CAHIER DE TEXTE DES 1S 3
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- Marie-Thérèse Carignan
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1 CAHIER DE TEXTE DES 1S 3 Date Séance Capacités /Attitudes Connaissances acquises A faire - séismes, épicentre, foyer, ondes sismiques 05/09 Evaluation diagnostique - lithosphère / asthénosphère CHAPITRE 1 : LA NAISSANCE DU MODELE : L IDEE DE LA DERIVE DES CONTINENTS Problème : Dans quel contexte scientifique est née l idée d une dérive des continents? Au début du XXème siècle, les premières idées évoquant la mobilité horizontale s appuient sur quelques Activité 1 : Wegener et la dérive I S informer, recenser et constatations : Pour vendredi 06/09 : 05/09 des continents extraire l information - les tracés des côtes ; - Finir l Activité 1 - la distribution géographique des paléoclimats et de certains fossiles 06/09 10/09 12/09 13/09 TP 1 : La connaissance du globe terrestre par les données sismiques Activité 2 : La controverse scientifique autour de la dérive des continents Activité 3 : L interprétation actuelle des différences d altitude entre continents et océans TP 2 : Caractériser la croûte continentale et la croute océanique l information utile Manifester son sens de l observation Saisir des informations dans des textes et des schémas. Organiser des informations sous forme d arguments. DS4 Analyser et interpréter les résultats en relation avec le DS3 Proposer une stratégie de résolution d un EX1 Observer le réel avec le microscope polarisant Des études sismiques montrent que la quasi-totalité de la terre est à l'état solide. Les études sismiques permettent de préciser la structure interne de la terre : il existe en profondeur des couches qui n'ont ni les mêmes densités ni les mêmes propriétés physiques. On définit au sein du globe plusieurs enveloppes concentriques dont la plus externe, la croûte est très peu épaisse par rapport au reste de la Terre. Elle est séparée du manteau sur lequel elle repose, par une discontinuité : le Moho. L idée de la mobilité horizontale est rejetée. La différence d altitude observée entre continents et océans reflète un contraste géologique. Les études sismiques et pétrographiques permettent de caractériser et de limiter deux grands types de croûtes terrestres : une croûte océanique essentiellement formée de basalte et de gabbro et une croûte continentale constituée entre autres de granite. La croûte repose sur le manteau, constitué de péridotite. CHAPITRE 2 : LA CONSTRUCTION DU MODELE : DES AVANCEES TECHNIQUES AU SERVICE DE LA THEORIE Problème : En quoi les avancées techniques ont permis de préciser le modèle de tectonique des plaques? Activité 1 : L hypothèse d une expansion des fonds océaniques l information utile Au début des années 1960, les découvertes de la topographie océanique et des variations du flux thermique permettent d imaginer une expansion océanique par accrétion de matériau remontant à l axe des dorsales, conséquence d une Evaluation n 1 Pour Mardi 24/09 : Evaluation n 1 (chapitre 1)
2 20/09 TP 3 : Anomalies magnétiques 24/09 Evaluation n 1 26/09 Activité 2 : La tomographie du manteau 27/09 03/10 04/10 08/10 TP4 : Etude des fosses océaniques Correction des exercices 5 et 7 page 111 TP5 : Les points chauds et les failles transformantes Travail méthodologique sur la rédaction d une synthèse (Ex1 du bac) 10/10 Evaluation n 2 11/10 TP6 : Le renforcement du modèle de a tectonique des plaques par les données récentes EX4 Exploiter une simulation et/ou des modèles A4 - Développer son autonomie, son initiative DS3 - Concevoir un protocole A1 - Manifester le sens de l observation, la curiosité convection profonde. La mise en évidence de bandes d anomalies magnétiques symétriques par rapport à l axe des dorsales océaniques, corrélables avec les phénomènes d inversion des pôles magnétiques (connus depuis le début du siècle), permet d éprouver cette hypothèse et de calculer des vitesses d expansion. La vitesse des ondes dépend de la température des matériaux Au voisinage des fosses océaniques, les foyers des séismes se répartissent selon un plan incliné. Les ondes sismiques se propagent plus vite le long de ce plan qu en s en écartant : il est donc constitué de matériaux plus froids que ceux qui l entourent. Ce plan est donc interprété comme la trace du plongement de la lithosphère océanique dans le manteau. Ces secteurs constituent des zones de subduction. La lithosphère rigide apparaît donc mobile au-dessus de l asthénosphère ductile, la limite entre ces deux enveloppes correspondant à l'isotherme 1300 C. Dans le modèle de la tectonique des plaques, les alignements volcaniques, situés en dehors des frontières de plaques, correspondent aux traces du déplacement des plaques lithosphériques au-dessus de points chauds supposés fixes dans le manteau. CHAPITRE 3 : LE RENFORCEMENT DU MODELE : SON EFFICACITE PREDICTIVE Les forages océaniques profonds dans les sédiments marins ont confirmé l'existence d'une expansion des fonds océaniques. Ils ont permis de dater le plancher basaltique situé sous les sédiments les plus profonds. Plus on s'éloigne de la dorsale et plus la croûte océanique et vieille. Ces données permettent également de calculer vitesse d'expansion. Actuellement, grâce à l'utilisation des techniques de positionnement par 26/09 Pour jeudi 03/10 : Préparer les exercices 5 et 7 p ramener le livre Pour vendredi 04/10 : Amener le livre Pour jeudi 10/10 : Evaluation n 2 (chapitres 1 et 2) Pour vendredi 18/10 : DM : Ex 9 page 112 (rédaction d une synthèse)
3 17/10 18/10 05/11 07/11 Activité 1 : Formation du magma à l origine de la lithosphère océanique TP7 : Un modèle de cristallisation des magmas Activité 2 : Construire un schéma synthétique du modèle de la tectonique des plaques Activité 1 : Les propriétés des photorécepteurs de la rétine satellite (GPS) il est possible d'observer le déplacement des plaques en temps réel et de calculer des vitesses de déplacement avec une grande précision. Les vitesses ainsi calculées confirment les vitesses prévues par le modèle de la tectonique des plaques à partir de donné paléomagnétisme par exemple. CHAPITRE 4 : L EVOLUTION DU MODELE : LE RENOUVELLEMENT DE LA LITHOSPHERE OCEANIQUE I Recenser et extraire l information DS3 Proposer une stratégie d résolution d un Ex3 Réaliser une manipulation ou une expérimentation C1 traduire des informations par un schéma Sous les dorsales, l isotherme 1300 C est très proche de la surface, ce qui traduit un amincissement de la lithosphère et une remontée de l asthénosphère. Cette remontée provoque une décompression des péridotites du manteau et leur fusion partielle. Le magma ainsi produit a une composition différente de la péridotite dont il est issu. Le magma ainsi produit a une composition différente de la péridotite dont il est issu. Une partie du magma refroidit en profondeur et forme des gabbros (présentant une structure grenue) de la croûte océanique. Le magma arrivant à la surface refroidit rapidement, à l origine des basaltes (présentant une structure microlithique) de la croûte océanique. THEME 3C : DE L ŒIL AU CERVEAU : QUELQUE ASPECTS DE LA VISION CHAPITRE 5 : L ŒIL, UN RECEPTEUR DE LA LUMIERE IMPLIQUE DANS LA VISION DE L IMAGE I Recenser et extraire l information La rétine est une structure complexe qui comprend les récepteurs sensoriels de la vision appelés photorécepteurs. Les photorécepteurs sont des cellules appartenant à deux groupes : - les cônes qui permettent la vision des couleurs (3 types de cônes respectivement sensibles au bleu, au vert et au rouge) ; - les bâtonnets qui sont sensibles à l intensité lumineuse. L énergie lumineuse est convertie en énergie électrique transmise au cerveau via le nerf optique. Chaque cellule de cône produit un pigment, capteur de lumière appelé opsine. Un cône ne produit qu un seul type d opsine. Chaque type de pigment capte une longueur d onde précise. La présence des 3 opsines (et donc des 3 cônes) permet d absorber la totalité du spectre de la lumière visible. L Homme est donc trichromate. Les différents daltonismes s expliquent par l absence d un ou plusieurs sortes de cônes ou par l absence de pigment au sein d un cône ou encore par la non fonctionnalité du pigment. Pour vendredi 18/10 : Rédiger la synthèse de l exercice 9 page 112 Pour mardi 05/11 : Faire l activité 2 (construction d un schéma bilan) Pour jeudi 14/11 : Evaluation n 3 (Chp 1 à 4)
4 08/11 TP 9 : Vision des couleurs et évolution 14/11 Evaluation n 3 22/11 28/11 TP 10 : Reconnaissance visuelle des mots et plasticité cérébrale Activité 1 : Mise en place du fonctionnement du système cérébral impliqué dans la vision 29/11 TP 11 : La perception visuelle 03/12 Evaluation n 3 I Extraire et exploiter des informations pour faire le lien entre la vision des couleurs et l évolution (ANAGENE) La présence du pigment dans le cône résulte de l expression du génome. Chaque cône contient l ensemble des gènes permettant de coder le «caractère opsine». Néanmoins, un seul des gènes est activé dans un cône. Le daltonisme s explique donc par une mutation du gène codant l opsine. Deux possibilités : - soit le gène ne code pas l opsine, dans ce cas, elle est absente dans le cône ; - soit le gène code une opsine modifiée, anormale, qui ne peut assurer sa fonction. THEME 3C : DE L ŒIL AU CERVEAU : QUELQUE ASPECTS DE LA VISION CHAPITRE 6 : CERVEAU ET VISION : AIRES CEREBRALES ET PLASTICITE I Extraire et exploiter des informations (EDUANATOMIST) A Développer son sens de l observation DS - Pratique du raisonnement scientifique et de l argumentation dans le cadre d un l information utile. (EDUANATOMIST / RASTOP) A - Développer son sens de l observation Il existe une zone de reconnaissance visuelle des mots: elle appartient à la voie visuelle gauche (mais traite les informations provenant des 2 champs visuels). Cette aire est considérée comme la région qui effectue l'analyse visuelle des lettres qui composent des mots et elle fournit aux autres régions cérébrales une représentation de leur identité (= identification des mots). Il existe une plasticité post-lésionnelle: une aire initialement non destinée à l'identification des mots dans l'hémisphère droit est recrutée chez ce patient après un travail de rééducation fonctionnelle. Ceci démontre que le SNC présente une plasticité. La lecture fait intervenir différentes structures du SNC, ce qui nécessite des connections entre ces structures. Le développement d'un cortex visuel fonctionnel repose sur des structures cérébrales innées héritées de l'évolution. Il dépend également de l'expérience visuelle précoce de chaque individu après la naissance, qui peut induire des réarrangements neuronaux au sein du cortex visuel. Cette plasticité cérébrale s'observe tout au long de la vie. L'apprentissage et la mémorisation reposent également sur la plasticité du cerveau. L'apprentissage implique une sollicitation répétée des circuits de neurones, qui modifie les connexions entre ces neurones. Le cortex visuel primaire, situé dans la partie arrière du cerveau, correspond aux points d'entrée du message nerveux issus des photorécepteurs rétiniens. D'autres aires du cortex cérébral participent à la vision : elles sont spécialisées dans la reconnaissance des formes, des couleurs, des mouvements, des mots. La vision résulte de l'intégration des informations issues de ces différentes aires visuelles en interaction avec la mémoire. Pour vendredi 15/11 : - Amener la blouse - Faire l Activité 2 : «Cristallin et défauts de la vision» Pour jeudi 14/11 : Evaluation n 3 (Chp 1 à 4) Pour Mardi 03/12 : Evaluation n 3 (Chp 5 et 6)
5 05/12 06/12 12/12 17/12 20/12 09/01 Activité 1 : La relation gèneprotéine TP 12 : Les différentes échelles du phénotype Activité 2 : Conditions de la synthèse protéique Activité 3 : Découverte du code génétique TP 13 : Les mécanismes d expression des gènes dans la cellule Activité 5 : Schématiser les étapes de l expression des gènes 10/01 TP 14 : Le cycle cellulaire THEME 1A : EXPRESSION, STABILITE ET PATRIMOINE GENETIQUE CHAPITRE 7 : L EXPRESSION DU PATRIMOINE GENETIQUE l information utile. I - Recenser, extraire et organiser l information EX1 - Réaliser une observation microscopique EX5 - Utiliser des logiciels de (ANAGENE) C2 - Représenter une observation par un dessin A1 - Manifester le sens de l observation, la curiosité DS Pratiquer une démarche scientifique DS Pratiquer une démarche scientifique l information utile. (ANAGENE / RASTOP) C Communiquer des informations par un schéma C Communiquer des informations par un schéma La séquence des nucléotides d une molécule d ADN représente une information. Les portions codantes de l ADN comportent l information nécessaire à la synthèse de chaînes protéiques issues de l assemblage d acides aminés. L ensemble des protéines qui se trouvent dans une cellule (phénotype moléculaire) dépend : - du patrimoine génétique de la cellule (une mutation allélique peut être à l origine d une protéine différente ou de l absence d une protéine) ; - de la nature des gènes qui s expriment sous l effet de l influence de facteurs internes et externes variés. Le phénotype macroscopique dépend du phénotype cellulaire, lui-même induit par le phénotype moléculaire. Le code génétique est le système de correspondance mis en jeu lors de la traduction de cette information. À quelques exceptions près, il est commun à tous les êtres vivants. Chez les eucaryotes, la transcription est la fabrication, dans le noyau, d une molécule d ARN pré-messager, complémentaire du brin codant de l ADN. THEME 1A : EXPRESSION, STABILITE ET PATRIMOINE GENETIQUE CHAPITRE 8 : LA REPRODUCTION CONFORME DE LA CELLULE ET LA REPLICATION DE L ADN I - Recenser, extraire et organiser - Interphase (G1, S et G2) : des informations. ADN décondensé C - Communiquer dans un Phases de croissance cellulaire langage scientifiquement Phase S : réplication de l ADN (chromosome à 1 chromatide à chromosomes à approprié. 2 chromatides) DS - Adopter une démarche - Mitose : explicative. ADN condensé C - Représenter des données sous Répartition des chromosomes en 2 lots identiques forme graphique. Division de la cellule Pour Vendredi 20/12 : Finir l exercice 1 : L albinisme Pour jeudi 09/01 : Finir le schéma du TP 13 Activité 4 : Préparer les questions du livre p 55 (une aide est disponible sur le site) Pour mardi 14/01 : Exercices 7 et 9 page 66
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