Décryptage hebdomadaire des informations de santé publique: Le paradoxe de la politique nationale de vaccination infantile

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1 Décryptage hebdomadaire des informations de santé publique: Le paradoxe de la politique nationale de vaccination infantile Mme Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, a récemment fait part de sa volonté de rendre obligatoire en France onze vaccins destinés aux enfants (le tétanos, la diphtérie, la coqueluche, Haemophilus influenzae, le pneumocoque, le méningocoque, la poliomyélite, la rougeole, les oreillons, la rubéole et l'hépatite B) ( Tableau 1). Actuellement, seuls ceux contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite sont obligatoires chez les enfants partout sur le territoire national, à l'exception de la Guyane pour laquelle le vaccin contre la fièvre jaune est aussi obligatoire. D'autres vaccins, comprenant les huit autres vaccins susmentionnés auxquels s'ajoutent notamment ceux contre la tuberculose, la varicelle-zona ou la grippe, sont quant à eux classés comme des vaccins recommandés par la législation française ( (Tableau 1). Bien que la déclaration de Mme la Ministre soit une avancée non négligeable dans le domaine de la lutte contre les maladies infectieuses évitables en France, cette proposition de liste des maladies à vaccination obligatoire chez l'enfant soulève selon nous plusieurs interrogations (Tableau 1). Tout d'abord, si l'on regarde les derniers chiffres de mortalité mondiale de 2015 liée aux maladies infectieuses [1], on observe que quatre des onze agents pathogènes présents dans la liste proposée (la diphtérie, la poliomyélite, les oreillons et la rubéole) ne font pas partie des vingtcinq agents pathogènes les plus meurtriers dans le monde et que les trois derniers ne sont tout simplement pas mentionnés dans ce (Tableau 1). A l'échelle nationale, les derniers chiffres

2 relatifs à la mortalité de ces quatre agents pathogènes montrent qu'ils ne sont plus ou presque plus responsables de décès en France depuis de nombreuses années (Tableau 1). Par ailleurs, si l'on se focalise sur les cinq des sept autres agents pathogènes pour lesquels des données nationales de mortalité chiffrées sont accessibles, on constate que seule l'hépatite B est un grand tueur à l'échelle nationale (1 000 morts en moyenne par an en France métropolitaine), les quatre autres étant responsables cumulativement de onze décès en moyenne par an (Tableau 1). Pour finir, bien que ne présentant pas de données de mortalité les concernant, les données collectées par le réseau de surveillance Epibac permettent d'observer que l'incidence des infections invasives (méningites et bactériémies) à S. pneumoniae et H. haemophilus est stable depuis plusieurs années en France (Tableau 1). En comparant les chiffres nationaux de mortalité précédemment exposés à ceux disponibles pour la grippe et la varicelle-zona (Tableau 1), il est frappant de constater que ces deux maladies infectieuses pour lesquelles des vaccins existent n'ont jamais fait partie des maladies à vaccination obligatoire chez les enfants en France alors que ces vaccinations sont réalisées chez les enfants au Royaume-Uni [2,3] et aux États-Unis [4], respectivement, avec des bénéfices observables bien audelà de cette tranche d'âge [2 4]. De même, si l'on se focalise sur le rotavirus, virus classé cinquième agent pathogène le plus meurtrier au monde avec près de décès en 2015 [1], on estime que ce dernier est à l'origine de 13 à 14 décès en moyenne par an en France ( Or, il s'agit là aussi d'un pathogène pour lequel un vaccin existe et pour lequel la recommandation chez l'enfant fut un temps étudiée en France avant d'être suspendue il y a quelques années en raison de résultats controversés (

3 Au vue de l'ensemble des éléments susmentionnés et en tant que référence nationale dans le domaine des maladies infectieuses, nous recommandons aux hautes instances françaises de santé publique de revoir l'ordre des priorités du calendrier vaccinal infantile national en y intégrant, d'une part, la vaccination systématique des enfants contre la grippe, la varicelle-zona et le rotavirus, et d'autre part, en étudiant de façon approfondie le bien-fondé du maintien de certains vaccins pour lesquels la couverture vaccinale nationale permet actuellement de protéger efficacement la population française. A ce titre, les données nationales de couverture vaccinale et de mortalité pour toutes maladies à vaccination obligatoire ou recommandée devraient être actualisées et publiées chaque année pour en permettre l'étude approfondie par ces instances, la communauté scientifique ainsi que par toute personne le désirant. Cela pourrait par ailleurs participer à l'endiguement de l'épidémie de groupes d' "anti-vaccins" que l'on observe actuellement sur Internet et ailleurs. Rappelons que depuis sa découverte, la vaccination reste l'outil de lutte contre les maladies infectieuses qui a permis de sauver le plus de vies dans le monde et le seul ayant rendu possible l'éradication de deux maladies infectieuses majeures, la variole et la fièvre bovine [5]. M Cédric ABAT, Docteur d Université en Pathologie Humaine Maladies Infectieuses Épidémiologiste à l'ihu Méditerranée Infection

4 Références [1] GBD 2015 Mortality and Causes of Death Collaborators. Global, regional, and national life expectancy, all-cause mortality, and cause-specific mortality for 249 causes of death, : a systematic analysis for the Global Burden of Disease Study Lancet (London, England) 2016;388: doi: /s (16) [2] Hodgson D, Baguelin M, van Leeuwen E, Panovska-Griffiths J, Ramsay M, Pebody R, et al. Effect of mass paediatric influenza vaccination on existing influenza vaccination programmes in England and Wales: a modelling and cost-effectiveness analysis. Lancet Public Heal 2017;2:e doi: /s (16) [3] Baguelin M, Camacho A, Flasche S, Edmunds WJ. Extending the elderly- and riskgroup programme of vaccination against seasonal influenza in England and Wales: a cost-effectiveness study. BMC Med 2015;13:236. doi: /s y. [4] Centers for Disease Control and Prevention. Prevention of Varicella: Recommendations of the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP). MMWR 1996;45:1 25. [5] Abat C, Chaudet H, Rolain J, Colson P, Raoult D. Traditional and syndromic surveillance of infectious diseases and pathogens. Int J Infect Dis 2016;48. doi: /j.ijid

5 Agents bactériens Tableau 1. Mortalité mondiale et nationale de 15 agents pathogènes pour lesquels la vaccination est obligatoire ou recommandée. Type d'agent infectieux Agent pathogène Clostridium tetani (tétanos) Corynebacterium diphtheriae (diphtérie) Bordetella pertussis (coqueluche) Haemophilus influenzae Streptococcus pneumoniae (pneumocoque) Nouveau calendrier de vaccination infantile * Mortalité dans le monde (classification) ** décès (23) décès (41) décès (21) décès (8) près de décès (1) Mortalité annuelle moyenne en France 3 décès (période ) 0 décès ( ) 4 décès ( ) précisant la mortalité annuelle associée à ce pathogène (incidence des infections invasives de 1,3 cas / individus en 2015) précisant la mortalité annuelle associée à ce pathogène (incidence des infections invasives de 6,9 cas / individus en Références associées aux données françaises

6 Agents viraux 2015) Neisseria meningitidis (méningocoque) Mycobacterium tuberculosis (tuberculose) Poliomyélite Fièvre jaune Rougeole Oreillons Rubéole Hépatite B Grippe Varicelle-Zona Papillomavirus humains en Guyane décès (15) près d' décès (3) décès (36) décès (14) décès (19) décès (12) décès (34) 3 décès ( ) 83 décès ( ) 0 décès (depuis 1995) récentes exploitables 1 décès (2008- Avril 2015) 0 décès (2 décès probables entre 2000 et 2009) récentes exploitables décès, France métropolitaine ( ) de à décès Mallet V et al. Prognosis of patients with chronic hepatitis B in France ( ): A nationwide, observational and hospital-based study. J Hepatol Mar;66(3): décès récentes exploitables

7 *: selon **: selon GBD 2015 Mortality and Causes of Death Collaborators. Global, regional, and national life expectancy, all-cause mortality, and cause-specific mortality for 249 causes of death, : a systematic analysis for the Global Burden of Disease Study Lancet 2016;388: Les valeurs présentées sont des valeurs arrondies.

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