Chiffres & analyses. Le logement des personnes seules en Basse-Normandie. Contexte. Des personnes seules de plus en plus nombreuses.

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1 Direction régionale de l Environnement de l Aménagement et du Logement Chiffres & analyses Basse-Normandie Février 2014 Contexte Le nombre en constante augmentation des personnes vivant seules pose de réels enjeux sociétaux et d équilibres territoriaux. Les évolutions des comportements, les divorces et séparations plus fréquents, comme la croissance démographique, génèrent des besoins supplémentaires en logements 1. Le vieillissement de la population et les risques d isolement, constituent aussi un enjeu majeur en termes de conditions de maintien à domicile ou de santé. L hétérogénéité de ces situations impose d adapter les réponses aux caractéristiques des espaces basnormands et de leurs habitants, par des politiques d aménagement du territoire réfléchies. 1- Voir étude «Marchés locaux de l habitat, analyse statistique par zone d emploi», Dreal de Basse- Normandie décembre Le logement des personnes seules en Basse-Normandie Les ménages composés d une seule personne prennent une part de croissante dans la population française. Il s agit d une tendance de fond, qui s observe dans toutes les régions, due au vieillissement des Français et à l évolution des modes de cohabitation. A ce rythme, les personnes seules représenteront bientôt un tiers des ménages fiscaux. En 2011, la Basse-Normandie se positionne à un niveau proche de la moyenne nationale, mais les situations diffèrent selon les départements. L Orne et la Manche sont plus touchés par le phénomène, qui concerne plus souvent des personnes très âgées que dans le Calvados. Mais sur la dernière décennie, la progression est plus rapide dans le Calvados, très marqué par l installation des jeunes et la progression des divorces. Les personnes seules vivent généralement dans des logements plus petits, souvent des appartements, mais la configuration de leur logement varie aussi selon l âge ou la situation de famille. Plus mobiles, avec des revenus plus modestes, elles se tournent plus fréquemment vers le locatif, en particulier le locatif du secteur privé, notamment chez les plus jeunes. Des personnes seules de plus en plus nombreuses En 2011, on compte près de ménages fiscaux d une personne en Basse-Normandie, sans compter, par construction, les personnes seules rattachées à un autre foyer fiscal comme les étudiants et leurs parents (voir définitions). Ces ménages fiscaux d une personne représentent désormais 32,4 % des ménages de la région contre 28,6 % en Un niveau voisin en 2011 de la moyenne hexagonale (32,6 %) qui, comme dans les autres régions, progresse régulièrement. Sur les 12 dernières années, on enregistre environ personnes seules supplémentaires par an en Basse-Normandie, soit un rythme annuel moyen de + 2,06 %. Ménages fiscaux d une personne 2011 Part des Nombre Répartition ménages Evolution annuelle moyenne Taux Nombre annuel annuel Calvados ,8 % 32, , Manche ,6 % 32,6 % ,03 % Orne ,6 % 33,2 % 640 1,68 % Basse-Normandie , 32,4 % ,06 % Personnes vivant seules - évolution Mission SOCRATE Stratégie de l Observation et de la Connaissance Régionales pour l Aménagement des TErritoires

2 Chiffres & analyses Même si le Calvados abrite le plus grand nombre de personnes seules, c est proportionnellement le département le moins touché par le phénomène, avec 32 % de ses ménages, contre 32,6 % dans la Manche et 33,2 % dans l Orne. Si on pouvait comptabiliser les étudiants rattachés au foyer fiscal de leurs parents, la proportion du Calvados serait sans doute plus proche de celles des autres départements, mais avec des caractéristiques encore plus éloignées. En termes de progression, le Calvados enregistre ainsi les plus fortes évolutions : + 2, par an en moyenne entre 1999 et 2011, contre + 2,03 % pour la Manche et + 1,68 % dans l Orne. Le Calvados est en effet le département où interviennent le plus les phénomènes liés à l accroissement du nombre de personnes vivant seules1 : un vieillissement de sa population plus marqué ces dernières années que dans les autres départements, qui abritaient déjà des habitants plus âgés que dans la Calvados, ainsi qu une décohabitation plus fréquente, due aux séparations ou divorces et au départ des jeunes adultes du foyer familial, plus nombreux dans ce département. Le recul de l âge de la vie en couple renforce encore cette évolution des modes de cohabitation. 1- Voir Insee Première N août 2012 et N février 2013 Répartition géographique des ménages d une personne sur la Basse-Normandie 2 DREAL de Basse-Normandie - Mission SOCRATE (Stratégie de l Observation et de la Connaissance Régionales pour l Aménagement des TErritoires)

3 Plus de la moitié des personnes seules ont plus de 60 ans Plus de 5 des personnes vivant seules en Basse-Normandie ont 60 ans ou plus, alors qu elles sont moins de la moitié dans l Hexagone. Un quart ont entre 39 et 59 ans et seulement 4 % moins de 25 ans, sachant que les plus jeunes sont sous-estimés avec le mode de comptabilisation de la source fiscale. Malgré ce biais, on constate une plus forte part des moins de 25 ans dans le Calvados, marqué par la vocation universitaire de la ville de Caen, mais même dans ce département, la part des jeunes (moins de 39 ans), avec 22 % des ménages d une personne, reste inférieure à la moyenne nationale (24 %). L analyse des personnes seules ayant 75 ans et plus renforce les disparités entre les départements : elles sont 29 % dans le Calvados, contre 34 % dans la Manche ou dans l Orne. Ces écarts départementaux traduisent en réalité un clivage entre les villes, où moins d un tiers des personnes seules sont très âgées, et les campagnes, où cette proportion dépasse 4, voire 5 dans certaines communautés de communes. Assez liée à l âge, la situation de famille suit le même clivage. Elle révèle également l évolution des modes de vie. En 2011, 42 % des personnes seules sont des célibataires, 36 % des veufs(ves) et 22 % des divorcé(e)s. En quatre ans, on compte cependant 5300 célibataires supplémentaires (+ 7 %), près de 6000 divorcés (+ ) et seulement un peu plus de 2000 veufs ou veuves (+ 3 %), malgré le vieillissement de la population. Dans les autres régions métropolitaines, le phénomène est un peu plus marqué qu en Basse-Normandie, avec en moyenne 4 de célibataires parmi les personnes seules, 31 % de veufs(ves) et 24 % de divorcé(e)s. L augmentation plus nette du nombre de personnes seules dans le Calvados trouve ainsi deux éléments d explication : d une part, les célibataires et les divorcés sont plus nombreux que dans la Manche et dans l Orne et ce sont eux qui portent l essentiel de la progression 2 ; d autre part, même si le poids des personnes âgées y est moins important, c est dans ce département que leur nombre progresse le plus. 31 % Ménages d une personne répartition par âge 24 % 4 % Moins de 25 ans De 25 à 39 ans De 40 à 59 ans De 60 à 74 ans 75 ans ou plus 16 % Source : Dreal de Basse-Normandie, Filocom d après DGFiP Part des 75 ans ou plus parmi les personnes seules 2- Voir Insee de Basse-Normandie, Cent pour cent N 176 janvier DREAL de Basse-Normandie - Mission SOCRATE (Stratégie de l Observation et de la Connaissance Régionales pour l Aménagement des TErritoires) 3

4 Les personnes seules habitent le plus souvent des 2 ou 3 pièces, plutôt anciens 4 4 Répartition des ménages selon la taille des logements 1 pièce 2 pièces 3 pièces 4 pièces 5 pièces 6 pièces ou plus Ménages d une personne Autres ménages Taille des logements des personnes seules selon la situation de famille 1 pièce 2 pièces 3 pièces 4 pièces 5 pièces 6 pièces ou plus Célibataire Divorcé(e) Veuf(ve) Répartition des ménages selon l ancienneté des logements Les personnes seules occupent des logements plus petits que les autres ménages, mais plus de la moitié (54 %) vivent dans des 2 ou 3 pièces et plus d un tiers dans des 4 pièces et plus. Dans le Calvados, elles habitent toutefois plus souvent des 1 ou 2 pièces (41 %, contre moins de dans la Manche et dans l Orne). Ces petits logements correspondent mieux aux besoins des jeunes célibataires. De même, lors d un divorce ou d une séparation, si une des deux parties peut continuer d occuper la maison familiale, l autre peut s orienter vers un petit logement, voire un logement de taille intermédiaire pour recevoir les enfants en garde alternée par exemple. Au contraire, si une part des plus âgés souhaitent changer de logement pour se rapprocher des centres-villes ou acquérir un appartement plus en adéquation avec leur situation, la plupart restent dans leur logement. Cependant, même en tenant compte de ce maintien dans la maison familiale pour les veufs(ves), les personnes seules s orientent nettement plus souvent que les autres ménages vers le collectif : 43 %, contre 16 %, et jusqu à près de 5 dans le Calvados (autour de dans la Manche et dans l Orne). Ces proportions, élevées au regard du reste de la population, restent néanmoins en retrait de ce qu on observe au niveau national (plus de 61 %). La moins forte densité des logements en Basse-Normandie, associée à une plus large part de personnes seules âgées explique en partie cet écart avec les autres régions. Avant Ménages d une personne Autres ménages Après 2000 L offre de logements dans le Calvados, en particulier de logements collectifs, permet sans doute de mieux répondre aux besoins des personnes seules. Mais la structure des ménages d une personne dans le Calvados permet également de mieux comprendre leur choix plus fréquent pour le collectif. En effet, les étudiants, les actifs qui viennent s installer à Caen ou les retraités attirés par les zones denses de la Côte Fleurie sont sans doute plus enclins à s orienter vers des appartements que les personnes seules de la Manche et de l Orne, plus âgées, demeurant plus souvent dans un logement familial qu ils occupent depuis longtemps. 4 DREAL de Basse-Normandie - Mission SOCRATE (Stratégie de l Observation et de la Connaissance Régionales pour l Aménagement des TErritoires)

5 Les logements bas-normands sont structurellement plus anciens que dans l Hexagone. Les personnes seules occupent des logements encore plus anciens que les autres ménages, les plus gros écarts portant sur ceux construits entre 1949 et 1967, et dans une moindre mesure 1968 à 1974 et avant Ces écarts sont symptomatiques des situations de la Manche et de l Orne d une part, où les personnes seules, plus âgées, vivent dans des logements très anciens. Ils traduisent d autre part la particularité du Calvados, où les personnes seules habitent le plus souvent des maisons construites au cours des 30 glorieuses (33 %, contre environ 18 % dans la Manche et dans l Orne), période durant laquelle les volumes de la reconstruction et le dynamisme économique et démographique ont été plus importants dans ce département. L ancienneté des bâtiments où vivent les personnes seules correspond donc à la fois à la structure du parc local et à l âge des occupants, mais peut également révéler une manière pour les plus jeunes d accéder à des logements aux loyers plus abordables, mais plus anciens et moins confortables. Les revenus des personnes seules, moins élevés que ceux des autres ménages, conditionnent donc également leur choix en matière de logement. Des personnes seules plus souvent locataires, plus mobiles et plus fragiles financièrement Bien que le taux de propriétaires augmente avec l âge, les personnes seules, pourtant plus âgées en moyenne, sont moins souvent propriétaires que les autres : moins de la moitié, contre deux sur trois parmi les ménages de 2 personnes et plus. Les personnes seules sont donc plus souvent locataires dans le secteur public et encore plus souvent dans le parc privé (29 % contre 16 % chez les autres ménages). La part de ceux qui habitent un logement social reste à peu près stable selon l âge des occupants, avec une légère sur-représentation chez les ans. La part du locatif privé en revanche diminue à mesure de l avancée dans la vie et de l accès à la propriété : elle atteint 8 chez les moins de 25 ans, demeure encore à près de 6 entre 25 et 39 ans, pour se limiter à environ à partir de 60 ans. Statut d occupation des logements Personnes seules 3 % 48 % On retrouve là les caractéristiques des parcours résidentiels, avec un recours au locatif privé plus marqué chez les personnes seules, plus mobiles que les autres ménages. Ainsi, des personnes seules occupent leur logement depuis moins d un an, un tiers depuis moins de 3 ans (contre respectivement 11 % et 27 % chez les autres ménages). La rotation et la mobilité géographique sont en effet plus fréquentes chez les jeunes célibataires, les nouveaux divorcés peuvent également changer de logement avant de se stabiliser et la mobilité des séniors s opère souvent au moment du veuvage. Les personnes seules disposent également de revenus mois élevés que ceux des autres ménages. Pour comparer leur niveau de vie avec celui des membres des autres ménages, on s intéresse au revenu brut 3 par unité de consommation, qui tient compte de la composition du foyer en incluant dans les calculs les économies d échelle (voir définition). 29 % Autres ménages 3 % 14 % 16 % Ainsi, 28 % des personnes seules gagnent moins de brut par an, soit moins de 735 par mois. Elles sont encore plus de la moitié à gagner moins de brut par mois, contre 39 % pour les ménages de 2, 3 ou 4 personnes. Seules les familles nombreuses d au moins 5 personnes affichent des revenus par unité de consommation inférieurs. Propriétaire occupant Locatif privé Locatif HLM SEM Autre 67 % 3- Revenus bruts : revenu imposable avant abattement, hors aides sociales. DREAL de Basse-Normandie - Mission SOCRATE (Stratégie de l Observation et de la Connaissance Régionales pour l Aménagement des TErritoires) 5

6 Statut d occupation des logements par les ménages d une personne selon l âge < 25 ans 25 à 39 ans 40 à 59 ans 60 à 74 ans 75 ans ou + Propriétaire occupant Locatif privé Locatif HLM SEM Autre Durée d occupation des logements par les ménages d une personne selon l âge < 1 an 1 à 2 ans Moins de 25 ans 2 à 3 ans 3 à 4 ans De 40 à 59 ans 4 à 10 ans 10 ans ou < 1 an 1 à 2 ans de 25 à 39 ans 2 à 3 ans 3 à 4 ans 60 ans et plus 4 à ans ans ou + Connaissant le poids des dépenses de logement dans le budget des ménages, assez incompressibles pour les petits logements, on peut émettre l hypothèse que ces moindres revenus expliquent aussi la plus forte part d occupants de logements HLM et le recours au locatif privé ancien pour les personnes seules. Les revenus des bas-normands se situant sous la moyenne nationale, ceux des personnes seules affichent des caractéristiques analogues. Si la proportion de très bas revenus est similaire (moins de gagnent moins de brut par an), la moitié des personnes seules ont des revenus intermédiaires (entre et /an) en Basse-Normandie, contre 42 % dans l Hexagone. Au contraire, elles sont seulement au-delà de /an, contre 38 % au niveau national. Parmi les plus modestes, on retrouve une forte proportion de jeunes qui, avec moins de par an pour 4 d entre eux, et même s ils sont parfois aidés par leurs parents, peuvent se trouver confrontés à des difficultés de logement plus prégnantes que leurs aînés. < 1 an 1 à 2 à 3 à 4 à ans < 1 an 1 à 2 à 3 à 4 à ans 2 ans 3 ans 4 ans ans ou + 2 ans 3 ans 4 ans ans ou + Revenu annuel brut par unité de consommation (*) selon la taille des ménages 1 personne 2 personnes 4 4 < (**) à à à et + < (**) à à à et + 3 ou 4 personnes 5 personnes et plus 4 4 < 8800 (**) à à à et + < 8800 (**) à à à et + (*) Voir définitions (**) Quintiles nationaux, en, arrondis pour une facilité de lecture 6 DREAL de Basse-Normandie - Mission SOCRATE (Stratégie de l Observation et de la Connaissance Régionales pour l Aménagement des TErritoires)

7 Définitions et sources Les données utilisées dans cette étude sont issues du fichier des logements à la commune (Filocom). Il s agit de données originaires de 4 fichiers gérés par la Direction générale des finances publiques (DGFiP) : la taxe d habitation, la taxe foncière (propriétés bâties), les propriétaires et l impôt sur le revenu des personnes physiques. Le fichier, fourni tous les deux ans au ministère en charge du logement, contient des informations décrivant au 1 er janvier les logements et leurs occupants. Ménages Les concepts et les modes de collecte diffèrent de ceux en usage pour le Recensement de la population ou l Enquête nationale logement conduits par l Insee, ce qui peut expliquer quelques écarts entre les sources. C est le cas pour les ménages : pour l Insee, un ménage désigne l ensemble des occupants d un même logement, alors que dans Filocom il s agit de ménages fiscaux, autrement dit, de personnes rattachées à une même déclaration d imposition (des étudiants par exemple, peuvent être déclarés dans le foyer fiscal de leurs parents alors qu ils vivent dans un logement différent). Le fichier contient donc des résidences principales (comptabilisées via la taxe d habitation) dont l occupant (comptabilisé par l impôt sur le revenu) est rattaché à un autre logement. Par conséquent : y le nombre de ménages est inférieur au nombre de résidences principales ; y la taille des ménages est sur-estimée par les rattachés fiscaux ; y le nombre de ménages d une personne est sous-estimé ; y le nombre de ménages de moins de 25 ans est sous-estimé (effet «étudiants»). En Basse-Normandie, on comptabilise environ logements dont les occupants sont rattachés à un autre foyer fiscal, soit 2 à 2, des résidences principales selon les années. Compte tenu de la part importante de jeunes étudiants parmi eux, plus de la moitié se trouvent dans la Communauté d agglomération de Caen la mer, où cette proportion atteint ainsi 6 à 7 % et jusqu à 10 à 12 % dans la commune de Caen elle-même. Revenus par unité de consommation Il s agit des revenus imposables bruts (c est-à-dire avant abattement) de tous les occupants du logement et de ceux rattachés à la déclaration de revenus. Ils comprennent donc les salaires ainsi que les autres revenus imposables de l ensemble des membres du ménage fiscal, hors aides sociales (non imposables). Les unités de consommation des ménages (UCM) de l Insee fournissent une mesure du niveau de revenu en tenant compte de la taille des ménages, selon la formule suivante : UCM = 1 + 0,5(Na - 1) + 0,3 Ne + 0,2 (famille monoparentale) (avec Na le nombre d adultes ou d enfants de plus de quatorze ans et Ne le nombre d enfants de quatorze ans et moins) Cette information est fournie par quintiles, calculés selon la distribution des revenus UCM nationaux : ils partagent la distribution en cinq parties égales (le premier quintile est le revenu au-dessous duquel se situent des ménages, le second, 4 des ménages, etc). DREAL de Basse-Normandie - Mission SOCRATE (Stratégie de l Observation et de la Connaissance Régionales pour l Aménagement des TErritoires) 7

8 Pour en savoir plus DREAL de Basse-Normandie Rubrique Habitat logement/observatoire de l habitat et du logement/parutions antérieures et données/publications et cartes/premiers résultats : y «Les conditions d occupation des logements» y «La structure du parc de logements» Rubrique Habitat logement/etudes et publications : y «Les marchés locaux de l habitat» - décembre 2012 Ministère de l Écologie, du Développement durable et de l Énergie Observation et statistiques Thème Logement-Construction/Ménages et logements Données en ligne : rubrique Données en ligne/logement-construction DREAL Pays-de-la-Loire Rubrique Logement et construction/marchés du logement/etudes : y «Projection de ménages en Pays de la Loire : nouveaux ménages à loger chaque année d ici 2040» - septembre 2012 Insee Rubrique Publications et services/collections nationales/insee Première : y N 1410 «Dix ans de recensement de la population de plus en plus de petits ménages dans les régions» août 2012 y N 1435 «Le couple dans tous ses états Non-cohabitation, conjoints de même sexe, Pacs» - février 2013 Insee de Basse-Normandie Rubrique Les publications/cent pour cent : y N 176 «Enquêtes annuelles de recensement 2004 à 2007 : bas-normands vivent seuls» - janvier 2008 Directrice de publication : Caroline Guillaume Rédaction : Yves Ozenne, Jean-Pierre Belvezet Création graphique : Séverine Bernard Cartographie : Jean-Pierre Belvezet Date de parution : Février 2014 Direction régionale de l Environnement, de l Aménagement et du Logement de Basse-Normandie 10 boulevard du général Vanier CS Caen cedex Tél Fax