TOURS DE REFROIDISSEMENT À L EAU ET LEURS CONSÉQUENCES SUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT
|
|
- Hippolyte Cousineau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MISE EN CONTEXTE DE LA FORMATION La formation vise à appuyer les personnes impliquées de près ou de loin dans leurs activités professionnelles dans le domaine des programmes d entretien des tours de refroidissement à l eau (TRE) et dans l application de la règlementation de la Régie du bâtiment du Québec (RBQ) sur ce sujet. De plus, l Ordre des chimistes du Québec et l Association des microbiologistes du Québec cherchent à encourager le développement de leurs professionnels en facilitant la formation continue, notamment à l aide des formateurs experts de Magnus sur des thèmes traités à l intérieur de cinq modules individuels de formation concernant les tours de refroidissement à l eau et leurs conséquen-ces sur la santé et sur l environnement. PRÉSENTATION DES FORMATEURS Pierre Hiernaux, membre de l Ordre des chimistes du Québec, occupe le poste de Directeur technique du groupe de gestion des eaux de Magnus. Il encadre le développement de nouveaux produits et les projets de recherche et développement. Il dirige également les laboratoires d analyse dont un laboratoire accrédité ISO/CEI pour les analyses de légionelles. Titulaire d un doctorat en chimie et microbiologie de l eau de l Université de Poitiers (France), pendant lequel il a étudié les phénomènes d adhésion bactérienne et de formation de biofilms dans les réseaux d eau, Pierre Hiernaux s implique dans les activités de gestion du risque lié aux légionelles depuis près de 10 ans. Il a mis en place une méthode innovante d analyse de Legionella par qpcr ainsi qu un programme complet de prise en charge du risque sanitaire et de sécurisation des systèmes de refroidissement et des réseaux d eau domestiques. En tant que spécialiste en minimisation du risque de légionellose, il vérifie les programmes de traitement des tours de refroidissement et s assure de leur conformité avec la réglementation de la Régie du Bâtiment du Québec. M. Jacques Murray, Vice-président, applications & technologies chez Magnus, possède une expérience de plus de 43 ans dans le domaine du traitement de l eau pour les systèmes de transfert d énergie, comprenant les réseaux utilisés en CVAC et les procédés industriels. Il est par cette occasion spécialiste en minimisation de risque de légionellose. Technologue professionnel en assainissement de l eau et de l air, M. Murray est le premier québécois à avoir obtenu une certification CWT (Certified Water Technologist) remise par l association nord-américaine de l AWT. Il a fait sa marque de spécialiste en traitement de l eau, en agissant à titre de consultant sur les sites d application, de formateur agréé en industrie et de conseiller technique au sein de l entreprise. Ses responsabilités comprennent le support aux clients externes et internes, incluant la formation du personnel technique, la validation des programmes de traitement et la mesure de performance des programmes appliqués. Page 1/6
2 Conférencier au sein de plusieurs organisations et associations professionnelles reconnues dans le domaine de l énergie, Il est aussi auteur d un manuel de référence pour le traitement de l eau des générateurs de vapeur, de même que de plusieurs communications qui ont parues dans diverses publications techniques concernant la conception et l entretien des systèmes hydriques. CONTENU DE LA FORMATION Sommairement, les cinq modules de formation porteront sur les thèmes et les sous-thèmes ci-dessous : 1. La tour de refroidissement à l eau : sa structure et la règlementation pertinente conception de l équipement description des éléments critiques règlementation applicable 2. La légionellose et les bactéries du genre Legionella la légionellose écologie des bactéries Legionella dans l eau des TRE 3. Gestion des risques microbiologiques et chimiques approches intégrées d identification et de gestion des risques 4. Programme d entretien. Traitement d eau préparation du programme d entretien par les professionnels selon la règlementation en vigueur contrôle de la corrosion contrôle de l entartrage contrôle de la croissance microbiologique traitements alternatifs implantation et automatisation 5. Programme de surveillance, procédures. Interventions d urgence et revues surveillance : inspection, tableau de bord et registres interventions en cas d urgence révisions et audits périodiques Page 2/6
3 Il apparaît en annexe du présent document une description plus exhaustive des thèmes et sous-thèmes ci-dessus permettant de prendre connaissance de l ensemble des sujets individuels qui seront traités durant la formation correspondant à chacun des modules. MÉTHODES PÉDAGOGIQUES Pour chacun des modules, la formation sera fournie par l entremise de présentations d une durée équivalente à une ½ journée. Ces formations porteront, notamment, sur des notions applicables de chimie ainsi que sur des notions particulières de microbiologie auxquelles pourront s ajouter des informations complémentaires en ce qui a trait à l hydraulique des TRE et à la corrosion des matériaux. Afin de susciter la participation active et de favoriser une interaction constructive entre les personnes formées, la formation comprendra des visites de laboratoires et d une tour de refroidissement pilote, des études de cas, des discussions de groupe, etc., approches qui permettront aux participants de faire état de leur expertise et des expériences déjà vécues tout en validant les connaissances acquises en vue de leur application dans leurs activités professionnelles de terrain. ÉVALUATION DES CONNAISSANCES ACQUISES (uniquement pour les membres de l OCQ et l AMQ) Chaque module sera suivi d un examen à compléter sur place par les participants afin de mesurer l atteinte des compétences et des objectifs de formation. Les évaluations seront uniquement sur une base individuelle pour mesurer l atteinte des objectifs en regard de la reconnaissance décernée au chimiste ou au microbiologiste agréé en fin de formation. Une certification sera attribuée au chimiste ou au microbiologiste agréé ayant assisté à la formation au complet (5 modules) et ayant démontré qu il a acquis les connaissances et atteint les compétences visées par la formation. MODALITÉS DE PARTICIPATION À LA FORMATION Tout chimiste ou microbiologiste agréé inscrit à une formation devra assister de façon complète à tout module auquel il est dûment inscrit pour pouvoir recevoir la reconnaissance correspondante pour sa formation. Il est à noter que des participants autres que des chimistes ou microbiologistes agréés pourront être inscrits à la formation proposée. De plus et dans un souci d efficacité pédagogique, les personnes formées devront participer à la formation sans utiliser d ordinateur personnel branché à internet ni de téléphone intelligent, afin de permettre un déroulement harmonieux qui respectera la durée des périodes consacrées à la formation, sans interférence en cours de présentation. Des pauses seront prévues à l horaire pour procéder, au besoin, à des liens avec l extérieur du local de formation. Page 3/6
4 MATÉRIEL DIDACTIQUE Un manuel de formation sera également délivré à chaque participant au début de chaque module. DESCRIPTION DES THÈMES TRAITÉS À L INTÉRIEUR DES CINQ MODULES INDIVIDUELS DE FORMATION MODULE 1 La tour de refroidissement à l eau : sa structure et la règlementation pertinente la tour de refroidissement à l eau (TRE) : conception et description des éléments critiques : circuit d eau en contact avec l air, circuit d eau d appoint et dispositif anti-refoulement, système de purge, etc., et dispositif de contrôle des aérosols; nature et qualité des matériaux; localisation de la TRE par rapport à son voisinage et accessibilité selon les besoins d intervention durant l opération et l entretien. la règlementation en vigueur : les évènements de Québec en 1996 (rapport du directeur de la santé publique) et 2012 (rapport du directeur de la santé publique et de la coroner), recommandations et leçons apprises; règlementation au Québec et ailleurs; obligations du professionnel découlant de la règlementation québécoise; MODULE 2 La légionellose et les bactéries du genre Legionella la légionellose : historique, description, manifestations cliniques, pathogènes, personnes à risque et facteurs de risque, dynamique de transmission. les bactéries du genre Legionella (classification, typage, virulence, culture en laboratoire, limites de détection, certificats d analyse) : écologie des bactéries du genre Legionella dans l eau des TRE; séquence de prolifération; présence de nutriments; biofilms; interaction avec les amibes et autres protozoaires; survie dans l atmosphère. Page 4/6
5 MODULE 3 Gestion des risques microbiologiques et chimiques les approches intégrées de gestion des risques (identification, analyse et évaluation des risques, communication du risque); les facteurs de risques associés aux TRE (microbiologiques, chimiques, mécaniques, hydrauliques); la protection de la santé et de la sécurité (employés et personnes du voisinage); les risques d exposition professionnelle et communautaire aux bioaérosols; la gestion de la biosécurité dans le voisinage des TRE; la formation des personnes intervenant dans l opération et l entretien d une TRE. MODULE 4 Programme d entretien. Traitement d eau le programme d entretien d une TRE : préparation du programme d entretien par les professionnels selon la règlementation en vigueur; le traitement de l eau : contrôle du biofilm, de l encrassement, de l entartrage et de la corrosion; produits chimiques utilisés pour la désinfection et le contrôle de l entartrage et de la corrosion (description, entreposage, compatibilité entre eux, homologation, cibles de dosage, prélèvements, mesures); influence de l hydraulique; traitements particuliers (UV, ozone, etc.); décontamination en cas d urgence; gestion des eaux de purge vers l égout et l environnement (volumes, paramètres de qualité, neutralisation des rejets, etc.). Page 5/6
6 MODULE 5 Programme de surveillance. Interventions d urgence et revues le programme de surveillance d une TRE : inspections visuelles; tableau de bord (indicateurs physico-chimiques et microbiologiques, plan d échantillonnage et postes de mesures représentatifs, prélèvements, mesures, analyses, objectifs des analyses, seuils à respecter); interprétation des résultats d observations et de mesures; actions à poser en cas de non-respect des seuils à respecter; tenue des registres et rapports périodiques aux autorités. les interventions lorsque la population de légionelles excède les seuils règlementaires ou lorsqu une flore interférente est présente : arrêt obligatoire, nettoyage et désinfection, information aux autorités, mesures, révision des risques, rapports, plan de communication; nettoyage mécanique et risque de relargage; actions à poser lorsque les autorités de santé rapportent un ou des cas de légionellose dans le voisinage d une TRE. les révisions et audits périodiques : évaluations de l installation; évaluations des procédures d intervention; évaluations de la tenue des registres; évaluations de la formation des intervenants. Page 6/6
Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailQualité Sécurité Environnement
Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...
Plus en détailSYSTEM O. Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire
SYSTEM O Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire CONCEPTION, CHOIX DES MATÉRIAUX ET MAINTENANCE : La sécurité des réseaux passe par une bonne conception,
Plus en détailBienvenue dans la Génération C
Bienvenue dans la Génération C La chimie c est le monde d aujourd hui, mobile, connecté, ouvert mais aussi celui de demain, plus vert, plus beau et plus performant! L industrie chimique, c est un monde
Plus en détailMASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE
MASTER 2 CONTAMINANTS EAU SANTE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Présentation PLUS D'INFOS Crédits ECTS : 60 Cette spécialité couvre
Plus en détailCATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS
(1/30pages) CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS ANNEE : 2015 Date de mise à jour : 09/03/2015 1 - Microbiologie des eaux - Microbiologie des aliments Formation technique de Microbiologie HYGIÈNE
Plus en détailDTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau olivier.correc@cstb.fr Nouveaux Documents Techniques Unifiés DTU 60.1 Plomberie sanitaire pour
Plus en détailUne formation continue du Luxembourg Lifelong Learning Center / www.lllc.lu CERTIFICAT
Une formation continue du Luxembrg Lifelong Learning Center / www.lllc.lu CERTIFICAT EN CONTRÔLE INTERNE certified internal control specialist (CICS) AVRIL 2014 Inscrivez-vs en ligne / www.lllc.lu Certificat
Plus en détailGL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.
PRESENTATION DE LA SOCIETE GL BIOCONTROL GL BIOCONTROL Le Mas Bas CIDEX 1040 30 250 ASPERES GSM : +33 (0)6 81 71 31 83 - Fax : +33 (0)9 55 25 40 31 Email : contact@gl-biocontrol.com - Web : www.gl-biocontrol.com
Plus en détailProgramme de certification d aliments transformés avec contrôle optimal d allergènes
Programme de certification d aliments transformés avec contrôle optimal d allergènes Par: Claire Dufresne AQAA Rencontre BNQ-AFNOR Octobre 2006 Mission de l AQAA Offrir du soutien et de l information,
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailVotre installation septique l essentiel à savoir!
Votre installation septique l essentiel à savoir! Saviez-vous que... les eaux usées des résidences non raccordées à un réseau d égout doivent être évacuées et traitées par une instal lation septique aussi
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailAnalyse des risques points critiques pour leur maîtrise (HACCP)
59 Chapitre 11 Analyse des risques points critiques pour leur maîtrise (HACCP) 11.1 PRINCIPES DE BASE DE L HACCP... 59 11.2 APPLICATION DES PRINCIPES HACCP À LA PURIFICATION DES MOLLUSQUES BIVALVES...
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailConception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments
Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments Olivier CORREC Mél : olivier.correc@cstb.fr Contexte des réseaux d eau sanitaire Exigences générales : o Sécuriser la consommation
Plus en détailLe mardi 25 mai à 19 heures Présentation de la problématique, actions mises en place, ce que vous pouvez faire et période de questions.
Merci de vous inscrire pour vos questions dans le registre à l entrée de la salle Le mardi 25 mai à 19 heures Présentation de la problématique, actions mises en place, ce que vous pouvez faire et période
Plus en détailMinistère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction générale de la santé Sous-direction «Prévention des risques liés à l environnement et à l alimentation» Bureau «Qualité des
Plus en détailGroupement ICS eau et William Terry Conseil, représenté par:
Catalogue de Formations THERMALISME Accompagnement à la Certification Aquacert HACCP (Certification basée sur le Guide Bonnes Pratiques de la profession Conforme aux exigences règlementaires de janvier
Plus en détailREGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION
REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF DENTAIRE PARTIE 3 OBTENTION DE LA CERTIFICATION SOMMAIRE 3.1. Constitution du dossier de demande 3.2. Processus d'évaluation initiale Rev. 9 mai 2012 PROCESSUS D'OBTENTION
Plus en détailPROGRAMMES DONT LES UNIVERSITES PARTENAIRES SONT DIPLOMANTES. N.B : DIPLOME DE TECHNICIEN SUPERIEUR(DTS) : équivaut au BAC+2
PROGRAMMES DONT LES UNIVERSITES PARTENAIRES SONT DIPLOMANTES 1. MAHATMA GANDHI UNIVERSITY 2. INSTITUT SUPERIEUR DE BURKINAFASO N.B : DIPLOME DE TECHNICIEN SUPERIEUR(DTS) : équivaut au BAC+2 PROGRAMMES
Plus en détailLaboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche
Laboratoire Eau de Paris Analyses et Recherche L eau, un aliment sous contrôle public Pour Eau de Paris, approvisionner la capitale en eau, c est garantir à ses 3 millions d usagers une ressource de qualité,
Plus en détailFORMULAIRE DE DEMANDE D AUTORISATION CLASSE 2
INFORMATIONS GENERALES Page 1 / 14 1. INFORMATIONS GENERALES N du dossier : Art. 7.7.b «La nature et l emplacement de l établissement, l objet de l exploitation, les installations et procédés à mettre
Plus en détailDocuments d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau Thierry POLATO Agence Régionale de Santé Pays de la Loire Délégation territoriale de Maine-et-Loire
Plus en détailFNSA 91, avenue de la République 75011 PARIS
Dossier de candidature QUALITASS FNSA 91, avenue de la République 75011 PARIS Documents à fournir Option 1 : Pièces à fournir (obligatoire dans le cadre d une première demande) Ou Option 2 : Engagement
Plus en détailModalités de candidature et de certification. Niveau 1. Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA
Modalités de candidature et de certification Niveau 1 Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA La certification d'expert méthode HACCP/SMSDA s adresse à des professionnels confirmés qui veulent
Plus en détailFormation Août 2013 Michèle Garello, IEN économie gestion Caroline Natta, professeur
Formation Août 2013 Michèle Garello, IEN économie gestion Caroline Natta, professeur Déroulement des deux journées Mardi 26 Matin : Intervention des IEN Jeudi 29 Matin : Production en binôme. Après-midi
Plus en détailFormation d Auxiliaire ambulancier
Formation d Dossier d inscription Site de Lyon L Ambulancier assure les transports sanitaires et la surveillance de patients stables à bord des Véhicules Sanitaires Légers. Il est le second membre de l
Plus en détail414.132.3 Ordonnance sur la formation menant au bachelor et au master de l Ecole polytechnique fédérale de Lausanne
Ordonnance sur la formation menant au bachelor et au master de l Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (Ordonnance sur la formation à l EPFL) du 14 juin 2004 (Etat le 1 er septembre 2009) La Direction
Plus en détailNOGENT PERCHE HABITAT Office Public de l Habitat
NOGENT PERCHE HABITAT Office Public de l Habitat B. P. 10021 14, Rue du Champ-Bossu 28402 NOGENT-le-ROTROU Cedex Tél : 02.37.52.15.28 Télécopie : 02.37.52.85.50 Courriel : oph.direction@nogent-perche-habitat.fr
Plus en détailSystème Management Environnemental
Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailListe des diplômes français généralement comparables au niveau du Diplôme d études collégiales en formation technique
Liste des diplômes français généralement s au niveau du Diplôme en formation technique Ministère de l Immigration et des Communautés culturelles Service d évaluation comparative des études effectuées hors
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des risques professionnels Inventaire des risques Etablissement : Faculté de médecine Unité de travail : UMR 1092 INSERM laboratoire de microbiologie Année : 2013 Locaux Dangers ou facteurs
Plus en détailPour pouvoir fréquenter le restaurant scolaire, l inscription préalable est obligatoire.
Chaque famille demandant l inscription de son ou de ses enfants en restauration scolaire s engage à respecter tous les points du présent règlement, notamment les modalités d inscription, de facturation
Plus en détailPLAN DE COURS. INCINÉRATEURS DE C.O.V. (Oxydation thermique) Fonctionnement et critères de sélection
PLAN DE COURS INCINÉRATEURS DE C.O.V. (Oxydation thermique) Fonctionnement et critères de sélection Une journée (6 heures) Cours privé : 2 500 $, plus 50 $ par participant, plus frais de voyage, plus taxes.
Plus en détailFormations à la prévention des risques liés à l amiante (sous-section 4)
Formations à la prévention des risques liés à l amiante (sous-section 4) DOCUMENT DE REFERENCE Ce document présente le contexte relatif à l organisation des formations «amiante sous-section 4» : Les compétences
Plus en détailTraitement de l eau par flux dynamique
GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat
Plus en détailDOSSIER D INSCRIPTION AU CONCOURS D ENTREE AU CENTRE DE FORMATION PROFESSIONNELLE D AMBULANCIERS
INSTITUT DE FORMATION INTERHOSPITALIER THEODORE SIMON CJ/PV/23/11/2005 DOSSIER D INSCRIPTION AU CONCOURS D ENTREE AU CENTRE DE FORMATION PROFESSIONNELLE D AMBULANCIERS 2 concours d entrée par an 2 sessions
Plus en détailSYSTEM O. Contrôler la température sur l ensemble de votre réseau...
SYSTEM O Contrôler la température sur l ensemble de votre réseau... Contexte réglementaire La prévention des risques sanitaires est une priorité pour les maitres d ouvrage en particulier dans les Etablissements
Plus en détailINSPECTION EN BÂTIMENT EEC.2W
Attestation d études collégiales (AEC) INSPECTION EN BÂTIMENT EEC.2W Formation en classe virtuelle Responsable de la formation : Hélène Martin : 418 723-1880, poste 2547 ou 418 629-4190, poste 5225 Type
Plus en détailOrganisme de certification de personnes et d entreprises. Certification en technologies de l information et monétique. www.it-cert.
Organisme de certification de personnes et d entreprises Certification en technologies de l information et monétique www.it-cert.eu Eric LILLO Directeur Général d IT CERT Fort de plus de vingt ans d expérience
Plus en détailCONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI
CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses
Plus en détailCHRISTINE BOUDREAU Téléphone: (514) 990-7582 Courriel: cb@cbmc-inc.ca Site web : www.cbmc-inc.ca
CHRISTINE BOUDREAU Téléphone: (514) 990-7582 Courriel: cb@cbmc-inc.ca Site web : www.cbmc-inc.ca Christine Boudreau, Microbiologiste Consultante inc. Consultation dans le domaine alimentaire Formation
Plus en détailSANIBROYEUR, SANICOMPACT ET SANIPOMPE SILENCIEUX. pour créer des sanitaires partout dans la maison 50 ANS D INNOVATIONS!
2008 50 ANS D INNOVATIONS! WC SALLE DE BAINS CUISINE BUANDERIE CHAUDIÈRE CLIMATISEUR SANIBROYEUR, SANICOMPACT ET SANIPOMPE SILENCIEUX pour créer des sanitaires partout dans la maison SFA c est facile pour
Plus en détailLe Plan Départemental de l Eau
de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailGUIDE DE CONSTITUTION DE DOSSIER EN VUE DE LA RECONNAISSANCE ET/OU DE L EQUIVALENCE DES DIPLOMES, TITRES ET GRADES DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
CONSEIL AFRICAIN ET MALGACHE POUR L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR (C. A. M. E. S.) 01 B.P. 134 OUAGADOUGOU 01 (BURKINA FASO) Tél. : (226) 50.36.81.46 - Fax : (226) 50.36.85.73 Email : cames@bf.refer.org GUIDE
Plus en détailROYAUME DU MAROC. Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique
ROYAUME DU MAROC Ministère de l Eductaion Nationale, de l Enseignement Supérieur de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique UNIVERSITE : Hassan II ETABLISSEMENT : Faculté de Médecine &
Plus en détailRecours aux entreprises extérieures
RECOMMANDATION R429 Recommandations adoptées par le Comité technique national de la chimie, du caoutchouc et de la plasturgie le 21 novembre 2006. Cette recommandation annule et remplace la recommandation
Plus en détailREGLEMENTATION PEDAGOGIQUE DES STAGES A L UNIVERSITE PARIS DESCARTES
REGLEMENTATION PEDAGOGIQUE DES STAGES A L UNIVERSITE PARIS DESCARTES Le présent règlement s appuie sur les lois, décrets et circulaires sur les stages publiés depuis 2006 et «La charte des stages» rédigée
Plus en détailREGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC)
MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) COMMUNE DE TRAMOLE Pouvoir adjudicateur exerçant la maîtrise d'ouvrage Personne Responsable du Marché représentant le pouvoir
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration
2 0 1 5 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 8 Sensibilisation à l hygiène
Plus en détailURGENCE SINISTRE! Propriétaire paniqué!
URGENCE SINISTRE! Propriétaire paniqué! Un feu? Une inondation? Une explosion? Un arbre est tombé sur votre maison suite à une tempête? Un refoulement d égout? Voici les étapes à suivre, en bref : 1. Communiquez
Plus en détailAnnée propédeutique santé Présentation générale du programme
Année propédeutique Sante 2014-2015 DCA/sbe révision Août 2014 Année propédeutique santé s Présentation générale du programme Introduction et finalités de l année propédeutique santés L objectif de cette
Plus en détailMai Thanh LE - Pôle Hygiène
Sodexo Le Better Tomorrow Plan Nos actions de progrès en bio nettoyage Mai Thanh LE - Pôle Hygiène Présentation de l entreprise Sodexo Depuis la création de l entreprise en 1966, Sodexo est le partenaire
Plus en détailRencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014. Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés
Rencontre des Responsables de copropriétés de Neuilly sur Seine, le 14 octobre 2014 Focus sur quelques obligations applicables aux copropriétés Sommaire Domaine Sécurité et sanitaire Mise en sécurité des
Plus en détailCONDITIONS SPECIFIQUES DE VENTES APPLICABLES AUX OFFRES OPENCONNECT ADSL
ARTICLE 1. DÉFINITIONS CONDITIONS SPECIFIQUES DE VENTES APPLICABLES AUX OFFRES OPENCONNECT ADSL Dans les présentes conditions particulières, les termes suivants ont, sauf précision contraire, le sens qui
Plus en détailCATALOGUE FORMATION CONTINUE
CATALOGUE FORMATION CONTINUE 3ème trimestre 2014 SOMMAIRE INFORMATIQUE BUREAUTIQUE 4 COMMERCIAL VENTE 5-6 COMPTABILITE GESTION 7-8 JURIDIQUE SECURITE 9 SE FORMER, MODE D EMPLOI 10-12 BULLETIN D INSCRIPTION
Plus en détailMBA Spécialisé en Alternance
MBA Spécialisé en Alternance "Achats Internationaux & Supply Chain" Diplôme d'etat de Niveau I enregistré au Registre National des Certifications Professionnelles JO du 14 Avril 2012 2 2013 / 2014 Groupe
Plus en détailFORMATION REFERENTS HYGIENE 14 HEURES (Décret 2011-731 du 24/06/2011 et Arrêté du 5/10/2011)
FORMATION REFERENTS HYGIENE 14 HEURES (Décret 2011-731 du 24/06/2011 et Arrêté du 5/10/2011) Interlocuteur Eurofins Biosciences : Lionel GROSJEAN Eurofins Biosciences Responsable Formation Conseil RHD
Plus en détailLes besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité. Alain VICAUD - EDF Division Production Nucléaire
Les besoins en eau de refroidissement des centrales thermiques de production d électricité 1 Les circuits d eau d une centrale thermique Circuit secondaire Appoint Circuit primaire Circuit tertiaire Purge
Plus en détailREGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552
REGLES D ATTRIBUTION ET DE SUIVI DE LA CERTIFICATION AMIANTE 1552 Date d application : 4 février 2013 DOC-PC 024 version 02 1/13 SOMMAIRE PAGES 1 OBJET 3 2 TERMINOLOGIE 3 et 4 3 DOCUMENTS DE REFERENCE
Plus en détailPARTIE 4 PROCESSUS DE SURVEILLANCE DES PRODUITS CERTIFIES MODIFICATIONS ET EVOLUTION
REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NFPOSTES DE SECURITE MICROBIOLOGIQUE PARTIE 4 PROCESSUS DE SURVEILLANCE DES PRODUITS CERTIFIES MODIFICATIONS ET EVOLUTION SOMMAIRE 4.1. Processus de surveillance des produits
Plus en détailTamarha Pierce, professeure agrégée Faculté des sciences sociales, École de psychologie. Prix Distinction en enseignement pour les professeurs
Concours des prix d excellence en enseignement 2012-2013 Lauréates et lauréats Volet Pratiques pédagogiques Yvan Bédard, professeur titulaire Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, Département
Plus en détailFEDERATION DE RUSSIE Certification GOST R INTRODUCTION OBJECTIFS PRINCIPAUX DE LA CERTIFICATION GOST R CERTIFCAT DE CONFORMITE GOST R
INTRODUCTION La certification GOST R a été instaurée par le gouvernement russe en 1993 avec l objectif principal d assurer la sécurité et de protéger la santé et l environnement de la population russe.
Plus en détailMasters OBSER VATOIRE. Sciences / Technologies / Santé OBSERVATOIRE CARREFOUR DES ÉTUDIANTS. Université de Limoges
Université de Limoges Masters Sciences / Technologies / Santé L'insertion professionnelle des diplômés DE Masters à l'université de Limoges Résultats par mention et par spécialité (promotion 2005-2006)
Plus en détailLE 12 SEPTEMBRE 2011 16H00
PREFET DE LA REGION MIDI-PYRENEES Mission Régionale Achats 1 place Saint Etienne 31038 TOULOUSE Cedex 9 05.34.45.33.03. MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS DE SERVICES MISE A DISPOSITION DE BERCEAUX DANS DES
Plus en détailFORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015
FORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015 Organisme gestionnaire : UNIVERSITE LILLE 1 59655 Villeneuve d'ascq Cedex Siret : 19593559800019 Tél 03 20
Plus en détailRéseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *
République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS
Plus en détailGlossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance
Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Au sens des fiches de définition des indicateurs de performance : 1. Parties prenantes Autorité organisatrice
Plus en détailGUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE
Plus en détailCONVENTION DE STAGE ÉTUDIANT AVERTISSEMENT Les personnes qui sollicitent le bénéfice d une convention de stage doivent être obligatoirement inscrites et participer réellement à un cycle de formation ou
Plus en détailPOLITIQUE DE DÉPANNAGE FINANCIER CONCERNANT LES DONS ET LES PRÊTS AFIN DE RÉPONDRE À CERTAINS BESOINS ESSENTIELS DES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH/SIDA
BUREAU LOCAL D INTERVENTION TRAITANT DU SIDA POLITIQUE DE DÉPANNAGE FINANCIER CONCERNANT LES DONS ET LES PRÊTS AFIN DE RÉPONDRE À CERTAINS BESOINS ESSENTIELS DES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH/SIDA Adoptée
Plus en détailNormes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)
105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site
Plus en détailCONTRAT DE FORMATION Cachet de l Établissement
CONTRAT DE FORMATION Cachet de l Établissement ENTRE L'ETABLISSEMENT D'ENSEIGNEMENT : exploité par Monsieur GENEVEY Patrick agrément n : 2403806800 obtenue le : 3/10/2001 renouvelé le 11/09/2007 assuré
Plus en détailListe des matières enseignées
Liste des matières enseignées Domaine : Sciences de la Nature et de la Vie Filière : Biologie Parcours : Tronc Commun Semestre1 VHG Coefficient Cours TD/TP Crédits/s. unité crédits U.E fondamental : 13
Plus en détailREFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE :
REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : RECONNU GARANT DE L ENVIRONNEMENT Date de mise en application : 20/02/2014 QUALIFELEC RE/0010 indice A 1 SOMMAIRE 1. DOMAINE D APPLICATION... 4 1.1 Objet...
Plus en détailRéférences et partenaires :
Eric RIPERT, 49 ans, Formateur - Consultant depuis 1995 dans les domaines HYGIENE SECURITE ENVIRONNEMENT. (H.S.E) Formateur et coordinateur de pôle en 2010 dans un centre de formation de premier plan sur
Plus en détailTHEMATIQUE J : COMMUNICATION DIGITALE 1
ANNEXES 1. LA COMMANDE DE LA BRANCHE 2. LE DOSSIER DE CANDIDATURE OFFRE DE FORMATIONS 2015 A DESTINATION DES ENTREPRISES DE LA BRANCHE DU GOLF ADHÉRENTES A UNIFORMATION THEMATIQUE J : COMMUNICATION DIGITALE
Plus en détailNettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage
80101 Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment Gebäudereiniger/Gebäudereinigerin Pulitore di edifici/pulitrice di edifici A. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage B. Programme
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015
CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420
Plus en détailSommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013
La base documentaire a été complètement révisée pour être en conformité avec cette version 2012 de l ISO 15189. La cartographie des différents processus du LBM a également été modifiée (suppression du
Plus en détailEDUCATEUR FEDERAL. NOM : PRENOM : Certifications : - - - - EPREUVES DE CERTIFICATIONS
EDUCATEUR FEDERAL NOM : PRENOM : Certifications : EPREUVES DE CERTIFICATIONS 1 Module 4 : Transmettre en toute sécurité des connaissances et des savoirfaire à une arme. Etre capable de transformer des
Plus en détailConservatoire National des Arts et Métiers
Conservatoire National des Arts et Métiers Règlement de délivrance du diplôme d ingénieur En formation continue hors temps de travail Vu la loi du 10 juillet 1934 relative au titre d ingénieur diplômé,
Plus en détailFORMATION THÉORIQUE. Trait d Union TM
TM FORMATION THÉORIQUE Laurier Fortin, titulaire de la chaire CSRS Marie-France Bradley, Amélie Plante et Marielle Thibaudeau, psychoéducatrices et professionnelles de recherche PLAN DE LA PRÉSENTATION
Plus en détailLA QUALITE DE LA PRODUCTION
LA QUALITE DE LA PRODUCTION ET DES SERVICES Leçon 1 : Présenter le concept qualité Leçon 2 : Présenter le système HACCP Leçon 3 : Caractériser les autocontrôles C.M.P Chapitre : 1/17 Objectif 1 : Identifier
Plus en détailASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF
ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique
Plus en détailSoutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie
APPEL A CANDIDATURES 2011 Soutien pour la formation à la recherche translationnelle en cancérologie Action 1.2 Date limite de soumission en ligne du dossier : 06 décembre 2010 http://www.e-cancer.fr/aap/for2011
Plus en détailMBA Spécialisé en Alternance
MBA Spécialisé en Alternance "Stratégie du Développement Durable" Diplôme d'etat de Niveau I enregistré au Registre National des Certifications Professionnelles JO du 14 Avril 2012 2 2013 / 2014 Groupe
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailLa cartographie des risques outil fédérateur de pilotage: exemple d'application dans un groupement d'établissements. Marc MOULAIRE
La cartographie des risques outil fédérateur de pilotage: exemple d'application dans un groupement d'établissements. Marc MOULAIRE Définitions Successivement la cartographie a été: L'Art de dresser les
Plus en détailInvestissements d avenir. Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)»
Investissements d avenir Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)» Appel à projets «Innovation et compétitivité des filières agricoles et agroalimentaires» Volet compétitif «Initiatives
Plus en détailBACTÉRIE PARTICULE D ARGENT
Tissu High-tech BACTÉRIE FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE PARTICULE D ARGENT FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE La partie interne des tissus Medical Style contient des particules d argent à l action biocide
Plus en détailREPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE OFFICE NATIONAL DES STATISTIQUES
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE OFFICE NATIONAL DES STATISTIQUES QUATRIEME RECENSEMENT GENERAL DE LA POPULATION ET DE L HABITAT CODE DES DIPLOMES JUILLET 1998 Introduction: Le présent document
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention
REFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention Les transformations sociales, la territorialisation et la complexité croissante des dispositifs liés aux
Plus en détailSOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE
SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L - 72 FOURNITURE DE SEMELLES ELASTIQUES POUR LA FIXATION DE VOIE "TYPE BOTZELAER" EDITION: 04/2001 Index 1. INTRODUCTION... 3 1.1. DOMAINE
Plus en détailUFR Sciences Fondamentales et Appliquées Université de Poitiers. Se réorienter à l UFR Sciences Fondamentales et Appliquées en janvier 2013
Se réorienter à l UFR Sciences en janvier 2013 Communément appelée «Faculté des Sciences» l Unité de Formation et de Recherche Sciences (UFR SFA) est une des 14 composantes de l Passerelle PACES Faculté
Plus en détailNotice pour le contrat de professionnalisation
Notice pour le contrat de professionnalisation Avant de conclure un contrat de professionnalisation, renseignez-vous sur les règles applicables au contrat ainsi que les dispositions particulières prévues
Plus en détail