Architecture de la peau normale humaine

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Architecture de la peau normale humaine"

Transcription

1 Enveloppe Organe Kératinocytes Sensation Barrière Fibroblastes Derme Epiderme Architecture de la peau normale humaine Approches Structurale & Fonctionnelle Morgan DOS SANTOS et Amélie THEPOT

2 La peau, une architecture complexe généralités Epiderme Derme Organe de revêtement du corps Surface : 1.5 à 2 m² chez un adulte jeune Poids : 1/6 poids corporel total Epaisseur : 1.4 à 4 mm selon localisation Hypoderme

3 L épiderme populations cellulaires et fonctions associées Stratum corneum Kératinocytes différenciés Kératinocytes basaux Mélanocytes Cellules de Langerhans Couche superficielle de la peau constituant un épithélium : Pavimenteux : car les cellules de sa couches superficielles sont plates ; Stratifié : constitué de plusieurs assises cellulaires ; Kératinisé : synthétise une protéine spécifique, la kératine. Epaisseur variable selon sa localisation : de 0.05 mm au niveau des paupières à 1.5 mm au niveau palmoplantaire. Présence de fibres nerveuses mais l épiderme n est pas vascularisé. En constant renouvellement : 28 jours Population cellulaires hétérogènes : kératinocytes, mélanocytes, lymphocytes T, cellules de Langerhans, cellules de Merkel.

4 L épiderme populations cellulaires et fonctions associées Une population cellulaires hétérogènes Kératinocytes Mélanocytes Cellules de Langerhans Représentent % de l ensemble des cellules épidermiques. Synthétisent une substance fondamentale : la kératine Possèdent la capacité de se différencier. Forment 13 % de la population cellulaire totale de l épiderme. Cellules dendritique localisées dans la couche basale de l épiderme. Synthétisent les mélanines permettant la pigmentation de la peau. Leur représentation dans l épiderme se situe autour de 4 %. Cellules immunocompétentes porteuses d antigènes de classe II du système HLA. Assurent la barrière immunitaire de la peau en induisant une réponse de type cellulaire. NB : Les cellules de Merkel constitue les quatrième type cellulaire présent dans l épiderme. D origine neuro-épithéliale, ces cellules sont des récepteurs sensoriels cutanés qui joueraient un rôle tactile et dans la sécrétion de neuromédiateurs.

5 L épiderme populations cellulaires et fonctions associées Stratum corneum 21 jours Caractéristiques de différenciation Stratum granulosum Stratum spinosum Stratum germinativum processus de différenciation Aspects biochimiques Aspects structuraux

6 L épiderme populations cellulaires et fonctions associées Couche basal ou stratum germinativum 1/7 Couche basale - stratum germinativum Couche la plus profonde de l épiderme. Ancrée de façon perpendiculaire à la jonction dermo-épidermique (JDE) membrane basale, mince couche extracellulaire qui épouse les papilles dermiques. Kératinocytes basaux ou encore cellules germinatives sont les seules cellules de l épiderme capable de se diviser. Assurent le renouvellement constant de l épiderme grâce à leur forte activité mitotique.

7 L épiderme populations cellulaires et fonctions associées Couche basal ou stratum germinativum 5/7 Adhésion Cellules / Cellules Desmosome Assurée par les desmosomes et jonctions adhérentes Permet l adhérence entre les cellules voisines et la cohésion entre kératinocytes. Marqueurs Cadhérine T Adhésion Cellules / Matrice-extracellulaire Jonction adhérente Assurée par les hémidesmosomes et les intégrines Permet de garantir l adhérence de la couche basale à la MEC au niveau de la jonction dermo-épidermique. Marqueurs Desmogléines 2 et 3 Dsg2 et Dsg3 Desmocollines 2 et 3 Dsc 2 et Dcs 3

8 L épiderme populations cellulaires et fonctions associées Couche épineuse ou stratum spinosum 1/4 Couche épineuse - stratum spinosum Couche constituée de cinq à six assises de kératinocytes entrées en différenciation. Cellules très actives de part la synthèse de protéines, notamment de kératines. L abondance et l organisation des kératines en tonofilaments ainsi que leur association aux nombreux desmosommes confèrent aux cellules une structrure épineuse. Une telle cohésion est en partie responsable de la très grande résistance mécanique de cette couche cellulaire.

9 L épiderme populations cellulaires et fonctions associées Couche granuleuse ou stratum granulosum 1/3 Couche granuleuse - stratum granulosum Elle forme la dernière couche de cellules nuclées de l épiderme. Les cellules qui la compose, orientées parallellement à la surface de la peau possèdent un noyau ovale et dense dans lequel la chromatine et les organites se raréfient. Le nom de couche granuleuse est dû à la présence de nombreux corps lamellaires et granules de kératohyaline.

10 L épiderme populations cellulaires et fonctions associées Couche cornée ou stratum corneum 1/5 Couche cornée - stratum corneum C est la couche la plus superficielle de l épiderme. Les kératinocytes appartenant au stratum corneum ont atteint leur stade final de différenciation : ce sont les cornéocytes. Les cornéocytes, en perdant leurs liaisons intercellulaires, se détachent progressivement du tissu, donnant lieu au phénomène de desquamation.

11 L épiderme populations cellulaires et fonctions associées Molécules de différenciation de l épiderme - Synthèse Stratum corneum Stratum granulosum T R A N S G L U T A M Stratum spinosum I N A S E S Stratum germinativum I N V O L U C R I N E F I L A G G R I N E L O R I C R I N E Adhésion Prolifération Différenciation Apoptose

12 L épiderme populations cellulaires et fonctions associées Mélanocytes & processus de mélanogénèse

13 L épiderme populations cellulaires et fonctions associées Mélanocytes et processus de Mélanogénèse 1/11 Mélanocytes : cellules dendritiques situées à la base de l épiderme. Représentent 3 % des cellules de l épîderme. Absence de jonction de type desmosome et de filaments de kératine. Fonction principale : mélanogénèse Caractérisée par la production de pigments, les mélanines, dans des organelles spécifiques appelés les mélanosomes. «Epidermal Melanin Unit» : unité structurale regroupant un mélanocyte et les kératinocytes qui sont en relation avec lui. 1 mélanocyte / 36 kératinocytes Processus de transfert des mélanosomes dans les kératinocytes voisins.

14 L épiderme populations cellulaires et fonctions associées Cellules de Langerhans & Immunité cutanée

15 L épiderme populations cellulaires et fonctions associées Cellules de Langerhans et Immunité cutanée 1/4 PEAU Cible pour agents pathogènes Initiateur de mécanismes de défenses immunitaires Cellules de Langerhans (CL) Système immunitaire cutané Cellules dendritiques dermiques (CDD) Epiderme Derme Acteurs primordiaux dans le déclenchement des réponses immunes cutanées

16 L épiderme populations cellulaires et fonctions associées Cellules de Langerhans et Immunité cutanée 2/4 Les cellules de Langerhans Découverte en 1968 par Paul Langerhans, ces cellules constituent le 3 types cellulaire de l épiderme (1-5 %). D origine médullaire, appartient à la famille des cellules dendritiques caractérisées par leur : forme (dendritique) ; expression élevée d antigène HLA de classe II (HLA-DR) ; capacité à induire une réponse immune ; mobilité. Localisées dans les couches suprabasales de l épiderme. Densité de 100 à cellules / mm² selon la zone considérée. Initient et propagent les réponses immunes dirigées dans la peau. Provoquent des réponses immunitaires de type cellulaire (hypersensibilité retardée).

17 L épiderme populations cellulaires et fonctions associées Cellules de Merkel & Sensorialité

18 L épiderme populations cellulaires et fonctions associées Cellules de Merkel et Sensorialité 1/3 Constituent le 4 type cellulaire présent dans l épiderme (< 1 %). D origine neuro-épithéliales, se présentent comme des cellules isolées situées au niveau du stratum granulosum. Cellules ovalaires, à grand axe souvent parallèle à la JDE, à noyau dense, contourné ou indenté. Présentent dans leur cytoplasme de très nombreuses vésicules de 80 à 100 µm de diamètre, à cœur dense très riches en médiateurs biochimiques. Etablissement de contact direct avec une terminaison nerveuse. La présence de synapses ou de structures similaires entre les CM et la terminaison nerveuse est controversée. Présence de desmosomes entre CM et kératinocytes voisins. Projections de prolongements fins, courts et rigides dénommés microvillosités (mv) (ou cornes, épines) dans le cytoplasme de cellules voisines.

19 La jonction dermo-épidermique structure macromoléculaire complexe Epiderme Jonction dermo-épidermique (JDE) Derme

20 La jonction dermo-épidermique structure macromoléculaire complexe Structure et fonctions de la JDE 1/2 X Structure Clé de voute de la peau, elle assure l ancrage de l épiderme au derme. Structure complexe qui constitue une région acellulaire provenant à la fois des kératinocytes et des fibroblastes. Formé de trois compartiments : X Hémidesmosomes Membrane Basale Zone fibrillaire situés sur la face épidermique lamina lucida lamina densa constituée de fibrilles d ancrage Fonctions Observation en microscopie électronique à transmission Compartimenter l épiderme et le derme. Supporter le compartiment épidermique prolifératif. Contrôler la perméabilité à divers substances. Contrôler le comportement cellulaire : migration, différenciation, prolifération et survie. Générer un réservoir de facteurs de croissance.

21 Le derme la matrice extra-cellulaire et ses constituants Derme Sommaire Structure & Populations cellulaires résidentes Les composants de la MEC 2.1. La famille des collagènes 2.2. Le tissu élastique 2.3. Les protéoglycannes et GAGs 2.4. Les glycoprotéines de structure

22 Le derme la matrice extra-cellulaire et ses constituants Structure & Populations cellulaires résidentes Caractéristiques Tissu conjonctif de soutien d origine mésodermique. Epaisseur : 1 à 2 mm. Constitué essentiellement de matrice extra-cellulaire (MEC) et de fibroblastes. papillaire Contient 20 à 40 % de l eau totale du corps. Pourvu d un important réseau de terminaisons nerveuses. Riche réseau vasculaire. réticulaire Siège des annexes cutanées bulbes des poils, glandes sébacées et sudoripares. Responsables de la souplesse, l élasticité et l hydratation de la peau. Distinction de deux zones : Derme papillaire 1/5 ème Derme réticulaire 4/5 ème

23 Le derme la matrice extra-cellulaire et ses constituants Structure & Populations cellulaires résidentes Le derme papillaire ou derme superficiel. Situé directement sous la JDE. Epaisseur : 300 à 400 nm S insinue dans les crêtes / papilles de l épiderme. Riches en capillaires sanguins et lymphatiques, terminaisons nerveuses Fibres collagènes Fibres élastiques Réseau lâche Faible diamètre Collagène I et III Collagène XII et XVI Fibres d oxytalane Faible diamètre Orientation Perpendiculaires à la JDE Substance fondamentale dense Nombreuses cellules Assure une surface d échanges nutritifs

24 Le derme la matrice extra-cellulaire et ses constituants Structure & Populations cellulaires résidentes Le derme réticulaire ou derme profond. Représente 4/5 ème de l épaisseur total du derme. Présence de vaisseaux sanguins de gros calibres, des récepteurs de la pression, de nombreuses cellules du système immunitaires Comporte les glandes sécrétrices et excrétrices (sudoripares et sébacées). Fibres collagènes Fibres élastiques Réseau dense Grand diamètre Collagène I Collagène XIV Grand diamètre Orientation Parallèles à la JDE Substance fondamentale très dense Peu de cellules Confère compressibilité, extensibilité et élasticité

25 Le derme la matrice extra-cellulaire et ses constituants Structure & Populations cellulaires résidentes Fibroblaste Observations histologiques à fibroblastes/mm 3 de tissu. Forme fusiforme ou stellaire (prolongements cytoplasmiques). Taille augmente avec la profondeur de leur localisation dermique (ex : derme papillaire 4 à 7 m). Prolongement cytoplasmique Noyau Biosynthèse des constituants de la MEC : Collagènes Glycoprotéines Principales fonctions Elastine Protéoglycanes Remodelage de la MEC (enzyme de dégradation ie. MMP). Régulation de la prolifération et de la différenciation des kératinocytes (synthèse cytokines / facteurs de croissance). Organites cellulaires

26 Le derme la matrice extra-cellulaire et ses constituants Les composants de la MEC Les collagènes Le tissu élastique Protéines majoritaires de la matrice extracellulaire. Composé essentiellement d élastine. Formation de la trame fibreuse du derme. Représente 2 à 4 % des protéines dermiques. Assurent l interface entre les cellules et la MEC. Impliquées dans migration, adhésion cellulaire Les glycoprotéines Macromolécules constituant la substances fondamentales. Responsable de l hydratation de la peau. Les protéoglycannes (GAGs)

27 Le derme la matrice extra-cellulaire et ses constituants Les composants de la MEC La famille des collagènes 1/6 Le collagène Composant majoritaire et le plus abondant de la MEC des tissus conjonctifs. Synthétisé par les fibroblastes. Molécules homo et hétérotrimérique = triple hélice de chaînes α. Domaine hélicoïdal constitué d une répétition de 3 acides aminés : Glycine - X - Y Proline hydroxyproline Confère à la peau ductilité, souplesse et résistance.

28 Le derme la matrice extra-cellulaire et ses constituants Les composants de la MEC Le tissus élastique 1/2 Fibres élastiques Ne représentent qu une faible proportion des protéines dermiques : 2 à 4 %. Fibres élastiques : Microfibrilles Tropoélastine Confère résistance et déformabilité au derme. Coloration histologique à l Orcéine

29 Hypoderme Hypoderme tissus adipeux et adipocytes

30 Hypoderme tissus adipeux et adipocytes Le tissus adipeux 2/2 Observation histologique du tissu adipeux Mb plasmiques Enclaves lipidiques dissoutes Couche la plus profonde de la peau. Dérive des cellules mésenchymateuses. Tissu conjonctif lâche adipeux richement vascularisé et innervé. Composé de lobules adipeux contenant essentiellement des adipocytes. Adipocytes riches en triglycérides acides gras Autres types cellulaires en présence : fibroblastes, dendrocytes, mastocytes Rôles de : Capillaires Noyaux Protection mécanique et thermique (isolant) Réservoir énergétique (graisse de réserve).

31 Les annexes cutanées

32 Les annexes cutanées Poils et follicules pileux Annexes cutanées d origine ectodermique. Follicules pileux Invaginations tubulaires épidermiques produisant les poils. Formés d une gaine de tissus : Epithélial renfermant la matrice Conjonctif dérivé du derme Richement vascularisé et innervé. Bulge contient de cellules souches épidermiques multipotentes. Impliqués dans la régulation thermique et la protection contre les UV Poils Produit par le follicule pileux. Cellules fortement kératinisées. Composé d une moelle centrale, d un cortex et d une cuticule externe. Comprend une racine une tige. Accompagné d un muscle érecteur ou horripilateur Déclenche le redressement et l expulsion du sébum.

33 Les annexes cutanées Les glandes cutanées 1/3 Les glandes cutanées 400 à 900 / cm² 60 / cm² Glandes Sébacées Glandes Sudoripares 0 / cm² Situées dans le derme moyen. Glandes acineuses organisées en grappes. Annexée à chaque follicule pileux. Réparties sur toute la surface du corporelle. Sauf paumes des mains et voûtes plantaires Sécrètent du sébum de façon holocrine. Composition du sébum Triglycérides 43 % Acides gras libres 15 % Cires 23 % Squalènes 15 % Cholestérol 4 % Situées dans le derme profond. Constituées d un épithélium cubique simple entouré de cellules myoépithéliales. Sécrètent la sueur de façon exocrine. Eccrines Présentent sur toute la surface corporelle. Paume des mains, plantes des pieds et front Responsable de la transpiration. Régulation par le SN. Apocrines Annexées au follicule pileux. Abondantes dans les régions axillaires et urogénitales. Rôle encore peu connu.

BILAN DES CONNAISSANCES ACTUELLES SUR LA CICATRISATION DES PLAIES CUTANÉES CHEZ LE CHIEN ET LE CHAT

BILAN DES CONNAISSANCES ACTUELLES SUR LA CICATRISATION DES PLAIES CUTANÉES CHEZ LE CHIEN ET LE CHAT ANNEE 2006 THESE : 2006 TOU 3 4020 BILAN DES CONNAISSANCES ACTUELLES SUR LA CICATRISATION DES PLAIES CUTANÉES CHEZ LE CHIEN ET LE CHAT THESE pour obtenir le grade de DOCTEUR VETERINAIRE DIPLOME D ETAT

Plus en détail

DÉVELOPPEMENT D'UN MODÈLE DE CICATRISATION ÉPIDERMIQUE APRÈS UNE DÉSÉPIDERMISATION LASER

DÉVELOPPEMENT D'UN MODÈLE DE CICATRISATION ÉPIDERMIQUE APRÈS UNE DÉSÉPIDERMISATION LASER UNIVERSITÉ TOULOUSE III - PAUL SABATIER TOULOUSE U.F.R MÉDECINE THÈSE POUR OBTENIR LE GRADE DE DOCTEUR DE L'UNIVERSITÉ TOULOUSE III Discipline: Ingénierie Médicale et Biologique Par M. younes FERRAQ TITRE

Plus en détail

CHAPITRE III LE SYSTEME TEGUMENTAIRE

CHAPITRE III LE SYSTEME TEGUMENTAIRE CHAPITRE III LE SYSTEME TEGUMENTAIRE I LA PEAU La peau couvre entièrement le corps. Chez l'adulte moyen, sa superficie varie entre 1,5 et 2 m 2 et elle pèse environ 4 kg (soit 7% de la masse corporelle

Plus en détail

L ESSENTIEL de la COIFFURE

L ESSENTIEL de la COIFFURE Adrien GUERIN L ESSENTIEL de la COIFFURE "Le photocopillage, c'est l'usage abusif et collectif de la photocopie sans autorisation des auteurs et des éditeurs. Largement répandu dans les établissements

Plus en détail

DOCTORAT EN MEDECINE. BOCCARA David Jacob Né le 16 Juin 1979 à Paris

DOCTORAT EN MEDECINE. BOCCARA David Jacob Né le 16 Juin 1979 à Paris UNIVERSITE PARIS 7- DENIS DIDEROT FACULTE DE MEDECINE Année 2008 n THESE Pour le DOCTORAT EN MEDECINE (Diplôme d état) Par BOCCARA David Jacob Né le 16 Juin 1979 à Paris Présentée et soutenue publiquement

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT

Plus en détail

Epaisseur cutanée. Et selon le sexe : femme < homme

Epaisseur cutanée. Et selon le sexe : femme < homme Plan Épaisseur cutanée Absorption transcutanée Protection contre la pénétration d allergènes Protection contre la pénétration d agents infectieux JPSA Thermorégulation Nettoyage de la peau Hydratation

Plus en détail

Moyens d étude de la peau

Moyens d étude de la peau Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de

Plus en détail

Mécanisme des réactions inflammatoires

Mécanisme des réactions inflammatoires 01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan

Plus en détail

*Test sur 20 femmes présentant des taches de sénescence sur les 2 mains et sur le visage. Age moyen 59 ± 1 an. Test par colorimétrie.

*Test sur 20 femmes présentant des taches de sénescence sur les 2 mains et sur le visage. Age moyen 59 ± 1 an. Test par colorimétrie. WHITE RESOLUTION SOIN ÉCLAIRCISSANT ANTI-TÂCHES, ANTI-ÂGE AU WHITESPHERE TM PREMIUM ET IPARZINE -4A PERFORMANCE PRODUIT Ce soin est une formule ultra-active qui permet de lutter efficacement contre les

Plus en détail

Ce qu il faut savoir sur la chute des cheveux.

Ce qu il faut savoir sur la chute des cheveux. 01/ 2014 Sandoz Pharmaceuticals SA Suurstoffi 14 Case postale 6343 Rotkreuz Tél. 0800 858 885 Fax 0800 858 888 www.generiques.ch Ce qu il faut savoir sur la chute des cheveux. Architecture du cheveu 4

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

AVERTISSEMENT. D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction encourt une poursuite pénale.

AVERTISSEMENT. D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction encourt une poursuite pénale. AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle

Plus en détail

La filtration glomérulaire et sa régulation

La filtration glomérulaire et sa régulation UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

DEVELOPPEMENT ET EVALUATION DE FORMULATIONS DE PRODUITS SOLAIRES CONDITIONNES SOUS FORME D AEROSOL

DEVELOPPEMENT ET EVALUATION DE FORMULATIONS DE PRODUITS SOLAIRES CONDITIONNES SOUS FORME D AEROSOL UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES Institut de Pharmacie Laboratoire de Pharmacie Galénique et de Biopharmacie Professeur Karim AMIGHI DEVELOPPEMENT ET EVALUATION DE FORMULATIONS DE PRODUITS SOLAIRES CONDITIONNES

Plus en détail

AVERTISSEMENT. D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction encourt une poursuite pénale.

AVERTISSEMENT. D'autre part, toute contrefaçon, plagiat, reproduction encourt une poursuite pénale. AVERTISSEMENT Ce document est le fruit d'un long travail approuvé par le jury de soutenance et mis à disposition de l'ensemble de la communauté universitaire élargie. Il est soumis à la propriété intellectuelle

Plus en détail

Évaluation de la structure épidermique des substituts cutanés produits par la méthode d auto-assemblage

Évaluation de la structure épidermique des substituts cutanés produits par la méthode d auto-assemblage Évaluation de la structure épidermique des substituts cutanés produits par la méthode d auto-assemblage Mémoire Laetitia Angers Maîtrise en sciences pharmaceutiques Maître ès sciences (M.Sc.) Québec, Canada

Plus en détail

DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES

DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies

Plus en détail

Insulinothérapie et diabète de type 1

Insulinothérapie et diabète de type 1 Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas

Plus en détail

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines

Plus en détail

CHEVEUX ET POILS. MSEDDI Madiha Service Dermatologie SFAX

CHEVEUX ET POILS. MSEDDI Madiha Service Dermatologie SFAX CHEVEUX ET POILS MSEDDI Madiha Service Dermatologie SFAX INTRODUCTION Poils et cheveux: formations complexes recouvrant le corps humain Variation tapographique +++ (densité, épaisseur et la longueur).

Plus en détail

CANCERS DE LA PEAU. Les cancers de la peau se divisent en deux catégories principales : les mélanomes malins et les non mélanomes.

CANCERS DE LA PEAU. Les cancers de la peau se divisent en deux catégories principales : les mélanomes malins et les non mélanomes. CANCERS DE LA PEAU Définition Les cancers de la peau se divisent en deux catégories principales : les mélanomes malins et les non mélanomes. Les mélanomes Ces tumeurs se développent dans les mélanocytes,

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

Fonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI

Fonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication

Plus en détail

LES POILS ET LES CHEVEUX SONT-ILS PAREILS?

LES POILS ET LES CHEVEUX SONT-ILS PAREILS? ACTIVITÉ 3 LES POILS ET LES CHEVEUX SONT-ILS PAREILS? OBJECTIFS DE CONTENU ET D EXPÉRIMENTATION Cette activité permet aux élèves d explorer les différents aspects des poils et des cheveux. ASSUREZ-VOUS

Plus en détail

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

Les Animaux habitent presque toutes les parties de la biosphère. La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux.

Les Animaux habitent presque toutes les parties de la biosphère. La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux. 40 La structure et la fonction chez les Animaux : principes fondamentaux Concepts clés- 40.1 Les lois de la physique et le milieu régissent la taille et la forme des Animaux 40.2 Il y a une corrélation

Plus en détail

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire

Plus en détail

la peau et la dermatologie

la peau et la dermatologie Pour tout savoir sur la peau et la dermatologie Guy Leriche, Président Christian Germain, Directeur général édito BIEN PROTÉGER SA PEAU! Directement touchée par toutes les agressions extérieures, la peau

Plus en détail

AUFFRET Anna. DOSSIER «vieillissement de la peau»

AUFFRET Anna. DOSSIER «vieillissement de la peau» AUFFRET Anna DOSSIER «vieillissement de la peau» 2009 Sommaire Introduction 3 I. Le vieillissement : un processus physiologique naturel... 3 A. Les mécanismes du vieillissement... 3 B. Les facteurs du

Plus en détail

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut

Plus en détail

TRAITEMENT DE L ACNÉ DERMOCORTICOIDES. Enseignement optionnel «Prescription et usage rationnel des médicaments» Dr Antoine FAUCONNEAU 10 Avril 2013

TRAITEMENT DE L ACNÉ DERMOCORTICOIDES. Enseignement optionnel «Prescription et usage rationnel des médicaments» Dr Antoine FAUCONNEAU 10 Avril 2013 TRAITEMENT DE L ACNÉ DERMOCORTICOIDES Enseignement optionnel «Prescription et usage rationnel des médicaments» Dr Antoine FAUCONNEAU 10 Avril 2013 INTRODUCTION Particularités des traitements en Dermatologie

Plus en détail

Les cancers de la peau non-mélanome

Les cancers de la peau non-mélanome Les cancers de la peau non-mélanome Carcinome basocellulaire Carcinome spinocellulaire Lésions précancéreuses Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches

Plus en détail

ALOPÉCIE ET MÉSOTHÉRAPIE EN 2012. Dr Bernadette Pasquini

ALOPÉCIE ET MÉSOTHÉRAPIE EN 2012. Dr Bernadette Pasquini ALOPÉCIE ET MÉSOTHÉRAPIE EN 2012 Dr Bernadette Pasquini ALOPÉCIE Alopécie - diminution de la densité des cheveux ou des poils, - diffuse ou localisée, - aiguë ou chronique. Effluvium (anagène, télogène,

Plus en détail

Mon RECHERCHE EN DERMATOLOGIE

Mon RECHERCHE EN DERMATOLOGIE s i s a i r o s P Mon t e n r a c ivi de su RECHERCHE EN DERMATOLOGIE "Le psoriasis est une maladie chronique de la peau. Pour une prise en charge optimale, cette pathologie nécessite des consultations

Plus en détail

avoir les cheveux sains, volumineux, brillants et faciles à coiffer est le rêve de nombreuses personnes.

avoir les cheveux sains, volumineux, brillants et faciles à coiffer est le rêve de nombreuses personnes. Aujourd hui les cheveux ont toujours beaucoup d importance dans la société : avoir les cheveux sains, volumineux, brillants et faciles à coiffer est le rêve de nombreuses personnes. Pour le réaliser, il

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.

Plus en détail

PROGRAMME D'ESTHÉTIQUE PLUS II. Résumé

PROGRAMME D'ESTHÉTIQUE PLUS II. Résumé Jocelyn Brunelle Assurances inc. Cabinet en assurance de dommages et de services financiers 2025 8 ième avenue, angle Sherbrooke est Téléphone : 514.645.5395 Montréal / P.-A.-T. (Québec) H1B 4H8 Télécopieur

Plus en détail

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées

Plus en détail

Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques

Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Examen National Classant Module transdisciplinaire 10 : Cancérologie, onco-hématologie Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Mélanomes NOUVEAU P. SAIAG (Ambroise Paré, Boulogne Billancourt), J.-J.

Plus en détail

PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II

PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II Le 23/09/13 SOGHOMONIAN Astrid, L2 Tissu sanguin et système immunitaire Pr Baccini 22 pages PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie

Plus en détail

Prescription et surveillance d un traitement dermocorticoïde

Prescription et surveillance d un traitement dermocorticoïde Examen National Classant Module transdisciplinaire 11 : Synthèse clinique et thérapeutique Prescription et surveillance d un traitement dermocorticoïde Item n o 174 : Prescription et surveillance des anti-inflammatoires

Plus en détail

92% d ingrédients biologiques * 21 tests cliniques INFINIMENT PURE, INFINIMENT BELLE, COLOR CARE.

92% d ingrédients biologiques * 21 tests cliniques INFINIMENT PURE, INFINIMENT BELLE, COLOR CARE. INFINIMENT PURE, INFINIMENT BELLE, COLOR CARE. *Moyenne de tous les composants du kit de coloration ÆQUO COLOR 92% d ingrédients biologiques * 21 tests cliniques ÆQUO, toute la philosophie de la marque

Plus en détail

Professeur Diane GODIN-RIBUOT

Professeur Diane GODIN-RIBUOT UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Vieillissement moléculaire et cellulaire

Vieillissement moléculaire et cellulaire Vieillissement moléculaire et cellulaire Yves Courtois Lorsque, en 1961, Léonard HAYFLICK, aux USA, re - mit en cause le concept général de l'immortalité des cellules, il apportait à la recherche en gérontologie

Plus en détail

La plateforme laser intelligente pour le traitement des lésions cutanées et l épilation

La plateforme laser intelligente pour le traitement des lésions cutanées et l épilation La plateforme laser intelligente pour le traitement des lésions cutanées et l épilation Découvrez la plate-forme Xlase Plus La technologie laser est aujourd hui de plus en plus utilisée dans les traitements

Plus en détail

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus. AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une

Plus en détail

Spécialité Perruquier Posticheur du baccalauréat professionnel ANNEXE I : REFERENTIELS DU DIPLOME

Spécialité Perruquier Posticheur du baccalauréat professionnel ANNEXE I : REFERENTIELS DU DIPLOME ANNEXE I : REFERENTIELS DU DIPLOME 1 ANNEXE I a REFERENTIEL DES ACTIVITES PROFESSIONNELLES 2 1 CHAMP D ACTIVITE 1.1. Définition Le Perruquier Posticheur capillaire est un professionnel hautement qualifié

Plus en détail

lutter contre le vieillissement de la peau

lutter contre le vieillissement de la peau NOVEMBRE 2008 Entretien avec Marie-France Muller auteur du livre Le Chlorure de magnésium Un remède miracle méconnu aux éditions Jouvence P. 2 Des nutriments naturels pour lutter contre le vieillissement

Plus en détail

Comment faire disparaître une Cicatrice de façon Naturelle. Une Peau au Naturel

Comment faire disparaître une Cicatrice de façon Naturelle. Une Peau au Naturel Comment faire disparaître une Cicatrice de façon Naturelle Une Peau au Naturel Pourquoi est-il important de faire disparaître une cicatrice? Parce que votre Peau est Ce que vous voyez de Vous Ce que les

Plus en détail

Les Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises

Les Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Les Applications industrielles et commerciales s cellules souches Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Matthieu COUTET, Responsable du Pôle Jean-François RAX, Business Analyst 1 Plan Cellules souches

Plus en détail

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule

Plus en détail

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés

Plus en détail

TUTORAT UE spé MCF CORRECTION Concours 2012-2013

TUTORAT UE spé MCF CORRECTION Concours 2012-2013 TUTORAT UE spé MCF CORRECTION Concours 2012-2013 réalisée par les tuteurs, non contrôlée par les professeurs de l'ue NON OFFICIELLE QCM n 1 : A, B, D, E L homéocode odontogénique regroupe 4 principaux

Plus en détail

P.L.E.A.S.E. Painless Laser Epidermal System Needle-free drug delivery. Arne Heinrich arne.heinrich@pantec-biosolutions.com

P.L.E.A.S.E. Painless Laser Epidermal System Needle-free drug delivery. Arne Heinrich arne.heinrich@pantec-biosolutions.com P.L.E.A.S.E. Painless Laser Epidermal System Needle-free drug delivery Arne Heinrich arne.heinrich@pantec-biosolutions.com Groupe Pantec: 19 ans de tradition en ingénierie avec spécialisation en mécatronique

Plus en détail

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division

Plus en détail

SMARTXIDE 2 SMARTXIDE 2 DOT/RF MÉDECINE ET ESTHÉTIQUE

SMARTXIDE 2 SMARTXIDE 2 DOT/RF MÉDECINE ET ESTHÉTIQUE SMARTXIDE 2 DOT/RF MÉDECINE ET ESTHÉTIQUE SMARTXIDE 2 Traitement DOT Lifting périoculaire Chirurgie dermatologique Chirurgie plastique et esthétique CO 2 et RF : Synergies indispensables pour le rajeunissement

Plus en détail

Le mélanome. Ce que vous devez savoir

Le mélanome. Ce que vous devez savoir Le mélanome Ce que vous devez savoir Table des matières À propos de ce livret... 2 La peau... 3 Importance de la peau...3 Couches de la peau...3 La croissance des cellules : les cellules normales et les

Plus en détail

Utilisation des substrats énergétiques

Utilisation des substrats énergétiques Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...

Plus en détail

1STI2D - Les ondes au service de la santé

1STI2D - Les ondes au service de la santé 1STI2D - Les ondes au service de la santé De nombreuses techniques d imagerie médicale utilisent les ondes : la radiographie utilise les rayons X, la scintigraphie utilise les rayons gamma, l échographie

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

Séquence 1. Glycémie et diabète. Sommaire

Séquence 1. Glycémie et diabète. Sommaire Séquence 1 Glycémie et diabète Sommaire 1. Prérequis 2. La régulation de la glycémie 3. Le diabète 4. Synthè se 5. Glossaire 6. Exercices Exercices d apprentissage du chapitre 2 Exercices d apprentissage

Plus en détail

Cavité buccale et système dentaire

Cavité buccale et système dentaire Cavité buccale et système dentaire I. Introduction La cavité buccale forme la 1 ère cavité du tube digestif. Les dents ont un rôle : Fonctionnel : mastication, déglutition, phonation Esthétique : expression

Plus en détail

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 % 24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.

Plus en détail

AMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine

AMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du

Plus en détail

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels

Plus en détail

Le trajet des aliments dans l appareil digestif.

Le trajet des aliments dans l appareil digestif. La digestion. La digestion, c est la transformation des aliments en nutriments assimilables par l organisme. Dans le tube digestif, les aliments subissent une série de dégradations mécaniques et chimiques

Plus en détail

Traitements topiques. Utiliser conformément aux instructions figurant sur l emballage. Aident à éliminer les squames. Soulagent les démangeaisons.

Traitements topiques. Utiliser conformément aux instructions figurant sur l emballage. Aident à éliminer les squames. Soulagent les démangeaisons. SANS ORDONNANCE Solutions pour le bain et la douche : Huiles Farine d avoine Sels d Epsom Sels de al Mer Morte Utiliser conformément aux instructions figurant sur l emballage. Aident à éliminer les squames.

Plus en détail

Possible contrôle de la pigmentation cutanée chez l Homme par des loci non homologues des loci de coloration classiques des Mammifères

Possible contrôle de la pigmentation cutanée chez l Homme par des loci non homologues des loci de coloration classiques des Mammifères Possible contrôle de la pigmentation cutanée chez l Homme par des loci non homologues des loci de coloration classiques des Mammifères J.P. CÉSARINI, Isabelle GUÉDON To cite this version: J.P. CÉSARINI,

Plus en détail

Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)

Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr

Plus en détail

Historique. chez 79% des fumeuses et seulement 19% des non-fumeuses.

Historique. chez 79% des fumeuses et seulement 19% des non-fumeuses. Tabac et Peau Pr. Philippe HUMBERT Caroline BIVER DALLE Département de Dermatologie CHU St Jacques BESANCON Société de Médecine de Franche Comté Jeudi 18 Novembre 2010 Historique 1856 : Solly. 1 e évocation

Plus en détail

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide

Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une

Plus en détail

Le Lipocontrol contre les amas graisseux

Le Lipocontrol contre les amas graisseux Extrait du BLOG VOTRE BEAUTE Le Lipocontrol contre les amas graisseux La lipolyse laser, nous vous en avions parlé dans la rubrique "Moi j'ai osé" du Votre Beauté de juin 2007. En une seule séance, sans

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

LES LASERS EN DERMATOLOGIE

LES LASERS EN DERMATOLOGIE 1 LES LASERS EN DERMATOLOGIE Dr Hervé VAN LANDUYT Dermatologue - Attaché au CHU St Jacques Adresse personnelle : 36 grande rue - 25000 Besançon Si la conception physique du laser est ancienne (Einstein),

Plus en détail

Les nouveaux traitements du psoriasis

Les nouveaux traitements du psoriasis Les nouveaux traitements du psoriasis Ci-après, vous trouverez 3 articles, parus récemment, parmi d'autres tout aussi intéressants, dans notre bulletin trimestriel Pso Magazine: - un extrait de l'exposé

Plus en détail

1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.

1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence. Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas

Plus en détail

LE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes

LE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes LE LARYNX Le larynx est un conduit aérien qui joue un rôle essentiel dans la phonation mais aussi dans la respiration. Suite au larynx, se trouve la glotte, une zone rétrécie qui délimite les voies aériennes

Plus en détail

ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION

ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus

Plus en détail

TP N 3 La composition chimique du vivant

TP N 3 La composition chimique du vivant Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre

Plus en détail

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext

Plus en détail

"L innovation au service de votre beaute "

L innovation au service de votre beaute "L innovation au service de votre beaute " LAZEO Fondé en 2009, LAZEO est un centre de référence en matière de médecine esthétique en France. En un peu plus de 4 ans, des milliers de patients ont franchi

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

Composition corporelle

Composition corporelle Composition corporelle Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Définition des compartiments... 3 I.1 Le modèle anatomique... 3 I.2 Le modèle biochimique...

Plus en détail

Cuves pour Spectrophotomètres

Cuves pour Spectrophotomètres Cuves pour Spectrophotomètres Tél : 01.45.12.90.80 Fax : 01.45.12.94.75 info@bioserv.fr Page 25 TRAYCELL Ultra Micro Cuve à Fibres Optiques La TrayCell Hellma est une ultra micro cuve à fibres optiques

Plus en détail

Le polissage par laser

Le polissage par laser B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques

Plus en détail

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin

Plus en détail

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points)

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :

Plus en détail

Votre Peau mérite les plus Grands Soins

Votre Peau mérite les plus Grands Soins GUIDE BEAUTÉ POUR Les patientes EN SOIN anti cancer Votre Peau mérite les plus Grands Soins Sommaire. page 4 Cancer et apparence page 5 Préserver son image et son bien-être page 6 Une peau bien nette page

Plus en détail

Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV)

Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV) Le câble de Fibre Optique dans les installations de Vidéo Surveillance (CCTV) Évidemment, l emploi le plus fréquent de la fibre optique se trouve dans le domaine des télécommunications. Mais d autre part,

Plus en détail

Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype

Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chapitre 2 - Complexité des relations entre génotype et phénotype Chaque chromosome est en double exemplaire Donc chaque gène (situé sur son locus) est en double exemplaires : et peut être sous différente

Plus en détail