Historique des installations électriques en Suisse. informations quant aux installations réalisées selon le Sch.III
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- Ariane Marin
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1 Inspection fédérale des installations à courant fort ESTI Historique des installations électriques en Suisse et informations quant aux installations réalisées selon le Sch.III Journée ASCE, Yverdon, les 7 et 14 novembre 2013, Samuel Gobet
2 Un peu d histoire: Normes d installation de 1898 à
3 Un peu d histoire: les pionniers 1878, Thomas Edison «L Edison Electric Light Compagny» à New York. 1 an plus tard, il présente sa première lampe électrique à incandescence qui reste allumé 45 heures 1879, la première central hydraulique d Europe est construite à St-Moritz. Puissance = 7kW!! 1886, début de l approvisionnement en électricité: les frères Troller ont mis en service une centrale hydroélectrique à courant alternatif de 450 chevaux à Thorenberg/Littau, près de Lucerne. A cette époque on hésite grandement entre la distribution en continue ou en alternatif (Edison, par exemple, déconseillait formellement l'usage en ville de l alternatif en raison d'un «risque d électrocution par induction» pour les utilisateurs du téléphone 1889: invention du premier moteur asynchrone triphasé à cage d écureuil isolé..à l air!! 1889, création de l Association Suisse des Electriciens 3
4 Un peu d histoire: les pionniers 1894: Électrification des tramways zurichois. et Extrait: art.35 «les fils fusibles doivent être faciles à remplacer et ne pas donner lieu à des projections de métal fondu» Extrait: art.35 «Sur les circuits d une tension supérieure à 150 Volts, tous les coupe-circuits doivent être bipolaires» : Premier chemin de fer d'europe entièrement électrifié des Chemins de fer Berthoud-Thoune (40 km ; 750 V ; 40 Hz) 4
5 Un peu d histoire: les réseaux Le développement des réseaux électriques en Suisse s est inscrit, comme en Allemagne et dans les pays du nord de l'europe, dans un système mixte où cohabitent sociétés du secteur privé et du secteur public. Les positions actuelles découlent largement des décisions prises entre 1880 et Au début, les industries électrochimiques développent leur propre énergie, citons par exemple la Société d Electro-chimie de Paris dont la production se situe à Vallorbe pour la production de chlorates, la Lonza et la future Alusuisse Dans la plupart des grandes villes suisses, ce sont des particuliers, véritables pionniers, qui ont installé les premiers réseaux d'éclairage dans les années 1880.en termes d aujourd hui des «profanes» Name der Präsentation Untertitel Absender 5
6 Un peu d histoire: les réseaux D'autres entreprises développeront le créneau de l'électrification rurale. C'est le cas de la Société romande d'électricité (1904) et des Forces motrices de la Suisse centrale (1909). C est BBC (maintenant ABB) qui construit par sa filiale Motor- Colombus les principaux réseaux de Suisse avant la première guerre mondiale. Ces réseaux sont ensuite rachetés par des entreprises cantonales Le secteur croît très rapidement et ce n est pas moins de 1000 entreprises électriques qui sont recensées en 1913 alors qu elles n étaient que 140 en 1900! Ce sont les deux lois fédérales, celle de 1902 sur les installations électriques et celle de 1916 sur l utilisation des forces hydrauliques qui jetteront les bases et le cadre des échanges et relations entre les différents acteurs. Name der Präsentation Untertitel Absender 6
7 Un peu d histoire: les réseaux Dans la loi de 1916, entre en scène les CFF qui ont désormais le droit de réquisitionner les concessions dont ils ont besoin pour électrifier leur réseaux. C est la Première guerre mondiale qui forcera la coopération des sociétés électriques soucieuses de ne pas gaspiller l énergie hydraulique 1919; création de Energie de l Ouest-Suisse (EOS) Durant l entre-deux guerres, la construction s intensifie. On construit des barrages (donc Dixence), on exporte l énergie pour rentabiliser les grandes centrales Pour répondre aux demandes croissantes d'énergie d'après la Deuxième Guerre mondiale, on assiste à une nouvelle vague de construction de centrales hydroélectriques Fin des années 1960; début de l énergie nucléaire Name der Präsentation Untertitel Absender 7
8 Un peu d histoire: la législation Selon le document «mesures de sécurité dans l exécution et l exploitation d installations électriques» de 1898, «l installateurélectricien» est la personne qui réalise les installations électriques entre le générateur et le consommateur 1902 LIE Parution de la loi sur les installations électriques. Ses auteurs ont eu la bonne idées de rester assez large dans sa formulation pour que celle-ci ne fixe que les grands principes de protection et renvoi l application «technique» des règles de sécurité à des prescriptions à édicter.déjà en ce temps-là, la législation suisse est compliquée il est donc plus facile de modifier et d adapter des Ordonnances, et encore plus facilement des prescriptions, que des lois. 8
9 Un peu d histoire: la législation 1908 Premières Prescriptions sur l établissement des installations électriques à courant fort Art.11: Les installations à fort courant dont la tension de service excède 150 volts sont soumises aux dispositions suivantes: 1. Les parties d installations normalement sous tension ne doivent pouvoir être atteintes que d endroits isolés de la terre pour la tension de service. 2. Les parties métalliques pouvant, par suite de défauts d isolation, se trouver sous tension ne doivent pouvoir être atteintes que d endroits isolés de la terre pour la tension de service ou doivent être mise à terre conformément aux art.35 et 36.2 Art.35: Mise à terre (directe); S min = 25mm 2 et connexion solide Art.36: Tension de contact max = 150V Ces prescriptions établissaient donc l emplacement isolant comme première mesure de protection, reléguant la mise à la terre en 2 ème position 9
10 Un peu d histoire: la législation 1933 Prescriptions remplacées par l OICF Changement d approche sécuritaire. La mise à terre apparaît indiscutablement comme LA mesure de protection dans les installations électriques. La tension de 50V est considérée comme la limite des tensions «dangereuses» mais les notions de durée et de probabilité d accident n apparaissent pas 1958 Révision complète décidée et mandat à la commission des terres d étudier les problèmes de mise à terre 1964 début des travaux, premier projet en 1973, second en 1976 «Protection contre les tensions de contact et de pas dangereuses». Le résultat de ces travaux est très complet (trop complet!) et ne sera ainsi pas intégré dans la révision en cours de l ordonnance qui, je le rappelle, doit rester un document fixant les grandes lignes et principes de protection 10
11 Un peu d histoire: la législation La structure législative est donc modifiée pour déboucher sur la structure que nous connaissons encore aujourd hui; Loi Ordonnance règles tech. L ordonnance est donc adaptée et fait maintenant clairement mention de «règles techniques reconnues» et l on y retrouve désormais à l art.4 Art.4: (le texte est légèrement différent actuellement mais le sens est le même) 1. Les installations à courant fort et les matériels électriques qui y sont raccordés doivent être exécutés, modifiés, entretenus et contrôlés selon les règles techniques généralement admises. Lorsqu ils sont utilisés ou exploités conformément à leur destination, ils ne doivent mettre en danger ni les personnes et les choses, pas plus qu en cas de perturbation prévisible. 2. Sont notamment considérées comme règles techniques généralement admises les normes techniques publiées par l ASE, les prescriptions techniques de l Entreprise des PTT. S il n existe pas de normes techniques appropriées, on utilisera des normes ou prescriptions techniques susceptibles d être appliquées par analogie. 11
12 Un peu d histoire: la législation Dans l OICF de 1933 on admettait que, en cas de défaut, la tension pouvant apparaître entre l électrode de terre de l installation et la terre de référence ne devait pas dépasser 50V. Ceci était certainement réalisable sans trop de difficultés dans les années 30 car les courants de défauts à la terre étaient faibles (réseaux faiblement câblés et avec point neutre isolé) Par contre, dans les années 1950, les structures des réseaux se sont modifiées. Les tensions d exploitation sont devenues de plus en plus élevées (augmentation de la demande en puissance). Les courants de défauts sont devenus également plus importants et l on ne pouvait plus se contenter de fixer une valeur limite pour la tension de prise de terre. Dès lors, sont apparues les notions de tension de contact et de pas (officialisation des termes). L évolution technique permettant de déclencher les défauts rapidement, il était possible dès lors de dépasser la valeur limite de 50V, mais pas la durée de 5s! Lorsque la durée est plus courte, des tensions supérieures peuvent être admises selon la courbe OICF 12
13 Un peu d histoire: la législation En ce qui concerne les lignes, la notion de probabilité et de la présence ou non de personnes a été introduite et la répartition en trois régions a été définie. Parallèlement, modification a été faite par rapport à la tension maximale admissible susceptible d apparaître entre le conducteur servant à la protection et la terre de référence. Cette valeur ne doit désormais jamais dépasser 100V. Tout ceci nous mène naturellement au contenu actuelle de l OICF: Art. 54 Tensions de contact et tensions de pas admissibles dans les installations à courant fort 1. En cas de défaut à la terre dans une installation à courant fort, les tensions de contact ne doivent pas, compte 50V tenu et de 5sec la plus haute valeur possible du courant de défaut unipolaire, dépasser durablement 50 volts en courant alternatif ou 120 volts en courant continu. Pour une durée maximale de cinq secondes, les valeurs indiquées à l annexe 4 sont applicables. 13
14 Un peu d histoire: la législation 2. Les supports en matériau conducteur des lignes aériennes à haute tension doivent répondre aux exigences suivantes en cas de défaut à la terre: a. dans les régions où il faut s attendre à d importants rassemblements ou à la présence A provisoire mais prolongée de personnes, les valeurs des tensions de contact indiquées à l annexe 4 doivent être respectées; b. dans les régions habitées ou au voisinage de bâtiments isolés et de chemins, là où il faut compter sur la présence fréquente Régions mais de courte durée de personnes, les B valeurs concernant les tensions de contact peuvent être dépassées pendant deux secondes au maximum; c. dans les autres régions, les tensions de contact peuvent dépasser les valeurs fixées à l al. 1. Cependant, C les valeurs supérieures à 50 volts en courant alternatif et 120 volts en courant continu ne doivent pas durer plus de quelques heures. Art. 55 Tensions de contact et tensions de pas admissibles dans les installations à courant fort 1. Les conditions formulées à l art. 54, al. 1, sont réputées remplies si la tension susceptible d apparaître entre le conducteur 100V max servant à la protection et tout point de la surface terrestre situé en-dehors de la zone d influence des prises de terre (terre de référence) ne dépasse pas 100 volts en courant alternatif ou 240 volts en courant continu. 14
15 Un peu d histoire: la technique Premier «réseau»: Installation à 2 fils: la tension d exploitation doit rester relativement «basse» et l installation sur petites distances 500V Réseau 1 sinon la consommation de matériel devient important car il faut des grosses sections pour minimiser ΔU (perte de P) et favoriser Icc. NIBT: Tension limitée à 500V, produit entre la tension de service et la longueur de ligne < , limiter si possible l installation à un seul appareil par enroulement,. Ça ne vous rappelle rien? Protection par séparation 15
16 Un peu d histoire: la technique Les problèmes sont donc vites apparus dans les réseaux lorsque les récepteurs se sont multipliés, les puissances ont augmentées et les distances à parcourir toujours plus longues Protection par séparation 16
17 Un peu d histoire: la technique La protection par emplacement isolant n avait pas grand sens dans ce cas (transfo pas à terre et ne protège pas de U entre récepteurs ) < V V Si réseau étendu = Icc petit; La liaison équipotentielle n était pas réalisable partout et/ou beaucoup trop coûteuse en matériel, V D V La protection des personnes ne se serait reposée que sur la distance entre les appareils! 17
18 Un peu d histoire: la technique Des options techniques ont donc été prises. En voici quelques unes: - Utilisation majoritaire de l alternatif pour ses facilités de transformation et ses propriétés magnétiques - Distribution polyphasée afin de bénéficier très facilement de 2 niveaux de tensions - Distribution polyphasée afin d économiser les matières premières (au prorata moins coûteux qu un système monophasé) - Mise à terre appliquée au transformateur (générateur) et sol isolant plus autorisé comme seul moyen de protection - Uniformisation des tensions utilisées dans les réseaux afin de faciliter les échanges, la compatibilité du matériel (installations intérieures en principe réalisées sous V) 18
19 Un peu d histoire: la technique 1933 T Un point de la source est mis à terre Attention, ce ne veut pas dire qu il n y a pas de neutre distribué dans le système! En 1936 par exemple, en présence d un N, les prescriptions demandaient qu un fusible soit inséré dans le conducteur N La R du circuit peut passablement variée T L 1 L 2 L 3 N Les masses des récepteurs électriques sont mise à la terre Mise à la terre directe 19
20 Un peu d histoire: la technique T Si on relie les machines et appareils à protéger au conducteur neutre, le courant de fuite établi lors d un défaut ne va plus à la terre, mais passe par le conducteur neutre. Le circuit se referme alors sur le bobinage du transformateur puis la phase concernée. N L 1 L 2 L 3 N Les masses des récepteurs électriques sont reliées au conducteur neutre Un point de la source est mis à terre La mise au neutre 20
21 Un peu d histoire: la technique T Dans un tel schéma, le neutre ne peut plus être dépendant d un fusible puisque cela provoque l interruption du conducteur servant à la protection! Le fusible doit être remplacé par un dispositif particulier qui ne peut être desserré qu avec un outil N L 1 L 2 L 3 N Les masses des récepteurs électriques sont reliées au conducteur neutre Un point de la source est mis à terre La mise au neutre 21
22 Un peu d histoire: la technique T Le calcul des courants de fuite se fait simplement en tenant compte de la résistance des lignes. Du coup, il est possible de «modifier» le courant de court-circuit en jouant sur les sections par exemple, ce qui a pour effet que l objet défectueux soit mis rapidement hors tension N L 1 L 2 L 3 N Les masses des récepteurs électriques sont reliées au conducteur neutre Un point de la source est mis à terre La mise au neutre 22
23 Rappel: la seconde guerre mondiale Lors de la seconde guerre mondiale, le cuivre fut réquisitionné pour d autres attributions que les installations électriques. Aussi, l aluminium remplaça le cuivre et des conducteurs de 2.5mm 2 furent utiliser. La mise en œuvre de ceux-ci nécessitait un soin particulier puisque plus fragiles que des fils cuivre. Bien quelques années après la guerre, le cuivre imposera à nouveau ses avantages fasse à l aluminium 23
24 Un peu d histoire: la technique Le gros avantage réalisé par la mise au neutre conduit la majorité des réseaux à l adopter systématiquement lors des transformations de réseaux La majorité des réseaux a augmenté la tension d utilisation «domestique» à 220V. La mise à la terre du neutre dans le réseau est appliquée quasi systématiquement. Cela implique par contre, de démonter les raccordements à la terre directe qui existait sur les appareils dans les locaux non secs. Durant cette période, on commence également à parler de «mettre à terre le neutre» chez l abonné lorsque le réseau est très étendu ou lorsqu il y a de très fortes puissances à raccorder. 24
25 En effet, la mise au neutre des parties métalliques est une mesure très efficaces contre les tensions de contact dangereuses. Elle a par contre le défaut que là où les lignes entre la station transformatrice et les appareils sont longues, la résistance, et par conséquent la chute de tension, deviennent trop grandes. Comme la chute de tension est égale à la tension de contact, la mesure de protection devient sans effet Un peu d histoire: la technique La mise au neutre n est autorisé que si le conducteur neutre est mis à terre à moins de 500m du CSG En cas de défaut entre phase et conducteur de protection (ou conducteur de mise au neutre), chez un abonné, si la ligne n est mise à la terre qu à sa source, il apparaîtra une tension de 110V contre terre chez l abonné si les conducteurs de phase et de protection sont de même section. 25
26 Un peu d histoire: la technique 220V R 110V 110V L 1 L 2 L 3 N 220V 110V 110V U défaut max = 110V V Mise au neutre 26
27 Un peu d histoire: la technique Selon valeur des résistances de passage à la terre R ST = 10Ω R ABO = 1Ω R ST = 1Ω R ABO = 10Ω U ST = 100V U ABO = 10V U ST = 10V U ABO = 100V 220V 110V 110V L 3 N V 220V U défaut max = dépend de R ABO et R ST terrain U défaut max = dépend de R ABO et R ST Mise à la terre du neutre également chez l abonné 27
28 Un peu d histoire: les idées fausses On a souvent tendance à penser que avant la distribution TN-S comme on la connait depuis 1985, il y avait le Sch.III. C est complétement faux, déjà dans les prescriptions de 1927 on trouvait les schémas suivants: Le Sch.III a l avantage de présenter une grande simplicité de mise en place et d adaptation lors des transformations. Il est également moins coûteux. Schéma I Schéma II Schéma III 28
29 Un peu d histoire: la technique N oublions pas que le Sch.III est une mise au neutre des masses métalliques électriques et que le conducteur N du Sch.III sert de conducteur de protection en cas de défaut!! Le problème principal de ce schéma est que si le conducteur neutre vient à être interrompu, il pourrait arriver qu en cas de défaut d isolement, il ne se forme pas de courant de fuite et que toute l installation reste de façon durable sous tension. Dans ce cas-là ce n est pas seulement l appareil défectueux, mais également tous les appareils qui sont raccordés au même N qui se trouveraient sous tension 29
30 Un peu d histoire: la technique Abolition du Sch.III et mise en place des équipotentialités principales et supplémentaires. Apparition d obligation de pose de DDR Les PIE 1985 demande qu au point de transition entre le réseau de distribution et l installation à basse tension, le conducteur servant à la mise au neutre soit mis à la terre = ligne de terre de mise au neutre (chez l abonné) On résout ainsi en partie le problème précédent, puisque le neutre est remis à terre à l introduction et on assure aussi que toute tension de défaut qui pourrait être amenée de l extérieur par le conducteur servant à la protection par exemple la tension de 100V admissible dans les réseaux BT avant déclenchement ne devienne dangereuse pour les personnes puisque dans ce cas-là, le conducteur d équipotentialité aménerait toutes les parties conductrices au même potentiel 30
31 Problème principaux du Sch.III L idée d utiliser le schéma III comme principal mode de distribution domestique était bonne, car simple, peu coûteux, facile à mettre en œuvre lors de transformations (il «suffisait» de faire des «petits ponts» sur les carcasses) Le Sch.III a par contre les gros inconvénients suivants: - Comme nous l avons déjà vu, une montée en potentiel des masses si il y a rupture du conducteur de mise au neutre; les protections ne déclenchent pas - L application du couplage de protection n est pas aisé, voir impossible sur les lignes principales - Les mesures d isolement ne sont pas impossibles, mais très fastidieuses - La transformation et la reprise de telles installations posent des problèmes de mise en œuvre - Il est souvent lié à l utilisation de fils Gs qui ont des fonctions difficiles à reconnaître avec les années!! inversions L-N!! 31
32 Problème principaux du Sch.III Fonction des conducteurs?? L-N ; N-L; L-PEN? 32
33 Problème principaux du Sch.III????? 33
34 Problème principaux du Sch.III Défectuosité du sectionneur intégré au disjoncteur SL, machine à laver raccordée sur une prise selon Sch.III; machine sous tension suite à un défaut d isolement! 34
35 Problème principaux du Sch.III Borne de fixation de neutre du Sch.III fondue (avait été abimée lors des travaux sur les minuteries), tension variable sur l appareil raccordé et sur les masses 35
36 Modification d installation En tout premier lieu, il y a lieu de s interroger sur la fonction précise de chaque conducteur de l installation. En effet, «pour leur fonction primaire courante»; Un conducteur jaune peut être: - simplement un conducteur neutre - un conducteur de mise au neutre servant à la protection - un conducteur combinant la fonction neutre et protection (une sorte de PEN bien qu il n en ai pas la section minimum) - un conducteur de retour de traction (dans une installation de gare par exemple) Un conducteur bleu peut être: - un ancien conducteur polaire - un conducteur neutre - le pôle négatif d un circuit continu DC - un conducteur de circuit intrinsèque 36
37 Modification d installation En tout premier lieu, il y a lieu de s interroger sur la fonction précise de chaque conducteur de l installation. En effet, «pour leur fonction primaire courante»; Un conducteur jaune et rouge peut être: - un conducteur de protection PE - un conducteur d équipotentialité - un conducteur de terre Un conducteur vert-jaune peut être: - un conducteur de protection PE - un conducteur d équipotentialité - un conducteur de terre L identification des conducteurs est importante car il s agit de conserver au mieux leur fonction ou au besoin, d adapter leur marquage. 37
38 Pas obligatoire Modification d installation Par exemple, il ne faut pas raccorder le conducteur PEN d une installation nouvelle TN-C au conducteur PE d une installation existante en Sch.I; en effet cette erreur aurait pour effet de transformer en conducteur actif un conducteur de protection. Dans tous les cas, imposé par les normes ou pas, l important est de reconnaître facilement la fonction des conducteurs, surtout dans une installation qui a subit de nombreuses modifications. PEN N Admis si > 25mm 2 Pas obligatoire Admis si > 25mm 2 38
39 Modification d installation Ce que dit la norme: Si des canalisations de départ sont alimentées à partir d un ensemble d appareillage amélioré, elles doivent être connectées avec les bornes de départ comme le montre la figure ci-dessous Installation existante Sch.III Note 2: le conducteur jaune peut être utilisé comme PEN pour des colonnes montantes par exemple, pour autant que S 10mm 2 + identification + isolé sans interruption Nouvel ensemble d appareillage Attention prévoir la place pour les futurs DDR Installation existante Sch.III 39
40 Modification d installation Ce que dit la norme: Exemple colonne montante Dans les installations existantes avec un conducteur neutre marqué en jaune (fig , partie B), celui-ci doit être clairement identifié comme conducteur PEN, pour autant qu il continue à être utilisé comme tel. Si la partie de canalisation A est renouvelée et utilisée comme conducteur PEN jusqu à l alimentation de l installation existante «B», le conducteur bleu doit remplir les conditions d un conducteur PEN et être marqué sans équivoque aux deux extrémités comme conducteur PEN. Cette disposition ne peut être utilisée que comme solution de transition jusqu à l amélioration de l installation dans la partie B. Installation nouvelle TN-C Installation existante 10mm 2 10mm 2 Note 2: le conducteur jaune peut être utilisé comme PEN pour des colonnes montantes par exemple, pour autant que S 10mm 2 + identification + isolé sans interruption 40
41 Modification d installation Ce que dit la norme: Exemple colonne montante Lors d'extensions d'installations existantes, le conducteur PEN désigné en vert-et-jaune doit être relié au conducteur PEN jaune existant (anciennement conducteur neutre). Installation existante Installation nouvelle 10mm 2 «PEN» PEN 10mm 2 PE Un sectionneur de neutre doit être inséré dans le conducteur neutre - au coupe-surintensité général - au coupe-surintensité d'abonné - dans le système TN-C-S, à l endroit où le conducteur PEN est divisé en conducteur neutre et conducteur de protection N EA de l étage à neuf : Pour tous les autres dispositifs de protection contre les surintensités et pour les barres PEN dans les ensembles d appareillage, une borne spéciale peut être établie à la place d un sectionneur de neutre. 41
42 Modification d installation Ce que dit la norme: Ex: centralisation de distribution d appartements avec colonnes montantes sur un EA existant Si l installation A est existante en TN-S avec une section 10mm 2, la reprise éventuelle de la partie B est interdite en TN-C. L installation B doit donc continuer en TN-S Les conducteurs neutres et les conducteurs PEN doivent être posés de la même manière que les conducteurs de phases correspondants. Il n est donc plus autorisé de tirer un conducteur PEN indépendant pour revenir sur le sectionneur d introduction. Zone de liaison Installation existante avec N jaune ou bleu TN-S TN-C 10mm 2 10mm 2 TN-S OK 42
43 Modification d installation Exemple reprise de petites parties d installation Ce que dit la norme: Installation existante Sch.III Installation nouvelle 10mm 2 «PEN» 10mm 2 PE N Si l'on relie un conducteur neutre de couleur bleu à un autre de couleur jaune, on marquera en jaune le conducteur bleu à ce raccordement. Installation existante Installation nouvelle PE posé séparément voir conditions ou 10mm 2 N ou 10mm 2 PE N 43
44 PE 1 PE 2 Modification d installation Ce que dit la norme: Si un conducteur PEN est séparé en conducteur neutre et en conducteur de protection à partir d un point quelconque de l installation, la connexion du conducteur neutre avec n importe quelle autre partie de l installation mise à la terre (par exemple liaison renouvelée avec le conducteur de protection) n est pas autorisée. Par contre il est admis de dériver plusieurs conducteurs neutres et plusieurs conducteurs de protection du conducteur PEN. Des barres ou des bornes séparées doivent être prévues pour les conducteurs de protection et les conducteurs neutres. Dans ce cas, le conducteur PEN doit être relié à la borne ou à la barre prévue pour le conducteur de protection. (E+C) Reconnexion Installation existante Installation nouvelle aval interdite 10mm 2 «PEN» ou 10mm 2 N 1 N 2 Note 2: le conducteur jaune peut être utilisé comme PEN pour des colonnes montantes par exemple, pour autant que S 10mm 2 + identification + isolé sans interruption 44
45 Proposition d installation: Résumé : Par ces exemples on voit bien la complexité de traiter correctement le prolongement ou la reprise d une ancienne installation. La NIBT est relativement peu précise sur le sujet et change parfois la façon de traiter ces cas selon les versions. Il n est par exemple, pas tenu compte des problématiques que la rupture ou la mauvaise connexion d un sectionneur de neutre peut engendré en installation Sch.III. (si conducteur avec les 2 fonctions) voir dias Il est toutefois possible de respecter la norme tout en évitant, ou tout du moins en atténuant cette problématique. La première question à se poser est, nous l avons vu, quelle est la fonction de ce fil jaune? (N du Sch.I N du Sch.III PE du Sch.III ) Les sectionneurs de N ne sont exigés dans le PEN qu au CS généraux Les sectionneurs sur le N ne sont exigés qu aux CS généraux, d abonnés et au point de transition TN-C-S. En cas de modification, le choix des sectionneurs est important. 45
46 Proposition d installation: Résumé : - Repérer, respecter la fonction des conducteurs et réfléchir! - Il est préférable de garder «isolé» le conducteur N du Sch.III le plus en amont possible dans l installation (au lieu de le «mettre à terre» en le plaçant sur la borne de terre). Ceci pour éviter les courants de fuite et de retour par la terre - «Remonter» le plus près possible de l introduction ou du point de mise à terre avec l installation à reprendre (ne pas choisir la facilité) - Utiliser des sectionneurs de plus grande intensité et de construction plus robuste (toujours uniquement ouvrable avec un outil) - Ne plus faire passer systèmatiquement les conducteurs N du Sch.III par les anciens sectionneurs «fragiles» (de toute façon la mesure d isolement est fastidieuse), mais déplacer ces conducteurs sur des bornes de qualité (fixes, étiquetées, etc ) 46
47 Proposition d installation: Résumé : - Changer l ancienne installation dès que possible (discuter de délais, informer les propriétaire des dangers, etc ) - Identifier et marquer tous les conducteurs quant à leur fonction - Etiquetez tous les conducteurs quant à leur appartenance (N gr.) - Isoler soigneusement les conducteurs non utilisés ou les démonter - Utiliser au maximum les prise SIDOS, et le plus en amont possible dans l installation (utiliser les modèles permettant le TN-S en aval) - Dans certains cas, notamment lorsqu un récepteur est éloigné de l installation principale (ex: alimentation d un cabanon de jardin) il est possible de modifier la mise au neutre (donc enlever le pont avec les masses) et de créer une mise à terre directe avec une électrode et un DDR en amont (attention, mesurez la R de passage à la terre) 47
48 Proposition d installation: Résumé : - Choisir une courbe de disjoncteurs adaptés aux courants de courtcircuit souvent faible dans les anciennes installations (courbe B) - Utiliser des disjoncteurs à pôles accouplés avec une borne pour reprendre le N su Sch.III Danger OK Dans tous les cas, après toute modification sur de telles installations, des mesures doivent être réalisées de manière particulièrement soignée, non seulement sur le ou les groupes modifiés, mais également sur le reste de l installation impliquée 48
49 Merci de votre attention ESTI Romandie Chemin de Mornex 3, 1003 Lausanne 021 / Pour vos questions: samuel.gobet@esti.admin.ch 49
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