2013, la dernière année pour défiscaliser?
|
|
- Clémence Albert
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 2013, la dernière année pour défiscaliser? Les répercussions sur l emploi et l économie
2 1. Chronologie des événements ayant affecté l AFIOM depuis 2009 : l étau se resserre
3 Mai 2009 : la LODEOM favorise le financement du logement social et durcit quelques règles pour les biens productifs Ø Création d un régime spécifique favorable au logement social. Ø Certains secteurs d activités disparaissent (logements libres et intermédiaires à l IR, location de voitures), tandis que d autres sont plafonnés (Énergies renouvelables) ou ajoutés (câbles sous-marins de télécommunication, R&D). Ø Le mécanisme devient plus strict (seuils d agrément abaissés, base éligible plus stricte, durée d exploitation allongée en fonction de la durée d amortissement, etc.). Ø Des mesures de moralisation sont adoptées (obligations fiscales, sociales et de dépôt des comptes annuels pour les entreprises, conclusion obligatoire d une convention d échange d information et la lutte contre la fraude et l évasion fiscale pour toutes les collectivités d outre-mer).
4 Février 2010 : publication d un rapport de la Cour des comptes, qui juge disproportionné le coût de la défiscalisation en Nouvelle-Calédonie et à Wallis-et-Futuna Ø Le coût du dispositif est jugé trop élevé et le couple rendement/risque est estimé trop en faveur des investisseurs. Ø La Cour des comptes souligne l absence de contrôles. Ø Le rapport conclut à la nécessité de réduire le coût du dispositif, d abaisser les seuils d agrément et de mettre en œuvre des contrôles plus stricts.
5 Décembre 2010 : la Loi de finances pour 2011 rabote une première fois l AFIOM et durcit le plafond des niches fiscales Ø Aucun consensus ne se dégageant pour une suppression pure et simple des niches fiscales les plus coûteuses, un coup de rabot général de 10 % est décidé. Ø La réduction d impôt relative AFIOM est ramenée de 50 % à 48 % (47,50 % pour le secteur sans agrément) avec un maintien du niveau de rétrocession en faveur des entreprises. Ø Le plafond de la niche fiscale outre-mer est ramené à % du revenu imposable (contre un plafond de % en 2010).
6 Juin 2011 : un rapport de l Inspection générale des finances dresse l inventaire des 538 niches fiscales et sociales et évalue leur coût ainsi que leur efficacité Ø Le rapport de l IGF inventorie 538 mesures dérogatoires, dont 470 dépenses fiscales et 68 niches sociales, pour un coût budgétaire total de près de 104 Mds d. Ø L outre-mer représente un enjeu de 3,5 Mds d, dont 1 Md d (soit 118 Mds de F CFP) en moyenne pour la seule AFIOM entre 2004 et Ø L efficience de l AFIOM est jugée mauvaise, notamment lorsqu elle fait intervenir un tiers investisseur - à noter que c est le seul schéma possible pour les collectivités d outre-mer (COM).
7 Décembre 2011 : la Loi de finances pour 2012 rabote une seconde fois l AFIOM, durcit encore son plafond et met fin à la Loi Scellier Ø Un nouveau coup de rabot de 15 % est décidé à l issue du second plan de rigueur : - La réduction d impôt outre-mer est ramenée de 48 % à 45,30 %. Le plafond de réduction d impôt est abaissé pour 2012 à % du revenu imposable. - La défiscalisation du logement social est sanctuarisée. La Loi Scellier est arrêtée fin Les montages à l IS ne sont pas touchés, mais ils ne concernent en pratique que peu d entreprises, eu égard aux montants et aux niveaux de garantie exigés. Ø La moralisation se poursuit avec un début d encadrement de la profession de monteur : - obligations fiscales et sociales à jour, assurance RC pro, comptes certifiés, casier judiciaire vierge des dirigeants, charte de déontologie, mise en concurrence obligatoire pour les projets initiés par des entreprises à capitaux majoritairement publics, etc.
8 Février 2012 : un second rapport de la Cour des comptes recommande de supprimer les défiscalisations en faveur de l outre-mer Ø Ce rapport, très critique, conclut à la nécessité de supprimer les défiscalisations en faveur de l outre-mer. Ø Les appréciations formulées ne prennent pas en compte les recadrages apportés au dispositif par la LODEOM et par les Lois de finances pour 2010, 2011 et Ø Les exemples cités surestiment la part de l avantage fiscal conservée par les investisseurs. Ø Les réponses du ministre de l intérieur, Claude GUEANT, et de la ministre du budget, Valérie PECRESSE, défendent la pertinence et l efficacité de l AFIOM et précisent que les subventions n ont pas prouvé leur supériorité.
9 Décembre 2012 : la Loi de finances pour 2013 maintient l AFIOM pour 1 an Ø Le ministre Victorin LUREL, appuyé par le Premier ministre et le président de la République, obtient le maintien en l état de l AFIOM pour un an. Ø Le Conseil constitutionnel censure partiellement la part variable de 4 % du plafond réservé à l outre-mer, ramené à dès 2013, pour cause de «rupture de l égalité entre les contribuables devant les charges publiques». Ø Le Gouvernement doit remettre au Parlement un rapport étudiant l opportunité et la possibilité de transformer en dotations budgétaires tout ou partie des dépenses fiscales rattachées à titre principal à la mission «Outre-mer».
10 2. Méthodologie de la réforme envisagée et enjeux pour les investissements en cours et à venir
11 Une réforme pilotée par le Gouvernement et suivie par les délégations aux outre-mer et les commissions des finances de l Assemblée nationale et du Sénat Ø Le Ministère de l Outre-mer : coordinateur de la réforme et animateur d un Comité de pilotage interministériel chargé de rédiger le rapport au parlement. Ø Le Ministère du Budget et des comptes publics : rapporteur et arbitre. Ø Les Délégations aux outre-mer et les Commissions des finances de l Assemblée et du Sénat : une interface précieuse. Ø Une instance de concertation réunit les parlementaires, les exécutifs locaux, les représentants du monde professionnel (ACCIOM, FEDOM). Ø Une réforme qui doit faire la synthèse entre (i) le développement économique des outre-mer, (ii) la recherche d économies budgétaires et (iii) les orientations recherchées pour orienter l épargne financière des ménages vers le financement productif des entreprises (rapport BERGER-LEFEBVRE du 02/04/13).
12 La chronologie des événements de l année 2013 L État déclare suite à la censure du Conseil constitutionnel qu il y aura compensation par des subventions des sommes qui ne pourront être investies dans les outre-mer par le biais de la défiscalisation. Ø L IGF est chargée d un rapport pour évaluer l impact de la décision du Conseil constitutionnel sur les projets en cours et les moyens de supprimer cet impact. Le ministre de l outre-mer évoque trois pistes de réflexion alternatives : 1. Maintien d une défiscalisation mieux encadrée, 2. Budgétisation de l aide au logement social et création d un crédit d impôt pour l aide à l investissement productif, 3. Défiscalisation réformée sur le logement social et dispositif nouveau pour l investissement productif. Différentes auditions ont lieu au Sénat et à l Assemblée nationale. Ø Un rapport du Gouvernement doit être remis au Parlement à partir du mois de mai pour préparer le projet de Loi de finances devant être voté en fin d année.
13 Les objectifs visés par la réforme : coût, efficience et moralisation Maintien de l effort financier : 1,1 Md budgétés pour 2013, soit 3 Mds d investissements, Recherche d une meilleure efficience (rapport coût/efficacité) et d une plus grande moralisation, Continuité, afin d éviter une année blanche, Lisibilité et sécurité, les systèmes devant rester simples, stables et efficaces, Concertation, de manière à prendre en compte les points de vue des acteurs concernés.
14 Les pistes évoquées Raisonner par filière, au choix des élus locaux de chaque DOM-COM, Coupler l aide de la Métropole à une aide incitative des régions, Revoir les mesures en faveur du logement intermédiaire, secteur nécessaire en terme d habitat et utile au soutien du BTP, S appuyer sur la BPI, qui doit être déployée outre-mer, pour préfinancer les crédit d impôts.
15 Le scénario du crédit d impôt Ø Un crédit d impôt serait octroyé directement à l exploitant, ce qui améliorerait l efficience de l aide dans la mesure où il n y aurait plus de tiers investisseur. Ce mécanisme ne fonctionne pas dans les COM, qui ont leur propre système fiscal. Quand bien même il fonctionnerait pour les COM, il faut noter que : Les résultats escomptés par l exploitant, par nature aléatoires, ne permettent pas d imputer un crédit d impôt de manière certaine, surtout lorsque l investissement est conséquent. Le crédit d impôt est une ressource à court terme qui convient à des dépenses d exploitation ou de petits investissements (CIR, CICE) proches en montant de l IS dû et non à des investissements à long terme qui doivent être financés par des fonds propres et des ressources à long terme. Le mécanisme de refinancement par la BPI est lourd et la déclinaison de la BPI dans les COM est imprécise.
16 Le scénario de la subvention Ø Les subventions nécessitent pour les COM le recours à des conventions de type contrat de développement État-Provinces, avec un co-financement des collectivités. Ø Les subventions ont fait l objet de nombreuses critiques par le passé (instruction aléatoire, manque d objectivité ou de neutralité, échecs de projets subventionnés, etc.) Ø Les subventions impactent immédiatement le budget de l État, contrairement aux dépenses fiscales qui constituent des manques à gagner. Ø Enfin, une subvention est imposable pour l entreprise et doit être déduite de l assiette éligible à la défiscalisation locale contrairement à l AFIOM qui est cumulable.
17 3. Conclusion
18 Enjeux pour les investissements en cours et à venir Ø 1. Pour les investissements déjà lancés pour 2013, le placement à l IR peut être rendu difficile par le nouveau plafond de Nous recommandons aux chefs d entreprise de suivre l évolution éventuelle de ce plafond, notamment pour les dossiers à l IR sans agrément pour Ø 2. Pour les investissements à l étude pour 2014, ceux qui sont stratégiques, voire vitaux, pour l entreprise auront intérêt à faire l objet d un dépôt de demande d agrément encore en Nous recommandons vivement aux chefs d entreprise de déposer leur dossier au plus vite pour bénéficier des éventuelles mesures transitoires.
19 Enjeux pour les investissements en cours et à venir Ø 3. Pour les autres investissements à venir qui n entreraient pas dans les catégories précédentes. Nous recommandons aux chefs d entreprise d avoir à l esprit que les mécanismes peuvent évoluer à compter de 2014 avant de prendre des décisions engageant leur entreprise et de mobiliser des fonds.
20 Exemple d un projet financé par un adhérent à l aide de l AFIOM Nom de l entreprise : BlueScope Acier - Succursale de Koné Secteur d activité : Industrie Année de réalisation du projet : 2012 Montant et nature de l investissement : Xpf - Implantation d une usine de transformation et de production dans le Nord. Montant des fonds propres apportés par les investisseurs grâce à l AFIOM : Xpf soit 27,32 % du montant investi ce qui correspond à 32 % de la base éligible. Conséquence pour le projet si le recours à l AFIOM n avait pas été possible : ce projet pour le rééquilibrage n aurait pu être réalisé par manque de fonds propres.
21 Exemple d un projet financé par un adhérent à l aide de l AFIOM Nom de l entreprise : SOCALAIT Secteur d activité : Industrie agro-alimentaire Année de réalisation du projet : 2011 Montant et nature de l investissement : Xpf Mise aux normes de la chaîne de production (cuves, tuyauteries, etc.). Montant des fonds propres apportés par les investisseurs grâce à l AFIOM : Xpf soit 27,3 % du montant investi. Conséquence pour le projet si le recours à l AFIOM n avait pas été possible : Baisse de compétitivité et de rentabilité de la chaîne de production Étalement obligatoire des investissements Obsolescence accélérée de l outil de production
22 Exemple d un projet financé par un adhérent à l aide de l AFIOM Nom de l entreprise : à Nouméa Secteur d activité : Artisan boulanger-pâtissier-chocolatier-glacier Années de la réalisation du projet : de 2007 à 2011 Montant total et nature de l investissement : Xpf - Création d un laboratoire de pâtisserie, mise aux normes réglementaires de l ensemble de l établissement, installation d un secteur chocolaterie et glacerie. Montant des fonds apportés par les investisseurs grâce à l AFIOM : environ Xpf soit dans un premier temps au taux de 37 % et dans un deuxième temps au taux de 30 % (en 2011) du montant total investi. Conséquence pour le projet si le recours à l AFIOM n avait pas été possible : Il est à noter que l appel à crédit auprès des banques n aurait pas eu d échos positifs, malgré un apport personnel et significatif.
23 Exemple d un projet financé par une entreprise artisanale à l aide de l AFIOM Nom de l entreprise : OPTIFLUIDS SARL Secteur d activité : Production. Montage et installation de structures métalliques, chaudronnées et de tuyauterie Année de réalisation du projet : 2011 Montant et nature de l investissement : Xpf dont Xpf d investissement en matériel de production défiscalisable nécessaire pour la création de l entreprise. Montant des fonds propres apportés par les investisseurs grâce à l AFIOM : Xpf soit 24 % du montant investi (soit 27 % de la base éligible) Conséquence pour le projet si le recours à l AFIOM n avait pas été possible : ce projet porté par un compagnon et Meilleur Ouvrier de France 2011 n aurait pu être réalisé par manque de fonds propres, ou alors l entreprise n aurait pas pu conserver son autonomie financière.
24 Exemple (cas d école) d un projet financé par une entreprise agricole à l aide de l AFIOM Nom de l entreprise : Station Secteur d activité : Production de bovins Année de réalisation du projet : 2010 Montant et nature de l investissement : Renouvellement d un stock yard (3 millions) et achat d un tracteur avec accessoires (10 millions) pour amélioration des pâturages. Montant des fonds propres apportés par les investisseurs grâce à l AFIOM : 660 Kf et 2,2 millions Conséquence pour le projet si le recours à l AFIOM n avait pas été possible : Ce projet d amélioration de la conduite de troupeau et donc de la rentabilité n aurait pu être réalisé par manque de fonds propres et de manière aussi réactive à la reprise de l exploitation.
25 Merci pour votre attention Place aux questions!
Le financement fiscal de l innovation vendredi 28 septembre 2012
Le financement fiscal de l innovation vendredi 28 septembre 2012 Sogedev en bref» Création en 2002,» Plus de 2000 missions de conseil,» Plus de 700 clients à travers la France, tous domaines d activité
Plus en détailAssemblée Générale. Vendredi 10 octobre 2014
Assemblée Générale Vendredi 10 octobre 2014 La réforme de l aide fiscale à l investissement Outre Mer I La «défiscalisation» industrielle conservée II Un nouveau crédit d impôt III Encore quelques zones
Plus en détailLes principales dispositions de la loi de finances pour 2014 publiée au Journal officiel le 30 décembre 2013
Les principales dispositions de la loi de finances pour publiée au Journal officiel le 30 décembre 2013 IMPÔT SUR LE REVENU Barème CGI. art.197 Décote CGI. art. 197 Barème non revalorisé en 2012 et 2013
Plus en détailCroissance et emploi en France, le gouvernement place les PME au centre de son dispositif :
Croissance et emploi en France, le gouvernement place les PME au centre de son dispositif : Un dispositif d une telle ampleur et avec tant d innovations, de simplications et de sécurisation, du jamais
Plus en détailLa Lettre COFIGE Patrimoine Octobre 2013 - N 12. Projet de loi de finances 2014 Projet de loi de financement de la Sécurité Sociale 2014
Madame, Monsieur, Le projet de loi de finances pour 2014 a été présenté en Conseil des ministres le 25 septembre. Le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2014 a été quant à lui rendu
Plus en détailNOTE D INFORMATION. L Assemblée Nationale a adopté en décembre 2013 la loi de finances pour 2014 et la loi de finances rectificative pour 2013.
36 rue de Monceau 75008 Paris 62 rue de la République 69002 Lyon www.seine-saone.fr NOTE D INFORMATION Date : 20 janvier 2014 Objet : Loi de finances pour 2014 Loi de finances rectificative pour 2013 Madame,
Plus en détailPanorama des principaux crédits et réductions d impôt en faveur des particuliers
SYNTHESE Fiscal Textes et références Article 199 terdecies- 0 A du Article 885-O V bis du Article 200 du Article 199 tervicies du Article 199 sexvicies du Article 199 septvicies du Article 199 sexdecies
Plus en détailLoi de finances rectificative pour 2010 et Loi de finances pour 2011. Loi de finances pour 2011
Loi de finances rectificative pour 2010 et Loi de finances pour 2011 Loi de finances pour 2011 La loi de finances pour 2011 ne bouleverse pas notre fiscalité. Les principales dispositions sont relatives
Plus en détailCOMMENT REDUIRE SON IMPOT SUR LE REVENU?
COMMENT REDUIRE SON IMPOT SUR LE REVENU? 24 novembre 2009 1 PLAN DE L INTERVENTION Introduction 1 ère partie : La Loi Scellier 2 ème partie : La Loi Girardin Industriel 3 ème partie : La souscription au
Plus en détailDECRYPTAGE DE L ACTUALITE FISCALE RECENTE
Missions comptables Audit légal Audit Contractuel Missions juridiques et fiscales Missions sociales Expertise et conseil de gestion Conseil en organisation Certification ISO Informatique Formation DECRYPTAGE
Plus en détailLes principales dispositions du projet de loi de finances pour 2014 adopté en première lecture à l Assemblée nationale du 19 novembre 2013
Les principales dispositions du projet de loi de finances pour adopté en première lecture à l Assemblée nationale du 19 novembre 2013 IMPÔT SUR LE REVENU Barème CGI. art.197 Décote CGI. art. 197 Barème
Plus en détailPanorama de l actualité fiscale. Séminaire APL 30 Octobre 2012
Panorama de l actualité fiscale Séminaire APL 30 Octobre 2012 Plan I. Introduction Chronologie des évènements II. Projet de loi de finance 2013 Impôt sur le Revenu Fiscalité des revenus du capital Fiscalité
Plus en détailNote d actualité : Analyse de la loi de finances 2013
Note d actualité : Analyse de la loi de finances 2013 Les premières mesures gouvernementales en matière d imposition des revenus (IR) et d impôt de solidarité sur la fortune (ISF) sont désormais connues.
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 6 juin 2014 AGEN
Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du 6 juin 2014 AGEN 5 années de croissance perdues 1 850 Volume de la production nationale en milliard d'euros constants (valeur 2005) 1 800 1 750 1 700
Plus en détailRéforme des cotisations sociales des TNS: Evolution ou révolution?
Réforme des cotisations sociales des TNS: Evolution ou révolution? Constats LFSS 2014 : modification des taux obligatoires (TNS et salariés) Loi de finances 2013 : fiscalité des dividendes LFSS 2011 :
Plus en détailFICHE RECAPITULATIVE SUR LE DISPOSITIF DU PASS-FONCIER,
FICHE RECAPITULATIVE SUR LE DISPOSITIF DU PASS-FONCIER, SON EVOLUTION ET DE LA «MAISON POUR 15 EUROS PAR JOUR» Synthèse Le Pass-foncier est un dispositif social d accompagnement des politiques locales
Plus en détailFiche n o 1. Souscrire au capital d une petite et moyenne entreprise
Fiche n o 1. Souscrire au capital d une petite et moyenne entreprise 1 Une réduction d impôt sur le revenu est applicable en cas de souscription, avant le 31 décembre 2012, au capital d une petite et moyenne
Plus en détailBarème de l impôt sur le revenu
Refonte du barème Barème de l impôt sur le revenu Suppression de la première tranche d imposition au taux de 5,5 % Revalorisation des limites et seuils associés au barème de 0,5 % Barème applicable à l
Plus en détailLes réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export
Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement
Plus en détailLA REFORME FISCALE 2014 APPLICATION PRATIQUE AUX CHEFS D ENTREPRISES. 11 février 2014 CGPME AIN
LA REFORME FISCALE 2014 APPLICATION PRATIQUE AUX CHEFS D ENTREPRISES 11 février 2014 CGPME AIN 1 La réforme fiscale 2014 Application pratique 8 aux chefs d entreprises Jacques - Vincent PIROUX Expert -
Plus en détailPACTE DE RESPONSABILITÉ
PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ Loi de finances rectificative pour 2014 Loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014 10 septembre 2014 1 LES PRINCIPALES MESURES SOCIALES DU
Plus en détailSumatra Patrimoine vous présente les dernières mesures fiscales 2011
Sumatra Patrimoine vous présente les dernières mesures fiscales 2011 - Mesures concernant le patrimoine - Mesures concernant l assurance vie - Zoom sur quelques dispositions du Projet de Loi de Finances
Plus en détailLe Pacte de responsabilité et de solidarité
Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage
Plus en détailPrésentation de la loi de finances 2013
Expertise Comptable Audit Social Juridique Notre vocation est de mesurer la valeur Notre ambition, vous aider à la créer Conseils Présentation de la loi de finances 2013 Actualités sociales et fiscales
Plus en détailCIRCULAIRE D INFORMATION
Siège social 33 Rue Gustave Eiffel- ZAC Ravine à Marquet - 97419 LA POSSESSION Tél. 02 62 43 10 43 Fax 02 62 43 16 04 / E-mail : acorex@acorexsa.com Bureau de Saint-Gilles Tél. 02 62 22 58 02 Fax 02 62
Plus en détailMesures évaluées 46 68 % 35 324 %
Niches fiscales et sociales Un inventaire à la Prévert Il a fallu un an au comité d évaluation (une douzaine de hauts fonctionnaires), au ministère du budget, pour sortir un très gros rapport qui inventorie
Plus en détailFICHE N 1 FONCTIONNEMENT DE L EIRL
L ENTREPRENEUR INDIVIDUEL À RESPONSABILITÉ LIMITÉE BERCY > LE 27 JANVIER 2010 FICHE N 1 FONCTIONNEMENT DE L EIRL Quel est l intérêt du dispositif? L EIRL permet la séparation du patrimoine de l entrepreneur,
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité
Pacte de responsabilité et de solidarité Et mesures pour l accélération de l investissement Le premier ministre vient d annoncer des mesures pour soutenir l investissement public et privé qui complètent
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 17/06/2014 Angoulême
Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du 17/06/2014 Angoulême 1 Le Pacte : quel contexte? Contexte national: la reprise économique se dessine, mais le chômage frappe encore trop fort notre pays.
Plus en détailLe financement adossé de l immobilier en gestion de patrimoine : une modélisation simple
Le financement adossé de l immobilier en gestion de patrimoine : une modélisation simple Laurent Batsch ahier de recherche n 2005-01 Le financement adossé est une des modalités de financement de l investissement
Plus en détailREFORME FISCALE 2014 EN PRATIQUE!
REFORME FISCALE 2014 EN PRATIQUE! L'ACTUALITE 12 février 2014 CGPME Ain Le 11 février dernier La CGPME de l'ain a organisé une réunion d'information pratique à la Chambre des Professions libérales, pour
Plus en détailLa LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement?
La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement? La nouvelle loi organique relative aux lois de finances a été promulguée en août 2001. Deux ans plus tard, et bien que la mise en œuvre de cette
Plus en détailPosition de l ADI sur le projet de loi Pinel relatif à l artisanat, au commerce et aux très petites entreprises
Position de l ADI sur le projet de loi Pinel relatif à l artisanat, au commerce et aux très petites entreprises A l occasion de l examen du projet de loi Pinel sur l artisanat, le commerce et les très
Plus en détailRÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Economie et des Finances Décret n relatif au fonds de soutien aux collectivités territoriales ayant souscrit des contrats de prêt ou des contrats financiers structurés
Plus en détail- Dispositifs de défiscalisation des investissements outre-mer
- Dispositifs de défiscalisation des investissements outre-mer L article 21 de la loi de finances pour 2014 réforme le régime de défiscalisation des investissements outre-mer des entreprises. Les conditions
Plus en détailFISCALITÉ 2014 LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE 2013 LOI DE FINANCES 2014
1 FISCALITÉ 2014 LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE 2013 LOI DE FINANCES 2014 2 Fiscalité 2014 SOMMAIRE I. Imposition des revenus II. Optimisation de l impôt sur le revenu III. Imposition des plus-values IV.
Plus en détailCrédit Impôt Recherche et Aides OSEO
Crédit Impôt Recherche et Aides OSEO Ce document de synthèse rassemble les informations présentées lors de la réunion «Crédit Impôt Recherche et Aides OSEO : mode d emploi» du 1 er février 2011 à la CCI
Plus en détailPrésentation de la loi de finances pour 2013 et rappels des dispositifs des lois de finances rectificatives pour 2012
Présentation de la loi de finances pour 2013 et rappels des dispositifs des lois de finances rectificatives pour 2012 Présentation par l Ordre des avocats de Narbonne 1 Partie 1 : La fiscalité des particuliers
Plus en détailOPTIM-IS ENFIN UNE BONNE NOUVELLE FISCALE POUR VOTRE IS 2013
OPTIM-IS ENFIN UNE BONNE NOUVELLE FISCALE POUR VOTRE IS 2013 La pression fiscale ne cesse de croître et les entreprises sont désormais touchées au même titre que les particuliers. Il y a peu de chance
Plus en détailLA LETTRE DES ADHÉRENTS
LA LETTRE DES ADHÉRENTS NUMÉRO SPÉCIAL LOI DE FINANCES - 15 JANVIER 2014 N 2/2014 LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE POUR 2013 INTRODUCTION La loi de finances rectificative pour 2013, définitivement adoptée
Plus en détailUn nouvel avantage fiscal : la déduction pour habitation unique
Un nouvel avantage fiscal : la déduction pour habitation unique B. MARISCAL Lors du Conseil des ministres extraordinaire d Ostende des 20 et 21 mars 2004, le gouvernement avait pris la décision de réformer
Plus en détailPartie 2 Types de dépenses éligibles
Partie 2 Types de dépenses éligibles FICHE n 1 : Dépenses directes...55 FICHE n 1-1 : Dépenses de personnel...56 FICHE n 1-2 : Frais et montages financiers...60 FICHE n 1-3 : TVA non récupérable et autres
Plus en détail30/01/2013. Actualité fiscale et sociale: Les conséquences des lois de finances
30/01/2013 Actualité fiscale et sociale: Les conséquences des lois de finances 1.Fiscalité des particuliers 2. Fiscalité des entreprises 3. Actualité sociale 1.Fiscalité des particuliers 1/ Réforme du
Plus en détailJeudi 20 septembre 2012
Jeudi 20 septembre 2012 Actualité fiscale / 3 ème trimestre 2012 1 ère partie : Actualité législative : 2 ème loi de finances rectificative pour 2012 Projet de budget 2013 Pierre-Jean Ferry Stéphanie Seneterre-Durand
Plus en détailCe qu il faut savoir en 20 points
Ce qu il faut savoir en 20 points 1. Comptabilité allégée : o registre des ventes : les obligations comptables des autoentrepreneurs sont réduites. Ils peuvent simplement tenir un livre chronologique mentionnant
Plus en détailOPTIM-IS LA BONNE NOUVELLE FISCALE POUR VOTRE IS 2014
OPTIM-IS LA BONNE NOUVELLE FISCALE POUR VOTRE IS 2014 La pression fiscale ne cesse de croître et les entreprises sont désormais touchées au même titre que les particuliers. Il y a peu de chance de voir
Plus en détailPIERRE MOSCOVICI, MINISTRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES, PRÉSENTE SON PLAN POUR LE RENFORCEMENT DE LA TRÉSORERIE DES ENTREPRISES
PIERRE MOSCOVICI, MINISTRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES, PRÉSENTE SON PLAN POUR LE RENFORCEMENT DE LA TRÉSORERIE DES ENTREPRISES 1. Le constat : la trésorerie est l une des premières préoccupations des
Plus en détailLOI DE FINANCES POUR 2011 Loi du 15 décembre 2010 QUELQUES ASPECTS FISCAUX FISCALITÉ DES ENTREPRISES
FR 52-09 LOI DE FINANCES POUR 2011 Loi du 15 décembre 2010 QUELQUES ASPECTS FISCAUX FISCALITÉ DES ENTREPRISES GROUPE DE SOCIÉTÉS : RÉGIME DES SOCIÉTÉS MÈRES ET FILIALES Suppression de la possibilité de
Plus en détailLe Crédit Impôt Recherche, instrument de soutien à l innovation
Le Crédit Impôt Recherche, instrument de soutien à l innovation Information sur les marchés de la bio-santé - N 26 - Février 2012 Note de synthèse éditée par Eurasanté à l attention des entreprises de
Plus en détail11 juin 2014. Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014
11 juin 2014 Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014 - 2 - Sommaire Le Pacte de responsabilité et de solidarité pour la croissance et l emploi... 5 Les dates clés du pacte de responsabilité
Plus en détailDISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015
DISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015 Abdellatif ZAGHNOUN Directeur Général des Impôts OEC, 22 janvier 2015 Contexte d élaboration de la LF 2015 Recommandations des Assises Nationales sur la
Plus en détailLACOURTE NOTE FISCALE OCTOBRE 2012
Le projet de Loi de finances pour 2013 présenté en Conseil des Ministres vendredi 28 septembre 2012 constitue la première pierre de l architecture de la politique fiscale du Gouvernement. Il vient bouleverser
Plus en détailPRÉSENTATION DU CABINET VOS OBJECTIFS NOTRE DÉMARCHE. LK Conseil Immeuble Louis XIV - 7 Boulevard Louis XIV - 59000 LILLE - Tél.
PRÉSENTATION DU CABINET VOS OBJECTIFS NOTRE DÉMARCHE LK Conseil Immeuble Louis XIV - 7 Boulevard Louis XIV - 59000 LILLE - Tél. : 03 20 93 14 43 email : contact@lk-conseil.com Site : www.lk-conseil.com
Plus en détailL investissement en EHPAD
Guide Habiteo.com Mai 2015 L investissement en EHPAD Questions/Réponses SOMMAIRE I- Qu est-ce qu un EHPAD? p. 2 Encadré : Réglementation de l EHPAD p. 2 II- Pourquoi investir en EHPAD? p. 3 A- Pour répondre
Plus en détailLettre Entreprise Info. N 14 / Février 2014. Lettre Entreprise Info
N 14 / Février 2014 Lettre Entreprise Info N 14 / Février 2014 Sommaire Social AGIRC-ARCCO : la clé de répartition des hausses de cotisations 2014-2015 est fixée : L objectif de la loi du 20 janvier 2014
Plus en détailN 187 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2002-2003. Annexe au procès-verbal de la séance du 25 février 2003 RAPPORT FAIT
N 187 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2002-2003 Annexe au procès-verbal de la séance du 25 février 2003 RAPPORT FAIT au nom de la commission des Finances, du contrôle budgétaire et des comptes économiques de
Plus en détailRENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE
RENTABILITE IMMOBILIERE ET PRESSION FISCALE Conférence de presse 13 mars 2012 SOMMAIRE Introduction p. 3 CALCULS DE RENTABILITE IMMOBILIERE Cinq exemples avec des prélèvements sociaux portés à 15,5 %...p.
Plus en détailNote sur la simplification de l instruction budgétaire et comptable M14
Note sur la simplification de l instruction budgétaire et comptable M14 L instruction budgétaire et comptable M14 est appliquée aux collectivités locales depuis 1997 soit bientôt près de dix ans. Elle
Plus en détail\ SOMMAIRE. AVOXA - Le présent support ne peut être reproduit sans autorisation - P1
\ SOMMAIRE AVOXA - Le présent support ne peut être reproduit sans autorisation - P1 \ SOMMAIRE Présentation Loi de Finances 2013 Carine AILLERIE Grégory CONTIN 4 février 2013 AVOXA - Le présent support
Plus en détailRéunions patrimoniales Janvier Février 2013
Réunions patrimoniales Janvier Loi de Finances pour 2013 et 3 ème Loi de finances Rectificative pour 2012 Le présent document vous est transmis à titre personnel, il a été réalisé sur la base de l environnement
Plus en détailL impôt sur le revenu des personnes physiques Calcul Plafonnement des Niches et Actions. Réunion CEGECOBA ASSAPROL 21 mai 2015.
L impôt sur le revenu des personnes physiques Calcul Plafonnement des Niches et Actions Réunion CEGECOBA ASSAPROL 21 mai 2015 intervenante: Karine SALVAT CONSEILLER en INVESTISSEMENT FINANCIER 1 Objectif
Plus en détailLes jeudis du patrimoine
Les jeudis du patrimoine Quelles solutions pouvez-vous envisager pour réduire votre impôt sur le revenu? Le 29 novembre 2012 19h30 07/12/2012 1 Présentation des héros du jour Couple : Sophie et Marc, 2
Plus en détailRéduire ses impôts en 2013. «De nombreuses stratégies possibles, quelques précautions à prendre»
Réduire ses impôts en 2013 «De nombreuses stratégies possibles, quelques précautions à prendre» Nos Modalités d Intervention 1 er rendez-vous Présentation du cabinet Découverte de votre patrimoine Détermination
Plus en détailLes SCPI Fiscales URBAN PREMIUM DEFICIT FONCIER: URBAN PIERRE MALRAUX: URBAN VALEUR SCELLIER RENOVE INTERMEDIAIRE: URBAN PATRIMOINE 2
( Les SCPI Fiscales ) URBAN PREMIUM DEFICIT FONCIER: URBAN PIERRE MALRAUX: URBAN VALEUR SCELLIER RENOVE INTERMEDIAIRE: URBAN PATRIMOINE 2 INTRODUCTION Par leurs multiples avantages, les SCPI, tant fiscales
Plus en détailSPECIAL LOI DE FINANCES 2015
SUPPLEMENT JANVIER 2015 SPECIAL LOI DE FINANCES 2015 DUO SOLUTIONS A SELECTIONNÉ POUR VOUS DANS LA LOI DE FINANCES POUR 2015 ET DANS LA LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE POUR 2014 LES MESURES QUI VOUS CONCERNENT.
Plus en détailAPPEL A PROJETS. WE NETWORK Le Silicium - 3, Avenue du Bois L abbé - 49070 BEAUCOUZE MARS 2015
APPEL A PROJETS Appel à projets à destination des PME pour l émergence et l accompagnement de projets d innovation en Pays de Loire dans le domaine des objets et solutions communicants (Internet des objets,
Plus en détailConférence CRA / CLENAM. La nouvelle donne fiscale pour la transmission des PME
Conférence CRA / CLENAM La nouvelle donne fiscale pour la transmission des PME Sylvie Scelles-Tavé Avocat Associée Stéphany Brevost Avocat - fiscaliste 22 Octobre 2012 Préambule La colonne vertébrale de
Plus en détailNOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées
NOTE SUR LES SUBVENTIONS - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées - Les produits de la tarification ne sont pas des subventions A. Récapitulatif des obligations des associations
Plus en détailActualités fiscales. I. Mesures concernant l impôt sur le revenu (IR)
Actualités fiscales Nous vous proposons dans le cadre de cette note d information une synthèse des principales mesures fiscales résultant de la loi de finances pour 2014 (LF2014), de la loi de finances
Plus en détailFISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE
FISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE BAREME TRAITEMENTS ET SALAIRES PEA Fin du gel du barème : Revalorisation de 0,8% de l ensemble des tranches applicables aux revenus de 2013. Plafonnement du
Plus en détailBANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE SCPI SCELLIER BBC FRUCTIRESIDENCE BBC. BANQUE & ASSURANCE www.banquepopulaire.fr
BANQUE POPULAIRE GESTION PRIVÉE SCPI SCELLIER BBC FRUCTIRESIDENCE BBC BANQUE & ASSURANCE www.banquepopulaire.fr Avertissement - Facteurs de risques Lorsque vous investissez dans une SCPI de type «Scellier
Plus en détailN 5 JANVIER 2013 LOI DE FINANCES POUR 2013 PRINCIPALES REFORMES IMPOT SUR LES SOCIETES (IS) La LF prévoit :
La loi de finances pour 2013 (LF) a été publiée au Journal Officiel du 30 décembre 2012 après avoir été examinée par le Conseil Constitutionnel. Ce dernier a partiellement censuré la LF telle qu elle avait
Plus en détailQu est-ce que le C.I.C.E.?
Qu est-ce que le C.I.C.E.? L article 66 de la loi de finances rectificative pour 2012 n 2012-1510 du 29 décembre 2012, met en place le pour la compétitivité et l emploi (C.I.C.E.). Le C.I.C.E. a pour objectif
Plus en détailPlafonnement fiscal des investissements et bouclier fiscal. Du constat au conseil
Plafonnement fiscal des investissements et bouclier fiscal Du constat au conseil Intervenants Félix CICERON, Directeur de l ingénierie patrimoniale, Expert& Finance José SOTO, Directeur des partenariats
Plus en détailActualité Juridique & Fiscale
Octobre 2012 2012 Actualité Juridique & Fiscale Sommaire Sommaire Projet de loi de finances 2013 I - Mesures concernant directement l assurance-vie II - Autres mesures relatives à la fiscalité du patrimoine
Plus en détailet de solidarité Châteauroux Jeudi 26 juin 2014
Pacte de responsabilité et de solidarité Châteauroux Jeudi 26 juin 2014 1 Une volonté gouvernementale réaffirmée é «Quevontfaireleschefsd entreprise de ce soutien qui n est pas une mesure ponctuelle mais
Plus en détailL évolution et les conditions de maîtrise du crédit mpôt en faveur de la recherche ASSEMBL COMMUNICATION A LA COMMISSION C L A SSEMBLEE E NATIONALE
COMMUNICATION A LA COMMISSION C DES FINANCES DE L A ASSEMBL SSEMBLEE E NATIONALE ARTICLE 58-2 DE LA LOI ORGANIQUE RELATIVE AUX LOIS DE FINANCES DU 1 ER AOUT 2001 L évolution et les conditions de maîtrise
Plus en détailActualités financières fiscales et patrimoniales 2014 LFR 2013 et LF2014
Sumatra Patrimoine Actualités financières fiscales et patrimoniales 2014 LFR 2013 et LF2014 Mardi 25 Mars 2014 Les Mardis d Athélia Qui sommes nous? Cabinet Conseil en Gestion de Patrimoine Indépendant
Plus en détailUn holding d'investissement dans les PME
Un holding d'investissement dans les PME La Financière Viveris Diversifier Optimiser Capitaliser L objet de la Financière Viveris est de prendre des participations dans les petites et moyennes entreprises
Plus en détailANNEXE A LA LOI DE FINANCES
REPUBLIQUE GABONAISE ANNEXE A LA LOI DE FINANCES MISSION POUVOIRS PUBLICS ANNEXE AU PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2012014 [Tapez une citation prise dans le document ou la TABLE DES MATIERES I. MISSION
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Décret n o 2014-444 du 29 avril 2014 relatif au fonds de soutien aux collectivités territoriales et à certains
Plus en détailLes dispositifs financiers d innovation en faveur des PME. CISIT 6 novembre 2014
Les dispositifs financiers d innovation en faveur des PME CISIT 6 novembre 2014 01. Qui sommes-nous? Bpifrance plus près des entrepreneurs 42 implantations régionales 90% des décisions prises dans les
Plus en détailLES CRÉDITS D IMPÔT EN FAVEUR
LES CRÉDITS D IMPÔT EN FAVEUR DES ENTREPRISES Mercredi 4 février 2015 Salon des entrepreneurs Intervenants Jérôme REBISCOUL o Expert-comptable, commissaire aux comptes o Membre du Comité Innovation des
Plus en détailDossier de presse. Adaptation des logements à la perte d autonomie : Des moyens renforcés pour 2013. 19 Mars 2013
Dossier de presse Adaptation des logements à la perte d autonomie : Des moyens renforcés pour 2013 19 Mars 2013 Contacts presse : Myra Frapier-Saab 06 70 10 82 24 1 Les enjeux Le nombre croissant de personnes
Plus en détailNOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers
Luxembourg, le 8 novembre 2013 NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR Aspects financiers Volet 2 : Aides financières dans le domaine de la promotion des énergies renouvelables et de l efficacité énergétique
Plus en détail(Bâtiment Basse Consommation)
PREMELY Habitat 3 BBC (Bâtiment Basse Consommation) SCPI DE TYPE «SCELLIER BBC» Prorogation de la commercialisation jusqu au 20 décembre 2012. La période de souscription de PREMELY Habitat 3 BBC, prévue
Plus en détailSYNTHESE DE L ETUDE. A paraître dans La Revue de droit fiscal du 29 juillet 2011
1 Prof. Dr. (HDR) Eric PICHET. Professeur à BEM Bordeaux Management Schoool Chercheur-associé au LAREFI de Bordeaux IV eric.pichet@bem.edu SYNTHESE DE L ETUDE A paraître dans La Revue de droit fiscal du
Plus en détailMesures patrimoniales de la loi de finances 2014, de la loi de finances rectificatives pour 2013
Sources : Mesures patrimoniales de la loi de finances 2014, de la loi de finances rectificatives pour 2013 Loi de finances 2014 : http://www.assembleenationale.fr/14/ta/ta0267.asp Loi de finances rectificatives
Plus en détailLe pacte de responsabilité et de solidarité
Le pacte de responsabilité et de solidarité Direccte CENTRE Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l emploi Qu est ce que le pacte de responsabilité
Plus en détailLois de finances 2015 et rectificatives 2014
Lois de finances 2015 et rectificatives 2014 Marseille, le 20 janvier 2015 www.axten.fr Aix-en-Provence Lyon Paris Shanghai Fiscalité des particuliers Rachat de titres Réduction d impôt «IR/ISF-PME» Fiscalité
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Une nouvelle activité vient de voir le jour. «Le BTP Gériatrique»
DOSSIER DE PRESSE Une nouvelle activité vient de voir le jour «Le BTP Gériatrique» Adapt 06 est une société de travaux tout corps d état, spécialisée dans l adaptation des logements pour les personnes
Plus en détailLETTRE D INFORMATION DU DEPARTEMENT FISCAL FEVRIER 2013
LETTRE D INFORMATION DU DEPARTEMENT FISCAL FEVRIER 2013 LES PRINCIPALES MESURES PATRIMONIALES DE LA LOI DE FINANCES POUR 2013 ET DE LA LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE POUR 2012 La présente lettre a pour
Plus en détailLa Fiscalité de l Épargne Salariale
FISCALITÉ La Fiscalité de l Épargne Salariale Le cadre fiscal et social pour l entreprise A - Les versements dans les dispositifs Pour l entreprise Nature du versement Charges sociales et taxes patronales
Plus en détailQuestions générales sur le Pacte
QUESTIONS-RÉPONSES Questions/réponses sur le pacte de responsabilité et de solidarité Questions générales sur le Pacte QUAND CES MESURES SERONT-ELLES TRADUITES DANS LA LOI? Certaines mesures entrent en
Plus en détailLa patrithèque. Solution documentaire électronique sur le patrimoine. La patrithèque. www.harvest.fr
Logo_ harvest Finalisation Logo_ harvest Finalisation www.harvest.fr 3 rue La Boétie 75008 PARIS contact@harvest.fr T : 01 53 30 28 00 F : 01 53 30 28 01 La patrithèque Solution documentaire électronique
Plus en détailIOlivier Pietri analyse et commente les principales mesures de la Loi de fi nances 2014
Le cahier de la Lettre Spécial Fiscalité Analyse IOlivier Pietri analyse et commente les principales mesures de la Loi de fi nances 2014 Olivier Pietri, Consultant, ancien inspecteur principal des impôts
Plus en détailWAGRAM CONSULTING sarl. 5 rue Villaret de Joyeuse 75017 Paris. Tel : 01 80 87 44 24. www.wagram-portage.fr. contact@wagramconsulting.
Depuis 2008, Wagram Consulting offre aux consultants la possibilité d exercer leur activité en toute indépendance en les libérant des contraintes administratives. Le portage salarial est reconnu par les
Plus en détailPrésentation Bpifrance Janvier 2014. Ariane Voyatzakis, Responsable du secteur agroalimentaire
Présentation Bpifrance Janvier 2014 Ariane Voyatzakis, Responsable du secteur agroalimentaire 01. Qui sommes-nous? 02. Le financement bancaire 03. Le soutien à l innovation Titre de la présentation 2 01.
Plus en détailLes incitations fiscales à l investissement dans les PME
Les incitations fiscales à l investissement dans les PME avril 2012 1 De grandes réformes en 2011 La Loi de finances pour 2011 a apporté des modifications substantielles aux systèmes d'incitations fiscales
Plus en détailPlan de soutien à l élevage français
Plan de soutien à l élevage français MEMENTO Entreprises fragilisées dans le secteur agricole : quels outils pour quelles problématiques? Ce mémento récapitule de façon synthétique les outils existants
Plus en détail