Semi-conducteur intrinsèque
|
|
- Irène Bouffard
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Semi-onduteu intinsèque Intodution On dit qu un semi-onduteu est intinsèque quand il ne ontient auune impueté délibéément intoduite los de sa fabiation. Pa exemple, on suppose qu un istal de siliium intinsèque est un istal ne ontenant que des atomes de siliium. En patique, e as idéal n est bien sû pas éalisé et il existe toujous une onentation d impuetés ésiduelles que l on s attae à minimise los de l élaboation. Dans la suite, nous onsidéeons le as idéal. La desiption du fontionnement des dispositifs à semi-onduteus néessite la onnaissane de la densité de poteus libes (életons en bande de ondution, tous en bande de alene). Pou un semi-onduteu intinsèque, es poteus libes ne poiennent que de tansitions életoniques de la bande de alene es la bande de ondution sous l effet d exitations extéieues, optiques ou temiques pa exemple. Ainsi, un semi onduteu intinsèque est un isolant à 0K mais deient pogessiement onduteu quand sa tempéatue augmente a le nombe de poteus libes (nul à 0K) augmente ae la tempéatue (f. figue ) Figue : onentation intinsèque de poteus en fontion de l inese de la tempéatue dans Si, Ge et GaAs Pou alule la densité de poteus libes, il faut onnaîte la densité d états en bande de ondution et en bande de alene et la pobabilité d oupation de es états. La densité d états se alule à pati de la stutue de bandes qui, dans le as généal, est omplexe (f. figue ). Cependant, les aiations de la densité de poteus libes se poduisent essentiellement au oisinage du sommet de la bande de alene et du minimum de la bande de ondution et e sont don es domaines de la stutue de bandes qui jouent un
2 ôle pimodial. Dès los, pou es égions, on a appoxime les oubes E(k ) de la stutue de bandes pa des paaboles, soit : k E( k ) = E + pou la bande de ondution (.) me k et E( k ) = E pou la bande de alene (.) m ae m e et m les masses effeties espetiement des életons en bas de bande de ondution et des tous en aut de bande de alene. Cette appoximation eient à onsidée les poteus au oisinage des extema des bandes omme des életons (tous) libes mais ae une masse effetie m difféente de la masse de l életon (tou) dans le ide m 0. Le alul de la densité d états est alos le même que pou un gaz d életons (tous) libes en emplaçant m 0 pa m. Figue : Stutues de bandes de Ge, Si et GaAs, où E g est le gap. Les signes (+) et (-) epésentent des tous en bande de alene et des életons en bande de ondution espetiement. (D apès Celikowsky et Coen) La pobabilité d oupation des états est donnée pa la statistique de Femi : f ( E) = E EF +
3 A) Cas de bandes isotopes et non dégénéées ) Détemine l expession de la densité d états pou une bande de ondution et une bande de alene déites pa les expessions (.) et (.). ) Eie les équations donnant la densité d életons libes en bande de ondution (n) et de tous libes en bande de alene (p). 3) Dans le as où E F est distant de plusieus de E et E (semi-onduteu non dégénéé), alule n et p. Monte qu ils peuent se mette sous la fome : EF E n = ae E EF p = ae πme = ( ) πm = ( ) 3 / 3 / Dans l expession de stutue de bandes. et, seule inteient la masse effetie omme paamète de la 4) En onsidéant l életoneutalité du système, détemine la position du nieau de Femi en fontion de la tempéatue. 5) Calule la onentation en poteus libes du semi-onduteu intinsèque n i. B) Appliations aux semi-onduteus usuels Les expessions i-dessus sont déiées pou le as où la masse effetie est isotope, est-à-die que les sufaes d énegie onstante sont des spèes. Dans le as de semionduteus éels, e n est pas toujous le as. On peut alos se amene aux expessions péédentes en utilisant une masse effetie appaente m a. Dans le as d une bande de alene éelle (Ge, Si ou GaAs, fig.), le sommet de la bande se diise en bandes isotopes éifiant la elation de dispesion (.) ae les masses / 3 3/ effeties m l ( ligt oles ) et m ( eay oles ). Dans e as, m 3/ a = ml + m. Dans le as d une bande de ondution éelle, il peut existe plusieus minima équialents (Ge ou Si, figue 3) éifiant la elation de dispesion : k k k3 E( k ) = E + ( + + ) m m m Les indies,,3 se appotent à 3 dietions otogonales onstituant les axes pinipaux / 3 d une ellipsoïde d énegie onstante. On a alos m a = ( m mm3 ). En généal, m = ml (masse effetie longitudinale suiant le gand axe de l ellipsoïde) et m = m3 = mt (masse effetie tansese). Enfin, la densité d états est à multiplie pa le nombe de minima équialents de la bande de ondution (8 pou Ge, 6 pou Si). 3
4 Figue 3 : Sufaes d énegie onstante au oisinage du minimum de la bande de ondution pou Ge, Si et GaAs epésentées dans l espae éipoque. Pou Ge, il existe 8 ellipsoïdes de éolution le long des axes []. Pou Si, il y a 6 ellipsoïdes le long des axes [00]. Pou GaAs, la sufae est spéique au ente de la zone de Billouin. Semionduteu bande intedite (ev) m e /m 0 életons m e /m 0 tous mobilité à 300K (m /V.s) 300K 0K m l m t m l m életons Tous Si Ge GaAs InAs Tableau 4 : Popiétés de quelques semi-onduteus ) A pati des données founies dans le tableau 4, alule la onentation intinsèque de poteus libes pou Si, Ge, GaAs et InAs à 300K. Compae à un métal. ) La ondutiité σ d un semi-onduteu est donnée pa : σ = nµ n e + pµ p e où n (p) et µ n (µ p ) sont espetiement la onentation et la mobilité des életons (des tous) en bande de ondution (de alene). Calule la ondutiité intinsèque des 4 semi-onduteus péédents à 300K.
5 Eléments de éponse V 4π 3 / e A.) bande de ondution : D (E) = ( E E ) / V 4π m 3 / Bande de alene : D (E) = ( E E) / m à x pou teni ompte du spin à x pou teni ompte du spin A.) n = D (E) f (E,T)dE E E p = D (E)[- f (E,T)]dE - EC + E E E 3 m A.4) E Ln( ) C + Ln( F = + = + ) 4 m e Eg A.5) ni = exp( ) B.) B.) Semi-onduteu Si Ge GaAs InAs n i à 300K (m -3 ) Semi-onduteu Si Ge GaAs InAs σ à 300K (Ω - m - )
Mouvement d'une particule chargée dans un champ magnétique indépendant du temps
Moueent d'une patiule hagée dans un hap agnétique indépendant du teps iblio: Pee elat Gaing Magnétise Into expéientale: Dispositif: On obsee une déiation du faseau d'életons losqu'il aie ae une itesse
Plus en détailPHYSIQUE DES SEMI-CONDUCTEURS
Dépatement Mico-électonique et télécommunications Pemièe année 004/005 PHYSIQUE DES SEMI-CONDUCTEURS Rouge Violet Infa-Rouge Visible Ulta-Violet Cd x Hg 1-x Te InSb Ge Si GaAs CdSe AlAs CdS GaP SiC GaN
Plus en détailoù «p» représente le nombre de paramètres estimés de la loi de distribution testée sous H 0.
7- Tests d austement, d indépendance et de coélation - Chapite 7 : Tests d austements, d indépendance et de coélation 7. Test d austement du Khi-deux... 7. Test d austement de Kolmogoov-Sminov... 7.. Test
Plus en détail11.5 Le moment de force τ (tau) : Production d une accélération angulaire
11.5 Le moment de foce τ (tau) : Poduction d une accéléation angulaie La tige suivante est soumise à deux foces égales et en sens contaie: elle est en équilibe N La tige suivante est soumise à deux foces
Plus en détailCONSTANTES DIELECTRIQUES
9 E7 CONTANTE DIELECTRIQUE I. INTRODUCTION Dans cette expéience, nous étuieons es conensateus et nous éiveons les popiétés e iélectiques tels que l'ai et le plexiglas. II. THEORIE A) Conensateus et iélectiques
Plus en détailCHAPITRE VI : Le potentiel électrique
CHPITRE VI : Le potentiel électiue VI. 1 u chapite III, nous avons vu ue losu'une foce est consevative, il est possible de lui associe une énegie potentielle ui conduit à une loi de consevation de l'énegie.
Plus en détailCIRCULAIRE N 02/04. Elle précise les méthodes de valorisation des titres de capital et des titres de créances contenus dans les actifs de l OPCVM.
Rabat, le 02 juillet 2004 CIRCULIRE N 02/04 RELTIVE UX CONDITIONS D ÉVLUTION DES VLEURS PPORTÉES À UN ORGNISME DE PLCEMENT COLLECTIF EN VLEURS MOBILIÈRES OU DÉTENUES PR LUI La pésente ciculaie vient en
Plus en détailTRAVAUX DIRIGÉS DE M 6
D M 6 Coection PCSI 1 013 014 RVUX DIRIGÉS DE M 6 Execice 1 : Pemie vol habité (pa un homme) Le 1 avil 1961, le commandant soviétique Y Gagaine fut le pemie cosmonaute, le vaisseau spatial satellisé était
Plus en détailSIGNAUX NUMERIQUES ET MODULATIONS NUMERIQUES
SIGNAUX NUMERIQUES ET MODULATIONS NUMERIQUES ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------- LES SIGNAUX NUMERIQUES Un signal numérique
Plus en détail( Codes : voir verso du feuillet 3 ) SPECIMEN
Aide demandeu d emploi Pojet pesonnalisé d accès à l emploi Pesciption de Pô emploi RFPE AREF CRP - CTP ou d un patenaie de Pô emploi Pécisez : N d AIS Concene de naissance Pénom Né(e) Inscit(e) depuis
Plus en détailChapitre 6: Moment cinétique
Chapite 6: oment cinétique Intoduction http://www.youtube.com/watch?v=vefd0bltgya consevation du moment cinétique 1 - angula momentum consevation 1 - Collège éici_(360p).mp4 http://www.youtube.com/watch?v=w6qaxdppjae
Plus en détailMesures du coefficient adiabatique γ de l air
Mesures du oeffiient adiabatique γ de l air Introdution : γ est le rapport des apaités alorifiques massiques d un gaz : γ = p v Le gaz étudié est l air. La mesure de la haleur massique à pression onstante
Plus en détailM F. F O Unité: [m. N] La norme du moment de force peut se calculer en introduit le bras de levier d
Chapite 2: But: connaîte les lois auxquelles doit obéi un cops solide en équilibe. Ceci pemet de décie la station debout ainsi que les conditions nécessaies pou teni une tasse dans la main, souleve une
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailValidation CFD axisymétrique de modèle zonal des écoulements gazeux de chambre de combustion de moteur Diesel
CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS Cente d enseignement de Genoble Mémoie Mécanique des stuctues et des systèmes Validation CFD axisymétique de modèle zonal des écoulements gazeux de Auditeu: Jean-Michel
Plus en détailDiaDent Group International
www.diagun.co.k DiaDent Goup Intenational Dispositif de compactage sans fil à chaleu intégée Copyight 2010 DiaDent Goup Intenational www.diadent.com Dispositif de compactage sans fil à chaleu intégée w
Plus en détailInformations Techniques A7 A141. Roulements à Billes à Gorge Profonde. Roulements à Billes à Contact Oblique. Roulements à Billes Auto-Aligneurs
ROULEMENTS Pages Infomations Techniques A7 A141 Infos Tech. Roulements à Billes à Goge Pofonde B4 B45 Roulements à Billes à Contact Oblique Roulements à Billes Auto-Aligneus Roulements à Rouleaux Cylindiques
Plus en détailFINANCE Mathématiques Financières
INSTITUT D ETUDES POLITIQUES 4ème Année, Economie et Entepises 2005/2006 C.M. : M. Godlewski Intéêts Simples Définitions et concepts FINANCE Mathématiques Financièes L intéêt est la émunéation d un pêt.
Plus en détail( Mecanique des fluides )
INSTITUT NTION GRONOMIUE ERTEMENT U GENIE RUR SECTION YRUIUE GRICOE YRUIUE GENERE ( Mecanique des fluides ) TRONC COMMUN ème NNEE atie : Statique des Fluides ( ydostatique ) atie : ynamique des Fluides
Plus en détailRoulements à rotule sur deux rangées de rouleaux en deux parties
Roulements à otule su deux angées de ouleaux en deux paties Réduction des coûts gâce au changement apide du oulement difficilement accessible Contenu Changement apide du oulement 2 Réduction des coûts
Plus en détailLes pertes de charge dans les installations. Le dimensionnement des mitigeurs. octobre 2005
octobe 005 REUE PÉRIODIQUE D INFORMATIONS TECHNIQUES ET INDUSTRIELLES DES THERMICIENS Les petes de chage dans les installations Le dimensionnement des mitigeus octobe 005 Sommaie Le petes de chage dans
Plus en détailCapacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)
apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé
Plus en détailPITTSBURGH CORNING EUROPE N.V. / S.A. Lasne Business Park, Chaussée de Louvain, 431 D E S C R I P T I O N FOAMGLAS T4/T4 WDS S3 F 40 (**)-50-60
UBAt 04/1626 Valale du 12.07.2004 au 11.07.2009 http://www.uat.e Union elge pou l Agément tehnique dans la onstution Sevie Puli Fédéal (SPF) Eonomie, Classes moyennes, PME et Enegie, Sevie Agément et Spéifiations
Plus en détailCLOUD CX263 MÉLANGEUR
COUD CX6 MÉANGEU Clealy bette soun ZONE ZONE MUSIC SOUCE MUSIC SOUCE MUSIC SOUCE MUSIC EVE MUSIC EVE MUSIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE MIC EVE 6 6 6 5 5 5 MICOPHONE CX6 4 4 4 F HF F HF
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détailMécanique du point : forces Newtoniennes (PCSI)
écanique du oint : foces Newtoniennes (PCSI Question de cous On admet que, losqu'il est soumis à une foce Newtonienne F K u, la tajectoie d'un cos est lane et décite a mc K +e cosθ où C θ est une constante
Plus en détailProbabilités III Introduction à l évaluation d options
Probabilités III Introduction à l évaluation d options Jacques Printems Promotion 2012 2013 1 Modèle à temps discret 2 Introduction aux modèles en temps continu Limite du modèle binomial lorsque N + Un
Plus en détailChapitre 1.5a Le champ électrique généré par plusieurs particules
hapte.5a Le chap électque généé pa pluseus patcules Le chap électque généé pa pluseus chages fxes Le odule de chap électque d une chage ponctuelle est adal, popotonnel à la chage électque et neseent popotonnel
Plus en détailLE PENETROMETRE STATIQUE Essais CPT & CPTU
LE PENETROMETRE STATIQUE Essais CPT & CPTU Mesures Interprétations - Appliations Doument rédigé par des ingénieurs géotehniiens de GINGER CEBTP sous la diretion de : Mihel KHATIB Comité de releture : Claude-Jaques
Plus en détailA la mémoire de ma grande mère A mes parents A Mon épouse A Mes tantes et sœurs A Mes beaux parents A Toute ma famille A Mes amis A Rihab, Lina et
Remeciements e tavail a été effectué au sein du laboatoie optoélectonique et composants de l univesité Fehat Abbas (Sétif, Algéie) en collaboation avec le goupe MALTA consolido du Dépatement du Physique
Plus en détail1 Introduction à l effet Doppler.
Introdution à l effet Doppler Ph. Ribière ribierep@orange.fr Merredi 9 Novembre 2011 1 Introdution à l effet Doppler. Vous avez tous fait l expériene de l effet Doppler dans la rue, lorsqu une ambulane,
Plus en détailRESOLUTION PAR LA METHODE DE NORTON, MILLMAN ET KENNELY
LO 4 : SOLUTO P L MTHO OTO, MLLM T KLY SOLUTO P L MTHO OTO, MLLM T KLY MTHO OTO. toductio Le théoème de oto va ous pemette de éduie u cicuit complexe e gééateu de couat éel. e gééateu possède ue souce
Plus en détailDEUXIEME ANNEE TRONC COMMUN TECHNOLOGIE TRAVAUX DIRIGES DE PHYSIQUE VIBRATIONS ONDES
UNIVERSITE DES SCIENCES ET DE A TECHNOOGIE HOUARI BOUMEDIENNE INSTITUT DE PHYSIQUE DEPARTEMENT DES ENSEIGNEMENTS DE PHYSIQUE DE BASE DEUXIEME ANNEE TRONC COMMUN TECHNOOGIE TRAVAUX DIRIGES DE PHYSIQUE VIBRATIONS
Plus en détailQuelques éléments d écologie utiles au forestier
BTSA Gestion Foestièe Module D41 V.1.1. Avil 1997 Quelques éléments d écologie utiles au foestie Paysage vosgien : un exemple d écocomplexe divesifié. Sylvain Gaudin CFPPA/CFAA de Châteaufaine E 10 ue
Plus en détailESSEC. Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit Le scoring
ESSEC Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit Le scoring Les méthodes d évaluation du risque de crédit pour les PME et les ménages Caractéristiques Comme les montants des crédits et des
Plus en détail8 Ensemble grand-canonique
Physique Statistique I, 007-008 8 Ensemble grand-canonique 8.1 Calcul de la densité de probabilité On adopte la même approche par laquelle on a établi la densité de probabilité de l ensemble canonique,
Plus en détailGESTION DE LA SAUVEGARDE DES DONNÉES (SÉCURITÉ ET STOCKAGE)
GESTION DE LA SAUVEGARDE DES DONNÉES (SÉCURITÉ ET STOCKAGE) SAUVEGARDE DES DONNÉES DEMANDE D INFORMATION Vous souhaitez ecevoi de l infomation elative aux solutions de la thématique Gestion de la sauvegade
Plus en détailMoments partiels crédibilistes et application à l évaluation de la performance de fonds spéculatifs
Moments patiels cédibilistes et application à l évaluation de la pefomance de fonds spéculatifs Alfed MBAIRADJIM M. 1 & Jules SADEFO K. 2 & Michel TERRAZA 3 1 LAMETA- Univesité Montpellie 1 et moussa alf@yahoo.f
Plus en détailSemi-conducteurs. 1 Montage expérimental. Expérience n 29
Expérience n 29 Semi-conducteurs Description Le but de cette expérience est la mesure de l énergie d activation intrinsèque de différents échantillons semiconducteurs. 1 Montage expérimental Liste du matériel
Plus en détailPermis de feu. Travail par point chaud. r Soudage r Brasage. r Découpage r Tronçonnage. r Meulage r Autres. r Poste à souder r Tronçonneuse
Pemis de feu Tavail pa point chaud Patage vote engagement Ce document doit ête établi avant tout tavail pa point chaud (soudage, découpage, meulage, ) afin de péveni les isques d incendie et d explosion
Plus en détailServeur vidéo IP. caméras analogiques PC serveur. PC Client 1. Serveur de stockage ( optionnel )
Sony RealShot Manage V3 Info Poduit Mas 2005 RealShot Manage V3.0 Logiciel de gestion des caméas IP MJPEG, MPEG-4, Audio, il sait tout enegiste! Une nouvelle vesion du logiciel RealShot Manage de Sony
Plus en détailComment évaluer la qualité d un résultat? Plan
Comment évaluer la qualité d un résultat? En sienes expérimentales, il n existe pas de mesures parfaites. Celles-i ne peuvent être qu entahées d erreurs plus ou moins importantes selon le protoole hoisi,
Plus en détailEtude d un séchoir solaire fonctionnant en mode direct et indirect
Reue des Energies Renouelables SMSTS 08 Alger (2008) 117 126 Etude d un séchoir solaire fonctionnant en mode direct et indirect N. Chalal 1, A. Bellhamri 1* et L. Bennamoun 2 1 Département de Génie Climatique,
Plus en détailRoulements à billes et à rouleaux
Fo New Technology Netwok R copoation Roulements à billes et à ouleaux CAT. NO. 222-VIII/F Manuel technique A- Roulements à billes à goges pofondes B- Roulements miniatues B- 1 Roulements à billes à contact
Plus en détailSOMMAIRE. ATRACOM-Centrafrique Manuel de Procédures Administratives Financiers et Comptables
ATRACOM-Centafique Manuel de Pocédues Administatives Financies et Comptables G MODULE G GESTION DE LA TRESORERIE SOMMAIRE G MODULE G GESTION DE LA TRESORERIE... 1 G.1 COMPOSANTES DE LA TRESORERIE... 2
Plus en détailProjet INF242. Stéphane Devismes & Benjamin Wack. Pour ce projet les étudiants doivent former des groupes de 3 ou 4 étudiants.
Projet INF242 Stéphane Devismes & Benjamin Wak Pour e projet les étudiants doivent former des groupes de 3 ou 4 étudiants. 1 Planning Distribution du projet au premier ours. À la fin de la deuxième semaine
Plus en détailREPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE ABOU BEKR BELKAID-TLEMCEN FACULTE DES SCIENCES UNITE DE RECHERCHE MATERIAUX
Plus en détailPo ur d o nne r un é lan à vo tre re traite
Po u d o nne un é lan à vo te e taite ez a p é P aite t e e vot joud'hui dès au E N EN T TR RE E N NOOUUSS,, CC EESSTT FFAA CC I I LL EE DD EE SS EE O M M PP RR EE NN DDRRE E CC O Toutes les gaanties de
Plus en détailDescription du procédé de remplacement des appareils. Description du procédé de remplacement des appareils. 1) Choix de l appareil de remplacement B
Migration de Emax à Emax 2 en conservant la certification ) ayant c) des ayant caractéristiques des caractéristiques d installation d installation dans la même dans la disposition physique tion Fiche physique
Plus en détailDPGF - LOT 3 - CVC / PLOMBERIE
4, rue Dolorès Ibarruri DPGF - LOT 3 - CVC / PLOMBERIE L entreprise a la responsabilité de prévoir les bonnes quantités de fourniture pour la réalisation des travaux : - faire les métrés et renseigner
Plus en détailÉvaluation de l'incertitude de mesure par une méthode statistique ("méthode de type A") Voir cours d'instrumentation
G. Pinson - Physique ppliquée Mesues - 16 / 1 16 - Instuments de mesues Eeu et incetitude su la mesue d'une gandeu Ce qui suit découle des pesciptions du IPM (ueau Intenational des Poids et Mesues, Fance),
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailAnnexe II. Les trois lois de Kepler
Annexe II es tois lois de Keple écnique & 4 èe - Annexe II es tois lois de Keple Johnnes Keple (57-6), pulie en 596 son peie ouge, ysteiu Cosogphicu Teize nnées plus td, en 69, il pulie Astonoi No, dns
Plus en détailLES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.
LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont
Plus en détailGuide de l acheteur de logiciel de Paie
Note pespicacité Pivilégie les essouces humaines Guide de l acheteu de logiciel de Paie Table des matièes Intoduction Tendances écentes de Paie L automation de Paie avec libe-sevice pou employés Analyse
Plus en détailSYSTÈME D ALARME ET PRODUITS TRANSMETTEURS
SYSTÈME D ALARME ET PRODUITS TRANSMETTEURS NOTICE D UTILISATION Vous venez d acquéi un système de sécuité DAITEM adapté à vos besoins de potection et nous vous en emecions. Quelques pécautions L'installation
Plus en détailMATHS FINANCIERES. Mireille.Bossy@sophia.inria.fr. Projet OMEGA
MATHS FINANCIERES Mireille.Bossy@sophia.inria.fr Projet OMEGA Sophia Antipolis, septembre 2004 1. Introduction : la valorisation de contrats optionnels Options d achat et de vente : Call et Put Une option
Plus en détailDossier Partenaires. Contact : Anne-Laurence Loubigniac
www.voyagesimaginaies.f Dossie Patenaies Contact : Anne-Lauence Loubigniac AGENCE DE VOYAGES IMAGINAIRES/ Cie Philippe Ca 2 oute du Beau Soleil, l Estaque // 13016 Maseille Tél : + 33 (0) 4 91 51 23 37
Plus en détailInformatique III: Programmation en C++
Informatique III: Programmation en C++ Listes haînées Lundi 9 Janvier 2006 1 2 Introdution Les listes hainées permettent de stoker un nombre d objets qui n a pas besoin d être spéifié a priori. Rajouter
Plus en détailFRANCE 2009-2010. www.legea.fr. Tarifs et disponibilités
FANCE 2009-2010 www.legea.fr Tarifs et disponibilités SOMMAIE ENSEMBLES DE JEU 2 3 4 5 6 7 8 Kit SCUDO Kit LONDA Kits ITACA et SPATA Kits COINTO et ATENE Kits de gardien ASENAL et WEMBLEY Kit de gardien
Plus en détailtudes & documents ÉCONOMIE ET ÉVALUATION L assurance habitation dans les départements d Outre Mer n 24 Juin 2010
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 24 Juin 2010 É tudes & documents L assuance habitation dans les dépatements d Oute Me RISQUES ÉCONOMIE ET ÉVALUATION Sevice de l économie, de l évaluation
Plus en détailMémoire de DEA. Modélisation opérationnelle des domaines de référence
Mémoie e DEA Ecole octoale IAEM Loaine / DEA Infomatique e Loaine Univesité Heni Poincaé, Nancy 1 LORIA Moélisation opéationnelle es omaines e éféence soutenu le Mai 22 juin 2004 pa Alexane Denis membes
Plus en détailLotusLive. LotusLive - Guide d'administration
LotusLie LotusLie - Guide d'administration LotusLie LotusLie - Guide d'administration Important Aant d'utiliser le présent document et le produit associé, prenez connaissance des informations générales
Plus en détailBaccalauréat ES Pondichéry 7 avril 2014 Corrigé
Baccalauréat ES Pondichéry 7 avril 204 Corrigé EXERCICE 4 points Commun à tous les candidats. Proposition fausse. La tangente T, passant par les points A et B d abscisses distinctes, a pour coefficient
Plus en détailChapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires
Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires 25 Lechapitreprécédent avait pour objet l étude decircuitsrésistifsalimentéspar dessourcesde tension ou de courant continues. Par
Plus en détailETUDE QUANTITATIVE D UN LASER PULSE A LIQUIDE APROTIQUE POLAIRE
ETUDE QUANTITATIVE D UN LASER PULSE A LIQUIDE APROTIQUE POLAIRE Abstract. It is first demonstrated how it is possible to calculate the amplification coefficient of a laser medium from the efficiency slopes
Plus en détailLaboratoire de Physique de la Matière Condensée et des Nanostructures de Lyon
Rapport sur le stage effectué du 1 er juin 2010 au 31 juillet 2010 au Laboratoire de Physique de la Matière Condensée et des Nanostructures de Lyon Génération de pseudo-potentiel atomique pour des matériaux
Plus en détailTP 3 diffusion à travers une membrane
TP 3 diffusion à travers une membrane CONSIGNES DE SÉCURITÉ Ce TP nécessite la manipulation de liquides pouvant tacher les vêtements. Le port de la blouse est fortement conseillé. Les essuie tout en papier
Plus en détailCréer un observatoire de la concurrence. Créer un observatoire de la concurrence. Démarche. ntérêt. C aractéristiques.
Cée un obsevatoie de la concuence poblématique I Quelle est l'étendue d'un maché? Quelle pat du maché, une entepise peut-elle espée pende? Quels sont les atouts des entepises pésentes su le maché? ntéêt
Plus en détailPoste de travail d enregistreur vidéo en réseau
Poste de travail d enregistreur vidéo en réseau Les solutions de surveillance de bout en bout d Avigilon fournissent un degré de détail d image qu aucun autre système ne peut atteindre. Le logiciel Avigilon
Plus en détailMéthodes de Simulation
Méthodes de Simulation JEAN-YVES TOURNERET Institut de recherche en informatique de Toulouse (IRIT) ENSEEIHT, Toulouse, France Peyresq06 p. 1/41 Remerciements Christian Robert : pour ses excellents transparents
Plus en détailIBM Tivoli Monitoring. Guide d utilisation. Version 5.1.2 SH11-1285-03
IBM Tioli Monitoring Guide d utilisation Version 5.1.2 SH11-1285-03 IBM Tioli Monitoring Guide d utilisation Version 5.1.2 SH11-1285-03 Important Aant d utiliser le présent document et le produit associé,
Plus en détail4 Distributions particulières de probabilités
4 Distributions particulières de probabilités 4.1 Distributions discrètes usuelles Les variables aléatoires discrètes sont réparties en catégories selon le type de leur loi. 4.1.1 Variable de Bernoulli
Plus en détailDM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION
Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)
Plus en détailMagister en : Electrotechnique
انج س ت انجضائش ت انذ مشاط ت انشعب ت République Algéienne Démocatique et Populaie صاسة انتعه ى انعان انبحث انعه Minitèe de l Eneignement Supéieu et de la Recheche Scientifique Univeité Mohamed Khide Bika
Plus en détailLE LOGEMENT AU NUNAVIK
SOCIÉTÉ D HABITATION DU QUÉBEC LE LOGEMENT AU NUNAVIK DOCUMENT D INFORMATION WWW.HABITATION.GOUV.QC.CA Coodination du contenu et édaction Diection des affaies integouvenementales et autochtones Coodination
Plus en détailLa soudure à l arc. électrique. Jean-Claude Guichard. Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11913-5
La soudure à l arc électrique Jean-Claude Guichard Groupe Eyrolles, 2006, ISBN : 2-212-11913-5 INITIATION À LA SOUDURE 14 1-PRINCIPES DE BASE.............................. 16 LA SOUDABILITÉ DES ACIERS.........................................
Plus en détailAmplificateur à deux étages : gains, résistances "vues", droites de charges, distorsion harmonique
Problème 6 Amplificateur à deux étages : gains, résistances "ues", droites de charges, distorsion harmonique Le circuit analysé dans ce problème est un exemple représentatif d'amplificateur réalisé à composants
Plus en détailCalculs de probabilités avec la loi normale
Calculs de probabilités avec la loi normale Olivier Torrès 20 janvier 2012 Rappels pour la licence EMO/IIES Ce document au format PDF est conçu pour être visualisé en mode présentation. Sélectionnez ce
Plus en détail10 choses à savoir sur le 10 Gigabit Ethernet
Livre blanc 10 choses à savoir sur le 10 Gigabit Ethernet Sommaire Introduction... 3 Le 10 Gigabit Ethernet et Les serveurs : une meilleure efficacité... 3 SAN contre Fibre Channel : plus simple et plus
Plus en détailLes Réunions d information aux associations
REUNION D INFORMATION AUX ASSOCIATIONS Les Réunions d information aux associations du 1 er au 16 octobre 2014 Direction Générale Adjointe du Cadre de Vie 1 Programme Les nouveautés Le projet associatif
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailLes rayons X. Olivier Ernst
Les rayons X Olivier Ernst Lille La physique pour les nuls 1 Une onde est caractérisée par : Sa fréquence F en Hertz (Hz) : nombre de cycle par seconde Sa longueur λ : distance entre 2 maximum Sa vitesse
Plus en détailLes déterminants de la diffusion d Internet en Afrique
Les déteminants de la diffusion d Intenet en Afique pa Benad Conte Maîte de Conféences, Cente d économie du développement Univesité Montesquieu-Bodeaux IV - Fance 6µWYQµ Les pogès apides des technologies
Plus en détailLes mathématiques de la finance Université d été de Sourdun Olivier Bardou olivier.bardou@gdfsuez.com 28 août 2012 De quoi allons nous parler? des principales hypothèses de modélisation des marchés, des
Plus en détailDEMANDE D OUVERTURE D UN COMPTE EPARGNE REMUNERE (Réservé aux particuliers) Exemplaire Client (à conserver)
GE Money Bank DEMANDE D OUVERTURE D UN COMPTE EPARGNE REMUNERE (Résevé aux paticulies) Exemplaie Client (à conseve) Vote Conseille Cachet du Conseille Le (date de l offe) O l'offe. N de poposition : N
Plus en détailPrésentation des Distributeurs ERDF et GrDF.
Présentation des Distributeurs ERDF et GrDF. Présentation d ERDF : Electricité Réseau Distribution France. ERDF est la filiale de Distribution d EDF créée en Janvier 2008. SA au capital de 270 millions
Plus en détailTHÈSE. présentée pour obtenir le titre de. DOCTEUR de L ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE D ARTS ET MÉTIERS. Spécialité: Génie Electrique.
N d ode: 005-7 ECOLE DOCTORALE 43 Ecole Nationale Supéieue d At et Métie Cente de Lille THÈSE péentée pou obteni le tite de DOCTEUR de L ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE D ARTS ET MÉTIERS Spécialité: Génie Electique
Plus en détailCommunications numériques
Communications numériques 1. Modulation numérique (a) message numérique/signal numérique (b) transmission binaire/m-aire en bande de base (c) modulation sur fréquence porteuse (d) paramètres, limite fondamentale
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailPhysique quantique. Dans l UF Physique Quantique et Statistique. 3ème année IMACS. Pierre Renucci (cours) Thierry Amand (TDs)
Physque quantque Dans l UF Physque Quantque et Statstque ème année IMACS Pee enucc cous They Aman TDs Objectfs UF Nanophysque I : De l Optque onulatoe à la Photonque et aux Nanotechnologes La physque quantque
Plus en détailT.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY
T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................
Plus en détailN 15 PLOMBERIE /CHAUFFAGE SUJET
PLOMBERIE /CHAUFFAGE SUJET Sélections régionales 2012 SOMMAIRE A. Explication du sujet... 3/4 B. Déroulement du concours... 5 C. Matériaux et consommables... 6/7 D. Caisse à outils... 8 E. Barème de correction...
Plus en détailIII.2 SPECTROPHOTOMÈTRES
instrumentation III.2 SPECTROPHOTOMÈTRES Spectrophotomètres UV/visibles 2 à 4 Spectrophotomètres visibles 5 à 7 0100100100100100011100110100100100100100 110100100100100100 011100110100100100100100 00100100100100011100110100100100100100
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailProgressons vers l internet de demain
Progreon ver l internet de demain COMPRENDRE LA NOTION DE DÉBIT La plupart de opérateur ADSL communiquent ur le débit de leur offre : "512 Kb/", "1 Méga", "2 Méga", "8 Méga". À quoi ce chiffre correpondent-il?
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailÉtape II. Compétences à développer de 8 à 12 ans. Grilles des compétences
Grilles des ompétenes Compétenes à développer de 8 à ans COMPÉTENCES DE 8 À ANS Les ompétenes en «aratères droits» sont à ertifier. (symbole en fin de ligne) Les ompétenes en «aratères italiques» sont
Plus en détail