HEALTH [e] FONDATION ATELIER DE CLOTURE HIVeEDUCATION. par Julienne LOHOUE PETMY

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1 HEALTH [e] FONDATION ATELIER DE CLOTURE HIVeEDUCATION INFECTIONS MYCOSIQUES SUR TERRAIN VIH INFECTIONS MYCOSIQUES SUR TERRAIN VIH par Julienne LOHOUE PETMY

2 INTRODUCTION Les mycoses, manifestations superficielles, sous cutanées et profondes provoquées par des champignons microscopiques (micromycètes) occupent une place de plus en plus importante dans la pathologie infectieuse et notamment au cours du VIH/Sida.

3 INTRODUCTION (suite) Le patient VIH positif est confronté au risque infectieux fongique. Les pathologies fongiques du patient VIH+ sont générées par des facteurs inhérentes aux champignons d une part et à l homme d autres part.

4 CHAMPIGNONS Les facteurs liés aux champignons tiennent à leur morphologie et leur habitat. Qu est ce qu un champignon microscopique? >>>>>>>>> absence de chlorophylle, >>>>>>>>> empruntent le carbone, élément essentiel de leur vie aux composés organiques. >>>>>>>> hétérotrophes (symbiose, commensalisme, saprophytisme, parasitisme).

5 CHAMPIGNONS (suite) Facteurs liés aux champignons Qu est ce qu un champignon microscopique? >>>>>>>>> absence de chlorophylle, >>>>>>>>> empruntent le carbone, élément essentiel de leur vie aux composés organiques. >>>>>>>> hétérotrophes (symbiose, commensalisme, saprophytisme, parasitisme).

6 CHAMPIGNONS (suite) MORPHOLOGIE Le champignon se caractérise par un appareil vivant appelé thalle ou mycélium.

7 CHAMPIGNONS (suite)

8 CHAMPIGNONS (suite) HABITAT En dehors des dermatophytes anthropophiles, les champignons pathogènes ne vivent pas normalement en parasites, mais en saprophytes, - soit dans l organisme hôte, ce sont des champignons endogènes (Candida albicans),

9 CHAMPIGNONS (suite) HABITAT (suite) soit dans le milieu extérieur, ce sont des champignons exogènes ( espèces dont 200 pathogènes ou potentiellement pathogènes). >>> véritables pathogènes (Blastomyces dermatitidis) >>> champignons moins virulents (Sporothrix schenckii, Cladosporium) >>> dermatophytes: (Trichophyton mentagrophytes, Trichophyton rubrum) >>> champignons occasionnels, opportunistes ou facultatifs: Cryptoccocus neoformans, Histoplasma capsulatum, Aspergillus),

10 CHAMPIGNONS (suite) HABITAT (suite) -champignons moins virulents (Sporothrix schenckii, Cladosporium) -dermatophytes: (Trichophyton mentagrophytes, Trichophyton rubrum) -champignons occasionnels, opportunistes ou facultatifs: Cryptoccocus neoformans, Histoplasma capsulatum, Aspergillus),

11 CHAMPIGNONS (suite) CONTAMINATION Sources: environnement, homme et animal Portes d entrée: pulmonaire cutanée +++, digestive-muqueuse ++ Dissémination: autocontamination contigüité dissémination hématogène ou lymphatique

12 FACTEUR LIE A L HOMME Réponse immunitaire de l organisme Les principaux moyens de défense contre une infection fongique sont: >>> la barrière cutanéo-muqueuse, >>> les polynucléaires et macrophages >>> l immunité cellulaire assurée notamment par les lymphocytes T. Ces cellules interviennent pour certaines par le biais de mécanismes cytotoxiques et d activation des macrophages.

13 INFECTIONS FONGIQUES AU COURS DU VIH PRINCIPALES MYCOSES Candidoses >>>>> principales levuroses dues surtout Candida albicans,

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15 INFECTIONS FONGIQUES AU Candidoses candidoses buccales: COURS DU VIH >>> chéilite (lèvres enflées et douloureuses) >>> perlèche (fissure croûteuse aux coins des lèvres) >>>stomatite (petites taches blanches sur la langue, les gencives et la face interne des joues; très courant chez les jeunes enfants, immunodéprimés ) >>>glossite.

16 INFECTIONS FONGIQUES AU COURS DU VIH Candidoses (suite) >>>>Candidoses oropharyngées

17 INFECTIONS FONGIQUES AU COURS DU VIH >>>> - candidose œsophagienne : dysphagie, douleurs rétrosternales, La muqueuse oesophagienne est tapissée d un enduit jaunâtre, d aspect pseudomembraneux ; à un stade avancé, on note des zones d ulcération et de nécrose. Elle est associée quasi systématiquement à une Cop >>>>>> l examen de la bouche va révéler l existence d une candidose buccale.

18 INFECTIONS FONGIQUES AU COURS DU VIH MYCOSES PROFONDES les mycoses profondes opportunistes sont des mycoses cosmopolites : candidoses cryptococcoses, aspergilloses, pneumocystose Candidoses

19 INFECTIONS FONGIQUES AU Candidose gastrique COURS DU VIH La candidose gastrique n est jamais isolée ; elle représente l aboutissement d une candidose buccale ou oesophagienne non traitée. La symptomatologie est celle d une gastrite, éventuellement accompagnée de vomissements.

20 INFECTIONS FONGIQUES AU COURS DU VIH Candidoses respiratoires et autres L atteinte pulmonaire est primaire ou secondaire à un autre foyer. Les signes cliniques sont ceux retrouvés dans les broncho-pneumonies et pneumonies d étiologie bactérienne. Les autres infections sont les septicémies, endocardites, les lésions oculaires et oto rhino-laryngologiques.

21 INFECTIONS FONGIQUES AU COURS DU VIH Cryptococcose Elle est due à une levure encapsulée, Cryptococcus neoformans, La porte d entrée est habituellement pulmonaire.

22 INFECTIONS FONGIQUES AU COURS DU VIH Cryptococcose (suite) >>>>L'atteinte pulmonaire avec un tableau pseudo-grippal. >>>>L atteinte méningée = principale manifestation cependant discrète (signes bâtards: céphalées, fièvre) >>>>Autres localisations: lésions cutanées, urogénitales, forme disséminée, etc.

23 INFECTIONS FONGIQUES AU Aspergilloses COURS DU VIH Elles sont dues à des champignons filamenteux saprophytes du genre Aspergillus.

24 INFECTIONS FONGIQUES AU COURS DU VIH Les espèces les plus fréquentes sont : Aspergillus fumigatus, A. flavus, A. niger et A nidulans et A. terrens Tableaux cliniques: Tableaux cliniques: >>> Asthme: réponse immédiate >>> Alvéolite Allergique Extrinsèque (AAE): pseudogrippal, insuffisance respiratoire >>> Bronchite Aspergillaire Mucomenbranaire (BAM): paroi des bronches envahie; fièvre, toux avec émission de boules de filaments.

25 INFECTIONS FONGIQUES AU COURS DU VIH >>>Aspergillose Broncho-Pulmonaire Allergique (ABPA)): développement du champignon dans le parenchyme pulmonaire >>>Aspergillose Invasive (AI): généralisée à tout l arbre pulmonaire >>>Aspergilome: masse de filaments dans une cavité préformée (caverne tuberculeuse); hémoptysie ect.

26 INFECTIONS FONGIQUES AU PNEUMOCYSTOSE COURS DU VIH >>>> révélatrice de l infection par le VIH. >>>> Pneumocytis jiroveci. >>>> classification controversée. Des arguments (morphologie, sensibilité à certains antiprotozoaires, absence croissance sur Sabouraud.) ont longtemps plaidé en faveur de son appartenance aux protozoaires.

27 INFECTIONS FONGIQUES AU COURS DU VIH PNEUMOCYSTOSE (suite) Par contre les études, biochimiques, Immunologique et surtout génétiques (gènes communs) ont définitivement rapproché Pneumocytis jiroveci des champignons. Pneumocytis jiroveci est un eucaryote, un champignon opportuniste.

28 INFECTIONS FONGIQUES AU COURS DU VIH Pneumocystose (suite) >>>>habitat inconnus >>>>Cependant, mode de contamination serait aérien compte tenu de la localisation exclusive de ce champignon au niveau pulmonaire.

29 INFECTIONS FONGIQUES AU Pneumocystose (suite) COURS DU VIH En clinique, il s agit chez les patients immunodéprimés d une pneumopathie grave (début brutal ou insidieux, toux, dyspnée et fièvre à 38º.

30 INFECTIONS FONGIQUES AU >>>>>> épidermophyties COURS DU VIH

31 INFECTIONS FONGIQUES AU Fusarioses COURS DU VIH Agents responsables >>>>> moisissures du genre Fusarium. Ils déterminent : >> lésions unguéales, >> surinfections des lésions cutanées >> kératite. >> contamination du système hydraulique Hospitalier >>> infections nosocomiales.

32 fusariose disséminée à Fusarium verticilloides patient VIH positif de 27 ans ayant à la suite d un traitement par cotrimoxazole développé une dermite exfoliatrice

33 INFECTIONS FONGIQUES AU DIAGNOSTIC COURS DU VIH A côté du diagnostic direct classique : mycologique (prélèvement, examen direct, culture), Anatomopathologique (colorations spéciales HES, PAS, Gomori-Grocott), il faut insister sur la rapidité du diagnostic indirect immunologique (recherche d anticorps, détection d antigènes solubles polysaccharidiques). Notion dans tous les cas de validation biologique

34 INFECTIONS FONGIQUES AU COURS DU VIH Antifongiques Classe Polyènes molécules Spécialité Forme amphotéricine B Fungizone IV amb liposomale Ambisome IV amb lipid complex Abelcet IV Fluoropyrimidine flucytosine Ancotil IV/oral I

35 INFECTIONS FONGIQUES AU COURS DU VIH Antifongiques Classe molécules Spécialité Forme Azoles (kétoconazole itraconazole fluconazole voriconazole posaconazole ravuconazole Nizoral Sporanox Triflucan SCH BMS Allylamines Terbinafine Lamisil oral oral, IV IV/oral IV/oral Candines Caspofungine Cancidas IV Micafungine Anidulafungine

36 INFECTIONS FONGIQUES AU CONCLUSION COURS DU VIH Les infections fongiques dues aux levures ou aux moisissures sur terrain VIH sont redoutables par leur évolution le plus souvent fatale. Ceci impose: >>>>> une vigilance dans la surveillance des malade >>>>> une vigilance dans l'interprétation des résultats >>>>> la nécessité d un dialogue permanent entre clinicien et biologiste pour une meilleure prise en charge des patients

37 FIN

38 Mycoses profondes

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46 GENERALITES SUR LES CHAMPIGNONS ET MYCOSES arthrospores chlamydospores

47 GENERALITES SUR LES CHAMPIGNONS ET MYCOSES Après un développement complet, le cytoplasme du jeune sporange multinuclé se groupe autour des noyaux et les spores s individualisent par formation d une paroi.

48 GENERALITES SUR LES CHAMPIGNONS ET MYCOSES les blastospores les chlamydospores

49 les phialospores

50 GENERALITES SUR LES CHAMPIGNONS ET MYCOSES A l exception des dermatophyties et de la candidose génitale, les mycoses ne peuvent être considérées comme des maladies contagieuses.

51 GENERALITES SUR LES CHAMPIGNONS ET MYCOSES FACTEURS FAVORABLES Les différents facteurs favorables sont : - L Etat général: d une manière générale, on retrouve pratiquement toujours à l origine d une mycose, une diminution de la résistance de l organisme due aux maladies débilitantes (SIDA, les leucémies, aplasies médullaires. ).

52 GENERALITES SUR LES CHAMPIGNONS ET MYCOSES - les déséquilibres hormonaux: (l hyperglycémie la perturbation de la phagocytose et la prolifération du Candida au cours de l hyperglycémie. La baisse du ph au cours de la grossesse, favorable au développement des levures etc.). - les Facteurs locaux : (humidité, macération, rôle des sous-vêtements synthétiques. L intertrigo des nourrissons, l obésité etc.

53 GENERALITES SUR LES CHAMPIGNONS ET MYCOSES -L antibiothérapie : (déséquilibre écologique par la suppression de la flore bactérienne en faveur de la flore fongique; les autres médicaments qui inhibent les défenses de l organisme)

54 GENERALITES SUR LES CHAMPIGNONS ET MYCOSES FACTEURS DE VIRULENCE DES CHAMPIGNONS La virulence désigne le caractère pathogène, La virulence désigne le caractère pathogène, nocif et violent d un microorganisme. Chaque champignon pathogène a des propriétés intrinsèques qui lui confèrent une certaine virulence

55 GENERALITES SUR LES CHAMPIGNONS ET MYCOSES le facteur de virulence permet à un pathogène de se maintenir et de proliférer dans l hôte. Celle-ci peut tenir: --- de sa morphologie: la capsule de Cryptococcus neoformans >>>>>

56 GENERALITES SUR LES CHAMPIGNONS ET MYCOSES absence anticorps responsable du neurotropisme La colonisation des sondes, cathéters et prothèse cardiaque par Candida >>>> septicémie des caractères biochimiques>>>>>> C. neoformans fragilise sa phagocytose par la formation des pigments mélaniques,

57 GENERALITES SUR LES CHAMPIGNONS ET MYCOSES Certaines souches forment des récepteurs similaires à ceux rencontrés chez l hôte >>> identification comme les leurs La possibilité de multiplication des Histoplasma dans les macrophages >>>> perturbation de la phagocytose de la composition de sa paroi etc.

58 FIN

59 CLASSIFICATION DES CHAMPIGNONS Loin d être statique, la classification des champignons évolue avec les connaissances sans cesse croissantes. Elle repose sur la reproduction sexuée, sur les Elle repose sur la reproduction sexuée, sur les spores sexuées (la nature, la morphologie des spores et leur arrangement) et la morphologie des filaments sont également des éléments essentiels de la classification.

60 Zygomycètes : Ce groupe présente un mycélium bien développé constitué d hyphes coenocytiques. La reproduction asexuée est assurée par des spores internes ou endospores contenues dans un renflement globuleux appelé sporange. La reproduction sexuée se fait par des zygospores. Ce groupe renferme notamment deux familles : - la famille des Mucorales avec les genres Mucor, Absidia, Rhizopus et Rhizomucor, la famille des Entomophthorales avec les genres Basidiobolus et Entomophthora,

61 -Ascomycètes : à l exception de levures qui sont des organismes unicellulaires, ces champignons ont un mycélium développé et septé. La reproduction asexuée conduit à la formation des spores externes ou conidies (arthrospores, blastospores, chlamydospores etc.). La reproduction sexuée aboutit à la formation des asques et ascospores.

62 Deuteromycètes = Champignons imparfaits : sont dépourvus de toute reproduction sexuée. La reproduction asexuée est assurée par des spores externes. Les filaments sont septés.

63 -Basidiomycètes : Les filaments sont septés Présence d une reproduction asexuée assurée par des spores externes. La reproduction sexuée est assurée par des basidiospores, spores produites à l extérieur d une baside.

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