SITUATION DE LA GESTION DES EAUX SOUTERRAINES EN COTE D IVOIRE

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1 Forum pour la gestion durable des ressources en eaux souterraines dans le bassin de la Volta Ange Hill Hotel, Accra-Ghana 14 au 16 Octobre 2009 SITUATION DE LA GESTION DES EAUX SOUTERRAINES EN COTE D IVOIRE Prof. Jean Patrice R. JOURDA Vice-Doyen Chargé de la Recherche de l UFR-STRM Membre de la Commission Africaine des Eaux Souterraines Jourda_patrice@yahoo.fr/ patrice.jourda@univ-cocody.ci 1

2 INTRODUCTION Pour leur approvisionnement en eau potable, la plupart des pays africains recourent en grande partie aux ressources en eaux souterraines Les eaux souterraines présentent donc une importance stratégique pour l alimentation en eau des populations rurales En Afrique subsaharienne, on évalue à 300 millions d âmes le nombre des personnes privées d accès à l eau potable et résidant pour près de 80% dans les zones rurales Le développement fort appréciable des systèmes d alimentation en eau potable pour la satisfaction des besoins des populations d Afrique est un facteur fondamental de la réalisation des ODM 2

3 INTRODUCTION (Suite ) Il faut cependant noter que au fur et à mesure que progresse la satisfaction de la demande en eau des populations, les réservoirs d eau souterraine des centres urbains subissent, en retour, la pression des sources de pollution urbaine L enjeu est immense et le redressement de l utilisation actuelle inefficace et non viable des eaux souterraines, partout en Afrique, nécessite un certain nombre d actions d envergure nationale, régionale et internationales à entreprendre sur plusieurs fronts D où l intérêt de ce forum qui est un cadre de réflexion sur la problématique des eaux souterraines dans notre sous région Quelle est alors la situation des eaux souterraines en Côte d Ivoire? 3

4 PLAN DE L EXPOSE 1. PRESENTATION GENERALE DE LA COTE D IVOIRE 2. CADRE GEOLOGIQUE 3. CADRE HYDROGEOLOGIQUE 4. GESTION DES EAUX SOUTERRAINES 5. RECOMMANDATIONS CONCLUSION 4

5 . PRESENTATION GENERALE DE LA COTE D IVOIRE Situation géographique -les Longitudes O et les Latitudes N; - Superficie de km2; - Population de 15,4 millions habitants (INS, 1998); -depuis le 07 juillet 2002, 19 Régions, 56 départements et 2 Districts. 5

6 1. PRESENTATION GENERALE DE LA COTE D IVOIRE (Suite ) Végétation - 2 types de paysages végétaux se partagent le territoire : un paysage forestier (moitié sud) et un paysage de savane (moitié nord). 6

7 1. PRESENTATION GENERALE DE LA COTE D IVOIRE (Suite ) Relief - le relief topographique est monotone; -L'altitude augmente légèrement du Sud-Est au Nord-Ouest. 7

8 1. PRESENTATION GENERALE DE LA COTE D IVOIRE (Suite ) Climat Régimes climatiques de la Côte d Ivoire (JICA, 2001; Goula, 2005) Type de climat Climat soudanais ou régime tropical de transition (zone III) Climat Baouléen ou régime équatorial de transition atténué (zone II) Climat Attiéen ou régime équatorial de transition (zone I) Climat des montagnes (zone IV) Précipitations moyennes annuelles ( ) (mm) 1128 ( ) 1097 ( ) 1521 ( ) 1449 ( ) Caractéristiques saisons des Deux saisons (sèche, pluvieuse) Chaleur plus élevée Deux saisons sèches Deux saisons des pluies Taux d humidité comprise : 60% 70% Deux saisons sèches Deux saisons des pluies Forte hygrométrie (80 90%) Deux saisons (sèche, pluvieuse) Zones climatiques de la Côte d Ivoire (Goula & al., 2007) 8

9 1. PRESENTATION GENERALE DE LA COTE D IVOIRE (Suite ) Pluviométrie VARIABILITE PLUVIOMETRIQUE EXACERBEE AU COURS DE CES DERNIERES ANNEES IMPACT SUR LES RESSOURCES EN EAU La moyenne des précipitations est de 1423 mm/an

10 1. PRESENTATION GENERALE DE LA COTE D IVOIRE (Suite ) Eau de Surface : Réseau hydrographique (fleuves et rivières) 12 BASSINS VERSANTS 6 bassins versants majeurs dans l ordre d importance: Le BANDAMA Le SASSANDRA (partagé) Le COMOE (partagé) Le CAVALLY (partagé) Le NIGER (partagé) La VOLTA (partagé) 4 bassins côtiers: San Pédro, Boubo, Agneby, Bia, 2 petits bassins :Nuon et Tanoué (partagés)

11 1. PRESENTATION GENERALE DE LA COTE D IVOIRE (Suite ) 10 9 Valeurs moyenne (mm) 8 Précipitations totales (mm) 1423 (100 %) 7 Évaporation (mm) 1053 (74 %) 6 Infiltration (mm) 210 (14.8 %) 5 Lame d eau écoulée (mm) 160 (11.2 %)

12 . CADRE GEOLOGIQUE La Côte d Ivoire repose sur 2 domaines géologiques: un socle cristallin (97,5% du territoire) : trois grandes orogenèses (léoniennes, libérienne et éburnéenne) ont contribué à la mise en place de deux domaines géologiques précambriens : -domaine à l Ouest (Kénéma-Man) affecté par le mégacycle libérien ; -domaine à l Est (Baoulé-Mossi) affecté par le mégacycle éburnéen. Ces deux domaines étant séparés par l accident N-S de Sassandra un bassin sédimentaire côtier (2.5% du territoire) 12

13 3. CADRE HYDROGEOLOGIQUE En fonction de la géologie, les eaux souterraines de la Côte d Ivoire se rencontrent principalement dans deux grands types d aquifères: les aquifères discontinus du socle cristallin et cristallophyllien rencontrés dans la majeure partie du pays (couvrant 97,5 % du territoire); les aquifères généralisés rencontrés au Sud dans le bassin sédimentaire côtier ( couvrant 2,5 % du territoire). 13

14 3. CADRE HYDROGEOLOGIQUE (Suite ) 3.1. Aquifères discontinus du socle cristallin et cristallophyllien Les aquifères discontinus se subdivisent en deux types d aquifères : Les aquifères de la frange altérée du socle; Les aquifères de fissures. Aquifères des altérites Les réservoirs d altérites des séries volcano-sédimentaires sont en général les plus épais : 15 à 20 m en moyenne, et 100 m (Boucle du cacao). Sur les granitoïdes, ce réservoir est composé, de haut en bas, de cuirasse latéritique, sables argileux et arènes grenues. L épaisseur peut atteindre 50 m avec une moyenne est de 21,3 m. Les arènes grenues constituant les niveaux les plus productifs et donc les plus recherchés. 14

15 Aquifères de fissures Tableau : Caractéristiques moyennes des forages dans les différentes formations géologiques Type de formation géologique % en superficie Prof. moy. des forages Niveau stat. Moy. Rendement moyen Socle granitogneissique 62,7% 52,7 10,5 3,0 m3/h Socle schisteux 34,8% 63 17,4 3,3 m3/h 15

16 Récapitulatif des valeurs de la transmissivité (m 2 /s) des aquifères du socle obtenues en Côte d Ivoire Région Région de Région des Bassin Région Région de Région de de la Montagnes versant d Odienné Yamoussoukro Korhogo Marahoué de la Mé Bondoukou 7, , , , , , , , , , , ,

17 Qualité des eaux souterraines du socle Les taux de nitrates contenus dans les eaux souterraines de la région de Korhogo sont dans l ensemble bas et sont compris entre 0 et 10 mg/l pour près de 83 % des échantillons. Cependant, il existe quelques points où les valeurs sont relativement élevées (Pédérékaha (51 mg/l), Ladjolakaha (58 mg/l), Diégon ( 69 mg/l), Galangbo ( 45 mg/) et Pangarikaha ( 46 mg/l) ). Ces valeurs dépassent ou sont très proches de la norme OMS (50 mg/l) de qualité des eaux de boisson Dans le Bassin de la Volta (Bondoukou), environ 76% des échantillons (soit 25) ne possèdent pas de traces de nitrates (0 mg/l). 14 % (soit 8) possèdent des teneurs en nitrates variant de 1 à 29 mg/l. En général, on constate que la teneur en nitrates de la totalité des points d eau de la région de Bondoukou reste largement en deçà de la norme fixée par l O.M.S (50 mg/l). Sur le plan chimique, en milieu rural en Côte d Ivoire, la qualité des eaux souterraines est bonne dans l ensemble. Cependant, sur le plan bactériologique la qualité est approximative 17

18 3.2 Aquifères du bassin sédimentaire côtier Le bassin sédimentaire côtier est long et peut être divisé en 5 secteurs sur le plan hydrogéologique. Le bassin sédimentaire côtier de la Côte d Ivoire est constitué d aquifères homogènes et très perméables constitués de sables, d argiles sableuses et d argiles. Les réservoirs ayant un rôle important sur le plan hydrogéologique sont au nombre de trois (Aghui et Biémi, 1984) : Aquifère du Quaternaire ; Aquifère du Continental Terminal d âge Mio-pliocène ; Aquifère du Maestrichtien. 18

19 Carte piézométrique de la nappe d Abidjan Carte piézométrique de la nappe de Bonoua 19

20 Récapitulatif du bilan d'eau des nappes de Bonoua et d Abidjan Nappe de Bonoua Nappe d Abidjan Ressources Volume (10 9 m 3 /an) Volume (10 9 m 3 /an) Réserves naturelles 13,9 9 Réalimentation 0,25 0,72 Décharge naturelle 0,36 0,14 Exploitation 0,0023 0,15 20

21 Paramètres hydrodynamiques du bassin sédimentaire côtier de la Côte d Ivoire (Jourda, 1987 ; SOGREAH,1996a ; Soro,

22 Caractéristiques hydrochimiques générales du bassin sédimentaire côtier de la Côte d Ivoire (Jourda,1987 ; 2002 et 2003 ; Oga,1998) 22

23 Principale menace: pollution de la nappe d Abidjan Variation du taux de nitrates dans quelques forages de 1994 à 2004 Forages Abandaonnés Forage arrêté LE TAUX DE NITRATES DE PUIS OCTOBRE 1995 A DEPASSE LES NORMES DE POTABILITE DANS CERTAINS FORAGES. CETTE POLLUTION PROGRESSE DU SUD VERS LE NORD EN DIRECTION DE LA ZONE DE RECHARGE DE LA NAPPE NON ENCORE POLLUE DEPUIS JUILLET 1997 UN AUTRE PÔLE DE PROGRESSION DE LA POLLUTION EST APPARU SUIVANT LA RADIALE EST- OUEST; FORAGE DE LA ZONE OUEST 6 POLLUE PAR LES FOSSES SEPTIQUES DES HABITATIONS DE PROXIMITE LE FORAGE DE LA ZONE OUEST 6 CONTENAIT UN FORT TAUX D ESCHERICHIA COLI (909 U/100 ML) EN JUIN 2004.

24 Estimation globale des ressources en eau souterraine Type de formation géologique Ressources en eau souterraines (m3) Ressources renouvelables (m3) Bassin sédimentaire 9.9 milliards 2.7 milliards Socle 78 milliards 35 milliards Total 87.9 milliards 37.7 milliards 24

25 4. GESTION DES EAUX SOUTERRAINES EN COTE D IVOIRE 4.1. Cadre institutionnel Il s agit dans l ensemble d une gestion sectorielle des eaux souterraines dont la coordination et l intégration est inexistante: La gestion des RE est du ressort de la DRE dépendant du MINEEF et l AEP est du ressort de l ONEP dépendant du MIE Les acteurs du secteur des eaux souterraines ne s intéressent surtout qu aux opérations d implantation de forages et non à la gestion des eaux souterraines 4.2. Cadre légal Les lois en vigueur (Code l Eau, Code de l Environnement, Code Minier) se réfèrent, de manière générale aux ressources en eau, et font rarement la distinction entre les eaux de surface et les eaux souterraines; L eau de manière générale, est une propriété de l Etat, et toute utilisation de la ressource est soumise à l obtention d une autorisation des pouvoirs publics; Cependant, l observation de ces lois, dans le cas des eaux souterraines, n est pas souvent strict pour ne pas en dire plus (cas de conflit d usage au niveau de la nappe de Bonoua). 25

26 4.3. Mobilisation et usages des ressources en eau souterraine Les eaux souterraines sont utilisées en priorité pour l alimentation en eau des populations dans le cadre des programmes d hydraulique urbaine, villageoise et villageoise améliorée. Un peu dans l industrie et l agriculture Les principaux ouvrages de mobilisation sont constitués par des forages à motricité humaine dans le milieu rural ou équipé de pompe immergée pour des besoins plus importants en milieux urbains et pour les industries. Les puits sont aussi utilisés pour la mobilisation des eaux souterraines. Ainsi, sur un ensemble recensé de ouvrages répartis sur l ensemble du territoire au 31 décembre 2002: les puits sont au nombre de 3733 (19%) et les forages, sont au nombre soit 81 % du total. La nappe d Abidjan est exploitée par 70 forages d eau pour un volume d eau de m3/jour pour le District d Abidjan La nappe de Bonoua est exploitée par 3 forages (AEP, SODECI) pour un volume de m3/j: 1 forage pour la ville de Bonoua et 2 forages pour la ville de Grand-Bassam 26

27 4.3. Mobilisation et usages des ressources en eau souterraine (Suite ) Synthèse régionale des forages d hydraulique villageoise et des paramètres hydrogéologiques sur un ensemble de forages en Côte d Ivoire (AE : Arrivée d eau) (Direction de l Hydraulique Humaine, 2005). 27

28 4.3. Mobilisation et usages des ressources en eau souterraine (Suite ) Points d eau de la base de données de la DHH 28

29 4.3. Mobilisation et usages des ressources en eau souterraine (Suite ) Points d eau du bassin de la Volta 29

30 4.3. Mobilisation et usages des ressources en eau souterraine (Suite ) Taux d abandon des puits et forages Le taux d abandon des puits et forages est élevé partout en Côte d Ivoire. En effet, environ 30 % des puits et forages exploitables sont abandonnés. Il demeure alors potentiellement ouvrages en exploitation, disponible pour répondre aux besoins de la population, soit un taux de couverture de 63%. Cause des abandons de forage La principale cause est l intermittence lié responsable de 26 % des abandons aux aléas climatiques Ensuite la qualité de l eau et le tarissement ont chacun forcé l abandon de 16 % des sources d approvisionnement en eau. Enfin, 20 % d abandons sont causés par d autres raisons telles que l équipement des villages en système d hydraulique villageoise amélioré dans 120 localités en fin 2004 (soit un taux de couverture de 8% pour 1271 localités éligibles). 30

31 4.4. Evaluation de la ressource La connaissance de l état des eaux souterraines oscille entre les niveaux faible et moyen, notamment dans les roches fracturées Entretien de la ressource L entretien des sources d approvisionnement d eau souterraine est effective dans les centres urbains. Dans les zones rurales et semi urbains, l entretien des eaux souterraines n est pas effectif, même si dans certains villages il existe des comité locaux de gestion qui se chargent de l entretien des pompes Suivi de la ressources Réseau de piézométrie Il n existe pas de réseau de piézométrie sur toute l étendue du territoire. Cependant, il existe un embryon d un trentaine de piézomètres au niveau d Abidjan. Ces piézomètres ne sont pas suivi régulièrement et sont pour la plupart influencés par les pompages 31

32 Réseau de suivi de la qualité des RES Il n existe pas de réseau national de suivi de la qualité de l eau des aquifères, seules des mesures occasionnelles et à la demande sont réalisées par des laboratoires. Suivi de l exploitation des RES Les relevés d exploitation des points d eau font crucialement défaut. A part les quelques centres urbains gérés par la Société SODECI, les données sur les prélèvements au niveau des aquifères ne font pas l objet ni de collecte ni d évaluation. Certains organismes et opérateurs actifs dans le secteur de l eau ne donnent pas d informations sur leurs activités et ne fournissent pas non plus de données sur les points d eau qu ils exploitent. 32

33 4.7. Collecte, traitement, stockage et diffusion des données sur les ES Collecte des données Piézométrie et qualité de l eau: il n y a pas de collecte de données. Les agents des services régionaux faute de moyens ne font pas de tournées périodiques de collecte de données et d inspection d équipements de suivi. Données de l exploitation : Seule la SODECI communique chaque année les relevés d exploitation des centres urbains qu elle gère. Transmission des données: la transmission des données est effectuée uniquement pour les données de base (points d eau nouvellement réalisés). Ces données sont saisies dans les DTH au niveau des régions et transmises à la DHH La DRE qui a en charge la gestion des RES n a encore, pour l instant, reçu aucune données de la DHH 33

34 Saisie et traitement Piézométrie et exploitation: la saisie et le traitement de ces informations ne sont pas effectués actuellement. Dans la base de données de la DHH, on trouve toutefois d anciennes données sur les mesures piézométriques effectuées et qui ne font l objet d aucune actualisation. Qualité de l eau: Les analyses effectuées par les laboratoires sont stockées dans une base de données sous format dépassé ou dans les rapports des projets. Traitement et stockage des données Il n existe aucune base de donnée digne de ce nom sur les ressources en eau en général et particulièrement sur les eaux souterraines. La DRE a pour projet de mettre en place une Base de données sur les RE Mis à part quelques travaux réalisés dans le cadre de certains projets et au niveau académique, aucune exploitation des données hydrogéologiques et hydro-chimiques n est faite de manière globale 34

35 Diffusion des informations Une partie des informations sur les ES est répertoriée au niveau des DTH et de la DHH, aujourd hui, ONEP. Ces structures n ont pas les moyens humains et matériels nécessaires pour assurer le regroupement et l archivage de tous les documents et assurer efficacement la gestion et la diffusion de l information et satisfaire la demande de plus en plus grandissante Education et formation: renforcement des capacités il n y a pas beaucoup d hydrogéologues dans les instituions chargées de la gestion des ressources en eau Le volet de l éducation et de la formation est essentiellement académique, mais comporte des lacunes au niveau de la gestion et de l entretien des eaux souterraines 35

36 5. RECOMMANDATIONS Pour une gestion durable des eaux souterraines en Côte d Ivoire, nous recommandons les éléments suivants qui peuvent être regroupés sous trois entités suivantes: édifier une base de connaissance; développer le renforcement des capacités; faire de la sensibilisation. Une base de connaissance: recourir aux sciences fondamentales pour faire de la recherche sur la ressource réseau de surveillance permanente des eaux souterraines; évaluer la ressource; adopter de pratique rationnelle de gestion; développer un système d information sur l eau (Collecte, Traitement, diffusion, Base de Données) 36

37 Renforcer les capacités: mettre en place les capacité appropriés (humain et matériel); mettre en place les instituions appropriées; adopter et appliquer des mesures administratives et de lois opportunes (décrets d application du Code de l Eau); former et sélectionner les ressources humaines compétentes en mesure de planifier et de faire appliquer, à touts les niveaux, les principes d utilisation durable des eaux souterraines Sensibiliser: La sensibilisation systématique, au thème des eaux souterraines, des principales parties prenantes en CI, à tous les niveaux: sur le rôle des ES en matière de développement; sur leur fonction hydrologique; Sur leur vocation naturelle à préserver les écosystèmes; sur leur vulnérabilité aux impacts humains et aux dispositions à prendre pour leur utilisation durable 37

38 CONCLUSION La Côte d Ivoire dispose d un important potentiel en eau souterraine dont la gestion rencontre d énormes difficultés et contraintes à savoir entre autres: connaissance insuffisante des ressources en eau en général et particulièrement des eaux souterraines; dégradation continue des RES liées à des facteurs climatiques et anthropiques; faible mobilisation des RES pour les différents usages (insuffisance des moyens financiers); Inadéquation du cadre institutionnel; Application insuffisante du cadre juridique et réglementaire. 38

39 JE VOUS REMERCIE DE VOTRE AIMABLE ATTENTION 39

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