ÉPARGNE & INVESTISSEMENT. Assurances. Jet Alu s attend à de bons résultats en 2014 p.21. Les dividendes vont grimper en 2014 p.24

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1 ES ÉCO ÉPARGNE & INVESTISSEMENT - LUNDI 14 OCTOBRE ÉPARGNE & INVESTISSEMENT DÉCRYPTAGE Assurances Les raisons de l essoufflement La croissance de la performance du secteur est en ralentissement. Cette tendance est imputable à la régression de l assurance Vie, laquelle semble subir essentiellement les effets de l évolution négative des marchés financiers. p Jet Alu s attend à de bons résultats en 2014 p.21 BOURSE Les dividendes vont grimper en 2014 p.24 MARCHÉ Céréales, récolte record p.25

2 20 Actualité Salima Marzak a non Vie rime BILLET es entreprises d assurances sont l instrument par excellence de collecte de épargne nationale. L épargne ollectée irrigue ainsi l éconoie nationale par le biais de investissement dans difféents secteurs d activité. Touefois, la baisse de 6% enreistrée par le marché oursier depuis le début de année rend les contrats en nités de compte peu attracifs, impactant négativement a branche de la vie. Cette ernière pèse à son tour sur es revenus des compagnies assurance, lesquelles n ont ujourd hui d autre choix que e concentrer leurs efforts ur la non Vie. La baisse du arché boursier dure depuis années et la reprise des archés tarde à venir! e contrat-programme entre le ouvernement et les princiaux acteurs a été signé en 011 avec le projet de rendre ertaines assurances obligaoires et l ambition de doubler le hiffre d affaires du secteur à horizon Certes, l'impléentation a dû être légèreent ralentie à cause de 'arrivée du nouveau gouverneent et aujourd hui sur les 75 esures que compte le ontrat-programme, plusieurs ont pas vu le jour, mais les proessionnels restent optimistes. es premiers bénéfices du ontrat-programme vont bienôt voir le jour avec l obligation assurance «tous risques chanier» ou la «responsabilité civile écennale». D autres mesures ont prévues et seront menées ès Arab Bank. Résultat net en appréciation Le résultat net d Arab Bank ressort en nette amélioration au titre du premier semestre 2013, boosté par l allègement de ses charges opératoires. Le PNB de la succursale marocaine du Groupe Arab Bank enregistre un repli de 1,6% pour se fixer à 62,8 MDH par rapport à l année précédente, subséquemment à la hausse de 2,2% de la marge d intérêt à 52,7 MDH, à la dépréciation de 6,1% de la marge sur commissions à 6,7 MDH et à l effritement de 25,6% du résultat des opérations de marché à 7,3 MDH. Cependant, les charges opératoires baissent de 8,7% à 56 MDH, grâce à l allègement de 16% des charges de personnel à 31,5 MDH. Bien que la baisse des charges générales d exploitation ait permis une amélioration de 7 points du coefficient d exploitation, celui-ci demeure à un niveau élevé de 89,2%. Le résultat brut d exploitation se hisse de 2,7 fois à 6,8 MDH. En dépit d un résultat non courant déficitaire de -5,4 MDH contre un solde positif de 1,9 MDH une année auparavant, le résultat net ressort en appréciation de 78,7%, à 6,1 MDH. Marchés financiers. Les indices ont évolué à la hausse Il semblerait que la Bourse de Casablanca ne soit pas le seul marché qui ait clôturé le mois de septembre dernier sur une note positive ( +3,1%). En effet, les principaux indices internationaux ont généralement évolué à la hausse en septembre L Euro stoxx 50 a augmenté de 1,7%, le Dax 30 de 1,6%, le Cac 40 de 1,4% et le Ftse de 0,6%. De même, le Nikkei 225 et le Dow Jones ont progressé de 4,4% et 0,3% respectivement. Au niveau des économies émergentes, le Msci Em a marqué une hausse de 4,4%, reflétant des hausses respectives de 5,7% et 2,4% des indices Msci de la Chine et de l Inde. Sociétés cotées. Un marché en manque de compétitivité Selon les prévisions de BMCE Capital Bourse, les PER (Price Earning Ratios) prévisionnels respectifs 2013 et 2014 de l ensemble des sociétés cotées à la Bourse de Casablanca s établissent à 15,3 fois et à 14,1 fois sur la base de la capitalisation boursière au 9 octobre Ainsi avec une moyenne de 11,5 fois pour les marchés concurrents, la place casablancaise demeure relativement chère comparativement aux autres Bourses émergentes. Il est à noter que par pôle, le PER des banques, assurances et sociétés de crédit et de leasing s établit à 16,9 fois cette année et 15,8 fois en Celui des compagnies industrielles et holdings se fixe, en revanche, à 14,3 fois en 2013 et 13,1 fois l année suivante. -63% Brassée à hauteur de 96,80% sur le marché central, la volumétrie trimestrielle au titre du troisième trimestre 2013 globale transigée sur le marché des actions se situe à 2,77 MMDH, en contraction de près de 63% par rapport à son niveau durant la même période en Bourse de Casablanca. Une évolution sans relief au T Selon les estimations de la société de Bourse Crédit du Maroc Capital, la place boursière casablancaise devrait, au cours du quatrième trimestre 2013, poursuivre son évolution sans relief en l absence de tout relais de croissance susceptible de redonner confiance aux investisseurs, aussi bien marocains qu étrangers. Notons que la Bourse de Casablanca a clôturé le mois de septembre dernier avec une performance mensuelle de +3,1%. Selon la société de Bourse, «toute reprise pérenne reste tributaire de la volonté gouvernementale de réformer le marché financier marocain sur des bases solides». Dans ce sens, les premières concrétisations doivent être intégrées dans le projet tant attendu de la loi de Finances COMPARATIF DES PER 2013 DES PAYS EMERGENTS 9,5x Afrique du sud 10,5x 10,5x 10,7x 11,0x 11,2x 11,7x Oman Turquie Abou Dabi 13,1x Argentine Brésil Quatar Arabie saoudite 14,8x 15,3x Indonésie Maroc SOURCE : BMCE CAPITAL

3 21 Décryptage Jet Alu révèle ses prévisions de résultats pour 2013 La production consolidée de Jet Alu Maroc devrait s établir autour de 490 MDH. Le résultat net consolidé prévisionnel devrait, lui, se situer entre 75 et 80 MDH. J et Alu Maroc, opérateur d architecture transparente et de produits de menuiserie métallique coté en Bourse vient de communiquer ses prévisions de résultats au titre de l exercice Ces dernières ont été révélées dans la note d information relative à la mise à jour annuelle de son programme d émission de billets de trésorerie. Il est à noter que le plafond de ce programme s'élève à 2 MDH. La valeur nominale unitaire s'établit pour sa part à DH. La maturité du programme, elle, varie entre 10 jours et 12 mois. Le taux d intérêt sera par ailleurs déterminé pour chaque émission en fonction des conditions du marché. Cependant, l information la plus importante, laquelle figure vers la fin du dossier d informations, concerne les chiffres prévisionnels de l exercice C est ainsi que la production consolidée de Jet Alu Maroc devrait s établir autour de 490 MDH. Le résultat net consolidé prévisionnel devrait, lui, se situer entre 75 et 80 MDH. La distribution et l'export dans le viseur Ces prévisions découlent de la confiance de la société et des sitive), les façades cadres permettant la maîtrise des performances au niveau de l usine et l optimisation du temps de la pose au niveau des chantiers, ou encore le mobilier urbain. Jet Alu compte également se positionner sur de nouvelles niches qui pourraient présenter un fort potentiel de croissance. Jet Alu envisage la possibilité de créer une cellule commerciale en Afrique. Le management de Jet Alu ambitionne de se positionner sur de nouvelles niches à fort potentiel de croissance. ambitions affichées par les pouvoirs publics et les opérateurs privés pour la poursuite des chantiers importants entrepris par le Maroc depuis quelques années (aéroports, ports, réseau de transport urbain). «Jet Alu Maroc SA devrait continuer à bénéficier d un flux d affaires potentiel important et enregistrer une croissance notable de son activité au cours des années à venir», explique la société dans la note d information. La stratégie de Jet Alu consiste à se positionner en tant que leader sur le marché. La société ambitionne d abord d offrir régulièrement une gamme de produits innovants. Parmi les nouveaux produits que Jet Alu souhaite davantage développer figurent les façades techniques (photovoltaïques, bâtiments à énergie po- En effet, elle ambitionne de créer un réseau national pour la distribution de certains de ses produits comme la menuiserie en aluminium prêt à poser, les portes en bois, ou l agencement extérieur en bois. Ce réseau de distribution se fera par l ouverture de showrooms. Les premières villes visées seraient Rabat, Casablanca et Marrakech. Il est aussi à noter que la société envisage la possibilité de créer une cellule commerciale en Afrique afin de s attaquer à un marché en pleine expansion et offrant des marges de bénéfice plus importantes.

4 22 Analyse Assurances Les raisons de l essoufflement L essoufflement du secteur est imputable à la régression de l assurance vie, laquelle semble subir essentiellement les effets de l évolution négative des marchés financiers. Le premier semestre de l année n a pas été favorable au secteur de l assurance au Maroc. Ce ernier n a, certes pas connu un ecul, mais il a affiché un certain ssoufflement à l instar de l enemble du système éconoique marocain. C est en tout as ce qui ressort en substance e la situation liminaire du seceur marocain des assurances u premier semestre 2013, puliée la semaine dernière par la édération marocaine des soiétés d assurances et de réasurances (FMSAR). C est ainsi u au 31 juin 2013, les primes mises par le secteur des assuances au Maroc s élevaient à 4,8 MMDH, en progression de,1% comparativement au preier semestre de l année derière (contre une évolution de,5% au premier semestre 2012). i l assurance non vie continue ur sa lancée et enregistre une ausse de 5,3% par apport au premier seestre de l année derière, l assurance vie et apitalisation affiche, lle, une régression de,2%. L essoufflement u secteur est donc mputable à la régresion de l assurance vie, aquelle semble subir les effets e l évolution négative des marhés financiers. En effet, «l évoution négative des marchés fianciers rend les contrats en Le secteur doit redémarrer via l instauration, notamment, de l assurance tous risques chantiers. unités de compte peu attractifs. D ailleurs, le chiffre d affaires de ce type de contrats a connu à lui seul une baisse de 66,2%, passant de 159,1 MDH au terme du premier semestre 2012 à 53,7 MDH à la fin du premier semestre 2013», explique aux Inspirations ÉCO, Bachir Baddou, direc- teur général de la FMSAR avant d ajouter : «cet écart explique, à lui seul, une grande partie de l évolution négative de la branche». En attente d un cadre légal pour Takaful À cela s ajoute l arbitrage qu effectuent les banques entre les produits d assurance vie et d autres produits bancaires. Toutefois, «il convient de souligner que la contraction n est pas très forte puisque la branche vie et capitalisation, à l exclusion des contrats à capitaux variables, a connu une évolution positive de +0,83%», argue le directeur de la Les professionnels s'attendent à ce que le secteur des assurances renoue bientôt avec la hausse en matière de croissance des chiffres d affaires. FMSAR. Résultat de l équation : la non vie demeure prédominante, s accaparant 72,2% du chiffre d affaires du secteur avec un volume de 10,7 MMDH, alors que la vie conserve quelque 27% à 4,1 MMDH. Il importe de signaler qu avec la crise enregistrée au niveau de plusieurs pays avec lesquels le Maroc entretient des relations économiques étroites, certains secteurs ont connu un fléchissement dans leur niveau de performance. Les professionnels estiment que c'est le cas notamment du secteur des assurances, qui a vu son taux d évolution des chiffres d affaires régresser pendant les années 2009 et 2010, en passant d un taux à deux chiffres à un taux avoisinant 5% (4,5% et 5,7% respectivement). Cette évolution a connu une légère reprise en 2011 et 2012 puisque le taux d évolution des chiffres d affaires avoisinait 9% (9,24% et 8,92% respectivement). Néanmoins, avec la promulgation du projet de loi portant amendement du Code des assurances, qui instaurera l obligation de l assurance tous risques chantier «TRC» et la responsabilité civile décennale «RCD» ainsi qu avec la mise en place d un cadre légal pour l assurance Takaful, les professionnels du secteur s'attendent à ce que le secteur des assurances renoue bientôt avec la hausse en matière de croissance des chiffres d affaires. Quid du contrat-programme? Selon la direction des assurances et de la prévoyance sociale (DAPS), eu égard aux changements qu ont connus les différents départements, avec la nomination du nouveau gouvernement, les discussions sur les mesures envisagées par le contrat-programme ont été momentanément interrompues en attendant l installation des nouvelles équipes. Néanmoins, et depuis la signature de ce contrat-programme, plusieurs mesures sont entrées en vigueur. Elles concernent essentiellement la révision de l arrêté du ministre des Finances et de la privatisation n du 10 octobre 2005, relatif aux entreprises d assurances et de réassurances pour introduire des modifications portant notamment sur les règles prudentielles applicables aux ssurances et sur la révision des méthodes d évaluation des actions non cotées, admises en représentation des provisions techniques, l entrée en viueur, à partir de janvier 2013, de la convention d indemnisation corporelle automobile directe des accidents corporels et la mise en place d un méiateur en assurance, à l instar de ce qui est actuellement appliqué dans le secteur bancaire.

5 23 Interview «Une évolution appréciable de la non Vie d ici la fin de l année» Les ÉCO : Le secteur des assurances affiche au titre du 1er semestre 2013, un essoufflement à l instar de l ensemble du système économique marocain, pourquoi? Bachir Baddou : Il convient de nuancer vos propos car la croissance demeure vigoureuse en matière d'assurance non Vie. Pour preuve, l assurance Automobile a affiché, au terme du premier semestre de l année, une croissance de 6,3%, les assurances Responsabilité, de 6,8%, et «l Assistance-crédit et caution» de 8,3%. L ensemble des assurances non Vie ont affiché une croissance de 5,3%, ce qui, dans le contexte actuel, reste tout de même une performance honorable. Dans ce cas, c est l assurance Vie qui tire le secteur vers le bas. Qu est ce qui explique ce repli? À mon sens, le premier semestre de l année n a pas été favorable à l assurance Vie et Capitalisation pour deux raisons essentielles. La première est liée à l évolution négative des marchés financiers qui rend les contrats en unité de compte peu attractifs. D ailleurs, Le premier semestre 2013 n a pas été favorable à l assurance Vie et Capitalisation. le chiffre d affaires de ce type de contrats a connu, à lui seul, une baisse de 66,2%, passant de 159,1 MDH au terme du premier semestre 2012 à 53,7 MDH à la fin du premier semestre Cet écart explique une grande partie de l évolution négative de la branche. Le deuxième élément est lié à l arbitrage qu effectuent les banques entre les produits BACHIR BADDOU Directeur général de la Fédération marocaine des sociétés d assurances et de réassurance (FMSAR) d assurance Vie et d autres produits bancaires. Il convient, toutefois, de souligner que la contraction n est pas très forte puisque la branche Vie et Capitalisation, à l exclusion des contrats à capital variable, a connu une évolution positive de +0,83%. Parmi les facteurs explicatifs de l essoufflement du secteur en général et la régression de l assurance Vie en particulier, peut-on inclure la baisse du marché actions et son impact sur les résultats des assureurs? Cette baisse du marché actions a-t-elle eu raison de la confiance des clients dans les compagnies d assurances? Au contraire, à l exception des contrats en unité de compte, le contrat d assurance reste le meilleur refuge contre les aléas des marchés financiers. Les actifs représentatifs des engagements Vie sont en général composés de produits de taux, et plus particulièrement d emprunts d États La dépréciation des actifs des assureurs résulte de la baisse de la capitalisation boursière depuis plusieurs années consécutives, les contraignant à rechercher l équilibre à travers leur activité technique. ou garanties par l État, conférant à leurs rendements une grande stabilité. Par ailleurs, un contrat d assurance Vie offre une très grande sécurité à l assuré puisqu il lui assure une garantie du capital (engagement de ne jamais recevoir moins que les versements), accompagnée dans la plupart des cas d un taux minimum garanti plus une participation aux bénéfices contractuelle. Toutes ces sécurités, accompagnées par un cadre fiscal avantageux, font du contrat d assurance Vie le meilleur des investissements, quelle que soit la tendance au niveau du marché boursier. Quelles sont, pour vous, les perspectives du secteur de l assurance pour le reste de l année? À quand la reprise pour l assurance Vie pour une croissance plus soutenue du secteur dans son ensemble? Il est difficile de faire ce type de projections, mais, je pense ne pas prendre trop de risques en prédisant une évolution positive et appréciable d ici la fin de l année de la «non Vie», portée notamment par l assurance Automobile. Pour l assurance Vie, finir l année sur une collecte équivalente à celle de l année 2012 n est pas à exclure. Dans ce contexte de baisse des primes du secteur, une augmentation des tarifs serait -elle à envisager dès 2014? Les tarifs ne sont pas liés à l évolution du chiffre d affaires du secteur, mais à la profitabilité de chaque catégorie et sous-catégorie d assurance. À chaque fois qu une catégorie ou sous-catégorie est déficitaire, la compagnie d assurance concernée se doit de procéder à un réajustement de son tarif. C est le cas d ailleurs pour tout les secteurs d activité. Par contre, ce qui crée actuellement une forte tension sur les compagnies d assurance, c est la dépréciation de leurs actifs qui résulte d'une baisse de la capitalisation boursière depuis maintenant plusieurs années consécutives, les contraignant à rechercher l équilibre exclusivement à travers leur activité technique.

6 24 Zoom Dividendes Une politique généreuse en 2014 La masse des dividendes de la cote casablancaise devrait passer de 19 MMDH en 2012 à 19,2 MMDH en 2013 avant de se hisser à 20,6 MMDH une année après (+7%). La masse des dividendes de l ensemble des sociétés cotées à la Bourse de Casablanca devrait se stabiliser en 2013 avant de marquer une évolution de 7% en C est ce qui ressort d une note d analyse de BMCE Capital Bourse, qui opère une mise à jour des prévisions 2013 et 2014 faisant suite à la publication des résultats semestriels des sociétés cotées. Selon cette note d analyse, la masse de dividende de la cote casablancaise devrait passer de 19 MMDH en 2012 à 19,2 MMDH en 2013 (+1%), avant de se hisser à 20,6 MMDH en 2014 (+7,2%). Dans le détail, c est Maroc Telecom qui devrait générer la part la plus conséquente, soit 37,3% de la masse globale prévisionnelle des dividendes en 2013 à 7,2 MMDH, en hausse de 10,1%. En 2014, sa contribution devrait générer 36% de la masse globale à 7,4 MMDH, en hausse de 3,4% d une année à l autre. En seconde position, les banques devraient distribuer à leurs actionnaires un montant de 4,8 MMDH (soit 24,8% de l enveloppe globale) en 2013 et de 5 MMDH en 2014 (24,2%). Le taux de rendement de dividende (Dividend Yield) du marché est ainsi estimé par les analystes de la société de Bourse, en date du 9 octobre ÉVOLUTION DE LA MASSE DE DIVIDENDES DE 2012 À 2014 (EN MMDH) 19,0 TCAM ,1% 19, , à 4,6% en 2013 et à 4,9% en 2014, contre un rendement réalisé de 4,3% en Redressement des résultats en 2013 Cette croissance du dividende tient compte des prévisions de la société de Bourse, quant au En 2014, le résultat des industries devrait se raffermir de 9,2 %. comportement futur de la capacité bénéficiaire des sociétés cotées. Quoique celle-ci ait été en 20, SOURCE : BMCE CAPITAL forte dégradation en 2012 (-10,2%), affectée par le contexte économique national globalement morose, les analystes de BMCE Capital escomptent un redressement en Les bonnes anticipations économiques pour 2013 portées principalement par une campagne agricole favorable, ainsi que par l emballement de la demande interne au troisième trimestre 2013, confirment cette orientation. La masse bénéficiaire de la côte casablancaise devrait ainsi s apprécier de 4,4% à 28 MMDH en 2013 et de 8,3% à 30,3 MMDH en Dans le détail, les bénéfices des sociétés industrielles Le taux de rendement de dividende du marché est ainsi estimé à 4,6% en 2013 et à 4,9% en 2014 contre un rendement établi à 4,3% en devraient connaître une augmentation de 5,1% à 17,1 MMDH en 2013, suite au redressement de la capacité bénéficiaire de SAMIR, qui devrait s'élever à hauteur de 179,1 MDH, contre un déficit de -130,8 MDH une année auparavant. Le résultat net de Maroc Telecom afficherait, lui, une amélioration à 7,1 MMDH. Dans une moindre mesure, les bénéfices des mines devraient montrer une croissance de 5,7% à 1,2 MMDH. En 2014, le résultat net des industries devrait se raffermir de 9,2% à 18,7 MMDH, tiré cette fois par l orientation positive des bénéfices des immobilières (+13,5% à 3,3 MMDH), des mines (+15,8% à 1,4 MMDH) et du secteur agroalimentaire (+19,1% à 1,8 MMDH). Une marge nette de 12,1% en 2014 Pour leur part, les sociétés financières devraient générer un résultat net global de 9,8 MMDH en 2013, en hausse de +3,6%, et de 10,4 MMDH en 2014 (+6,9%). Par branche, la capacité bénéficiaire des bancaires devraient augmenter de 3,6% à 9,3 MMDH en 2013 et de 6,9% à 9,9 MMDH en 2014, au moment où le secteur des services financiers devrait générer des bénéfices de 493,5 MDH en 2013 (+3%) et de 530,5 MDH en 2014 (+7,5%). Enfin, le secteur des assurances/courtage devrait générer des bénéfices nets en stabilisation à 1,1 MMDH en 2013, avant d afficher une croissance de 7,5% à 1,2 MMDH en In fine, la marge nette prévisionnelle de la cote casablancaise devrait ressortir à 11,6% en 2013 et à 12,1% en 2014, contre 11,2% en Une meilleure maîtrise des charges L éventuelle croissance que connaîtra la masse bénéficiaire de la Bourse de Casablanca devrait essentiellement découler d une meilleure maîtrise des frais opératoires, notamment par les sociétés industrielles, combinée à la non récurrence des charges exceptionnelles. Capitalisant sur deux éléments, le résultat d exploitation de l ensemble des sociétés cotées devrait progresser de 5% à 54,6 MMDH en 2013 et de 7,1% à 58,4 MMDH en D abord, le résultat opérationnel des sociétés industrielles devrait enregistrer une hausse de 4,2% en 2013 et de 6,9% en Pour les financières, le résultat brut d exploitation devrait s améliorer de 6,6% en 2013 et de 7,1% en À l opposé, le résultat technique des compagnies d assurances/courtage devrait reculer de 6,1% en Cependant, la croissance du résultat technique du secteur devrait se raffermir en 2014, en se fixant à +9,2%.

7 26 Épargne Gestion de portefeuille pour compte de tiers Une loi dans le circuit Un avant-projet de loi a été déposé au niveau du SGG. Le texte vise essentiellement réglementer la relation entre l investisseur et le gestionnaire. POINT DE VUE Farid Chaaoub, Directeur général délégué de Marogest, société de gestion d actifs. «Plus de sécurité et de transparence» Un avant-projet de loi relatif à la gestion de portefeuille pour le compte de tiers a été déposé au niveau du secrétariat général du gouvernement (SGG). Le texte vise essentiellement à réglementer la relation entre l investisseur et le gestionnaire. La gestion de portefeuille est en plein développement au Maroc, suite notamment à l essor du marché des organismes de placement collectifs en valeurs mobilières (OPCVM). L activité de gestion de portefeuille connaît un développement important, marqué par une multiplication et une complexité croissante des produits et porté par un accroissement rapide du nombre de sociétés opérant dans ce secteur. En effet, le nombre d OPCVM agréés a atteint aujourd hui 364, selon les données du projet de loi. La gestion de ces OPCVM est, quant à elle, concentrée entre 18 sociétés de gestion d actifs. Cette loi présente des avantages tant pour les sociétés que pour les clients. Un besoin d encadrement Le projet de loi sur la gestion de portefeuille pour compte de tiers a ainsi été préparé pour satisfaire à plusieurs objectifs. Il s agit, tout d abord, de répondre au besoin d encadrement de l activité de gestion de portefeuille. Le projet de loi vise également à harmoniser le dispositif législatif et réglementaire régissant la gestion collective concernant les OPCVM, les organismes de placement collectif en capital risque ou les organismes de placement en titrisation. Il en découle que le projet autorise, dans le souci de favoriser la rationalisation du secteur, les sociétés de gestion à gérer toutes les catégories d organismes de placement collectif, à l exception des organismes de placement en titrisation, dont l objet exclusif consiste en la réalisation et la gestion de FPCT. 4 axes majeurs Partant également du constat que l épargne institutionnelle est de plus en plus orientée vers les marchés financiers et que cette tendance devra s affirmer, le projet de loi de la gestion de portefeuille pour compte de tiers définit les règles selon lesquelles les sociétés de gestion d actifs pourront gérer cette épargne dans des conditions de sécurité et de transparence optimales. Les principales dispositions prévues par le projet de loi peuvent ainsi être résumées autour de 4 axes, à savoir la définition du fondement juridique de la relation entre l investisseur et le gestionnaire, les actifs financiers pouvant composer les portefeuilles gérés, les conditions d exercice de l activité de gestion de portefeuille pour le compte de tiers et enfin les obligations des sociétés de gestion. La gestion de portefeuille est en plein développement au Maroc, suite à l essor du marché des OPVMM. Au Maroc, l activité des sociétés de gestion consiste à faire de la gestion d OPCVM et de la gestion sous mandat. Ce mandat est un contrat que la société de gestion signe avec un particulier ou une personne morale. Jusqu à présent les sociétés de gestion se mettaient d accord avec leurs clients sur le montant du contrat, le niveau de rendement et l horizon de placement. Le problème est qu il n y a jusqu à aujourd hui aucune loi qui encadre ce genre de contrat et l AMMC ne pouvait exercer aucun contrôle sur ce type d opération. C'est là qu'intervient le nouveau projet de loi sur la gestion de portefeuille pour le compte de tiers, pour autoriser la gestion sous mandat et élargir le champ d application des sociétés de gestion. D un autre côté, cette future loi va exiger de la part des sociétés de gestion de respecter un cahier des charges qui comprend l obtention d un agrément de la part de l AMMC et la mise en place de ressources humaines, logistiques et financières dédiées à la gestion sous mandat. Cette loi présente plusieurs avantages, tant pour les sociétés de gestion que pour leurs clients, à commencer par un vide juridique comblé. Elle permettra ensuite une formalisation de la relation entre les sociétés de gestion et les épargnants, puisqu elle met en place un modèle type de contrat. Elle ouvrira enfin le champ aux sociétés de gestion, pour offrir de nouveaux produits dans un cadre réglementaire clair. Cela devrait garantir plus de sécurité et de transparence et éviter les conflits d intérêt.

8 25 Marchés Céréales Une récolte record attendue cette année Les analystes tablent sur une production mondiale de grains de 2 milliards de tonnes en La production de grains dans le monde devrait approcher pour la première fois la barre des 2 milliards de tonnes en 2013 selon des analystes. Ces derniers tablent ainsi sur une production mondiale de maïs de l'ordre de 940 à 970 millions de tonnes, de blé de 690 à 710 millions de tonnes et de soja de 280 à 290 millions de tonnes. Ainsi, en se positionnant sur une production à 956,7 millions de tonnes et des stocks à 151,4 millions de tonnes, les autorités agricoles américaines (USDA) se sont montrées plus modérées dans leurs dernières projections. Les estimations sont plus réservées aussi de la part du Conseil international des céréales (CIC), l'organisation regroupant les professionnels du secteur, avec seulement 943 millions de tonnes. Dans le détail, la récolte record des États-Unis se précise et devrait dépasser les 350 millions de tonnes, mais elle sera peu précoce. Selon FranceAgriMer, un organisme statistique, 12% seulement des surfaces ensemencées en maïs ont été récoltées à ce jour contre 23% en moyenne quinquennale. Sur la base des estimations transmises à la Les autorités agricoles américaines (USDA) se sont montrées plus modérées. Commission européenne par les États membres, la production communautaire de maïs devrait, elle, se fixer à 64,5 millions de tonnes, soit une hausse de 5 millions par rapport à 2012, selon FranceAgriMer. La chine, importateur majeur L'Europe danubienne avec la Roumanie, la Hongrie et la Roumanie, assure pour sa part près de 30% de la production communautaire de maïs. L'Ukraine reste le producteur majeur des pays du pourtour de la Mer Noire avec une production nationale estimée de l'ordre de 28 millions de tonnes pour le CIC contre 29 millions estimées par l'usda. Malgré des récoltes abondantes attendues en blé (118 millions de tonnes) et en maïs (210 millions de tonnes), les importations chinoises devraient être substantielles. Avec des importations en blé prévues à 9,5 millions de tonnes en 2013/2014 par l'usda, la Chine deviendrait le premier importateur devant l'égypte (7,2 millions de tonnes). Elle serait aussi un impor- tateur majeur en maïs avec des besoins éva lués à 7 millions de tonnes.

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