Aspects radiologiques des Prolactinomes géants

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1 Aspects radiologiques des Prolactinomes géants Belazzouz A.Y, Kesri.N,Bouaouina.S,Boudissa.M, Foudil.D, Mimouni.S Service d Endocrinologie et maladies métaboliques. EHS CPMC Alger.

2 Introduction L imagerie par résonnance magnétique de la région hypothalamohypophysaire (IRM HH): est devenu un outil indispensable à l exploration morphologique des lésions hypophysaires. Elle permet d analyser très finement leurs caractéristiques anatomoradiologiques en précisant : - la taille de la tumeur -ainsi ses rapports avec les structures locorégionales.

3 Introduction Le prolactinome est la tumeur la plus fréquente de l hypophyse représentant 40% des adénomes hypophysaires. Le prolactinome géant (PG) en est une variété rare définie arbitrairement (consensus) par: 1/le plus grand axe > 4 cm dans n importe quelle direction 2/un taux de prolactine > 1000ng/ml 3/l absence d autres co-sécrétions hypophysaires. E.Espinosa et al. Endocrine 2015

4 Objectif: L objectif de cette étude est : L analyse des aspects radiologiques d un sous groupe de patients hospitalisés porteurs de PG, comparativement à la présentation radiologique de macroprolactinomes classiques (MP) naïfs de tout traitement anti PRL.

5 Patients et méthodes Etude rétrospective menée sur une durée de 8 ans, de dossiers de patients hospitalisés pour macroprolactinomes ayant bénéficié d un examen clinique, ophtalmologique classique et d examens d imagerie par IRM HH. Les caractéristiques radiologiques suivantes ont été analysé : -Taille des processus. -leur signal -leur structure - ainsi que leurs extensions locorégionales.

6 Résultats La série étudiée est composée de: 16 patients porteurs de PG (14H /2 F) d âge moyen de 36,5 ans (16-70 ans) comparés à 18 macroprolactinomes (12F/ 6H) d âge moyen de 30,5 ans.

7 Corrélation grand axe des PG /PRL? Données individuelles taux de PRL grand /axe PG Le plus grand diamètre moyen 49,9mm (extr 40-70mm) Absence de corrélation évidente entre le grand axe et le taux de prolactine (p: 0,5)

8 Données de signal: PG: N=7/16 MP: N=9/18

9 Structure des PG : p : 0,023 p : 0,61 42,8% p : 0,45 30,7% 18,7% 30,7% 40% 6,6%

10 STRUCTURES DES PG Ventricules latéraux Hémorragie en hyper signal T1 zone kystique hypo signal T1

11 Extensions locorégionales: 92,85% 46,15% 85,71% 33,33% 92,85% 33,33% p : 0,03 p : 0,01 p : 0,004

12 Extensions locorégionales: chiasma T1 Sinus caverneux T2 Sinus sphénoïde Processus géant expansif aux différentes structures locorégionales (séquences T1-T2)

13 Données Scannographiques: Disponible chez 10 patients - calcifications chez 2 patients -Diamètre était en général sous estimé par rapport à IRM hypophysaire. Signe de l anneau : prolactinome géant kystique Scanner cérébral: Prolactinome géant à extension orbitaire

14 Discussion 1 1/Les PG ont représenté 47% des macroprolactinomes hospitalisés vs 17% (série d Espinoza 2015) cette fréquence élevée est lié au biais de recrutement. 2/ nous n avons pas noté de corrélation évidente entre le grand axe et le taux de PRL. Ce qui peut être expliqué par 3 mécanismes de levée de feedback: 1/absence de dilution suffisante 2/baisse de la vascularisation capillaire 3/dénervation modèle hyper sensitive (récepteur dopaminergique avide à la dopamine). *RAJ K. SHRIVASTAVA et al, J Neurosurg 97: , 2002 **Nishioka et al. Neuroradiology (2002) 44:

15 Discussion La prévalence significativement élevée des remaniements kystiques et/ou hémorragiques intra tumoraux dans les formes géantes des prolactinomes peut être expliquée par une altération de la micro vascularisation et les facteurs favorisant l apoplexie (trauma, grossesse, certains médicaments: AVK ). *Girish Menon* et al, indian journal of endocrinology 2009 *Pituitary Today II: New Molecular, Physiological and Clinical Aspects. Front Horm Res. Basel, Karger, 2010, vol 38, pp Ces remaniements ont été observés en accord avec d autres études de manière significative plus fréquente chez les adultes jeunes de sexe masculin. *H. Nishioka et al. Neuroradiology (2002),

16 Discussion Dans notre série les extensions observées sont essentiellement verticales vers le chiasma et le sinus sphénoïde, et horizontale D autres extensions ont été rapportées dans d autres directions dans la littérature (postérieure, ) Ces extensions traduisent un potentiel agressif rattaché à leurs index mitotique et prolifératif Ki67 significativement plus élevés par rapport à ceux des macro prolactinomes. *Helen Madsen et al. Am J Surg Pathol L Hyper signal T2 constant dans les PG est lié à leur activité sécrétoire majeure. * SFE 2015 M.C. Burlacu (Belgique)

17 Conclusion A travers l étude des aspects radiologiques de cette série de PG, il apparait que l IRM HH est plus précise que le scanner dans l évaluation de la taille de ces processus ce qui en fait un meilleur outil de surveillance. L étude a révélé en plus de leur caractère volumineux d importants remaniements structuraux majeurs ainsi qu' une grande fréquence d extensions multidirectionnelles par rapport aux macroprolactinomes classiques. Ces caractéristiques traduisent un potentiel agressif majeur de ce type de processus impactant négativement leurs possibilités thérapeutiques.

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