociaux telles les ONGs. Le Comité de concertation joue, dans ce processus, le rôle d évaluation et de suivi des actions entreprises et financées afin de prévenir des duplications des initiatives et d amener les différents bailleurs de fonds à prendre en compte la politique définie par le Gouvernement. Ce Comité sert aussi à conseiller les autorités politiques dans leur choix de politique applicable au secteur de l éducation lorsque celle-ci pourrait éventuellement requérir l intervention des bailleurs extérieurs.
Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014
Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,
Plus en détailLe point sur la couverture du risque maladie au Niger
REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE ET DE LA LUTTE CONTRE LES ENDEMIES Le point sur la couverture du risque maladie au Niger I PLACE ACTUELLE DE L ASSURANCE MALADIE 1. Recensement des dispositions
Plus en détailRésultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE Secrétariat Général PROGRAMME NATIONAL DES COMPTES NATIONAUX DE LA SANTE «PNCNS» Résultats des Comptes de la Santé 2012 en RD Congo Pr ELOKO
Plus en détailBurkina Faso Profil pays EPT 2014
Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine
Plus en détailCodirecteur international en assurance-maladie PÉROU
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailCOOPÉRATION EN ÉDUCATION
CENTRE INTERNATIONAL D ÉTUDES PÉDAGOGIQUES Au service du français et de l éducation dans le monde COOPÉRATION EN ÉDUCATION Un établissement public pour la coopération internationale en éducation, opérateur
Plus en détailÉDUCATION-FORMATION-EMPLOI
ÉDUCATION-FORMATION-EMPLOI la jeunesse au cœur du développement plan D actions 2013 2015 agence française de Développement sommaire À RETENIR 04 i. Éducation, formation, emploi : piliers sociaux du développement
Plus en détailRapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa
Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa L an 2013, le 28 et 29 août, s est tenue dans la salle du Campus Numérique Francophone de Kinshasa, le Forum sur la Gouvernance de l Internet en Afrique Centrale,
Plus en détailLes progrès vers l éducation pour tous stagnent, mais certains pays montrent la voie à suivre
Les progrès vers l éducation pour tous stagnent, mais certains pays montrent la voie à suivre Document d orientation 14 / Fiche d information 28 Juin 214 Publié conjointement par le Rapport mondial de
Plus en détailCOOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet
COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération
Plus en détailBANQUE CENTRALE DU CONGO
BANQUE CENTRALE DU CONGO Allocution prononcée par Monsieur J-C. MASANGU MULONGO Gouverneur de la Banque Centrale du Congo à l occasion du lancement officiel de la Journée Internationale de l Epargne en
Plus en détailLe cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs?
Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs? Me Pierre MARLY Avocat CMS Bureau Francis Lefebvre E-mail : pierre.marly@cms-bfl.com 1 - Le cadre
Plus en détailPRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC
PRESENTATION DU PROGRAMME D ACTION NATIONAL DE LUTTE CONTRE LA DEGRADATION DES TERRES ET DES FORETS EN RDC 1. INTRODUCTION 2. ETAT DES LIEUX PLAN 3. PROBLEMATIQUE DE LA DEGRADATION DES TERRES ET DE LA
Plus en détailCommentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2
Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne
Plus en détailUne école adaptée à tous ses élèves
PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS
Plus en détailSAINT JULIEN EN GENEVOIS
SAINT JULIEN EN GENEVOIS PROJET EDUCATIF ENFANCE-JEUNESSE Préambule Le service enfant jeunesse a une mission éducative et de prévention sociale auprès des enfants et des jeunes. (3-18 et jeunes adultes).
Plus en détailUNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL
UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL LES POLITIQUES DE LA BANQUE MONDIALE DANS LE DOMAINE DE L ÉDUCATION ET LE DROIT DE L ENFANT À L ENSEIGNEMENT PRIMAIRE : VERS LA RÉALISATION OU LA VIOLATION DE CE DROIT DANS
Plus en détailINVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailCHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE
CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université
Plus en détailUNE MUTUELLE POUR TOUS
Direction de la communication Tél. : 05 59 46 60 40 Courriel : communication@bayonne.fr Le 15 décembre 2014 COMMUNIQUÉ DE PRESSE UNE MUTUELLE POUR TOUS LA PROPOSITION DE LA VILLE DE BAYONNE POUR UN EGAL
Plus en détailPOLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement
Plus en détailSOINS DE SANTE EN AFRIQUE SUB-SAHARIENNE & MUTUALISATION
Conférence de presse du 06/10/2010 14 heures, salle Politkovskaya (PHS 0A50) Parlement européen Bruxelles Contact : 0475.690.461 http://www.vdekeyser.be/ SOINS DE SANTE EN AFRIQUE SUB-SAHARIENNE & MUTUALISATION
Plus en détailExpert(e) International(e) en santé publique Délégué(e) à la co-gestion de la composante «Appui à la demande de soins» Sénégal
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailLa protection des associés en droit congolais et en droit OHADA
Le statut des associés des sociétés commerciales La protection des associés des sociétés commerciales constitue une avancée du droit OHADA sur le droit congolais La République démocratique du Congo (RDC)
Plus en détailREFORMES OPEREES PAR LE GOUVERNEMENT POUR L AMELIORATION DE L ENVIRONNEMENT DES AFFAIRES EN RDC
république démocratique du congo Ministère du Plan et Révolution de la Modernité Agence Nationale pour la Promotion des Investissements ANAPI REFORMES OPEREES PAR LE GOUVERNEMENT POUR L AMELIORATION DE
Plus en détailL école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences
L école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences Animation pédagogique Mise en œuvre du LPC 87 Un principe majeur! L école maternelle n est pas un palier du socle commun de connaissances
Plus en détailL action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse
L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse Institut de la jeunesse Madrid Les débuts de toute chose sont toujours petits. Cicéron La
Plus en détailAZ A^kgZi Yj 8^idnZc
Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...
Plus en détailSociale et solidaire, l association qui contribue au développement social et de l emploi pour améliorer les conditions de vie des habitants.
Sociale et solidaire, l association qui contribue au développement social et de l emploi pour améliorer les conditions de vie des habitants. Association d habitants et d acteurs du territoire (collectivités,
Plus en détailAtelier de réflexion et de validation du projet du système de veille/observatoire des réformes foncière et forestière au Cameroun
Atelier de réflexion et de validation du projet du système de veille/observatoire des réformes foncière et forestière au Cameroun AKONO du 30 au 31 Juillet 2015 Termes de Références Introduction Au Cameroun,
Plus en détailSe former à l IIPE en planification & gestion de l éducation
Institut international de planification de l éducation (IIPE) Un centre d excellence international en planification de l éducation Se former à l IIPE en planification & gestion de l éducation Votre formation
Plus en détailPourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques?
Pourquoi et comment les collectivités locales associent d autres acteurs à la définition et à la mise en œuvre d actions publiques? Rencontre professionnelle 4 Ont participé à cet atelier : David ALCAUD,
Plus en détailProgramme d Activités pour l Emploi des Jeunes dans la Province du Katanga (PAEJK)
Programme d Activités pour l Emploi des Jeunes dans la Province du Katanga (PAEJK) Projet de coopération déléguée présenté dans le cadre du PIC entre le Royaume de Belgique et la RD du Congo Durée 3 ans
Plus en détailL obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,
Plus en détailPROJET D ETABLISSEMENT
PROJET D ETABLISSEMENT «Amener chacun à une autonomie responsable» INTRODUCTION Dans l esprit du Projet Educatif défini par le Pouvoir Organisateur du Collège Notre-Dame et dans la volonté de respecter
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détail7 ème Edition des Assises de la Coopération Belge au Développement
7 ème Edition des Assises de la Coopération Belge au Développement Session 3 Thème : Mettre le contexte au centre de l action : opérationaliser une approche sensible à la fragilité Sous-thème : «Prise
Plus en détailI. PRESENTATION DE LA CHAIRE
PANEL 6 LES CENTRES ET ECOLES DE FORMATION EN ADMINISTRATION ELECTORALE DANS L ESPACE FRANCOPHONE LA CHAIRE UNESCO DES DROITS DE LA PERSONNE ET DE LA DEMOCRATIE UNIVERSITE D ABOMEY-CALAVI (BENIN) PAR NOEL
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un consultant en communication
Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détailCouverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)
Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour
Plus en détailPARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détailIntroduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants?
Renforcement des capacités en matière de Leadership au niveau du Secteur Public dans le contexte de la crise financière et économique Par Dr. Najat ZARROUK Introduction Quels défis pour l Administration
Plus en détailRoyaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers
Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation
Plus en détailGwendoline Aubourg Employer quelqu un chez soi
Gwendoline Aubourg Employer quelqu un chez soi Groupe Eyrolles, 2004, ISBN 2-7081-3541-4 Chapitre 1 L embauche directe En tant que particulier employant du personnel de maison (une femme de ménage, une
Plus en détailPAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE
Note Conceptuelle PAYS INVITE D'HONNEUR :LA FRANCE La Tunisie renouvelle son engagement pour le développement et la prospérité de l'afrique et des pays arabes, par l'organisation de la 8ème édition de
Plus en détailrésumé un développement riche en emplois
ne pas publier avant 00:01 Gmt le mardi 27 mai 2014 résumé un développement riche en emplois Rapport sur le Travail dans le Monde 2014 Un développement riche en emplois Résumé ORGANISATION INTERNATIONALE
Plus en détailCOLLEGE ANDRE LAHAYE
COLLEGE ANDRE LAHAYE 1, Avenue de l Espérance 33510 ANDERNOS Tél : 05 56 82 07 23 CAHIER DE STAGE Année scolaire 2014-2015 CLASSE DE L ELEVE : 3 NOM :.. PRENOM :.. Date de naissance : / / Adresse :. Commune
Plus en détailRedressement et stabilisation du cadre. Reformes structurelles de l économie Reformes des finances publiques Bonne gouvernance
Avant - Économie congolaise caractérisée par un tissu industriel délabré - Infrastructures socio-économiques de base détruites - Inflation galopante - Monnaie chancelante Après - Ambitieux programme de
Plus en détailCommission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine
Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine La politique nationale et le soutien de la Communauté internationale au développement de la Réforme du Secteur de
Plus en détailSYSTEME DES TRANSPORTS EN COMMUN A FORTE CAPACITE DANS LES GRANDES VILLES AFRICAINES ET MECANISMES DE FINANCEMENT (Cas de Kinshasa)
SYSTEME DES TRANSPORTS EN COMMUN A FORTE CAPACITE DANS LES GRANDES VILLES AFRICAINES ET MECANISMES DE FINANCEMENT (Cas de Kinshasa) Présent senté par: Charles LUTUTA ILONGOSI Président Administrateur DéléguD
Plus en détailLe marketing de l assainissement en pratique! Paris 16/06/2015
Le marketing de l assainissement en pratique! Paris 16/06/2015 Le marketing de l assainissement 2 1. Le Gret et les projets d eau et d assainissement 2. Le marketing, c est quoi? 3. Le marketing de l assainissement
Plus en détail1. Contexte et justification
Termes de Référence pour l assistance technique à la Cellule de Gestion des Projets et des Marchés Publics du Ministère de la Santé Publique en République Démocratique du Congo 1. Contexte et justification
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailFÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES
FÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES 26, boulevard Haussmann 75311 Paris Cedex 09 Téléphone : 01 42 47 90 00 - Télécopie : 01 42 47 93 11 - Internet : http://www.ffsa.fr 12 juillet 2007 Observations
Plus en détailCONTRIBUTION DU RÉGIME D ASSURANCE MALADIE, MATERNITÉ DE L OFATMA AU FINANCEMENT DE LA SANTÉ EN HAÏTI
CONTRIBUTION DU RÉGIME D ASSURANCE MALADIE, MATERNITÉ DE L OFATMA AU FINANCEMENT DE LA SANTÉ EN HAÏTI Dr. Max Rudolph SAINT-ALBIN Directeur Général Office d Assurance Accidents du Travail, Maladie et Maternité
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailNote Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ PROJET D APPUI A L EXTENSION DE LA COUVERTURE DU RISQUE MALADIE DANS LES PAYS MEMBRES DE L UEMOA Note Simplifiée
Plus en détailL AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE
L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L Aide publique au développement (APD) désigne les dépenses publiques au bénéfice des pays en développement dont le but essentiel est de favoriser le développement économique
Plus en détailpas de santé sans ressources humaines
Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième
Plus en détailPLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE
PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE 37 ème Assemblée Générale de la FANAF YAOUDE (CAMEROUN) 23-28 Février 1 ASSURANCE MALADIE 2 - Un des principaux
Plus en détailSéminaire régional. L achat de services de santé, le financement basé sur les résultats, le financement basé sur la performance ;
Séminaire régional L achat de services de santé, le financement basé sur les résultats, le financement basé sur la performance ; Partage des expériences de République Démocratique du Congo, du Burundi,
Plus en détailMINISTERE DES POSTES, DES TELECOMMUNICATIONS ET DES NOUVELLES TECHNOLOGIES ET DE LA COMMUNICATION
MINISTERE DES POSTES, DES TELECOMMUNICATIONS ET DES NOUVELLES TECHNOLOGIES ET DE LA COMMUNICATION Central African Backbone Communication Infrastructure and Technology CAB CIT Congo Projet N IDA 49740 CG
Plus en détailEducation pour Tous d ici 2015
A N A L Y S E d e l I E Education pour Tous d ici 2015 La réponse de l Internationale de l Education au Rapport mondial de suivi 2008 Développer la protection et l éducation de la petite enfance Rendre
Plus en détailListe des promesses tenues*
331 Culture Démocratiser l'accès au multimédia. I. CHANGEONS LA VIE QUOTIDIENNE DES FRANÇAIS.7. Assurer notre rayonnement culturel.nous porterons le budget de la culture à 1% du budget de l'etat. Nous
Plus en détailLe cycle de projet à la Banque Africaine de Développement
Fiche Technique n 3 Le cycle de projet à la Banque Africaine de Développement Cycle du projet De manière générale, depuis l identification jusqu à l approbation d un projet, il existe un dialogue constant
Plus en détailPrésentation du programme européen Erasmus + jeunesse 2014-2020
Présentation du programme européen Erasmus + jeunesse 2014-2020 2007-2013 Education formelle et professionnelle : Erasmus, Comenius, Grundtvig, Léonardo Education non formelle : Jeunesse en Action Actions
Plus en détailC EST QUOI UNE ÉCOLE PUBLIQUE ALTERNATIVE QUÉBÉCOISE?
C EST QUOI UNE ÉCOLE PUBLIQUE ALTERNATIVE QUÉBÉCOISE? L école alternative, c est une école publique, intégrée aux commissions scolaires du Québec qui relève du choix des parents à offrir à leur enfant
Plus en détailAccès des populations rurales au capital en Agroland
PROGRAMME DE FORMATION AUX POLITIQUES DE LA FAO Programme de renforcement des capacités sur les politiques et les stratégies relatives à l'agriculture et au développement rural Ressources en ligne pour
Plus en détailLa coopération universitaire Union Européenne Maghreb dans le cadre des programmes d éducation Tempus et Erasmus Mundus
La coopération universitaire Union Européenne Maghreb dans le cadre des programmes d éducation Tempus et Erasmus Mundus Séminaire inaugural AUF Bureau Maghreb, Rabat, 25 26 juin 2012 Philippe Ruffio, Agence
Plus en détailmission Le conflit des «gars de Lapalme»,
composition Le conflit des «gars de Lapalme», à l origine du CIMM Le 1 er mai 1970, la CSN, la CEQ et la FTQ organisaient, à Montréal, une manifestation en appui aux travailleurs et à la travailleuse de
Plus en détailParticulier. employeur. Juin 2012. Tout. savoir. sur le. Cesu. [ Chèque emploi service universel ] L essayer, c est l adopter! www.cesu.urssaf.
Particulier employeur Juin 2012 Tout savoir sur le Cesu [ Chèque emploi service universel ] L essayer, c est l adopter! Le Chèque emploi service universel (Cesu) L essayer, c est l adopter! Qui n a pas
Plus en détailOBJETS D ETUDE EN ECONOMIE-DROIT
ACADEMIE DE CRETEIL OBJETS EN ECONOMIE-DROIT Liste de problématiques classées Enseignants en économie-gestion Tertiaire administratif 2012-2013 Ce document présente une liste de pistes de problématiques
Plus en détailTableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents
Tableau : Réponse aux besoins en matière de santé sexuelle et reproductive des adolescents Le tableau suivant est destiné à donner un aperçu des principales actions à entreprendre pour répondre aux besoins
Plus en détailRetour vers le futur Les services bancaires postaux aux États-Unis
Retour vers le futur Les services bancaires postaux aux États-Unis Jim Sauber National Association of Letter Carriers (association des factrices et facteurs des États-Unis) Les 26 et 27 et avril 2014 -
Plus en détailOFFRE DE CONSULTANCE Volet Gouvernance judiciaire à l Est de la RDC
OFFRE DE CONSULTANCE Volet Gouvernance judiciaire à l Est de la RDC «Consultant en suivi-évaluation et élaboration d outils de suivi-évaluation pour le programme PARJ-E «Uhaki Safi» Profil recherché: Objectif
Plus en détailPlan de l exposé L assurance maladie obligatoire pour tous: Cas particulier de la république du Rwanda
Plan de l exposé L assurance maladie obligatoire pour tous: Cas particulier de la république du Rwanda!"#$%&'()*"#+," &-).!!/&01&23425,)&6778 Données générales du pays Contexte historique des mutuelles
Plus en détailREPUBLIQUE DU BENIN 1
1 REPUBLIQUE DU BENIN 2 Les axes de développement du système éducatif énoncés depuis les états généraux de l Education former des adultes performants dotés d'esprit d'initiative, ayant le goût de la recherche,
Plus en détailRÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ
RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ Compte-rendu Réunion du 22 octobre 2008 Cette réunion terminait un processus de 3 ans portant sur les cinq propositions pour une meilleure éducation au Québec. D entrée
Plus en détailinfo@diasporaburundaise-belgique.org 23 juli 2013 PROJET DE RELEVE DU NIVEAU DES ELEVES DU CYCLE SUPÉRIEUR DU SECONDAIRE.
PROJET DE RELEVE DU NIVEAU DES ELEVES DU CYCLE SUPÉRIEUR DU SECONDAIRE. 1. Introduction Plusieurs événements importants ont marqué le monde au cours de ces vingt dernières années : la mondialisation, l
Plus en détailLes jeunes et la précarité : mettre fin au bizutage social
Les jeunes et la précarité : mettre fin au bizutage social Depuis plus d un an, la France est frappée par la crise économique et financière mondiale. Si les origines de cette crise sont connues et dénoncées
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailAnalyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015
Réforme des rythmes scolaires Projet Educatif de territoire d Evecquemont Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 A Du PEDT au comité de suivi et d évaluation de la réforme
Plus en détailLes dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Les dossiers de l enseignement scolaire 2010 l Éducation nationale et la formation professionnelle en France ministère éducation nationale L Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Plus en détailRéformes socio-économiques
Réformes socio-économiques Le 27 novembre 2011, suite à la dégradation de la note belge par l agence Standard & Poor s, les six partis ont conclu, dans l urgence, un accord sur le budget et sur la réforme
Plus en détail*Ce Master peut donner accès au Doctorat en Études Internationales pour la Paix, les Confits, et le Développement. Il a été honoré de la mention de
*Ce Master peut donner accès au Doctorat en Études Internationales pour la Paix, les Confits, et le Développement. Il a été honoré de la mention de qualité et d excellence Par le Ministère de l Éducation
Plus en détailMobiliser l épargne pour l investissement productif. Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle
Mobiliser l épargne pour l investissement productif Pistes de réflexion stratégique en matière de fiscalité de l épargne individuelle 18 Juin 2014 1. Introduction La frilosité de l épargnant belge suite
Plus en détailPEGC Académie de Rennes
Septembre 2014 SNUipp-FSU CONTACTS Sections départementales SNUipp Côtes d'armor snu22@snuipp.fr Tél : 02 96 61 88 24 Finistère snu29@snuipp.fr Tél : 02 98 53 76 77 Ille et Vilaine snu35@snuipp.fr Tél
Plus en détailLa réforme : une opportunité pour la fonction formation
Nombreux sont les articles concernant la réforme de la formation professionnelle. Grâce à ses experts qui récoltent l information législative et réglementaire à sa source, Demos fait un tour d horizon
Plus en détailCadre d action de Dakar
mondial sur Forum l éducation Dakar, Sénégal du 26 au 28 avril 2000 Cadre d action de Dakar L Éducation pour tous : tenir nos engagements collectifs Adopté par le Forum mondial sur l éducation Dakar, Sénégal,
Plus en détailPartage des coûts vs gratuité
Assurance maladie et gratuité des soins en Afrique subsaharienne : quelles bases pour une couverture universelle? Alain Letourmy (CNRS et animateur du réseau RAMUS (Réseau d appui aux mutuelles de santé))
Plus en détailControle prudentiel des régimes de pension publics et privés: le cas de la Belgique
Controle prudentiel des régimes de pension publics et privés: le cas de la Belgique FANAF Symposium sur la protection sociale en Afrique Abidjan 24 juin 2015 Stephan Neetens conseiller de la Ministre des
Plus en détailLES MISSIONS D UN RÉFÉRENT
LES MISSIONS D UN RÉFÉRENT D ÉTABLISSEMENT POUR LES USAGES PÉDAGOGIQUES DU NUMÉRIQUE LETTRE DE MISSION ACADÉMIQUE Vous avez accepté d être le référent pour les usages pédagogiques du numérique de votre
Plus en détailÉtapes suivantes du plan d action du Manitoba
Juillet 2005 Pour aller de l avant : L apprentissage et la garde des jeunes enfants Étapes suivantes du plan d action du Manitoba Introduction En novembre 1999, le gouvernement du Manitoba a confirmé son
Plus en détailLA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE ET LES FESTIVALS D ARTS
DOSSIER D INFORMATION N 4 LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE ET LES FESTIVALS D ARTS INTRODUCTION Les festivals d arts visent à célébrer la richesse et la diversité des cultures dans le monde en réunissant des
Plus en détailCadre et Structures Organiques
1 République Démocratique du Congo Ministère de la Santé Publique SECRETARIAT GENERAL A LA SANTE PUBLIQUE Cadre et Structures Organiques Août 2012 INTRODUCTION 2 Le présent document relatif au Cadre et
Plus en détail3 The Millennium Development Goals: Report 2010. Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014. asdf NATIONS UNIES
3 The Millennium Development Goals: Report 2010 Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014 asdf NATIONS UNIES Le présent rapport est fondé sur un ensemble de données compilées par le Groupe
Plus en détailS engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée
S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien
Plus en détailDÉCLARATION SUR LES PROBLEMES ET ENJEUX FONCIERS EN AFRIQUE
DÉCLARATION SUR LES PROBLEMES ET ENJEUX FONCIERS EN AFRIQUE NOUS, Chefs d État et de Gouvernement de l Union africaine, réunis à notre treizième session ordinaire à Syrte (Grande Jamahiriya arabe libyenne),
Plus en détail