AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE

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1 D A K REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Dakar A R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE Octobre 2015 Situation Economique et Sociale de la Région de Dakar, édition Page i

2 COMITE DE DIRECTION Directeur Général AboubacarSédikh BEYE Directeur Général Adjoint MamadouFalou MBENGUE Conseiller à l Action Régionale Mamadou DIENG Président du Comité de Lecture et de Validation Seckène SENE COMITE DE REDACTION Chef du Service Régional Expert 1 Expert 2 Le point focal du siège qui a aidé à la rédaction de la SESR Samba NDIAYE Mariama FALL Ababacar NDIAYE Amadou Fall DIOUF COMITE DE LECTURE Seckène SENE Direction Générale Abdoulaye Mamadou TALL Direction Générale Mamadou DIENG Direction Générale Alpha WADE CPCCI Saliou MBENGUE CPCCI Thiayédia NDIAYE CPCCI El Hadji Malick GUEYE DMIS Mamadou BAH DMIS Alain François DIATTA DMIS Amadou Fall DIOUF AdjibouOppa BARRY Atoumane FALL Jean Rodrigue MALOU Mamadou FAYE DSECN Modou Ndour FAYE DSECN Abdou DIOUF DSECN AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DELA DEMOGRAPHIE Rocade Fann Bel-air Cerf-volant Dakar Sénégal. B.P. 116 Dakar R.P. - Sénégal Téléphone (221) Fax (221) Site web : ; statsenegal@ansd.sn Distribution : Division de la Documentation, de la Diffusion et des Relations avec les Usagers Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Dakar Adresse : villa n 54, Ouest Foire, cité Sagef. Tél : B.P. : Situation Economique et Sociale de la Région de Dakar, édition Page ii

3 Chapitre XII : ENVIRONNEMENT INTRODUCTION L environnement est aujourd hui au cœur de toutes les préoccupations des gouvernants dans la perspective d un développement durable. En effet, depuis plusieurs décennies, le monde connaît des mutations écologiques profondes et rapides dues essentiellement aux activités de l homme (l énergie, l industrie, la déforestation, etc.) qui ont un impact négatif sur l environnement. Or, les ressources environnementales constituent un énorme potentiel de développement et d amélioration du bien-être des populations. Pour exploiter ce potentiel et accéder à un développement durable, il est impératif de protéger l environnement à travers une bonne politique. Au Sénégal, la Direction de l Environnement et des Etablissements Classés (DEEC) est chargée de la mise en œuvre de la politique du Gouvernement en matière d environnement, notamment de la protection de la nature et des hommes contre les pollutions et les nuisances. Ce chapitre aborde la question environnementales dans la région à travers les activités de la Direction Régionale de l Environnement et des Etablissements Classés (DREEC) notamment la préservation et l amélioration du cadre de vie, la prévention et le contrôle des pollutions et nuisances, la protection de l environnement ensuite les études d impact de l environnement. XII.1. PRESERVATION ET AMELIORATION DU CADRE DE VIE XII.1.1. La collecte et l évacuation des déchets Les collectivités locales sont chargées du ramassage et du transport des ordures ménagères. La collecte, le transport et l élimination des déchets solides sont loin d être performants à Dakar, malgré l apport de sociétés privées et l intégration des charrettes dans le ramassage des ordures. En outre, l unique décharge de la capitale Mbeubeuss, ouverte en 1968 est implantée sur le lit desséché du lac de Mbeubeuss. Situation Economique et Sociale de la Région de Dakar, édition Page 139

4 XII.1.2. La gestion des déchets A Dakar, la gestion des déchets ménagers est sous la responsabilité de l entente intercommunautaire CADAK CAR qui regroupe les villes de Dakar, Rufisque, Pikine et Guédiawaye. Elle est chargée d assurer la coordination, le suivi et le contrôle de la mise en œuvre des actions complémentaires de nettoiement, collecte et traitement des déchets, d assurer la maîtrise d ouvrage du programme complet de gestion de déchets en s appuyant sur les opérateurs privés et d impulser une dynamique participative durable des populations autour de l assainissement de leur cadre de vie. XII.2. GESTION DES POLLUTIONS ET NUISANCES La pollution est définie comme toute contamination ou modification directe ou indirecte de l environnement provoquée par tout acte intentionnel ou non susceptible d affecter défavorablement le milieu, le fonctionnement des écosystèmes, la faune et la flore. Quant à la nuisance, c est tout élément préjudiciable à la santé de l homme et à l environnement. Cette partie concerne les pollutions de l air ou les odeurs qui incommodent les populations, compromettent la santé ou la sécurité publique, nuisent à la production agricole, à la conservation des constructions et monuments ou au caractère des sites et des écosystèmes naturels. Dans le domaine de la gestion des pollutions et des nuisances, des plaintes ont été enregistrées par la division régionale de l environnement. En conséquence, les agents de la division, en rapport avec la brigade de gendarmerie et de l environnement, ont traité 27 plaintes. Le nombre de plaintes a connu une baisse en passant de 35 unités en à 27 en. XII.3. GESTION DES INSTALLATIONS CLASSEES POUR LA PROTECTION DE L ENVIRONNEMENT (ICPE) On entend par installations classées toute source fixe ou mobile susceptible d être génératrice d atteinte à l environnement, quel que soit son propriétaire ou son affectation. Il y a les installations de première classe qui sont susceptibles de présenter de graves dangers pour la santé, la sécurité, la salubrité publique, l agriculture, la nature et l environnement en général ou des inconvénients pour la commodité du voisinage, les installations de deuxième classe qui englobent celles ne présentant pas d inconvénients graves pour la santé, la sécurité, la salubrité publique, l agriculture, la nature et l environnement en général ou des inconvénients pour la commodité du voisinage. Situation Economique et Sociale de la Région de Dakar, édition Page 140

5 Les premières doivent faire l objet, avant leur construction ou leur mise en service, d une autorisation d exploitation délivrée par arrêté du Ministre chargé de l environnement dans les conditions fixées par décret selon les articles L9 et L13 du code de l environnement. Celles de la seconde catégorie sont soumises à déclaration et doivent respecter les prescriptions générales édictées par arrêté du Ministre chargé de l environnement après avis des Ministres chargés respectivement de la protection civile, des mines et de l énergie en vue de la protection contre les inconvénients inhérents à leur exploitation (article L9 et L20 du code de l environnement). Tableau : Evolution des ICPE selon la nature et la classe Nature ICPE Autorisées En instance Rejetées Total Variation % Stations-services % Stations de pêche % Boulangeries % Dépôts de gaz % Fabriques de glace % Dépôts de stockage de chaux hydratée Unité conditionnement de détergents (eau de javel savons liquide etc.) Garage de stationnement de camions d hydrocarbures % % % Dépôt de bois % Atelier de réparation et d entretien de véhicules % Total % Source : DREEC XII.4. ETUDES D IMPACT ENVIRONNEMENTAL (EIE) C est la première et la principale étude visant la protection de l environnement dans l exécution d un projet. Cette étude permet, au moment des études de faisabilité, de prendre en compte les contraintes environnementales, au même titre que les contraintes techniques, économiques et sociales. Selon les catégories de projets, la législation exige : soit une étude d impact légère (AEI), soit une étude d impact approfondie(eia). Dans le cas d une étude d impact approfondie, une étude de danger est exigée par la règlementation. Cette étude de danger fait l objet d un guide méthodologique et a pour finalité d évaluer les risques que peuvent présenter les installations classées et de proposer des mesures de maitrise correspondantes. Situation Economique et Sociale de la Région de Dakar, édition Page 141

6 Graphique 12.1: Evolution du nombre d'études d'impact environnemental réalisées , , ,5,5,5 Source : DREEC XII.5. GESTION DE L ENVIRONNEMENT FLUVIAL/MARITIME ET DE LA DEGRADATION DES SOLS L accroissement rapide de la population, les migrations vers les côtes, l expansion rapide du tourisme et de l industrie ainsi que l exploitation anarchique du sable marin favorisent un développement rapide des infrastructures qui modifie les caractéristiques physiques des côtes. A ces causes anthropiques, viennent se greffer les effets du changement climatique. En effet, l élévation du niveau de la mer, consécutive au réchauffement climatique, constitue un grand risque de dégradation pour les côtes africaines. Selon les estimations, l augmentation du niveau de la mer, au cours des 100 prochaines années, entraînera des grandes inondations ainsi qu un recul du littoral. La couverture progressive des Niayes par le sable des dunes qui avancent du fait de l action du vent est une illustration des dangers qui menacent les populations. La coupe de la végétation qui y prospère a fragilisé leur fixation malgré les efforts énormes consentis par l Etat. Par ailleurs, le littoral subit une érosion très poussée au niveau de la Baie de Hann, de la pointe de Bel Air à Diokoul ; les villages de Thiaroye sur mer, Mbao, M batal, Yoff et toute la zone industrielle étant menacée. Ce processus est accentué par le prélèvement inconsidéré et frauduleux de sable de mer par des charretiers. Conclusion La campagne a été caractérisée par une amélioration des résultats dans le domaine de la gestion de l environnement. Dans le domaine de la gestion des pollutions et des nuisances, des plaintes ont été enregistrées et traitées par les services compétents. Des études d impacts ont été réalisées par des projets qui devraient commencés, afin de prendre en compte les contraintes environnementales, au même titre que les contraintes techniques, économiques et sociales. Toutefois, il convient Situation Economique et Sociale de la Région de Dakar, édition Page 142

7 aussi de souligner que le domaine de l environnement de Dakar reste menacé par beaucoup de contraintes telles que l urbanisation galopante, le manque de ressources pour le financement des programmes d aménagement intégré, la pollution des grandes entreprises... Situation Economique et Sociale de la Région de Dakar, édition Page 143

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