Ce court article des Princip es de la philosophie
|
|
- Marcel Coutu
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Fiche de lecture (Julien Bernard) "Comment on peut accorder notre libre arbitre avec la préordination divine.", Principes de la philosophie(1 644), article 41, René Descartes Ce court article des Princip es de la philosophie 1 / 15
2 de Descartes contient peu d arguments mais est essentiel pour l organisation générale de la métaphysique cartésienne. La question est classique dans le cadre de la théologie occidentale. Il s agit de comprendre comment peuvent être conciliés notre sentiment d avoir une volonté et un libre arbitre avec l idée 2 / 15
3 selon laquelle Dieu aurait prédéterminé chaque détail du monde en vertu d une préscience qu il a de toute chose. La question, pour classique qu elle soit dans la philosophie occidentale, part de présupposés qui ne sont pas remis en question ici par Descartes. On peut recenser au moins ceux-ci 3 / 15
4 : 1) La préordination divine elle-même, 2) Le fait que l âme humaine porte en elle une volonté ayant une nature radicalement différente d un simple mécanisme, et qui la fait qualifier de «libre» et 3) le fait que cette liberté de la volonté doive être pensée comme une «liberté des indifférents», c'est-à-dire qu on doit penser qu à tout 4 / 15
5 moment la volonté doit se trouver devant une multiplicité de choix qui sont d une certaine manière tous indifférents et entre lesquels la volonté s exerce pour déterminer l action humaine. L argumentation de Descartes est très simple. D abord, nous ne devons ni remettre en doute ni la 5 / 15
6 préordination divine (car elle est une conséquence claire et distincte de l idée de Dieu que nous avons en nous) ni notre liberté (car nous en sommes directement conscients par une intuition si directe qu on ne peut en douter). A défaut donc de pouvoir sortir de l embarras qui est le notre, quant à la manière de concilier ces 6 / 15
7 deux vérités, nous pouvons néanmoins expliquer l origine de cet embarras et en quelque sorte excuser la faiblesse de notre raison. En effet, la nature divine étant par nature infinie et préordonnant toute chose, et notre entendement étant au contraire fini par nature, il est normal que nous ne puissions avoir accès à la 7 / 15
8 manière dont la préordination divine et la liberté de notre volonté sont conciliables. Nous sommes donc naturellement amenés à accepter d une part que cette conciliation a bien lieu, et d autre part que la façon dont elle a lieu nous sera à jamais incompréhensible. 8 / 15
9 Les enjeux de cet article de Descartes sont importants. D une part, cette question de l articulation entre préordination divine et liberté humaine est une occasion pour pousser plus avant les conceptions que nous nous faisons réspectivement de la divinité, du déterminisme de la nature et de la liberté 9 / 15
10 de la volonté. Mais c est aussi le lieu où se joue les rapports entre foi et rationalité d une part, et entre le domaine pratique de l action et le domaine parfaitement déterminé et prévisible qui est l objet de la science d autre part. Deux grandes questions sont donc en rapport direct avec celle de l article 41 de Descartes. Si la science 10 / 15
11 nous demande de croire en un forme de déterminisme, y aura-t-il la place pour une croyance religieuse? Le déterminisme auquel la science semble vouloir nous faire adhérer marque-t-il la fin de la croyance en la liberté humaine? On comprend que devant 11 / 15
12 tant d enjeux et devant le caractère négatif de la réponse cartésienne, simple aveux d'impuissance, il y ait eu rapidement des réactions, notamment dans les deux grands système philosophiques de la fin du XVIIème siècle, ceux de Leibniz et Spinoza. Leibniz remettra en cause le troisième présupposé que 12 / 15
13 nous avons exposé ci-dessus. La liberté de la volonté humaine ne doit pas être pensée comme une liberté des indifférents (ce qui est même absurde selon lui) mais au contraire comme la plus grande détermination vers notre bien propre. (toute la philosophie de Leibniz pouvant être perçue comme une tentative 13 / 15
14 d associer étroitement les concepts de liberté et de détermination) Spinoza s opposera quant à lui à la conception cartésienne de la divinité comme étant hors d accès de l entendement humain. Il sera d accord avec Leibniz pour penser la volonté comme étant parfaitement déterminée, mais il sera encore plus radical que lui 14 / 15
15 en tant qu il n essaiera pas de sauver la liberté humaine. Elle n est qu une illusion due à notre ignorance des détails de ce monde. 15 / 15
3 thèses : Problématique :
LA CONSCIENCE Problématique : 3 thèses : Thèse 1 : L âme est une substance. A. L âme est une substance individuelle. B. La conscience comme substance pensante une et indivisible. Thèse 2 : La conscience
Plus en détailFaut-il tout démontrer?
Faut-il tout démontrer? Introduction et énoncé du problème L acte de démontrer consiste à mettre en ordre logique, à disposer de façon rationnelle et déductive des propositions afin d assurer que la conclusion
Plus en détailSuis-je toujours le même?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN Suis-je toujours le même? Introduction Avant de répondre à la question, il faut comme toujours en philosophie bien en comprendre le problème. Le " je suis " fait
Plus en détailPOURQUOI DIEU PERMET-IL LE MAL? Masson Alexis - www.epistheo.com
POURQUOI DIEU PERMET-IL LE MAL? 1 Pourquoi Dieu permet-il le mal? Brève initiation au problème du mal MASSON Alexis Philosophie de la Religion www.epistheo.com 2 Première Partie UN SERIEUX PROBLEME 3 1
Plus en détailConsolidation du budget l Etat répercussions sur le secteur communal. Prise de position du SYVICOL
mc14 036 Consolidation du budget l Etat répercussions sur le secteur communal Prise de position du SYVICOL Suite à la réunion du Conseil supérieur des finances communales du 20 mai 2014, le SYVICOL souhaite
Plus en détailEducation, visions d'un monde
Education, visions d'un monde 29th August 2012 La Fondation s inte_resse de pre_s a_ l e_conomie et a_ son fonctionnement sur le long terme. Nous nous attachons a_ analyser et comprendre la transition
Plus en détailMais revenons à ces deux textes du sermon sur la montagne dans l évangile de Matthieu.
«AIMER SES ENNEMIS» «Qui veut prendre ta tunique, laisse lui aussi ton manteau». Si quelqu un te force à faire mille pas, fais-en deux mille avec lui». «Aimez vos ennemis et priez pour ceux qui vous persécutent»
Plus en détailIL ÉTAIT UNE FOI. Guy Paradis
IL ÉTAIT UNE FOI Guy Paradis «La foi commence précisément là où s arrête la pensée» disait Kierkegaard. Il semble de nos jours que l on croit d autant moins que l on sait plus, au sens du savoir scientifique,
Plus en détailMéthode universitaire du commentaire de texte
Méthode universitaire du commentaire de texte Baptiste Mélès Novembre 2014 L objectif du commentaire de texte est de décrire la structure argumentative et de mettre au jour les concepts qui permettent
Plus en détailDans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours.
Dans un siècle, il y a 100 ans. Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours. Dans un trimestre, il y a 3 mois.
Plus en détailComme tout le monde, l Église
ÉGLISE UNIE 101 Que croyons-nous dans l Église Unie? Angelika Piché, pasteure, responsable de la formation en français au Séminaire Uni L Union 8 Comme tout le monde, l Église Unie est profondément marquée
Plus en détailCamus l a joliment formulé : le seul. introduction
introduction Camus l a joliment formulé : le seul choix qui s offre à nous, aujourd hui, est d être soit un pessimiste qui rit, soit un optimiste qui pleure. L optimiste croit que tout va bien. Dans La
Plus en détailLes contrats : leur origine et leur type. M1 - Arnold Chassagnon, Université de Tours, PSE - Hiver 2013
Les contrats : leur origine et leur type - M1 - Arnold Chassagnon, Université de Tours, PSE - Hiver 2013 Plan du cours Philosophie individualiste & libéralisme économique vs Code civile et théorie de l
Plus en détailLES SEMINAIRES DOCTORAUX PAR DISCIPLINE
LES SEMINAIRES DOCTORAUX PAR DISCIPLINE DROIT CANONIQUE La Faculté de Droit canonique propose désormais deux modalités pour préparer un doctorat : - 1 ère modalité : programme canonique facultaire D1 :
Plus en détail«Je pense, donc je suis» est une grande découverte
6 «Je pense, donc je suis» est une grande découverte Cette affaire-là est assez claire. On lit dans le Discours de la méthode, Quatrième Partie : «[ ] Je me résolus de feindre que toutes les choses qui
Plus en détailPeut-on assimiler le vivant à une machine?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN Peut-on assimiler le vivant à une machine? Introduction Assimiler quelque chose à, c est traiter comme semblable à, c est regarder comme semblable. L assimilation
Plus en détailSi on parlait de culture
Si on parlait de culture «... les humains ne sont pas seulement eux-mêmes ; ils sont aussi le milieu où ils sont nés, le foyer dans la ville ou la ferme où ils ont appris à faire leurs premiers pas, les
Plus en détailAPPROCHE PHILOSOPHIQUE DE LA CONFIANCE. Ce qu elle est Pourquoi nous en manquons En quoi elle est vitale
APPROCHE PHILOSOPHIQUE DE LA CONFIANCE Ce qu elle est Pourquoi nous en manquons En quoi elle est vitale DES PHILOSOPHES POUR BIEN VIVRE La confiance? La confiance est le sentiment qui me porte à me fier
Plus en détailQuand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est
Quand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est une émotion à la fois si commune et si unique que la langue française
Plus en détailSur «Quelqu un peut-il connaître une même chose mieux qu un autre?» de Thomas d Aquin
Université Libre de Bruxelles Faculté de Philosophie et Lettres Lecture approfondie de textes philosophiques II : Moyen Âge Sur «Quelqu un peut-il connaître une même chose mieux qu un autre?» de Thomas
Plus en détailDoit-on douter de tout?
1 Doit-on douter de tout? L'homme naturellement, comme le précisait Aristote au début de la Métaphysique, s'étonne et cherche à connaître. Mais il faut faire la différence entre la considération naïve
Plus en détailEst-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49
Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Fiche pédagogique Le thème du 49 e épisode dirige l attention sur une question fondamentale lorsqu il s agit de développer la pensée des enfants,
Plus en détailQue peut nous apporter une réflexion sur nos désirs?
Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs? Problématique : La difficulté lorsque vous vous trouvez face à un tel sujet est de confondre le thème avec le problème du sujet. Ici le thème était
Plus en détailDIEU : CET INCONNU. «29 Terre, terre, terre, écoute la Parole de l Éternel.» (Jérémie 22, 29)
DIEU : CET INCONNU Il y a dix-neuf siècles, l apôtre Paul, en parcourant la vielle d Athènes découvrit un autel qui portait une inscription étrange : «23 À un Dieu inconnu!» (Actes 17, 23) De crainte d
Plus en détailCharte de la laïcité à l École Charte commentée
Charte de la laïcité à l École Charte commentée Ce document propose un commentaire de la phrase de préambule et de chacun des articles de la Charte de la laïcité à l École. Il explicite le sens des principales
Plus en détailQU EST-CE QUE L EAU BIEN COMMUN?
QU EST-CE QUE L EAU BIEN COMMUN? Si je vous posais la question suivante: Etes-vous partisans de l Eau Bien Commun? J obtiendrais une réponse positive unanime. Mais si je vous posais ensuite la question
Plus en détailPamela Blake MSS, TSI, registrateure adjointe
Planification de la lutte contre la pandémie : quelles sont mes obligations? Points importants pour les membres de l Ordre des travailleurs sociaux et des techniciens en travail social de l Ontario Pamela
Plus en détailFocus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012"
Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012" SOMMAIRE 1 Structure de l échan0llon p. 3 4 2 Acteurs comptables p. 5 6 3 Organisa0on et ou0ls de
Plus en détail13 Quelle est l église du Nouveau Testament?
DU NOUVEAU TESTAMENT? 169 13 Quelle est l église du Nouveau Testament? Ainsi, nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ et nous sommes tous membres les uns des autres (Rm 12.5). Par
Plus en détailEN QUOI CONSISTE CROIRE QUELQU UN? 1. Elisabeth Anscombe
EN QUOI CONSISTE CROIRE QUELQU UN? 1 Elisabeth Anscombe Il y avait trois hommes, A, B et C, en conversation dans un certain village. A dit «Si cet arbre tombe, il bloquera la route longtemps». «Ce n est
Plus en détailNature et formes du don : résumé
Nature et formes du don : résumé Par Gildas RICHARD La réflexion méthodique sur la notion de don a été, jusqu à présent, l apanage presque exclusif de deux grands types de discours : D une part, le discours
Plus en détailChacun peut-il penser ce qu il veut? - Chacun : concerne l individu, pas la collectivité - Peut-il : a) a-t-il la capacité? b) a-t-il le droit?
Chacun peut-il penser ce qu il veut? - Chacun : concerne l individu, pas la collectivité - Peut-il : a) a-t-il la capacité? b) a-t-il le droit? - Penser : a) avoir des idées, des opinions b) raisonner,
Plus en détailLe logiciel EduAnatomist.
Le logiciel EduAnatomist. Les travaux de l équipe ACCES (Actualisation Continue des Connaissances des Enseignants en Sciences) de l INRP restent, hélas, largement méconnus des enseignants de SVT. Pourtant,
Plus en détailLes Groupements de coopération
Les Groupements de coopération Intégrer les salariés dans la mise en œuvre des restructurations Une nécessité pour la CFDT Santé Sociaux MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ Audition du 7 septembre
Plus en détailPeut-on penser Dieu?
Peut-on penser Dieu? Peut-on penser Dieu?... 1 Ni apologétique, ni théologie... 1 Tribulation et négativité... 2 1. La thèse de Saint Anselme, la pensée négative d un Dieu réel, La pensée comme négation
Plus en détailTable des matières Mise en contexte...3 Historique...3 1995...3 Lettre d entente no 54... 3 1996...3 Diagnostic du plan Imbeault, le plan qui est
Section locale 2000 Table des matières Mise en contexte...3 Historique...3 1995...3 Lettre d entente no 54... 3 1996...3 Diagnostic du plan Imbeault, le plan qui est actuellement en vigueur... 3 1997...3
Plus en détailFAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR)
FAST RETAILING WAY (Philosophie d entreprise du groupe FR) Profession de foi Changer la façon de s habiller, sortir des sentiers battus, et proposer une autre vision du monde. Notre mission Le groupe FAST
Plus en détaild utilisation de la doctrine sociale de l Eglisel
www.doctrinesocialeeglise.org 1 Voir - Juger - Agir Méthode de réflexion r et d utilisation de la doctrine sociale de l Eglisel Pour aller plus loin dans le détaild merci de se reporter au livre : «Construire
Plus en détailCommentaires de. l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document. Un regard neuf sur le patrimoine culturel
Commentaires de l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document Un regard neuf sur le patrimoine culturel Dans le cadre de la consultation publique pour une révision de la
Plus en détailCréation d un groupe de réflexion, de formation, de prière et de service missionnaire pour les jeunes professionnels
Création d un groupe de réflexion, de formation, de prière et de service missionnaire pour les jeunes professionnels Paroisse Saint-François-Xavier des missions étrangères Ce dossier présente les motivations
Plus en détailCOMMENT DÉCOUVRIR SA VOCATION
Stephen Wang COMMENT DÉCOUVRIR SA VOCATION Mariage, sacerdoce, vie consacrée, diaconat permanent, célibat «Petits Traités Spirituels» Série III «Bonheur chrétien» éditions des Béatitudes Ava n t-p r o
Plus en détailÊtre juif ne peut être restreint à une appartenance religieuse
Être juif ne peut être restreint à une appartenance religieuse Un entretien avec Daniel Farhi Daniel Farhi est rabbin depuis 1966 ; il est l un des fondateurs du Mouvement Juif Libéral de France. Diasporiques
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détailCONVENTION EXPERTISE AUTOMOBILE
CONVENTION EXPERTISE AUTOMOBILE Article préliminaire : Les entreprises d assurances adhérentes à la présente convention dite convention «Expertise» acceptent sans réserve ce qui suit : Article premier
Plus en détailQUATRIÈME OBJECTIF: VOUS AVEZ ÉTÉ CONÇU POUR SERVIR DIEU
QUATRIÈME OBJECTIF: VOUS AVEZ ÉTÉ CONÇU POUR SERVIR DIEU VERSET CLÉ Nous sommes simplement des serviteurs de Dieu... Chacun de nous accomplit le devoir que le Seigneur lui a confié: j ai mis la plante
Plus en détail> Tome 1 : La raison et le réel. Cours-PH00 19. Cned Académie en ligne
> Tome 1 : La raison et le réel Cours-PH00 19 > Introduction à l examen du programme : les sens ne sont-ils pas suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances?......................................
Plus en détailDans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise
Communiqué de presse Dans une étude, l Institut Randstad et l OFRE décryptent le fait religieux en entreprise Paris, le 27 mai 2013 L Institut Randstad et l Observatoire du Fait Religieux en Entreprise
Plus en détailBâtissez-vous un avenir certain
1 1 Etape 1 Etape 2 Bâtissez-vous un avenir certain AUTEUR LEADER SYDNEY Adresse email imygpc@gmail.com Contact téléphonique +225 41 52 92 06 2 Bâtissez-vous un avenir certain Vous en avez rêvé, créer
Plus en détailLe Sceau du Dieu Vivant
Le Sceau du Dieu ivant L D U DI U Le Sceau du Dieu ivant L D U DI U Le Sceau du Dieu ivant L D U DI U Le Sceau du Dieu ivant L D U DI U Le Sceau du Dieu ivant L D U DI U Le Sceau du Dieu ivant L D U DI
Plus en détail2) Les déterminants de la motivation des arbitres et entraîneurs:
Motivation et performance sportive : une caractéristique commune des arbitres et entraîneurs de haut niveau Support théorique : Jean Pierre Famose EPS N 35 Arbitre et entraîneur deux acteurs du sport moderne
Plus en détailUn autre signe est de blâmer «une colère ouverte qui débute par le mot TU».
Le besoin de contrôler Le comportement compulsif de tout vouloir contrôler n est pas mauvais ou honteux, c est souvent un besoin d avoir plus de pouvoir. Il s agit aussi d un signe de détresse; les choses
Plus en détailRESSOURCEMENT SUR MESURE
RESSOURCEMENT SUR MESURE Le Centre Assomption de Lourdes propose d avril à octobre la formule innovante du RESSOURCEMENT SUR MESURE La nouvelle équipe d animation, composée de sœurs et de laïcs, répond
Plus en détailLe Pavé Mosaïque. Temple?» C est la question que je me posais la première fois que je vis le Pavé Mosaïque à
Le Pavé Mosaïque «Mais à quel jeu jouent donc les francs maçons sur cet échiquier dessiné à même le sol du Temple?» C est la question que je me posais la première fois que je vis le Pavé Mosaïque à la
Plus en détailUn défibrillateur à la CAD offert par GrDF POINT PRESSE Hôtel communautaire Lundi 30 septembre 11h30
Un défibrillateur à la CAD offert par GrDF POINT PRESSE Hôtel communautaire Lundi 30 septembre 11h30 Jean-François RUIZ Responsable de la Communication - Direction Territoriale PACA Est T. 04 94 30 45
Plus en détail«POUR NOUS IL L A FAIT PÉCHÉ» Sur II Corinthiens V, 20 - VI, 2
«POUR NOUS IL L A FAIT PÉCHÉ» Sur II Corinthiens V, 20 - VI, 2 (V, 20) C est pour Christ que nous sommes en ambassade, puisque c est Dieu qui appelle par nous. Nous vous (le) demandons pour Christ, réconciliez-vous
Plus en détailStandard Bank Group Code de déontologie Vivre nos valeurs
Standard Bank Group Code de déontologie Vivre nos valeurs Relever la barre toujours plus haut Servir nos clients Faire évoluer nos employés Maintenir le plus haut niveau d intégrité Huit valeurs Délivrer
Plus en détailEtude de fonctions: procédure et exemple
Etude de fonctions: procédure et exemple Yves Delhaye 8 juillet 2007 Résumé Dans ce court travail, nous présentons les différentes étapes d une étude de fonction à travers un exemple. Nous nous limitons
Plus en détailReconnaissance et pacification
E-Séminaire de Philosophie www.domuni.eu 12 octobre 7 décembre 2015 Reconnaissance et pacification de Axel HONNETH à P. RICOEUR Présentation La théorie de la reconnaissance mutuelle, exposée par Axel Honneth,
Plus en détaille «Yoga psychologique», créé par Nicolas Bornemisza.
MÉTHODE IT Libérations des Images intérieures - Images de Transformation Présentation de la méthode de Nicolas Bornemisza La méthode IT a été co- créée par Marie Lise Labonté et Nicolas Bornemisza. Elle
Plus en détailVenez découvrir nos nouvelles formations
Centre de estion Agréé Bords de Seine Agrément N 103760 du 04/08/2006 renouvelé le 20/07/2009 www.cga-bords-de-seine.cerfrance.fr La formation, une stratégie gagnante pour l entreprise Venez découvrir
Plus en détailPOLITIQUE D ASSISTANCE AUX MEMBRES DU SEM
POLITIQUE D ASSISTANCE AUX MEMBRES DU SEM Préambule Le syndicat de l Enseignement de la Mauricie (SEM) doit, en vertu des dispositions du Code du travail, défendre les salariés des unités d accréditation
Plus en détailInformation de l acquéreur ou du locataire. Obligations du vendeur ou du bailleur
Information de l acquéreur ou du locataire Obligations du vendeur ou du bailleur Introduction La loi du 30 juillet 2003 relative à la prévention des risques technologiques et naturels et à la réparation
Plus en détailLa vie privée à l ère du numérique : approches philosophiques et informatiques
La vie privée à l ère du numérique : approches philosophiques et informatiques - Doctorant Encadrement : Christine Verdier, Philippe Saltel Aurelien.Faravelon@imag.fr 1 Plan Introduction : un monde de
Plus en détailConvention de Vienne sur le droit des traités entre Etats et organisations internationales ou entre organisations internationales
Convention de Vienne sur le droit des traités entre Etats et organisations internationales ou entre organisations internationales 1986 Faite à Vienne le 21 mars 1986. Non encore en vigueur. Voir Documents
Plus en détailLa spectrophotométrie
Chapitre 2 Document de cours La spectrophotométrie 1 Comment interpréter la couleur d une solution? 1.1 Décomposition de la lumière blanche En 1666, Isaac Newton réalise une expérience cruciale sur la
Plus en détailComment peut-on violer les lois de la nature? L argument compatibiliste de David Lewis
Comment peut-on violer les lois de la nature? L argument compatibiliste de David Lewis Ghislain Le Gousse * (CAPHI Université de Nantes) Dans le débat sur le libre arbitre entretenu par les philosophes
Plus en détailAURA VISION MD (Lecture et interprétation d Auras)
(Lecture et interprétation d Auras) 25 au 29 novembre 2015 à Bordeaux (France) avec Isabelle David Mieux-être et développement personnel Venez apprendre et vivre une expérience inoubliable Choisissez l
Plus en détailPROTÉGER ET CONSOLIDER LA RÉPUTATION DE LA SOCIÉTÉ
IV L éthique dans vos relations d affaires Nos activités sont tributaires de la qualité des relations que nous entretenons avec les clients, la collectivité, diverses organisations et nos partenaires.
Plus en détailPROGRAMME DES COURS DE LICENCE
PROGRAMME DES COURS DE LICENCE DROIT PROCESSUEL (1 ère partie) ENSEIGNEMENTS ANNÉE C Abbé Bernard du PUY-MONTBRUN Ce cours sera consacré à l étude des procès canoniques. Après une introduction à l aide
Plus en détailAffirmation de soi, confiance en soi, estime de soi
Affirmation de soi, confiance en soi, estime de soi Estime de soi MOI Affirmation de soi AUTRES Confiance en soi ACTION Contexte Règles fondamentales de la communication 1) On ne peut pas décider, par
Plus en détailLe futur doit s ancrer dans l histoire
Conférence de presse du 3 septembre 2013 Le texte prononcé fait foi. Le futur doit s ancrer dans l histoire Patrick Odier, Président du Conseil d administration, Association suisse des banquiers Mesdames,
Plus en détailPrincipes de liberté d'expression et de respect de la vie privée
L'Initiative mondiale des réseaux Protéger et faire progresser la liberté d'expression et le respect de la vie privée dans les technologies de l information et de la communication Principes de liberté
Plus en détailX X. Demandeurs. Entreprise DÉCISION DEMANDE D EXAMEN DE MÉSENTENTE EN MATIÈRE D ACCÈS.
Commission d accès à l information du Québec Dossier : 05 10 23 Date : 31 juillet 2006 Commissaire : M e Hélène Grenier X X Demandeurs c. MELOCHE MONNEX INC. (SÉCURITÉ NATIONALE CIE D ASSURANCE) Entreprise
Plus en détailL opérateur Wi-Fi à la conquête des interactions.
L opérateur Wi-Fi à la conquête des interactions. Le premier pas vers Crossnode Le groupe Crossnode est l'opérateur Wifi du 21 e siécle. Crossnode a développé une plateforme Wifi interactive, collaborative
Plus en détailIntroduction. Le recrutement est un processus incontournable dans la vie de toute entreprise.
Introduction Le recrutement est un processus incontournable dans la vie de toute entreprise. Recruter présente un enjeu stratégique et sociétal pour l entreprise en termes de 2 : 1. Productivité : le choix
Plus en détailmaster Droit bancaire Georges DECOCQ Yves GÉRARD Juliette MOREL-MAROGER 2 e édition Collection BANQUE FINANCE ASSURANCE
Collection master BANQUE FINANCE ASSURANCE Droit bancaire Georges DECOCQ Yves GÉRARD Juliette MOREL-MAROGER 2 e édition SOMMAIRE Chapitre 1 Introduction 9 Chapitre 2 L organisation de l activité bancaire
Plus en détailBENEDICTION DU TRES SAINT SACREMENT
BENEDICTION DU TRES SAINT SACREMENT Editions ALBANUS Bruxelles, La Haye, Londres, Ojaï, Paris, Toronto 1999 BENEDICTION DU TRES SAINT SACREMENT Editions ALBANUS Bruxelles, La Haye, Londres, Ojaï, Paris,
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailLa gestion du compte de l État
FINANCES PUBLIQUES TRÉSORERIE Nouvelle convention MINÉFI/Banque de France La gestion du compte de l État Article d Olivier Cuny, administrateur civil à l Agence France Trésor, en collaboration avec Dominique
Plus en détailExercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part
Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailCONSULTATIONS COMMUNAUTAIRES 2014-2015
CONSULTATIONS COMMUNAUTAIRES 2014-2015 RAPPORT DE SYNTHÈSE Est de Terre-Neuve Ouest de Terre-Neuve Labrador TABLE DES MATIERES 1. Introduction... 3 2. Portrait de la population répondante... 4 3. Les avis
Plus en détailCONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI
CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses
Plus en détailEquations cartésiennes d une droite
Equations cartésiennes d une droite I) Vecteur directeur d une droite : 1) Définition Soit (d) une droite du plan. Un vecteur directeur d une droite (d) est un vecteur non nul la même direction que la
Plus en détailUN CERTAIN ÉVANGILE SOCIAL
UN CERTAIN ÉVANGILE SOCIAL La bonne nouvelle chantée par les anges au-dessus des collines de Bethléem dans la nuit où naquit le Sauveur du monde, n était que le commencement de la manifestation de cet
Plus en détailService actions et options
Rob Wilson/schutterstock.com Service actions et options Réussir ses investissements en actions exige du temps, des recherches et de la discipline. Le service actions et options de KBC Private Banking vous
Plus en détailBilan de la situation des caisses de retraite au Québec
SYNDICAT DES FONCTIONNAIRES MUNICIPAUX DE MONTRÉAL (SCFP) Bilan de la situation des caisses de retraite au Québec 25 février 2014 1 Contexte et évolution 22 JUIN 2011 Conférence de presse des maires Gérald
Plus en détailContrat d accompagnement de projet
Page : 1 /8 Intitulé du Projet: Acronyme: Coordonnées des intervenants Pour le Laboratoire de recherche Intitulé: Adresse: Responsable d'équipe : email: Tel : + Responsable Projet : email Tel : + Pour
Plus en détailL appel à être Église Vers une vision unificatrice
Vers une vision unificatrice Parmi tous les préparatifs du 40 e Conseil général 2009, le présent document constitue une invitation faite aux membres de l Église Unie du Canada de prier et de réfléchir
Plus en détailLA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES?
LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? INTRODUCTION Depuis quelques années, un certain nombre d évolutions à la fois sociétales et professionnelles nous poussent,
Plus en détailDIU Soins Palliatifs et d Accompagnement.
DIU Soins Palliatifs et d Accompagnement. Centre - Pays de Loire CHRU Tours COMMUNICATION «Conflits internes et Cohérence personnelle» SOMMAIRE Introduction page 3 Communication Page 4 Les paramètres d
Plus en détailUn cours sur le crédit. L allié de votre réussite!
En espérant que ces informations sauront vous donner la compréhension nécessaire pour qu enfin vous puissiez reprendre le plein contrôle de votre vie dans le monde actuel et qu ainsi la réussite vous accompagne
Plus en détailPetite enfance : des droits pour ouvrir à la citoyenneté?
Petite enfance : des droits pour ouvrir à la citoyenneté? Introduction Dans un monde où chacun perçoit l autre comme une menace dès lors qu il transgresse les codes et rites sociaux, où il est difficile
Plus en détailBanque européenne d investissement. Politique de signalement
POLITIQUE DE SIGNALEMENT DE LA BANQUE EUROPEENNE D INVESTISSEMENT INDEX I. INTRODUCTION... 2 I.1 Généralités... 2 I.2 Principes de base... 2 I.3 Portée de la Politique... 2 II. OBLIGATIONS DE SIGNALEMENT...
Plus en détailGreystone Managed Investments
Greystone Managed Investments En tant que cinquième plus important gestionnaire d avoirs de retraite du Canada, Greystone Managed Investments Inc., avec environ 35 milliards de dollars en actifs sous gestion,
Plus en détailCompte rendu de la réunion du 9 janvier 2009, Salle de Fêtes, 20 heures
Société Culturelle Franco-Allemande (S.F.A.) Association loi 1901 N W821000579 Siège social : Mairie d Auvillar 12 Place de la Halle F-82340 Auvillar Internet: http://www.sfa-auvillar.com/ Compte rendu
Plus en détailLe nouvel acheteur de solutions informatiques. Les lignes d affaires adoptent les technologies Cloud Infobrief IDC, sponsorisée par Cisco mars 2015
Le nouvel acheteur de solutions informatiques mars 2015 Aujourd hui, le nouvel acheteur de technologies est Le directeur commercial Les acheteurs de technologies sont majoritairement des responsables commerciaux
Plus en détailLE CEP ET LES SARMENTS 15:1-27 LEÇON
LE CEP ET LES SARMENTS Jean 15:1-27 LEÇON 236 Cours des Adultes VERSET DE MEMOIRE: "Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans
Plus en détailRETOUR AU TRAVAIL Stratégies de soutien du superviseur lorsque la santé mentale joue un rôle dans le retour de l employé au travail
RÉSUMÉ : Facteurs et stratégies visant à aider les infirmières et infirmiers en santé au travail à appuyer le superviseur dans les cas de retour au travail d'employés qui ont eu des problèmes de santé
Plus en détail22 Nous Reconnaissons la force du pardon
22 Nous Reconnaissons la force du pardon 23 Par le rite pénitentiel, les chrétiens se tournent vers Dieu pour lui demander son pardon. Dieu nous reçoit tels que nous sommes et nous pardonne pour que nous
Plus en détail