Chapitre 3:le modèle des centres d analyse
|
|
- Chrystelle Corbeil
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre 3:le modèle des centres d analyse 1
2 Sert de base à la méthode des coûts complets (PCG 1982) Objectifs: -connaître les coûts des différentes fonctions de l entreprise -fournir des informations pour la prise de décision I les concepts fondamentaux du modèle A-les fondements (fonctions, charges directes et indirectes,répartition des charges) a-l approche fonctionnelle entreprise =ensemble de fonctions fonction=ensemble d activités et de compétences semblables fonction production =la plus importante = ensemble des activités liées à la fabrication des produits ou des services notion de structure =façon dont l entreprise est organisée. exemple :structure fonctionnelle D i r e c t i o n g é n é r a l e s e r v i c e a p p r o v i s i o n n e m e n t s e r v i c e a d m i n i s t r a t i o n s e r v i c e p r o d u c t i o n 2
3 b- les concepts de charges directes et indirectes Objectif : traçabilité des charges (affectation à un objet de coût) Définitions:.objet de coût: élément pour lequel on calcule le coût exemple :société Electre qui fabrique et commercialise des moteurs électriques M1 et M2 Chaque moteur est un objet de coût.traçabilité des charges :rattacher chaque charge à un objet de coût exemple :pour un moteur : coûts d achats des matières premières utilisées +main d œuvre +quote-part des charges d administration de direction et de commercialisation 3
4 . charges directes :charges pour lesquelles l objet de coût est facilement identifiable exemple : les composants des moteurs ou la main d œuvre directe. charges indirectes :charges rattachées à plusieurs objets de coûts (utilisation d une clé de répartition) exemple : l entreprise de l exemple fabrique notamment plusieurs types de moteurs.les charges d administration et de direction et de commercialisation mais aussi d amortissement et certaines consommations d énergie ne sont pas directement affectées aux objets de coûts (différents moteurs).elles font l objet d une analyse spécifique avant leur imputation aux objets de coûts. B-le processus productif et le réseau d analyse des coûts a- le processus productif Schéma représentatif des différentes phases du cycle de production et de commercialisation (voir diapositive suivante ) 4
5 Fonctions assumées par la société Electre Approvisionnement Stock production Administration Générale Commer cialisation Processus de production Processus hors Coûts d achat des matières premières Coûts de production des moteurs vendus production Coûts hors production Compte de stocks Achats consommés Coût de revient des moteurs vendus Coût associés aux principales fonctions 5
6 b- le réseau d analyse des coûts Objectif :comment attribuer telle charge (consommation de ressources )à tel ou tel produit? Permet de structurer le calcul des coûts Collecte des données pour le réseau d analyse des coûts :ordre de fabrication, bons de sortie de stock, bon de travail, compteurs,capteurs, codes barre II- la présentation et les limites du modèle des centres d analyse Objectif du modèle: calculer les coûts des produits vendus en tenant compte de chaque stade du processus de fabrication et de distribution ainsi que des charges directes et indirectes. A-l organisation générale du modèle a_- la hiérarchie des coûts Coûts d achats des matières, marchandises.. Coûts de production Coûts hors production Coûts de revient des produits et services vendus 6
7 b la distinction entre charges directes et charges indirectes Charges directes :immédiatement rattachées aux objets de coûts: main d œuvre directes,matières premières. Charges indirectes :analyse spécifique dans des centres d analyse: énergie,salaires personnel encadrement, amortissements. Charges directes Charges indirectes Affectation des charges aux coûts Centres d analyse Coût d achat Coût de production Coût hors production Coût de revient complet Répartition Imputation 7
8 Exemple :les charges de la société Electre Charges de production Charges directes Matières premières,matières consommables,main d œuvre de production Charges indirectes -Charges communes liées aux centres de production :amortissements,impôts taxes diverses Salaire personnel d encadrement Charges hors production Salaire des commerciaux -Charges du service Administration -Charges de la distribution Charges totales : Charges directes d approvisionnement: Charges directes de main d œuvre :56250 Les charges indirectes représentent donc le solde.elle feront l objet d un retraitement dans les centres d analyse(administration,distribution et production). Donc les charges indirectes s élèvent à : =19820 qu il faut donc analyser pour les répartir sur les différents objets de coûts 8
9 B-l utilisation des centres d analyse Centres d analyse de l entreprise =subdivision de l entreprise pour l analyse des charges indirectes Objectif: répartition des charges indirectes entre les différents produits fabriqués et vendus (objet de coût) en passant d abord par les centres d analyse exemple: personnel d encadrement de l atelier montage est affecté au centre d analyse «atelier montage»,l électricité est réparti entre les centres d analyse au prorata de leur consommation (mise en place de compteur) Souvent centre d analyse= différentes fonctions(production,administration,distribution) a présentation des centres d analyse Les centres d analyse comprennent les centres de travail et les sections.centres de travail :division de l organigramme (services ): Exemple :administration chez Electre.Sections :subdivision du centre en activités homogènes Exemple :administration chez Electre se décompose en différentes sections :gestion du personnel,comptabilité,contentieux,opérations de financement Centre de responsabilité,centre de coût, centre de profit.centre de responsabilité: rayon,atelier,.centre de coût: regroupement de charges exemple :usine ou atelier.centre de profit: il établit ses propres résultats (compte de résultat) Exemple :un magasin dans une chaine de magasins 9
10 centre principaux et centre auxiliaires: Centres principaux: leurs charges peuvent être imputées directement au coût des produits Centres auxiliaires :fournissent des prestations aux autres centres,leurs charges sont donc imputées à ces autres centres b_- la présentation des unités d œuvre et des taux de frais Unités d œuvre =indicateur physique du niveau d activité des centres opérationnels =clé de répartition exemple :heure de main d œuvre directe pour l atelier assemblage. Donc imputation se fait en fonction du nombre d unités d œuvre consommées par le produit (objet de coût) Taux de frais=indicateur (souvent monétaire ) du niveau d activité des centres de structure (centres pour lesquels il n est pas possible d utiliser une unité physique de mesure de l activité) ex :100 de CA pour le centre distribution C-l intérêt et les limites du modèle des centres d analyse a une vision simplifiée de l entreprise prépondérance de la fonction production standardisation des produits et production de masse stabilité de la technologie, des compétences et du marché importance des charges directes 10
11 Mais elle permet de connaitre les coûts et les résultats des différents produits b- l évolution des besoins des entreprises en matière de coûts prépondérance des activités annexes à la fonction de production (logistique, gestion qualité ) différenciation des produits et petites séries importance des charges indirectes (problème de la fiabilité de leur analyse) flexibilité de la production afin de s adapter à la demande évolution des technologies et des compétences des personnels marché mondialisé et instable Méthodologie générale de calcul des coûts Calcul des coûts prend appui sur le réseau d analyse des coûts (collecte) Calculs sont effectués par période (semaine, mois, ) ou pour une commande Les étapes : 1.définition des charges de la comptabilité financière prise en compte 2.Répartition des charges indirectes et calcul du coût des unités d œuvre 3.Calcul des coûts hiérarchisés 4.Détermination des résultats 11
12 12
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION -------------------
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE -------------------- LA COMMISSION ------------------- DOSSIER TYPE A FOURNIR PAR LES INDUSTRIELS ET A PRESENTER PAR LES ETATS MEMBRES DE LA CEMAC
Plus en détailAnalyse des coûts. 1 ère année DUT GEA, 2005/2006 Analyse des coûts
Analyse des coûts Les techniques de calcul et d analyse des coûts portent le nom de comptabilité analytique ou comptabilité de gestion. Ces deux termes seront utilisés indifféremment dans ce cours. Contrairement
Plus en détailElaboration et Suivi des Budgets
Elaboration et Suivi des Budgets 1 1- La Notion Du contrôle de Gestion 2- La Place du Contrôle de Gestion dans le système organisationnel 3- La Notion des Centres de responsabilité 4- La procédure budgétaire
Plus en détailLes pourcentages. Un pourcentage est défini par un rapport dont le dénominateur est 100. Ce rapport appelé taux de pourcentage est noté t.
Les pourcentages I Définition : Un pourcentage est défini par un rapport dont le dénominateur est 100. Ce rapport appelé taux de pourcentage est noté t. Exemple : Ecrire sous forme décimale les taux de
Plus en détailwww.btsag.com 31 Coûts complets
www.btsag.com 31 Coûts complets Claude Terrier btsag.com 1/24 11/10/2010 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre
Plus en détailCHAPITRE 4 LA VALORISATION DES STOCKS COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE SEMESTRE 2 DUT TC
COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE SEMESTRE 2 DUT TC CHAPITRE 4 LA VALORISATION DES STOCKS CORINNE ZAMBOTTO - COURS DE COMPTABILITE ANALYTIQUE IUT SENART-FONTAINEBLEAU 1 I. LA PLACE DES STOCKS DANS LE CYCLE
Plus en détailLES COÛTS PRÉÉTABLIS ET LES ÉCARTS TOTAUX
7 LES COÛTS PRÉÉTABLIS ET LES ÉCARTS TOTAUX 1. LES PRINCIPES 196 2. L ÉLABORATION DES COÛTS PRÉÉTABLIS 198 3. MODÈLE GÉNÉRAL D ANALYSE DES ÉCARTS 202 4. LES ÉCARTS TOTAUX 203 5. PREMIÈRE ANALYSE DES ÉCARTS
Plus en détailLES COUTS PARTIELS...
Sommaire LES COUTS PARTIELS... 2 EXERCICE 1... 2 EXERCICE 2... 2 EXERCICE 3... 2 EXERCICE 4... 3 EXERCICE 5... 3 LES COUTS COMPLETS... 5 EXERCICE 1... 5 EXERCICE 2... 6 EXERCICE 3... 7 EXERCICE 4... 10
Plus en détailModule 02 - Leçon 02 : Classification des charges et des produits
Module 02 - Leçon 02 : Classification des charges et des produits En comptabilité générale les charges et les produits sont classés par nature (par exemple pour les charges : 60 Achat, 61 Services extérieurs,
Plus en détailENREGISTREMENT COMPTABLE DES FLUX ECONOMIQUES
Objectif(s) : ENREGISTREMENT COMPTABLE DES FLUX ECONOMIQUES Connaître les conventions et principes comptables. Modalité(s) : Comptes, Bilans, Activité, Trésorerie. TABLE DES MATIERES Chapitre 1. INTRODUCTION....
Plus en détailSupply Chain Management
Indicateurs de Performance dans les Fonctions du Supply Chain Management Le partenaire Dans le cadre du contrat AGIR pour l AGROALIMENTAIRE Sommaire 1- Qu est ce qu un indicateur? Page 3 2- Notion de Supply
Plus en détailTHÉORIE ET PRATIQUE DE L AUDIT INTERNE
Jacques RENARD THÉORIE ET PRATIQUE DE L AUDIT INTERNE Préface de Louis GALLOIS Président de la SNCF Prix IFACI 1995 du meilleur ouvrage sur l audit interne Cinquième édition, 1994, 1997, 2000, 2002, 2004
Plus en détailLE CONCEPT VADWAY et le «CONTRÔLE DE GESTION»
Le concept de VAD (Valeur Ajoutée Directe), est à la base de nos missions portant sur le «Contrôle de gestion», appliqué aux PME. 1. LE CONCEPT LA VALEUR AJOUTEE DIRECTE (VAD) Rappel : L entreprise achète,
Plus en détailManuel de management intégré
Manuel de management intégré Versions 1 2015 Manuel de management intégré ETT 04/2015 1 Préface Le manuel de management intégré se veut une présentation succincte de notre organisation. Cette organisation
Plus en détailANALYSE FINANCIÈRE ET COMPTABILITÉ DE GESTION DUT - GEA
ANALYSE FINANCIÈRE ET COMPTABILITÉ DE GESTION DUT - GEA Sommaire Partie 1 : Analyse des documents de synthèse Cours 1 - Soldes Intermédiaires de Gestion... 3 Cas 1-1 : Marie (SIG sans retraitement)...
Plus en détailLa comptabilité analytique : un outil indispensable pour la gestion et le suivi des projets.
La comptabilité analytique : un outil indispensable pour la gestion et le suivi des projets. STAND 114 SOMMAIRE 1. Rôles et objectifs de la comptabilité analytique a) Rôle b) Objectifs 2. Organisation
Plus en détailChapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts. Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA
Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA Objectif du chapitre Faire la différence entre les coûts et les charges Définir les inducteurs
Plus en détailFormation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation)
Formation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation) Fit for Business (PME)? Pour plus de détails sur les cycles de formation PME et sur les businesstools, aller sous www.banquecoop.ch/business
Plus en détailDOSSIER N 4: LES COUTS FIXES ET VARIABLES EN LOGISTIQUE
BAC PRO LOGISTIQUE: GESTION QUANTITATIVE DOSSIER N 4: LES COUTS IXES ET VARIABLES EN LOGISTIQUE Objectif : Calcul et appréciation des différents coûts logistiques.(rappels) Dans l optique de la réalisation
Plus en détailCONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 CLASSES DE TERMINALE
CONCOURS GÉNÉRAL SÉNÉGALAIS 1/6 Durée : 6 heures Série : G SESSION 2004 T E C H N I Q U E C O M P T A B L E DOSSIER I : COMPTABILITE ANALYTIQUE La société K fabrique deux produits P 1 et P 2 et un sous
Plus en détailConditions générales de vente Leeuwenburgh Fineer B.V.
Conditions générales de vente Leeuwenburgh Fineer B.V. Conditions générales Leeuwenburgh Fineer B.V, sise Raamsdonksveer, Bliek 9-13 (4941 SG) et enregistrée à la Chambre de commerce et d industrie sous
Plus en détailCATALOGUE FORMATION CONTINUE
CATALOGUE FORMATION CONTINUE 3ème trimestre 2014 SOMMAIRE INFORMATIQUE BUREAUTIQUE 4 COMMERCIAL VENTE 5-6 COMPTABILITE GESTION 7-8 JURIDIQUE SECURITE 9 SE FORMER, MODE D EMPLOI 10-12 BULLETIN D INSCRIPTION
Plus en détailLE CONTROLE DES COMPTES. Maîtrise du fonctionnement des comptes de tiers et des comptes de trésorerie. Modalités : TABLE DES MATIERES
LE CONTROLE DES COMPTES Objectif(s) : o o o Lettrage, Apurement des comptes d'attente, Contrôle du compte banque. Pré-requis : o Maîtrise du fonctionnement des comptes de tiers et des comptes de trésorerie.
Plus en détailLA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS
LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS Fabrice LENGLART INSEE Comptes nationaux Bruno LONGET - Banque de France - SESOF CNIS 22 juin 2009 Plan I Place des activités
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes
Plus en détailHarmonisation comptable et mondialisation Alain B urlaud, Professeur au Conservatoire national des arts et metiers
Harmonisation comptable et mondialisation Alain B urlaud, Professeur au Conservatoire national des arts et metiers Christian Hoarau, Professeur a l'institut d'administration des entreprises de Paris La
Plus en détailCOMPTABILITE GENERALE ETAPE 2 : LE COMPTE
COMPTABILITE GENERALE ETAPE 2 : LE COMPTE 1. LE PLAN COMPTABLE GÉNÉRAL ET LES CLASSES La loi impose des règles concernant la présentation et le contenu des documents comptables. Ces règles font l'objet
Plus en détailLivre Blanc. ETL Master Data Management Data Quality - Reporting. Comment mieux connaître et maîtriser son réseau de distribution indirect?
Livre Blanc ETL Master Data Management Data Quality - Reporting Comment mieux connaître et maîtriser son réseau de distribution indirect? Sommaire I. Les 3 principaux canaux de distribution... 3 II. Les
Plus en détailLivret 10. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire
Élaborer mon étude financière Livret 10 Calculer mon seuil de rentabilité Mise à jour février 2008 Département Tertiaire Avertissement au lecteur Le présent fascicule fait l'objet d'une protection relative
Plus en détailSage 100. pour le BTP. Faites de votre gestion un levier de croissance
Sage 100 pour le BTP Faites de votre gestion un levier de croissance Sage 100 pour le BTP Faites de votre gestion un levier de croissance Gagner des parts de marché, optimiser ses investissements, sécuriser
Plus en détailINITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE
Comptabilité 155 INITIATION À LA COMPTABILITÉ GÉNÉRALE Etre capable d assurer le suivi quotidien des opérations courantes dans une entreprise afin de faciliter les échanges avec son expert comptable. Assistante
Plus en détailDISPOSITIFS PARTICULIERS A LA LABEL SOCIAL SECTEUR DES TRANSPORTS DE MARCHANDISES ET ACTIVITES DE LOGISTIQUE DE BRETAGNE
A DISPOSITIFS PARTICULIERS A LA charte QUALITÉ LABEL SOCIAL Label Sokial an Trañsportoù e Breizh SECTEUR DES TRANSPORTS DE MARCHANDISES ET ACTIVITES DE LOGISTIQUE DE BRETAGNE DISPOSITIFS PARTICULIERS TRANSPORTS
Plus en détailQUESTION 1 QUESTION 2 QUESTION 3 QUESTION 4. Que signifie "shortage"? Que signifie "handling"? Que signifie "raw material" Que signifie "tool"?
1 1 1 1 QUESTION 1 QUESTION 2 QUESTION 3 QUESTION 4 Que signifie "shortage"? Que signifie "handling"? Que signifie "raw material" Que signifie "tool"? 2 2 2 2 QUESTION 5 QUESTION 6 QUESTION 7 QUESTION
Plus en détail- Articles dans des Revues à comité de lecture (classées AERES) / Articles in refeered reviews
Thomas ZEROUAL Profil - Enseignant Chercheur en SUPPLY CHAIN MANAGEMENT. - Thèmes de recherche : service, innovation et durabilité dans les transports. - DOCTEUR en Sciences Economiques : «Les politiques
Plus en détailREGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière
REGLES D IMPUTATION DES DEPENSES Fiche de gestion financière Ce document a pour objet de décrire l ensemble des règles d imputation des dépenses et de préciser les biens pouvant être considérés comme des
Plus en détailLES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1
LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et
Plus en détailLES CRÉANCES ET LES DETTES
LES CRÉANCES ET LES DETTES Règles générales d évaluation Définition d un actif et d un passif ACTIFS Tout élément de patrimoine ayant une valeur économique positive pour l entité est considéré comme un
Plus en détailLeçon 12. Le tableau de bord de la gestion des stocks
CANEGE Leçon 12 Le tableau de bord de la gestion des stocks Objectif : A l'issue de la leçon l'étudiant doit être capable de : s initier au suivi et au contrôle de la réalisation des objectifs fixés au
Plus en détailManuel de l utilisateur. GLN Database
Manuel de l utilisateur GLN Database Février 2011 GS1 The global language of business Contenu Introduction...2 1. Par où commencer?...3 2. Se connecter...3 3. Ecran principal: Le menu GLN Database...4
Plus en détailPRÉVISIONS BUDGÉTAIRE 2015
DATE: Du 01-01- au 31-12- 1 2 REVENUS 3 4 TAXES 5 TAXES GÉNÉRALES 6 TAXES GÉNÉRALES 133,156,500 $ (Taux,72) -914 512.00-958 726.00 7 TAXE EMPRUNT - CAMION INCENDIE (Taux,0152) -18 029.00-20 400.00 8 TAXE
Plus en détailCOMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE
COMPTABILITE D ENTREPRISE METHODE COMPTABLE Qu est ce que la comptabilité? La comptabilité est un ensemble d enregistrement, de traitement, au niveau interne elle permet aux dirigeants de faire des choix.
Plus en détailI) Le diagnostic externe
Le diagnostic stratégique est la première étape de la démarche stratégique et consiste à analyser le diagnostic externe et interne de l entreprise. L analyse FFOM (SWOT) résume les conclusions de ces deux
Plus en détailTD Services aux Commerçants
TD Services aux Commerçants catégorie standard FRAIS DE RAJUSTEMENT DU TAUX D ESCOMPTE DE LA CARTE DE CRÉDIT VISA TYPE D OPÉRATIONS PAR CARTE DE CRÉDIT VISA TAUX D INTERCHANGE VISA APPLICABLE 1,42 % 0,00
Plus en détailcomptable cours & Applications François Cartier Gep Éditions / Eyrolles Éducation, 2013 ISBN : 978-2-84425-943-1
Toutes formations Initiation comptable cours & Applications François Cartier Gep Éditions / Eyrolles Éducation, 2013 ISBN : 978-2-84425-943-1 2 Étude du bilan L origine des fonds d une entreprise et leur
Plus en détailTraçabilité Du besoin à la mise en oeuvre
20/09/2007 Traçabilité Du besoin à la mise en oeuvre Joseph FELFELI, PDG Groupe ACTEOS 1 PRESENTATION ACTEOS Éditeur de progiciels et intégrateur de technologies avancées pour la synchronisation et l optimisation
Plus en détailL empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés
L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires
Plus en détailManuel utilisateur Portail SAP
Manuel utilisateur Portail SAP Procédures demande d achats Manuel Utilisateur SmileySup - Portail SAP v1.0 1/31 1. Table des matières 1. Table des matières... 2 2. Introduction... 3 3. Vue processus...
Plus en détailCommuniqué de presse 5 mars 2015
RESULTATS ANNUELS 2014 : DYNAMIQUE DE CROISSANCE CONFIRMEE Accélération de la croissance organique des ventes Nouvelle progression du résultat opérationnel courant de +10,6% Hausse du résultat net des
Plus en détailNORME IAS 20 LES SUBVENTIONS PUBLIQUES
NORME IAS 20 LES SUBVENTIONS PUBLIQUES UNIVERSITE NANCY2 Marc GAIGA - 2009 Table des matières NORME IAS 20 : LES SUBVENTIONS PUBLIQUES...3 1.1. LA PRÉSENTATION SUCCINCTE DE LA NORME...3 1.1.1. L esprit
Plus en détailCOMPTABILITE. Fait par Christophe Lemaigre. Principes de base
Fait par Christophe Lemaigre. COMPTABILITE Principes de base Le bilan est une photographie du patrimoine de l'entreprise. Il est formé de l'actif et du passif. Actif : utilisations, emplois de l'entreprise.
Plus en détailDéveloppement rural 2007-2013. Document d orientation
Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES
Plus en détailTABLE DES MATIÈRES. II. La théorie de la valeur... 20 A. Les notions de base de mathématiques financières... 20 B. Les annuités constantes...
TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE 1 La valeur et le temps... 15 I. De la difficulté d estimer la valeur d un bien... 15 A. La valeur est une rente... 16 B. La valeur est un retour sur investissement... 18 II.
Plus en détailBilan de M au 31/12/N
1 Exercice complémentaire - consolidation par intégration globale Bilan de M au 31/12/N Actif Passif Immobilisations corporelles 6000 Capital 10000 Immobilisations financières 6600 Réserves 1500 Particip
Plus en détailÉPREUVE À OPTION : OPTION GESTION COMPTABLE ET FINANCIÈRE
R É P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E CONCOURS D'ADMINISTRATEUR-ADJOINT 2012-2013 DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES ET DE LA FORMATION Épreuves d'admissibilité 31 janvier 2013 ÉPREUVE À OPTION : OPTION
Plus en détailMadeleine NGUYEN-THE IMPORTER. Le guide. Deuxième édition. Éditions d Organisation, 2002, 2004 ISBN : 2-7081-3168-0
Madeleine NGUYEN-THE IMPORTER Le guide Deuxième édition, 2002, 2004 ISBN : 2-7081-3168-0 Sommaire Introduction...1 Première partie LA PLACE DE L IMPORT DANS LES ÉCHANGES INTERNATIONAUX Chapitre 1. Enjeux
Plus en détailGuide d accompagnement.
RESSOURCE PME Cahier des charges pour un progiciel de gestion intégré (ERP) Guide d accompagnement. Ce document donne aux PME des clés pour mener à bien leur réflexion autour de la mise en place d une
Plus en détailEvry - M2 MIAGE Entrepôt de données
Evry - M2 MIAGE Entrepôt de données Introduction D. Ploix - M2 Miage - EDD - Introduction 1 Plan Positionnement du BI dans l entreprise Déclinaison fonctionnelle du décisionnel dans l entreprise Intégration
Plus en détailIntroduction à la finance d'entreprise. Université Paris XIII
Introduction à la finance d'entreprise Université Paris XIII GENILUM BE éclairage et conception lumière Nicolas Mangin @: nmangin@genilum.fr Tel: 06 63 39 18 40 Pourquoi tenir une comptabilité Une obligation
Plus en détailJournée_: Modules HoraireEpreuve
AA 13 Deuxième année Licence Fond. en Gestion: Administration des affaires Comptabilité de Gestion GESTION DE LA PRODUCTION FINANCE Marketing - Techniques et Stratégies d'achat Gestion par objectifs Techniques
Plus en détailRAPPORT D EXAMEN LIMITE SUR LES ETATS FINANCIERS INTERMEDIAIRES ARRETES AU 30 JUIN 2015
TUNIS, le 28 Août 2015 MESSIEURS LES ACTIONNAIRES DE LA SOCIETE GENERALE INDUSTRIELLE DE FILTRATION «GIF FILTER» SA Route de Sousse KM 35 GROMBALIA 8030 RAPPORT D EXAMEN LIMITE SUR LES ETATS FINANCIERS
Plus en détailQU EST-CE QUE LA RFID?
QU EST-CE QUE LA RFID? Lorraine Apparue dans les entreprises au cours des années 80, la Radio Frequency Identification (RFID) permet de reconnaître, à plus ou moins grande distance, un objet, un animal
Plus en détailExercices en comptabilité générale
Exercices en comptabilité générale Exercice 1 : Cas Eval : immobilisation acquise par voie d échange Au mois de mars, le président d Eval a déjeuné avec le dirigeant de la société Moineau, entreprise voisine
Plus en détailACCORD ENTRE LE GOUVERNEMENT DE LA REPUBLIQUE FRANÇAISE ET LE GOUVERNEMENT DE LA REGION ADMINISTRATIVE SPECIALE DE HONG KONG DE LA REPUBLIQUE
ACCORD ENTRE LE GOUVERNEMENT DE LA REPUBLIQUE FRANÇAISE ET LE GOUVERNEMENT DE LA REGION ADMINISTRATIVE SPECIALE DE HONG KONG DE LA REPUBLIQUE POPULAIRE DE CHINE EN VUE D EVITER LES DOUBLES IMPOSITIONS
Plus en détailFIN-INTER-01 LE CONTEXTE
FIN-INTER-01 LE CONTEXTE Public concerné : Etudiants niveau Bac + 2. Durée indicative : 2 heures Objectifs : Positionner le domaine de la finance internationale dans son contexte. Pré requis : Néant. Modalités
Plus en détailChapitre 7 Consolidation et comptes de groupes
Chapitre 7 Consolidation et comptes de groupes Comptabilité approfondie Chapitre 7 1 Pourquoi consolider? La société A a acheté la société B. La somme payée s élève à 9 500 par achat des titres du capital
Plus en détail1 Qu appelle-t-on «marge»? Résumé
1 Qu appelle-t-on «marge»? Résumé Il convient tout d abord de s entendre sur le vocabulaire et de s assurer que l on parle de la même chose. Le terme «marge» est ambigu. Couramment utilisé dans le langage
Plus en détail- la mise en place du contrôle budgétaire est souvent mal vécue, car perçue comme une sanction par le personnel de l entreprise.
C H A P I T R E 7 Le contrôle budgétaire Objectifs Le contrôle budgétaire permet de comparer les réalisations avec les prévisions. Déceler les écarts significatifs, les analyser et prendre des mesures
Plus en détailPartage des capitaux propres de F1 à la consolidation de N. Éléments Total Part du groupe 60 % Capitaux propres de F1 hors résultat N 1100 660 440
Partage des capitaux propres de F1 à la consolidation de N Éléments Total Part du groupe 60 % Capital 500 Réserves 600 Intérêts minoritaires 40 % Capitaux propres de F1 hors résultat N 1100 660 440 Élimination
Plus en détail4. Les options Une option donne à son propriétaire le droit d acheter ou de vendre un contrat à terme à un prix et une échéance prédéterminés.
4. Les options Une option donne à son propriétaire le droit d acheter ou de vendre un contrat à terme à un prix et une échéance prédéterminés. C est un droit et non une obligation. L acheteur d une option
Plus en détailtechniques de tirs a l avant - partie 2
techniques de tirs a l avant - partie 2 1 - direction a - tir long b - tir court c - tir droit 2 - feintes a - aile ou sur place b - roulette avec appel c - appel dans un jeu en mouvement d - aller-retour
Plus en détailCF = Produits avec effets monétaires Charges avec effets monétaires. (Méthode directe)
Le cash flow 1) Le cash flow brut Le cash flow (Cash Flow Brut, CF ou CFB) est un concept d origine américaine visant à mesurer la capacité d une entreprise à sécréter des fonds (de la monnaie) à partir
Plus en détailTABLE DES MATIERES A. DISPOSITIONS LEGALES. 1. A.R. n 38 du 27 juillet 1967 organisant le statut social des travailleurs indépendants
TABLE DES MATIERES A. DISPOSITIONS LEGALES 1. A.R. n 38 du 27 juillet 1967 organisant le statut social des travailleurs 2. Loi du 9 juin 1970 portant programmation sociale en faveur des travailleurs 3.
Plus en détailRCF LYON FOURVIERE 7 place Saint Irénée 69321 LYON CEDEX 05
RCF LYON FOURVIERE 7 place Saint Irénée 69321 LYON CEDEX 5 COMPTES ANNUELS du 1/1/211 au 31/12/211 Sommaire Attestation de Présentation 2 Bilan association 4 ACTIF 4 Immobilisations incorporelles 4 Immobilisations
Plus en détailLe Diagnostic de communication. Communiquance
Le Diagnostic de communication Diagnostic et audit Historique de l Audit / Diagnostic Organisation des missions - Finalités - Objectifs Audit interne/externe Les variables classiques - quanti / quali Scores
Plus en détailAUNEGE Campus Numérique en Economie Gestion Licence 2 Comptabilité analytique Leçon 3. Leçon n 3 : la détermination et l enchaînement des coûts
AUNEGE Campus Numérique en Economie Gestion Licence 2 Comptabilité analytique Leçon 3 Leçon n 3 : la détermination et l enchaînement des coûts 1 PLAN DE LA LEÇON : 1.De la comptabilité générale à la comptabilité
Plus en détailFORMATION INTERNE DÉPENSES IMPUTABLES
La formation est dite «interne» lorsqu elle est conçue et réalisée par une entreprise pour son personnel, avec ses propres ressources en personnel et en logistique, son matériel, ses moyens pédagogiques.
Plus en détailDÉPENSES PERSONELLES. S M L W Structure
Révisé: le 2 novembre, 2005 TITRE ET CODE SÉQUENTIEL AU NIVEAU LE MOINS ÉLEVÉ (S) (basé sur FND013.TTL) TITRE ET CODE SÉQUENTIEL AU NIVEAU MOYEN (M) (basé sur FND037.TTL) Titre et code séquentiel au niveau
Plus en détailUn moyen de paiement pour le Royaume de DIEU
Un moyen de paiement pour le Royaume de DIEU Qu est-ce que la monnaie, à vrai dire? En bref, la monnaie est une marchandise qui nous sert de dépôt de valeur et que nous utilisons d un commun accord comme
Plus en détailLes Français et le libéralisme
Les Français et le libéralisme Vague 2 Sondage Ifop pour L Opinion/Génération Libre/i>TELE Mai 2015 Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Guillaume Marchal Département Opinion et Stratégies d Entreprise 01 45
Plus en détailOptimize your energy park* www.en-come.com
Optimize your energy park* / CONSEIL EN ACQUISITION / SUIVI TECHNIQUE D ACTIVITE / GESTION D ACTIVITE / OPTIMISATION DU RENDEMENT / REVALORISATION DE LA CENTRALE PV FR www.en-come.com CONSEIL EN ACQUISITION
Plus en détailSOMMAIRE OPÉRATIONS COURANTES OPÉRATIONS D INVENTAIRE
SOMMAIRE OPÉRATIONS COURANTES OPÉRATIONS D INVENTAIRE 1 Factures de doit p. 9 Processus 1 2 Réductions sur factures de doit p. 11 Processus 1 3 Frais accessoires sur factures p. 13 Processus 1 4 Comptabilisation
Plus en détailProfil de l Entreprise
Profil de l Entreprise Juin 2015 Qui somme-nous Le Groupe La Fortezza fait parti des leaders dans l agencement de magasins de Grandes et Moyennes surfaces de ventes, spécialisé dans l étude et la fabrication
Plus en détailPLAN COMPTABLE GENERAL
R ÉPUBLIQUE F RANÇAISE C OMITÉ DE LA RÉGLEMENTATION C OMPTABLE PLAN COMPTABLE GENERAL Règlement n 99-03 du 29 avril 1999 du Comité de la réglementation comptable, modifié par les règlements n 99-08 et
Plus en détailChapitre 3 : Les étapes de la consolidation
Chapitre 3 : Les étapes de la consolidation I - Les étapes du processus de consolidation II - La détermination du pourcentage d'intérêts (PDI) III - Organisation et techniques comptables de la consolidation
Plus en détailCHAPITRE IV : LE PLAN COMPTABLE SYSCOA
CHAPITRE IV : LE PLAN COMPTABLE SYSCOA La comptabilité générale n est pas seulement nécessaire pour le Chef d entreprise, elle répond aussi à des besoins d informations comptables pour les partenaires,
Plus en détailETATS FINANCIERS SEMESTRIELS. Données consolidées. Du 1 er Janvier 2014 au 30 Juin 2014. Page 1 sur 13
ETATS FINANCIERS SEMESTRIELS Données consolidées Du 1 er Janvier 2014 au 30 Juin 2014 Page 1 sur 13 SOMMAIRE 1. Principes et méthodes de consolidation 2. Evénements significatifs postérieurs à la clôture
Plus en détailRAPPORT FINANCIER. 16ème congrès de l Union Locale CGT de Saintes 19 et 20 juin 2012
RAPPORT FINANCIER 16ème congrès de l Union Locale CGT de Saintes 19 et 20 juin 2012 Ce rapport financier concerne les années 2010 et 2011. En changeant de trésorier au dernier congrès de juin 2010, nous
Plus en détailREPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES
REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES UNITES ET VARIABLES A REPERTORIER SEMINAIRE DU CEFIL SUR L AVANCEMENT DES TRAVAUX CONCERNANT LA MISE EN PLACE D UN REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailNom prénom Classe année
Nom prénom Classe année SOMMAIRE REMERCIEMENTS 3 INTRODUCTION 5 PRESENTATION DU CANDIDAT 6 PRESENTATION DE L ENTREPRISE 8 I. L ENTREPRISE 9 II. PRESENTATION ET HISTORIQUE 10 III. ORGANIGRAMME 11 IV. IMPLANTATION
Plus en détailPROGRAMME AEC COMPTABILITÉ FINANCIÈRE INFORMATISÉE
PROGRAMME AEC COMPTABILITÉ FINANCIÈRE INFORMATISÉE Numéro Liste de compétences - cours Introduction aux mathématiques comptables et financières Utiliser à des fins de gestion des méthodes statistiques
Plus en détailGESTION LOGISTIQUE GESTION COMMERCIALE GESTION DE PRODUCTION
GESTION LOGISTIQUE GESTION COMMERCIALE GESTION DE PRODUCTION Votre contact : Pierre Larchères 06 30 35 96 46 18, rue de la Semm - 68000 COLMAR p.larcheres@agelis.fr PRESENTATION GENERALE LES PROGICIELS
Plus en détailContribution du Système d informationd à la valeur de l entreprisel
Contribution du Système d informationd à la valeur de l entreprisel Etude de cas : Déploiement d un ERP dans une entreprise internationale Malika Mir-Silber : Microsoft Pierre-Laurent Dugré : Adgil www.adgil.net
Plus en détailLivre Blanc Oracle Mars 2009. Rationaliser, Automatiser et Accélérer vos Projets Industriels
Livre Blanc Oracle Mars 2009 Rationaliser, Automatiser et Accélérer vos Projets Industriels Introduction Pour relancer l économie, le gouvernement des États-Unis, l Union Européenne et la Chine ont développé
Plus en détailConditions générales de vente et de livraison 2014 Knapzak Benelux BV Kraaivenstraat 36-09 5048 AB Tilburg (Pays-Bas)
Conditions générales de vente et de livraison 2014 Knapzak Benelux BV Kraaivenstraat 36-09 5048 AB Tilburg (Pays-Bas) Article 1. Dispositions générales 1.1. Les présentes conditions s appliquent à toutes
Plus en détail672ZA Auxiliaires d'assurances
STATISTIQUES PROFESSIONNELLES 23 672ZA Auxiliaires d'assurances EVOLUTION ANNEES 23 / 22 / 21 23 22 21 CHIFFRE D'AFFAIRES 88 62 Nombre d'entreprises 53 8 Ratios Ratios Ratios CHIFFRE D'AFFAIRES 1,, 1,
Plus en détailLE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES. Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS
LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS PEKIN TOKYO SHANGHAI NEW DELHI AHMEDABAD BANGALORE SHENZHEN
Plus en détailGestion budgétaire et financière
Élaboration et suivi de la programmation budgétaire Exécution budgétaire et comptable Aide au pilotage et contrôle financier externe Expertise financière et juridique Ministère de la Culture et de la Communication
Plus en détailL Indice Environnemental
L Indice Environnemental Historique et position face à l hypothèse de Porter Corinne MERCADIE Responsable Environnement & Emballages 1ere expérience de collecte et de mesure environnementale 2008 à 2010
Plus en détail