Incidence des cancers dans le Doubs en 2002 Evolution sur la période

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Incidence des cancers dans le Doubs en 2002 Evolution sur la période"

Transcription

1 Incidence des cancers dans le Doubs en 22 Evolution sur la période Ce rapport peut être consulté et téléchargé sur le site du Registre : Contact : Registre des tumeurs du Doubs, CHU Saint-Jacques, 253 Besançon cedex. Tél : registre-cancers@chu-besancon.fr Décembre 26

2 2

3 Auteurs Mathieu Hägi interne en santé publique, Registre des tumeurs du Doubs Dr Arlette Danzon médecin de santé publique, Registre des tumeurs du Doubs Equipe du Registre des tumeurs du Doubs Dr Arlette Danzon directrice Dr Yvonne Kieffer médecin enquêteur Carole Langlois biostatisticienne* Evelyne Fournier biostatisticienne Christelle Gil technicienne Sophie Munier technicienne Valérie Queuche technicienne Emilie Roux technicienne * remplacée depuis le 6/11/26 par Evelyne Fournier 3

4 4

5 Remerciements Le travail d un registre est dépendant des structures qui lui transmettent des informations. Nous souhaitons remercier ici, pour leur collaboration au Registre du Doubs depuis de nombreuses années, les personnels médicaux et non médicaux des structures suivantes : Les services et cabinets de pathologie et de cytologie : Service d anatomie et cytologie pathologiques, CHU de Besançon, Pr Kantelip, ses collaborateurs et M. Matrat, CHU de Besançon, Cabinet d anatomie pathologique et cytopathologie, Dr Marquet et Dr Depret, Besançon, Centre de pathologie, Dr Petitjean et Dr Khamlu, Besançon, Service d anatomie et de cytologie pathologiques, CH de Montbéliard-Belfort, Site de Montbéliard, Dr Bernard, Dr Lazzarotto-Rumpler, Dr Raffoul et Mlle Roméro, Service d anatomie et de cytologie pathologiques, CH de Montbéliard-Belfort, Site de Belfort, Dr Lassabe et Dr Monnin- Devalland, Cabinet de pathologie, Dr Faure et Dr Jeffredo, Belfort, Cabinet d anatomie pathologique et cytopathologie, Dr Chargeboeuf, Lons le Saunier, Laboratoire d hématologie, Etablissement Français du Sang de Bourgogne-Franche-Comté, Dr Schillinger. Les départements de l information médicale et les services administratifs: Des centres hospitaliers de Besançon, Montbéliard, Pontarlier, Belfort, Lons le Saunier, Dole, Saint-Claude, Vesoul, Gray, Dijon, Strasbourg, Lyon, Des cliniques de Besançon, Montbéliard, Pontarlier, Belfort, Lons le Saunier, Dole, Vesoul, Des centres de lutte contre le cancer de Dijon, Strasbourg, Lyon, Nancy, De l institut Gustave Roussy de Villejuif, de l institut Curie de Paris et du Centre René Huguenin de Saint Cloud Les services de soins de la région et hors région Les médecins généralistes et spécialistes de Franche-Comté Les Registres généraux de cancer des départements voisins (Bas-Rhin et Haut-Rhin), le Registre national des tumeurs solides de l enfant et le Registre national des leucémies de l enfant Nous tenons également à remercier pour leurs conseils les membres concernés du Conseil Scientifique et Stratégique du Registre : Mr le Dr BONTEMPS Mr le Dr BORG Mr DEBAT Mme le Pr KANTELIP Mr le Dr LUTZ Mme le Pr MERCIER Mr le Pr ROHRLICH Mme Raouchan RYMZHANOVA Mme le Pr VUITTON Mme le Dr WORONOFF 5

6 6

7 Avant Propos Le Registre des tumeurs du Doubs associe ancienneté (c est un des premiers Registres de Tumeurs créé en France, en 1977) et dynamisme (sa constante qualification par les instances d évaluation de l INSERM et de l InVS en témoigne, la dernière étant intervenue en 25). Depuis quelques années, des efforts de communication ont été faits par le Registre, afin d informer mieux les professionnels de santé des résultats obtenus par le Registre ; ces efforts se sont concrétisés par la publication en 24, en collaboration avec l Observatoire Régional de Santé, des documents «Epidémiologie du Cancer en Franche-Comté ; Incidence et mortalité de 198 à 2». Le Registre des Tumeurs du Doubs, avec le soutien de son Conseil Scientifique et Stratégique, a souhaité désormais mettre à la disposition des professionnels, et en particulier de tous ceux qui contribuent au quotidien à la mise à disposition des données médicales, un document annuellement actualisé. Même si sa présentation est moins colorée que celle du document précédent qui faisait état de 2 années d activité, ce nouveau document n en est pas moins extrêmement informatif et il se veut un outil à la disposition des professionnels, mais aussi un vecteur de communication entre eux et le Registre, susceptible de générer des étonnements, des questions, des réactions. Il ne s agit pas d un document nu, porteur de données brutes : des règles d interprétations des données présentées sont apportées dès les premières pages et au fil de la lecture des nombreux tableaux et figures. Le mode de collecte et d analyse des données est clairement exposé. Et comme la meilleure façon de se comprendre est de partir de définitions communes, ces définitions sont également présentées, en précisant celles qui sont totalement consensuelles et celles qui font encore l objet de discussions. Ces définitions et leur utilisation pour les calculs d incidence sont reprises en détail dans les Annexes I et II, ce qui fait du document un outil très précis tout en étant très simple d accès pour le lecteur pressé qui le feuillette à la recherche des données qui concernent «sa» spécialité médicale! Enfin, l Annexe IV apporte toutes les précisions sur les aspects éthiques du fonctionnement des Registres de tumeurs en France que les professionnels de santé, mais aussi le public, souhaitent obtenir. Cette compilation des textes qui encadrent le recueil nominatif des données, indispensable à la fiabilité d un registre de population, ainsi que des documents qui sont utilisés par le Registre des tumeurs du Doubs dans son fonctionnement pour la meilleure information possible des patients et la conformité vis-à-vis des exigences légales, est assez unique. Elle devrait satisfaire ceux parmi nos confrères qui sont légitimement inquiets de savoir dans quel contexte et comment le Registre se comporte sur un sujet aussi sensible. L interface avec les Réseaux de Cancérologie est également prise en compte, en complet accord avec les recommandations du Plan Cancer. L ambition du Registre des tumeurs du Doubs est de produire chaque année un document similaire, source d échanges avec les cliniciens impliqués dans la prise en charge des cancers dans la région de Franche-Comté, en actualisant les données pour que les professionnels de santé aient à leur disposition un véritable «tableau de bord» de la situation épidémiologique des cancers. Ciblé sur le département du Doubs, puisque les Registres des tumeurs ont en France une base départementale, ce document devrait au cours des prochaines années fournir des indications sur la situation du Territoire de Belfort, pour lequel des données sont déjà disponibles pour certaines tumeurs faisant l objet de recherches spécifiques, puisque cette extension bénéficie désormais du soutien de l ARH de Franche-Comté dans le cadre du Plan Cancer. Arlette Danzon, directrice du Registre, souhaite vivement que ce document devienne la base d échanges constructifs avec ses confrères de la région sans lesquels le fonctionnement d un tel Registre des tumeurs serait totalement impossible. Je m associe totalement à ce souhait, afin que les prochaines éditions bénéficient de cette première expérience et apportent à tous un outil qui contribue à la meilleure prise en charge des patients. Professeur Dominique Angèle VUITTON Président du Conseil Scientifique et Stratégique du Registre des Tumeurs du Doubs 7

8 8

9 Table des matières 1. Population et méthodes Population Définition des cas Définition des localisations pour la présentation des taux d incidence Indicateurs et analyses statistiques Résultats Bilan pour l année Toutes localisations Appareil digestif, évolution Colon-rectum 2 Estomac 21 Cancer primitif du foie 22 Oesophage 23 Pancréas 24 Localisations rares de l appareil digestif Oto-rhino-laryngologie, évolution Lèvres, bouche, pharynx 26 Larynx 27 Localisations rares de la sphère ORL Cancer du sein, évolution Appareil génital féminin, évolution Col utérin invasif 3 Col utérin in situ 3 Corps utérin 31 Ovaires 31 Localisations rares de l appareil génital féminin Appareil génital masculin, évolution Testicule 33 Prostate 33 Localisations rares de l appareil génital masculin Appareil urinaire, évolution Rein 35 Vessie 36 Localisations rares de l appareil urinaire 37 9

10 2.9 Cancers de la peau, évolution Mélanomes cutanés 38 Carcinomes spinocellulaires cutanés 39 Carcinomes basocellulaires cutanés 4 Cancers cutanés rares Organes intra-thoraciques, évolution Poumon 42 Cancers intra-thoraciques rares Glandes endocrines, évolution Thyroïde 44 Localisations endocriniennes rares Système nerveux central, évolution Système nerveux central Hémopathies malignes, évolution Lymphomes malins non hodgkiniens 47 Syndromes lymphoprolifératifs chroniques B et T 48 Syndromes myéloprolifératifs chroniques 49 Myélomes multiples et autres maladies immunoprolifératives 5 Syndromes myélodysplasiques et syndromes myélodysplasiques-myéloprolifératifs 51 Hémopathies malignes rares Autres localisations, évolution Sarcomes des tissus mous 53 Primitif inconnu 54 Autres localisations rares Tumeurs des enfants et adolescents 56 Tumeurs pédiatriques chez les enfants de à moins de 15 ans 56 Tumeurs chez les adolescents de 15 à 2 ans 56 Références 57 Annexes 59 Annexe 1 : Liste des tumeurs incluses dans le registre des tumeurs du Doubs 59 Annexe 2 : Regroupement des localisations pour le calcul des incidences selon la topographie et la morphologie des tumeurs 62 Annexe 3 : Evolution de l âge moyen au diagnostic entre 1983 et 22 pour les principales localisations 65 Annexe 4 : Informations aux patients, confidentialité 67 1

11 1. Population et méthodes 1.1 Population Le département du Doubs compte habitants, femmes et hommes (source : INSEE recensement 1999). La répartition par âge est comparable à celle de la France ; la pyramide des âges présente un profil caractéristique des pays industrialisés. Pyramide des âges, Doubs

12 1.2 Définition des cas Un cas de cancer est défini comme étant tout nouveau diagnostic de cancer chez un patient domicilié dans le Doubs au moment de cet examen 1. L étude portera sur les diagnostics réalisés pour la dernière année validée (22) et ainsi que sur les années 1983 à 22. Conformément aux recommandations de l ENCR (European Network of Cancer Registries), outre l ensemble des tumeurs malignes invasives, le Registre des tumeurs du Doubs enregistre également : - les tumeurs in situ du sein, du col de l utérus et, depuis les diagnostics de 23, les tumeurs in situ du colon-rectum et les mélanomes cutanés - les tumeurs non invasives et bénignes de la vessie - les tumeurs non invasives et bénignes du système nerveux central (depuis les diagnostics de 23). La liste des tumeurs incluses dans l enregistrement est consultable en annexe (cf annexe 1). 1.3 Définition des localisations pour la présentation des taux d incidence Chaque tumeur diagnostiquée chez un patient résidant dans le Doubs au moment du diagnostic est définie par deux variables codées selon la Classification Internationale des Maladies appliquée à l Oncologie, 3 ème édition (CIMO-3) : - le code topographique : correspond à la localisation anatomique de la tumeur, - le code morphologique : correspond à la morphologie de la tumeur. Pour les calculs d incidence, des regroupements en «localisations» sont effectués selon les définitions adoptées par le Réseau Français des Registres de Cancer FRANCIM 2 (cf annexe 2). Les taux d incidence «toutes localisations» incluent les tumeurs invasives à l exclusion des carcinomes spinocellulaires et des carcinomes basocellulaires cutanés et non cutanés (organes génitaux). Les taux d incidence des tumeurs in situ sont présentés séparément. Seront présentées également dans ce rapport les tumeurs des enfants et des adolescents : - les tumeurs pédiatriques sont définies comme survenant chez un enfant âgé de moins de 14 ans, - les tumeurs des adolescents sont définies comme survenant chez un individu âgé de 15 à 19 ans. 1 Pour plus d informations sur les méthodes d enregistrement : 2 Pour les résultats des autres registres du réseau FRANCIM consulter le site de l InVS : 12

13 Les hémopathies malignes ont une place à part dans ces regroupements. La définition d une hémopathie maligne se fait sur la base du code morphologique quel que soit le code topographique. Ainsi, les hémopathies malignes avec localisation dans un organe, tels que les lymphomes, sont comptabilisées dans les hémopathies et non dans l organe (par exemple, un lymphome gastrique est comptabilisé dans les lymphomes et non dans les cancers gastriques). Les critères diagnostiques et les regroupements nosologiques sont encore en pleine évolution dans ce domaine, ce qui rend difficile la pratique du codage et des regroupements pour les calculs d incidence pour ces pathologies. Récemment, un guide de recommandations pour la pratique de l enregistrement des hémopathies malignes a été publié par l Institut de Veille Sanitaire et le réseau FRANCIM 3. Ce guide a servi de base à la réalisation des regroupements pour le calcul des incidences des hémopathies malignes. Deux points doivent être soulevés : - d une part, les regroupements ici utilisés ne font pas encore l objet d un consensus, certaines localisations hématologiques étant encore difficiles à classer, - d autre part les regroupements utilisés ne sont pas toujours superposables à ceux anciennement pratiqués, et de nombreuses modifications dans les pratiques diagnostiques et de codage empêchent pour certaines hémopathies d en étudier l évolution. 1.4 Indicateurs et analyses statistiques 4 Incidence spécifique Les taux spécifiques d incidence des cancers toutes localisations confondues ont été calculés pour la période , pour chaque classe d âge quinquennale. La formule utilisée est la suivante : i TSp i= k pai TSp i =taux spécifique d incidence pour la classe d âge i k i =nombre de nouveaux cas sur la période dans la classe d âge i pa i =nombre de personnes-années sur la période dans la classe d âge i. Les incidences spécifiques seront exprimées pour 1 5 personnes-années. Les taux d incidence ont été calculés par périodes de 5 ans. L âge utilisé dans les calculs est l âge révolu au moment du diagnostic. Le nombre de personnes années est basé sur les estimations fournies par les Hospices Civils de Lyon, utilisant l âge révolu dans l année. 3 Cf références 4 Les références bibliographiques utilisées sont consultables à la rubrique «référence» 13

14 Incidence standardisée La méthode de standardisation directe a été utilisée afin de calculer les taux standardisés d incidence. La population de référence utilisée est la population standard européenne. La formule utilisée pour calculer les taux standardisés d incidence est la suivante : TSt= ω itspi TSt=taux standardisé d incidence ω i =poids de la tranche d âge i dans la population de référence Tsp i =taux spécifique d incidence pour la classe d âge i. L intervalle de confiance du taux standardisé d incidence a été calculé grâce à la formule suivante : i IC 95( TSt) = TSt± Var( TSt) avec =. i Var( TSt) k ω ² pai² k i =nombre de cas sur la période dans la classe d âge i ω i =poids de la classe d âge i dans la population de référence pa i =nombre de personnes- années sur la période dans la classe d âge i Sex ratio Le sex ratio a été calculé à partir des taux standardisés d incidence pour chaque sexe de la manière suivante : TSt(hommes) SR= TSt(femmes) L intervalle de confiance du sex ratio a été calculé ; le sex ratio est jugé significativement différent de 1 si l intervalle de confiance de celui-ci ne comprend pas la valeur 1. La méthode utilisée pour calculer l intervalle de confiance du sex ratio est la suivante : Var( TSta) Var( TStb) IC 95( LnSR) = LnSR± 1.96 Var( LnSR) avec Var ( LnSR) = + TSta² TStb² Dans les résultats qui suivent, une différence significative de répartition entre les hommes et les femmes est indiquée par le signe (S). Age moyen au diagnostic L âge moyen au diagnostic est calculé pour chaque période, accompagné de son intervalle de confiance à 95% (calcul selon la loi Normale). La comparaison des âges moyens au diagnostic durant les périodes et est effectuée grâce à un test du t de student. 14

15 Taux annuel moyen de variation Le taux annuel moyen de variation sur la période a été calculé, ainsi que son intervalle de confiance, afin de juger de l évolution de l incidence des cancers. On considère une augmentation significative si le taux annuel moyen de variation est supérieur à et que son intervalle de confiance ne contient pas. De la même façon, on considère une diminution significative si le taux annuel moyen de variation est inférieur à, et que son intervalle de confiance ne comprend pas la valeur. La comparaison s effectue entre la première période ( ) et la dernière période ( ). La formule utilisée pour calculer ce taux annuel moyen de variation est la suivante : 1/15 ( TSt4 ) α = 1 x1 TSt1 TSt 1 =taux standardisé d incidence entre 1983 et 1987 TSt 4 =taux standardisé d incidence entre 1998 et 22 L intervalle de confiance est calculé comme suit : 4 4 IC Ln( TSt ) Ln TSt ± 1.96 TSt1 TSt1 4 [ ] ( ) [ Ln( TSt 4 Var( TSt4) Var( = Var )] avec Var [ Ln( TSt )] = + TSt1 TSt1 TSt4² TSt1² 95. Le taux annuel moyen de variation est exprimé en %. Parallèlement à ce taux annuel moyen de variation, il est important de visualiser la forme globale de la courbe d évolution de l incidence. En effet, le taux annuel moyen de variation n est valable que dans les cas où l évolution est linéaire ou se rapproche de la linéarité. Dans les cas où l évolution ne semble pas linéaire, le taux annuel moyen de variation reflète une tendance qu il est important d accompagner d une discussion. TSt1) 15

16 16

17 2. Résultats 2.1 Bilan pour l année 22 En 22, 347 nouveaux cas de tumeurs 5 ont été enregistrés chez des résidents du Doubs. Nombre de nouveaux cas enregistrés pour l année 22 Hommes 1878 Femmes 1592 Hommes Tumeurs invasives les plus fréquemment diagnostiquées en 22 6 Femmes prostate poumon colon-rectum lèvre, bouche, pharynx vessie rein estomac lymphomes malins non hodgkiniens œsophage pancréas système nerveux central mélanome cutané foie syndromes myélodysplasiques * primitif inconnu syndromes lymphoprolifératifs chroniques B et T sein colon-rectum poumon corps utérin thyroide lymphomes malins non hodgkiniens mélanome cutané ovaire col utérin système nerveux central pancréas lèvre, bouche, pharynx estomac syndromes myélodysplasiques * primitif inconnu rein nombre de nouveaux cas diagnostiqués en nombre de nouveaux cas diagnostiqués en 22 * Syndromes myélodysplasiques et syndromes myéloprolifératifs-myélodysplasiques. 5 Y compris les carcinomes basocellulaires, les carcinomes spinocellulaires cutanés, les tumeurs non invasives de la vessie, et les tumeurs in-situ du col utérin et du sein. 6 Non compris les carcinomes basocellulaires et les carcinomes spinocellulaires cutanés. 17

18 - Les cancers les plus fréquents sont le cancer de la prostate chez les hommes et le cancer du sein chez les femmes, suivis des cancers du poumon et du colon-rectum. La part importante des hémopathies malignes est à noter. 7 Incidence spécifique par classe d'âge quinquennale toutes localisations, période Taux pour [;4] [5;9] hommes femmes [1;14] [15;19] [2;24] [25;29] [3;34] [35;39] [4;44] [45;49] Classe d'âge [5;54] [55;59] [6;64] [65;69] [7;74] [75;79] [8;84] [85;++] L analyse des taux spécifiques d incidence par tranche d âge quinquennale pour les tumeurs malignes invasives à l exclusion des carcinomes baso et spino cellulaires montre que les hommes ont une incidence superposable à celle des femmes jusqu à 54 ans. A partir de 55 ans, l incidence chez les hommes augmente de façon plus rapide que chez les femmes. 7 Pour information, les 6 cancers définis récemment par l Institut de Veille Sanitaire comme étant les cancers prioritaires à surveiller et étudier en lien avec l environnement sont : - les tumeurs du système nerveux central (1 ème en fréquence chez les hommes et les femmes), - le cancer du poumon (2 ème en fréquence chez les hommes, 3 ème chez les femmes), - les lymphomes malins non hodgkiniens (8 ème chez les hommes, 6 ème chez les femmes), - le mésothéliome de la plèvre, - les leucémies, - les mélanomes et autres cancers de la peau. 18

19 2.2 Toutes localisations (tumeurs invasives hors carcinomes cutanés basocellulaires et spinocellulaires), évolution Hommes Femmes Nombre de nouveaux cas en 22 : 1435 entre 1998 et 22 : 1251 Nombre de nouveaux cas en 22 : 137 entre 1998 et 22 : 938 Incidence standardisée Intervalle de confiance Sex ratio Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,21 [387,48 ; 412,95] 1,64 (S) 1983 à ,28 [234,16 ; 252,39] 1988 à ,21 [419,59 ; 444,84] 1,62 (S) 1988 à ,27 [258,2 ; 276,52] 1993 à ,99 [449,63 ; 474,36] 1,6 (S) 1993 à ,68 [279,44 ; 297,92] 1998 à ,77 [469,73 ; 493,81] 1,57 (S) 1998 à 22 35,87 [296,67 ; 315,7] Taux annuel moyen de variation : 1,24 [,98 ; 1,5] Taux annuel moyen de variation : 1,54 [1,23 ; 1,85] de 1983 à 22 de 1983 à Taux pour Taux pour Commentaires L incidence des cancers tend à augmenter de manière régulière ces 2 dernières années, avec un taux annuel moyen d évolution de 1,24% par an chez les hommes et 1,54% par an chez les femmes. Le sex ratio est significativement supérieur à 1, mais on peut noter une tendance lente à la diminution de celui-ci, en rapport avec une augmentation plus rapide de l incidence des cancers chez les femmes. L âge moyen au diagnostic est de 64,2 ans [63,8 ; 64,7] chez les femmes et 66,1 ans [65,7 ; 66,4] chez les hommes. Cependant, l âge au diagnostic est plus élevé chez les femmes que chez les hommes pour la grande majorité des localisations. Ce constat s explique par l incidence élevée des cancers de la prostate qui survient chez des sujets de plus de 7 ans. 19

20 2.3 Appareil digestif, évolution Colon-rectum Hommes Femmes Nombre de nouveaux cas en 22 : 179 entre 1998 et 22 : 15 Nombre de nouveaux cas en 22 : 19 entre 1998 et 22 : 116 Incidence standardisée Intervalle de confiance Sex ratio Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,38 [49,65 ; 59,12] 1,55 (S) 1983 à ,99 [31,64 ; 38,34] 1988 à ,79 [49,33 ; 58,26] 1,58 (S) 1988 à ,11 [3,9 ; 37,32] 1993 à ,16 [51,87 ; 6,46] 1,64 (S) 1993 à ,24 [31,23 ; 37,25] 1998 à 22 57,11 [52,99 ; 61,23] 1,76 (S) 1998 à 22 32,49 [29,66 ; 35,32] Taux annuel moyen de variation :,33 [-,39 ; 1,5] Taux annuel moyen de variation : -,49 [-1,3 ;,33] de 1983 à 22 de 1983 à 22 Taux pour Attention Echelles différentes entre hommes et femmes Taux pour Commentaires Le cancer du colon-rectum est l un des plus fréquents autant chez les hommes que chez les femmes. Il est significativement plus fréquent chez les hommes que chez les femmes. Son incidence est stable dans le temps dans les deux sexes. Le sex ratio montre une légère tendance à l augmentation. L âge moyen au diagnostic pour la dernière période est de 68,8 ans [67,9 ; 69,6] chez les hommes et 71,8 ans [7,7 ; 72,9] chez les femmes. L âge au diagnostic a significativement augmenté chez les femmes entre la première et la dernière période (cf annexe 3). 2

21 Estomac Hommes Femmes Nombre de nouveaux cas en 22 : 42 entre 1998 et 22 : 37 Nombre de nouveaux cas en 22 : 22 entre 1998 et 22 : 19 Incidence standardisée Intervalle de confiance Sex ratio Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,51 [19,44 ; 25,57] 2,6 (S) 1983 à ,65 [7,4 ; 1,25] 1988 à ,75 [13,34 ; 18,16] 2,61 (S) 1988 à ,4 [4,79 ; 7,29] 1993 à ,77 [11,65 ; 15,89] 2,39 (S) 1993 à ,76 [4,56 ; 6,96] 1998 à 22 13,97 [11,93 ; 16,1] 2,74 (S) 1998 à 22 5,11 [4,1 ; 6,2] Taux annuel moyen de variation : -3,13 [-4,34 ; -1,9] Taux annuel moyen de variation : -3,45 [-5,17 ; -1,71] de 1983 à 22 de 1983 à Taux pour Taux pour Commentaires Le cancer de l estomac est l un des rares cancers à montrer une nette tendance à la diminution. Le taux annuel moyen de variation est significativement inférieur à 1 dans les deux sexes, avec un diminution de plus de 3% par an en moyenne. A noter que la courbe de décroissance n est pas linéaire, et que la vitesse de diminution semble se ralentir sur la dernière période. Le cancer de l estomac est significativement plus fréquent chez les hommes. L âge moyen au diagnostic est de 7,3 ans [68,6 ; 72] chez les hommes et de 74 ans [71,3 ; 76,7] chez les femmes. Une augmentation significative de l âge au diagnostic est observé chez les hommes. 21

22 Cancer primitif du foie Hommes Femmes Nombre de nouveaux cas en 22 : 21 entre 1998 et 22 : 29 Nombre de nouveaux cas en 22 : 11 entre 1998 et 22 : 9 Incidence standardisée Intervalle de confiance Sex ratio Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,97 [6,18 ; 9,76] 5,32 (S) 1983 à ,5 [,81 ; 2,19] 1988 à ,39 [7,52 ; 11,26] 3,94 (S) 1988 à ,38 [1,53 ; 3,23] 1993 à ,8 [11,66 ; 15,94] 13,31 (S) 1993 à ,4 [,51 ; 1,56] 1998 à 22 11,18 [9,36 ; 13,] 4,56 (S) 1998 à 22 2,45 [1,71 ; 3,2] Taux annuel moyen de variation : 2,29 [,51 ; 4,1] Taux annuel moyen de variation : 3,34 [-,2 ; 7,1] de 1983 à 22 de 1983 à 22 Incidence standardisée Incidence standardisée Commentaires Le cancer du foie est fortement lié à la consommation d alcool, ce qui explique sa nette prédominance chez les hommes. L incidence des cancers du foie a augmenté de manière significative chez les hommes entre la première et la dernière période, mais on note une évolution particulière avec jusqu en 1997 une augmentation importante de l incidence des cancers primitifs du foie, puis depuis 1998 une inversion nette de la tendance. Chez les femmes, aucune tendance évolutive significative n est notée (effectifs faibles). L âge moyen au diagnostic est actuellement de 67,2 ans [65,4 ; 68,9] chez les hommes et de 74,3 [71,1 ; 77,6] chez les femmes. L âge moyen au diagnostic a augmenté significativement chez les femmes ces 2 dernières années. 22

23 Oesophage Hommes Femmes Nombre de nouveaux cas en 22 : 26 entre 1998 et 22 : 32 Nombre de nouveaux cas en 22 : 5 Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,38 [16,56 ; 22,19] 1983 à à ,25 [12,86 ; 17,63] 1988 à à ,94 [1,83 ; 15,4] 1993 à à 22 12,75 [1,76 ; 14,74] 1998 à 22 4 Taux annuel moyen de variation : -2,75 [-4,5 ; -1,43] de 1983 à 22 Incidence standardisée Effectif insuffisant, analyse non pertinente Commentaires Comme pour le cancer de l estomac, l incidence du cancer de l œsophage suit une évolution décroissante depuis de nombreuses années. Cette diminution de l incidence est significative chez les hommes. De la même façon que pour les cancers de l estomac, l évolution de l incidence des cancers de l œsophage n est pas linéaire, et on note un ralentissement de celle-ci sur la dernière période. Le cancer de l œsophage est très nettement plus fréquent chez les hommes. L âge moyen au diagnostic chez les hommes est de 64,9 ans [63,3 ; 66,6]. 23

24 Pancréas Hommes Femmes Nombre de nouveaux cas en 22 : 25 entre 1998 et 22 : 22 Nombre de nouveaux cas en 22 : 23 entre 1998 et 22 : 2 Incidence standardisée Intervalle de confiance Sex ratio Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,37 [4,73 ; 8,] 1,58 (S) 1983 à ,4 [2,91 ; 5,17] 1988 à ,6 [6,82 ; 1,38] 2,76 (S) 1988 à ,11 [2,17 ; 4,5] 1993 à ,85 [7,12 ; 1,57] 1,99 (S) 1993 à ,45 [3,4 ; 5,49] 1998 à 22 8,42 [6,82 ; 1,2] 1,61 (S) 1998 à 22 5,21 [4,11 ; 6,31] Taux annuel moyen de variation : 1,88 [-,16 ; 3,96] Taux annuel moyen de variation : 1,72 [-,51 ; 4,] de 1983 à 22 de 1983 à Taux pour Taux pour Commentaires Le cancer du pancréas ne montre pas d évolution significative sur ces 2 dernières années. Il est légèrement plus fréquent chez les hommes que chez les femmes. L âge moyen au diagnostic est de 67,3 ans [65,1 ; 69,4] chez les hommes et 74,5 ans [72,3 ; 76,7] chez les femmes. L âge moyen au diagnostic a significativement augmenté ces 2 dernières années. 24

25 Localisations rares de l appareil digestif Intestin grêle Vésicule et voies biliaires Autres organes digestifs Sexe Nombre de nouveaux cas diagnostiqués en 22 entre 1983 et 1987 Evolution depuis 1983 entre 1988 et 1992 entre 1993 et 1997 entre 1998 et 22 Hommes Femmes Hommes Femmes Hommes 1 1 Femmes Compte-tenu de la faiblesse des effectifs observés, aucune conclusion quant à l évolution de l incidence de ces cancers ne peut être avancée. On peut noter une légère prédominance féminine des cancers de la vésicule et des voies biliaires pour les années antérieures à

26 2.4 Oto-rhino-laryngologie, évolution Lèvres, bouche, pharynx Hommes Femmes Nombre de nouveaux cas en 22 : 69 entre 1998 et 22 : 89 Nombre de nouveaux cas en 22 : 22 entre 1998 et 22 : 17 Incidence standardisée Intervalle de confiance Sex ratio Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,83 [44,37 ; 53,3] 11,19 (S) 1983 à ,36 [3,11 ; 5,61] 1988 à ,8 [4,1 ; 48,14] 7,8 (S) 1988 à ,65 [4,27 ; 7,4] 1993 à ,76 [36,9 ; 43,43] 8,81 (S) 1993 à ,51 [3,36 ; 5,67] 1998 à 22 36,32 [32,92 ; 39,72] 6,4 (S) 1998 à 22 6,1 [4,68 ; 7,34] Taux annuel moyen de variation : -1,95 [-2,76 ; -1,14] Taux annuel moyen de variation : 2,16 [-,15 ; 4,52] de 1983 à 22 de 1983 à 22 Taux pour Attention Echelles différentes entre hommes et femmes Taux pour Commentaires Les cancers des lèvres, de la cavité buccale et du pharynx sont principalement liés à la consommation de tabac. Comme pour les autres cancers liés au tabac (larynx, poumon), on observe une évolution inverse dans les deux sexes. Chez les hommes, on note une diminution franche de l incidence, alors que chez les femmes, la tendance est plutôt à l augmentation (tendance non significative). L âge moyen au diagnostic pour les hommes est de 59,6 ans [58,6 ; 6,6] et de 62,6 ans [59 ; 66,2] chez les femmes. 26

27 Larynx Hommes Femmes Nombre de nouveaux cas en 22 : 17 entre 1998 et 22 : 25 Nombre de nouveaux cas en 22 : 2 Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,12 [13,55 ; 18,7] 1983 à à ,31 [15,69 ; 2,94] 1988 à à ,51 [13,2 ; 17,81] 1993 à à 22 9,98 [8,22 ; 11,74] 1998 à 22 3 Taux annuel moyen de variation : -3,15 [-4,59 ; -1,68] de 1983 à 22 Taux pour Effectif insuffisant, analyse non pertinente Commentaires Le cancer du larynx, très lié à la consommation de tabac, suit, chez les hommes, une évolution biphasique avec une augmentation de l incidence entre les deux premières périodes, puis une diminution franche de celle-ci. Entre la première et la dernière période étudiée, on observe une diminution de l incidence de plus de 3% par an. Chez les femmes, le nombre de cas est trop faible pour interpréter des tendances évolutives. L âge moyen au diagnostic est de 62,7 ans [6,6 ; 64,7] chez les hommes. 27

28 Localisations rares de la sphère ORL Fosses nasales, oreilles, sinus Sexe Nombre de nouveaux cas diagnostiqués en 22 entre 1983 et 1987 Evolution depuis 1983 entre 1988 et 1992 entre 1993 et 1997 entre 1998 et 22 Hommes Femmes Commentaires : Compte-tenu de la faiblesse des effectifs observés, aucune conclusion quant à l évolution de l incidence de ces cancers ne peut être avancée. On note une légère prédominance masculine des cancers des fosses nasales, des oreilles et des sinus. 28

29 2.5 Cancer du sein, évolution Sein invasif Hommes Femmes Nombre de nouveaux cas en 22 : 2 Nombre de nouveaux cas en 22 : 375 entre 1998 et 22 : 314 Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à à ,64 [77,18 ; 88,9] 1988 à à ,78 [83,31 ; 94,26] 1993 à à ,41 [94,8 ; 16,3] 1998 à à ,17 [15,48 ; 116,86] Taux annuel moyen de variation : 2, [1,46 ; 2,54] de 1983 à 22 Effectif insuffisant, analyse non pertinente Taux pour Commentaires Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez les femmes. Son évolution depuis une vingtaine d années montre une augmentation significative de son taux d incidence, avec une augmentation annuelle de l ordre de 2%. Chez les hommes, le cancer du sein est un cancer rare. L âge moyen au diagnostic chez les femmes est de 61,3 ans [6,6 ; 62] ; on note une augmentation significative de l âge au diagnostic entre la première et la dernière période étudiée. Les cancers in situ sont enregistrés par le Registre depuis 1997 ; l incidence de ces cancers in situ est de 12,53 pour 1 5 [1,6 ; 15,5]. L âge moyen au diagnostic de ces cancers in situ est de 57,6 ans. 29

30 2.6 Appareil génital féminin, évolution Col utérin invasif Nombre de nouveaux cas en 22 : 29 entre 1998 et 22 : 27 Col utérin in situ Nombre de nouveaux cas en 22 : 1 entre 1998 et 22 : 95 Incidence standardisée Intervalle de confiance Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,81 [1,67 ; 14,94] 1988 à ,86 [8,99 ; 12,73] Analyse non effectuée 1993 à ,8 [8,33 ; 11,82] 27,71 [24,81 ; 3,62] 1998 à 22 1,5 [8,33 ; 11,78] 37,22 [33,86 ; 4,57] Taux annuel moyen de variation : -1,6 [-3,8 ; -,1] de 1983 à 22 de 1983 à 22 Taux pour Taux pour Commentaires Depuis 1983, l incidence des cancers invasifs du col utérin a fortement diminué. Les cancers in situ, enregistrés par le Registre depuis 1993, sont eux en augmentation franche (généralisation du frottis cervico-vaginal). Cependant, on note ces dernières années une diminution moins marquée des cancers invasifs, malgré l augmentation des lésions in situ. Le rapport in situ / invasif est actuellement à 3,7, probablement en rapport avec un sous-enregistrement des cancers in situ. L âge moyen au diagnostic est actuellement de 52,1 ans [49,5 ; 54,8] pour les cancers invasifs et est en constante diminution depuis 1983 ; l âge moyen au diagnostic des lésions in situ est de 37,9 ans [37 ; 38,9]. 3

31 Corps utérin Nombre de nouveaux cas en 22 : 47 entre 1998 et 22 : 46 Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,11 [1,98 ; 15,24] 1988 à ,72 [11,64 ; 15,81] 1993 à ,15 [12,6 ; 16,25] 1998 à 22 15,35 [13,27 ; 17,43] Taux annuel moyen de variation : 1,5 [-,29 ; 2,42] Ovaires Nombre de nouveaux cas en 22 : 33 entre 1998 et 22 : 38 Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,65 [11,44 ; 15,85] 1988 à ,85 [9,88 ; 13,83] 1993 à ,66 [11,61 ; 15,71] 1998 à 22 12,66 [1,76 ; 14,56] Taux annuel moyen de variation : -,5 [-1,88 ;,9] de 1983 à 22 de 1983 à 22 Taux pour Taux pour Commentaires L incidence du cancer du corps utérin semble stable dans le temps, avec une légère tendance non significative à l augmentation. L âge moyen au diagnostic des cancers du corps utérin est de 66,9 ans [65,4 ; 68,4]. Commentaires L incidence du cancer des ovaires parait relativement stable dans le temps. L âge moyen au diagnostic des cancers de l ovaire est de 64,7 ans [62,7 ; 66,8] ; cet âge au diagnostic a augmenté de manière significative entre 1983 et

32 Localisations rares de l appareil génital féminin Nombre de nouveaux cas diagnostiqués en 22 entre 1983 et 1987 Evolution depuis 1983 entre 1988 et 1992 entre 1993 et 1997 entre 1998 et 22 Vulve Vagin Autres cancers de l utérus Placenta 1 1 Autres organes génitaux féminins Commentaires : Compte-tenu de la faiblesse des effectifs observés, aucune conclusion quant à l évolution de l incidence de ces cancers ne peut être avancée. 32

33 2.7 Appareil génital masculin, évolution Testicule Nombre de nouveaux cas en 22 : 11 entre 1998 et 22 : 15 Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,78 [2,68 ; 4,88] 1988 à ,36 [4,7 ; 6,64] 1993 à ,94 [3,72 ; 6,15] 1998 à 22 5,93 [4,6 ; 7,27] Taux annuel moyen de variation : 3,4 [,68 ; 5,46] Prostate Nombre de nouveaux cas en 22 : 474 entre 1998 et 22 : 36 Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,55 [43,14 ; 51,97] 1988 à ,72 [65,64 ; 75,8] 1993 à ,29 [76,16 ; 86,42] 1998 à ,48 [18,7 ; 12,26] Taux annuel moyen de variation : 6,3 [5,32 ; 6,74] de 1983 à 22 de 1983 à 22 Taux pour Taux pour Commentaires L incidence des cancers du testicule est en nette augmentation, avec une augmentation annuelle de l ordre de 3%. Cette augmentation n est pas régulière dans le temps, avec en particulier un léger décrochement entre la deuxième et la troisième période. Une étude récente sur les données du Registre a montré une augmentation plus importante des tumeurs séminomateuses que des tumeurs non séminomateuses. L âge moyen au diagnostic est de 35,4 ans [33 ; 37,8]. Commentaires Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l homme. Son incidence a presque triplé ces 2 dernières années, l augmentation annuelle moyenne étant de l ordre de 6%. Cette augmentation est probablement due en grande partie à une modification des pratiques diagnostiques. L âge moyen au diagnostic est actuellement de 71,8 ans [71,3 ; 72,2] ; il a diminué significativement ces 2 dernières années. 33

34 Localisations rares de l appareil génital masculin Nombre de nouveaux cas diagnostiqués en 22 entre 1983 et 1987 Evolution depuis 1983 entre 1988 et 1992 entre 1993 et 1997 entre 1998 et 22 Verge Autres organes génitaux masculins Commentaires : Compte-tenu de la faiblesse des effectifs observés, aucune conclusion quant à l évolution de l incidence de ces cancers ne peut être avancée. 34

35 2.8 Appareil urinaire, évolution Rein Hommes Femmes Nombre de nouveaux cas en 22 : 42 entre 1998 et 22 : 34 Nombre de nouveaux cas en 22 : 17 entre 1998 et 22 : 15 Incidence standardisée Intervalle de confiance Sex ratio Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,27 [6,45 ; 1,1] 1,76 (S) 1983 à ,7 [3,43 ; 5,96] 1988 à ,83 [8,83 ; 12,84] 1,48 (S) 1988 à ,29 [5,75 ; 8,84] 1993 à ,4 [9,45 ; 13,35] 2,19 (S) 1993 à ,21 [3,98 ; 6,43] 1998 à 22 13,54 [11,49 ; 15,59] 2,74 (S) 1998 à 22 4,93 [3,78 ; 6,9] Taux annuel moyen de variation : 3,34 [1,6 ; 5,1] Taux annuel moyen de variation :,33 [-1,91 ; 2,62] de 1983 à 22 de 1983 à 22 Taux pour Attention Echelles différentes entre hommes et femmes Taux pour Commentaires Le cancer du rein est en nette augmentation chez les hommes avec une augmentation annuelle moyenne légèrement supérieure à 3%. Chez les femmes, l incidence du cancer du rein semble au contraire relativement stable, mais on peut observer un pic d incidence durant la période Le sex ratio est en légère augmentation au cours du temps, toujours significativement supérieur à 1. L âge moyen au diagnostic des cancers du rein est de 64,2 ans [62,2 ; 66,2] chez les hommes et de 66,1 ans [63 ; 69,1] chez les femmes. 35

36 Vessie Hommes Femmes Nombre de nouveaux cas en 22 : 64 entre 1998 et 22 : 62 Nombre de nouveaux cas en 22 : 14 entre 1998 et 22 : 13 Incidence standardisée Intervalle de confiance Sex ratio Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,85 [16,9 ; 21,62] 7,7 (S) 1983 à ,67 [1,79 ; 3,54] 1988 à ,43 [2,47 ; 26,39] 6,47 (S) 1988 à ,62 [2,6 ; 4,64] 1993 à ,37 [2,59 ; 26,14] 7, (S) 1993 à ,34 [2,42 ; 4,26] 1998 à 22 23,83 [21,16 ; 26,49] 7,58 (S) 1998 à 22 3,14 [2,32 ; 3,97] Taux annuel moyen de variation : 1,57 [,39 ; 2,77] Taux annuel moyen de variation : 1,11 [-1,55 ; 3,83] de 1983 à 22 de 1983 à Taux pour Taux pour Commentaires Chez les hommes, l incidence du cancer de la vessie a significativement augmenté ces 2 dernières années avec une évolution biphasique : augmentation franche jusqu'en 1987, puis incidence stable jusqu à aujourd hui. Cette évolution est à rapprocher de celle des cancers du poumon. L incidence parait stable chez les femmes. L âge moyen au diagnostic est chez les hommes de 7,6 ans [69,4 ; 71,7] et chez les femmes de 75,7 ans [72,6 ; 78,8]. L âge au diagnostic a significativement augmenté chez les hommes ces 2 dernières années. 36

37 Localisations rares de l appareil urinaire Voies urinaires Autres organes de l appareil urinaire Sexe Nombre de nouveaux cas diagnostiqués en 22 entre 1983 et 1987 Evolution depuis 1983 entre 1988 et 1992 entre 1993 et 1997 entre 1998 et 22 Hommes Femmes Hommes 1 Femmes Commentaires : Compte-tenu de la faiblesse des effectifs observés, aucune conclusion quant à l évolution de l incidence de ces cancers ne peut être avancée. 37

38 2.9 Cancers de la peau, évolution Mélanomes cutanés Hommes Femmes Nombre de nouveaux cas en 22 : 24 entre 1998 et 22 : 23 Nombre de nouveaux cas en 22 : 35 entre 1998 et 22 : 36 Incidence standardisée Intervalle de confiance Sex ratio Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,29 [3,3 ; 5,56],64 (S) 1983 à ,68 [5,19 ; 8,17] 1988 à ,6 [4,59 ; 7,53],57 (S) 1988 à ,56 [8,72 ; 12,4] 1993 à ,55 [5,99 ; 9,11],64 (S) 1993 à ,83 [9,9 ; 13,76] 1998 à 22 8,92 [7,26 ; 1,57],72 (S) 1998 à 22 12,36 [1,48 ; 14,24] Taux annuel moyen de variation : 4,99 [2,7 ; 7,33] Taux annuel moyen de variation : 4,19 [2,42 ; 5,99] de 1983 à 22 de 1983 à 22 Taux pour Taux pour Commentaires Depuis de nombreuses années, l incidence du mélanome est à la hausse dans les deux sexes, avec une augmentation annuelle moyenne significative proche de 5% chez les hommes, légèrement supérieure à 4% chez les femmes. L évolution semble cependant se ralentir ces dernières années chez les femmes. Le mélanome est plus fréquent chez les femmes, avec un sex ratio à.72 ces 5 dernières années. L âge moyen au diagnostic est de 55,3 ans [51,9 ; 58,6] chez les hommes et de 58,1 ans [55,3 ; 6,8] chez les femmes. Ces 2 dernières années, l âge moyen au diagnostic a significativement augmenté chez les femmes. 38

39 Carcinomes spinocellulaires cutanés Hommes Femmes Nombre de nouveaux cas en 22 : 71 entre 1998 et 22 : 86 Nombre de nouveaux cas en 22 : 74 entre 1998 et 22 : 69 Incidence standardisée Intervalle de confiance Sex ratio Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,46 [15,7 ; 21,21] 2,95 (S) 1983 à ,26 [4,99 ; 7,53] 1988 à ,67 [2,73 ; 26,61] 2,32 (S) 1988 à ,2 [8,59 ; 11,82] 1993 à ,93 [26,81 ; 33,5] 2,18 (S) 1993 à ,71 [11,97 ; 15,46] 1998 à 22 31,47 [28,48 ; 34,46] 1,87 (S) 1998 à 22 16,87 [14,94 ; 18,8] Taux annuel moyen de variation : 3,62 [2,47 ; 4,79] Taux annuel moyen de variation : 6,83 [5,27 ; 8,42] de 1983 à 22 de 1983 à 22 Taux pour Taux pour Commentaires Les carcinomes spinocellulaires sont en nette augmentation dans les deux sexes. L augmentation annuelle se situe à 3,62% chez les hommes et 6,83% chez les femmes, ce qui fait de ce cancer l un de ceux qui augmentent le plus rapidement. Le sexe ratio diminue lentement, mais est toujours significativement supérieur à 1. L âge moyen au diagnostic est chez les hommes de 74,4 ans [73,4 ; 75,4], et de 77 ans [75,7 ; 78,4] chez les femmes. Depuis 1983, on note une augmentation significative de l âge moyen au diagnostic chez les hommes. 39

40 Carcinomes basocellulaires cutanés Hommes Femmes Nombre de nouveaux cas en 22 : 28 entre 1998 et 22 : 279 Nombre de nouveaux cas en 22 : 312 entre 1998 et 22 : 298 Incidence standardisée Intervalle de confiance Sex ratio Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,79 [41,47 ; 5,11],99 (NS) 1983 à ,3 [42,14 ; 49,92] 1988 à ,55 [61,61 ; 71,5] 1,22 (S) 1988 à ,7 [5,61 ; 58,79] 1993 à ,28 [79,96 ; 9,61] 1,2 (S) 1993 à ,92 [66,43 ; 75,41] 1998 à 22 17,32 [11,65 ; 112,99] 1,16 (S) 1998 à 22 92,85 [87,86 ; 97,85] Taux annuel moyen de variation : 5,84 [5,12 ; 6,57] Taux annuel moyen de variation : 4,79 [4,13 ; 5,46] de 1983 à 22 de 1983 à Taux pour Taux pour Commentaires Sur les 2 dernières années, l incidence des carcinomes basocellulaires cutanés a doublé dans les deux sexes. Le pourcentage annuel d augmentation est respectivement de 5,84 chez les hommes, et de 4,79 chez les femmes. Le carcinome basocellulaire cutané est légèrement plus fréquent chez les hommes. L âge moyen au diagnostic est actuellement de 66,7 ans [66 ; 67,4] chez les hommes et chez les femmes de 66,5 ans [65,7 ; 67,3]. Depuis 1983, on note une augmentation significative de l âge moyen au diagnostic chez les hommes. 4

41 Cancers cutanés rares Autres cancers cutanés Sexe Nombre de nouveaux cas diagnostiqués en 22 entre 1983 et 1987 Evolution depuis 1983 entre 1988 et 1992 entre 1993 et 1997 entre 1998 et 22 Hommes Femmes Commentaires : Compte-tenu de la faiblesse des effectifs observés, aucune conclusion quant à l évolution de l incidence de ces cancers ne peut être avancée. 41

42 2.1 Organes intra-thoraciques, évolution Poumon Hommes Femmes Nombre de nouveaux cas en 22 : 214 entre 1998 et 22 : 196 Nombre de nouveaux cas en 22 : 52 entre 1998 et 22 : 4 Incidence standardisée Intervalle de confiance Sex ratio Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,31 [67,84 ; 78,79] 11,8 (S) 1983 à ,21 [4,73 ; 7,69] 1988 à ,28 [68,5 ; 78,5] 8,3 (S) 1988 à ,12 [7,4 ; 1,83] 1993 à ,49 [79,49 ; 84,65] 7,25 (S) 1993 à ,97 [9,18 ; 12,75] 1998 à 22 76,23 [71,42 ; 81,3] 5,72 (S) 1998 à 22 13,32 [11,39 ; 15,25] Taux annuel moyen de variation :,26 [-,36 ;,88] Taux annuel moyen de variation : 5,21 [3,37 ; 7,9] de 1983 à 22 de 1983 à 22 Taux pour Attention Echelles différentes entre hommes et femmes Taux pour Commentaires Le cancer du poumon, très fortement lié au tabagisme, présente une évolution différente dans les deux sexes. Chez les hommes on observe une incidence stable dans le temps. Chez les femmes, dont le tabagisme est plus récent, on observe par contre une augmentation nette de l incidence, avec un doublement de l incidence ces 2 dernières années. Le sex ratio a été divisé par 2 en 2 ans. L âge au diagnostic est de 65,5 ans [64,8 ; 66,2] chez les hommes et de 64,1 ans [62,3 ; 66] chez les femmes. On note une augmentation significative de l âge moyen au diagnostic chez les hommes ces 2 dernières années. 42

43 Cancers intra-thoraciques rares Mésothéliome de la plèvre Autres cancers de la plèvre Autres organes intrathoraciques Sexe Nombre de nouveaux cas diagnostiqués en 22 entre 1983 et 1987 Evolution depuis 1983 entre 1988 et 1992 entre 1993 et 1997 entre 1998 et 22 Hommes Femmes Hommes 1 Femmes 1 Hommes Femmes Commentaires : Compte-tenu de la faiblesse des effectifs observés, aucune conclusion quant à l évolution de l incidence de ces cancers ne peut être avancée. Le mésothéliome de la plèvre semble plus fréquent chez les hommes que chez les femmes. 43

44 2.11 Glandes endocrines, évolution Thyroïde Hommes Femmes Nombre de nouveaux cas en 22 : 9 entre 1998 et 22 : 12 Nombre de nouveaux cas en 22 : 45 entre 1998 et 22 : 36 Incidence standardisée Intervalle de confiance Sex ratio Incidence standardisée Intervalle de confiance 1983 à ,87 [1,3 ; 2,71],46 (S) 1983 à ,4 [2,86 ; 5,23] 1988 à ,25 [,61 ; 1,89],19 (S) 1988 à ,52 [5,5 ; 7,99] 1993 à ,12 [1,28 ; 2,96],24 (S) 1993 à ,8 [7,12 ; 1,47] 1998 à 22 4,77 [3,56 ; 5,99],35 (S) 1998 à 22 13,7 [11,65 ; 15,73] Taux annuel moyen de variation : 6,44 [3,3 ; 9,96] Taux annuel moyen de variation : 8,48 [6,26 ; 1,75] de 1983 à 22 de 1983 à 22 Taux pour Taux pour Commentaires Le cancer de la thyroïde est le cancer dont l incidence a le plus rapidement augmenté ces 2 dernières années dans le Doubs, et ce dans les deux sexes. L augmentation annuelle moyenne a été de 6,44% chez les hommes, et 8,48% chez les femmes (incidence multipliée par 3 en 2 ans). On observe que cette augmentation a été surtout rapide entre les deux dernières périodes étudiées. Le cancer de la thyroïde est toujours plus fréquent chez les femmes. L âge moyen au diagnostic est chez les hommes de 51 ans [46,5 ; 55,4] et de 5,3 ans [48,1 ; 52,6] chez les femmes. 44

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques

Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques 2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données

Plus en détail

.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!

.( /.*!0) %1 2+ %#(3004) 05' 203 .(.*0+ ) '!2+ %#(30+ 0!%) 4!%2) 3 .( @.* '!%2+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2+ 16 3047! !"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*

Plus en détail

Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon

Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto

Plus en détail

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention

Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au

Plus en détail

RAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire

RAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire Sommaire 1. Introduction 2. Attentes exprimées 3. Les questions fréquentes 4. Les statistiques 5. Les enquêtes 6. Retours et témoignages 7. Evaluations et indicateurs Notre MISSION : Informer, Conseiller

Plus en détail

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données

Plus en détail

Le cancer dans le canton de Fribourg

Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer du poumon dans le canton de Fribourg, analyses statistiques réalisées sur la base des données récoltées par le Registre fribourgeois des tumeurs depuis début

Plus en détail

PROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES

PROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES ETABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER PUBLIC DU COTENTIN (CHPC) CHERBOURG (50) Deuxième établissement hospitalier de Basse-Normandie. SPECIALITE RECHERCHEE Anatomie et cytologie pathologiques (ACP). COMPETENCES

Plus en détail

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février

Plus en détail

Second cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein

Second cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie

Plus en détail

Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT

Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT ATELIER PROJETS REGIONAUX DEMONSTRATION Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT 1 I. CONTEXTE L Agence Régionale

Plus en détail

Le dépistage des cancers

Le dépistage des cancers Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et

Plus en détail

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco

Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie

Plus en détail

Les plateformes de génétique

Les plateformes de génétique Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012

Plus en détail

Pr. Pierre FUMOLEAU Directeur Général du Centre de Lutte Contre le Cancer Georges-François Leclerc (CGFL)

Pr. Pierre FUMOLEAU Directeur Général du Centre de Lutte Contre le Cancer Georges-François Leclerc (CGFL) C Ouverture INTRODUCTION RENCONTRES DES 25 et 26 JUIN 2014 Accueil des Participants Pr. Pierre FUMOLEAU Directeur Général du Centre de Lutte Contre le Cancer Georges-François Leclerc (CGFL) 25 juin 9h30

Plus en détail

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération

Plus en détail

Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012

Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012 R A P P O R T Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de Pôle Radioprotection, Environnement, Déchets et Crise RESUME Ce rapport met à jour, pour l année 2012, les

Plus en détail

Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale

Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Caisse Nationale de l'assurance Maladie des Travailleurs Salariés Sécurité Sociale Circulaire CNAMTS MMES et MM les Directeurs Date : - des Caisses Régionales d'assurance Maladie 27/03/96 - des Caisses

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

Estimation nationale de l incidence et de la mortalité par cancer en France entre 1980 et 2012

Estimation nationale de l incidence et de la mortalité par cancer en France entre 1980 et 2012 JUILLET 2013 Estimation nationale de l incidence et de la mortalité par cancer en France entre 1980 et 2012 Étude à partir des registres des cancers du réseau Francim Partie 1 Tumeurs solides Auteurs Florence

Plus en détail

Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages

Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Centre Hospitalier Pontoise Service d Hématologie clinique et Thérapie cellulaire Bâtiment Médico-Chirurgical - 3 ème et 4 ème étages Chef de service : Dr Hugo GONZALEZ Accueil secrétariat 01 30 75 49

Plus en détail

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie

Plus en détail

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester

Plus en détail

F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France

F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France 18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital

Plus en détail

à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale

à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale 25 ans de lutte contre les leucémies et l infarctus du myocarde Fondé en 1987 par le Professeur Philippe Hénon et localisé au sein de l Hôpital du Hasenrain

Plus en détail

Marchés des groupes à affinités

Marchés des groupes à affinités Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime

Plus en détail

DOSSIER D'INSCRIPTION

DOSSIER D'INSCRIPTION CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NICE ECOLE D' INFIRMIERS ANESTHESISTES CONCOURS D ENTREE DOSSIER D'INSCRIPTION DATE LIMITE DE DEPOT LE DERNIER JOUR OUVRABLE DU MOIS DE MARS ANNEE N ECOLE INFIRMIERS

Plus en détail

Essai de Phase II. Médecin coordonnateur : Statisticien : Ouverture 23 juillet 2013. Pr Gilles VASSAL Gustave Roussy - Villejuif

Essai de Phase II. Médecin coordonnateur : Statisticien : Ouverture 23 juillet 2013. Pr Gilles VASSAL Gustave Roussy - Villejuif Essai de Phase II Accès sécurisé au crizotinib pour les patients souffrant d une tumeur porteuse d une altération génomique sur une des cibles biologiques de la molécule. Sponsor N : UC-5/ EudraCT N :

Plus en détail

Statistiques canadiennes sur le cancer 2014 Sujet particulier : les cancers de la peau

Statistiques canadiennes sur le cancer 2014 Sujet particulier : les cancers de la peau Statistiques canadiennes sur le cancer 2014 Sujet particulier : les cancers de la peau Produit par : Société canadienne du cancer, Statistique Canada, Agence de la santé publique du Canada, Registres provinciaux

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

Les salariés de l économie sociale et solidaire

Les salariés de l économie sociale et solidaire L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22

Plus en détail

Apport de l IRM dans la

Apport de l IRM dans la Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction

Plus en détail

La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation

La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg

Plus en détail

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT

INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////

Plus en détail

Surveillance épidémiologique en Lorraine

Surveillance épidémiologique en Lorraine CIRE LORRAINE- ALSACE Surveillance épidémiologique en Lorraine Point de situation au 2 juillet 2, n 2-16, 16, 26 Sommaire Surveillance par pathologie : - allergies... 2 - asthme...3 - pathologies liées

Plus en détail

DIPLOME DE CHIRURGIE ORALE

DIPLOME DE CHIRURGIE ORALE DIPLOME DE CHIRURGIE ORALE ORGANIGRAMME DES SEMINAIRES Promotion 2013 FORMATION COMPLEMENTAIRE EN MEDECINE POUR LES MEDECINS Pour les enseignants, ces enseignements seront à faire tous les 2 ans 1 - Module

Plus en détail

RNV3P Recherche de pathologies émergentes

RNV3P Recherche de pathologies émergentes EPSP Ecole Doctorale Ingénierie Santé Cognition Environnement RNV3P Recherche de pathologies émergentes V Bonneterre, L Faisandier, DJ Bicout, R De Gaudemaris pour les membres du RNV3P Laboratoire Environnement

Plus en détail

Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012

Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012 Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012 Des tendances d évolution différenciées pour les femmes

Plus en détail

Le Centre Léon Bérard Equité, globalité, qualité, innovation. Juin 2011

Le Centre Léon Bérard Equité, globalité, qualité, innovation. Juin 2011 Le Centre Léon Bérard Equité, globalité, qualité, innovation Juin 2011 1 Sommaire Présentation institutionnelle... 3 Un projet stratégique : le projet d établissement... 5 Un hôpital certifié par la Haute

Plus en détail

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE

Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation

Plus en détail

Colloque International sur les Politiques de Santé

Colloque International sur les Politiques de Santé République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière en collaboration avec Ecole Nationale Supérieure en Sciences Politiques Colloque International

Plus en détail

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL

SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL Etat du tissu associatif et bilan de l emploi du secteur non lucratif en 2013 En bref Le Centre de ressources DLA (CRDLA) du champ social, médico-social et santé poursuit son

Plus en détail

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication

Plus en détail

Mortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de juillet 2006 en France métropolitaine

Mortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de juillet 2006 en France métropolitaine Mortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de uillet en France métropolitaine FOUILLET A 1, REY G 1, JOUGLA E, HÉMON D 1 1 Inserm, U75, Villeuif, France. Inserm CépiDc, IFR9,

Plus en détail

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

Thérapies ciblées en Onco-Hématologie

Thérapies ciblées en Onco-Hématologie Thérapies ciblées en Onco-Hématologie 1 er au 4 avril 2014 salle de séminaire Institut Universitaire d Hématologie Hôpital Saint-Louis, Paris Coordination: Dr Guilhem Bousquet Comité scientifique: Philippe

Plus en détail

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît

Plus en détail

Assurance maladie grave

Assurance maladie grave ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès

Plus en détail

Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône

Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Surveillance des troubles musculo-squelettiques dans les Bouches-du-Rhône Étude du syndrome du canal carpien opéré 2008-2009 Septembre 2011 F. Sillam 1,

Plus en détail

1 of 5 02/11/2012 14:03

1 of 5 02/11/2012 14:03 1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça

Plus en détail

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP

Plus en détail

CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie

CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine

Plus en détail

Le cancer. les régions de France. dans. Mortalité Incidence Affections de longue durée Hospitalisations. Collection «Les études du réseau des ORS»

Le cancer. les régions de France. dans. Mortalité Incidence Affections de longue durée Hospitalisations. Collection «Les études du réseau des ORS» F N O R S Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS de Bretagne, Franche-Comté, Languedoc-Roussillon, Limousin, Pays de la Loire, Rhône-Alpes Le cancer dans les régions de Mortalité

Plus en détail

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation

Plus en détail

«La rapidité ne doit pas primer sur la qualité»

«La rapidité ne doit pas primer sur la qualité» Interview avec le Prof. Dr Fernando Schmitt «La rapidité ne doit pas primer sur la qualité» Prof. Dr Fernando Schmitt Anatomopathologiste En septembre 2014, le Prof. Fernando Schmitt a rejoint le Laboratoire

Plus en détail

V. GUILLERMINET, E. EUVRARD, C. MEYER Service de Chirurgie Maxillo-Faciale et Stomatologie CHRU Jean Minjoz, Besançon

V. GUILLERMINET, E. EUVRARD, C. MEYER Service de Chirurgie Maxillo-Faciale et Stomatologie CHRU Jean Minjoz, Besançon V. GUILLERMINET, E. EUVRARD, C. MEYER Service de Chirurgie Maxillo-Faciale et Stomatologie CHRU Jean Minjoz, Besançon 1 Définition : Santé bucco-dentaire (OMS Avril 2012) Essentielle pour l état général

Plus en détail

GUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES. Agissons contre l herpès

GUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES. Agissons contre l herpès GUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES Agissons contre l herpès L Herpès : une maladie très répandue En France, on estime qu environ 10 millions de personnes sont porteuses du virus de l herpès à

Plus en détail

Cancer et environnement

Cancer et environnement PATHOLOGIES Cancer et environnement Le cancer est une maladie caractérisée par une prolifération importante et anarchique de cellules anormales qui ont la capacité d envahir et de détruire les tissus sains

Plus en détail

Déclaration médicale. Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur.

Déclaration médicale. Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur. Déclaration médicale Ce document vaut demande d enquête de la part de l assureur. Les données communiquées ci-après seront nécessaires pour pouvoir formuler une offre d assurance. Important Le candidat

Plus en détail

Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté

Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté Dr Denis BABORIER CH LONS-LE-SAUNIER 31 Août 2009 La géographie du projet ISYS Projet d informatisation du système de soins Franche-Comté EMOSIST-fc

Plus en détail

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale

Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale

Plus en détail

Incontinence urinaire : trop souvent taboue

Incontinence urinaire : trop souvent taboue Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :

Plus en détail

Surveillance épidémiologique de la mortalité et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise PRINCIPES GÉNÉRAUX ET DONNÉES NÉCESSAIRES

Surveillance épidémiologique de la mortalité et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise PRINCIPES GÉNÉRAUX ET DONNÉES NÉCESSAIRES Surveillance épidémiologique de la mortalité et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise PRINCIPES GÉNÉRAUX ET DONNÉES NÉCESSAIRES et investigation d agrégats spatio-temporels en entreprise

Plus en détail

Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques

Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p

Plus en détail

Présentation des intervenants et modérateurs

Présentation des intervenants et modérateurs «NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur

Plus en détail

CRITERES DE REMPLACEMENT

CRITERES DE REMPLACEMENT ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires

Plus en détail

DECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI)

DECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI) DECLARATION PUBLIQUE D'INTERETS (DPI) Arrêté du 5 juillet 2012 portant fixation du document type de la déclaration publique d'intérêts mentionnée à l'article L. 1451-1 du code de la santé publique Je soussigné(e)

Plus en détail

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013

La preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013 La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES

Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres

Plus en détail

Les Dossiers Médicaux Partagés en Franche-Comté :

Les Dossiers Médicaux Partagés en Franche-Comté : Les Dossiers Médicaux Partagés en Franche-Comté : Retour d'expérience du GCS EMOSIT-FC GCS EMOSIST-fc 10, avenue Clemenceau 25000 Besançon PLAN DE LA PRESENTATION 1 La Franche-Comté & EMOSIST-FC 2 Organiser

Plus en détail

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!

Le dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient! Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique

Plus en détail

Recommandations pour le troisième Plan Cancer

Recommandations pour le troisième Plan Cancer RAPPORT À LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ ET À LA MINISTRE DE L'ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE Recommandations pour le troisième Plan Cancer PROFESSEUR JEAN-PAUL VERNANT JUILLET

Plus en détail

VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000

VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 CENTRE DE DÉPISTAGE ANONYME ET GRATUIT DE MONTPELLIER VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 Juin 2002 Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon Hôpital Saint-Eloi

Plus en détail

Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III

Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,

Plus en détail

introduction & sommaire

introduction & sommaire introduction & sommaire 3 MT* - MALE TO SOMETHING est une brochure pour les personnes assignées hommes par les sciences biomédicales et qui sont en transition vers une identité fluide ou féminisée et toutes

Plus en détail

Secteur Protégé d Hématologie

Secteur Protégé d Hématologie INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de

Plus en détail

FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER

FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER Date d'effet : Échéance Annuelle : Périodicité : Annuelle Semestrielle Durée : 1. LE PROPOSANT (sera le preneur

Plus en détail

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013

LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,

Plus en détail

Compte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil.

Compte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil. Compte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil.org I. Informations diverses présentées par AS. Rigaud & B. Dubois

Plus en détail

Dermatoses professionnelles dans la BTP : données issues du rnv3p.

Dermatoses professionnelles dans la BTP : données issues du rnv3p. Dermatoses professionnelles dans la BTP : données issues du rnv3p. Bensefa-Colas L, Crépy MN, Dupas D, Géraut C, Faye S, Luc A, Le Barbier M, Choudat D, Lasfargues G, Paris C et Telle-Lamberton M, et les

Plus en détail

Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les dangers de l amiante

Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les dangers de l amiante Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les dangers de l amiante G R A N D P U B L I C Les dangers de l amiante Le caractère cancérogène de l amiante est

Plus en détail

2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE.

2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS CANCER ET ACCOMPAGNEMENT DU PHARMACIEN : UN PREMIER PAS VERS LA RÉSILIENCE. 2È JOURNÉE NATIONALE DE FORMATION DES PHARMACIENS Avec le Haut Patronage de Madame Roselyne BACHELOT-NARQUIN, Ministre de la Santé, de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative CANCER ET ACCOMPAGNEMENT

Plus en détail

Etude réalisée par Ambroise Bouteille et Associés pour le compte de l OPIIEC. Juin 2008, Synthèse OPIIEC

Etude réalisée par Ambroise Bouteille et Associés pour le compte de l OPIIEC. Juin 2008, Synthèse OPIIEC ETUDE SUR LES CERTIFICATIONS LIEES AUX METIERS DU REFERENTIEL DE LA BRANCHE DES BUREAUX D ETUDES TECHNIQUES, CABINETS D INGENIEURS-CONSEILS ET SOCIETES DE CONSEIL Etude réalisée par Ambroise Bouteille

Plus en détail

RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN VITRO DE DOSAGE DE THYROGLOBULINE

RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN VITRO DE DOSAGE DE THYROGLOBULINE Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché Unité Evaluation et Contrôle du Marché - DIV RAPPORT DU CONTROLE DE MARCHE DES DISPOSITIFS MEDICAUX DE DIAGNOSTIC IN

Plus en détail

Questionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 16 ans

Questionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 16 ans _0_ An Vag Enq N adresse N individuel... Prénom Année de naissance (réservé enquêteur) Questionnaire santé et soins médicaux pour les moins de 6 ans Enquête sur la Santé et la Protection Sociale 00 Prénom

Plus en détail

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/

Plus en détail

Plan Cancer : 2003 2007. Mission. Interministérielle pour la Lutte contre le. Cancer

Plan Cancer : 2003 2007. Mission. Interministérielle pour la Lutte contre le. Cancer Mission Interministérielle pour la Lutte contre le Cancer Préface 3 Cancer : le Plan de mobilisation nationale 5 Les mesures du Plan Cancer 15 Les chiffres du cancer 43 1 Jean-François Mattei Ministre

Plus en détail

Dossier de Presse Mars 2010

Dossier de Presse Mars 2010 Dossier de Presse Mars 2010 www.cegedim-logiciels.com Contacts Presse CEGEDIM LOGICIELS MEDICAUX Christine COURTELARRE Marketing et Communication Tél. : 01 49 09 28 67 christine.courtelarre@cegedim.fr

Plus en détail

Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique

Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours

Plus en détail

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

Démographie des masseurs-kinésithérapeutes

Démographie des masseurs-kinésithérapeutes Démographie des masseurs-kinésithérapeutes AQUITAINE 24 33 47 40 64 24 33 40 47 64 - Conseil national de l Ordre des masseurs-kinésithérapeutes Dordogne Gironde Landes Lot-et-Garonne Pyrénées-Atlantiques

Plus en détail

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique

Plus en détail

DOSSIER de PRESSE. Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis. Saint-Denis, Janvier 2011

DOSSIER de PRESSE. Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis. Saint-Denis, Janvier 2011 DOSSIER de PRESSE Du changement à la La Clinique Saint-Vincent, clinique de proximité au coeur de Saint-Denis Saint-Denis, Janvier 2011 A l occasion de la rénovation de sa façade, validée par l architecte

Plus en détail