Evaluation de la sécurité alimentaire en milieu rurale Djibouti- Mai Juillet 2012

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1 Evaluation de la sécurité alimentaire en milieu rurale Djibouti- Mai Juillet 2012

2 OBJECTIFS Evaluer la situation de la sécurité alimentaire en milieu rural Identifier les zones et populations en insécurité Alimentaire Suivi de l évolution de la situation de la sécurité alimentaire par rapport a 2011

3 Méthodologie Enquêtes Ménage (profil socio-économique et démographique, dépenses du ménage, consommation, accès a l alimentation, à l eau et aux soins, exposition du ménage au risque et sa réponse, biens et moyens d existence, migration, saisonnalité) Questionnaires communautaires

4 Couverture de l enquête 2 strata: zones de moyens d existence et régions 74 localités et 888 ménages prévus / 74 localités et 861 ménages visites

5 Régions et Zones de moyens d existence Issue de l Atelier d analyse IPC Djibouti Decembre 2011

6 RESULTATS

7 Profils de sécurité alimentaire 49% des ménages sont en insécurité alimentaire sévère La situation s est détériorée par rapport a 2011 (42% en insécurité alimentaire sévère)

8 Evolution par rapport à 2011 Détérioration de la consommation alimentaire: plus de 70% des ménages ont une consommation alimentaire pauvre ou limite contre 57% l année dernière. Forte dépendance des dons et de l aide: le pourcentage des ménages qui dépendent des dons (aide alimentaire, familiale et communautaire) a augmenté de 11% en 2011 à 20% en 2012.

9 Evolution par rapport à 2011 Fort diminution des biens: 24% des ménages a procédé à des ventes inhabituelles de bétail en 2012 (contre 10,5% l année dernière). Dans 78% de cas, ils l ont fait pour acheter de la nourriture. Diminution des revenus: 58% des ménages estiment que leurs revenus sont inférieurs à ceux de l année dernière.

10 Causes de l insécurité alimentaire Pauvreté chronique exacerbée par le manque d opportunités de travail Sécheresse récurrente qui empêche le renouvellement des pâturages et a décimé les cheptel Niveau élevé des prix des produits alimentaires qui n ont jamais retrouvé leur niveau d avant la crise de 2008 Niveau de revenu très bas et 35% de leurs sources de revenu sont pas soutenables (aide, vente de charbon, transferts financiers).

11 Caractéristiques des ménages en insécurité alimentaire Niveau de consommation alimentaire très mauvais (riz, huile, sucre, condiments) Manque de biens Niveau de dépenses très bas (58 FD p/j) Forte dépendance de l aide

12 Répartition géographique de l insécurité alimentaire La région qui a le plus fort taux d insécurité alimentaire sévère est celle d Ali Sabieh (77%) suivie par la région d Obock (55%).

13 Définir l indice de sécurité alimentaire Les indicateurs utilisés 1. Consommation alimentaire (FCS) 2. Dépenses pouvoir d achat 3. Les biens 4. Stratégies de survie 5. Accès a l eau (lt per capita) 6. Bétail (tropical livestock unit)

14 Consommation alimentaire: 73% des ménages a une diète pauvre ou limite

15 Un régime alimentaire généralement pauvre

16 Les ménagés qui ont du bétail ont une meilleure condition de sécurité alimentaire Sources des aliments pour les ménages IAS Sources des aliments pour le ménages SA

17 Bétail: quantité insuffisante pour la sécurité alimentaire Possession de bétail par groupe de sécurité alimentaire (nombre d animaux en moyenne) Groupes de sécurité alimentaire Insécurité alimentaire sévère Insécurité alimentaire modérée Anes Chamea ux Vaches Chèvre s Mouto ns Volaille Unité de bétail tropica l,52,65,13 10,07 1,13,03 2,1270,66 2,29,64 16,04 2,79,01 4,2865 Sécurité alimentaire,62 1,51,81 13,67 1,71,03 3,9294 Total,58 1,31,43 12,58 1,73,02 3, % des ménages en insécurité alimentaire sévère et 13% de ceux en insécurité modérée ont vendu des animaux reproducteurs pendant les sept jours précédant l enquête. 40% des ménages ont vendu un animal (vente inhabituelle) pendant les 12 derniers mois.

18 Biens: erosion du capital des ménages Les ménages possèdent généralement très peu de biens (quatre en moyenne) 25% des ménages en insécurité alimentaire sévère et 22% de ceux en insécurité modérée ont vendu des biens pendant les sept jours précédant l enquête.

19 Le pouvoir d achat est très bas 86 FD/P/J ce que le 50% des ménages dépense 119 FD/P/J en moyenne (117 en 2011) En moyenne, Le 73% des dépenses est pour l alimentation

20 Dépenses alimentaires consacrées principalement à l achat de céréales, d huile et de sucre

21 Stratégies de survie Pendant la semaine précédant l enquête, 60% des ménages ont eu des moments où ils n ont pas eu assez d argent pour acheter de la nourriture. Pendants les 7 jours précédant l enquête 25% des ménages ont vendu un biens et 15% ont vendu un animal reproducteur pour faire face au manque de nourriture.

22 Stratégies de survie Stratégies plus utilises par rapport a la consommation alimentaire: L achat d aliments moins chers et moins préférés (37% des ménages 7j/7) Limiter la quantité de nourriture aux repas tous les jours de la semaine (32% des ménages 7j/7) Emprunter des aliments ou compter sur l aide de la famille ou amis. (16% 7j/7)

23 Période de difficultés: de mai à septembre Tous les ménages ont plus de difficultés pour se procurer suffisamment de nourriture l été entre mai et septembre. Le pic des difficultés est en août.

24 Sources de revenus Diversification du revenus: 40% des ménages ont deux sources de revenus. En 2011, seulement 24% des ménages avaient deux sources de revenus. Cette augmentation pourrait indiquer que les familles ont plus de difficultés à faire face à la situation et cherchent à diversifier leurs sources de revenus. Seulement pour 18% des ménages les bétail est la première source de revenus

25 Sources de revenues: 35% pas soutenable (aide, vente de charbon, transferts)

26 EAU 84% de ménages utilise une source d eau non protégé. Parmi eux 40% utilisent un puits de surface Le 55% des ménages considère de n avoir pas accès a une quantité d eau suffisante. La grande majorité des ménages ont un accès très limité à l eau. 15% des ménages ont moins de 7,5 litres d eau par personne et par jour. 46% des ménages ont moins de 15 litres d eau par jour et par personne.

27 Distance de la source d eau 40 % d entre eux doivent marcher au moins une demie heure 25% doivent marcher entre une demie heure et une heure Plus de 11% doivent marcher jusqu à trois heures.

28 Shocks: sècheresse, hausse dex prix et mort du bétail sont les chocs principaux depuis 2009

29 Screening malnutrition Il y a un problème de malnutrition concernant les femmes 20% des ménages en insécurité alimentaire ont déclaré diminuer la ration des adultes au profit des enfants tous les jours de la semaine. Taux d émaciation chez les femmes Pourcentage de femmes malnourries (Entre 15 et 49 ans) Emaciation sévère (MUAC < 21.4*) 9,0 Emaciation modérée (MUAC >=21.4 & <=22.1*) 5,3 Emaciation sévère et modérée (MUAC < 22.2*) 14,3 * Seuils OMS 2005 % Taux de malnutrition aiguë chez les enfants Pourcentage des enfants souffrant de malnutrition aiguë (de 6 à 59 mois) % Malnutrition aiguë sévère (SAM) (MUAC < 11.5**) Malnutrition aiguë modérée (MAM) (MUAC >=11.5 & <12.5**) Malnutrition aiguë globale (GAM) (GAM) (MUAC < 12.5**) (SAM + MAM) 1 6,1 7,1

30 Groupes de sécurité alimentaire Groupes de sécurité alimentaire Pourcentage Population estimée moyenne Marge inferieur Marge superieure Insécurité alimentaire sévère Insécurité alimentaire modérée Sécurité alimentaire

31 Recommandations 1. Continuer à fournir une aide alimentaire inconditionnelle aux ménages en insécurité alimentaire sévère pendant au moins les douze prochains mois. 2. Continuer à fournir une aide alimentaire inconditionnelle pendant la période de soudure (de mai à septembre) aux ménages en insécurité alimentaire modérée pour améliorer l accès aux aliments nutritifs et pour diminuer le risque de voir les ménages vendre ou perdre leurs biens les plus productifs tels que le bétail. 3. Continuer à fournir une aide alimentaire conditionnelle (vivre contre travail/vivres contre actifs) aux ménages en insécurité alimentaire modérée après la période de soudure de 2012 et jusqu au commencement de la prochaine période de soudure (octobre-avril) pour réduire la vulnérabilité aux shocks et encourager la diversité des emplois.

32 Recommandations (suite) 4. Continuer le programme de supplémentation alimentaire pour les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes et allaitantes pour éviter une détérioration de la situation nutritionnelle. 5. Mener une enquête nutritionnelle pour mieux comprendre la situation actuelle. 6. Améliorer l accès à l eau à travers des projets pour en améliorer la qualité mais aussi augmenter le nombre de sources / points d eau. 7. Apporter une aide aux éleveurs pour maintenir leurs troupeaux en vie (à travers un soutien en nourriture animale) et protéger la ration alimentaire des ménages.

33 MERCI! Questions?

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