LES TYPES D AIDE QUE JE CONNAIS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LES TYPES D AIDE QUE JE CONNAIS"

Transcription

1 Fche 1.1 LES TYPES D AIDE QUE JE CONNAIS a) Comment peut-on ader Davd? Davd a qutté le gymnase/lycée en 2 e année. Il a trouvé un pett boulot à 50 % peu payé. Il est nourr et logé par ses parents mas l ne reçot plus d argent de poche. Pour contnuer à se payer ses habts, ses sortes et ses losrs, l s est endetté auprès de dverses personnes et d un organsme de pett crédt. Aujourd hu, l ne parvent plus à payer ses factures et les ntérêts de ses dettes qu s élèvent au total à CHF. Comment peut-l être adé? Avantage(s) Inconvénent(s) Ses parents peuvent lu donner CHF Une banque peut lu octroyer un prêt à taux préférentel qu lu permettra de payer ses dettes et d avor un pett captal Ses copans peuvent annuler leurs dettes L Etat peut payer la dette et demander à Davd de travaller pour lu pour le rembourser et l oblger à entreprendre une formaton Une fondaton peut fnancer un projet qu l veut réalser avec d autres jeunes et qu devrat lu permettre des entrées fnancères à moyen terme Autre(s) : b) La coopératon au développement? Quels sont les types de coopératon au développement que vous connassez? Qu met en œuvre ces ades (prestatare)? Qu les fnance (balleur de fonds)? Pourquo (objectf)? Type d ade : Qu met en œuvre : Qu fnance : Objectf(s) de l ade : Type d ade : Qu met en œuvre : Qu fnance : Objectf(s) de l ade :

2 Fche 2.1 LES TYPES D AIDE AU DÉVELOPPEMENT Les dfférents types d ade au développement L ade publque au développement (APD) Ade fnancée et gérée par l Etat. En Susse, deux organes sont prncpalement en charge de la coopératon au développement : La Drecton du développement et de la Coopératon (DDC), qu a pour but l améloraton des condtons de ve des populatons pauvres sur le long terme (coopératon au développement), ntervent en cas de stuatons d urgence à la sute d une catastrophe naturelle ou d un conflt (ade humantare) et soutent les réformes en cours dans les pays en transton de l Europe de l Est. Le Secrétarat d Etat à l économe (SECO), qu met en œuvre des poltques économques en faveur des pays en voe de développement ou en transton. L ade prvée au développement Ade qu vent d ndvdus, d assocatons, d organsatons non gouvernementales (ONG), de fondatons ou d entreprses. Les ONG et certanes grandes fondatons, comme celle de Bll et Melnda Gates, sont devenues des partenares mportants au sen de la coopératon au développement. Une fondaton peut être rattachée à une entreprse, alors qu une ONG ne relève n de l Etat, n d une nsttuton nternatonale, n d une entreprse, même s leur fnancement vent en parte de ces acteurs. La DDC fnance par exemple certanes ONG, qu ont donc un len avec l APD. D autres offces sont auss mplqués dans une mondre mesure. L ade blatérale est une ade drecte d un pays à un autre pays. L ade multlatérale transte par des nsttutons nternatonales (ONU, FMI, HCR...) Répondez aux questons sur une feulle séparée:? 1. Coopératon au développement ou ade humantare 1.1. L ade humantare ntervent dans des stuatons ben précses. Quelles formes d ade humantare la Susse peut-elle apporter, par exemple? 1.2 Lorsqu un groupe de jeunes part dans un pays afrcan pour ader à la constructon d une école ou d un dspensare, fat-l de l ade humantare? Justfez votre réponse. 2. Ades prvées ou publques 2.1 Avez-vous déjà entendu parler d actons marquantes de certanes ONG? Pouvez-vous en cter au mons une en racontant dans quel cadre vous en avez entendu parler, en explquant ce qu elle a fat? 2.2 Quelles sont les dfférences entre une ade publque et une ade prvée? 3. Ade blatérale ou multlatérale 3.1 L ade blatérale en Susse se drge essentellement vers des pays afrcans. Pourquo? Connassez-vous un de ces pays? Quelles sont, à votre avs, les actvtés de la coopératon susse dans ces pays? 3.2 La Susse partcpe à l ade multlatérale avec dfférents pays. Elle est spécalsée dans les questons lées à la geston de l eau. Savez-vous pourquo?

3 Fche 2.2 LES FORMES DE MISE EN ŒUVRE DE LA COOPÉRATION Axes prortares de la coopératon au développement susse Rédure la pauvreté Assurer la sécurté humane Partcper à une mondalsaton propce au développement Organsaton spatale de la mse en œuvre Coopératon globale Unquement multlatérale, elle se concentre sur des programmes touchant à des enjeux mondaux (eau, clmat, mgraton ) vsant une mondalsaton propce au développement. Son traval s artcule de plus en plus autour de la noton de bens publcs mondaux. Coopératon régonale Essentellement blatérale, elle se concentre sur certans pays jugés prortares et vse l améloraton des condtons de ve des populatons. Types de coopératon pour la mse en œuvre Coopératon technque Infrastructures : routes, ponts, hôptaux, écoles Renforcement des capactés : améloraton de la formaton de personnes et de leur effcacté dans dfférents méters. Gouvernance : promouvor la démocrate, fnancer des électons, lutter contre la corrupton Coopératon économque Ade budgétare : fnancement drect blatéral accordé à un Etat. Peut être général (allègement de la dette) ou sectorel (soutenr le Mnstère de l éducaton). Fnancement apporté à des organsatons nternatonales (ade multlatérale) telles que l ONU, le FMI et la Banque mondale... Répondez aux questons sur une feulle séparée: 1. La coopératon technque soutent notamment la créaton d nfrastructures, par exemple la constructon d une route pour accéder à des vllages. Quelle est l utlté de cette forme de coopératon? 2. S les vllages souffrent d une pénure almentare chronque, la constructon d une route est-elle utle? Quelle autre forme de coopératon serat (plus) approprée? 3. Dans le cadre de sa coopératon globale, la Susse fat parte de grandes nsttutons telles que l ONU, le FMI, la Banque mondale. Quels sont les avantages et quels sont les nconvénents d être mplqué dans cette coopératon multlatérale? Justfez vos réponses.? Constructon de route au Népal. Calcul des salares à Madagascar. Le gouvernement local prend note des préoccupatons de la populaton au Népal (gouvernance).

4 Fche 2.3 LES THEMES PRIORITAIRES DE LA COOPÉRATION SUISSE La coopératon susse sur le contnent afrcan se concentre souvent sur l éducaton de base, la santé, et le développement rural. Le thème transversal de la bonne gouvernance est, quant-à lu, systématquement prs en compte. Ic à ttre d exemple, un exercce prenant en compte l éducaton, la santé et la bonne gouvernance. L éducaton est une condton de lberté d acton et de partcpaton à la ve socale et économque. Elle favorse l ntégraton de tous les acteurs à l économe d un pays et permet de meux répondre aux défs de la mondalsaton. L éducaton a un mpact sur les revenus et l hygène, et la scolarsaton des jeunes flles contrbue à la maîtrse de la démographe. Le monde compte encore 113 mllons d enfants non scolarsés et 875 mllons d adultes analphabètes (2010). La santé permet aux ndvdus de meux travaller. Les pays qu parvennent à maîtrser effcacement la santé de leur populaton amélorent leur productvté de manère consdérable. Les programmes de santé permettent de lutter contre la pauvreté et d accroître le développement. La lutte contre les malades transmssbles comme le VIH/sda est l une des prortés en Afrque. Un enfant qu naît dans un pays en développement a treze fos plus de rsques de décéder avant l âge de 5 ans. Le leu de nassance est donc un des premers facteurs d négalté. La quête d une bonne gouvernance et la lutte contre la corrupton semblent être des condtons essentelles pour assurer une crossance économque réelle. La Banque mondale estme que 20 à 40 % des budgets de l ade nternatonale sont détournés chaque année dans les pays pauvres. La corrupton engendre des ravages sur les systèmes socaux et la lutte contre les détournements est l un des enjeux majeurs pour le développement. La bonne gouvernance comporte pluseurs dmensons comme l améloraton du fonctonnement des nsttutons publques et la transparence dans l utlsaton des ressources publques. Répondez aux questons sur une feulle séparée: 1. Sur le contnent afrcan, la coopératon susse soutent de nombreux projets d alphabétsaton. En quo consste l alphabétsaton? Qu est-ce qu un analphabète? 2. Pourquo l alphabétsaton a-t-elle un mpact sur l hygène et la santé? Justfez votre réponse. 3. Pourquo l alphabétsaton a-t-elle un mpact sur la démographe? Justfez votre réponse. 4. Quelles formes de coopératon la Susse peut-elle apporter par rapport à la problématque de l analphabétsme? 5. Pourquo dt-on que la santé est un lever de développement? 6. L espérance de ve dans certans pays afrcans est de mons de 50 ans. A comben s élève-t-elle en Susse? Comment explquez-vous une parelle dfférence? 7. Quelle forme d ade peut amener la coopératon par rapport à la santé et à l espérance de ve? 8. Pourquo dt-on qu l ne peut y avor de développement sans bonne gouvernance? 9. Que pourrat fare la Susse pour amélorer la gouvernance dans certans pays?? Ces thèmes prortares sont auss mportants dans d autres régons du monde : acton de lutte contre la corrupton au Népal, campagne contre le SIDA et la lèpre sur les murs d une mason au Ladakh, Inde.

5 Fche EXEMPLES DU TERRAIN Tableau récaptulatf sur les types d ade et les formes de mse en œuvre de la coopératon au développement A partr des nformatons obtenues lors des exercces précédents, des photos présentées et du texte de synthèse des fches 3.1.2a-c, complétez le tableau récaptulatf c-dessous en tenant compte des questons suvantes: S agt-l de coopératon au développement (CD) ou d ade humantare? D ade publque ou prvée? La collaboraton avec le(s) pays partenare(s) a-t-elle leu au nveau blatéral ou multlatéral? Dans le cas de la coopératon au développement, s agt-l de coopératon régonale ou globale? Les actons réalsées s apparentent-elles à de la coopératon technque ou économque? Quelles actons sont mentonnées ou peuvent être réalsées sur place à la lueur des exemples vus? Pays / régon Dstncton par projet possble Coopératon au développement / ade humantare Ade publque blatérale / ade publque multlatérale / ade prvée Coopératon au développement régonale / globale Coopératon technque / économque Actons sur le terran (présentées ou possbles)

6 Fche 3.1.2a TYPES D AIDE ET FORMES DE COOPE COOPÉRATION SUR LE TERRAIN : RE RÉGION DES GRANDS LACS Depus son Bureau de coopératon au Burund, la Drecton du développement et de la coopératon (DDC) gère son programme humantare en faveur des réfugés et des personnes vctmes des mouvements de populaton dans la régon des Grands Lacs, partculèrement au Burund, en Républque démocratque du Congo, en Tanzane, au Rwanda et en Ouganda. Les programmes humantares ont une stratége partculère dans cette régon : l s agt d une part de contrbuer à la constructon contnuelle de lens entre les actons d urgence à court terme et des réalsatons à plus long terme ayant pour but de renforcer les capactés des populatons et de promouvor la pax. Il s agt d autre part de respecter le prncpe selon lequel la populaton snstrée déplacée et la populaton d accuel dovent rester économquement et socalement actves. Pour réalser ces objectfs complexes, la Susse nsère ses actons et ses fnancements au sen d un réseau de partenares dversfés et performants, comprenant auss ben des organsatons locales que des nsttutons nternatonales. La Susse met un montant de 10 à 16 mllons de francs susses à dsposton de son programme humantare dans la régon des Grands Lacs. Les actons réalsées vont de la mse en place de rados permettant aux populaton d avor accès à des nformatons de bonne qualté et non partsanes, à l appu au système de santé en passant par la sécursaton foncère (p.ex garantr que la terre qu appartent à une famlle ne lu sot pas confsquée par un groupe armé). La DDC soutent également un programme d appu aux vctmes de volences sexuelles par l ntermédare d une organsaton non gouvernementale (ONG) burundase en faveur de 500 femmes volées par des soldats appartenant à dfférentes factons armées. Ces armées terrorsent les populatons cvles sans protecton, notamment en perpétuant des vols en masse qu propagent le sda. Ces pratques sont utlsées comme armes de destructon physque et psychologque, les vctmes étant d une part profondément traumatsées, d autre part vctmes d excluson socale de la part de leur communauté. Au nveau légal, rares sont les vctmes qu osent porter plante contre leurs agresseurs dans un contexte où règne l mpunté. Source : DDC (2011 a): Grands Lacs. > Pays > Afrque orentale et centrale ( ) Hôptal Ndanda Tanzane Dstrbuton de lat en poudre Républque démocratque du Congo (RDC) Réunon de femmes volées ayant été réntégrées avec succès dans leur communauté.

7 Fche 3.1.2b TYPES D AIDE ET FORMES DE COOPE COOPÉRATION SUR LE TERRAIN : BURKINA FASO Ade publque au développement La Drecton du développement et de la coopératon (DDC) soutent ce pays de l Afrque de l Ouest qu est l un des plus pauvres de la planète. L objectf prncpal pour la coopératon est une lutte contre la pauvreté à moyen terme. Les projets sur place s engagent au proft des pauvres et des exclus tout en renforçant les personnes et les nsttutons burknabées qu sont en charge de mettre en œuvre les changements nécessares pour sortr du cercle vceux de la pauvreté. La DDC cherche à valorser les ressources du pays et soutent les potentels et les savors locaux qu sont susceptbles d amélorer les condtons de ve des populatons. Elle appue le secteur de l artsanat et de la pette entreprse, elle travalle en partenarat avec les acteurs locaux pour la promoton d une bonne gouvernance, pour la décentralsaton et pour le développement rural. Il s agt d une ade blatérale qu est auss soutenue par le Secrétarat d Etat à l économe (SECO) qu épaule par des ades budgétares le Mnstère des fnances. Les programmes en mleu rural se concentrent sur le secteur de l eau. Souceuse de promouvor un développement durable, la DDC appue l rrgaton goutte à goutte dans ces régons sahélennes, réhablte des planes rzcoles et partcpe à l assanssement de l eau dans des communes urbanes pérphérques. Ade prvée au développement L orphelnat «La Mason du Cœur», fondé par la Sussesse Josette Boegl en 1986, est un exemple d ade prvée qu montre que des actons ndvduelles exstent dans le domane de la coopératon au développement. Ben que le projet s engage auss au proft des pauvres et des exclus, l sort des cadres tradtonnels. Il est fnancé par des dons prvés et par la vente en Susse d artsanat. Le Gouvernement burknabé a fat don du terran sur lequel est bât l orphelnat, et reconnaît l effcacté de ses actons. Pour Josette Boegl, l adopton des enfants en Europe n est pas une bonne soluton : elle consdère que les enfants orphelns dovent rester dans leur pays et garder les lens qu ls ont avec leur communauté d orgne. De nombreux enfants sont sorts de la msère et ont trouvé des emplos au Burkna Faso après à leur passage à La Mason du Cœur. Ils se rendent ans utles à leur communauté. Josette Boegl a refusé tout partenarat avec des coopératons natonales ou des organsatons non gouvernementales (ONG), car elle a toujours voulu garder sa totale autonome dans ses chox en matère d éducaton et de souten à des famlles pauvres. Source: La Mason du Cœur : ( ) Source: DDC (2011 b): Burkna Faso. > Pays > Afrque orentale et centrale ( ) Système d rrgaton «Mason du Coeur»

8 Fche 3.1.2c TYPES D AIDE ET FORMES DE COOPE COOPÉRATION SUR LE TERRAIN : TCHAD La stratége de la Drecton du développement et de la coopératon (DDC) au Tchad est centrée sur les orentatons de la poltque natonale de lutte contre la pauvreté et sur le développement de tros secteurs prortares (développement rural, santé, éducaton de base). La DDC est présente dans les prncpales régons du pays, notamment auss dans celles qu souffrent le plus d un manque d accès aux servces d éducaton, aux servces de santé et aux nfrastructures économques. Les questons de gouvernance sont également prses en compte. Le programme de coopératon de la Susse au Tchad renforce les capactés famlales agropastorales, les communautés et les communes rurales, et les servces publcs décentralsés en ntervenant dans ces tros secteurs prortares mentonnés : Développement rural : le programme accompagne l émergence d une économe rurale prospère, en soutenant le développement de systèmes de productons vables sur les plans économque, écologque et socal [p.ex système d rrgaton plus effcace]. De manère cohérente, le programme ntervent également dans la lutte contre l éroson et la réhabltaton des pstes rurales, ndspensables pour promouvor les échanges et les relatons commercales entre communautés et pour permettre leur accès aux servces de base en matère de santé et d éducaton. Educaton et formaton: le programme soutent le développement d un système éducatf décentralsé de qualté, adapté aux contextes économques et culturels des populatons [cours donnés par exemple auss en dehors des structures scolares, notamment à des adultes, dans le cadre de l éducaton dte non formelle] et largement géré par des structures communales et des assocatons communautares. Santé: l améloraton de la couverture santare élémentare est essentelle, car elle permet d augmenter l offre et la qualté des prestatons préventves et curatves par des servces de santé gérés, eux auss, avec une forte mplcaton des communes et des communautés (centre de santé vllageos avec personnel local formé pour y travaller). Source: DDC (2011 c): Tchad. http: // > Pays > Afrque orentale et centrale ( ) Educaton de base Jardnage, développement rural

Remboursement d un emprunt par annuités constantes

Remboursement d un emprunt par annuités constantes Sére STG Journées de formaton Janver 2006 Remboursement d un emprunt par annutés constantes Le prncpe Utlsaton du tableur Un emprunteur s adresse à un prêteur pour obtenr une somme d argent (la dette)

Plus en détail

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes

EH SmartView. Identifiez vos risques et vos opportunités. www.eulerhermes.be. Pilotez votre assurance-crédit. Services en ligne Euler Hermes EH SmartVew Servces en lgne Euler Hermes Identfez vos rsques et vos opportuntés Plotez votre assurance-crédt www.eulerhermes.be Les avantages d EH SmartVew L expertse Euler Hermes présentée de manère clare

Plus en détail

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social

Dirigeant de SAS : Laisser le choix du statut social Drgeant de SAS : Lasser le chox du statut socal Résumé de notre proposton : Ouvrr le chox du statut socal du drgeant de SAS avec 2 solutons possbles : apprécer la stuaton socale des drgeants de SAS comme

Plus en détail

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations

Contrats prévoyance des TNS : Clarifier les règles pour sécuriser les prestations Contrats prévoyance des TNS : Clarfer les règles pour sécurser les prestatons Résumé de notre proposton : A - Amélorer l nformaton des souscrpteurs B Prévor plus de souplesse dans l apprécaton des revenus

Plus en détail

Le Prêt Efficience Fioul

Le Prêt Efficience Fioul Le Prêt Effcence Foul EMPRUNTEUR M. Mme CO-EMPRUNTEUR M. Mlle Mme Mlle (CONJOINT, PACSÉ, CONCUBIN ) Départ. de nass. Nature de la pèce d dentté : Natonalté : CNI Passeport Ttre de séjour N : Salaré Stuaton

Plus en détail

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros

Parlons. retraite. au service du «bien vieillir» L Assurance retraite. en chiffres* 639 192 retraités payés pour un montant de 4,2 milliards d euros Édton Pays de la Lore Parlons La lettre aux retratés du régme général de la Sécurté socale 2012 retrate L Assurance retrate en chffres* 12,88 mllons de retratés 17,58 mllons de cotsants 346 000 bénéfcares

Plus en détail

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux :

Faire des régimes TNS les laboratoires de la protection sociale de demain appelle des évolutions à deux niveaux : Réformer en profondeur la protecton socale des TNS pour la rendre plus effcace Résumé de notre proposton : Fare des régmes TNS les laboratores de la protecton socale de deman appelle des évolutons à deux

Plus en détail

STRATEGIE NATIONALE DES BANQUES CEREALIERES DU NIGER

STRATEGIE NATIONALE DES BANQUES CEREALIERES DU NIGER REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE L'AGRICULTURE ET DE L'ELEVAGE B-P, 12091 NIAMEY NIGER Té1 : 7320-58 Drecton de Promoton des Organsatons Rurales et de la Geston de l'espace Rural (DPOR/GER) NIAMEY Té1

Plus en détail

master Objectif Université d Auvergne - Université Blaise Pascal Rentrée 2014 AUVERGNE

master Objectif Université d Auvergne - Université Blaise Pascal Rentrée 2014 AUVERGNE entrée 2014 Objectf master Unversté d Auvergne - Unversté Blase ascal Certans masters sont cohabltés avec d autres établssements d ensegnement supéreur mnstère de l éducaton natonale, de l ensegnement

Plus en détail

Les jeunes économistes

Les jeunes économistes Chaptre1 : les ntérêts smples 1. défnton et calcul pratque : Défnton : Dans le cas de l ntérêt smple, le captal reste nvarable pendant toute la durée du prêt. L emprunteur dot verser, à la fn de chaque

Plus en détail

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1

TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 TABLE DES MATIERES CONTROLE D INTEGRITE AU SEIN DE LA RECHERCHE LOCALE DE LA POLICE LOCALE DE BRUXELLES-CAPITALE/IXELLES (DEUXIEME DISTRICT) 1 1. PROBLEMATIQUE 1 2. MISSION 1 3. ACTES D ENQUETE 2 4. ANALYSE

Plus en détail

RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1

RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 Out ld éval uat on del aper f or manceen mat èr e degest on del adet t e (DeMPA) Républ quedu Sénégal Ma2010 LeDeMPA estunemét hodol og epouréval uerl aper f or manceenmat èr edegest on del adet t eàt

Plus en détail

EURIsCO. Cahiers de recherche. Cahier n 2008-05. L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomique et microéconomique.

EURIsCO. Cahiers de recherche. Cahier n 2008-05. L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomique et microéconomique. Cahers de recherche EURIsCO Caher n 2008-05 L épargne des ménages au Maroc : Une analyse macroéconomque et mcroéconomque Rapport d étude Najat El Mekkaou de Fretas (coordnateur) Eursco Unversté Pars Dauphne

Plus en détail

Driss HARRIZI. MOTS CLES : contrôle de gestion - système d'éducation et de formation système d information - établissement public.

Driss HARRIZI. MOTS CLES : contrôle de gestion - système d'éducation et de formation système d information - établissement public. Ver sunenouvel l ecul t ur emanagér al e:mét hodol og e dem seenpl aced unsyst èmedecont r ôl edegest on dansunét abl ssementpubl c Casd uneacadém er ég onal ed éducat onetde f or mat on. Aut eur s:dr

Plus en détail

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL L ASSURANCE AUTOMOBILE AU QUÉBEC : UNE PRIME SELON LE COÛT SOCIAL MARGINAL MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTIELLE DE LA MAÎTRISE EN ÉCONOMIQUE PAR ERIC LÉVESQUE JANVIER

Plus en détail

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks

Plan. Gestion des stocks. Les opérations de gestions des stocks. Les opérations de gestions des stocks Plan Geston des stocks Abdellah El Fallah Ensa de Tétouan 2011 Les opératons de gestons des stocks Les coûts assocés à la geston des stocks Le rôle des stocks Modèle de la quantté économque Geston calendare

Plus en détail

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE?

CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? CREATION DE VALEUR EN ASSURANCE NON VIE : COMMENT FRANCHIR UNE NOUVELLE ETAPE? Boulanger Frédérc Avanssur, Groupe AXA 163-167, Avenue Georges Clémenceau 92742 Nanterre Cedex France Tel: +33 1 46 14 43

Plus en détail

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF

LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régime») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF 1 LE RÉGIME DE RETRAITE DU PERSONNEL CANADIEN DE LA CANADA-VIE (le «régme») INFORMATION IMPORTANTE CONCERNANT LE RECOURS COLLECTIF AVIS AUX RETRAITÉS ET AUX PARTICIPANTS AVEC DROITS ACQUIS DIFFÉRÉS Expédteurs

Plus en détail

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES

MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES MÉTHODES DE SONDAGES UTILISÉES DANS LES PROGRAMMES D ÉVALUATIONS DES ÉLÈVES Émle Garca, Maron Le Cam et Therry Rocher MENESR-DEPP, bureau de l évaluaton des élèves Cet artcle porte sur les méthodes de

Plus en détail

Pour avoir les idées plus claires...

Pour avoir les idées plus claires... ARNET PRATIQUE Pour avor les dées plus clares...... lorsque vous développez un projet d ntérêt général. Outl produt avec le souten du rédt Mutuel accuel SOMMaRe «Je ne connas pas d entrepreneur qu n at

Plus en détail

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait

Editions ENI. Project 2010. Collection Référence Bureautique. Extrait Edtons ENI Project 2010 Collecton Référence Bureautque Extrat Défnton des tâches Défnton des tâches Project 2010 Sasr les tâches d'un projet Les tâches représentent le traval à accomplr pour attendre l'objectf

Plus en détail

Afflux de capitaux, taux de change réel et développement financier : évidence empirique pour les pays du Maghreb

Afflux de capitaux, taux de change réel et développement financier : évidence empirique pour les pays du Maghreb Global Journal of Management and Busness Research Volume Issue Verson.0 November 20 Type: Double Blnd Peer Revewed Internatonal Research Journal Publsher: Global Journals Inc. (USA) Onlne ISSN: 2249-4588

Plus en détail

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE

Pourquoi LICIEL? Avec LICIEL passez à la vitesse supérieure EPROUVE TECHNICITE CONNECTE STABILITE SUIVIE COMMUNAUTE L og c el s de D agnos t c s I mmob l er s Cont ac t eznous 32BddeS t r as bougcs3010875468 Par scedex10tel. 0253354064Fax0278084116 ma l : s er v c e. c l ent @l c el. f r Pourquo LICIEL? Implanté sur

Plus en détail

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir

L enseignement virtuel dans une économie émergente : perception des étudiants et perspectives d avenir L ensegnement vrtuel dans une économe émergente : percepton des étudants et perspectves d avenr Hatem Dellag Laboratore d Econome et de Fnances applquées Faculté des scences économques et de geston de

Plus en détail

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD

Impôt sur la fortune et investissement dans les PME Professeur Didier MAILLARD Conservatore atonal des Arts et Méters Chare de BAQUE Document de recherche n 9 Impôt sur la fortune et nvestssement dans les PME Professeur Dder MAILLARD Avertssement ovembre 2007 La chare de Banque du

Plus en détail

Table des Matières RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 I. CONTEXTE... 2 1. La dette publique du Gouvernement... 2 2. Contexte institutionnel de gestion de la

Table des Matières RÉSUMÉ ANALYTIQUE... 1 I. CONTEXTE... 2 1. La dette publique du Gouvernement... 2 2. Contexte institutionnel de gestion de la Out ld éval uat on del aper f or manceen mat èr e degest on del adet t e (empa) Maur t an a Mar s2011 LeeMPA estunemét hodol og epouréval uerl aper f or manceenmat èr edegest on del adet t eàt r aver sunensembl

Plus en détail

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques

Système solaire combiné Estimation des besoins énergétiques Revue des Energes Renouvelables ICRESD-07 Tlemcen (007) 109 114 Système solare combné Estmaton des besons énergétques R. Kharch 1, B. Benyoucef et M. Belhamel 1 1 Centre de Développement des Energes Renouvelables

Plus en détail

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES

GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES GUIDE D ÉLABORATION D UN PLAN D INTERVENTION POUR LE RENOUVELLEMENT DES CONDUITES D EAU POTABLE, D ÉGOUTS ET DES CHAUSSÉES Gude destné au mleu muncpal québécos NOVEMBRE 2013 Coordnaton : Martn Cormer,

Plus en détail

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi

santé Les arrêts de travail des séniors en emploi soldarté et DOSSIERS Les arrêts de traval des sénors en emplo N 2 2007 Les sénors en emplo se dstnguent-ls de leurs cadets en termes de recours aux arrêts de traval? Les sénors ne déclarent pas plus d

Plus en détail

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe

Les prix quotidiens de clôture des échanges de quotas EUA et de crédits CER sont fournis par ICE Futures Europe Méthodologe CDC Clmat Recherche puble chaque mos, en collaboraton avec Clmpact Metnext, Tendances Carbone, le bulletn mensuel d nformaton sur le marché européen du carbone (EU ETS). L obectf de cette publcaton

Plus en détail

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria.

Calculer le coût amorti d une obligation sur chaque exercice et présenter les écritures dans les comptes individuels de la société Plumeria. 1 CAS nédt d applcaton sur les normes IAS/IFRS Coût amort sur oblgatons à taux varable ou révsable La socété Plumera présente ses comptes annuels dans le référentel IFRS. Elle détent dans son portefeulle

Plus en détail

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs

Prise en compte des politiques de transport dans le choix des fournisseurs INSTITUT NATIONAL POLYTECHNIQUE DE GRENOBLE N attrbué par la bblothèque THÈSE Pour obtenr le grade de DOCTEUR DE L I.N.P.G. Spécalté : Géne Industrel Préparée au Laboratore d Automatque de Grenoble Dans

Plus en détail

TABLEAU DE BORD DE L ÉVOLUTION DES EFFECTIFS D ÉLÈVES DE L ENSEIGNEMENT PRIMAIRE PUBLIC À UN NIVEAU LOCAL. Choisir une commune

TABLEAU DE BORD DE L ÉVOLUTION DES EFFECTIFS D ÉLÈVES DE L ENSEIGNEMENT PRIMAIRE PUBLIC À UN NIVEAU LOCAL. Choisir une commune Servce de la recherche en éducaton / DIP, Genève - Prévsons localsées d effectfs de l ensegnement prmare TABLEAU DE BORD DE L ÉVOLUTION DES EFFECTIFS D ÉLÈVES DE L ENSEIGNEMENT PRIMAIRE PUBLIC À UN NIVEAU

Plus en détail

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES

BTS GPN 2EME ANNEE-MATHEMATIQUES-MATHS FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES MATHEMATIQUES FINANCIERES I. Concepts généraux. Le référentel précse : Cette parte du module M4 «Acquérr des outls mathématques de base nécessares à l'analyse de données économques» est en relaton avec

Plus en détail

Créer ou reprendre une entreprise, Guide de la création et de la reprise d entreprise 1er semestre 2009

Créer ou reprendre une entreprise, Guide de la création et de la reprise d entreprise 1er semestre 2009 Créer ou reprendre une entreprse, Ou, mas comment? Gude de la créaton 1 er semestre 2009 et de la reprse d entreprse Futurs entrepreneurs, venez nous rencontrer! Chambre de Commerce et d Industre de Rennes

Plus en détail

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire

Assurance maladie et aléa de moralité ex-ante : L incidence de l hétérogénéité de la perte sanitaire Assurance malade et aléa de moralté ex-ante : L ncdence de l hétérogénété de la perte santare Davd Alary 1 et Franck Ben 2 Cet artcle examne l ncdence de l hétérogénété de la perte santare sur les contrats

Plus en détail

Interface OneNote 2013

Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Interface OneNote 2013 Offce 2013 - Fonctons avancées Lancer OneNote 2013 À partr de l'nterface Wndows 8, utlsez une des méthodes suvantes : - Clquez sur la vgnette OneNote 2013

Plus en détail

Montage émetteur commun

Montage émetteur commun tour au menu ontage émetteur commun Polarsaton d un transstor. ôle de la polarsaton La polarsaton a pour rôle de placer le pont de fonctonnement du transstor dans une zone où ses caractérstques sont lnéares.

Plus en détail

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3.

Chapitre 3 : Incertitudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES. Lignes directrices 2006 du GIEC pour les inventaires nationaux de gaz à effet de serre 3. Chaptre 3 : Incerttudes CHAPITRE 3 INCERTITUDES Lgnes drectrces 2006 du GIEC pour les nventares natonaux de gaz à effet de serre 3.1 Volume 1 : Orentatons générales et établssement des rapports Auteurs

Plus en détail

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h.

1 Introduction. 2 Définitions des sources de tension et de courant : Cours. Date : A2 Analyser le système Conversion statique de l énergie. 2 h. A2 Analyser le système Converson statque de l énerge Date : Nom : Cours 2 h 1 Introducton Un ConVertsseur Statque d énerge (CVS) est un montage utlsant des nterrupteurs à semconducteurs permettant par

Plus en détail

22 environnement technico-professionnel

22 environnement technico-professionnel 22 envronnement technco-professonnel CYRIL SABATIÉ Drecteur du servce jurdque FNAIM Ouverture du ma IMMOBILIER, OÙ 1 Artcle paru également dans la Revue des Loyers, jullet à septembre 2007, n 879, p. 314

Plus en détail

STATISTIQUE AVEC EXCEL

STATISTIQUE AVEC EXCEL STATISTIQUE AVEC EXCEL Excel offre d nnombrables possbltés de recuellr des données statstques, de les classer, de les analyser et de les représenter graphquement. Ce sont prncpalement les tros éléments

Plus en détail

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix.

ErP : éco-conception et étiquetage énergétique. Les solutions Vaillant. Pour dépasser la performance. La satisfaction de faire le bon choix. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Les solutons Vallant Pour dépasser la performance La satsfacton de fare le bon chox. ErP : éco-concepton et étquetage énergétque Eco-concepton et Etquetage

Plus en détail

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS

DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS DES EFFETS PERVERS DU MORCELLEMENT DES STOCKS Le cabnet Enetek nous démontre les mpacts négatfs de la multplcaton des stocks qu au leu d amélorer le taux de servce en se rapprochant du clent, le dégradent

Plus en détail

SYNTH~SE. Rapport -1 -

SYNTH~SE. Rapport -1 - SYNTH~SE. La msson de l'inspecton Générale des Fnances a procédé à ('aname écoqomjgue du fonctonnement de 37 professjons et actyltés ré&j.ementées. Elles ont été sélectonnées sur la base de leur pods dans

Plus en détail

abitat Zoom sur... www.habitat-nord79.fr L habitat adapté...page 2 Parthenay, Saint-Paul : 3 associations,1 quartier...page 8 N 10 - Avril 2013

abitat Zoom sur... www.habitat-nord79.fr L habitat adapté...page 2 Parthenay, Saint-Paul : 3 associations,1 quartier...page 8 N 10 - Avril 2013 abtat L e m a g a z n e d e s l o c a t a r e s d H a b t a t N o r d D e u x - S è v r e s N 10 - Avrl 2013 Zoom sur... L habtat adapté...page 2 Parthenay, Sant-Paul : 3 assocatons,1 quarter...page 8

Plus en détail

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle»

I. Présentation générale des méthodes d estimation des projets de type «unité industrielle» Evaluaton des projets et estmaton des coûts Le budget d un projet est un élément mportant dans l étude d un projet pusque les résultats économques auront un mpact sur la réalsaton ou non et sur la concepton

Plus en détail

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage

Fiche n 7 : Vérification du débit et de la vitesse par la méthode de traçage Fche n 7 : Vérfcaton du débt et de la vtesse par la méthode de traçage 1. PRINCIPE La méthode de traçage permet de calculer le débt d un écoulement ndépendamment des mesurages de hauteur et de vtesse.

Plus en détail

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11

Paquets. Paquets nationaux 1. Paquets internationaux 11 Paquets Paquets natonaux 1 Paquets nternatonaux 11 Paquets natonaux Servces & optons 1 Créaton 3 1. Dmensons, pods & épasseurs 3 2. Présentaton des paquets 4 2.1. Face avant du paquet 4 2.2. Comment obtenr

Plus en détail

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr

Contact SCD Nancy 1 : theses.sciences@scd.uhp-nancy.fr AVERTISSEMENT Ce document est le frut d'un long traval approuvé par le jury de soutenance et ms à dsposton de l'ensemble de la communauté unverstare élarge. Il est soums à la proprété ntellectuelle de

Plus en détail

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4

VIELLE Marc. CEA-IDEI Janvier 1998. 1 La nomenclature retenue 3. 2 Vue d ensemble du modèle 4 GEMINI-E3 XL France Un outl destné à l étude des mpacts ndustrels de poltques énergétques et envronnementales VIELLE Marc CEA-IDEI Janver 1998 I LA STRUCTURE DU MODELE GEMINI-E3 XL FRANCE 3 1 La nomenclature

Plus en détail

Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et histoire autour de Mondoubleau

Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et histoire autour de Mondoubleau Avez-vous vous aperçu cette drôle de trogne? Entre nature et hstore autour de Mondoubleau Thème de la cache : NATURE ET CULTURE Départ : Parkng Campng des Prés Barrés à Mondoubleau Dffculté : MOYENNE Dstance

Plus en détail

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES

MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES Un Peuple - Un But Une Fo MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES DIRECTION DE LA PREVISION ET DES ETUDES ECONOMIQUES Document de traval N 03 GESTION DU RISQUE DE CREDIT ET FINANCEMENT DES ECONOMIES DE

Plus en détail

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33

Terminal numérique TM 13 raccordé aux installations Integral 33 Termnal numérque TM 13 raccordé aux nstallatons Integral 33 Notce d utlsaton Vous garderez une longueur d avance. Famlarsez--vous avec votre téléphone Remarques mportantes Chaptres à lre en prorté -- Vue

Plus en détail

Intégration financière et croissance économique : évidence empirique dans. la région MENA

Intégration financière et croissance économique : évidence empirique dans. la région MENA Décembre 2011 Volume 6, No.2 (pp. 115-131) Zouher Abda Revue Congolase d Econome Intégraton fnancère et crossance économque : évdence emprque dans la régon MENA Zouher ABIDA * Résumé: L objectf de cet

Plus en détail

Des solutions globales fi ables et innovantes. www.calyon.com

Des solutions globales fi ables et innovantes. www.calyon.com Des solutons globales f ables et nnovantes www.calyon.com OPTIM Internet: un outl smple et performant Suv de vos comptes Tratement de vos opératons bancares Accès à un servce de reportng complet Une nterface

Plus en détail

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION

COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION COMPARAISON DE MÉTHODES POUR LA CORRECTION DE LA NON-RÉPONSE TOTALE : MÉTHODE DES SCORES ET SEGMENTATION Émle Dequdt, Benoît Busson 2 & Ncolas Sgler 3 Insee, Drecton régonale des Pays de la Lore, Servce

Plus en détail

Précision de rigueur

Précision de rigueur 08_ AJUSTEUR Matheu Mossec, en tran de monter une structure chez ASTF à Mérgnac Esprt carré J a découvert le méter et trouvé ma vocaton. À 36 ans, Matheu a eu un premer méter mécancen mas avec une partcularté

Plus en détail

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE

ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE - 1 - ACTE DE PRÊT HYPOTHÉCAIRE 5453F QC FR-2010/01 Taux fxe Le. Devant M e, notare soussgné pour la provnce de Québec, exerçant à. ONT COMPARU : ET : (C-après parfos appelé dans le présent Acte l «emprunteur»

Plus en détail

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation

Integral T 3 Compact. raccordé aux installations Integral 5. Notice d utilisation Integral T 3 Compact raccordé aux nstallatons Integral 5 Notce d utlsaton Remarques mportantes Remarques mportantes A quelle nstallaton pouvez-vous connecter votre téléphone Ce téléphone est conçu unquement

Plus en détail

INTERNET. Initiation à

INTERNET. Initiation à Intaton à INTERNET Surfez sur Internet Envoyez des messages Téléchargez Dscutez avec Skype Découvrez Facebook Regardez des vdéos Protégez votre ordnateur Myram GRIS Table des matères Internet Introducton

Plus en détail

Une analyse économique et expérimentale de la fraude à l assurance et de l audit

Une analyse économique et expérimentale de la fraude à l assurance et de l audit Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt Sameh Borg To cte ths verson: Sameh Borg. Une analyse économque et expérmentale de la fraude à l assurance et de l audt. Economes

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune Marc Bourreau Abel Franços Jun 2006 Département Scences Economques et

Plus en détail

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine

Prêt de groupe et sanction sociale Group lending and social fine Prêt de roupe et sancton socale Group lendn and socal fne Davd Alary Résumé Dans cet artcle, nous présentons un modèle d antsélecton sur un marché concurrentel du crédt. Nous consdérons l ntroducton de

Plus en détail

Captez les profits de la publicité sur mobile avec ces 2 valeurs. Évaluez votre couverture contre le risque dollar. Les Lettons élisent l austérité

Captez les profits de la publicité sur mobile avec ces 2 valeurs. Évaluez votre couverture contre le risque dollar. Les Lettons élisent l austérité DU 11 AU 17 NOVEMBRE 2010 NO 106 l 3 www.moneyweek.fr Captez les profts de la publcté sur moble avec ces 2 valeurs Évaluez votre couverture contre le rsque dollar Les Lettons élsent l austérté Hértage

Plus en détail

CABINETS DE CONSEIL EN SCM Zoom sur les spécialistes

CABINETS DE CONSEIL EN SCM Zoom sur les spécialistes SULY CHA MAGAZE 95 RUE DE LA BOETE 758 ARS - 6 77 23 48 34 OJD : 1132 Surface approx (cm²) : 438 OUR VOS AELS DJSJ age 1/1 CABETS DE COSEL E SCM Zoom sur les spécalstes 1 cabnets de consel ont accepté

Plus en détail

être étudiant à Annecy et son agglomération

être étudiant à Annecy et son agglomération être étudant à Annecy et son agglomératon 2014 2015 photo extrate de l exposton «1 tot 2 gnénératons, d un regard à l autre...» Le Logement nter génératonnel soldare est une forme de logement alternatve.

Plus en détail

Mesure avec une règle

Mesure avec une règle Mesure avec une règle par Matheu ROUAUD Professeur de Scences Physques en prépa, Dplômé en Physque Théorque. Lycée Alan-Fourner 8000 Bourges ecrre@ncerttudes.fr RÉSUMÉ La mesure d'une grandeur par un système

Plus en détail

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008

En vue de l'obtention du. Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 THÈSE En vue de l'obtenton du DOCTORAT DE L UNIVERSITÉ DE TOULOUSE Délvré par l'unversté Toulouse III - Paul Sabater Spécalté : Informatque Présentée et soutenue par Meva DODO Le 06 novembre 2008 Ttre

Plus en détail

OPTIMALITÉ DU MÉCANISME DE RATIONNEMENT DE CRÉDIT DANS LE MODÈLE ISLAMIQUE DE FINANCEMENT

OPTIMALITÉ DU MÉCANISME DE RATIONNEMENT DE CRÉDIT DANS LE MODÈLE ISLAMIQUE DE FINANCEMENT Etudes en Econoe Islaque, Vol. 6, Nos. & (-7) Mouharra, Raab 434H (Novebre 0, Ma 03) OPTIMALITÉ DU MÉCANISME DE RATIONNEMENT DE CRÉDIT DANS LE MODÈLE ISLAMIQUE DE FINANCEMENT ALIM BELEK Résué Le ratonneent

Plus en détail

Étranglement du crédit, prêts bancaires et politique monétaire : un modèle d intermédiation financière à projets hétérogènes

Étranglement du crédit, prêts bancaires et politique monétaire : un modèle d intermédiation financière à projets hétérogènes Étranglement du crédt, prêts bancares et poltque monétare : un modèle d ntermédaton fnancère à projets hétérogènes Mngwe Yuan et Chrstan Zmmermann Introducton et objet de l étude Par étranglement du crédt

Plus en détail

être étudiant à Annecy et son agglomération

être étudiant à Annecy et son agglomération être étudant à Annecy et son agglomératon 2013 2014 Le Logement nter génératonnel soldare est une forme de logement alternatve. Une personne retratée vous met à dsposton une chambre et l accès à sa cusne

Plus en détail

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises

Les déterminants de la détention et de l usage de la carte de débit : une analyse empirique sur données individuelles françaises Les détermnants de la détenton et de l usage de la carte de débt : une analyse emprque sur données ndvduelles françases Davd Boune a, Marc Bourreau a,b et Abel Franços a,c a Télécom ParsTech, Département

Plus en détail

LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION?

LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION? LA SURVIE DES ENTREPRISES DÉPEND-ELLE DU TERRITOIRE D'IMPLANTATION? Anne PERRAUD (CRÉDOC) Phlppe MOATI (CRÉDOC Unversté Pars) Nadège COUVERT (ENSAE) INTRODUCTION Au cours des dernères années, de nombreux

Plus en détail

Professionnel de santé équipé de Médiclick!

Professionnel de santé équipé de Médiclick! Professonnel de santé équpé de Médclck! Dosser Médcal Partagé en Aqutane Ce gude vous présente les prncpales fonctonnaltés réservées aux professonnels de santé membres du réseau AquDMP. Sommare Connexon

Plus en détail

17th Annual Conference on Global Economic Analysis/GTAP 2014. Commerce intra CEMAC et consommation des ménages au Cameroun : analyse par un MEGC

17th Annual Conference on Global Economic Analysis/GTAP 2014. Commerce intra CEMAC et consommation des ménages au Cameroun : analyse par un MEGC 17t Annual Conference on Global Economc Analyss/GTAP 2014 Commerce ntra CEMAC et consommaton des ménages au Cameroun : analyse par un MEGC Gankou Jean-Mare Fowagap Professeur Ttulare Hors Ecelle, Agrégé

Plus en détail

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires

La Quantification du Risque Opérationnel des Institutions Bancaires HEC Montréal Afflée à l Unversté de Montréal La Quantfcaton du Rsque Opératonnel des Insttutons Bancares par Hela Dahen Département Fnance Thèse présentée à la Faculté des études supéreures en vue d obtenton

Plus en détail

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr.

Pour plus d'informations, veuillez nous contacter au 04.75.05.52.62. ou à contact@arclim.fr. Régulaton Sondes & Capteurs Détente frgo électronque Supervson & GTC Humdfcaton & Déshu. Vannes & Servomoteurs Comptage eau, elec., énerge Ancens artcles Cette documentaton provent du ste www.arclm.eu

Plus en détail

L ABC du traitement cognitivo-comportemental de l insomnie primaire

L ABC du traitement cognitivo-comportemental de l insomnie primaire F É D É R A T I O N D E S M É D E C I N S O M N I P R A T I C I E N S D U Q U É B E C L ABC du tratement cogntvo-comportemental de l nsomne prmare par Anne Vallères, Bernard Guay et Charles Morn M me Tousgnant

Plus en détail

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2

1.0 Probabilité vs statistique...1. 1.1 Expérience aléatoire et espace échantillonnal...1. 1.2 Événement...2 - robabltés - haptre : Introducton à la théore des probabltés.0 robablté vs statstque.... Expérence aléatore et espace échantllonnal.... Événement.... xomes défnton de probablté..... Quelques théorèmes

Plus en détail

CATALOGUE EXCLUSIF TOUCH MEDIA CATALOGUE DE SITES FORMATS GLOSSAIRE. Notre sélection de supports en représentation exclusive au Maroc

CATALOGUE EXCLUSIF TOUCH MEDIA CATALOGUE DE SITES FORMATS GLOSSAIRE. Notre sélection de supports en représentation exclusive au Maroc CATALOGUE EXCLUSIF Notre sélecton de supports en représentaton exclusve au Maroc CATALOGUE DE SITES FORMATS A PROPOS DE NOUS Make ordnary, Extraordnary Phlosophe Équpe Réactvté est la rége publctare web

Plus en détail

Version provisoire Ne pas citer sans l accord des auteurs

Version provisoire Ne pas citer sans l accord des auteurs Verson provsore Ne pas cter sans l accord des auteurs Les détermnants du beson d ade non satsfat des personnes âgées vvant à domcle : un modèle probt bvaré avec sélecton d échantllon Bérengère Davn 1,2,

Plus en détail

Exercices d Électrocinétique

Exercices d Électrocinétique ercces d Électrocnétque Intensté et densté de courant -1.1 Vtesse des porteurs de charges : On dssout une masse m = 20g de chlorure de sodum NaCl dans un bac électrolytque de longueur l = 20cm et de secton

Plus en détail

Pauvreté et fécondité au Congo

Pauvreté et fécondité au Congo BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES DT 14/2007 Pauvreté et fécondté au Congo Samuel AMBAPOUR Armel MOUSSANA HYLOD BAMSSII BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle DT 14/2007 Pauvreté et

Plus en détail

THESE. Khalid LEKOUCH

THESE. Khalid LEKOUCH N d ordre : /2012 THESE Présentée à la FACULTE DES SCIENCES D AGADIR En vue de l obtenton du GRADE DE DOCTEUR EN PHYSIQUE (Spécalté : Energétque, Thermque et Métrologe) Par Khald LEKOUCH MODELISATION ET

Plus en détail

1. Les enjeux de la prévision du risque de défaut de paiement

1. Les enjeux de la prévision du risque de défaut de paiement Scorng sur données d entreprses : nstrument de dagnostc ndvduel et outl d analyse de portefeulle d une clentèle Mrelle Bardos Ancen chef de servce de l Observatore des entreprses de la Banque de France

Plus en détail

Une offre pléthorique de formations diplômantes adaptées aux CGPI

Une offre pléthorique de formations diplômantes adaptées aux CGPI Page 1/5 PROFESSON Compétences Une offre pléthorque de formatons dplômantes adaptées aux CGP Afn de parfare ou de valder leurs compétences, les consels en geston de patrmone ndépendants ont à leur dsposton

Plus en détail

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D

P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D P R I S E E N M A I N R A P I D E O L I V E 4 H D Sommare 1 2 2.1 2.2 2.3 3 3.1 3.2 3.3 4 4.1 4.2 4.3 4.4 4.5 4.6 5 6 7 7.1 7.2 7.3 8 8.1 8.2 8.3 8.4 8.5 8.6 Contenu du carton... 4 Paramétrage... 4 Connexon

Plus en détail

Méthodologie version 1, juillet 2006

Méthodologie version 1, juillet 2006 Méthodologe verson, ullet 2006 Tendances Carbone résente chaque mos sx groues d ndcateurs :. Synthèse du mos 2. Clmat 3. Actvté économque. Energe 5. Envronnement nsttutonnel 6. Tableau de bord Ce document

Plus en détail

N 1. Avec la Smerep, simplifiez-vous la vie! Sécu étudiante i Centre 617. Complémentaires i santé. Pack Smerep. en Ile-de-France 2007/2008

N 1. Avec la Smerep, simplifiez-vous la vie! Sécu étudiante i Centre 617. Complémentaires i santé. Pack Smerep. en Ile-de-France 2007/2008 N 1 en Ile-de-France Sécu étudante Centre 617 Complémentares santé Pack Smerep Avec la Smerep, smplfez-vous la ve! 2007/2008 Ce document est édté et dffusé dans le cadre de la conventon passée entre l

Plus en détail

Étudiants à l université: Une bulle d air pour les Facultés de médecine

Étudiants à l université: Une bulle d air pour les Facultés de médecine N 327 1 er novembre 2010 RUBRIQUE QSous- Rubrque LaQunzane Bmensuel de la communauté unverstare de l'ucl www.uclouvan.be/laqunzane Étudants à l unversté: Gel des drots d nscrpton jusqu en 2014-2015, gratuté

Plus en détail

Mes Objectifs. De, par, avec Sandrine le Métayer Lumières de Philippe Férat. spectacle produit par la Cie DORE

Mes Objectifs. De, par, avec Sandrine le Métayer Lumières de Philippe Férat. spectacle produit par la Cie DORE Me Objectf De, par, avec Sandrne le Métayer Lumère de Phlppe Férat pectacle produt par la Ce DORE t j Me objectf numéro prx du Jury aux Gradn du rque (Le Hvernale/ Avgnon) p l e t t a r d, p Sandrne le

Plus en détail

TD 1. Statistiques à une variable.

TD 1. Statistiques à une variable. Danel Abécasss. Année unverstare 2010/2011 Prépa-L1 TD de bostatstques. Exercce 1. On consdère la sére suvante : TD 1. Statstques à une varable. 1. Calculer la moyenne et l écart type. 2. Calculer la médane

Plus en détail

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS.

ÉLÉMENTS DE THÉORIE DE L INFORMATION POUR LES COMMUNICATIONS. ÉLÉMETS DE THÉORIE DE L IFORMATIO POUR LES COMMUICATIOS. L a théore de l nformaton est une dscplne qu s appue non seulement sur les (télé-) communcatons, mas auss sur l nformatque, la statstque, la physque

Plus en détail

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009

hal-00409942, version 1-14 Aug 2009 Manuscrt auteur, publé dans "MOSIM' 008, Pars : France (008)" 7 e Conférence Francophone de MOdélsaton et SIMulaton - MOSIM 08 - du mars au avrl 008 - Pars - France «Modélsaton, Optmsaton et Smulaton des

Plus en détail

UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS

UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS BRUSSELS ECONOMIC REVIEW - CAHIERS ECONOMIQUES DE BRUXELLES VOL. 49 - N 2 SUMMER 2006 UNE ETUDE ECONOMÉTRIQUE DU NOMBRE D ACCIDENTS DANS LE SECTEUR DE L ASSURANCE AUTOMOBILE* MARÍA DEL CARMEN MELGAR**

Plus en détail

Le guide pratique pour y parvenir

Le guide pratique pour y parvenir Le gude pratque pour y parvenr 1 2 3 4 Il n est pas facle d arrêter de fumer. Il s agt de renoncer à une habtude quotdenne soldement nstallée, de changer de comportement Celaprenddu tempset sefat généralement

Plus en détail

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES

BUREAU D'APPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BUREAU DAPPLICATION DES METHODES STATISTIQUES ET INFORMATIQUES BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton à l analyse des données Samuel AMBAPOUR BAMSSI I BAMSI B.P. 13734 Brazzavlle BAMSI REPRINT 04/2003 Introducton

Plus en détail

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures

IDEI Report # 18. Transport. December 2010. Elasticités de la demande de transport ferroviaire: définitions et mesures IDEI Report # 18 Transport December 2010 Elastctés de la demande de transport ferrovare: défntons et mesures Elastctés de la demande de transport ferrovare : Défntons et mesures Marc Ivald Toulouse School

Plus en détail

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991

Be inspired. Numéro Vert. Via Caracciolo 20 20155 Milano tel. +39 02 365 22 990 fax +39 02 365 22 991 Ggaset SX353 / französsch / A31008-X353-P100-1-7719 / cover_0_hedelberg.fm / 03.12.2003 s Be nspred www.onedrect.fr www.onedrect.es www.onedrect.t www.onedrect.pt 0 800 72 4000 902 30 32 32 02 365 22 990

Plus en détail