Quelles évolutions à moyen et long termes?
|
|
- Rémy Archambault
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Quelles évolutions à moyen et long termes? Approvisionnement en matières premières Place de la valorisation des déchets de chantier Pascale MICHEL Laurent ROUVREAU Laurent ROUVREAU, Pascale MICHEL, Anne-Lise GAUTIER, Daniel MONFORT-CLIMENT, Stéphane VAXELAIRE, Maud SERRAND BRGM / Direction Eau, Environnement, Ecotechnologies
2 Pénurie programmée des matériaux de construction La tendance à la hausse de la demande de matériaux se poursuit Evolutions macroéconomiques : Démographie : population augmente Croissance économique Mutations sociales : Vieillissement de la population Diminution de la taille des ménages Béton = > Matériau dominant
3 Pénurie programmée des matériaux de construction Exemple Loiret Disponibilité des ressources naturelles se réduit Nouvelles autorisations et prolongations d exploitation difficiles à obtenir Pression sociale croissante depuis 1960 «Aujourd hui, il faudrait une crise majeure et une remise en cause radicale des équilibres socioéconomiques pour que les habitants des pays riches acceptent sans mot dire que des installations de type carrières, déchetteries, centre de traitement des matériaux de construction ou lignes à haute tension s implantent à proximité de leur lieu de résidence». Dominique Bourg Carrières en Région Centre Photos: Brgm
4 Flux de Granulats en Région Centre Pénurie programmée des matériaux de construction Conséquences sur l approvisionnement Augmentation du rayon d approvisionnement distances de transports Le prix de la tonne de granulats double tous les 30 km Flux granulats entrants Flux granulats sortants d après données UNICEM 2012
5 Pénurie programmée des matériaux de construction Pénurie spécifique et territoriale Pénurie différenciée selon les matériaux Pénurie différenciée selon le territoire Photos: Brgm Usine plâtrière CARRIERE DE GYSPSE Cormeilles en Parisis Photos: Brgm
6 Déchets de chantier Quelles perspectives pour demain? Comment estimer les quantités de déchets de chantiers qui seront produites demain? Dépend composition et durée de vie du stock : le bâti et les infrastructures Recours à la modélisation pour établir des projections Traitement et stockage : Les capacités seront-elles suffisantes? Valoriser les techniques disponibles (up-cycling) Pénurie de plateformes de traitement / stockage près des lieux de production et de valorisation des déchets Exemple du Grand Paris Express : 30 à 40 millions tonnes (15 à 20 millions m 3 ) de déchets inertes et terres polluées en plus de ceux produits habituellement (32 millions t/an) Saturation des exutoires existants (ISDI, carrières) à prévoir d ici 2020 Le recyclage : Economiser ressources ET capacités d exutoires CHANTIER DEMOLITION LOIRET Photos: Brgm GRANULATS DE DECHETS DE BETON ET D ENROBE Photos: Brgm
7 Perspectives pour demain : scénarios et projections Evolution de la demande en 2030 Effet de l évolution des modes constructifs? Verticalisation Matériaux alternatifs Amélioration des techniques constructives Effet du recyclage?
8 Perspectives pour demain : scénarios et projections Evolution de la demande en 2030 Effet de l évolution des modes constructifs? Verticalisation Matériaux alternatifs Effet du recyclage? Etude prospective : Cas d étude Ville d Orléans Rappel : Chiffres chantiers Chantiers de construction Matériaux (béton ) tonnes + 1,3% Ville d Orléans STOCK + 0,7 % en 2 ans Chantiers de démolition Déchets BTP tonnes - 0,6%
9 Perspectives pour demain : Scénarios et projections Perspectives pour la Ville d Orléans pour la période : 2 Matériaux (bétons ) Chantiers de construction (?m 2 SHOB) +? tonnes +? % 1 Ville d Orléans STOCK +?% Circuit court Chantiers de démolition (? m 2 SHOB) +? tonnes -? % Déchets du BTP? t (Réutilisation) Recyclage 3? t
10 Hypothèses et scénarios Hypothèses : Construction neuve de+ 600 logements par an Pour chaque scénario : % construction individuelle /collective Matériaux de construction Taux de recyclage des déchets
11 Scénarios Hypothèse : Construction neuve de+ 600 logements par an Type de logement Qté granulats / an / hab «Continuité» «Verticalisation de l habitat» INDIVIDUEL 0,1 t 30% 0% COLLECTIF 0,2 t 70% 100% Total 0,3 t
12 Hypothèses et scénarios Hypothèse : Construction neuve de+ 600 logements par an «Continuité» : 95% Béton et maçonnerie 5% de structures bois «Recours aux matériaux alternatifs au béton» : 85% Béton et maçonnerie 15 % de structures bois
13 Hypothèses et scénarios Hypothèse : Construction neuve de+ 600 logements par an «Continuité» : 95% Béton et maçonnerie 5% de structures bois «Recours aux matériaux alternatifs au béton» : 85% Béton et maçonnerie 15 % de structures bois
14 Hypothèses et scénarios Hypothèse : Construction neuve de+ 600 logements par an «statu quo» : Taux de recyclage : référence 2004 Hypothèse «Grenelle» Taux de recyclage : conforme aux objectifs Grenelle : 70% de valorisation des déchets du BTP
15 PROSPECTIVE Orléans
16 Profil vulnérabilité du territoire à 5, 10, 20 ans Etudes prospectives (besoins équipements) Cahier des orientations politiques Agenda 21 Rapport Dév. Durable Hiérarchisation territoriale critères Profil environnemental du territoire Schéma déchets BTP Schéma des Carrières Fabricants, distributeurs, fournisseurs Caractéristiques produits Process de fabrication Entreprises travaux Produits et matériaux Matières premières secondaires Déchets, excédents chantier Gestionnaires déchets Produits et matériaux éliminés Matières premières secondaires FLUX ENTRANTS STOCK Matériaux accumulés dans le bâti FLUX SORTANTS Déconstruction, maintenance - «Production» MPS potentielle Construction Aménagement Réutilisation possible de MPS CHANGER DE PARADIGME Maîtres d ouvrages Gouvernance concertée Réflexion prospective Acteurs de la construction
17 Quelles perspectives? À l horizon 2030, on peut s attendre à : Evolutions structurelles de la demande Evolutions des techniques constructives Contraintes d approvisionnement Comment agir? Assurer une cohérence territoriale entre les différents schémas et plans (urbanisme, aménagement, schéma des carrières, planification déchets, ) Améliorer l observation des flux au sein des territoires : vers un développement des observatoires et bourses aux matériaux Tenir compte des acteurs, du contexte, des moyens : gouvernance multi-acteurs et rôle primordial des MOA. Développement de plateformes (qui, comment, où?)
18 Le Rôle essentiel de la concertation Contexte : Multiplicité des acteurs de la filière Morcellement et perte d informations entre les différents acteurs Rôle clé du maître d ouvrage public dans les changements de pratiques via le cahier des charges BRGM / Direction Eau, Environnement et Ecotechnologies
19 METHODOLOGIE La méthode PAT-MIROIR Issue d une approche systémique : Orientée objectif, travaille sur les interactions entre acteurs Permet de modéliser le système pour identifier les acteurs influents Objectif : Susciter la coopération entre acteurs aux intérêts et aux contraintes divergents Méthodologie : Réunion sur 2 ou 3 jours des parties prenantes en lien avec l objectif Résultat : Elaboration conjointe d un plan d actions concrètes pour atteindre l objectif
20 LE CAS D ORLEANS Objectifs Contact : Délégation Développement Durable et Evaluation de la Mairie Evolution et définition de l objectif au fil des échanges : De l idée d un panel inter-acteurs sur le recyclage des matériaux À l objectif de réunir les services de la Mairie autour d une réflexion sur le cahier des charges en tant qu outil de changement des pratiques
21 RESULTATS Reformulation objectif commun «Élaboration d un cahier des charges permettant de fixer des objectifs précis et mesurables et des moyens pour augmenter la réutilisation des matériaux dans des circuits courts en impliquant tous les acteurs concernés»
22 RESULTATS Les thèmes incontournables Thèmes incontournables Intensité Danger Traçabilité des matériaux (45%) Recyclage des matériaux (53%) Impact environnemental et sociétal (37%) Coopération entre acteurs (78%)
23 RESULTATS Elaboration du plan d actions Les axes d actions Les thèmes A court terme : la mise en marche Création d un Comité Technique interne à la ville Définition d objectifs précis et progressifs selon leur faisabilité économique et technique en concertation avec les acteurs Intégration de nouvelles exigences en terme de traçabilité et d éco-matériaux dans le CdC (BPU, CCTP ) Création d une base de données et d un logiciel pour traiter les données A plus long terme : l amplification Généraliser ses exigences à toutes les activités de construction/déconstruction et auprès des délégataires Coopération entre acteurs Impact environnemental et sociétal Traçabilité des matériaux Accompagnement par la ville du développement des filières (repérage de sites de stockages, communication, etc.) Valorisation des actions menées et des impacts environnementaux et sociétaux avec des indicateurs concrets Recyclage des matériaux
24 Pour finir > Tous les rapports sont disponibles sur uzolxdkt25srnfxnle&usp=sharing > Merci de votre attention BRGM / Direction Eau, Environnement et Ecotechnologies > 24
La valorisation des terres excavées
La valorisation des terres excavées Matinée "Matières premières et matériaux du BTP " Céline Blanc c.blanc@brgm.fr BRGM / Direction Eau, Environnement et Ecotechnologies Lundi 2 décembre, 2013 Contexte
Plus en détailAVANT-PROJET DE PLAN. Version ayant reçu : Avis favorable de l Assemblée Régionale d Île-de-France - 26 septembre 2013
AVANT-PROJET DE PLAN Version ayant reçu : Avis favorable de l Assemblée Régionale d Île-de-France - 26 septembre 2013 Avis Favorable de la commission consultative pour mise en consultation - 25 octobre
Plus en détailCOMPLETE RECYCLING OF CONCRETE. Socio economic and environmental analysis
DIFFERENT INDUSTRIAL WAYS OF PRODUCTION OF NATURAL AND RECYCLED AGGREGATES IN NORTH-PAS DE CALAIS REGION. Socio economic and environmental analysis Prof. F. Buyle-Bodin (1), Prof. O. Blanpain (2) and Prof.
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
1 er juin 2011 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 152 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE, DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT
Plus en détailDEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement
DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement Liieu--diitt «lle Cognett» Commune de VAUX--SUR--SEULLES
Plus en détailCYCLABAT. Création de filières industrielles de recyclage pour la construction et réalisation d un démonstrateur 6 juin 2013
Proposition initiée par BERTIN et NOBATEK associés à OUATECO et EGERIS Construction CYCLABAT Création de filières industrielles de recyclage pour la construction et réalisation d un démonstrateur 6 juin
Plus en détail1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T
1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T 2. RECHERCHE DE SITES 2.1 Les objectifs 2.2 Les contraintes environnementales liés à l aménagement du territoire liées au transport liés aux documents d urbanisme 3.
Plus en détailRendez-vous de Insee. «Des projections de ménages aux besoins. en logement» Mardi 11 décembre 2012. Annaïg LE MEUR, SIAL/DPH
Rendez-vous de Insee «Des projections de ménages aux besoins en logement» Mardi 11 décembre 2012 Annaïg LE MEUR, SIAL/DPH SOMMAIRE 1. L'évaluation des besoins en logements menée en Pays de la Loire Contexte
Plus en détailV- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation Prévision à l horizon 2014
V- Conclusion: La relation Marché / Emploi / Formation A- Les marchés du Bâtiment à l horizon 2014 1. Scénario prospectif sur le territoire de la Les prévisions à horizon 2014 reposent sur plusieurs hypothèses
Plus en détailAtelier «Innovation et Société»
Atelier «Innovation et Société» Journée de présentation AAP Andra,15 décembre Luis Aparicio, Direction R&D Andra Les installations à l arrêt ou en démantèlement en France Usines de retraitement de La Hague
Plus en détailLes ateliers prospectifs s organisent autour de 2 cycles de réunions.
En 2014, la formation professionnelle initiale accueille près de 82 000 apprenants sur l ensemble du territoire régional. Ce sont autant de parcours que la Région vise à soutenir en inscrivant les trajectoires
Plus en détailBâtiment ÉLECTRICIEN
Bâtiment ÉLECTRICIEN ÉLECTRICIEN L électricien effectue tous les travaux d installations électriques et de raccordement d appareils électriques dans diverses spécialités : éclairage, confort thermique,
Plus en détailTravaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc
Activité Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc PNR Monts d Ardèche 1-Dynamique du marché Caractéristiques du secteur d activité et perspectives (au niveau national)
Plus en détailCréer des matériaux innovants
FRD et CoDEM Le BATLAB s associent à travers le lancement d une offre de services de conseils et d études dans le domaine de la valorisation des matières végétales en matériaux dans le secteur du Bâtiment
Plus en détailUn début de contraction du marché de l emploi
COMMUNIQUE DE PRESSE Baromètre RH AFDEL-Apollo Un début de contraction du marché de l emploi, le 28 novembre 2012 - L Association Française des Editeurs de Logiciels et Solutions Internet (AFDEL) et Apollo
Plus en détailPlan de réduction et de valorisation des déchets Pilier de l économie circulaire
Plan de réduction et de valorisation des déchets Pilier de l économie circulaire 2014-2020 Projet présenté par Madame Ségolène Royal lors de la réunion du conseil national des déchets le 7 novembre 2014
Plus en détailPour l environnement. Strength. Performance. Passion.
Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir
Plus en détailLe marché de l isolation thermique des murs et des toitures
Le marché de l isolation thermique des murs et des toitures Les études Les chiffres clés du marché» - Edition Juillet 2014 - Un marché morose Impacté par les tensions sur les indicateurs économiques et
Plus en détailCOMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL
COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL Séance du mercredi 10 Décembre 2014 Après avoir approuvé le compte rendu de la réunion du 12 novembre 2014, le conseil municipal a examiné les dossiers et pris
Plus en détail19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS
19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS Rapport de présentation / Diagnostic Dossier de PLU approuvé 255 19.1 LES ORDURES MENAGERES ET EMBALLAGES MENAGERS RECYCLABLES La prestation de collecte des
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailGLOSSAIRE PSYCHOLOGICAL AND BEHAVIORAL BARRIER
GLOSSAIRE THEME CREST WP1 BARRIERE PSYCHOLOGIQUE ET COMPORTEMENTALE BATIMENT INTELLIGENT CAPTEURS CHANGEMENT CLIMATIQUE CHEMINEMENT EDUCATIF COMPORTEMENT CONSEIL ECHANGES PROFESSIONNELS ECO UTILISATION
Plus en détailBONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION
BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION Constats partagés : - Les déchets de chantier et de maintenance sont plutôt bien traités et suivis. - Les déchets de bureaux sont bien suivis sur les gros
Plus en détailChantier de la fibre optique : un potentiel de mobilisation de plus de 19 000 emplois d ici à 2022
DOSSIER DE PRESSE Appui Technique Prospectif relatif aux besoins en formation, emplois et compétences liés au déploiement de la fibre optique Chantier de la fibre optique : un potentiel de mobilisation
Plus en détailBÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL
BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL A. PRÉSENTATION : BEST ENTREPRISE SARL est une société de droit sénégalais qui intervient dans les Bâtiments/Travaux Publics, le
Plus en détail>I Maçonnerie I Escaliers
ESCALIERS >I Maçonnerie I Sommaire Terminologie Textes de référence Mise en œuvre Conception Finition Produits Cahier des Clauses Techniques Particulières g Terminologie n Ouvrage de circulation verticale
Plus en détailINVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT
INVETISSEMENTS, PRODUCTION, COMMERCIALISATION, EXPORTATION: FACILITES & CONTRAINTES. CAS DU GROUPE FALY EXPORT LA SECURITE ALIMENTAIRE DANS L INDIANOCEANIE INVESTIR DANS LA PRODUCTION AGRICOLE 25-27 MARS
Plus en détailFair Eco. Co-développement d éco-technologies innovantes sources de compétitivité
Fair Eco Co-développement d éco-technologies innovantes sources de compétitivité Association loi 1901 présidée par Catherine Jeandel Créée en 2006 par Martin Malvy Effectif : 25 personnes - Directeur général
Plus en détailMARCHE PUBLIC DE TRAVAUX Selon la procédure adaptée CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES CCTP
Mairie de BRAILLANS 9 rue de la mairie 25640 BRAILLANS 03 81 57 93 30 Email : mairie.braillans@orange.fr MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX Selon la procédure adaptée CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
Plus en détailBâtiment PLÂTRIER- PLAQUISTE
Bâtiment PLÂTRIER- PLAQUISTE PLÂTRIER- PLAQUISTE Le plâtrier-plaquiste réalise plafonds, plafonds suspendus et cloisons. Il assure également l isolation thermique et acoustique et la protection contre
Plus en détailSynthèse des programmes de travail
Synthèse des programmes de travail Les projets pour 2013 CRIESR - Assemblée générale 2012 Les services d études et observatoires ayant répondu 2 Agile Cellule Europe Réunion Agorah agence pour l observation
Plus en détailRecycler mes lampes? Une idée lumineuse. En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent!
Recycler mes lampes? Une idée lumineuse En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent! Prévu par deux règlements européens relatifs à l éco-conception des lampes, le retrait progressif
Plus en détailElectricité - Plomberie
Electricité - Plomberie 2014-2015 Cette analyse a été réalisée avec les données statistiques de la FCGA et de l ANPRECEGA, membres de l UNPCOGA, et de la base DIANE du Bureau Van Dijk. Sommaire Sommaire
Plus en détailEPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80
Maître d'ouvrage : EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Objet : Récupération des eaux pluviales pour le jardin partagé des Sardières CAHIER DES CHARGES
Plus en détailPar Akoété Ega AGBODJI FASEG/Université de Lomé
CSI- Afrique Renforcement des interventions dans le domaine de la politique économique et sociale Atelier de développement des compétences des chercheurs des syndicaux Session 6 Les méthodes et procédures
Plus en détailListe des pièces justificatives demandées
Liste des pièces justificatives demandées 1 DES PIECES A FOURNIR POUR UNE INSCRIPTION D AUTO ENTREPRENEUR - Photocopie de la pièce d identité : passeport, carte d identité, titre de séjour 2 LISTE DES
Plus en détailBâtiment SERRURIER- MÉTALLIER
Bâtiment SERRURIER- MÉTALLIER SERRURIER- MÉTALLIER Le serrurier-métallier travaille tout type de construction métallique : serrurerie, rampe d escalier, porte, fenêtre, véranda, pont, passerelle, pylône...
Plus en détailPLOMBIERS CHAUFFAGISTES ECO ARTISAN
PLOMBIERS CHAUFFAGISTES Le monde change, votre métier aussi. Aujourd hui vos clients n ont qu un mot à la bouche : ECONOMIES D ENERGIE. Écoutez-les! Pour la performance environnementale et économique de
Plus en détail>I Maçonnerie I ESCALIERS MAISON INDIVIDUELLE
ESCALIERS >I Maçonnerie I Sommaire Terminologie Textes de référence Mise en œuvre Conception Finition Produits Cahier des Clauses Techniques Particulières Terminologie Ouvrage de circulation verticale
Plus en détailUn fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche
Un fonds climat énergie au GL? Présentation de la démarche 1 1 1 Contexte et enjeux Un engagement territorial pour le climat Objectifs du plan climat d ici 2020 : les 3x20-20% des émissions de gaz à effet
Plus en détailCAP d Installateur sanitaire RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES PRÉSENTATION DES FONCTIONS ET TACHES
PRÉSENTATION DES FONCTIONS ET TACHES Les activités sont à développer lors de la réalisation d un ouvrage ou d une installation simple ACTIVITES : 1) Préparation / Organisation 1- Prendre connaissance du
Plus en détailLE MARCHÉ FRANÇAIS DU MEUBLE DE SALLE DE BAINS 2013-2020 BON DE COMMANDE
LE MARCHÉ FRANÇAIS DU MEUBLE DE SALLE DE BAINS 2013-2020 Une grande étude IPEA Vous voulez cerner le marché du meuble de salle de bains et explorer les pistes prospectives à l horizon 2020? A partir de
Plus en détailGéothermie et stockage: quo vadis? Pascal Vinard
Géothermie et stockage: quo vadis? Pascal Vinard Contenu 1. Définitions et leur évolution 2. Cadre énergétique global, européen et Suisse 3. Evolution du marché des PAC géothermiques et projets de stockage
Plus en détailInstallations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS)
Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Document réalisé avec le soutien technique de la Introduction Les installations concernées par la Garantie
Plus en détailL auto-éco-construction accompagnée pour l accession à la propriété des ménages modestes. Réunion d information le 16 novembre 2012
L auto-éco-construction accompagnée pour l accession à la propriété des ménages modestes Réunion d information le 16 novembre 2012 1. Introduction générale 2. Projection du film «Auto-construction accompagnée
Plus en détailLa Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois
Forum Bois Construction Beaune 2011 La Règue verte - 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois B. Dayraut 1 La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature
Plus en détailDans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude
localnova OBS Observatoire des finances locales des Petites Villes de France novembre # Dans le prolongement de l observatoire Finances, l APVF et LOCALNOVA ont actualisé l étude financière prospective
Plus en détailMARCHE PUBLIC DE SERVICES (MAPA) LOT N 5 ASSURANCES AUTO COLLABORATEUR. Procédure "adaptée" selon les articles 26 II et 28 du Code des Marchés Publics
MARCHE PUBLIC DE SERVICES (MAPA) MARCHE D'ASSURANCES A LOTS LOT N 5 ASSURANCES AUTO COLLABORATEUR Procédure "adaptée" selon les articles 26 II et 28 du Code des Marchés Publics Le présent dossier de consultation
Plus en détailVERS DE NOUVELLES FILIÈRES DE VALORISATION DE DÉCHETS A DESTINATION DE LA CONSTRUCTION
1 VERS DE NOUVELLES FILIÈRES DE VALORISATION DE DÉCHETS A DESTINATION DE LA CONSTRUCTION Partenaires Centre technologique Construction et Aménagement Durable Centre technologique Industrie Energie Process
Plus en détailNatura 2000 en mer Site FR 910 1413 Posidonies de la côte palavasienne
Natura2000enmer SiteFR9101413Posidoniesdelacôtepalavasienne Compte rendude la réunion du 21 janvier 2011: partage et validation des éléments «pêche professionnelle et conchyliculture enmer»dudiagnosticsocio
Plus en détailRéflexe Prévention Déchets
Réflexe Prévention Déchets Secteur des Travaux Publics 2 ème ½ journée Plan de la présentation 1. La prévention, de quoi parle-t-on? Concept, bénéfices attendu, illustrations 2. Produits innovants et retours
Plus en détailConcevoir les plans de panneautage
Concevoir les plans de panneautage Objectif et résultat attendu Le plan de panneautage, document au 1/5000 ème, indique les choix retenus pour le système de panneautage. Il permet de quantifier le nombre
Plus en détailObservatoire de la MEF
2013 Observatoire de la MEF Cité des métiers du Grand Beauvaisis 36, Avenue Salvador Allende Village Mykonos Bâtiment G 60000 Beauvais 03 60 56 60 60 www.mef-beauvaisis.fr SOMMAIRE 1/Définition du secteur
Plus en détailA-QU EST-CE QUE L ORIE? Intervention ADI
A-QU EST-CE QUE L ORIE? 1 A-QU EST-CE QUE L ORIE? Observatoire Régional de l Immobilier d Entreprise en Ile-de-France créé en 1986 dans un contexte de tertiarisation de l économie ; Pour accompagner les
Plus en détailMarché des Constructions Modulaires en France 2013
Marché des Constructions Modulaires en France 2013 Nouvelles tendances et prévisions Juin 2013 En 2012, le marché de la construction modulaire a vu son chiffre d affaires progresser. Il a bénéficié des
Plus en détailFormations à la prévention des risques liés à l amiante (sous-section 4)
Formations à la prévention des risques liés à l amiante (sous-section 4) DOCUMENT DE REFERENCE Ce document présente le contexte relatif à l organisation des formations «amiante sous-section 4» : Les compétences
Plus en détailau concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde
Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources
Plus en détailS.O.P.A.Q. Cadre du Schéma Organisationnel du Plan d Assurance Qualité
PIECE N 3.3.1 POUVOIR ADJUDICATEUR CONSEIL GENERAL - DEPARTEMENT DU NORD DIRECTION GENERALE AMENAGEMENT DURABLE DIRECTION DE LA VOIRIE DEPARTEMENTALE Hôtel du Département 51, rue Gustave Delory 59047 LILLE
Plus en détailJournée d information du 5 novembre 2012. Mobilité Multimodale Intelligente Urbanisme, tourisme, logistique urbaine. économiques
Journée d information du 5 novembre 2012 Mobilité Multimodale Intelligente Urbanisme, tourisme, logistique urbaine économiques Gabrielle LABESCAT Principales tendances du tourisme urbain impactant la mobilité
Plus en détailMunicipalité de la Commune d'arzier - Le Muids. Préavis No 15/2013 Au Conseil communal
Municipalité de la Commune d'arzier - Le Muids Préavis No 15/2013 Au Conseil communal Demande de crédit de CHF 371'500. concernant la mise en séparatif de la partie inférieure du chemin Prés-du-Marguiller
Plus en détailles outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir
connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE
Plus en détailHISTORIQUE et EXPLOITATION DETRIVAL I. ISDI et déchets d amiante lié à des matériaux inertes (amiante ciment) Commune de VIGNOC 35
HISTORIQUE et EXPLOITATION DETRIVAL I ISDI et déchets d amiante lié à des matériaux inertes (amiante ciment) Commune de VIGNOC 35 Vue aérienne du site de stockage amiante ciment Page 1-6 DETRIVAL I : ISDI
Plus en détailMéthodologie de mesure d impact de la co-création
Méthodologie de mesure d impact de la co-création Avec le soutien en mécénat de compétences d Accenture Document de synthèse de l étude (version abrégée) Accenture Accenture est une entreprise internationale
Plus en détail22 janvier 2011 CONTRIBUTION POTENTIELLE AU PROGRAMME LEED-CI, V 1.0 CHAISES ARTOPEX
22 janvier 2011 CONTRIBUTION POTENTIELLE AU PROGRAMME LEED-CI, V 1.0 CHAISES ARTOPEX Matériaux et ressources Crédit 2.1 : Gestion des déchets de construction, Détourner 50% des déchets des sites d enfouissement
Plus en détailMini projet n 1 DOSSIER DE CONCEPTION Clef USB
Mini projet n 1 DOSSIER DE CONCEPTION Clef USB Dossier de conception 1/21 1. PRESENTATION GENERALE DU MINI PROJET 1.1 Contexte de l étude Situation existante avec un problème. Présentation de l objectif
Plus en détailProgramme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment)
FORMATION TECHNICIEN EN DIAGNOSTICS IMMOBILIERS Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment) Tél : 06 01 744 2 33 http:/ /www.
Plus en détailUn observatoire de branche?
Norbert GIRARD, Secrétaire général Séminaire des 16 et 17 avril 2014 1 Un observatoire de branche? Une association Loi de 1901, née des Conventions Collectives Nationales du 27 mai 1992, dont la mission
Plus en détailGRILLE DE PRESENTATION D ACTIONS 1 COMITE OPERATIONNEL N 34
GRILLE DE PRESENTATION D ACTIONS 1 COMITE OPERATIONNEL N 34 Organisme / entreprise : CFEEDD I/ RAPPEL DE LA MISSION Comité opérationnel n 34 «Sensibilisation, information et formation du public aux questions
Plus en détailLES REPONSES DES CANDIDATS
Lyon - 22 mars 2007 DECHETS ET ENERGIE LES REPONSES DES CANDIDATS AUX COLLECTIVITES TERRITORIALES AMORCE, association nationale des collectivités et des professionnels pour la gestion des déchets et de
Plus en détailLambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011
Aménagement rural et développement durable Dépendance à la voiture en milieu rural : le cas de la Province du Luxembourg Constats, enjeux et pistes de solutions à moyen-long terme via l aménagement du
Plus en détailAgrément des hébergeurs de données de santé. 1 Questions fréquentes
Agrément des hébergeurs de données de santé 1 Questions fréquentes QUELS DROITS POUR LES PERSONNES CONCERNEES PAR LES DONNEES DE SANTE HEBERGEES? La loi précise que l'hébergement de données de santé à
Plus en détailL amiante Désamiantage Gestion des déchets Sécurité/santé
CCW_DD02 L amiante Désamiantage Gestion des déchets Sécurité/santé De nombreuses entreprises sont confrontées à des matériaux amiantés lors de rénovations ou de démolition de bâtiments. Ces matériaux,
Plus en détailPAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE?
PAPIER OU SUPPORT NUMÉRIQUE, QUEL EST LE BON CHOIX ÉCOLOGIQUE? F R A N Ç O I S E B E R T H O U D G D S E C O I N F O / C N R S w w w. e c o i n f o. c n r s. f r F r a n c o i s e. B e r t h o u d @ g
Plus en détailL ACCESSIBILITÉ DU CADRE BÂTI
L ACCESSIBILITÉ DU CADRE BÂTI Les ERP «ÉTABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC» Le nouveau dispositif réglementaire Première partie CONTEXTE ET POLITIQUES PUBLIQUES Le contexte Le point de départ L accessibilité
Plus en détailMini-mémoire Séminaire Développement Durable «L Eco-Conception»
UV SEMESTRE AUTEUR DD01 P09 Marina BRUNEAU Mini-mémoire Séminaire Développement Durable «L Eco-Conception» Nombre de pages : 9 Sommaire I. Introduction... 3 II. Rappel sur les deux conférences... 3 A.
Plus en détailMémoire technique Aide à la rédaction
Mémoire technique Aide à la rédaction Pour apprécier la valeur technique de l offre, le maître d ouvrage peut exiger des candidats la fourniture d un mémoire technique. Deux cas de figure s offrent alors
Plus en détailGUIDE de bonnes pratiques
GUIDE de bonnes pratiques Les déchets du bricolage et du bâtiment Série Technique DT 36 Mai 2011 Remerciements Nous remercions l ensemble des collectivités et des professionnels qui nous ont fourni des
Plus en détailPhilippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen)
20 ème Congrès du CIRIEC International Buenos Aires, octobre 2014 Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen) 1 Hétérodoxie versus
Plus en détailAGENT DE VOIRIE POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE MISSIONS
Direction des Ressources humaines AGENT DE VOIRIE DANS UN CENTRE D EXPLOITATION DÉPARTEMENTAL POSITIONNEMENT DU POSTE DANS LA STRUCTURE Direction : Direction des Routes Service : Centre Technique Départemental
Plus en détailétudié pour les étudiants!
étudié pour les étudiants! Réussir, c est une question de volonté, c est aussi être accompagné. Un concept étudié pour les étudiants On ne réussit jamais par hasard. Qu il s agisse de ses études ou de
Plus en détailRéforme des autorisations d Urbanisme
Réforme des autorisations d Urbanisme Entrée en vigueur le 1er octobre 2007 L essentiel de la réforme réside dans : - le regroupement des procédures fusionnées en 3 permis et une déclaration préalable
Plus en détailFibre optique, copropriété et opérateurs
ARC, Actualité /12 12 07/ Fibre optique, copropriété et opérateurs Tous les jours nos adhérents nous interrogent : «Nous recevons une proposition d installation gratuite de la fibre optique, de X, Y ou
Plus en détailMAIRIE de SAINT-PIERRE d'autils 59 rue du Puits 27950 SAINT PIERRE D AUTILS
DÉPARTEMENT DE L'EURE - ARRONDISSEMENT D ÉVREUX - CANTON DE VERNON-NORD Tel : 02 32 52 22 17 Fax : 02 32 52 94 97 Email : mairie.saint-pierre.autils wanadoo.fr MAIRIE de SAINT-PIERRE d'autils 59 rue du
Plus en détailOffre de formation. itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux. https://inscription.cnfpt.
2015 Offre de formation itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux Inscription en ligne aux stages https://inscription.cnfpt.fr/ Délégation régionale Basse-Normandie
Plus en détailContrat d étude prospective
Contrat d étude prospective Synthèse septembre 2014 «Les besoins en emplois et compétences liés aux travaux du Nouveau Grand Paris et aux enjeux de la Transition énergétique dans le Bâtiment en ÎledeFrance»
Plus en détailLes Français et l assurance Prévoyance
Les Français et l assurance Prévoyance Protection financière de leurs proches en cas de coup dur : les Français sont préoccupés mais ne passent pas à l acte Méthodologie Échantillon 959 individus âgés
Plus en détailRESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
DIRECTION GENERALE ADJOINTE CHARGEE DE L AMENAGEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Service études et prospective RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE
Plus en détailMEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE
République Française Institut National de la Recherche Agronomique Centre de Recherche de Clermont-Ferrand Theix Lyon MARCHES PUBLICS DE TRAVAUX MEMOIRE TECHNIQUE & METHODOLOGIQUE Document à remplir et
Plus en détailL ÉLECTRONIQUE IDÉALE POUR L ENVIRONNEMENT
L ÉLECTRONIQUE IDÉALE POUR L ENVIRONNEMENT Des processus de bureau respectueux de l environnement grâce au recours à un système moderne de gestion des documents Utilisation de matériaux respectueux de
Plus en détailAPRES LA CLASSE DE 5 ème. APRES LA CLASSE DE 4 ème
CIO de Montbrison Avril 2014 APRES LA CLASSE DE 5 ème APRES LA CLASSE DE 4 ème en LP publics et privés en lycées agricoles publics et privés en MFR en CFA CIO de Montbrison 7 avril 2014 APRES LA CLASSE
Plus en détailLGV SEA : Un projet pas comme les autres. Par Aurélien NEAU LE MAGAZINE D INFORMATION NUMERO 1 / MAI 2013. Environnement Page 8.
LE MAGAZINE D INFORMATION NUMERO 1 / MAI 2013 LGV SEA : Un projet pas comme les autres Par Aurélien NEAU Environnement Page 8 Emploi Page 5 Travaux Page 10 SOMMAIRE Le magazine d information de la LGV
Plus en détailEMBALLAGES INDUSTRIELS : EVALUATION ENVIRONNEMENTALE, ECONOMIQUE ET SOCIALE DE L INTERET COMPARE ENTRE REUTILISATION ET USAGE UNIQUE
EMBALLAGES INDUSTRIELS : EVALUATION ENVIRONNEMENTALE, ECONOMIQUE ET SOCIALE DE L INTERET COMPARE ENTRE REUTILISATION ET USAGE UNIQUE EMBALLAGES CONSIGNES EN CAFES HOTELS ET RESTAURANTS Synthèse Juin 2010
Plus en détailProspective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010
Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014 Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 COMPTE ADMINISTRATIF 2009 Des résultas de gestion satisfaisants mais une marge de manœuvre
Plus en détailTRAVAUX D AMENAGEMENT Trottoirs rue Jules Guesde Impasse rue Jean Jaurès
COMMUNE de LABEUVRIERE TRAVAUX D AMENAGEMENT Trottoirs rue Jules Guesde Impasse rue Jean Jaurès CAHIER des CLAUSES ADMINISTRATIVES et PARTICULIERES (CCAP et CCP) Date et heure limites de réception de l
Plus en détailSERVICE PUBLIC DE TRANSPORTS COLLECTIFS Synthèse du rapport annuel du Délégataire 2012
SERVICE PUBLIC DE TRANSPORTS COLLECTIFS Synthèse du rapport annuel du Délégataire 2012 L EXERCICE 2012 EN QUELQUES POINTS CLEFS : - 2012 : troisième année d exploitation du contrat de DSP 2010-2016. Rappel
Plus en détailwww.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances?
www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances? 1 Contexte L effet de serre un phénomène naturel Contexte Le changement climatique en chiffres 2 Contexte Contexte Le climat en 2100
Plus en détailQUESTION 1 QUESTION 2 QUESTION 3 QUESTION 4. Que signifie "shortage"? Que signifie "handling"? Que signifie "raw material" Que signifie "tool"?
1 1 1 1 QUESTION 1 QUESTION 2 QUESTION 3 QUESTION 4 Que signifie "shortage"? Que signifie "handling"? Que signifie "raw material" Que signifie "tool"? 2 2 2 2 QUESTION 5 QUESTION 6 QUESTION 7 QUESTION
Plus en détailSommaire détaillé. Sommaire. Réaliser les études préalables. Définir le programme. Choisir et rémunérer le maître d œuvre
Réf. Internet Pages Partie 1 Optimiser la programmation de l opération de travaux Réaliser les études préalables Accomplir les études de prospection et de diagnostic...3092 9 Choisir la localisation du
Plus en détail2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays
Module 2 : Services à la population 2.1 - Améliorer l offre de soins sur le Pays réservée : 400 000 OBJECTIFS STRATÉGIQUES - Développer les solidarités locales et l'accessibilité de tous aux services (Axe
Plus en détailELECTRICIEN INSTALLATEUR - MONTEUR
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE SECTION ELECTRICIEN INSTALLATEUR
Plus en détail