ÉTUDE SUR LES ALTERNATIVES AU DESHERBAGE CHIMIQUE
|
|
- Amandine Beaudry
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ÉTUDE SUR LES ALTERNATIVES AU DESHERBAGE CHIMIQUE SUR LA CULTURE DE LA LUZERNE Synthèse de la deuxième année d expérimentation Semis 2007 Récolte 2008 Avec le soutien financier du Ministère de l agriculture
2 SOMMAIRE INTRODUCTION P 3 RAPPEL DES OBJECTIFS P 3 MATERIEL ET METHODE P 3 1. Situation des parcelles P 3 2. Mise en place des essais P 3 3. Climatologie P 4 4. Mesures et observations P 4 RESULTATS P 4 CONCLUSION ANNEXES 2 DL/CL/08476
3 INTRODUCTION Depuis la mise en place de l expérimentation en juillet 2006, les conditions de désherbage chimique des luzernes ont fortement évoluées. L interdiction de l R-Bix puis du Velpar S ont mis un terme au désherbage chimique contre les dicotylédones des luzernes en année d exploitation. La lutte mécanique est d autant plus d actualité mais le retrait de l R-Bix en 2007 a eu pour conséquence de modifier le protocole 2008 d expérimentation. OBJECTIFS DE CETTE 2 EME ANNEE D EXPERIMENTATION Le désherbage mécanique par binage sur la période de levée est difficile. En effet, la première année d expérimentation nous a montré les limites du désherbage à la levée par binage. Pour cette deuxième année d expérimentation, nous nous sommes concentrés vers le désherbage mécanique d hiver. Cette technique est comparée à un témoin de référence ainsi qu à un traitement chimique sur les critères : - d efficacité en terme de lutte contre les adventices, - d effets sur la productivité et la qualité de la récolte. MATERIELS ET METHODES 1. Situation des parcelles Les parcelles se situent à l Est de Châlons-en-Champagne en zone de craie. Deux essais sont implantés en 2007 (Bussy le Château et Souain). Les semis sont réalisés en juillet Mise en place des essais L essai de Souain est installé sur une luzerne implantée sur labour le 20 juillet 2007, alors que l essai de Bussy est installé sur une luzerne semée en sous couvert d orge de printemps. Sur ces deux essais aucun désherbage anti-graminées ou anti-dicotylédones n a été réalisé à l automne. Sur chaque essai sont comparés les traitements «hiver chimique, mécanique et témoin». Le désherbage chimique se fait le 30 novembre 2007 à l aide du dernier produit ayant encore une dérogation d utilisation, le Velpar S, produit qui a été retiré depuis. Le désherbage mécanique est réalisé le 8 février 2008 par un passage de herse rotative à 4 cm de profondeur sur une largeur de 4 mètres. 3 DL/CL/08476
4 3. Climatologie Températures (cf. annexe) Une première période de gel intervient à la mi-novembre. Ce gel devient rapidement trop intense empêchant tout travail du sol. Il faut attendre le mois de février (le 8) pour obtenir des conditions satisfaisants de portance et d humidité du sol pour intervenir. Pluviométrie (cf. annexe) L intervention de désherbage mécanique est précédée de 2 journées sans pluie et suivi de 10 jours sans aucune pluviométrie. 4. Mesures et observations La détermination des adventices a été réalisée par traitement élémentaire par placette le 12 décembre Ce comptage a été renouvelé le 4 mars au redémarrage de la luzerne. La récolte est effectuée manuellement avec des ciseaux sur des placettes de 2 mètres de long sur 2 rangs et inter rang. La luzerne et les adventices sont coupés à 6 cm de haut, hauteur de fauche des récolteuses. Les adventices sont alors séparées manuellement de la luzerne et chaque échantillon est pesé séparément. Une matière sèche est réalisée sur chaque échantillon. La détermination des protéines est faite sur la première coupe. RESULTATS 1. Essai de Souain La flore présente est composée principalement de capselles. Le dénombrement dans les témoins en a été fait le 12 décembre. Les populations d'adventices sont homogènes variant de 120 à 150 capselles au m 2. Tableau 1 : Dénombrement des adventices au 4 mars 2008 Témoin Herse rotative Velpar S Adventice au m Efficacité % On note une perte de pied hivernal des capselles due aux individus en fin de cycle (en graine en novembre) qui disparaissent durant l hiver. En désherbage chimique, on note une efficacité intéressante du Velpar S proche de 60 %. En désherbage mécanique, l efficacité de la herse rotative avoisine 65 %. 4 DL/CL/08476
5 Effets du désherbage mécanique sur la production de la luzerne Tableau 2 : production par coupe (T/ha) Témoin 1 Témoin 2 Témoin 3 Rotative 1 Rotative 2 E.T C.V Luzerne 2,46 (A) 2,12 (AB) 1,88 (B) 2,04 (AB) 1,51 (C) S 0,23 11,6 Adventices 0,78 0,74 0,93 0,82 0,67 0,18 23 Total 3,23 (A) 2,86 (B) 2,82 (B) 2,86 (B) 2,19 (C) S 0,17 6,2 2 ème coupe Luzerne pure 3,63 2,96 2,85 2,84 3,20 0,62 20,27 Sur cette première coupe, le traitement rotative 2 est agressif sur la luzerne. Le rendement sur Rotative 2 (1,51) est proche du rendement du témoins contiguë témoin 3 (1,88) mais il en est significativement différent. En deuxième coupe, aucun écart n existe en terme de productivité. Sur une population d adventices de type capselle, les poids d adventices sont limités. La concurrence s établit au niveau des pivots, mais le développement aérien reste limité à ce stade comparativement à du colza. Étude la matière sèche Les matières sèches sont effectuées sur les échantillons dissociés luzerne adventices. Tableau 3 : matière sèche par coupe en % Témoin 1 Témoin 2 Témoin 3 Rotative 1 Rotative 2 E.T C.V MS luzerne 22,13 23,10 23,49 22,84 22,42 0,88 3,88 MS adventices 21,14 22,18 22,49 20,94 23,39 1,73 7,88 2 ème coupe MS luzerne 20,72 18,96 19,22 18,04 18,82 1,95 10,2 Étude de la teneur en protéine L analyse de la teneur en protéines se fait sur la première coupe. Sur la coupe suivante, l absence d adventices n a pas nécessité de renouveler les analyses. La flore adventice étant homogène (capselles). 5 DL/CL/08476
6 Tableau 4 : teneur en protéines de la luzerne (%) Témoin Rotative E.T C.V de Luzerne 20,95 20,90 1,37 6,56 Teneur en protéines des adventices (capselles) Sur une flore homogène de capselles, 4 échantillons ont été réalisés donnant les résultats suivants : 15,3, 15,7, 14,2, 15,6 pour une moyenne de 15,2. Le niveau au dessus du seuil des 15 % de protéines mais inférieur de 5 points à la teneur de la luzerne. Ceci amène la teneur en protéines pondérée à chuter de 1,5 à 2,1 points dans les traitements désherbage mécanique et témoins. 2. Essai de Bussy La flore la plus concurrente de la luzerne est le colza. Ces repousses sont réparties de façon hétérogène (levées dans l andain). Ce constat est réalisé le 12 décembre lors du comptage préliminaire. Du fait de dérive du traitement agriculteur, ainsi que de dégâts de campagnols, seul le témoin 1 sert de référence. Tableau 5 : dénombrement des adventices au 4 mars 2008 Témoin Rotative Velpar S Colzas au m2 1,6 0,4 1,4 Efficacité % La herse rotative obtient une efficacité de 76 % au 4 mars alors que le Velpar S a très peu d effet. Effets du désherbage mécanique sur la production de la luzerne La répartition des prélèvements a été modifiée afin de tenir compte des zones touchées par les campagnols et par les dérives du traitement. 6 DL/CL/08476
7 Tableau 6 : production par coupe (T/ha) Témoin 1 Témoin 2 Témoin 3 Rotative 1 Rotative 2 E.T C.V luzerne 3,22 1,98 2,64 3,62 2,81 0,72 25,5 adventices 1,35 (AB) 2,00 (A) 0,56 (AB) 0,18 (C) 0,53 (AB) 0,78 84,4 total 2 ème coupe 4,57 3,98 3,21 3,81 3,26 0,86 22,87 3,08 (A) 2,95 (AB) 3,17 (A) 2,61 (BC) 2,4 (C) 0,22 7,73 Pour la première coupe, on retrouve sur le poids d adventice l efficacité du désherbage mécanique. On note cependant en deuxième coupe une certaine baisse de production sur les parcelles désherbées mécaniquement, baisse non constatée en première coupe. Étude de la matière sèche Tableau 7 : matière sèche par coupe en % Témoin 1 Témoin 2 Témoin 3 Rotative 1 Rotative 2 E.T C.V MS luzerne ,6 22,5 22,1 0,5 2,38 MS adventices 17,57 22,05 20,81 20,74 20, ,0 2 ème coupe MS luzerne 22,03 22,24 22,47 21,73 22,2 0,82 3,71 Aucune différence n est détectée entre traitement. Étude la teneur en protéines Tableau 8 : teneur en protéine de la luzerne Témoin Désherbage mécanique E.T C.V luzerne 20,67 21,37 1,83 8,74 Teneur en protéines des adventices (colzas) A l'analyse, les adventices des 4 échantillons composés principalement de repousses de colza donnent les résultats suivants : 13,9, 14,8, 13,8, 17 pour une moyenne de 14,8. On note que la présence de repousses de colzas peut altérer fortement la qualité des luzernes. Ce constat a été fait par ailleurs sur l'expérimentation En présence de colzas dans les témoins, la teneur en protéine pondérée sera de 20, alors qu'elle atteindra dans la partie désherbage mécanique entre 20,5 et 21 à partir d'une analyse moyenne des colzas à 14,8. 7 DL/CL/08476
8 CONCLUSION L expérimentation désherbage mécanique a été mise en place pour l hiver 2008, en comparaison du dernier anti dicotilédones chimique (Velpar S) qui a été interdit d utilisation depuis. En 2008, nous vérifions à nouveau toute l'importance de bonnes conditions météorologiques pour la réussite d'une intervention mécanique, à savoir, un sol portant, une période de gel léger suivi d'une période sèche pour obtenir une bonne efficacité. Les conséquences d'un certain enherbement ne sont pas les mêmes en fonction du type d'adventices. La présence de repousses de colzas est très dommageable pour la qualité de la luzerne, de même que la présence de graminées. Ces adventices créeront un éclaircissement des luzernières et développeront un volume important de matière sèche pauvre en protéines. Les capselles auront peu de conséquences sur la qualité du produit. Le désherbage mécanique est en terme d'efficacité équivalent à la référence Velpar S avec une efficacité comparée au témoin de 65 à 75 %. Sur de jeunes semis, l'utilisation de matériel agressif comme la herse rotative risque d'être dommageable au potentiel de production de la parcelle. Ces différents éléments viennent donc renforcer le conseil concernant la qualité des implantations, la date de semis, ainsi que le désherbage d implantation. 8 DL/CL/08476
9 9 DL/CL/08476
10 Plan des expérimentations Témoin 1 Velpar S 0,5 Témoin 2 Velpar S 0,5 Témoin 3 Témoin Herse Rotative Témoin Herse Rotative Témoin 10 DL/CL/08476
11 Données météorologiques : novembre REIMS-COURCY B.A. 91 m Novembre 2007 T. Min T. Max Pluie C C mm DL/CL/08476
12 Données météorologiques : décembre REIMS-COURCY B.A. 91 m Decembre 2007 T. Min T. Max Pluie C C mm DL/CL/08476
13 Données météorologiques : janvier REIMS-COURCY B.A. 91 m Janvier 2008 T. Min T. Max Pluie C C mm DL/CL/08476
14 Données météorologiques : février REIMS-COURCY B.A. 91 m Février 2008 T. Min T. Max Pluie C C mm DL/CL/08476
15 Données météorologiques : mars REIMS-COURCY B.A. 91 m Mars 2008 T. Min T. Max Pluie C C mm DL/CL/08476
Fertiliser le maïs autrement
Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein
Plus en détailRESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008
C.R.E.A.B. MIDI-PYRENEES CENTRE REGIONAL DE RECHERCHE ET D EXPERIMENTATION EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE MIDI-PYRENEES RESULTATS DE L ESSAI VARIETES D ORGES D HIVER EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE CAMPAGNE 2007-2008
Plus en détailDésherbage maïs. Synthèse 2014. Présentation des essais. Le protocole
Désherbage maïs Synthèse 2014 Cette synthèse regroupe les résultats de 9 essais du réseau de désherbage maïs Poitou-Charentes Vendée. L animation du réseau et la synthèse des données brutes sont assurés
Plus en détailBien choisir sa variété de maïs ensilage
Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailRÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010
Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailVITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE
VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailPlacettes vers de terre. Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» www.observatoire-agricole-biodiversite.fr
Protocole Fiche «Description spécifique» Fiche «Observations» 13 PROTOCOLE 1/2 Les vers de terre sont de bons indicateurs de la qualité du sol. Ils sont également des acteurs indispensables de sa fertilité
Plus en détailTCS, strip-till et semis direct
Témoignage dethierry Lesvigne Polyculture Elevage Bovin Lait La Bernaudie 24 480 ALLES- SUR-DORDOGNE Depuis 2008, Thierry Lesvigne a choisi repenser l ensemble de son système agronomique et a arrêté définitivement
Plus en détailTechniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage
Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Romain LEGERE- Arvalis(station de la Jaillière Collaboration Bruno Couilleau-CA44 (Ferme de Derval) Techniques agronomiques innovantes
Plus en détailInfo.pl@ine STRATEGIE AGRONOMIQUE
Info.pl@ine N 453 20 février 203 5 pages CEREALES BLE Priorité au désherbage STRATEGIE AGRONOMIQUE Les conditions météo idéales sont une forte hygrométrie, des températures dces et un sol suffisamment
Plus en détailLUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME. Période d application. Pré-levée ou sur adventice jeune (FA < 3 f)
LUTTE CONTRE LES ADVENTICES ANNUELLES QUI POSENT PROBLÈME Folle avoine La lutte chimique est la méthode qui donne le plus de résultat. Les faux semis ont peu d intérêt avant culture d automne. Le labour
Plus en détailFICHE TECHNIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE
Maïs FICHE TECHNIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE - 2013 La plante Le maïs est cultivé pour : - le grain, qui est intéressant notamment pour son apport énergétique dans la ration biologique des animaux mono
Plus en détailÉvaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme
Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme Projet du Syndicat des producteurs de grains biologiques
Plus en détailNouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX.
Coup de tonnerre dans les raccourcisseurs Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Trimaxx est un nouveau raccourcisseur pour céréales à paille et féveroles doté d une formulation Son absorption
Plus en détailBilan Carbone des interventions viticoles
Chambre d agriculture de Vaucluse Bilan Carbone des interventions viticoles Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse Tél : 04.90.23.65.65 fax : 04.90.23.65.40 email : accueil@vaucluse.chambagri.fr
Plus en détailApplicable à partir de l année d assurance 2015 Assurance récolte - Sauvagine Section 12,3 - Expertise
Page 1 1. AVIS DE DOMMAGES Enregistrer les avis de dommages des producteurs affectés par la sauvagine, à partir de l unité de traitement «AVIS» tout en sélectionnant le programme Sauvagine (SAU). 2. CONSTATATION
Plus en détailValérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015
Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;
Plus en détailInformations techniques sur la culture de l ananas
Informations techniques sur la culture de l ananas Conditions de culture favorables (choix de la parcelle) : Sol drainant et plutôt acide. Terrain exposé au soleil. Accès à l eau pour l irrigation durant
Plus en détailCOMPTE RENDU. Journée semis direct dans le Béarn
COMPTE RENDU Journée semis direct dans le Béarn 26/07/12 1. L exploitation de Christophe Cassoulong Lieux: Lalonquette Elevage: 60 mères blondes d Aquitaine Cultures: 67ha : 2/3 Prairie 1/3 Cultures Maïs
Plus en détailles cinq étapes pour calculer les jours d avance
À retenir l expérience, acquise grâce à ces outils, permet également une bonne évaluation de la ressource disponible. une fois les mesures réalisées, la quantité d herbe disponible pour le lot se calcule
Plus en détailLe Taillis de saule à Très Courte Rotation Guide des bonnes pratiques agricoles
P r o g r a m m e L i f e E n v i r o n n e m e n t 2 0 0 4-2 0 0 7 Le Taillis de saule à Très Courte Rotation Guide des bonnes pratiques agricoles 02 l e s a g r i c o q u e s L e T a i l l i s d e s
Plus en détailUne gamme d outils qui s étoffe
Une gamme d outils qui s étoffe 1 Une gamme d outils à la disposition de tous Tous ces outils sont disponibles sur www.cetiom.fr Gratuits et sans inscription Nouveautés : les 2 premières applications smartphone
Plus en détailDOSSIER TECHNIQUE céréales : désherbage
DOSSIER TECHNIQUE céréales : désherbage Contact : Pôle Végétal et Entreprise 61 allée de Brienne - BP 7044-31069 Tlse cedex 7 Tél : 05 61 10 43 13 - Fax : 05 61 10 42 52 www.haute-garonne.chambagri.fr
Plus en détailBilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes
ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193
Plus en détailBIEN CHOISIR VOTRE SYSTEME DE GUIDAGE PAR SATELLITES
BIEN CHOISIR VOTRE SYSTEME DE GUIDAGE PAR SATELLITES Le guidage par GPS est un outil qui trouve maintenant sa place dans les structures de type polyculture-élevage. Avec des prix de plus en plus abordables,
Plus en détailprogression premiere et terminale
progression premiere et terminale s.2 s.3 valette SEQUENCE Séance Objectif Contenu du cours Compétences Savoirs 1 1. Le bilan comportemental Identifier les objectifs de la connaissance de soi Utiliser
Plus en détailCONFÉRENCE. Grande culture biologique et semis direct. Les essais Rodale. Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013
Club CDA CONFÉRENCE Grande culture biologique et semis direct Les essais Rodale Conférence présentée au cégep de Victoriaville, le 28 février 2013 Projet 12-INNO2-04 Jeff Moyer1, Denis La France 2, Fin
Plus en détailNe laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail!
Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Nous vous soutenons dans votre gestion de risques à l aide d une couverture d assurance globale contre les aléas climatiques. AU SERVICE
Plus en détailCirrus Activ Cirrus Cirrus Ac A tiv cti
Cirrus Activ 1 Le bon semoir de toutes les situations Le semis est une étape importante pour la réussite d une culture avec des rendements stables et élevés. L efficacité et la rentabilité d un matériel
Plus en détailStation météo sans fil avec température, Alerte Gel et horloge radio pilotée Modèle: BAR386
Station météo sans fil avec température, Alerte Gel et horloge radio pilotée Modèle: BAR386 MANUEL DE L UTILISATEUR TABLE DES MATIÈRES Introduction... 2 Vue d Ensemble de l Horloge... 2 Face Avant... 2
Plus en détailPréface. Betterave fourragère, un concentré de fourrage
Préface Les anciens le diront tous, la betterave fourragère a des atouts incontestables pour l alimentation des animaux d élevage. En production bovine de lait ou de viande ou pour la production ovine
Plus en détailLA TÉLÉDETECTION EN AGRICULTURE. par Bruno Tisseyre 1
1 LA TÉLÉDETECTION EN AGRICULTURE par Bruno Tisseyre 1 RÉSUMÉ Avec la médiatisation des applications développées à partir des drones, la télédétection appliquée à l'agriculture fait aujourd hui beaucoup
Plus en détailAFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014
AFPP DIXIÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LES RAVAGEURS EN AGRICULTURE MONTPELLIER 22 ET 23 OCTOBRE 2014 ETUDE DES METHODES DE LUTTES CONTRE LE VER BLANC DES CEREALES (GEOTROGUS DESERTICOLA BLANCH.) DANS
Plus en détailReussir. le passage au non-labour. Qu'est-ce que le non-labour? Il y a plusieurs types de non-labour... Reussir
le passage au Qu'est-ce que le? C'est travailler le sol sans retournement (sans labour) sur tout ou partie des parcelles de l'exploitation, avec pour objectif à priori l'abandon définitif de la charrue.
Plus en détailInstallations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3
SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 II. MODE OPERATOIRE... 3 A. MATERIEL UTILISE... 3 1) Sonomètre... 3 2) Calibreur... 3 B. METHODE DE MESURE... 4 C. POSITIONNEMENT DU MATERIEL... 4 III. CAMPAGNE DE MESURE...
Plus en détailSTRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE
STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient
Plus en détailPlan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes?
11 décembre Arles Plan de désherbage, plan de gestion différenciée : objectifs et mise en œuvre concrète, quelles sont les actions à mettre en place par les communes? Claire LAFON Benoit DUPUY Introduction
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailPrésentation de l essai 2. Enjeux et objectifs 2. Essai 1 (Screening d appétence) 2. Essai 2 (Evaluation au champ) 4.
ENPE08 1/ 10 Titre de l essai : Code de l essai : EVALUATION DU THIAMETHOXAM ET DU SPINOSAD EN STATIONS D APPATS POUR LE CONTROLE DES POPULATIONS DE FOURMIS TAPINOMA NIGERRIMUM ERFOU0111 Partenariats :
Plus en détailCe qu'il faut retenir
N 26 7 Août 2015 Ce qu'il faut retenir Prairie Quelques chenilles présentes. Soja ANIMATEURS FILIERE Céréales à paille DESIRE Sylvie / FDGDON 64 s.desire@pa.chambagri.fr Suppléance : ARVALIS a.carrera@arvalisinstitutduvegetal.fr
Plus en détail2. Détermination de la teneur en eau
2. Introduction à la détermination de la teneur en eau... 2-2 Tolérances applicables à la teneur en eau... 2-3 Estimer la teneur en eau d échantillons légers de blé, d avoine et d orge... 2-5 Blé CWRS,
Plus en détailMESURES DE BRUIT A l ÉTAT INITIAL
DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER UNE UNITE DE METHANISATION DE MATIERES ORGANIQUES Siège social : FRANCE BIOGAZ VALORISATION 12 rue Finkmatt 67000 STRASBOURG Tél. : 03 88 23 47 72 Fax : 03
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailCompact, léger et sûr. Lifts de montage en alu Nacelles individuelles en alu. www.boecker-group.com 1
Compact, léger et sûr Lifts de montage en alu Nacelles individuelles en alu www.boecker-group.com 1 Lifts de montage en alu Böcker Toujours à jour Dès 1958, la marque Böcker est renommée pour ses monte-matériaux
Plus en détailMarteloscope Gounamitz 2
Marteloscope Gounamitz 2 Description du dispositif Michel Soucy et André Cyr Faculté de foresterie, Université de Moncton, Campus d Edmundston Jean-Martin Lussier Centre canadien sur la fibre de bois,
Plus en détailUn outil polyvalent pour vos champs FO, FO_L, FN, FN_L + ALFA DRILL
Un outil polyvalent pour vos champs FO, FO_L, FN, FN_L + ALFA DRILL FENIX FO, FO_L Description générale PRINCIPAUX AVANTAGES DE LA MACHINE Un double châssis central (150 100 mm/120 120 mm) qui vous permettra
Plus en détailBILAN DE LA CAMPAGNE 2014
BSV n 13 bilan saison 214 Epidémiosurveillance BRETAGNE-NORMANDIE-PAYS DE LA LOIRE : Bilan de la Saison 214 SOMMAIRE BILAN DE LA CAMPAGNE 214 Les observateurs Les observations Les Bulletins de Santé du
Plus en détailGrêle : précipitation de glace avec un diamètre de quelque cm Grésil : grêlon avec un diamètre <5mm peu de dégâts
1. 2 CHAPITRE 2 : PROTECTION DES CULTURES CONTRE LES ACCIDENTS CLIMATIQUES 2.1 Grêle Grêle : précipitation de glace avec un diamètre de quelque cm Grésil : grêlon avec un diamètre
Plus en détailLe séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA
Le séchage en grange du foin à l énergie solaire PAR MICHEL CARRIER AGR. CLUB LAIT BIO VALACTA Séchage du foin en grange Séchage en grange Technique originaire des zones de montagnes Suisse Autriche Jura
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailLIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés
LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /
Plus en détail4. Notice d utilisation
Clauses techniques pour une prise en compte de la réduction de l utilisation des produits phytopharmaceutiques dans les marchés publics d entretien et de conception des espaces publics Mars 2012 Action
Plus en détailMODE D EMPLOI ET PRÉCAUTIONS D USAGE POUR LES DÉSHERBEURS 1219KIT3-1219F2-1219 F3-1219F4-1048 1040-1439-1438
NOTICE DZ'HERBEUR 6/02/09 17:01 Page 1 NORMES REGLEMENTAIRES NE PAS JETER CET APPAREIL DANS LA POUBELLE, LE RAMENER Norme CE pour le A VOTRE tuyau POINT DE VENTE POUR RECYCLAGE. LA LECTURE DE CE MANUEL
Plus en détailToits-jardins : de nouvelles possibilités à exploiter! Marie Eisenmann, cofondatrice des Urbainculteurs! BOMA Québec 28 septembre 2011!
Toits-jardins : de nouvelles possibilités à exploiter! Marie Eisenmann, cofondatrice des Urbainculteurs! BOMA Québec 28 septembre 2011! Introduction! Repenser les toits! Des surfaces à exploiter! Très
Plus en détailContexte : Objectif : Expérimentation :
Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote
Plus en détaillégumineuses, seigle, épeautre, pomme de terre, légumes de plein champ. orge, triticale, prairie temporaire, luzerne, oignons.
Maïs Culture 4.5.11 Généralité Le maïs : est gourmand en éléments fertilisants; met bien en valeur l azote organique; est un fourrage de qualité. Type de sol, climat Sol Favorables Profond; bien structuré;
Plus en détailJournées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013
Journées portes ouvertes ECOPHYTO 18-11-2013 Principe: Favoriser la biodiversité fonctionnelle sur l exploitation -Impact très souvent sous estimé de la faune auxiliaire naturellement présente -Importance
Plus en détailFAVORISER LA BIODIVERSITÉ DANS LE CIMETIÈRE. Guillaume Larregle (Maison de l Environnement de Seine-et-Marne)
FAVORISER LA BIODIVERSITÉ DANS LE CIMETIÈRE Guillaume Larregle (Maison de l Environnement de Seine-et-Marne) LA TRAME VERTE ET BLEUE RECONSTITUER UN RÉSEAU DE CONTINUITÉS ÉCOLOGIQUES Permettre à la faune
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailhttp://www.allier.chambagri.fr/fileadmin/documents_ca03/divers_pdf/bon_usage_des_prdts_phyto.pdf A vos cultures
Février 2015 Service Agronomie, Territoire, Equipement Préconisation variétés maïs 2015 Cette plaquette fait partie du Guide annuel «A vos cultures». Celui-ci regroupe, dans un ensemble cohérent et global,
Plus en détailETAT DE L ART ET PERSPECTIVES POUR LES SERVICES NUMÉRIQUES APPLIQUÉS À LA VITICULTURE.
ETAT DE L ART ET PERSPECTIVES POUR LES SERVICES NUMÉRIQUES APPLIQUÉS À LA VITICULTURE. UMR ITAP Montpellier Christophe.guizard@irstea.fr www.irstea.fr PLAN Introduction Toujours + Les TICs L écosystème
Plus en détailPetits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification
Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE Identification Nom français : Punaise terne Nom latin : Lygus lineolaris Nom anglais : Tarnished plant bug Ordre : Hemiptera Famille
Plus en détailL ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège
L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège Plan L ensilage de maïs en général Caractéristiques anatomiques
Plus en détailAnalyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes
Analyse de la variance Comparaison de plusieurs moyennes Biostatistique Pr. Nicolas MEYER Laboratoire de Biostatistique et Informatique Médicale Fac. de Médecine de Strasbourg Mars 2011 Plan 1 Introduction
Plus en détailSemis direct du maïs
Département fédéral de l'économie DFE Station de recherche Agroscope Reckenholz-Tänikon ART Semis direct du maïs Etude comparative de différents semoirs pour semis direct Bernhard Streit Journée d information
Plus en détailRay-grass anglais auto-regarnissant
Robuste COMME L ACIER Ray-grass anglais auto-regarnissant Une technologie révolutionnaire : auto-regarnissage et tolérance au jeu la plus élevée, même avec une tonte courte! RPR technology inside! RPR
Plus en détailDIRECTIVE NITRATES : LES CONTRAINTES SUR LA GESTION DE L INTERCULTURE
CHOISIR ET REUSSIR SON COUVERT VEGETAL PENDANT L INTERCULTURE EN AB Cameline (S.Minette, CRA PC) Moutarde, phacélie, avoine, trèfles mais aussi, sarrasin, navette, lentille, moha Tous ces couverts végétaux
Plus en détailBiostatistiques Biologie- Vétérinaire FUNDP Eric Depiereux, Benoît DeHertogh, Grégoire Vincke
www.fundp.ac.be/biostats Module 140 140 ANOVA A UN CRITERE DE CLASSIFICATION FIXE...2 140.1 UTILITE...2 140.2 COMPARAISON DE VARIANCES...2 140.2.1 Calcul de la variance...2 140.2.2 Distributions de référence...3
Plus en détailMaïs grain irrigué. Synthèse variétale 2014
Maïs grain irrigué Synthèse variétale 2014 Les récoltes 2013 comme celles de 2012 se sont faites sur des sols trempés et tardivement. L hiver très doux, très humide, en absence totale de gel n a pas permis
Plus en détailTALENSIA. Pertes d exploitation Grêle sur récoltes. Dispositions spécifiques
TALENSIA Pertes d exploitation Grêle sur récoltes Dispositions spécifiques L'introduction et la présentation du plan d assurances Entreprises Les dispositions communes Le lexique sont également d'application.
Plus en détailCAHIER TECHNIQUE. Culture biologique de l endive. Techn ITAB. Production de racines 6 mois environ
CAHIER TECHNIQUE Techn ITAB Culture biologique de l endive L endive, premier légume d hiver, représente en France environ 220 000 à 250 000 tonnes par an commercialisées essentiellement d octobre à avril.
Plus en détailInfluence du changement. agronomiques de la vigne
Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique
Plus en détailLes Autorisations de Mise sur le Marché (AMM) délivrées au titre du Règlement (UE) n 528/2012 (dit BPR)
Les mardis de la DGPR 17/09/2013 Les Autorisations de Mise sur le Marché (AMM) délivrées au titre du Règlement (UE) n 528/2012 (dit BPR) Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention
Plus en détailmon maïs fourrage, (GNIS) rassemble toutes les parties prenantes de la filière semences française, soit 72 entreprises de sélection,
Ma vache, mon maïs fourrage, et moi 50 ans de progrès! Depuis maintenant 50 ans, le maïs fourrage a bénéficié avec succès du progrès génétique et de l innovation variétale. Il a su s inscrire durablement
Plus en détailLA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES
LA CHARTE REGIONALE D ACCES AUX AIDES AGRICOLES Version A Aide sollicitée auprès du Conseil Régional de Picardie au titre de (cocher l aide sollicitée) : o L investissement en agriculture biologique o
Plus en détailM. PATROUIX Robert M. TRYMBULAK Michael. M. RIGOLI Alain Les copropriétaires.
Sigean le, mercredi 2 novembre 2012 Note Rédaction Jean Claude GOUZÈNE M. FIAMAZZO Bruno, Président du conseil syndical À Copie M. PATROUIX Robert M. TRYMBULAK Michael M. RIGOLI Alain Les copropriétaires.
Plus en détailDIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions
DIRECTIVE NITRATES ZONE VULNERABLE 4ème Programme d Actions Novembre 2010 CHAMBRE D AGRICULTURE 47 4ème Programme d Actions ZONE VULNERABLE Quelle zone? 93 communes 2466 exploitations 94425 ha 4ème Programme
Plus en détailAnalyse d outils de gestion des risques agricoles en Région wallonne. Rapport final
Université catholique de Louvain Faculté d'ingénierie biologique, agronomique et environnementale Unité d économie rurale Analyse d outils de gestion des risques agricoles en Région wallonne Rapport final
Plus en détailCARACTÉRISTIQUES. > ÉDITION septembre 2013 RÉCOLTE 2013. Qualité des blés durs français
CARACTÉRISTIQUES > ÉDITION septembre 213 RÉCOLTE 213 Qualité des blés durs français ÉDITORIAL BLÉ DUR 213 : UNE PRODUCTION À 1,7 MILLION DE TONNES ET UNE QUALITÉ VARIABLE SELON LES SITUATIONS La production
Plus en détailApplicable à partir de l année d assurance 2014 Assurance récolte Apiculture Section 13,2 - Admissibilité
Section 13,2 - Admissibilité Page 1 Les normes générales à toutes les protections d assurance concernant l application des normes d admissibilité se retrouvent à la procédure générale. Cependant, les normes
Plus en détailD après l enquête 2011 sur les pratiques culturales, environ 230 000 ha étaient semés en semis-direct, essentiellement dans des résidus de culture.
Sommaire De quoi parle t-on? Intérêts et points de vigilance Du concept à la technique Regards croisés De quoi parle-t-on? Le Semis-Direct sous Couverture Végétale (SDCV) consiste à associer arrêt du travail
Plus en détailFICHE TECHNIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE - 2013. Rotation. Préparation du sol. Semis
Endive FICHE TECHNIQUE AGRICULTURE BIOLOGIQUE - 2013 La plante Trois types de production sont définis en fonction des périodes de semis et d arrachage : - les semis de la 2 ème quinzaine d avril sous bâche
Plus en détailEvaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood
Evaluation du LIDAR et de solutions innovantes pour la chaîne d approvisionnement du bois : les résultats du projet européen FlexWood Le projet de recherche européen FlexWood («Flexible wood supply chain»)
Plus en détail: IDENTIFIANT : BOURGOGNE, MOT DE PASSE : CAVB
SPECIALE ASSURANCES N 51 bis du mois de janvier 2014 La CAVB s est rapprochée de quelques compagnies d assurance afin de connaître les différentes offres existantes concernant les aléas climatiques. Vous
Plus en détailjanvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE
janvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE Préambule Pourquoi ce guide? Avant propos Dans le département du Rhône, l étalement urbain grandissant et les grands projets
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailUNION INTERNATIONALE POUR LA PROTECTION DES OBTENTIONS VÉGÉTALES
ORIGINAL: anglais DATE: 18 septembre 2014 UNION INTERNATIONALE POUR LA PROTECTION DES OBTENTIONS VÉGÉTALES Genève F LOGICIELS ÉCHANGEABLES Document adopté par le Conseil à sa quarante-huitième session
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailDans la pratique agricole tunisienne, les fourrages pluriannuels sont peu utilisés
Fourrages (1995) 142,181-190 Etude de trois associations luzerne - graminée pérenne en zone semi-aride de Tunisie A. Zoghlamil, A. Nefzaoui-, H. Seklani! Dans la pratique agricole tunisienne, les fourrages
Plus en détailLa construction du nombre en petite section
La construction du nombre en petite section Éléments d analyse d Pistes pédagogiquesp 1 La résolution de problèmes, premier domaine de difficultés des élèves. Le calcul mental, deuxième domaine des difficultés
Plus en détailAgriculture Biologique
Agriculture Biologique Compte rendu des essais réalisés en Picardie Récolte 2011 Population de blé anglaise Ferme de Chantrud (02) Samantha Bertrand (CA02) Pierre Menu (CA 80) Gilles Salitot (CA 60) Septembre
Plus en détailMémoire de fin d études
Institut Supérieur d Agriculture 48 Boulevard Vauban 5946 Lille Cedex ARVALIS - Institut du végétal 3, rue Joseph et Marie Hackin 75116 PARIS Mémoire de fin d études La rotation des cultures dans les systèmes
Plus en détailSynthèse des travaux réalisés par la DMN dans le cadre du projet ACCMA
Synthèse des travaux réalisés par la DMN dans le cadre du projet ACCMA Fatima Driouech et Atika Kasmi Le travail effectué par l équipe de la DMN, dans le cadre du projet et durant cette première période,
Plus en détailDevenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)
GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés
Plus en détailBACCALAURÉAT PROFESSIONNEL SUJET
SESSION 203 Métropole - Réunion - Mayotte BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL ÉPREUVE E4 CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE : MATHÉMATIQUES Toutes options Durée : 2 heures Matériel(s) et document(s) autorisé(s)
Plus en détailFRANCAIS MANUEL D UTILISATION THERMOMETRE MEDICAL SANS CONTACT A INFRAROUGE MODELE LX-26
MANUEL D UTILISATION FRANCAIS THERMOMETRE MEDICAL SANS CONTACT A INFRAROUGE MODELE LX-26 www.thermo-flash.com APPRENTISSAGE RAPIDE DU THERMOFLASH LX-26 Le ThermoFlash LX-26 est pré-paramétré en sortie
Plus en détailLa vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures»
Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel! La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» BIO3G : 3 rue Basse Madeleine - BP 22-22230 MERDRIGNAC Tél : 02 96 67 41 41 - Fax :
Plus en détail