Clemenceau. Etude énergétique 1 er principe. (énergie interne, travail, transfert thermique) Lycée. PCSI 1 - Physique.
|
|
- Florine Ringuette
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Lycée Clemenceau CSI 1 (O.Granier) Etude énergétique 1 er principe (énergie interne, travail, transfert thermique)
2 I OCABULAIRE DE LA THERMODYNAMIQUE 1 Système thermodynamique : Un système est un corps (ou un ensemble de corps) délimité dans l espace. Système thermo Corps (1) Corps () L Univers Il est qualifié de thermodynamique si son étude nécessite l utilisation d une variable liée à la température (ou à l énergie interne). Il est en interaction avec des corps (ici (1) et ()) qui lui donnent de l énergie sous forme de travail ou de chaleur et qui constituent l extérieur du système. L ensemble (système thermo + corps en interaction) constitue l Univers.
3 Système isolé : il ne peut échanger ni matière ni énergie avec l extérieur. Système fermé : il ne peut échanger que de l énergie avec l extérieur, mais pas de matière. Système ouvert : il peut échanger énergie et matière avec l extérieur. Exemples de systèmes thermodynamiques : Gaz, liquides, solides lasmas Noyaux de particules
4 ariables d état, variables extensives et intensives : Les propriétés d un système thermodynamique sont décrites par des variables macroscopiques, appelées variables d état. Elle caractérise l état d équilibre du système thermodynamique. Elles sont reliées par une équation d état. Exemples : Un gaz est caractérisé par,, T et n. Un fil de cuivre est caractérisé par sa longueur L, sa température T et la tension qu on lui applique. On distingue les variables extensives et les variables intensives.
5 ariables extensives : Les grandeurs extensives sont relatives au système entier et additives lors de la réunion de deux systèmes. Exemples : la masse, le volume, le nombre de moles, l énergie interne. ariables intensives : Les variables intensives, définies en un point, sont indépendantes de la quantité de matière. Exemples : la masse volumique, la pression, la température, le volume molaire. Les grandeurs intensives ne sont pas additives : la température d une maison n est pas égale à la somme des températures de ses différentes pièces!
6 3 Transformations d un système thermodynamique : La thermodynamique ne s intéresse qu aux états d équilibre d un système. Elle permet d établir des bilans (énergie, par exemple) entre un état final d équilibre et un état initial (d équilibre toujours). Transformation irréversible Etat initial EI Transformation réversible Etat final EF
7 Transformation irréversible : c est par exemple une transformation rapide, brutale, durant laquelle les variables d état du système ne sont pas définies. Il faut attendre le retour à l équilibre final avant de pouvoir «faire» de la thermodynamique. Exemple : iston Gaz, n 1,T 1, 1 On enlève rapidement la masse marquée (oscillations puis arrêt du piston) Gaz,T, n EI EF
8 Transformation irréversible : c est par exemple une transformation qui n admet pas de «chemin de retour» : Le vieillissement d un être humain La diffusion d une goutte d encre dans de l eau Des oscillations d un ressort en présence de frottements. Un ressort n est plus élastique lorsqu il a été étiré en dehors de sa zone d élasticité. Irréversibilité due à un déséquilibre mécanique (différences de pressions) Irréversibilité due à un déséquilibre thermique (différences de températures)
9 Transformation réversible : c est une transformation qui admet un «chemin de retour» (le même qu à l aller, mais parcouru dans l autre sens) et pour laquelle les variables d état sont définies à tout moment de la transformation. Comment rendre la transformation ci-dessous réversible? Gaz, n 1,T 1, 1 EI On enlève rapidement la masse marquée (oscillations puis arrêt du piston) Gaz,T, n EF
10 EI 1 T 1.. T +d T+dT.. T EF 1 +d Suite d états d équilibre Transformation réversible : lors d une transformation réversible, le système passe par une suite d états d équilibre et peut repasser par tous ses états antérieurs en faisant varier, en sens contraire, les variables d état indépendantes qui pilotent son évolution. Les variables d état sont bien définies à tout moment.
11 II ENERGIE INTERNE ET 1 er RINCIE 1 Définition de l énergie interne : On considère un système thermodynamique (S) au repos dans le référentiel (R) du laboratoire (gaz dans un récipient, un solide, ). L énergie interne désigne l énergie mécanique de ce système, évaluée dans (R) : + ci articules U e E p,int mut Somme des énergies cinétiques microscopiques des constituants du système Energie potentielle d interaction mutuelle entre les constituants
12 L énergie interne est une fonction d état du système : elle est définie à l état d équilibre du système thermodynamique. C est une fonction des variables d état du système. ar exemple : U(T,) U(T,) U(,) (our un fluide divariant) Etat initial EI, U i Transformation quelconque Etat final EF, U f U U U f i Ne dépend pas du chemin suivi (de la transformation) pour aller de l état initial à l état final, mais uniquement de l état initial et de l état final.
13 Si le système est en mouvement dans (R), son énergie mécanique E m sera alors : Em U + 1 M totalev(g) + M totaleg z(g) Energie cinétique macroscopique Energie potentielle macroscopique de pesanteur z(g) G r v(g) G (S) G (S) O (S)
14 Enoncé du premier principe : On considère un système thermodynamique (S) fermé et immobile dans le référentiel du laboratoire (R). Ce système subit une transformation durant laquelle son énergie interne varie de : U U U Etat initial f i Transformation quelconque Etat final EI, U i EF, U f Cette variation est due à deux contributions : *** Aux travaux W des forces (de pression, par exemple) qui s exercent sur le système (S). *** Aux transferts thermiques (quantités de chaleur) Q reçus par le système (S).
15 Le premier principe de la thermodynamique est un principe de conservation de l énergie : Etat initial Transformation quelconque Etat final EI, U i W Q EF, U f U U U W + Q f our une transformation élémentaire (réversible ou quasi statique) : du δ W + δ Q i
16 3 Transformations particulières : Transformation purement thermique (W 0) : U Q Transformation adiabatique (Q 0) : U W Transformation cyclique (suite de transformations durant lesquelles le système revient à son état initial) : ( ) cycle U W + Q 0 Si le système (S) est animé d un mouvement d ensemble par rapport au référentiel (R) du laboratoire : U M totv(g) M totg z(g) W Q
17 III TRAAIL 1 Travail des forces de pression : f r ext iston de surface S ext La force de pression extérieure s écrit : r f r S u ext ext x Lors d un déplacement élémentaire du piston, son travail vaut : r r r r δ W f.(dx u ) ( S u ).(dx u ) ext ext x ext x x O u r x dx x δ W ext S dx Or, Sdx d (variation du volume du gaz, > 0 sur le dessin), ainsi : ext δ W d ext ext
18 iston de surface S δ W d ext ext O u r x f r ext dx ext x Si d < 0 (le volume diminue) : le travail est positif (le gaz reçoit de l énergie sous forme de travail). Si d > 0 (le volume augmente) : le travail est négatif (le gaz se détend et fournit du travail à l extérieur). Ce résultat se généralise à un volume quelconque (gaz, liquide, solide) ; ainsi, le travail reçu de la part des forces de pressions extérieures par un système thermodynamique qui voit son volume varier de d vaut : δ W d ext ext
19 Cas d une transformation réversible, interprétation géométrique du travail : 1 T 1 1 δ W ext T d +d.... EF T+dT +d (suite d états d équilibre) Lors d une transformation réversible, la pression extérieure est constamment égale à la pression intérieure, c est-à-dire celle du système. ar conséquent, le travail des forces de pression vaut : Remarque : si le volume reste constant, le travail des forces de pression est nul. W ext 1 d T
20 Interprétation géométrique du travail : 1 EI Aire A - W ext Wext d A 1 EF 1 Ici, A > 0 et W ext < 0 : le gaz reçoit un travail négatif (il fournit de l énergie sous forme de travail à l extérieur puisqu il se détend). Le plan (,) est appelé plan de Clapeyron (coordonnées de Clapeyron) ; attention, est en ordonnée et en abscisse!
21 Le travail dépend du chemin suivi pour aller d un même état EI à un même état final, comme le montre la figure suivante : 1 EI EF Les aires délimitées par chacune des trois courbes sont à chaque fois différentes : par conséquent, le travail reçu par un système dépend du chemin suivi et ne dépend pas uniquement de l état initial et de l état final. Le travail n est pas une fonction d état. 1 Ne pas écrire : dw (mais δw) Ne pas écrire : W W f W i mais W
22 Cas d un cycle réversible : : Aire A 1 > 0 1 EI : Aire A < 0 EF 1 Aire totale délimitée par le cycle. W tot -(A 1 + A ) (Ici, W < 0 : le cycle est moteur)
23 3 Transformation à pression extérieure constante : On reprend l exemple qui a permis de définir une transformation irréversible. Ici, la pression extérieure est constante (égale à atm ). ext atm ext atm Gaz, n 1,T 1, 1 On enlève rapidement la masse marquée (oscillations puis arrêt du piston) Gaz,T, n La pression du système, elle, n est pas définie durant la transformation! EI EF δ Wext ext d atm d ; Wext atm( 1)
24 4 Transformation réversible isotherme d un gaz parfait : EI Gaz, n 1,T 0, 1 On relève lentement le piston (dont les parois sont diathermes) placé au contact d un thermostat à la température T 0. Gaz,T 0, n EF 1 T 0 T 0 δw +d.... T 0 T 0 1 +d
25 arois diathermes (ou diathermanes) : parois qui laissent passer la chaleur (contrairement aux parois adiabatiques ou athermanes). Thermostat (ou source de chaleur) : corps de très grande taille, dont la température reste constante (égale ici à T 0 ) même lorsque le corps reçoit de la chaleur. Ici, le gaz parfait subit une transformation réversible à température constante ; on parlera de transformation isotherme. 1 T 0 T 0 δw +d.... T 0 T 0 1 +d Le travail élémentaire δw vaut : δw - d
26 En utilisant l équation d état des gaz parfaits : Et le travail total reçu par le gaz lors de la transformation est : Sachant que (loi de Mariotte) : Il vient : nrt δ 0 W d nrt0 d W nrt0 nrt0 ln 1 d nrt0 1 W nrt0 ln nrt0 ln 1 1 W 1 1 ln 1 1 ln 1 our une détente, W < 0 : le gaz fournit du travail à l extérieur.
27 AN : n.10 mol ; T 0 C ; 1 m ; 4 m ; W kj Transformation réversible isotherme d un gaz de DW : Le calcul mathématique est différent : D où : a δ W d or + ( b) RT 0 (1 mole) δ W RT a b 0 d b 1 1 W RT0 ln a 1 b 1
28 6 Travail des forces de pression sur un solide : (ex n 1) Le travail élémentaire vaut : A température constante : δ W d D où : χ T 1 d d soit d χ T d mχ µ T d δ W mχ T µ d mχ µ T W (f i ) Application numérique : W 0,34 J (ce travail est faible vis-à-vis de celui calculé pour un G : ainsi, lorsqu un gaz est comprimé, on peut négliger le travail effectué sur le matériau du récipient contenant le gaz).
29 7 Autres formes de travaux : Cas d un fil (de cuivre, par exemple) Cas d un dipôle électrique l Fil de cuivre δw F dl i Dipôle u δw u i dt dl F r Si le dipôle est un conducteur ohmique de résistance R : u Ri et le travail électrique est ensuite dissipé sous forme de chaleur : δw δq Ri dt
30 I TRANSFERT THERMIQUE (CHALEUR) 1 Définition et ordres de grandeur : Travail des forces de pression : échange d énergie d origine macroscopique, c est-à-dire le travail des forces définies à notre échelle et qui s exercent sur la surface délimitant le système. Transfert thermique («Chaleur») : échange d énergie au niveau microscopique (exemple : récipient rigide contenant un gaz et placé sur une plaque chauffante). On note Q le transfert thermique reçu par un système (grandeur algébrique, > ou < 0). Q s exprime en Joule (J) dans le SI. Historiquement, on utilise la calorie : 1 cal 4,18 J)
31 «La calorie est la quantité de chaleur nécessaire pour augmenter la température d un gramme d eau de 1 C (de 1 K) à pression constante de 1 bar et à partir de 14,5 C.» Quelques ordres de grandeurs : * On chauffe 1 kg d eau de 0 C à 100 C sous 1 bar : Q 80 kcal 334,4 kj * On transforme 1 kg d eau liquide en vapeur à 100 C sous 1 bar : Q 55 kj (Q est ici appelée chaleur latente de vaporisation de l eau).
32 Transformation adiabatique : Lors d une transformation adiabatique, le système ne reçoit pas de transfert thermique (Q 0). Le 1 er principe donne alors : U W our un gaz parfait monoatomique, par exemple : 3 nr ( T T1 ) W ar conséquent, si W > 0 (compression de l air dans une pompe à vélo), alors T > T 1 : le gaz s échauffe alors qu il n a pas reçu de chaleur! Il est ainsi important de ne pas nécessairement associer quantité de chaleur et modification de température!
33 3 Capacités calorifiques à volume constant : On considère une transformation réversible élémentaire : T δw, δq du +d T + dt +d Le 1 er principe donne : Or, avec U(T,) ici : D où : du du δ W + δq U U dt + d et δw T δq du δw U T T dt + U T + d d
34 On note : Avec : c l U T U T δq c dt + l + d Capacité calorifique totale du système à volume constant Capacité calorifique totale du système à «température constante» A volume constant, le transfert thermique nécessaire pour modifier la température de dt s écrit : δq c dt
35 On définit : (c v désigne la capacité calorifique totale à volume constant) * Capacité calorifique massique à volume constant (m est la masse totale du système) : c, m 1 m * Capacité calorifique molaire à volume constant (M est la masse molaire du système) : C c M, mol c ; ( m / M ) m c C, mol M c, m Les tables thermodynamiques donnent les valeurs de c,m ou de C,mol en fonction de T et de. ar exemple, pour NaCl :
36 Extraits de tables thermodynamiques pour NaCl
37 C et C pour NaCl
38 Cas des gaz parfaits : our un gaz parfait monoatomique : U C 3 nrt c, mol n donc 3 R c U T C, mol 3 R 3 c, m r ( r M M R M gaz parfait) du dt 3 nr, constante massique du
39 Cas des gaz parfaits : our un gaz parfait diatomique (aux températures usuelles) : U C 5 nrt c, mol n donc 5 R c U T C, mol 5 R 5 c, m r ( r M M R M gaz parfait) du dt 5 nr, constante massique du
40 On peut ainsi écrire U sous une forme valable quelle que soit l atomicité du gaz : U nc, mol T mc, m T 3 R ou 5 R 3 r ou 5 r De manière élémentaire, le 1 er principe donne (transformation réversible) : du nc, mol dt mc, m dt d + δq
41 4 Définition de la fonction «enthalpie» : On considère une transformation quelconque mais réalisée à pression extérieure constante (cas, par exemple, de réactions chimiques effectuées à la pression atmosphérique), appelée transformation monobare : 0 T 1 1 Transformation monobare U, W, Q 0 T La pression du système est égale à la pression extérieure 0 dans l EI et dans l EF. Elle peut ne pas être définie lors de la transformation! Le 1 er principe donne : U W + Q ) + Q 0( 1
42 On déduit l expression du transfert thermique : Q U + 0 ( 1 ) ( U + 0 ) ( U ) On définit une nouvelle fonction d état, appelée enthalpie et notée H : H U + (homogène à une énergie) Le transfert thermique devient alors : Q ( U H H Q H + 0 ) ( U ) 1 Ainsi, lors de transformations monobares (et donc également lors de transformations isobares), le transfert thermique se calcule facilement à partir de la variation de cette nouvelle fonction d état, l enthalpie. Rappel : à volume constant, Q U
43 Expression différentielle de H : Lors d une transformation réversible élémentaire : dh d( U + ) du + d + d du d + δq dh d + Q Soit, avec : δ our un gaz parfait : H U + U + nrt Gaz monoatomique : Gaz diatomique : H H 3 5 nrt nrt + nrt + nrt 5 7 nrt nrt
44 5 Capacité calorifique à pression constante : On considère une transformation réversible élémentaire : T δw, δq dh +d T + dt +d dh δq d + δq dh d Or, avec H(T,) : dh H T dt + H T d On obtient le transfert thermique élémentaire : δq H T dt + H T d
45 On note : Avec : c k H T H δq c dt + T k d Capacité calorifique totale du système à pression constante Capacité calorifique totale du système à «température constante» A pression constante, le transfert thermique nécessaire pour modifier la température de dt s écrit : δq c dt
46 On définit : (c désigne la capacité calorifique totale à pression constante) * Capacité calorifique massique à pression constante (m est la masse totale du système) : c, m 1 m * Capacité calorifique molaire à pression constante (M est la masse molaire du système) : C c ( m / M m, mol c ; M ) Les tables thermodynamiques donnent les valeurs de c,m ou de C,mol en fonction de T et de. ar exemple, pour NaCl : c C, mol M c, m
47 Extraits de tables thermodynamiques pour NaCl
48 C et C pour NaCl
49
50 Cas des gaz parfaits : our un gaz parfait monoatomique : c C H 5 nrt, mol donc c H T c 5 R n C, mol 5 R 5 r ( r M M, m R M dh dt 5 nr, constante massique du gaz parfait)
51 Cas des gaz parfaits : our un gaz parfait diatomique (aux températures usuelles) : H c C 7 H nrt donc c T c 7 R n C, mol 7 R 7 r ( r M M, mol, m R M gaz parfait) dh dt 7 nr, constante massique du
52 On peut ainsi écrire H sous une forme valable quelle soit l atomicité du gaz : H nc, mol T mc, m T 5 R ou 7 R 5 r ou 7 r De manière élémentaire, le 1 er principe donne (transformation réversible) : dh nc dt mc, mol, m dt d + δq
53 Evolution du rapport C,mol / R pour le dihydrogène :
54 Relation de Mayer : Sachant que : H U + U + Il vient (relation de Mayer) : RT ( pour 1 mol) C, mol C, mol + C, mol C, mol R R
55 6 Bilans thermiques pour des gaz parfaits : a Transformation isochore : U nc, mol ( T T1) Q ; W 0 b Transformation isobare : H nc ( T T1 ) Q ; W 0 ( 1), mol c Transformation isotherme : U 0 ; W Q nrt0 ln 1
56 7 Cas des phases condensées : our les phases condensées (liquides ou solides), en négligeant la variation de volume (d 0), on pourra considérer que : du nc, mol dt ou du mc, m dt De plus, le volume étant souvent faible, on pourra négliger le terme devant U et poser ainsi que : H U (our une phase condensée) ar conséquent (c m désigne la capacité calorifique massique de la phase condensée et C mol la capacité molaire) : c, m c, m cm ; du dh mcm dt nc mol dt
57 Capacité calorifique massique de l eau en fonction de la température
58 8 Applications aux mesures calorimétriques : a On place initialement une masse M d eau à la température T 0 dans un calorimètre. Un corps solide, de masse m, est sorti d une étuve à la température T 1 > T 0. On le place dans le calorimètre. A l équilibre, la température est notée T. Montrer que la capacité calorifique massique du solide vaut : T T 0 c m, sol cm, eau T1 T m b Le calorimètre n est pas parfait et possède une «valeur en eau», notée µ (µ est la masse d eau qui aurait même capacité calorifique que le calorimètre et ses accessoires). En déduire la nouvelle expression de la capacité calorifique massique du solide. M
59 BILANS ENERGETIQUES OUR DES GAZ ARFAITS 1 Transformation réversible isotherme d un G : Lors d une transformation réversible isotherme, U 0. ar conséquent : W Q W Q 0 ln nrt 1 Si le gaz est comprimé, W > 0 et Q < 0 : le gaz, qui a tendance à s échauffer lors de la compression, a cédé de la chaleur au thermostat.
60 Transformation adiabatique réversible d un G, loi de Laplace : Hypothèse : pas de transfert de chaleur et réversibilité de la transformation. T δw, δq 0 dh, du +d T + dt +d nc, mol dt d + δq nc, mol dt d (1) nc, mol dt d + δq nc, mol dt d () On fait le rapport membres à membres () / (1) :
61 C d d, mol On pose, alors (en supposant γ constant) : γ C, mol C C d(ln ) + d(ln, mol, mol d d d γ d' où + γ 0 d d(ln ) + γ d(ln ) 0 γ ) d(ln γ ) 0 γ γ γ cste 1 1 (Loi de Laplace )
62 Lycée Clemenceau En utilisant l équation d état des G, on aboutit à deux autres formulations de la loi de Laplace : Application numérique : on comprime de l air de manière adiabatique réversible du volume 1 au volume 1 / 10 ; la température initiale est T 1 0 C. Calculer la température finale T. γ γ γ γ γ γ T T cste T γ γ γ T T cste T K T T T T 736 ; γ γ γ
63 aleurs de γ : Gaz monoatomique : γ C C, mol, mol (5 / ) R (3/ ) R 5 3 Gaz diatomique : γ C C, mol, mol (7 / ) R (5 / ) R 7 5 Relations entre C p,mol, C,mol et γ : On déduit : C C, mol C, mol R et γ, mol 1 R ; γ 1 C, mol C C, mol, mol γ R γ 1
64 Représentations graphiques d une adiabatique et d une isotherme (dans le plan de Clapeyron) : On considère deux transformations réversibles (une isotherme et une adiabatique) faisant passer le G du même EI ( 1, 1,T 1 ) à deux EF différents, mais de même volume : 1,iso,ad EI adiabatique isotherme 1, 1 iso EF iso EF ad γ 1, ad 1, ad <, iso ( car γ > 1) 1
65 Adiabatiques (traits pleins) et isothermes (traits pointillés) pour un G
66 Travail reçu par le gaz : Le travail reçu par le gaz pourrait s écrire sous la forme d une intégrale : W 1 γ d 1 1 d... 1 γ 1 Il est beaucoup plus simple d écrire le 1 er principe (avec Q 0) : W U nc ( T 1), mol T W R n ( T γ 1 T 1 ) γ 1 1 1
67 Mesure du coefficient γ (expérience de Rüchhardt) : Énoncé ANIMATION Solution
68 3 Transformation adiabatique irréversible d un G : Hypothèse : pas de transfert de chaleur mais la transformation est irréversible. On enlève rapidement la masse 0 0 marquée Gaz, n 1,T 1, 1 EI (oscillations puis arrêt du piston, dont on néglige la masse) arois et piston adiabatiques Gaz 0,T, La transformation s effectue à pression extérieure constante, égale à la pression atmosphérique 0 (cependant, elle n est pas monobare!). n EF
69 Bilan énergétique : U W U nc ( T 1 ), mol T W ( 1 ) 0 nc, mol ( T T1 ) 0 ( 1) Après calculs (avec 1 / 0 ) : γ + 1 γ et T T γ γ 1
70 4 Détente de Joule Gay-Lussac (XIX ème siècle) : Un récipient indéformable et adiabatique est divisé en deux compartiments de volumes l et par une plaque de verre. Le compartiment (1) contient n moles d'un gaz parfait à la température T l. Le compartiment () est vide. On coupe l'électroaimant : la bille tombe et casse la paroi de verre. Le gaz se détend alors dans le volume l + qui lui est offert. Gaz ( 1,T 1 ) ide ( ) Electroaimant Bille laque de verre Récipient rigide et adiabatique A l'équilibre, l'état final du gaz est caractérisé par le volume et par la nouvelle température T. La détente de Joule-Gay-Lussac est un phénomène irréversible : le gaz ne peut, sans intervention extérieure, occuper le compartiment (1), en laissant () vide!
71 Le gaz est isolé adiabatiquement (Q 0) et mécaniquement (parois rigides, W 0) de l'extérieur. ar conséquent, le premier principe donne : U W + Q 0 Une détente de Joule-Gay-Lussac se fait donc à énergie interne constante : U(T1, 1) U(T, 1 + ) Gaz ( 1,T 1 ) ide ( ) Electroaimant Bille laque de verre our un gaz parfait, on déduit, puisque l'énergie interne d'un gaz parfait ne dépend que de la température : T 1 T
72 5 Détente de Joule Thomson (185) : Gaz en écoulement «lent» 1 T 1 c 1 < 1 T c Coton ou verre en morceaux Tuyère rigide et adiabatique En régime permanent, la pression et la température sont uniformes de chaque côté de la paroi poreuse. Quelques valeurs numériques : bar ; T 1 00 bar ; T 00 bar ; T 0 C ; C ; 90 C ; 1 bar alors T 1,15 C 1 bar alors T 45 C 1 bar alors T 100 C Intérêt : liquéfaction des gaz
73 Gaz en écoulement A A 1 T 1 c 1 T c B Coton ou verre en morceaux B Masse dm à l instant t Masse dm à l instant t + dt On considère à l instant t le système fermé constitué du gaz compris dans la paroi poreuse et de la masse dm de gaz (dans l état 1 et T 1 ) qui va rentrer, pendant l intervalle de temps dt, dans la paroi. A l instant t + dt, ce système est constitué de la même quantité de gaz comprise dans la paroi et de la même masse dm de gaz qui est sortie, étant désormais dans les conditions et T.
74 Gaz en écoulement A A 1 T 1 c 1 T c B Coton ou verre en morceaux B Masse dm à l instant t Masse dm à l instant t + dt Le 1 er principe appliqué à ce système (en négligeant l énergie cinétique macroscopique) s écrit, en régime permanent : ( U ) ( ) gaz dansla paroi + U A' B' U gaz dansla paroi + U AB 1 AB A' B' U A' B' U AB 1 AB A' B'
75 On note : u m,1 et u m, les énergies internes massiques dans les états (1) et (). v m,1 et v m, les volumes massiques dans les états (1) et (). Alors : U A' B' ( dm) um, ; U AB ( dm) um,1 A' B' ( dm ) vm, ; AB ( dm) vm,1 U U Et l équation A' B' AB 1 AB A' B' devient : u u v m, m,1 1 m,1 m, v ( um 1, + vm,) ( um,1 + 1 vm, ) 0
76 Finalement : h m h, m,1 0 Où h m,1 et h m, désignent les enthalpies massiques du gaz dans les états (1) et (). La détente de Joule-Thomson se fait donc à enthalpie constante (Détente isenthalpique) our un gaz parfait : 5 7 hm, c, mt et hm,1 c, mt1 ( c, m r ou r, avec r ar conséquent : T T 1 R M )
Premier principe : bilans d énergie
MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie
Plus en détailPremier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailPhysique : Thermodynamique
Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une
Plus en détail1 Thermodynamique: première loi
1 hermodynamique: première loi 1.1 Énoncé L énergie d un système isolé est constante, L énergie de l univers est constante, de univers = de syst + de env. = 0 1 L énergie d un système est une fonction
Plus en détailExercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique
Exercice 1 1. a) Un mobile peut-il avoir une accélération non nulle à un instant où sa vitesse est nulle? donner un exemple illustrant la réponse. b) Un mobile peut-il avoir une accélération de direction
Plus en détailChapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique
Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique 43 4.1. Evolutions réversibles et irréversibles 4.1.1. Exemples 4.1.1.1. Exemple 1 Reprenons l exemple 1 du chapitre précédent. Une masse est placée
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailChapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES
Chapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES Entropie de mélange. - Evolution adiabatique. - Autres évolutions réversibles et irréversibles. L ensemble de ce chapitre
Plus en détailCONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE
CONCOUS COMMUN SUJET A DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Corrigé Barème total points : Physique points - Chimie 68 points PHYSIQUE Partie A :
Plus en détailOptimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique
Optimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique Année 2009-2010 2008-09 Stéphane LE PERSON Maître de Conférences Université Joseph Fourier Jean-Paul THIBAULT LEGI UMR
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailTHERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ
THERMODYNAMIQUE: LIQUEFACTION D UN GAZ B. AMANA et J.-L. LEMAIRE 2 LIQUEFACTION D'UN GAZ Cette expérience permet d'étudier la compressibilité et la liquéfaction d'un fluide en fonction des variables P,
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailCOURS DE THERMODYNAMIQUE
I.U.T. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie Thermique et énergie COURS DE THERMODYNAMIQUE eme Semestre Olivier PERROT 010-011 1 Avertissement : Ce cours de thermodynamique présente quelques applications
Plus en détailÀ propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire
À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet
Plus en détailEtudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote.
K4. Point triple de l azote I. BUT DE LA MANIPULATION Etudier le diagramme température-pression, en particulier le point triple de l azote. II. BASES THEORIQUES Etats de la matière La matière est constituée
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailTSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1
TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun
Plus en détailAIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES
Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation
Plus en détailExemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale
Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf
Plus en détailPhysique 1 TEMPÉRATURE, CHALEUR
hysique EMÉRAURE, CHALEUR rof. André errenoud Edition mai 8 Andre.errenoud (at) heig-vd.ch HEIG-D / AD A B L E D E S M A I E R E S AGE. INRODUCION.... NOIONS DE EMÉRAURE E DE CHALEUR.... LES ÉCHANGES
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailPrécis de thermodynamique
M. Hubert N. Vandewalle Précis de thermodynamique Année académique 2013-2014 PHYS2010-1 Thermodynamique 2 Ce précis a été créé dans le but d offrir à l étudiant une base solide pour l apprentissage de
Plus en détailMATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE
MATIE RE DU COURS DE PHYSIQUE Titulaire : A. Rauw 5h/semaine 1) MÉCANIQUE a) Cinématique ii) Référentiel Relativité des notions de repos et mouvement Relativité de la notion de trajectoire Référentiel
Plus en détailP17- REACTIONS NUCLEAIRES
PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détail1 Mise en application
Université Paris 7 - Denis Diderot 2013-2014 TD : Corrigé TD1 - partie 2 1 Mise en application Exercice 1 corrigé Exercice 2 corrigé - Vibration d une goutte La fréquence de vibration d une goutte d eau
Plus en détailChapitre 5. Le ressort. F ext. F ressort
Chapitre 5 Le ressort Le ressort est un élément fondamental de plusieurs mécanismes. Il existe plusieurs types de ressorts (à boudin, à lame, spiral etc.) Que l on comprime ou étire un ressort, tel que
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET
SESSION 2010 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel
Plus en détailCOURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES
I.U.. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie hermique et énergie COURS DE MACHINES FRIGORIFIQUES Olivier ERRO 200-20 2 Avertissement : Ce cours de machines frigorifiques propose d aborder le principe
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailLes puissances 4. 4.1. La notion de puissance. 4.1.1. La puissance c est l énergie pendant une seconde CHAPITRE
4. LES PUISSANCES LA NOTION DE PUISSANCE 88 CHAPITRE 4 Rien ne se perd, rien ne se crée. Mais alors que consomme un appareil électrique si ce n est les électrons? La puissance pardi. Objectifs de ce chapitre
Plus en détailMesure de la dépense énergétique
Mesure de la dépense énergétique Bioénergétique L énergie existe sous différentes formes : calorifique, mécanique, électrique, chimique, rayonnante, nucléaire. La bioénergétique est la branche de la biologie
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailLES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE
LES LOIS PHYSIQUES APPLIQUÉES AUX DEUX-ROUES : 1. LA FORCE DE GUIDAGE 2. L EFFET GYROSCOPIQUE Les lois physiques qui régissent le mouvement des véhicules terrestres sont des lois universelles qui s appliquent
Plus en détailQuantité de mouvement et moment cinétique
6 Quantité de mouvement et moment cinétique v7 p = mv L = r p 1 Impulsion et quantité de mouvement Une force F agit sur un corps de masse m, pendant un temps Δt. La vitesse du corps varie de Δv = v f -
Plus en détailMesures calorimétriques
TP N 11 Mesures calorimétriques - page 51 - - T.P. N 11 - Ce document rassemble plusieurs mesures qui vont faire l'objet de quatre séances de travaux pratiques. La quasi totalité de ces manipulations utilisent
Plus en détailDES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES. Épreuve de Physique-Chimie. (toutes filières) Mardi 18 mai 2004 de 08h00 à 12h00
CONCOURS COMMUN 004 DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Mardi 18 mai 004 de 08h00 à 1h00 Barème indicatif : Physique environ /3 - Chimie environ
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détailComparaison de fonctions Développements limités. Chapitre 10
PCSI - 4/5 www.ericreynaud.fr Chapitre Points importants 3 Questions de cours 6 Eercices corrigés Plan du cours 4 Eercices types 7 Devoir maison 5 Eercices Chap Et s il ne fallait retenir que si points?
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailChapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique
Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant
Plus en détailCircuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance
Chapitre 5 Circuits RL et RC Ce chapitre présente les deux autres éléments linéaires des circuits électriques : l inductance et la capacitance. On verra le comportement de ces deux éléments, et ensuite
Plus en détailBaccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008
Baccalauréat ES Amérique du Nord 4 juin 2008 EXERCICE 1 Commun à tous les candidats f est une fonction définie sur ] 2 ; + [ par : 4 points f (x)=3+ 1 x+ 2. On note f sa fonction dérivée et (C ) la représentation
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailErratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2
Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page
Plus en détailChapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires
Chapitre 3 Les régimes de fonctionnement de quelques circuits linéaires 25 Lechapitreprécédent avait pour objet l étude decircuitsrésistifsalimentéspar dessourcesde tension ou de courant continues. Par
Plus en détailCours de Physique Statistique. Éric Brunet, Jérôme Beugnon
Cours de Physique Statistique Éric Brunet, Jérôme Beugnon 7 octobre 2014 On sait en quoi consiste ce mouvement brownien. Quand on observe au microscope une particule inanimée quelconque au sein d un fluide
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailPhysique - Résumés de cours PCSI. Harold Erbin
Physique - Résumés de cours PCSI Harold Erbin Ce texte est publié sous la licence libre Licence Art Libre : http://artlibre.org/licence/lal/ Contact : harold.erbin@gmail.com Version : 8 avril 2009 Table
Plus en détailÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009
ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailLes indices à surplus constant
Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détailLE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation:
1 www.cetime.ind.tn LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation: met à votre disposition des compétences et des moyens techniques pour vous assister dans vos démarches d innovation et d
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012
ELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012 Pour faciliter la correction et la surveillance, merci de répondre aux 3 questions sur des feuilles différentes et d'écrire immédiatement votre nom sur toutes
Plus en détailTransformations nucléaires
I Introduction Activité p286 du livre Transformations nucléaires II Les transformations nucléaires II.a Définition La désintégration radioactive d un noyau est une transformation nucléaire particulière
Plus en détailMesures et incertitudes
En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire
Plus en détailCours d électricité. Introduction. Mathieu Bardoux. 1 re année. IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie
Cours d électricité Introduction Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Le terme électricité provient du grec ἤλεκτρον
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailMATHS FINANCIERES. Mireille.Bossy@sophia.inria.fr. Projet OMEGA
MATHS FINANCIERES Mireille.Bossy@sophia.inria.fr Projet OMEGA Sophia Antipolis, septembre 2004 1. Introduction : la valorisation de contrats optionnels Options d achat et de vente : Call et Put Une option
Plus en détailCharges électriques - Courant électrique
Courant électrique Charges électriques - Courant électrique Exercice 6 : Dans la chambre à vide d un microscope électronique, un faisceau continu d électrons transporte 3,0 µc de charges négatives pendant
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Propriétés de l atome
PHYSIQUE-CHIMIE Ce sujet traite de quelques propriétés de l aluminium et de leurs applications. Certaines données fondamentales sont regroupées à la fin du texte. Partie I - Propriétés de l atome I.A -
Plus en détailChapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ
Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent
Plus en détail1 Définition. 2 Systèmes matériels et solides. 3 Les actions mécaniques. Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..
1 Définition GÉNÉRALITÉS Statique 1 2 Systèmes matériels et solides Le système matériel : Il peut être un ensemble.un sous-ensemble..une pièce mais aussi un liquide ou un gaz Le solide : Il est supposé
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détaildocument proposé sur le site «Sciences Physiques en BTS» : http://nicole.cortial.net BTS AVA 2015
BT V 2015 (envoyé par Frédéric COTTI - Professeur d Electrotechnique au Lycée Régional La Floride Marseille) Document 1 - Etiquette énergie Partie 1 : Voiture à faible consommation - Une étiquette pour
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détailThermodynamique (Échange thermique)
Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailBaccalauréat ES/L Métropole La Réunion 13 septembre 2013 Corrigé
Baccalauréat S/L Métropole La Réunion 13 septembre 2013 Corrigé A. P. M.. P. XRCIC 1 Commun à tous les candidats Partie A 1. L arbre de probabilité correspondant aux données du problème est : 0,3 0,6 H
Plus en détailDÉRIVÉES. I Nombre dérivé - Tangente. Exercice 01 (voir réponses et correction) ( voir animation )
DÉRIVÉES I Nombre dérivé - Tangente Eercice 0 ( voir animation ) On considère la fonction f définie par f() = - 2 + 6 pour [-4 ; 4]. ) Tracer la représentation graphique (C) de f dans un repère d'unité
Plus en détailDéveloppements limités, équivalents et calculs de limites
Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(
Plus en détailDéveloppements limités. Notion de développement limité
MT12 - ch2 Page 1/8 Développements limités Dans tout ce chapitre, I désigne un intervalle de R non vide et non réduit à un point. I Notion de développement limité Dans tout ce paragraphe, a désigne un
Plus en détailMesures du coefficient adiabatique γ de l air
Mesures du oeffiient adiabatique γ de l air Introdution : γ est le rapport des apaités alorifiques massiques d un gaz : γ = p v Le gaz étudié est l air. La mesure de la haleur massique à pression onstante
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détail8 Ensemble grand-canonique
Physique Statistique I, 007-008 8 Ensemble grand-canonique 8.1 Calcul de la densité de probabilité On adopte la même approche par laquelle on a établi la densité de probabilité de l ensemble canonique,
Plus en détailT.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY
T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................
Plus en détailCalcul intégral élémentaire en plusieurs variables
Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement
Plus en détailContribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension
Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception
Plus en détailSystème formé de deux points
MPSI - 2005/2006 - Mécanique II - Système formé de deux points matériels page /5 Système formé de deux points matériels Table des matières Éléments cinétiques. Éléments cinétiques dans R.......................2
Plus en détailSommaire. Séquence 2. La pression des gaz. Séance 1. Séance 2. Séance 3 Peut-on comprimer de l eau? Séance 4 Je fais le point sur la séquence 2
Sommaire La pression des gaz Séance 1 Comprimer de l air Séance 2 Mesurer la pression d un gaz Séance 3 Peut-on comprimer de l eau? Séance 4 Je fais le point sur la séquence 2 24 Cned, Physique - Chimie
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailNOTICE DOUBLE DIPLÔME
NOTICE DOUBLE DIPLÔME MINES ParisTech / HEC MINES ParisTech/ AgroParisTech Diplômes obtenus : Diplôme d ingénieur de l Ecole des Mines de Paris Diplôme de HEC Paris Ou Diplôme d ingénieur de l Ecole des
Plus en détailProduction d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?
COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,
Plus en détailDM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION
Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)
Plus en détailde l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur
de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur Eau chaude et confort à votre portée! La meilleure façon de
Plus en détailCalcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.
1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le
Plus en détailCours d électricité. Circuits électriques en courant constant. Mathieu Bardoux. 1 re année
Cours d électricité Circuits électriques en courant constant Mathieu Bardoux mathieu.bardoux@univ-littoral.fr IUT Saint-Omer / Dunkerque Département Génie Thermique et Énergie 1 re année Objectifs du chapitre
Plus en détailLE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.
LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que
Plus en détailCCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé
CCP PSI - 00 Mathématiques : un corrigé Première partie. Définition d une structure euclidienne sur R n [X]... B est clairement symétrique et linéaire par rapport à sa seconde variable. De plus B(P, P
Plus en détailFUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE
FUSION PAR CONFINEMENT MAGNÉTIQUE Séminaire de Xavier GARBET pour le FIP 06/01/2009 Anthony Perret Michel Woné «La production d'énergie par fusion thermonucléaire contrôlée est un des grands défis scientifiques
Plus en détail