n ds S Équation de conservation de la charge L équation de conservation locale de la charge s écrit : div j + ρ t = 0
|
|
- Cyril Bellefleur
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Életromagnétisme 1 Bases oures du hamp E.M. Distribution de harges = ouple ρ, j. L hypothèse des milieux ontinus permet de dire que tout se passe omme si l on avait un fluide életrique ou e qui revient au même : ρ et j sont des fontions suffisamment régulières. ρ et j sont des grandeurs nivelées i.e. moyennées sur des éhelles assez petites par rapport au marosopique du laboratoire mais très grandes devant les éhelles de la matière : ρ = dq : e n est pas une limite quand dτ tend vers 0!... dτ On peut érire ρ en fontion des densités partiulaires des porteurs i : n i = dn i nombre de porteurs par unité de volume : dτ ρ = n 1 q 1 + n 2 q L intensité i est égal à la harge qui travers une surfae orientée par unité de temps omptée positivement dans le sens de l orientation de. On a j = n 1 q 1 v 1 + n 2 q 2 v et i = dq dt = j. n d Dans le as d un unique type de porteurs de harges par exemple ourant de partiules, on a j = ρ v est faux s il y a plusieurs types de porteurs de harges, par exemple pour un ourant de ondution dans un életrolyte ou un métal. Équation de onservation de la harge L équation de onservation loale de la harge s érit : div j + ρ = 0 Démonstration : oit V un volume fixe de surfae. La harge qui sort de en dt vaut dq = dt j. n d. Par ailleurs, la harge ontenue dans V vaut Qt = ρm, tdτ. Pendant dt, la harge varie dans V de dq = Qt+ dt Qt = dq V dt dt = d ρ ρdτ dt = dt dτ. Par onservation de la harge, dt V V dq est égal à dq, d où dt j. ρ ρ n d = dt dτ et en utilisant Ostrogradski : V V dτ = div j dτ, d où div j + ρ dτ = 0. V V Cei est valable pour tout volume V, d où l équation en prenant un volume élémentaire et en le faisant tendre vers 0. NB : En régime stationnaire, l équation se réduit à div j = 0 : la densité de ourant est à divergene nulle, don l intensité totale qui sort d une surfae fermée est nulle : f. loi des noeuds. Fore et puissane volumique de Lorentz et sa puissane est dp dτ = j. E La fore volumique életromagnétique de Lorentz vaut f = d F dτ = ρ E + j B Appliation : pour un onduteur ohmique, la loi d Ohm loale j = σ E donne dp dτ = σe2, d où pour un tronçon ylindrique de longueur l et setion s parouru par une intensité i = js : P = 1 l σ s i2 = Ri 2 ar R = 1 l est la résistane du tronçon. σ s Démonstration : La fore subie par les porteurs de harge du volume dτ vaut d F = i n iq i dτ E + v i B = i n iq ie + ni q i v i B et on reonnaît l expression annonée. La puissane vaut P = F. v = q E. v. En raisonnant par porteurs, on a dp = i dp i = i n iq i dτ E. v i = i n iq i v i. Edτ = j. Edτ. Équations de Maxwell Équations de Maxwell div B = 0 Flux magnétique MΦ rot E = B Maxwell-Faraday MF div E = ρ Maxwell-Gauss MG ε 0 rot E B = µ 0 j + ε0 Maxwell-Ampère MA Remarques : 1. le ouple MΦ,MF exprime des propriétés intrinséques du hamp E.M. alors que le ouple MG,MA expliite la nature de la liaison entre le hamp E.M. et ses soures ρ, j. Par ontre, les deux types d équations sont néessaires pour déterminer entièrement haque hamp théorème de Helmoltz : un hamp vetoriel ne peut être entièrement déterminé que si l on onnaît à la fois sa divergene et son rotationnel. 2. Les équations étant linéaires, on a un théorème de superposition : une ombinaison linéaire de solutions des équations est enore solution. Ne pas onfondre ette notion ave elle de linéarité du omportement du matériau, par exemple la loi d Ohm loale j = σe il existe des gaz ionisés ou des semi-onduteurs pour lesquels la relation entre j et E est non-linéaire. 3. L équation de onservation de la harge est ontenue dans les équations de Maxwell : en prenant la divergene de MA : 0 = div rot B = µ 0 div j + ε 0 div E en remplaçant la divergene de E dans MG. d où 0 = div j + ε 0 div E et on obtient l équation de onservation de la harge
2 Contenu physique des équations de Maxwell : formes intégrale MG : la forme intégrale donne le théorème de Gauss qui reste don valable en régime quelonque. MG exprime que les harges ρ jouent pour le hamp életrique E un rôle de soure. Par ontre, ontrairement au régime stationnaire, les harges ne sont plus les seules soures il faut tenir ompte de j. E MA : en notant jd = ε 0 B. dl = µ0 i + i D ave i D = ε 0 C désigné par Maxwell sous le nom ourant de déplaement, la forme intégrale de MA s érit E. n d jd traduit seulement une variation temporelle du hamp életrique, et pas du tout un ourant ni un déplaement de quoi que e soit! Par ontre, on peut dire qu en régime variable, le terme E j D = ε 0 joue au même titre qu une densité de ourant j un rôle de soure pour le hamp magnétique : un hamp életrique variable dans le temps est une soure de hamp magnétique. NB : en régime stationnaire, j D = 0 et l on retrouve le théorème d Ampère. MΦ : le flux du hamp magnétique à travers toute surfae fermée est nul, i.e. le hamp magnétique est à flux onservatif. Une autre onséquene est qu il n existe pas de harges magnétiques, ou dit autrement : le hamp magnétique n a pas de soures qui joueraient pour B le rˆole que les harges jouent pour E. MF : en régime stationnaire, on retrouve que le hamp életrique a un rotationnel nul, i.e. le hamp életrique est à irulation onservative en régime stationnaire. En régime quelonque, en notant e la irulation de E sur un ontour fermé quelonque C, on obtient que e = dφ où Φ = B. n d est le flux magnétique qui traverse le ontour fermé C indépendant de la surfae dt puisque B est à flux onservatif : on obtient la loi de Faraday du phénomène d indution E.M. e s identifiant à la f.e.m. induite sur C. On peut aussi énoner : un hamp magnétique variable dans le temps est soure d un hamp életrique à irulation non onservative. Remarque : en régime variable, les équations de Maxwell font apparaître de manière évidente un ouplage entre les hamps E et B. En régime stationnaire, e ouplage disparaît. Note historique Vers 1860, Maxwell établit un tableau des équations présentées i-dessus qui ne fait pas apparaître le ourant de déplaement j D = ε E 0. En effet, et ensemble d équation orrespond aux ARQ qui traduit une approximation des lois générales pour des hamps lentement variables dans le temps. Or, les iruits osillants de l époque ne permettaient pas d aéder à des fréquenes suffisantes pour mettre en évidene les phénomènes de propagation spéifiques du terme j D. En 1862, Maxwell modifie ses équations ARQ de l E.M. en introduisant son fameux ourant de déplaement. La raison en est que est la façon la plus simple de modifier les équations issues de l expériene afin de les rendre ompatibles ave la onservation de la harge. Par ailleurs, Maxwell ne disposait pas du formalisme de l analyse vetorielle. Enfin, il existait à ette époque la théorie de l éther qui a depuis lors été abandonnée... Charges dans un onduteur En régime stationnaire, ρ est nulle dans tout le volume d un onduteur ohmique homogène ; en régime quelonque ρ est négligeable dans tout le domaine des fréquenes industrielles et hertziennes restrition due en partie au fait que σ n est pas onstante pour toute fréquene. Démonstration : Cela résulte de l équation de MG et de l équation de onservation de la harges : ρ = div j = σdiv E = σ ρ. En régime stationnaire, on a ε 0 don ρ = 0. En régime variable, ette équation s érit en posant θ = ε 0 ρ temps aratéristique : σ + ρ θ = 0, d où ρ r, t = ρ 0 r e t/θ. Pour un métal, σ = 10 7 m 1 d où θ s : on a une relaxation extrêmement rapide vers l état stationnaire aratérisé par ρ r = 0. On peut don admettre ρ = 0 pour toute fréquene ν 1 θ 1018 Hz. En fait, la limite est moins élevée ar la loi d Ohm loale perd sa validité ave une σ réelle pour des fréquenes supérieures à Hz. 2 Courant dans un onduteur - Effet de peau Dans un métal soumis à un hamp életrique sinusoïdal E = E 0 osωt, on a j = σe 0 osωt et E j D = ε 0 = ωε 0E 0 sinωt, d où j D = ωε 0 = ωθ où θ est le temps de relaxation introduit dans le j σ point préédent sur les harges dans un onduteur. On a don j D j pour ν 1/θ : dans le volume d un métal, le ourant de déplaement j D est négligeable devant la densité de ourant j dans tout le domaine des fréquenes industrielles et hertziennes. En réunissant e résultat et le préedent, on a don que dans tout le domaine des fréquenes industrielles et hertziennes, on peut négliger la densité de harge ρ dans MG et le ourant de déplaement j D dans MA : est l effet de peau. Équation de propagation du hamp E.M. Le ouplage introduit par les équations de Maxwell est à l origine du phénomène de propagation du hamp E.M. L équation de propagation vérifiée par les hamps E et B dans le vide est 2 E ε 0 µ 0 2 E 2 = 0 ; Résolution de l équation de d Alembert 2 B ε 0 µ 0 2 B 2 = 0 ave ε 0 µ 0 2 = 1 On peut herher : soit des solutions à variables liées de la forme f progressives, soit des solutions à variables séparées de la forme hxkt ondes stationnaires. t x ondes
3 Résolution de l équation de d Alembert en variables liées oit sx, t une grandeur à variables liées vérifiant l équation des ondes 2 s ou équation des ordes vibrantes : x s v 2 = 0 alors sx, t est de la forme sx, t = fx vt + gx + vt où f et g 2 désignent deux fontions arbitraires. Démonstration : On fait le hangement de variable u = x vt et w = x + vt. On obtient pour les dérivées premières : s x = s u u x + s w w x = s u + s w et s = s u u + s w s = v w u + v s w. Et pour les dérivées seondes : 2 s x 2 = 2 s u s u v + 2 s w 2 et 2 s 2 = v2 2 s u 2 2v2 2 s u v + v2 2 s w 2. L équation devient don : 4 2 s s s = 0, soit enore = 0. Ainsi = hw et don sx, t = fu + gw ave g primitive de h. u v u w w Onde plane progressive Une onde plane progressive est une onde de la forme sx, t = fx vt à une dimension. On a sx, t = s 0, t x : le déplaement de l extrémité détermine omplètement le déplaement de toute la orde à tout instant. v L allure à un instant t est obtenue par simple translation de durée x v. On a sx, t = sx vt, 0 : la forme de la orde sx, 0 à l instant initial détermine omplètement le déplaement de toute la orde à tout instant. L allure à un instant t est obtenue par simple translation de longueur vt. v est la vitesse de propagation de l onde. En effet, soit u = x vt une valeur fixée onstante du hamp, on a : 0 = du = dx v dt, d où dx = v. Ainsi pour suivre un état du hamp fixé, il faut se déplaer en même temps que lui à la vitesse v dans le sens des x roissants. dt On montre de même que la solution gx + vt orrespond à un hamp qui se déplae sans déformation à la vitesse v dans le sens des x déroissants. Ainsi : une onde plane progressive de la forme sx, t = fx vt représente la propagation sans déformation d un signal à la vitesse v dans le sens des x roissants. De même, une onde plane progressive de la forme sx, t = fx + vt représente la propagation sans déformation d un signal à la vitesse v dans le sens des x déroissants. La solution générale de l équation de propagation peut s exprimer sous la forme de la superposition de deux ondes planes progressives de mḙme élérité et de sens de propagation opposés. NB : On note également la solution générale sous la forme : sx, t = F t x + G t + x. v v 3 Résolution de l équation de d Alembert en variables séparées On herhe ii des solutions de la forme sx, t = 0 hxkt 0 ω ω onstante. Alors néessairement, on a hx = os x + ψ et kt = osωt + ϕ, soit : sx, t = 0 os x + ψ osωt + ϕ Démonstration : Tous aluls faits, on obtient 2 h x = k t hx kt. Ainsi il existe une onstante K = ±ω2 telle que 2 h x hx justifie par le fait que la dimension de K est la s 2, i.e. la dimension d une pulsation. = k t kt = ±ω2. La notation ω se 1 er as : K = +ω 2 kt = Ae ωt + Be ωt. B = 0 sinon l onde diverge en tout point! Don kt = Ae ωt, mais dans e as l onde devient nulle en tout point très rapidement, e qui n est pas aeptable physiquement. Conlusion : e as n est pas viable. 2ème as : K = 0 kt = At + B, ave A = 0 sinon l onde diverge. Alors kt = B, e qui n est pas aeptable pour une onde. Conlusion : e as n est pas viable. ω 3ème as : K = ω 2 < 0 kt = A osωt + ϕ et hx = B os x + ψ. Posons 0 = AB, alors s est de la forme annonée. Remarque énergétique sur les ondes stationnaires En x tel que ω x + ψ = 0, sx, t = 0. On appelle es points des noeuds de vibration. Or pour une onde E.M., E = 0 implique que le veteur de Poynting est également nul. En onséquene, auune puissane E.M. ne peut se propager en passant par es points : l onde stationnaire ne se propage pas, l énergie reste onfinée entre les noeuds de vibration suessifs ω Lien entre les ondes stationnaires et les ondes progressives i sx, t = 0 os x + ψ osωt + ϕ, alors en utilisant la formule = , on obtient sx, t = [ 0 os ωt + ω 2 x + ϕ + ψ + os ωt ω ] x + ϕ ψ omme superposition de deux ondes progressives sinusoïdales ou harmoniques de même amplitude et de sens de propagation opposés. Potentiels Le hamp E.M. E, B dérive d un ouple de potentiels V, A appelés potentiel salaire et potentiel-veteur : E = gradv A Neumann. ; B = rot A La partie à irulation non onservative A est aussi appelée hamp életromoteur de Les potentiels ne sont pas uniques, ils sont définis à un gradient d une fontion f près pour le potentiel-veteur, et à la dérivée partielle par rapport au temps de la même fontion f pour le potentiel salaire. Autrement dit : le ouple V f, A + gradf est également valide. On profite de ette non uniité pour imposer une ondition supplémentaire sur V et A dite jauge de Coulomb : div A V = 0 En onséquene, en régime quelonque on n a plus néessairement E = gradv!...
4 NB : Les potentiels qui satisfont la jauge de Coulomb vérifient l équation de propagation des potentiels 2 V = ρ ε 0 et 2 A = µ 0 j. En régime statique, es équations redonnent les équations de Poisson pour le potentiel életrostatique et le potentiel-veteur elle-i permettant de retrouver la formule de Biot et avart de la magnétostatique. Potentiels retardés oit un point de la soure d une distribution D et M un point où l on alule le hamp E.M. On pose M = r u. On montre que tout se passe omme si les potentiels V et A en M orrespondaient à la superposition de signaux envoyés vers M par les soures de D et se propageant ave la même élérité. Ainsi un observateur plaé en M est informé ave un retard orrespondant au temps de propagation de l onde E.M. de toute modifiation de D. ARQ L approximation des régimes quasi-stationnaires onsiste à aluler les hamps à partir des potentiels en négligeant les retards qui figurent dans les expressions, autrement dit à faire les approximations V M, t = 1 ρt t dτ 1 ρt 4πε 0 D r 4πε 0 D r dτ et AM, t = µ 0 j t t dτ µ 0 j t dτ. 4π D r 4π D r En d autres termes : l ARQ néglige les phénomènes de propagation. Les onséquenes sur le hamp E.M. de ette approximation ARQ sont les suivantes : le hamp magnétique vérifie les lois de la magnétostatique, en partiulier, le aratère onservatif du flux magnétique et ses onséquenes lois des branhes, des noeuds sont valables dans l ARQ. le hamp életrique diffère du hamp életrostatique stationnaire : il faut tenir ompte du hamp életromoteur de Neumann A traduit le phénomène d indution. En résumé, on peut aussi dire que les équations de Maxwell de l ARQ négligent le ourant de déplaement E j D = ε 0. L ARQ est valable lorsque la distane du point M aux soures est faible devant la longueur d onde λ = où ν est la fréquene de ν variation de la distribution D. Par exemple, ave ν = 30 MHz ordre de grandeur des limites de générateurs de signaux utilisés en TP, on a λ = 10 m!... Lorsque ν est supérieure à 1 GHz λ = 30 m, on sort du adre de l ARQ : les phénomènes de propagation jouent alors un rôle essentiel. C est le as aussi pour les ondes radio FM ave des fréquenes de l ordre de 100 MHz! 4 Relations de passage du hamp E.M. MΦ donne la ontinuité de B N. MF donne la ontinuité de E T. MG donne la disontinuité de E N. MA donne la disontinuité de B T. On peut regrouper es résultats par les relations vetorielles : E 2 E 1 = σ ε 0 n 1 2 ; B 2 B 1 = µ 0 j n 1 2 Énergie életromagnétique Modélisation Par analogie ave le transport de harge par le veteur j, on herhe un ouple w, Π où w représenterait la densité volumique d énergie életromagnétique ontenue dans le hamp et Π le ourant d énergie életromagnétique tels que : la puissane életromagnétique s éoulant à travers une surfae vaudrait P = Π. n d et l énergie életromagnétique emmagasinée à un instant donné dans un volume V vaudrait W = V wdτ On montre qu une solution onsiste à prendre w = ε 0E 2 B 2 + ; 2 2µ 0 Π = E B µ 0 Aspets énergétiques de l életroinétique Les modèles de la apaité C, l indutane L et la résistane R de l életroinétique sont des modèles où l énergie est emmagasinée respetivement sous forme életrique, magnétique et dissipée par effet joule. On a W E = Q2 2C = ε0 E 2 2 dτ ; W B = LI2 B 2 j 2 = dτ ; P = RI 2 =. Edτ 2µ 0 Propagation des OEMPPV Modèle de l OEMPPV - Plan d onde Une onde életromagnétique plane de diretion de propagation v uz est une struture où les hamps sont de la forme sz, t. Une onde életromagnétique plane progressive dans le vide OEMPPV de diretion de propagation v uz est une struture où les hamps sont des fontions périodiques de la forme sz, t = f t z on éarte le as où f est onstante. Dans une telle onde, toute oordonnée du hamp a, à un instant donné, même valeur en tout point d un plan z = te, elui-i étant appelé plan d onde. validité du modèle : le modèle de l OEMPPV dérit loalement la struture de l onde E.M. émise par une soure située à une grande distane.
5 5 truture de l OEMPPV d après les équations de Maxwell Une OEMPPV présente un aratère transverse, i.e. sans omposante le long de la diretion de propagation. Cela se déoule des équations MG et MΦ qui donnent v uz. E = 0 ; v uz. B = 0 Les hamps E et B sont orthogonaux entre eux, plus préisément, il résulte de MA que B = Les hamps életrique et magnétique ont mḙme état vibratoire : E = B v uz E NB : ur des partiules non relativistes, une OEMPPV agit de façon prépondérante par l intermédiaire de son hamp életrique. Cela résulte de la omparaison des ontributions életrique et magnétique de la fore de Lorentz : si F E = q E et F B = q v B, on a F B F E v. Aspets énergétiques de l OEMPPV Vu les relations entre les hamps E et B, on a les relations suivantes entre les ontributions életrique et magnétique : w E = w B ; w = w E + w B = ε 0 E 2 ; Π = w v uz On a don équirépartition des ontributions d origine életrique et magnétique à l énergie totale életromagnétique de l OEMPPV. Par ailleurs, Π est olinéaire à la diretion de propagation, en aord ave son rôle de veteur-ourant de l énergie transportée par l onde. Modèle de l OEMPP monohromatique On se plae dans un milieu pas forément le vide et on onsidère une OEMPP de la forme sz, t = f t z [ propagation à la vitesse v ave f fontion sinusoïdale. Finalement on a sz, t = s 0 os ω t z ] v v ϕ 0 s 0 > 0 est l amplitude de l onde : on parle d onde monohromatique ou sinusoïdale ou enore harmonique. z On érit l argument du osinus après hangement de signe onventionnel sous la forme ϕz, t = ω v t + ϕ 0 qu on appelle phase de l onde, de sorte que le signal s érit sz, t = s 0 osϕz, t. Module d onde, périodiité de l OEMPP monohromatique On appelle module d onde la grandeur en m 1 k = ω v e qui permet de mettre en évidene le aratère doublement périodique de l OEMPP monohromatique : sz, t = s 0 osϕz, t ave ϕz, t = kz ωt + ϕ 0 : périodiité temporelle de pulsation ω en un z 0 fixé, et périodiité spatiale de pulsation k à un instant t 0 fixé. On définit don la période temporelle T = 2π ω et la périodiité spatiale appelée longueur d onde λ = 2π k z la phase sous la forme ϕz, t = 2π λ t T + ϕ 0., e qui permet d érire On peut relier les périodes spatiale et temporelle par l intermédiaire de la élérité de l onde λ = 2π k = vt Veteur d onde On définit le veteur d onde k = k v uz e qui permet de réérire la phase et l onde en un point M tel que r = OM : s r, t = s 0 osϕ r, t ave ϕ r, t = k. r ωt + ϕ 0 NB : k. r = k v uz.x v ux + y v uy + z v uz = kz... Le veteur d onde permet d érire pour une OEMPP monohromatique : B = k E ω ar on a k = ωv. Caratère abstrait et idéal d une omposante monohromatique L OEMPP monohromatique n a auune réalité physique ; elle n est qu une omposante abstraite à partir de laquelle un signal réel peut être dérit par superposition par l analyse de Fourier. En effet, un signal a une extension en fréquenes ν 1 d autant plus faible que sa durée est grande. On retrouve le modèle de l OEMPP t monohromatique omme limite idéal d un signal de durée infinie. Représentation omplexe du hamp E.M. En régime sinusoïdal foré de pulsation ω = 2πν, on assoie à toute grandeur salaire g sa représentation omplexe g définie par g r, t = g 0 r e iϕ0 r e iωt Alors g r, t = Reg = g 0 r osωt ϕ 0 r. Appliation à l életromagnétisme : on appelle amplitude omplexe et représentation omplexe du hamp E les veteurs omplexes E 0 = E x0 e iϕx v ux + Ey0 e iϕy v uy et E = E 0 e i k. r ωt On retrouve le hamp E en prenant la partie réelle de E : E = Re E. De façon symbolique, on a x j ik j, i k et iω
6 Les orrespondanes i-dessus ne sont valables telles quelles que pour une onde plane telle que Ex0 et E y0 sont des onstantes indépendantes de x et y propriété aratéristique d une onde plane, i.e. les grandeurs assoiées ont même valeur à un instant donné en tout point du plan d onde. Par ailleurs, leur utilisation n est valide que pour des grandeurs linéaires. NB : i k est omplexe, il s érit k = k +ik et alors s = s 0 e kz ωt = s 0 e k z e ik z ωt d où s = Res = s 0 e k z osk z ωt est don une onde atténuée. En posant δ = 1 k, on définit une longueur de pénétration de l onde : l amplitude déroit en e z/δ et devient négligeable dès que z devient supérieur à quelques δ. Appliation : effet de peau... Conduteur parfait Un onduteur parfait est défini omme un milieu dont la ondutivité σ. MF permet d en déduire que B = 0 dans tout le volume du onduteur, et don que le hamp E.M. est nul dans le volume d un onduteur parfait on éarte les hamps onstants. Ce modèle n est pas satisfaisant ar les meilleurs métaux onduteurs ont des ondutivités élevées mais finies. On préfère dire que le modèle du onduteur parfait est une idéalisation du omportement des métaux en HF dans la limite des faibles épaisseurs de peau. Paquet d ondes Tout signal sz, t peut être représenté par son développement de Fourier sz, t = + 6 ωe ikz ωt dω appelé paquet d ondes et onsistant en une superposition de omposantes monohromatiques haque e ikz ωt représente un signal progressif monohromatique de pulsation ω et module d onde déterminé. ω représente le poids relatif de la omposante de fréquene ν = ω 2π, et ω 2 est appelé son spetre. Vitesse de phase Deux points d espae-temps voisins z, t et z+ dz, t dt ont même phase ϕz, t = kz ωt si dϕ = k dz ωdt = 0, d où la vitesse de propagation de la phase appelée vitesse de phase : v ϕ = dz dt = ω k La notion de vitesse de phase est relative au onept abstrait de omposante de Fourier, alors que seul le paquet d ondes a une réalité physique. Ainsi la vitesse de phase v ϕ n est assoiée à auun objet physique, elle ne peut en auun as représenter la vitesse de propagation d une information et peut même dépasser en valeur la vitesse de la lumière... Vitesse de groupe Par définition, la vitesse de groupe vaut v g = dω : est l inverse de la pente de la relation de dispersion érite dk sous la forme kω, ou bien la pente de la relation de dispersion érite sous la forme ωk. Les vitesses de phase et de groupe montrent que seul un milieu dont la relation de dispersion est linéaire est non dispersif. Rayonnement. Propagation libre ystème du dipôle osillant Un dipôle osillant est un système onstitué d une harge q fixe à l origine O et d une harge +q située en et animée sur l axe Oz d un mouvement sinusoïdal de pulsation ω et amplitude z 0 : O = z 0 osωt u z. le moment életrique du système est p = q O = qz 0 osωt u z, soit p = p 0 osωt u z ave p 0 = qz 0. oordonnées sphériques r, θ, ϕ. Cadre approximation dipolaire r z 0. Par ailleurs, mouvement non-relativiste z 0 λ. Réalités représentées par le modèle : 1. Le modèle du dipôle osillant dérit orretement une très petite antenne ou un élément onstituant d une véritable antenne émettrie. 2. Dans le domaine de l optique, le modèle dérit l émission d une soure lumineuse. NB : dans e as, z 0 est de l ordre de dimensions atomiques, don on est sûr d être dans le as z 0 λ. Zone de rayonnement : la zone de rayonnement d un émetteur est définie omme l ensemble des points de l espae situés à des distanes grandes devant sa longueur d onde, soit r λ durée de propagation r/ T période. Cette approximation orrespond dans une très grande majorité des as aux onditions de réeption des émetteurs d ondes életromagnétiques. u r osω t r. Champs EM dans la zone de rayonnement : on trouve E = E u θ ; B = E = E u ϕ ; E = µ 0 p 4π ω2 0 sinθ r La struture du hamp rayonné par le dipôle osillant s identifie loalement à elle de l onde plane progressive dans le vide. eulement loalement ar présene du 1/r. Et propagation anisotrope due au sin θ : il faut diriger vertialement une antenne émettrie destinée à des auditeurs répartis dans le plan horizontal max d émission dans la diretion θ = π/2.
7 Puissane rayonnée : Π = E2 ur = Π u r est olinéaire à u r et a même sens onfirme le aratère radial de la propagation de µ 0 l énergie. L intensité énergétique I du rayonnement en un point vaut I =< Π > est en 1/r 2 la puissane rayonnée à travers une sphère entrée sur l émetteur est indépendante du rayon de elle-i. De façon très générale, une déroissane en 1/r 2 de l intensité énergétique aratérise une onde progressive qui se propage à partir d une soure quasi-pontuelle dans toutes les diretions de l espae sans effets dissipatifs dans le milieu de propagation id. dans un milieu bidimensionnel ave une déroissane en 1/r et dans un milieu unidimensionnel ave une onstane de l intensité I. Rayonnement d aélération : on a Formule de Larmor < P >= 2µ 0 12π q2 < a 2 > ave < a 2 > = valeur moyenne du arré de l aélération en ω 4. Toute partiule hargée aélérée rayonne des ondes életromagnétiques dont la puissane moyenne totale est proportionnelle au arré de sa harge et à la moyenne du arré de son aélération. Différents types de propagation libre, guidée... Réflexion sur un onduteur pafait : expériene On dispose un émetteur d ondes entimétriques et de son réepteur et l on interpose un plan onsistant en un onduteur métallique supposé parfait. On onstate l existene d une onde réfléhie par le onduteur. Dans le métal, on peut justifier par alul que le hamp E.M. est pratiquement nul au-delà d une profondeur de quelques δ de l ordre du µm dans la gamme d ondes utilisée. On peut don onsidérer les hamp E et B nuls dans le onduteur et les ourants qui existent dans la peau omme une nappe de ourant de densité superfiielle i = i u x. truture de l onde réfléhie Le réflexion d une OEM sur un miroir fixe se fait sans hangement de fréquene, mais ave introdution d un déphasage de π. i E i = E 0 e ikz ωt v ux est le hamp életrique inident, et k i = k v uz = ω v uz le veteur d onde inident, on a pour le hamp magnétique k B i = i E i = E 0 ω eikz ωt v uy. Et pour le hamp réfléhi : E r = E 0 e i kz ωt v ux, k r = k v uz = ω k v uz, et B r = r E r = E 0 ω ei kz ωt v uy. Ainsi l onde résultante a pour hamp életrique E = E i + E r = E 0 e ikz e ikz e iωt v ux = 2iE 0 sin kze iωt v ux et pour hamp magnétique B = B i + B r = E 0 eikz + e ikz e iωt v uy = 2 E 0 oskze iωt v uy. En prenant les parties réelles, on obtient le hamp E.M. E = 2E0 sin kz sin ωt v ux ; B = 2 E 0 oskz osωt v uy Onde stationnaire Le hamp d une onde réfléhi forme e qu on nomme une onde stationnaire ar est un signal sz, t qui peut se mettre sous la forme sz, t = ZzTt. Les fateurs osωt et sin ωt indiquent l absene de propagation de la phase : l onde se déforme sur plae sans se propager. Les différenes entre l onde stationnaire et l OEMPPV sont : en un point donné, E et B ne sont pas en phase mais en quadrature. L amplitude des vibrations des hamps dépend de z. E est nul aux noeuds du hamp életrique définis par sin kz = 0 soit z = n λ 2, son amplitude est maximale aux ventres et la distane d un plan nodal à un plan ventral vaut λ 4 ; les plans nodaux resp. ventraux de B sont les plans ventraux resp. nodaux de E. Ainsi l intervalle entre deux plans nodaux suessifs d un même hamp est λ/2. NB : Le miroir est un noeud de hamp életrique et un ventre de hamp magnétique. On a sur le miroir : E0 = 0 résultat ohérent ave le modèle du onduteur parfait et B0 = 2 E 0 osωt v uy permet de aluler la densité superfiielle de ourant par B = µ 0 i n. Desription énergétique de l onde stationnaire Des formules de E et B pour une onde stationnaire vues préédemment, on tire w E = 2ε 0 E0 2 sin 2 kz sin 2 ωt et w B = 2ε 0 E0 2 os 2 kz os 2 ωt. i l on fait une moyenne temporelle, on obtient une expression indépendante de z : w = w E + w B = ε 0 E0 2. Par ailleurs, le veteur de Poynting vaut E B Π = = ε 0 E0 2 sin2kz sin 2ωt v uz : les plans nodaux du veteur Π sont définis par µ 0 z = n λ 4 : ils sont égaux à la réunion des plans nodaux de E et B. La moyenne temporelle Π = 0 est nulle en tout point, en aord ave le aratère stationnaire de l onde : le flux d énergie fait des allers-retours entre les plans nodaux pour Π sans jamais les franhir. 7
Chapitre IV- Induction électromagnétique
37 Chapitre IV- Indution életromagnétique IV.- Les lois de l indution IV..- L approhe de Faraday Jusqu à maintenant, nous nous sommes intéressés essentiellement à la réation d un hamp magnétique à partir
Plus en détail5. Les conducteurs électriques
5. Les conducteurs électriques 5.1. Introduction Un conducteur électrique est un milieu dans lequel des charges électriques sont libres de se déplacer. Ces charges sont des électrons ou des ions. Les métaux,
Plus en détail1 Introduction à l effet Doppler.
Introdution à l effet Doppler Ph. Ribière ribierep@orange.fr Merredi 9 Novembre 2011 1 Introdution à l effet Doppler. Vous avez tous fait l expériene de l effet Doppler dans la rue, lorsqu une ambulane,
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détailComment évaluer la qualité d un résultat? Plan
Comment évaluer la qualité d un résultat? En sienes expérimentales, il n existe pas de mesures parfaites. Celles-i ne peuvent être qu entahées d erreurs plus ou moins importantes selon le protoole hoisi,
Plus en détailLE PENETROMETRE STATIQUE Essais CPT & CPTU
LE PENETROMETRE STATIQUE Essais CPT & CPTU Mesures Interprétations - Appliations Doument rédigé par des ingénieurs géotehniiens de GINGER CEBTP sous la diretion de : Mihel KHATIB Comité de releture : Claude-Jaques
Plus en détailMesures du coefficient adiabatique γ de l air
Mesures du oeffiient adiabatique γ de l air Introdution : γ est le rapport des apaités alorifiques massiques d un gaz : γ = p v Le gaz étudié est l air. La mesure de la haleur massique à pression onstante
Plus en détailProduction statistique: passage d une démarche axée sur les domaines à une démarche axée sur les processus
Nations Unies Conseil éonomique et soial Distr. générale 31 mars 2015 Français Original: anglais ECE/CES/2015/26 Commission éonomique pour l Europe Conférene des statistiiens européens Soixante-troisième
Plus en détailBAILLY-GRANDVAUX Mathieu ZANIOLO Guillaume Professeur : Mrs Portehault
BAILLY-GRANDVAUX Mathieu ZANIOLO Guillaume Professeur : Mrs Portehault 1 I. Introdution...3 II. Généralités...3 Caratéristiques ommunes aux deux phénomènes...3 La différene entre la phosphoresene et la
Plus en détailChamp électromagnétique?
Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques
Plus en détailCours d Electromagnétisme
Année Universitaire 2012-2013 Licence de Physique (S4) Cours d Electromagnétisme Chargé du Cours : M. Gagou Yaovi Maître de Conférences, HDR à l Université de Picardie Jules Verne, Amiens yaovi.gagou@u-picardie.fr
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailLa protection différentielle dans les installations électriques basse tension
Juin 2001 La protetion différentielle dans les installations életriques basse tension Ce guide tehnique a pour objetif de mettre en évidene les prinipes de fontionnement des protetions différentielles
Plus en détailTechniques d analyse de circuits
Chpitre 3 Tehniques d nlyse de iruits Ce hpitre présente différentes méthodes d nlyse de iruits. Ces méthodes permettent de simplifier l nlyse de iruits ontennt plusieurs éléments. Bien qu on peut résoudre
Plus en détailRevue des Sciences et de la Technologie - RST- Volume 5 N 1 / janvier 2014
Revue des Sienes et de la Tehnologie - RST- Volume 5 N 1 / janvier 214 L impat d une Charge Fortement Capaitive Sur la Qualité du Filtrage d un FAP Contrôlé Par un Filtre Multi-Variable Hautement Séletif
Plus en détailG.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction
DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailPHYSIQUE 2 - Épreuve écrite
PHYSIQUE - Épreuve écrite WARIN André I. Remarques générales Le sujet de physique de la session 010 comprenait une partie A sur l optique et une partie B sur l électromagnétisme. - La partie A, à caractère
Plus en détailCommun à tous les candidats
EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle
Plus en détailLes Conditions aux limites
Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,
Plus en détailNCCI : Calcul d'assemblages de pieds de poteaux encastrés
NCCI : Calul d'assemblages de pieds de poteaux enastrés Ce NCCI fournit les règles relatives au alul d'assemblages de pieds de poteaux enastrés. Ces règles se ontentent de ouvrir la oneption et le alul
Plus en détailProjet INF242. Stéphane Devismes & Benjamin Wack. Pour ce projet les étudiants doivent former des groupes de 3 ou 4 étudiants.
Projet INF242 Stéphane Devismes & Benjamin Wak Pour e projet les étudiants doivent former des groupes de 3 ou 4 étudiants. 1 Planning Distribution du projet au premier ours. À la fin de la deuxième semaine
Plus en détailCircuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance
Chapitre 5 Circuits RL et RC Ce chapitre présente les deux autres éléments linéaires des circuits électriques : l inductance et la capacitance. On verra le comportement de ces deux éléments, et ensuite
Plus en détailOM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables
Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables PCSI 2013 2014 Certaines partie de ce chapitre ne seront utiles qu à partir de l année prochaine, mais une grande partie nous servira dès cette année.
Plus en détailCours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie
Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον
Plus en détailCHAPITRE XIII : Les circuits à courant alternatif : déphasage, représentation de Fresnel, phaseurs et réactance.
XIII. 1 CHAPITRE XIII : Les circuits à courant alternatif : déphasage, représentation de Fresnel, phaseurs et réactance. Dans les chapitres précédents nous avons examiné des circuits qui comportaient différentes
Plus en détailCours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année
Cours d électricité Circuits électriques en courant constant Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Objectifs du chapitre
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailCours 9. Régimes du transistor MOS
Cours 9. Régimes du transistor MOS Par Dimitri galayko Unité d enseignement Élec-info pour master ACSI à l UPMC Octobre-décembre 005 Dans ce document le transistor MOS est traité comme un composant électronique.
Plus en détailLes correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.
Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques
Plus en détailÉquations différentielles et systèmes dynamiques. M. Jean-Christophe Yoccoz, membre de l'institut (Académie des Sciences), professeur
Équations différentielles et systèmes dynamiques M. Jean-Christophe Yooz, membre de l'institut (Aadémie des Sienes), professeur La leçon inaugurale de la haire a eu lieu le 28 avril 1997. Le ours a ensuite
Plus en détailErratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2
Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page
Plus en détailCONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE
CONCOUS COMMUN SUJET A DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Corrigé Barème total points : Physique points - Chimie 68 points PHYSIQUE Partie A :
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détailÉVALUATION FORMATIVE. On considère le circuit électrique RC représenté ci-dessous où R et C sont des constantes strictement positives.
L G L G Prof. Éric J.M.DELHEZ ANALYSE MATHÉMATIQUE ÉALUATION FORMATIE Novembre 211 Ce test vous est proposé pour vous permettre de faire le point sur votre compréhension du cours d Analyse Mathématique.
Plus en détail10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU)
0 leçon 2 Leçon n 2 : Contact entre deu solides Frottement de glissement Eemples (PC ou er CU) Introduction Contact entre deu solides Liaisons de contact 2 Contact ponctuel 2 Frottement de glissement 2
Plus en détailPHY2723 Hiver 2015. Champs magnétiques statiques. cgigault@uottawa.ca. Notes partielles accompagnant le cours.
PHY2723 Hiver 2015 Champs magnétiques statiques cgigault@uottawa.ca otes partielles accompagnant le cours. Champs magnétiques statiques (Chapitre 5) Charges électriques statiques ρ v créent champ électrique
Plus en détailÉtape II. Compétences à développer de 8 à 12 ans. Grilles des compétences
Grilles des ompétenes Compétenes à développer de 8 à ans COMPÉTENCES DE 8 À ANS Les ompétenes en «aratères droits» sont à ertifier. (symbole en fin de ligne) Les ompétenes en «aratères italiques» sont
Plus en détailNotes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Guy Desaulniers Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2014 Table des matières
Plus en détailTD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE
TD1 PROPAGATION DANS UN MILIEU PRESENTANT UN GRADIENT D'INDICE Exercice en classe EXERCICE 1 : La fibre à gradient d indice On considère la propagation d une onde électromagnétique dans un milieu diélectrique
Plus en détailPRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS
PRODUIRE DES SIGNAUX 1 : LES ONDES ELECTROMAGNETIQUES, SUPPORT DE CHOIX POUR TRANSMETTRE DES INFORMATIONS Matériel : Un GBF Un haut-parleur Un microphone avec adaptateur fiche banane Une DEL Une résistance
Plus en détailSujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.
Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de
Plus en détailChapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique
Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant
Plus en détail3. Veuillez indiquer votre effectif total :
1 Métiers du marketing et de la ommuniation Questionnaire préalable d assurane Préambule Le présent questionnaire préalable d assurane Marketing et Communiation a pour objet de réunir des informations
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailPROPAGATION D ONDES ELECTROMAGNETIQUES DANS UN GUIDE D ONDE A SECTION RECTANGULAIRE
PROPAGATION D ONDS LCTROMAGNTIQUS DANS UN GUID D OND A SCTION RCTANGULAIR B. AMANA et J.-L. LMAIR Liene de Physique - Univ. de Cery-Pontoise. Propaation d Ondes M dans un uide à setion retanulaire. PARTI
Plus en détailChapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques
Chapitre 1 Régime transitoire dans les systèmes physiques Savoir-faire théoriques (T) : Écrire l équation différentielle associée à un système physique ; Faire apparaître la constante de temps ; Tracer
Plus en détailChapitre 0 Introduction à la cinématique
Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailprix par consommateur identiques différents prix par identiques classique 3 unité différents 2 1
3- LE MONOOLE DISCRIMINANT Le monoole eut vendre ertaines unités de roduit à des rix différents. On arle de disrimination ar les rix. Selon une terminologie due à igou (The Eonomis of Welfare, 1920), on
Plus en détailCHAPITRE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs degrés de liberté
CHAPITE IV Oscillations ibres des Systèmes à plusieurs derés de liberté 010-011 CHAPITE IV Oscillations libres des systèmes à plusieurs derés de liberté Introduction : Dans ce chapitre, nous examinons
Plus en détailCorrection du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007
Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 7 EXERCICE points. Le plan (P) a une pour équation cartésienne : x+y z+ =. Les coordonnées de H vérifient cette équation donc H appartient à (P) et A n
Plus en détailRapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS
Rapport Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS A.AZOULAY T.LETERTRE R. DE LACERDA Convention AFSSET / Supélec 2009-1 - 1. Introduction Dans le
Plus en détailCharges électriques - Courant électrique
Courant électrique Charges électriques - Courant électrique Exercice 6 : Dans la chambre à vide d un microscope électronique, un faisceau continu d électrons transporte 3,0 µc de charges négatives pendant
Plus en détailphysique - chimie Livret de corrigés ministère de l éducation nationale Rédaction
ministère de l éduation nationale physique - himie 3e Livret de orrigés Rédation Wilfrid Férial Jean Jandaly Ce ours est la propriété du Cned. Les images et textes intégrés à e ours sont la propriété de
Plus en détailFonctions Analytiques
5 Chapitre Fonctions Analytiques. Le plan complexe.. Rappels Soit z C, alors!(x,y) IR 2 tel que z = x + iy. On définit le module de z comme z = x 2 + y 2. On peut aussi repérer z par des coordonnées polaires,
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailMATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE
MATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE Titulaire : A. Rauw 5h/semaine 1) MÉCANIQUE a) Cinématique ii) Référentiel Relativité des notions de repos et mouvement Relativité de la notion de trajectoire Référentiel
Plus en détailCours de Mécanique du point matériel
Cours de Mécanique du point matériel SMPC1 Module 1 : Mécanique 1 Session : Automne 2014 Prof. M. EL BAZ Cours de Mécanique du Point matériel Chapitre 1 : Complément Mathématique SMPC1 Chapitre 1: Rappels
Plus en détailProbabilités sur un univers fini
[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur
Plus en détailCapacité Métal-Isolant-Semiconducteur (MIS)
apacité Métal-solant-Semiconducteur (MS) 1-onstitution Une structure Métal-solant-Semiconducteur (MS) est constituée d'un empilement de trois couches : un substrat semiconducteur sur lequel on a déposé
Plus en détailCorrigé Exercice 1 : BRIDE HYDRAULIQUE AVEC HYPOTHÈSE PROBLÈME PLAN.
TD 6 corrigé - PFS Résolution analytique (Loi entrée-sortie statique) Page 1/1 Corrigé Exercice 1 : BRIDE HYDRAULIQUE AVEC HYPOTHÈSE PROBLÈME PLAN. Question : Réaliser le graphe de structure, puis compléter
Plus en détailChapitre 2 Caractéristiques des ondes
Chapitre Caractéristiques des ondes Manuel pages 31 à 50 Choix pédagogiques Le cours de ce chapitre débute par l étude de la propagation des ondes progressives. La description de ce phénomène est illustrée
Plus en détailUnion générale des étudiants de Tunisie Bureau de l institut Préparatoire Aux Etudes D'ingénieurs De Tunis. Modèle de compte-rendu de TP.
Union générale des étudiants de Tunisie Modèle de compte-rendu de TP Dipôle RC Ce document a été publié pour l unique but d aider les étudiants, il est donc strictement interdit de l utiliser intégralement
Plus en détailMesurage en continu des flux polluants en MES et DCO en réseau d assainissement
MESURAGE EN CONTINU DES FLU POLLUANTS EN MES ET DCO EN RESEAU D ASSAINISSEMENT (M. LEPOT, 0) N d ordre 0ISAL0086 Année 0 Mesurage en ontinu des flux polluants en MES et DCO en réseau d assainissement Présenté
Plus en détailSUJET ZÉRO Epreuve d'informatique et modélisation de systèmes physiques
SUJET ZÉRO Epreuve d'informatique et modélisation de systèmes physiques Durée 4 h Si, au cours de l épreuve, un candidat repère ce qui lui semble être une erreur d énoncé, d une part il le signale au chef
Plus en détailsciences sup Cours et exercices corrigés IUT Licence électricité générale Analyse et synthèse des circuits 2 e édition Tahar Neffati
sciences sup Cours et exercices corrigés IUT Licence électricité générale Analyse et synthèse des circuits 2 e édition Tahar Neffati ÉLECTRICITÉ GÉNÉRALE Analyse et synthèse des circuits ÉLECTRICITÉ GÉNÉRALE
Plus en détailInteraction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique
PGA & SDUEE Année 008 09 Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n. Résonance magnétique : approche classique Première interprétation classique d une expérience de résonance magnétique On
Plus en détail8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2
Chapitre 8 Fonctions de plusieurs variables 8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles Définition. Une fonction réelle de n variables réelles est une application d une partie de R
Plus en détailFonctions de plusieurs variables. Sébastien Tordeux
Fonctions de plusieurs variables Sébastien Tordeux 22 février 2009 Table des matières 1 Fonctions de plusieurs variables 3 1.1 Définition............................. 3 1.2 Limite et continuité.......................
Plus en détailExemples de solutions acoustiques
Exemples de solutions aoustiques RÉGLEMENTATON ACOUSTQUE 2000 Janvier 2014 solement aux bruits aériens intérieurs et niveau de bruit de ho Traitement aoustique des parties ommunes Bruits d équipements
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailMATHS FINANCIERES. Mireille.Bossy@sophia.inria.fr. Projet OMEGA
MATHS FINANCIERES Mireille.Bossy@sophia.inria.fr Projet OMEGA Sophia Antipolis, septembre 2004 1. Introduction : la valorisation de contrats optionnels Options d achat et de vente : Call et Put Une option
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours
Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****
Plus en détailRupture et plasticité
Rupture et plasticité Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 25 novembre 2009 1 / 44 Rupture et plasticité : plan du cours Comportements
Plus en détailTransmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission
Page 1 / 7 A) Principaux éléments intervenant dans la transmission A.1 Equipement voisins Ordinateur ou terminal Ordinateur ou terminal Canal de transmission ETTD ETTD ETTD : Equipement Terminal de Traitement
Plus en détailLES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION
LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,
Plus en détailCours d Électronique du Tronc Commun S3. Le filtrage optimisé du signal numérique en bande de base. Notion de BRUIT en télécommunication.
IUT MARSEILLE DEPARTEMENT DE GENIE ELECTRIQUE ET INFORMATIQUE INDUSTRIELLE Diplôme Universitaire de Technologie. Cours d Électronique du Tronc Commun S3. Chapitre 8 : Le filtrage optimisé du signal numérique
Plus en détailCapes 2002 - Première épreuve
Cette correction a été rédigée par Frédéric Bayart. Si vous avez des remarques à faire, ou pour signaler des erreurs, n hésitez pas à écrire à : mathweb@free.fr Mots-clés : équation fonctionnelle, série
Plus en détailLe modèle de Black et Scholes
Le modèle de Black et Scholes Alexandre Popier février 21 1 Introduction : exemple très simple de modèle financier On considère un marché avec une seule action cotée, sur une période donnée T. Dans un
Plus en détailProgrammes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles
Programmes des classes préparatoires aux Grandes Ecoles Filière : scientifique Voie : Mathématiques et physique (MP) Discipline : Physique-chimie Seconde année Programme de physique-chimie de la voie MP
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailTD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires
TD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires I ) Ecrire l'expression analytique des signaux représentés sur les figures suivantes à l'aide de signaux particuliers. Dans le cas du signal y(t) trouver
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailMéthodes de Caractérisation des Matériaux. Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/
Méthodes de Caractérisation des Matériaux Cours, annales http://www.u-picardie.fr/~dellis/ 1. Symboles standards et grandeurs électriques 3 2. Le courant électrique 4 3. La résistance électrique 4 4. Le
Plus en détailNOMBRES COMPLEXES. Exercice 1 :
Exercice 1 : NOMBRES COMPLEXES On donne θ 0 un réel tel que : cos(θ 0 ) 5 et sin(θ 0 ) 1 5. Calculer le module et l'argument de chacun des nombres complexes suivants (en fonction de θ 0 ) : a i( )( )(1
Plus en détailTravaux dirigés de magnétisme
Travaux dirigés de magnétisme Année 2011-2012 Christophe GATEL Arnaud LE PADELLEC gatel@cemesfr alepadellec@irapompeu Travaux dirigés de magnétisme page 2 Travaux dirigés de magnétisme page 3 P r é s e
Plus en détailI. Introduction. 1. Objectifs. 2. Les options. a. Présentation du problème.
I. Introduction. 1. Objectifs. Le but de ces quelques séances est d introduire les outils mathématiques, plus précisément ceux de nature probabiliste, qui interviennent dans les modèles financiers ; nous
Plus en détailCours 1. Bases physiques de l électronique
Cours 1. Bases physiques de l électronique Par Dimitri galayko Unité d enseignement Élec-info pour master ACSI à l UPMC Octobre-décembre 2005 1 Champ électrique et ses propriétés Ce premier cours introduit
Plus en détailApplications en imagerie cérébrale (MEG/EEG)
EEG : mesure du potentiel électrique Ordre de grandeur : qq µ-volts Capteurs : électrodes MEG : mesure du champ magnétique Ordre de grandeur : 10 13 Tesla Capteurs SQUID couplés à des bobines VI. Applications
Plus en détailPolynômes à plusieurs variables. Résultant
Polynômes à plusieurs variables. Résultant Christophe Ritzenthaler 1 Relations coefficients-racines. Polynômes symétriques Issu de [MS] et de [Goz]. Soit A un anneau intègre. Définition 1.1. Soit a A \
Plus en détailM1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig
1/81 M1107 : Initiation à la mesure du signal T_MesSig Frédéric PAYAN IUT Nice Côte d Azur - Département R&T Université de Nice Sophia Antipolis frederic.payan@unice.fr 15 octobre 2014 2/81 Curriculum
Plus en détailAntennes et Propagation radio
Antennes et Propagation radio GEL-4202/GEL-7019 Dominic Grenier Département de génie électrique et de génie informatique Université Laval Québec, Canada G1V 0A6 Hiver 2015 c DG-Antennes, 1996,2002,2006,2007,2009,2012
Plus en détail1 Systèmes triphasés symétriques
1 Systèmes triphasés symétriques 1.1 Introduction Un système triphasé est un ensemble de grandeurs (tensions ou courants) sinusoïdales de même fréquence, déphasées les unes par rapport aux autres. Le système
Plus en détailQUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive. Comment installer le format de compression divx?
Lycée Bi h t QUELQUES ACTIVITES RELATIVES A LA PARTIE A Propagation d une onde ; onde progressive Il semble nécessaire d utiliser des fichiers images, de grande taille généralement, aussi, nous proposons
Plus en détailRepérage d un point - Vitesse et
PSI - écanique I - Repérage d un point - Vitesse et accélération page 1/6 Repérage d un point - Vitesse et accélération Table des matières 1 Espace et temps - Référentiel d observation 1 2 Coordonnées
Plus en détailETUDE REALISEE A LA DEMANDE DE LA REGION DE BRUXELLES-CAPITALE. W. PIRARD, Ingénieur Civil en Electronique, Chef de la Section Electronique Appliquée.
ETUDE DES RISQUES LIES A L EXPOSITION AUX CHAMPS ELECTROMAGNETIQUES RAYONNES PAR LES FAISCEAUX HERTZIENS UTILISES PAR LES OPERATEURS DE TELEPHONIE MOBILE ETUDE REALISEE A LA DEMANDE DE LA REGION DE BRUXELLES-CAPITALE
Plus en détail