COMMENTAIRE IL NE FAUT PAS SE FIER AU TAUX DE CHÔMAGE POUR ÉVALUER L ÉTAT DU MARCHÉ DE L EMPLOI. Services économiques TD
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- Jérémie Rochette
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1 COMMENTAIRE Services économiques TD IL NE FAUT PAS SE FIER AU TAUX DE CHÔMAGE POUR ÉVALUER L ÉTAT DU MARCHÉ DE L EMPLOI Points saillants Au cours de la dernière année, le taux de chômage au Canada est resté relativement stable, tandis que celui aux États-Unis a diminué de façon continue, ce qui laisse croire que la récente surperformance du marché de l emploi canadien tire à sa fin. Des différences méthodologiques dans le calcul du taux de chômage biaisent à la hausse le taux canadien par rapport au taux américain. En règle générale, il faut déduire au moins 1 % du taux officiel canadien lorsqu on le compare au taux américain. Fait encore plus important à noter, l écart entre les taux de participation de la population active des deux pays augmente, surtout chez les femmes. Au Canada, la part de la population de base en âge de travailler (25 à 54 ans) qui fait partie de la population active a augmenté, tandis qu aux États-Unis, elle a diminué. Si, aux États-Unis, le même nombre de personnes âgées entre 25 et 54 ans travaillaient ou étaient à la recherche de travail qu au Canada, le taux de chômage américain serait supérieur à 11 % (au lieu de 7,2 %). Par ailleurs, si le taux de participation canadien suivait celui des États-Unis, le taux de chômage ne serait que de 2,5 % (au lieu de 6,9 %). Le Canada n est pas tout à fait revenu à la normale, son ratio de l emploi par rapport à la population demeurant inférieur de 2 % au sommet d avant la récession, mais il a tout de même une longueur d avance sur les États-Unis, qui affichent un déficit de 6,5 points de pourcentage. Récemment, nous lisons des articles dans les journaux sur la convergence des taux de chômage au Canada et aux États-Unis. Ce n est pas difficile à expliquer. Au début de 2013, le taux de chômage au Canada était de 7,0 % et 10 mois plus tard, il avait à peine bougé, s établissant à 6,9 %. En revanche, aux États-Unis, il est passé de 7,9 % à 7,3 % en octobre seulement. L amélioration soutenue du taux de chômage américain par rapport au taux canadien a alimenté les spéculations à l égard de la convergence des deux taux. Selon nos prévisions, le taux américain devrait chuter en deçà du taux canadien d ici le milieu de Nous souhaiterions apaiser certaines spéculations. Même si les taux de chômage convergent, ne vous méprenez pas; le marché du travail au Canada est en bien meilleur état que celui des États-Unis. En raison des différences méthodologiques, le taux de chômage du Canada demeure inférieur de plus d un point de pourcentage à celui des États-Unis. De plus, l écart grandissant entre les taux de Pourcentage TAUX DE CHÔMAGE ÉTATS-UNIS ET CANADA Canada (taux officiel) 2 Canada (comparativement aux É.-U.) États-Unis 0 James Marple, économiste principale,
2 participation de la population de base en âge de travailler (25 à 54 ans), surtout chez les femmes, fait en sorte que les marchés de l emploi des deux pays sont fort différents. Si, aux États-Unis, le même nombre de personnes âgées entre 25 et 54 ans travaillaient ou étaient à la recherche de travail qu au Canada, le taux de chômage américain serait supérieur à 11 %. Le Canada n est pas tout à fait revenu à la normale; son ratio de l emploi par rapport à la population est inférieur de 2 % à son sommet. Cependant, en comparaison, les États- Unis affichent un déficit de 6,5 points de pourcentage. Le Canada devrait atteindre le plein emploi au cours des deux prochaines années, mais les États-Unis auront besoin de beaucoup plus de temps. Les différences méthodologiques reviennent à comparer des pommes et des oranges Vu les différences dans la détermination de qui fait partie de la population active et qui est sans emploi, les taux de chômage des deux pays ne peuvent être comparés directement. La différence la plus marquante est sans doute le fait qu au Canada, c est à partir de 15 ans que l on fait partie de la population active, tandis qu aux États-Unis, c est à partir de 16 ans. Les conditions du marché de l emploi au Canada sont ainsi biaisées à la baisse, puisque le taux de chômage des personnes âgées de 15 ans est plus élevé et leur taux de participation est plus faible. Il existe d autres différences. Le Canada considère comme au chômage les personnes qui cherchent un emploi de façon passive (en regardant les offres d emploi), les personnes qui s attendent à commencer un emploi dans les quatre prochaines semaines et les personnes qui ne sont pas en mesure de travailler en raison de responsabilités personnelles ou familiales. Aux États-Unis, toutes ces personnes sont considérées comme ne faisant pas partie de la population active. Par ailleurs, au Canada, les étudiants à temps plein à la recherche d un emploi à temps plein ne sont pas considérés comme des chômeurs. 1 Heureusement, Statistique Canada corrige ces différences méthodologiques et produit un taux de chômage comparable à celui des États-Unis. En octobre, ce taux s établissait à 6,1 %, soit 1,2 point de pourcentage de moins que le taux américain. 2 Cet écart peut changer au fil du temps, mais est demeuré relativement stable au cours dix dernières années. Par conséquent, il faut généralement déduire un point de pourcentage du taux de chômage canadien lorsqu on le compare au taux américain. Même lorsqu on utilise les taux de chômage comparables, l écart entre les deux pays a diminué au cours des dernières années. À son sommet de novembre 2011, le taux de chômage aux États-Unis était supérieur de 3,1 points de pourcentage au taux comparable du Canada (9,8 % contre 6,7 %). Toutefois, même les taux comparables ne tiennent pas compte d un facteur important, soit l écart entre les taux de participation, notamment chez les personnes faisant partie de la population de base en âge de travailler (25 à 54 ans). Aux États-Unis, le taux de participation de la population de base a atteint un sommet en 2000, au Canada, c était en décembre 2012 Étant donné les exigences relativement plus rigoureuses pour faire partie de la population active aux États-Unis, le TAUX DE PARTICIPATION DE LA POPULATION ACTIVE PAR GROUPE D'ÂGE États-Unis 2013* Pourcentage de la population de référence Canada 2013* États-Unis 2000 Canada TAUX DE PARTICIPATION DES 25 À 54 ANS ÉTATS-UNIS ET CANADA Pourcentage de la population Canada États-Unis 0 72 *Moyenne des 10 premiers mois. 70 2
3 taux de participation devrait également être un peu plus faible (environ un point de pourcentage) par rapport à celui du Canada. Cependant, les différences dans la structure d âge de la population importent également. La population canadienne est légèrement plus âgée et le taux de participation est plus faible parmi les cohortes âgées. Par conséquent, le vieillissement de la population exerce une plus grande pression sur le taux de participation global du Canada par rapport aux États-Unis. La population âgée entre 25 et 54 ans permet d effectuer une comparaison plus juste. On parle ici du taux de participation de base, puisque la plupart des personnes de ce groupe d âge font partie de la population active et qu il n y a pas de changement important dans la participation d une personne à mesure qu elle évolue dans la cohorte. Les taux de participation des personnes de 25 à 54 ans au Canada et aux États-Unis ont évolué au même rythme durant la majeure partie de leur histoire. Vers la fin des années 1970, le taux de participation de base aux États-Unis était légèrement supérieur à celui du Canada. Le Canada a fait du rattrapage dans les années 1980 et les deux taux ont évolué de concert jusque dans les années Toutefois, depuis, les taux de participation ont commencé à présenter un écart important. À l heure actuelle, 86,4 % des adultes canadiens âgés entre 25 et 54 ans font partie de la population active, ce qui est légèrement inférieur au sommet de 87,1 % atteint en décembre Aux États-Unis, cette statistique s établit à 80,5 %. Il s agit du plus grand écart jamais enregistré entre les deux taux de participation de base, les premières données remontant à L écart est en grande partie attribuable à la participation des femmes Si l on regarde les taux de participation des hommes et des femmes séparément, la source de l écart est plus évidente. Au Canada, le taux de participation de base des femmes a continué d augmenter au fil de la dernière décennie. Entre 2000 et 2012, le taux de participation des femmes âgées entre 25 et 54 ans a progressé de 3,9 points de pourcentage. En fait, la hausse totale du taux de participation de base au Canada au cours de cette période est attribuable à ce gain. Le taux de participation des hommes a légèrement chuté, soit de 0,2 point de pourcentage. Aux États-Unis, le taux de participation de base des hommes et des femmes a fléchi depuis Pour le taux de participation des hommes, qui est en baisse depuis que les données ont commencé à être enregistrées, le repli s est accéléré, le taux perdant 3,0 points de pourcentage. Toutefois, le taux de participation des femmes a également chuté, de 2,2 points de pourcentage, annulant tous les gains réalisés au cours des dix années précédentes. La baisse du taux de participation des femmes a représenté 44 % du repli de 2,6 points de pourcentage dans le taux de participation de base aux États-Unis entre 2000 et En 2012 et au cours des 10 premiers mois de 2013, le taux de participation des femmes a plus chuté que celui des hommes. Par conséquent, l écart entre les taux de participation des hommes et des femmes, qui a diminué pendant la majeure partie des 40 dernières années, s est creusé aux États-Unis au cours des deux dernières années. 2.0 CONTRIBUTION À LA VARIATION DU TAUX DE PARTICIPATION CANADIEN DES 25 À 54 ANS Points de pourcentage CONTRIBUTION À LA VARIATION AUX É.-U. TAUX DE PARTICIPATION DES 25 À 54 ANS Points de pourcentage Femme Homme 1.5 Femme 1.0 Total 1.0 Homme Total Source : Statistique Canada Source : Bureau of Labor Statistics 3
4 48 Pourcentage PART DES FEMMES DANS LA POPULATION ACTIVE 14 Pourcentage TAUX DE CHÔMAGE ÉTATS-UNIS ET CANADA Canada 8 États-Unis É.-U. avec le taux de participation de base canadien 2 Canada (comparativement aux É.-U.) É.-U. (taux officiel) 0 Sources : Services économiques TD, Bureau of Labor Statistics et Statistique Canada L écart entre les taux de participation au Canada et aux États-Unis est attribuable, en grande partie, à la vigueur relative du marché canadien de l emploi. Le Canada a supprimé moins d emplois durant la récession et en a créé plus rapidement depuis la fin de cette dernière. Depuis ses creux respectifs touchés au milieu et à la fin de 2009, la croissance de l emploi, sur une base annuelle moyenne, s est chiffrée à 1,4 % au Canada et à 1,0 % aux États-Unis (selon l enquête menée auprès des ménages). Ainsi, le nombre d emplois a atteint un sommet record au Canada, mais demeure inférieur de 2 % à son sommet aux États-Unis. La surperformance relative du taux de participation des femmes au Canada est également attribuable, en grande partie, à une surperformance économique dans les secteurs où le nombre de postes occupés par des femmes est plus élevé, comme les services et le gouvernement. De 2000 à 2012, l emploi dans le secteur tertiaire a augmenté de 1,8 % annuellement au Canada, en regard de seulement 0,6 % aux États-Unis. La récession de 2008 a aussi accéléré la baisse de la participation des femmes aux États-Unis. Bien que le choc économique ait touché les hommes de façon disproportionnée dans les deux pays, les emplois occupés par des hommes ont rebondi plus rapidement au début de la reprise. Par conséquent, le taux de chômage des hommes et celui des femmes se sont retrouvés au même niveau en Ce n est que récemment que le taux de chômage des femmes a chuté nettement en dessous de celui des hommes, et cela s explique en grande partie par la baisse du taux de participation. Bien que les facteurs économiques jouent un rôle central, d autres facteurs peuvent entrer en ligne de compte. En plus de la croissance du secteur tertiaire, le Canada affiche un taux de fertilité relativement plus faible, un nombre plus élevé de postes à temps partiel, un niveau d éducation plus élevé des femmes dans le secteur tertiaire et des congés de maternité plus longs. Tous ces facteurs ont une incidence positive sur le taux de participation des femmes. 3 Que serait-il arrivé si les taux de participation au Canada et aux États-Unis avaient continué d évoluer au même rythme? Vu l écart important entre les taux de participation qui est loin d être seulement attribuable aux différences méthodologiques les taux de chômage sont encore moins comparables entre les deux pays. Pour illustrer l importance de cet écart, si le taux de participation de base aux États- Unis avait maintenu sa relation historique avec le Canada, le taux de chômage américain s établirait actuellement à 11,3 %, au lieu de 7,2 %. Fait encore plus surprenant, si l on faisait l opposé et appliquait le taux de participation de base américain au Canada, le taux de chômage canadien serait au niveau exceptionnel de 2,5 %. Il ne faut bien sûr pas pousser trop loin cette analogie. Il est peu probable que le Canada aurait généré le même nombre d emplois si la croissance de sa population active avait été la même que celle observée aux États-Unis. Autrement dit, la croissance de la population active au Canada a joué un rôle dans la belle tenue du marché de l emploi canadien. En conclusion Il y a quelques points à retenir de cette analyse. Premièrement, même si les États-Unis continuent d abaisser leur 4
5 taux de chômage, on parlera d une victoire à la Pyrrhus, à moins qu une plus grande part d adultes fasse partie de la population active. L expérience du Canada montre que malgré un vieillissement de la population, une hausse du taux de participation de la population active est possible. En fait, si l on recule un peu plus loin dans le temps, le taux de participation canadien a chuté entre le début et le milieu des années 1990 surtout à cause de la piètre tenue du marché de l emploi. Par ailleurs, plusieurs économistes avaient prédit que le repli était structurel et que l emploi ne rebondirait pas. 4 Toutefois, à mesure que l économie devenait plus vigoureuse dans la deuxième moitié de la décennie et dans le nouveau millénaire, le taux de participation s est redressé. Une hausse du taux de participation constitue un indicateur important du potentiel économique plus la part de la population active est grande, plus l offre potentielle de travailleurs est grande. Ce qui s est passé au Canada devrait donner de l espoir aux États-Unis quant à leur taux de croissance économique potentiel, mais indique aussi qu ils ont encore bien du chemin à faire. En même temps, on constate à quel point la performance économique du Canada a été solide jusqu à présent, surtout sa croissance record de l emploi. Bien que le ratio de l emploi par rapport à la population au Canada demeure inférieur de 2,0 points de pourcentage à son sommet, tant et aussi longtemps que la croissance économique se poursuivra au rythme actuel, l atteinte du plein emploi caractérisé par un faible taux de chômage et une forte participation de la population active est sûrement possible au cours des deux prochaines années. Vu la situation aux États-Unis, où le plein emploi pourrait ne pas être atteint avant la prochaine décennie (et encore), il s agit d un accomplissement remarquable. 5
6 Notes 1. Ferrao, Vincent The recent labour market in Canada and the United States. L emploi et le revenu en perspective. No au catalogue : X, Statistique Canada ne publie que le taux de chômage comparable non corrigé des fluctuations saisonnières. Le taux indiqué est un taux corrigé des fluctuations saisonnières obtenu à l aide de Census X12. 3 Thevenon, Olivier Drivers of Female Labour Force Participation in the OECD. OECD Social, Employment and Migration Working Papers No Steven James, Tim Sargent, Russell Barnett et Claude Lavoie The Canadian Labour Force Participation Rate Revisited: Cohort and Wealth Effects Take Hold. Document de travail du ministère des Finances. pdf Le présent rapport est fourni par les Services économiques TD. Il est produit à des fins informatives et éducatives seulement à la date de rédaction, et peut ne pas convenir à d autres fins. Les points de vue et les opinions qui y sont exprimés peuvent changer en tout temps selon les conditions du marché ou autres, et les prévisions peuvent ne pas se réaliser. Ce rapport ne doit pas servir de source de conseils ou de recommandations de placement, ne constitue pas une sollicitation d achat ou de vente de titres, et ne doit pas être considéré comme une source de conseils juridiques, fiscaux ou de placement précis. Il ne vise pas à communiquer des renseignements importants sur les affaires du Groupe Banque TD, et les membres des Services économiques TD ne sont pas des porte-parole du Groupe Banque TD en ce qui concerne les affaires de celui-ci. L information contenue dans ce rapport provient de sources jugées fiables, mais son exactitude et son exhaustivité ne sont pas garanties. De plus, ce rapport contient des analyses et des opinions portant sur l économie, notamment au sujet du rendement économique et financier à venir. Par ailleurs, ces analyses et opinions reposent sur certaines hypothèses et d autres facteurs, et sont sujettes à des risques et à des incertitudes intrinsèques. Les résultats réels pourraient être très différents. La Banque Toronto-Dominion ainsi que ses sociétés affiliées et entités apparentées qui constituent le Groupe Banque TD ne peuvent être tenues responsables des erreurs ou omissions que pourraient contenir l information, les analyses ou les opinions comprises dans ce rapport, ni des pertes ou dommages subis. 6
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