URTICAIRE SOLAIRE CLINIQUE ET EXPLORATION. Jean-Louis Peyron (Montpellier)

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1 URTICAIRE SOLAIRE CLINIQUE ET EXPLORATION Jean-Louis Peyron (Montpellier)

2 ASPECTS CLINIQUES Forme type: Diagnostic facile évoqué dès l interrogatoire Eruption urticarienne prurigineuse des parties habituellement couvertes, dès les premières minutes d exposition au rayonnement solaire direct

3 Disparait au bout de quelques dizaines de minutes après la fin de l exposition (< 1 heure dans 75% des cas), sans cicatrices.

4 Classiquement suivie d une période réfractaire de 24 heures environ pendant laquelle une nouvelle exposition n entraînera pas d éruption.

5 Les zones découvertes (visage, dos des mains, avant bras) sont habituellement tolérantes au soleil sauf dans les formes majeures d US.

6

7 Nombreuses autres formes cliniques existent : - Simple érythème prurigineux immédiatement après l exposition.

8 Eruption des parties couvertes insuffisamment protégées par un vêtement léger de couleur claire, laissant filtrer les UVA et le rayonnement visible (en les majorant même, en cas d azurants optiques contenus dans le tissu). Eruption cantonnée sur une seule partie des zones exposées («fixed solar urticaria»). Urticaire ne débutant que quelques minutes après la fin de l exposition, traduisant l existence d un spectre d inhibition.

9 Déclenchement par la lumière artificielle, chez les sujets sensibles au visible, pouvant faire errer le diagnostic.

10 Angioœdème solaire (lèvres, périorbitaire). Importance des manifestations générales associées (céphalées, nausée, dyspnée, vertiges, syncope, choc anaphylactique), parfois inaugurales. Enfin, il existe très probablement de nombreuses formes atténuéesnon diagnostiquées.

11 Epidémiologie L US reste une maladie rare (3,3 % des photodermatoses à Montpellier) avec une nette prédominance féminine (2/1). Elle débute à tout âge. Les antécédents atopiques ne semblent pas différents de ceux de la population normale.

12 Evolution Le mode de début est brutal, survenant du jour au lendemain chez un sujet jusqu alors tout à fait tolérant au soleil. Selon l importance des signes, l altération de la qualité de vie peut être considérable, gênant toute activité à l extérieur et entrainant un fort retentissement psychologique. L évolution est imprévisible sans facteur de pronostic identifiable. Elle est habituellement longue (<15% disparaissent avant 5 ans) avec des degrés de sensibilité variables dans le temps. La résolution spontanée parait plus fréquente lorsque l US débute tôt dans la vie.

13 Elle est rarement confondue avec d autres pathologies : Urticaire localisée à la chaleur (éruption des parties exposées mais aussi sous un vêtement foncé absorbant la chaleur).

14 Certaines formes de lucite estivale bénigne ou de lucite polymorphe peuvent prendre un aspect urticarien pendant les premières heures. La protoporphyrie érythropoiétique peut se manifester par une urticaire après exposition solaire (brulure > prurit), mais les circonstances de diagnostic sont différentes.

15 EXPLORATION PHOTOBIOLOGIQUE L exploration photobiologique fait appel à un simulateur solaire si possible équipé d un monochromateur. Elle se pratique sur les zones habituellement couvertes. Elle peut être négative si elle n est pas réalisée au bon endroit en cas d urticaire solaire fixe.

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17 L exploration photobiologique permet de confirmer le diagnostic en précisant la dose urticarienne minimale (DUM) en rayonnement solaire simulé. L échelle de sensibilité peut varier considérablement d un sujet à l autre et traduit le degré de gravité.

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19 Grace au monochromateur, l exploration photobiologique détermine le spectre d action

20 Il se situe dans la très grande majorité des cas dans les UVA (surtout UVA-1) (92% à Montpellier) Débordant souvent dans le rayonnement visible (bleu, vert) DUM (mj/cm²) Longueur d'onde (nm) DUM (mj/cm2) Longueur d'onde (nm)

21 Beaucoup plus rarement dans les UVB. DUM (mj/cm²) Longueur d'onde (nm)

22 DUM (mj/cm²) Longueur d'onde (nm) DUM (mj/cm2) Longueur d'onde (nm)

23 L exploration photobiologique peut caractériser un spectre d inhibition dans les rares cas d urticaire se déclenchant après la fin de l exposition. Certaines U.S. ne se déclenchent que quelques minutes après la fin de l exposition solaire, alors que l exploration photobiologique en monochromatique provoque une réaction immédiate Si cette irradiation monochromatique est suivie immédiatement d une seconde par un rayonnement de plus grande longueur d onde (c est le spectre d inhibition) l urticaire ne se déclenche pas. Ce spectre entraînerait l inhibition du photoallergène, expliquant le déclenchement retardé de l éruption après la fin de l irradiation (temps nécessaire à la fabrication du photoallergène qui, n étant plus irradié par le spectre d inhibition, va déclencher la réaction)

24 Enfin, l exploration photobiologique va permettre de suivre l évolution de la maladie et l efficacité du traitement.

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