En collaboration avec
|
|
- Mireille Desjardins
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 En collaboration avec
2 Etude 2015 Working Capital Management 2 Introduction p. 3 Résumé p. 4 Entreprises aux bonnes pratiques p. 6 Working Capital Management: les domaines de performance Indicateurs WCM p. 8 Stratégie et organisation WCM p. 14 Bonnes pratiques p. 21 Cycle order-to-cash (O2C) p. 22 Tableau de bord p. 23 Mise en œuvre p. 26 Bonnes pratiques p. 29 Cycle forecast-to-fulfill (F2F) p. 32 Tableau de bord p. 33 Mise en œuvre p. 36 Bonnes pratiques p. 39 Cycle purchase-to-pay (P2P) p. 42 Tableau de bord p. 43 Mise en œuvre p. 46 Bonnes pratiques p. 49 Cycle credit-to-interest (C2I) p. 52 Tableau de bord p. 53 Mise en œuvre p. 56 Bonnes pratiques p. 59 Informations complémentaires Notions et explications importantes p. 63 Etude: démarche et contexte p. 66 La notion de bonnes pratiques p. 68 Liens et lectures recommandées p. 69 Les termes techniques sont indiqués par des chiffres en exposant et sont expliqués dans l annexe à partir de la p. 63.
3 Etude 2015 Working Capital Management 3 Le Working Capital Management (WCM) est important, et il ne s applique pas uniquement en période de franc fort et aux grands groupes. Le WCM concerne chaque entreprise: c est ce qui ressort de la présente étude sur le WCM en Suisse. Les chercheuses et chercheurs du Supply Chain Finance-Lab de la Poste et de PostFinance à l Université de St-Gall ont ajouté des indicateurs qualitatifs aux indicateurs quantitatifs tels que le cycle cash-to-cash ou les coûts complets du WCM. Ils ont examiné l ancrage stratégique et organisationnel du WCM ainsi que les quatre champs d action order-to-cash, forecast-to-fulfill, purchase-to-pay et credit-to-interest du point de vue de leur caractère approprié en tant que bonnes pratiques. La suite de l étude menée pour la première fois en 2014 dresse un état des lieux du WCM tel qu il se présente aujourd hui. Il est possible de télécharger l analyse scientifique et une interprétation complètes des résultats de l enquête auprès du Supply Chain Finance-Lab (scf-lab.logistik.unisg.ch).
4 Etude 2015 Working Capital Management 4 Résumé Ce que montrent les chiffres et les indicateurs... En 2014, les entreprises affichent un cycle cash-to-cash moyen de 83 jours. Si ce dernier a baissé de 4% depuis 2009, il dure encore presque 10 jours de plus que dans la zone euro. Le principal vecteur de la durée d immobilisation du capital est le délai de règlement de 67 jours, suivi par les stocks, à 48 jours. Le délai de paiement créancier est très faible en comparaison européenne, ce qui explique la valeur nettement plus élevée du cycle cashto-cash. En particulier, les entreprises industrielles et commerciales sont confrontées à des coûts élevés au niveau de la gestion de l actif circulant net. La part représente en moyenne 3% du chiffre d affaires. Virtual Star *I/C = industrie et commerce **Prest./CDP = prestataires de services et collectivités de droit public Valeur moyenne I/C*
5 Etude 2015 Working Capital Management 5 Résumé... et stade d avancement des entreprises suisses dans la mise en place 100% 75% 50% Degré de maturité Indicateurs WCM en pour cent Stratégie et organisation du WCM en pour cent Cycle orderto-cash en pour cent L étude le montre clairement: les entreprises suisses ont encore un potentiel d amélioration considérable dans tous les domaines de performance, indépendamment du groupe de branches et de la taille de l entreprise. La pression sur les entreprises est particulièrement forte au niveau de l ancrage stratégique et organisationnel du WCM. Les entreprises y accordent une grande importance mais le degré de maturité n est pas particulièrement prononcé. 25% 0% Cycle forecast-to-fulfill en pour cent Cycle purchase-to-pay en pour cent Cycle creditto-interest en pour cent 100% % 50% 25% 0% Valeur moyenne prest./cdp**
6 Etude 2015 Working Capital Management 6 Résumé Bonnes pratiques: comment les meilleures entreprises abordent le WCM Les données de l étude soulignent ce qui caractérise aujourd'hui une entreprise suisse aux bonnes pratiques. Même les entreprises exemplaires de l étude affichent toutefois un potentiel d amélioration concernant leur WCM. Stratégie et organisation du WCM Gestion des liquidités Cycle credit-to-interest Page 52 Mise en œuvre du WCM Gestion des créanciers Cycle purchase-to-pay Page 42 Gestion des débiteurs Cycle order-to-cash Page 22 Gestion des stocks et des transports Cycle forecast-to-fulfill Page 32 Indicateurs WCM
7 Etude 2015 Working Capital Management 7 Résumé Professionnalisation Intégration Interne: Des objectifs équilibrés ainsi qu un ancrage stratégique et organisationnel sont les garants de la collaboration entre toutes les fonctions dans le WCM. Externe: Les clients et les fournisseurs sont impliqués dans le WCM, ce qui permet de réaliser des potentiels supplémentaires. Motivation Savoir-faire: Les connaissances spécifiques au WCM (méthodes, processus) sont entretenues au sein de l entreprise, les collaborateurs suivent des formations ainsi qu une formation continue. Système d incitation: Un système d incitation axé sur les résultats aide à atteindre les objectifs du WCM. Priorité: Les objectifs du WCM sont durables et le restent même après les premiers succès. Contrôle: Les secteurs partiels du WCM se caractérisent par une transparence concernant tous les processus. Maturité: Les processus WCM affichent un degré de maturité élevé, tous domaines de performance confondus. Innovation Développement: Des approches innovantes de l amélioration des prestations sont identifiées et appliquées de manière cohérente. Le WCM fait l objet d un développement continu. Technique: Le progrès technologique est renforcé (p. ex. matériaux, technologies de l information, etc.) et appliqué au WCM, notamment afin d obtenir des avantages concurrentiels.
8 Etude 2015 Working Capital Management 8 Indicateurs INTRODUCTION WCM Les indicateurs WCM Le cycle cash-to-cash (C2C)1 est un indicateur important pour évaluer le niveau de performance du WCM au sein des entreprises et des branches. Il enregistre la durée d immobilisation du capital au sein de l entreprise à savoir le cycle entre le paiement aux fournisseurs et les versements des clients. Les jours servent de base de mesure. En bref: plus le C2C est court, mieux c est pour l entreprise. Le cycle cash-to-cash est composé de la durée de règlement et de la couverture du stock après déduction du délai de paiement créancier. Indicateurs WCM
9 Etude 2015 Working Capital Management 9 Indicateurs WCM C2C = DSO + DIH DPO DSO: durée de règlement («Days Sales Outstanding») = DIH: couverture du stock («Days Inventory Held») = DPO: délai de paiement créancier = («Days Payable Outstanding») créances résultant de livraisons et prestations (chiffres d affaires / 365) stocks (coûts de production / 365) dettes à court terme (coûts de production / 365) Les entreprises appliquent différentes procédures de calcul des coûts. Pour cette raison, cette étude utilise non pas les coûts de production, mais les chiffres d affaires pour calculer le DIH et le DPO. Cela permet d effectuer une comparaison externe, mais réduit la précision. D autres indicateurs permettent une approche différenciée des différents éléments du cycle cash-to-cash. Dans le cadre de la présente étude, ils sont analysés au début des quatre domaines de performance: cycle credit-to-interest, cycle purchase-to-pay, cycle order-to-cash et cycle forecast-to-fulfill. «La participation à l étude a valu la peine pour nous. Rien qu en remplissant le questionnaire, on a obtenu des indices sur des domaines du WCM qu on ignorait jusqu à présent.» Simon Berger, Energie Wasser Berne, lauréat du Swiss WCM Award 2014
10 Etude 2015 Working Capital Management 10 Indicateurs WCM Amélioration: la Suisse en comparaison avec la zone euro Depuis 2009, le C2C des entreprises suisses s est amélioré de 4% pour s inscrire à 83 jours. Ici, la zone euro 2 est toujours en tête: sur la même période, son C2C a baissé de 7% pour s établir à 74 jours. Toutefois, les données indiquent une stabilisation, voire une légère hausse au cours des trois dernières années pour la Suisse. Cela reflète la portée du Working Capital Management face à la crise économique. Avec une embellie de la situation et un niveau de taux bas, les entreprises acceptent une immobilisation du capital plus élevée. Et ce, sûrement pour être parées pour des temps plus difficiles. Cycle cash-to-cash Suisse par rapport à la zone euro ( ) en jours Suisse Zone euro
11 Etude 2015 Working Capital Management 11 Indicateurs WCM Besoin d intervention au niveau des stocks et des créanciers Objectif: maintenir Les entreprises suisses affichent un délai de règlement plus court par rapport à la zone euro. Le repli depuis 2009 est sensible dans les deux zones. Days Sales Outstanding (DSO) en jours jours 15 jours Objectif: réduire Les entreprises suisses affichent une hausse de la couverture des stocks par rapport à la zone euro. La progression est inverse: les pays de la zone euro parviennent à réduire leur temps de rotation Days Inventory Held (DIH) en jours jours 0 jour Objectif: étendre Les entreprises suisses paient leurs fournisseurs nettement plus tôt que dans la zone euro, renonçant ainsi à une possibilité de crédit. Les pays de la zone euro atteignent des valeurs nettement meilleures au niveau du délai de paiement créancier Days Payable Outstanding (DPO) en jours jours 21 jours
12 Etude 2015 Working Capital Management 12 Indicateurs WCM Potentiel d amélioration dans toutes les branches Dans plusieurs domaines, on observe un potentiel d amélioration dans toutes les branches 3. Ainsi, le cycle C2C des branches de la chimie, de l électrotechnique et de la construction de machines dépasse les 90 jours en moyenne. A l opposé, des branches comme le commerce, les transports ainsi que l énergie et l eau s inscrivent nettement en dessous de 60 jours. Ces écarts sont imputables à la diversité des structures de processus 4. La couverture des stocks est négligeable pour les prestataires de services et les collectivités de droit public. On observe une nette différence par rapport à Virtual Star: il reste donc un important potentiel d amélioration. Cycle C2C par branches pour la Suisse en jours 200 Industrie et commerce Prestataires de services et CDP Automobile Chimie Electrotechnique Construction Commerce Biens de Construction Transports Energie Divers de machines consommation et eau Prestataires de services DPO DIH DSO C2C Base de données VS* *Valeur moyenne des trois meilleures entreprises d une branche
13 Etude 2015 Working Capital Management 13 Indicateurs WCM Le Working Capital Management en tant que vecteur de coûts Les entreprises sous-estiment souvent les coûts liés à la gestion de l actif circulant net5. Outre les coûts classiques de l immobilisation du capital, il y a les coûts des processus, notamment pour le personnel de l administration, des technolocoûts du WCM par rapport au gies de l information et pour l externalisation. chiffre d affaires Pour définir les coûts d immobilisation du capital, on multiplie l actif circulant net par les valeurs WACC6 (coûts moyens pondérés du capital). Le calcul des coûts des processus repose sur les données des entreprises dans le cadre de cette étude: les FTE de chaque cycle du WCM et la fréquence à laquelle ils s occupent des Répartition des coûts du WCM tâches partielles correspondantes. On obtient une estimation des coûts des processus en multipliant le nombre total de FTE par le taux de coûts moyen (salaire et composantes indirectes telles que les technologies de l information, les salles, les assurances). Les coûts du WCM représentent une part importante du chiffre d affaires des entreprises industrielles et commerciales. Industrie et commerce Max. ø Min. Prestataires de services et CDP 8% 3% 3% 1% 0,6% 0,2% 20% 80% 33% 67% Coûts des processus Coûts de l immobilisation du capital
14 Etude 2015 Working Capital Management 14 INTRODUCTION Stratégie et organisation du WCM Une stratégie WCM permet d obtenir une vue intégrée de tous les processus importants pour la finance tout au long de la chaîne de création de valeur. Elle doit être en harmonie avec la stratégie de l entreprise. Lors de la formulation d une stratégie WCM, il faut surmonter plusieurs obstacles. Des fonctions ayant souvent des buts contradictoires, p. ex.: du point de vue de la satisfaction de la clientèle, la distribution exige des stocks et des objectifs de paiement plus élevés. A l inverse, la logistique et les finances souhaitent une réduction des coûts de la gestion des stocks et un raccourcissement des objectifs de paiement. Stratégie et organisation du WCM
15 Etude 2015 Working Capital Management 15 Stratégie et organisation du WCM La stratégie et l organisation constituent la base du WCM. Elle le met en relation avec l orientation stratégique de l entreprise.
16 Etude 2015 Working Capital Management 16 Stratégie et organisation du WCM Objectifs Fixation de priorités indispensable Le renforcement de la capacité d autofinancement figure tout en haut de la liste des objectifs pertinents pour les entreprises. L augmentation de l EBIT et la gestion des risques de liquidités revêtent tout autant d importance. L amélioration du déroulement des processus affiche le plus faible degré de réalisation des objectifs. En règle générale, les objectifs ne sont pas aussi importants aux yeux des prestataires de services et des collectivités de droit public que pour le groupe de branches industrie et commerce. Les petites et moyennes entreprises accordent plus d importance à la couverture des risques de liquidités tandis que les grandes entreprises cherchent plutôt à améliorer le déroulement de leurs processus. Réalisation des objectifs Adéquation: élevée / élevée Inadéquation: faible / élevée élevée 1. Renforcement de la capacité d autofinancement Réduction des coûts de financement (externes) Augmentation de l EBIT 2 moyenne Importance des objectifs 4. Réduction de l endettement net 5. Gestion des risques de liquidités 8 6. Amélioration du déroulement des processus dans le WCM 7 7. Exploitation du potentiel d achat par le biais de la promotion des liquidités auprès du client Adéquation: faible / faible Inadéquation: élevée / faible faible faible moyenne élevée 8. Prévention des pénuries d approvisionnement liées au manque de liquidités du fournisseur
17 Etude 2015 Working Capital Management 17 Stratégie et organisation du WCM Obstacles Obstacles surmontables Les entreprises sont confrontées à des obstacles variés lorsqu il s agit de formuler et d appliquer une stratégie WCM. D après le sondage, ces obstacles leur semblent surmontables. Si le niveau des taux bas revêt la plus grande importance, les entreprises tablent sur un désamorçage de la situation. En revanche, elles prévoient à l avenir un soutien moindre de la direction, craignent des répercussions négatives sur la structure organisationnelle ainsi que des critiques de la part de leurs clients et fournisseurs et, partant, une perte des potentiels de production et de vente. Les entreprises s attendent d'ici 2018 à un renforcement de ce scénario aux répercussions négatives sur la chaîne logistique. Evolution prévue jusqu en 2018 Manque de soutien de la part de la direction +3,2% Résistances au sein de l entreprise 3,0% Structure organisationnelle en place +3,1% Niveau de taux bas 2,7% Pas de pénurie de liquidités 0,0% Perte de potentiels de production/de vente +4,6% Hausse des tarifs / Perte de qualité du côté de l approvisionnement +2,1% faible moyenne élevée
18 Etude 2015 Working Capital Management 18 Stratégie et organisation du WCM Nécessité d ancrer le WCM Le WCM reste encore faiblement ancré d un point de vue stratégique et organisationnel, surtout dans le domaine des services et des collectivités de droit public. Les entreprises aux bonnes pratiques (Virtual Stars) tablent sur une mise en œuvre complète dans l organisation. Stratégie et organisation Déduction de la stratégie WCM de la stratégie d entreprise Concordance avec les fonctions impliquées pour la définition de la stratégie Formulation précise et documentation des objectifs du WCM Concordance des systèmes d incitation Collaborateurs et objectifs du WCM Virtual Star Ø I/C Ø prest./cdp Organisation de programmes de formation et de formation continue à intervalles réguliers Déduction de programmes de mesures et instruments de controlling Pas En partie Largement Entièrement d accord d accord d accord d accord La stratégie WCM et les mesures incluses sont fixées en harmonie avec les partenaires externes. Fournisseurs Clients Banques Prestataires logistiques Pas d accord En partie d accord 34% 19% 31% 16% 14% 29% 17% 16% Largement d accord ou entièrement d accord 47% 53% 57% 67%
19 Etude 2015 Working Capital Management 19 Stratégie et organisation du WCM Parts d externalisation dans les domaines de services du WCM 7% Le WCM est l affaire du chef Cycle order-to-cash (débiteurs) 6% Vu l importance du WCM, les entreprises ont globalement tendance à attribuer ce thème aux cadres 46% rattachent le WCM directement au niveau du comité directeur/de la direction. Pour 33%, dirigeants. la responsabilité incombe tout de même à la direction de l unité. Au sein de l industrie et du commerce, 84% des en- treprises estiment que le WCM est l affaire du chef au nicycle forecast-to-fulfill (stocks) 4% veau suprême et au niveau suivant. La valeur, à 69%, est sensiblement plus faible pour les prestataires de services et les collectivités de droit public. Pour 13% des entreprises de ces branches, aucune responsabilité globale n est attribuée. Le WCM n est pas seulement l affaire du chef. Il est également appliqué en interne, la part d externalisation étant faible, à moins de Cycle purchase-to-pay (créanciers) 4% plus souvent les processus partiels des débiteurs (surtout la gestion des recouvrements et l encaissement) ainsi que les stocks (surtout la gestion des stocks et la gestion du transport). Cycle credit-to-interest (liquidité) 10%. L externalisation concerne le
20 Etude 2015 Working Capital Management 20 Stratégie et organisation du WCM Controlling et IT Mesure de performance et assistance IT insuffisantes Seules 30% des entreprises interrogées contrôlent régulièrement l'impact des mesures du Working Capital Management, et ce malgré leur importance élevée et le besoin d agir qui a été identifié. Les indicateurs sont définis de manière hétérogène dans presque 70% des entreprises, et non relevés de manière automatique. Tout aussi clair au niveau des transactions: 70% des entreprises n y ont pas du tout recours. Seules 35% des entreprises présentent une représentation complète des processus WCM dans l ERP du côté d IT. Pas d accord 10% En partie d accord Entièrement d accord 20% Entièrement d accord 20% 9% 4% 50% 22% 11% 28% 39% Controlling régulier dans le WCM et déduction de mesures Définition uniforme des indicateurs et relevé automatique 17% 70% Relevé des indicateurs au niveau des transactions
21 Etude 2015 Working Capital Management 21 Stratégie et organisation du WCM Bonnes pratiques Recommandations Les entreprises aux bonnes pratiques identifient leur besoin d agir dans le WCM et le considèrent comme prioritaire se fixent des objectifs WCM ambitieux en accord avec la stratégie d entreprise analysent leurs obstacles et intègrent les fonctions internes et les partenaires externes à la chaîne logistique font du WCM l affaire du chef, au moins au niveau de la direction de l unité définissent des indicateurs uniformes et les collectent de manière automatique, même au niveau des transactions. représentent intégralement les processus WCM dans leur système ERP 20% 15% 22% 43% Illustration transparente des processus WCM dans le système ERP du côté d'it
22 Etude 2015 Working Capital Management 22 INTRODUCTION Gestion des débiteurs: cycle order-to-cash (O2C) Le cycle order-to-cash comprend tous les processus de gestion, du traitement de l ordre à la réception du paiement. Les entreprises évitent les retards et les défauts de paiement au moyen d interventions à titre préventif ou réactif. Mesures à titre préventif: vérification de la solvabilité, élaboration d un contrat et facturation anticipée. Mesures à titre réactif appliquées après la facturation: traitement des paiements, gestion des recouvrements et encaissement. Ces aspects sont expliqués aux pages suivantes: - objectifs et conflits d intérêt - degré de maturité des processus - mesures - bonnes pratiques («Good Practice») Gestion des débiteurs Cycle order-to-cash
23 Etude 2015 Working Capital Management 23 Tableau de bord cycle O2C Degré de maturité dans la gestion des débiteurs Comparaison de performance Le degré de maturité sert d indice de référence pour le niveau de performance des entreprises dans la gestion des débiteurs. Souvent, elles prennent des mesures uniquement en cas de retard de paiement. En revanche, des lacunes existent dans l utilisation d instruments proactifs. On observe également une différence entre la moyenne de l indice de référence et les entreprises «Virtual Star». 69% Virtual Star 50% Ø I/C 45% Ø prest./cdp Degré de maturité du cycle order-to-cash
24 Etude 2015 Working Capital Management 24 Tableau de bord cycle O2C Objectif de paiement garanti (en jours) > 90 3% 2% 40% 55%
25 Etude 2015 Working Capital Management 25 Tableau de bord cycle O2C Comparaison d indicateurs différenciée Les indicateurs donnent un aperçu de la capacité de rendement dans la gestion des débiteurs. La plupart des entreprises doivent faire face à des retards de paiement. En général, le retard varie entre 5 et 8 jours pour un objectif de paiement moyen de 38 jours. 1% Retard de paiement moyen en jours 83% Coûts de facturation moyens 1 en CHF , ,5 2 Virtual Star Ø I/C 0 0 Part moyenne des défauts de créance Ø prest./cdp Part moyenne des paiements ponctuels
26 Etude 2015 Working Capital Management 26 Objectifs cycle O2C Dans le champ de tension entre les paiements entrants rapides et la satisfaction de la clientèle Le plus important consiste à éviter les retards et défauts de paiement, suivi de l augmentation de la satisfaction de la clientèle. Il en résulte un champ de tension: le raccourcissement du délai de paiement peut avoir un effet négatif sur la satisfaction de la clientèle. Les prestataires de services et les collectivités de droit public accordent moins d importance à l ensemble des objectifs que le groupe de branches industrie/commerce, sauf pour l accélération de la facturation. En revanche, il y a peu de différences entre les PME et les grandes entreprises. Les PME accordent plus d importance à une amélioration des liquidités auprès du client et à une amélioration de la satisfaction de la clientèle. Rien d'étonnant à cela: leur pouvoir sur le marché est souvent plus faible et elles sont nettement plus dépendantes de leurs partenaires externes. Réalisation des objectifs Inadéquation: faible / élevée Adéquation: élevée / élevée élevée 2 1. Accélération de la facturation Prévention des retards et des défauts de paiement 1 moyenne 3. Accélération des paiements entrants Importance des objectifs 4. Augmentation de la liquidité chez les clients 5. Amélioration de la satisfaction de la clientèle 4 Adéquation: faible / faible Inadéquation: élevée / faible faible faible moyenne élevée
27 Etude 2015 Working Capital Management 27 Processus cycle O2C Focalisation sur la gestion réactive des débiteurs Les entreprises interviennent en cas de retard de paiement. Leur gestion réactive des débiteurs, avec un taux de maturité de 57%, est plus ancrée que la gestion préventive (49%). Pour les prestataires de services et les collectivités de droit public, la gestion réactive des débiteurs occupe une place encore plus importante (60%) tandis que la gestion préventive affiche seulement 41%. La taille d une entreprise n a aucune influence sur la pondération des mesures. 49% Gestion préventive des débiteurs (degré de maturité) 57% Gestion réactive des débiteurs (degré de maturité) Gestion préventive des débiteurs Les contrats standard (60%) et les objectifs de paiement standardisés (75%) sont monnaie courante pour les entreprises. Cependant, on constate des lacunes dans la vérification de la solvabilité. En effet, 55% des entreprises n attribuent à leurs clients aucune valeur de risque, ou seulement des valeurs partielles. Seul un tiers vérifie ces valeurs à titre d indicateurs d alerte précoces. En résumé: ce domaine présente des points de départ importants pour une amélioration de la performance dans le Working Capital Management. Gestion réactive des débiteurs 80% des entreprises ont défini des mesures claires en cas de retards de paiement. A peine 75% engagent systématiquement un processus de recouvrement en cas de retard. Toutefois, il est rare que des prestataires externes soient impliqués.
28 Etude 2015 Working Capital Management 28 Mesures cycle O2C Facture électronique largement répandue Les entreprises utilisent différentes méthodes dans la gestion des débiteurs, mais seulement de manière rare ou ponctuelle. La facture électronique est prisée. Elle continue de gagner en importance (+7,5%). Les méthodes de financement externes comme le factoring ou la vente à forfait sont peu répandues. Le crédit documentaire et l implication de prestataires externes ne seront pas davantage encouragés à l avenir. Evolution prévue jusqu en 2018 Facture électronique +7,5% Crédit documentaire 3,5% Implication de prestataires externes 1,0% Factoring 2 0,0% Vente à forfait 3 0,0% aucune ponctuelle à l échelle de l entreprise
29 Etude 2015 Working Capital Management 29 Bonnes pratiques cycle O2C La gestion préventive des débiteurs désamorce les tensions Les entreprises aux bonnes pratiques suivent un cycle order-to-cash (gestion des débiteurs), avec une part équilibrée entre les mesures préventives et réactives. En quoi les entreprises aux bonnes pratiques se distinguent-elles? Objectifs Les objectifs de la gestion des débiteurs jouent un rôle plus important que la moyenne (18% de plus). Le champ de tension entre les différents objectifs s atténue. On observe des succès au niveau du raccourcissement des débiteurs et de l'amélioration de la satisfaction de la clientèle. +23% Accélération des paiements entrants Importance des objectifs +20% Accélération de la facturation +18% +17% Prévention des retards et des défauts de paiement en comparaison avec la moyenne +11% Prévention des retards et des défauts de paiement +8% Accélération de la facturation +7% Amélioration de la satisfaction de la clientèle +6% Degré de réalisation
30 Etude 2015 Working Capital Management 30 Bonnes pratiques cycle O2C Processus Pour les entreprises aux bonnes pratiques, le taux de maturité de la gestion préventive des débiteurs dépasse de 30% la valeur moyenne des entreprises. Il est de 12% supérieur pour la gestion réactive des débiteurs. 81% Gestion préventive des débiteurs (degré de maturité) 69% Gestion réactive des débiteurs (degré de maturité) Méthodes En comparaison avec la moyenne de l indice de référence, le factoring (affacturage) est plus souvent utilisé que la moyenne de l indice de référence. Il en ressort un potentiel d amélioration de la capacité de rendement dans la gestion des débiteurs. Le factoring permet un préfinancement externe de la facture. Il suffit de le relier à une plateforme moderne pour augmenter l efficacité de la facturation.
31 Etude 2015 Working Capital Management 31 Bonnes pratiques cycle O2C Recommandations pour la gestion des débiteurs Les entreprises aux bonnes pratiques promeuvent nettement la gestion préventive des débiteurs; ont recours au factoring avec ou sans report du risque sur le prestataire externe; améliorent la satisfaction de la clientèle tout en assurant des paiements ponctuels; appliquent régulièrement les valeurs de risque à la vérification de la solvabilité et tirent les bonnes conclusions concernant les dispositions contractuelles et les objectifs de paiement; restent vigilantes dans la gestion réactive des débiteurs.
32 Etude 2015 Working Capital Management 32 INTRODUCTION Gestion des stocks: cycle forecast-to-fulfill (F2F) Le cycle forecast-to-fulfill comprend tous les processus de gestion, de la planification du chiffre d affaires à la fourniture des prestations. Le thème principal est la gestion des stocks en interaction avec les tâches liées au transport: stratégie de stocks, gestion de la production et des stocks, planification des besoins et du volume des commandes. Il s agit d'utiliser de manière écologiqueles matières premières, accessoires, composants et autres marchandises nécessaires pour une fourniture de prestations efficace. La gestion du transport et des stocks est importante surtout dans le secteur de l industrie et du commerce. Le mode d évaluation des données est donc différent. Ces aspects sont expliqués aux pages suivantes: - objectifs et conflits d intérêt - degré de maturité des processus - mesures - bonnes pratiques Gestion du transport et des stocks Cycle forecast-to-fulfill
33 Etude 2015 Working Capital Management 33 Tableau de bord cycle F2F Champ de développement Gestion des stocks 69% Virtual Star Comparaison de performance Le degré de maturité sert d indice de référence pour le niveau de performance des entreprises dans la gestion des stocks. Les domaines partiels de la gestion des stocks affectent diverses fonctions dans l entreprise (p. ex. distribution, logistique, finances et achat). Les conflits d intérêt qui en découlent sont souvent difficiles à résoudre. Ces défis se reflètent également dans le niveau de performance actuel des entreprises. Pourtant, les entreprises Virtual Star sont la preuve qu un degré de maturité élevé est possible. 43% Ø I/C 33% Ø prest./cdp Degré de maturité du cycle forecast-to-fulfill
34 Etude 2015 Working Capital Management 34 Tableau de bord cycle F2F Exploitation des capacités des stocks Virtual Star Ø I/C Ø prest./cdp 98% 83% 71%
35 Etude 2015 Working Capital Management 35 Tableau de bord cycle F2F Comparaison d indicateurs différenciée Les indicateurs donnent un aperçu de la capacité de rendement dans la gestion des stocks. Pour la plupart des entreprises, les coûts des stocks et du transport ne représentent pas une grande part du chiffre d affaires. Le potentiel d amélioration réside dans l exploitation des capacités des stocks ainsi que dans la qualité du service du côté de l approvisionnement et de la distribution. 3% Part de livraisons ponctuelles chez le client* 99% 90% Livraisons contestées du côté de l approvisionnement* 0,1% 8% 3% Virtual Star Ø I/C Ø prest./cdp *Aucun relevé pour les prestataires de services et les collectivités de droit public Coûts du transport en % du chiffre d affaires Coûts d entreposage1 en % du chiffre d affaires
36 Etude 2015 Working Capital Management 36 Objectifs cycle F2F Conflits d intérêt entre la diminution des stocks, la réduction des coûts et la qualité du service Pour les entreprises industrielles et commerciales, la comparaison entre l importance et le degré de réalisation de l objectif présente des écarts minimes. Il peut en résulter des conflits d intérêt considérables entre la diminution des stocks (1), la réduction des coûts (2,6) et l'amélioration de la qualité du service (3,4,5). La gestion des stocks concerne surtout la branche industrie/commerce. Pour les prestataires de services et les collectivités de droit public*, une réduction des coûts des processus, une amélioration de la satisfaction de la clientèle et un renforcement de la sécurité de l approvisionnement de la part des fournisseurs sont plus importants. A titre d exemple, les hôpitaux ont besoin d un stock de médicaments et de matériel de bandage qui doit concorder avec le nombre prévu de patients. Les objectifs de réduction des coûts de transport et d'augmentation de l exploitation des capacités sont particulièrement importants pour les grandes entreprises. Par ailleurs, le degré de réalisation des objectifs de toutes les PME s aligne sur la valeur obtenue par les grandes entreprises. Réalisation des objectifs Inadéquation: faible / élevée Adéquation: élevée / élevée élevée 1. Diminution des stocks 2. Augmentation de l exploitation des capacités dans la production Augmentation de la sécurité de l approvisionnement (du côté des fournisseurs) moyenne 4. Grande diversité des pièces/de l assortiment 5. Amélioration du niveau de service (du côté du client) Importance des objectifs 6. Réduction des coûts de transport Adéquation: faible / faible Inadéquation: élevée / faible faible faible moyenne élevée *Objectifs adaptés aux prestataires de services et aux collectivités publiques
37 Etude 2015 Working Capital Management 37 Processus cycle F2F Progrès grâce à la transparence en matière de stocks et de gestion des processus En moyenne, les entreprises affichent un degré de maturité inférieur à 50% dans tous les processus partiels. Il est le plus élevé dans l industrie et le commerce sur le plan de la transparence relative aux stocks et aux coûts des processus (45%) ainsi que de la gestion des processus (46%). Les prestataires de services et les collectivités de droit public accordent nettement moins d importance aux objectifs liés à la gestion des stocks. A cet égard, leur stratégie affiche un taux de maturité de seulement 27%. L'accent est mis sur la transparence et l efficacité des processus. 41% 45% 42% 46% Stratégie des stocks* (degré de maturité) Transparence* (degré de maturité) Efficacité des processus* (degré de maturité) Gestion des processus* (degré de maturité) Stratégie relative aux stocks Seulement 44% des entreprises fixent le nombre de sites d entreposage compte tenu des coûts de distribution et d approvisionnement. 45% délocalisent au moins une partie des processus soutenus. 75% définissent leur niveau de disponibilité sans tenir compte des coûts de stockage et de quantités manquantes. Transparence Plus de 80% des entreprises ont accès à leurs stocks, tous sites confondus, et ont ainsi une transparence partielle de leurs propres coûts de processus. Au moins autant d entreprises n ont aucun aperçu, ou un aperçu très limité des stocks de leurs clients et fournisseurs. Efficacité et gestion des processus Plus de la moitié des entreprises examinent régulièrement leurs stocks pour voir s il y a des possibilités de réduction. On observe souvent une logistique de stockage inefficace (70%). *Pour les entreprises industrielles et commerciales
38 Etude 2015 Working Capital Management 38 Mesures cycle F2F La numérisation gagne également du terrain dans la gestion des stocks Cela concerne principalement la méthode de logistique just-intime/just-in-sequence (livraison triée en fonction du temps ou du déroulement de la production). Des méthodes de numérisation telles que Efficient Customer Response (optimisation de la chaîne d approvisionnement) ainsi que les systèmes de suivi (tracking) gagnent en importance. Les entreprises tablent toujours plus sur le cross docking (passage à quai), soit la livraison des marchandises préconditionnées (+4,5%). En revanche, la gestion partagée des approvisionnements n est utilisée que ponctuellement. Les prestataires de services et les collectivités de droit public utilisent la plupart du temps la pratique Efficient Customer Response et de plus en plus la restructuration des processus commerciaux pour améliorer le déroulement de leurs processus. Evolution prévue jusqu en 2018 Just-in-time/Just-in-sequence 2 1% Efficient Customer Response +5% Systèmes de tracking/tracing (suivi et traçabilité) +2,5% Stocks gérés par les fournisseurs 3 3% Postponement 4 (politique d ajournement délibéré des opérations de transformation finale) Externalisation de la gestion de la flotte +0,5% +1,5% Cross docking 5 +4,5% Financement des stocks externe 6 1% aucune ponctuelle à l échelle de l entreprise
39 Etude 2015 Working Capital Management 39 Bonnes pratiques cycle F2F Maturité élevée dans la stratégie des stocks, transparence et efficacité des processus Les entreprises aux bonnes pratiques suivent un cycle forecast-to-fulfill (gestion des stocks) assorti de stocks et de coûts plus bas ainsi qu une meilleure qualité de service. En quoi les entreprises aux bonnes pratiques se distinguent-elles? +43% Augmentation de l exploitation des capacités +42% Importance des objectifs Réduction des coûts de transport +34% Objectifs Les objectifs de la gestion des stocks ont une importance plus grande que dans la moyenne des entreprises, à raison de 20%. Les entreprises aux bonnes pratiques accordent une importance particulière à l'augmentation de l exploitation des capacités et à la réduction des coûts de transport. Elles s en sortent nettement mieux que la moyenne à cet égard ainsi que dans l'amélioration du niveau de service. Augmentation de la sécurité de l approvisionnement (du côté des fournisseurs) +20% en comparaison avec la moyenne +17% Réduction des coûts de transport +8% Amélioration du niveau de service (du côté du client) +7% Augmentation de la sécurité de l approvisionnement (du côté des fournisseurs) +6% Degré de réalisation
40 Etude 2015 Working Capital Management 40 Bonnes pratiques cycle F2F 89% 69% 70% 44% Stratégie des stocks (degré de maturité) Transparence (degré de maturité) Efficacité des processus (degré de maturité) Gestion des processus (degré de maturité) Processus La différence par rapport à la moyenne est particulièrement marquée dans la stratégie des stocks (+50%) et l efficacité des processus (+30%). En outre, les entreprises aux bonnes pratiques affichent une transparence accrue au niveau de leurs stocks et des coûts des processus le long de la chaîne de logistique (+24%). Aucune différence en matière de gestion des processus. A cet égard aussi, les entreprises aux bonnes pratiques doivent intervenir. Méthodes Le cross docking est nettement plus souvent appliqué par les entreprises aux bonnes pratiques. Cela permet de renforcer nettement la réduction des stocks, non seulement du côté de l approvisionnement (just-intime/just-in-sequence), mais aussi du côté de la distribution.
41 Etude 2015 Working Capital Management 41 Bonnes pratiques cycle F2F Recommandations pour la gestion des transports et des stocks Les entreprises aux bonnes pratiques formulent une stratégie de gestion des stocks qui intègre l ensemble de la chaîne de logistique; promeuvent la numérisation de leur chaîne de création de valeur et ne reculent pas non plus devant la gestion des stocks; améliorent la qualité de service tout en réduisant les coûts de stockage et de transport; utilisent davantage le potentiel de leurs partenaires de logistique avec le cross docking et/ou les méthodes de just-in-time/just-in-sequence
42 Etude 2015 Working Capital Management 42 INTRODUCTION Gestion des créanciers: cycle purchase-to-pay (P2P) Le cycle purchase-to-pay (P2P) comprend tous les processus de gestion, de la planification des besoins au règlement en passant par la commande auprès des fournisseurs. La gestion des créanciers représente l interface avec les fournisseurs, elle comprend la stratégie et la gestion en matière de fournisseurs, la gestion des négociations et des commandes, la gestion des paiements ainsi que l assurance qualité. Ces aspects sont expliqués aux pages suivantes: - objectifs et conflits d intérêt - degré de maturité des processus - mesures - bonnes pratiques Gestion des créanciers Cycle purchase-to-pay
43 Etude 2015 Working Capital Management 43 Tableau de bord cycle P2P Pleins feux sur la gestion des créanciers 75% Virtual Star Comparaison de performance Le degré de maturité sert d indice de référence pour le niveau de performance des entreprises dans la gestion des créanciers. Souvent, les entreprises bénéficient d une gestion opérationnelle dans ce domaine et donnent priorité à la réduction des coûts. Cela se manifeste également dans une orientation du système d incitations vers les économies réalisées. Résultat: d autres objectifs tels qu innovation, qualité et capitaux engagés sont négligés. Les entreprises Virtual Star associent ces objectifs et atteignent un degré de maturité élevé. 48% Ø I/C 39% Ø prest./cdp Degré de maturité du cycle purchase-to-pay
44 Etude 2015 Working Capital Management 44 Tableau de bord cycle P2P Objectif de paiement atteint en jours > 90 6% 2% 43% 49%
45 Etude 2015 Working Capital Management 45 Tableau de bord cycle P2P Comparaison d indicateurs différenciée L objectif moyen de 34 jours est relativement court en comparaison internationale. En même temps, il est rare que le paiement intervienne trop tôt, et si c est le cas, seulement deux ou trois jours. Les fournisseurs se caractérisent par une flexibilité moyenne à élevée. Ils peuvent réagir à des fluctuations de la demande à court terme. Paiements en avance en jours 4 7% Part d'engagements payés trop tôt 0 2,5 2, Virtual Star Ø I/C 0 Ø prest./cdp Flexibilité de livraison des fournisseurs 6% 10% faible moyenne 42% 42% élevée très élevée 61% Part d utilisation de l escompte1
46 Etude 2015 Working Capital Management 46 Objectifs cycle P2P Objectifs d achat non atteints au niveau de l interface La plus grande importance est accordée à la réduction des prix d achat. Viennent ensuite les objectifs axés sur le service et la qualité. Les entreprises mettent l'accent sur les économies de coûts. Pourtant, les besoins d intervention augmentent au niveau des objectifs liés au service, à la qualité et aux innovations. Les objectifs liés à l'immobilisation du capital (5e objectif) sont relégués au second plan. Pour les prestataires de services et les collectivités de droit public, tous les objectifs affichent une importance moindre. La réduction des livraisons contestées (-18%) et la prolongation des objectifs de paiement (-16%) sont nettement moins importantes que dans le groupe de branches industrie/commerce. Réalisation des objectifs Inadéquation: faible / élevée Adéquation: élevée / élevée élevée 1. Diminution des prix d achat 1 2. Augmentation de la sécurité de l approvisionnement Réduction des livraisons contestées (amélioration de la qualité) 6 4. Accès aux innovations moyenne Importance des objectifs 5 5. Prolongation des objectifs de paiement 6. Hausse de la part d utilisation de l escompte 7. Soutien financier des fournisseurs pour minimiser le risque 7 Adéquation: faible / faible Inadéquation: élevée / faible faible faible moyenne élevée
47 Etude 2015 Working Capital Management 47 Processus cycle P2P Seule la gestion des paiements est appropriée Les entreprises affichent un degré de maturité très variable pour toutes les étapes du processus. Les aspects opérationnels sont en partie très avancés, tandis que la stratégie et la gestion en matière de fournisseurs affichent un degré de maturité inférieur à 40%. Les prestataires de services et les collectivités de droit public affichent même des valeurs plus faibles. Avec une exception: ils dépassent légèrement la valeur totale des deux groupes de branches (degré de maturité 67%) dans la gestion des paiements. 49% 65% 39% 53% Stratégie et gestion en matièrede fournisseurs (degré de maturité) Gestion des négociations et des commandes (degré de maturité) Assurance qualité (degré de maturité) Gestion des paiements (degré de maturité) Stratégie et gestion en matière de fournisseurs La moitié des entreprises choisissent leurs fournisseurs sur la base d une stratégie de sourcing (source d approvisionnement) et procèdent régulièrement à leur évaluation. D ailleurs, 85% des entreprises n ont mis en œuvre aucun véritable plan de développement des fournisseurs. Gestion des négociations et des commandes Les entreprises tablent de plus en plus sur la normalisation. 50% des entreprises effectuent l achat et la gestion des contrats selon des processus d approvisionnement normalisés. La gestion des commandes est plus avan- cée. Pour plus de 60% des entreprises, le besoin est transmis de manière groupée afin d éviter des redondances et des coûts inutiles. Assurance qualité et gestion des paiements Presque 70% des entreprises travaillent en étroite collaboration avec leurs fournisseurs afin de détecter les sources d erreur et de les supprimer suffisamment tôt. Par ailleurs, les audits qualité sont appliqués seulement par 40% des entreprises à l interface avec les fournisseurs. Au contraire, la gestion des paiements est à un stade avancé. Ainsi, 80% des entreprises ont établi des processus normalisés pour éviter des livraisons en avance ou en retard.
48 Etude 2015 Working Capital Management 48 Mesures cycle P2P Les applications e-business ont le vent en poupe dans le domaine des créanciers Des méthodes variées sont appliquées dans le cycle P2P, et ne cessent de gagner du terrain. Cela concerne en particulier les méthodes de numérisation telles que l échange de données informatisées (EDI) (+7%) et l e-procurement (gestion électronique des approvisionnements) (+6%). Si la gestion des risques se voit accorder une très grande importance, elle risque de perdre des points. La classification des stocks selon la méthode ABC/XYZ a encore le vent en poupe. Evolution prévue jusqu en 2018 Analyse ABC / XYZ 2* +0,5% Gestion des risques 2% Coopération en matière d achats 3 +1,5% Echange de données informatisées +7% E-procurement +6% Dynamic discounting 4 +2% Prêts aux fournisseurs +1% Reverse factoring 5 +1% aucune ponctuelle à l échelle de l entreprise *Méthode réservée aux entreprises industrielles et commerciales
49 Etude 2015 Working Capital Management 49 Bonnes pratiques cycle P2P Les objectifs d immobilisation du capital occupent une place importante Les entreprises aux bonnes pratiques suivent un cycle purchase-to-pay (gestion des créanciers) moyennant des coûts plus faibles, une amélioration de la qualité de service et l accès aux innovations. En quoi les entreprises aux bonnes pratiques se distinguent-elles? +24% Prolongation des objectifs de paiement +18% Importance des objectifs Hausse de la part d utilisation de l escompte +16% Objectifs Les objectifs de la gestion des créanciers revêtent plus d importance (11%) que la moyenne. La différence est particulièrement marquée concernant la prolongation des objectifs de paiement: cela implique une attention accrue en faveur des objectifs liés à l immobilisation du capital. Le degré de réalisation des objectifs est supérieur de 2% seulement. La différence par rapport à la moyenne des entreprises est la plus importante au niveau des objectifs liés à l'amélioration de la qualité et à la prolongation des objectifs de paiement. Réduction des livraisons contestées (amélioration de la qualité) +11% en comparaison avec la moyenne +6% Réduction des livraisons contestées (amélioration de la qualité) +5% Prolongation des objectifs de paiement +3% Augmentation de la sécurité des approvisionnements +2% Degré de réalisation
50 Etude 2015 Working Capital Management 50 Bonnes pratiques cycle P2P Processus A presque 100%, le degré de maturité de la gestion des paiements dépasse largement la moyenne. De plus, on observe un écart de 25% pour la stratégie en matière de fournisseurs et la gestion des fournisseurs. Le degré de maturité s inscrit à 67% pour la gestion des négociations et des commandes, soit 18% de plus. 100% 67% 64% 78% Stratégie et gestion en matière de fournisseurs (degré de maturité) Gestion des négociations et des commandes (degré de maturité) Assurance qualité (degré de maturité) Gestion des paiements (degré de maturité) Méthode Le dynamic discounting est plus fréquemment appliqué par les entreprises aux bonnes pratiques. Elles suppriment ainsi les structures existantes au niveau de l escompte et augmentent la flexibilité liée au traitement des paiements avec les fournisseurs. La connexion avec une plateforme en ligne permet en outre d augmenter sensiblement la transparence.
51 Etude 2015 Working Capital Management 51 Bonnes pratiques cycle P2P Recommandations pour la gestion des créanciers Les entreprises aux bonnes pratiques ne se contentent pas d accorder de l importance à la baisse des coûts. Elles veillent également à la qualité du service et au pouvoir d innovation; accordent beaucoup de poids à l immobilisation du capital; améliorent leur degré de maturité sur tous les fronts de la gestion des créanciers en fonction des objectifs et des aspects stratégiques; se distinguent par la stratégie d approvisionnement qu elles appliquent et procèdent à un examen régulier de leurs fournisseurs; développent une stratégie de négociation au niveau de l approvisionnement; réalisent un audit qualité au niveau de l interface avec les fournisseurs; utilisent de nouvelles méthodes de numérisation (p. ex. dynamic discounting).
52 Etude Working Capital Management INTRODUCTION Gestion des liquidités: cycle credit-to-interest (C2I) Le cycle credit-to-interest (C2I) englobe tous les processus de gestion, de la planification des liquidités à l amortissement du crédit. Il accompagne les trois autres cycles le long de la chaîne de logistique et comprend la stratégie et les prévisions en matière de liquidités, la gestion des risques, l administration et les flux de paiement ainsi que le placement des fonds excédentaires. Ces aspects sont expliqués aux pages suivantes: - objectifs et conflits d intérêt - degré de maturité des processus - mesures - bonnes pratiques Gestion des liquidités Cycle credit-to-interest
53 Etude Working Capital Management Tableau de bord cycle C2I Sous les projecteurs: la gestion des liquidités 70% Virtual Star Comparaison de performance Le degré de maturité sert d indice de référence pour le niveau de performance des entreprises en matière de gestion des liquidités. La liquidité et la rentabilité sont les piliers des entreprises. La capacité de rendement des processus est proportionnellement élevée. En revanche, les aspects liés à la chaîne de logistique sont négligés. Les entreprises Virtual Star atteignent un degré de maturité élevé en intégrant des partenaires externes. 52% Ø I/C 41% Ø prest./cdp Degré de maturité du cycle credit-to-interest
Etude 2014 sur l évaluation de la performance dans le WCM Résumé
Etude 2014 sur l évaluation de la performance dans le WCM Résumé Introduction Centre de recherche à l Université de Saint Gall Définition Working Capital Supply Chain Finance-Lab de la Poste L étude sur
Plus en détailENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002
GT015-rev octobre 2002 ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI Enquête IPSOS Novembre 1999 Contribuer à la performance de l entreprise 153 rue de Courcelles 75817 Paris cedex 17 Tél. 01 44 15 60
Plus en détailPROCONCEPT EASY START
PROCONCEPT EASY START Découvrez les avantages d une solution logicielle Suisse, développée spécialement pour couvrir l ensemble des besoins des PME DÉVELOPPÉE PAR UNE PME POUR LES PME Avec ProConcept Easy
Plus en détailUne étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris
Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» A l'initiative de Réalisée par Pour le compte de Une étude basée sur un nombre significatif
Plus en détailSOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES
AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements
Plus en détail3 - Sélection des fournisseurs... 4. 4 Marche courante... 5. 4.1 Conditionnement Transport... 5. 4.2 Livraison... 5
1 SOMMAIRE 1 Introduction... 3 2 Principes... 3 3 - Sélection des fournisseurs... 4 4 Marche courante... 5 4.1 Conditionnement Transport... 5 4.2 Livraison... 5 4.3 - Garantie qualité / Conformité... 5
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détail3. Le pilotage par le cash
Cependant, l allocation du capital engagé ne peut pas toujours être opérée à des niveaux très fins. Il est néanmoins intéressant de tenter de le répartir sur de plus grands périmètres (diverses activités
Plus en détailInnovation en matière de logistique et de gestion de la chaîne d approvisionnement au Canada
Innovation en matière de logistique et de gestion de la chaîne d approvisionnement au Canada Contexte À mesure que la concurrence devient plus mondiale, l innovation passe du niveau entreprise-à-entreprise
Plus en détailB - La lecture du bilan
8.2 La lecture des comptes annuels B - La lecture du bilan Référence Internet Saisissez la «Référence Internet» dans le moteur de recherche du site www.editions-tissot.fr pour accéder à ce chapitre actualisé
Plus en détailRISK INDEX 2014 SUISSE
RISK INDEX SUISSE L indice de risque a été conçu par Intrum Justitia. Depuis 1998, Intrum Justitia recense les données de dizaines de milliers d entreprises européennes. Le premier rapport portant sur
Plus en détailOptimisation du besoin en fonds de roulement. Pour un équilibre des besoins fournisseur et acheteur
Optimisation du besoin en fonds de roulement Pour un équilibre des besoins fournisseur et acheteur Table des matières Avant-propos 3 Introduction 4 Tendances DU BESOIN EN fonds de roulement 5 PROBLÈMES
Plus en détailIntroduction Le phénomène que représentent les Services de Gestion des Documents Managed Document Services (MDS) Une définition du concept
Table des matières I II III IV V VI Introduction Le phénomène que représentent les Services de Gestion des Documents Managed Document Services (MDS) Une définition du concept Le marché des Services de
Plus en détailPrésentation des termes et ratios financiers utilisés
[ annexe 3 Présentation des termes et ratios financiers utilisés Nous présentons et commentons brièvement, dans cette annexe, les différents termes et ratios financiers utilisés aux chapitres 5, 6 et 7.
Plus en détailChapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1
Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une
Plus en détailL État du commerce électronique dans l industrie du sport au Canada
L État du commerce électronique dans l industrie du sport au Canada Mars 2002 icongo, Inc 740, rue St Maurice, bureau 602 Montréal, (Québec) Canada H3C 1L5 Tél. : 514-866-2664 Télécopieur : 514-866-8404
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailL externalisation des activités bancaires en France et en Europe
ÉTUDES L externalisation des activités bancaires en France et en Europe Si l externalisation des activités (outsourcing) est un phénomène courant au sein des entreprises non financières en Europe, comme
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailDélais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM
Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Septembre 2012 Table des matières : 1. Facts and figures :...2 1.1. Lien entre retards de paiement et faillites :... 2 1.2. Délais de paiement...
Plus en détailGESTION DE LA RELATION CLIENT (CRM) Etat actuel et perspectives du marché suisse en 2002
GESTION DE LA RELATION CLIENT (CRM) Etat actuel et perspectives du marché suisse en 2002 CONSULTING KPMG Consulting SA La «gestion de la relation client» (ou, en anglais, Customer Relationship Management,
Plus en détail«Le Leadership en Suisse»
«Le Leadership en Suisse» Table des matières «Le Leadership en Suisse» Une étude sur les valeurs, les devoirs et l efficacité de la direction 03 04 05 06 07 08 09 11 12 13 14 «Le Leadership en Suisse»
Plus en détailLES ENTREPRISES PROSPÈRES SE TRANSFORMENT GRÂCE À DES SOLUTIONS SAP FLEXIBLES
Briefing direction LES ENTREPRISES PROSPÈRES SE TRANSFORMENT GRÂCE À DES SOLUTIONS SAP FLEXIBLES Le Big Data, les réseaux sociaux, les applications mobiles et les réseaux mondiaux modifient de façon radicale
Plus en détailFactoring Know-how. PME Factoring SA, Industriestrasse 1, 8808 Pfäffikon SZ, Suisse, Phone +41 55 556 40 00, info@pmefactoring.ch, www.pmefactoring.
Factoring Know-how Qui est PME Factoring SA? PME Factoring SA est un prestataire professionnel dans l affacturage PME Factoring SA est un des leaders suisses dans cette branche Nous disposons d une longue
Plus en détailWHITEPAPER. Quatre indices pour identifier une intégration ERP inefficace
Quatre indices pour identifier une intégration ERP inefficace 1 Table of Contents 3 Manque de centralisation 4 Manque de données en temps réel 6 Implémentations fastidieuses et manquant de souplesse 7
Plus en détailDonnées des SIM. Données signalétiques (nom, adresse), Historique d achat, Réactions passées aux actions de promotion
Données des SIM Bases de données produits Identification, caractéristiques techniques, caractéristiques commerciales (prix, unités de vente, fournisseurs), état des stocks, ventes réalisées Bases de données
Plus en détailUne nouvelle enquête montre un lien entre l utilisation du Cloud Computing et une agilité accrue de l entreprise ainsi qu un avantage concurentiel.
un rapport des services d analyse de harvard business review L agilité de l entreprise dans le Cloud Une nouvelle enquête montre un lien entre l utilisation du Cloud Computing et une agilité accrue de
Plus en détailMaîtriser les mutations
Maîtriser les mutations Avec UNE Supply chain AGILE La réflexion porte ses fruits www.cereza.fr TALAN Group Notre savoir-faire : maîtriser les mutations et en faire une force pour l entreprise Cereza,
Plus en détailFloored Floater. Cette solution de produit lui offre les avantages suivants:
sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «Sony» sur le taux d intérêt EURIBOR EUR à trois mois avec emprunt de référence «Sony» Dans l environnement actuel caractérisé par
Plus en détailGarantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale
LIVRE BLANC Garantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale Mai 2010 Garantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale CA Service
Plus en détailEVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT INTERMEDIAIRE
OFFICE FEDERAL DES MIGRATIONS (ODM) MESURES D ENCOURAGEMENT DE L INTEGRATION PRISES PAR LA CONFEDERATION : PROGRAMME DES POINTS FORTS 2008-2011 EVALUATION DU POINT FORT 1 «LANGUE ET FORMATION» : RAPPORT
Plus en détailINFORM OBLIGATIONS DE PREMIÈRE QUALITÉ ET OBLIGATIONS À HAUT RENDEMENT: AUGMENTER LE RENDEMENT ET DIMINUER LE RISQUE GRÂCE À UNE JUSTE COMBINAISON
2 2002 INFORM INFORMATIONS FINANCIÈRES ESSENTIELLES POUR LES CAISSES DE PENSION OBLIGATIONS DE PREMIÈRE QUALITÉ ET OBLIGATIONS À HAUT RENDEMENT: AUGMENTER LE RENDEMENT ET DIMINUER LE RISQUE GRÂCE À UNE
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailSage 50 Gestion commerciale Logiciel PME performant pour une gestion commerciale efficace.
Sage 50 Gestion commerciale Logiciel PME performant pour une gestion commerciale efficace. 1 Sage50_Auftrag_Broschuere_fr.indd 1 24.09.2012 08:17:18 Comptabilité Gestion commerciale Facturation Gestion
Plus en détailZugerberg Asset Management ZAM. Gestion de fortune exclusive principalement basée sur des titres individuels. ZAM Z.
Zugerberg Asset Management ZAM. Gestion de fortune exclusive principalement basée sur des titres individuels. ZAM Z. 1 Mesdames et messieurs, Une gestion de fortune clairvoyante, réaliste et compétente
Plus en détailSommaire. Introduction Gestion des liquidités Planification financières. Rencontre de l incubateur The Ark 10.04.2008
Rencontre de l incubateur The Ark 10.04.2008 Les outils de la planification financière Sommaire Introduction Gestion des liquidités Planification financières 1 Jean-Daniel Favre Licence en sciences économiques
Plus en détailLe Concept Dynamics Nav. B.I.Conseil
Développement Croissance Développement Productivité Investissement Environnement Ouverture B.I.Conseil Nous sommes Microsoft Business Solutions Partner, ce qui nous permet de travailler en étroite collaboration
Plus en détailPostFinance: une base solide pour votre activité
PostFinance: une base solide pour votre activité Nos solutions pour les clients commerciaux Transactions en devises Swap, à terme, spot Trafic des paiements international depuis l étranger SEPA Standard
Plus en détailCréation d une agence de communication interne _Au cours de ces dernières années, l équipe Marketing-Communication de Galexis a dû faire face à d
Création d une agence de communication interne _Au cours de ces dernières années, l équipe Marketing-Communication de Galexis a dû faire face à d importants changements. Dans le cadre de la gestion du
Plus en détailL entreprise prête pour l informatique en nuage Élaborer un plan et relever les principaux défis
ÉTUDE TECHNIQUE L entreprise prête pour l informatique en nuage Élaborer un plan et relever les principaux défis Pour une entreprise, l informatique en nuage constitue une occasion majeure d améliorer
Plus en détailPourquoi externaliser? Petits déjeuners des PME & Start-up
www.pwc.com Petits déjeuners des PME & Start-up Robert Hinterberger Senior Manager Agenda 1. Suisse 2. et les PME 3. Les principales fonctions externalisées 4. Les avantages de l externalisation 5. Les
Plus en détailLogiciel PME performant pour une gestion commerciale efficace.
Sage 50 Logiciel PME performant pour une gestion commerciale efficace. Sage 50 Gestion commerciale Comptabilité Sage 50 Gestion des salaires Facturation Comptabilité Comptabilité générale Option modèle
Plus en détailUn climat des affaires incertain
AVRIL 2015 Un climat des affaires incertain Au premier trimestre, 39 % des TPE-PME rhônalpines ont observé une baisse de chiffre d affaires par rapport à la même période de 2014 et seulement 24 % une hausse.
Plus en détailNMC Le nouveau modèle comptable de la Confédération
NMC Le nouveau modèle comptable de la Confédération Impressum Rédaction Administration fédérale des finances Internet: www.efv.admin.ch Distribution OFCL, Vente des publications fédérales, CH-3003 Bern
Plus en détailEnquête sur les perspectives des entreprises
Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,
Plus en détailComment évaluer une banque?
Comment évaluer une banque? L évaluation d une banque est basée sur les mêmes principes généraux que n importe quelle autre entreprise : une banque vaut les flux qu elle est susceptible de rapporter dans
Plus en détailLeçon 12. Le tableau de bord de la gestion des stocks
CANEGE Leçon 12 Le tableau de bord de la gestion des stocks Objectif : A l'issue de la leçon l'étudiant doit être capable de : s initier au suivi et au contrôle de la réalisation des objectifs fixés au
Plus en détailLa publication, au second
Les entreprises industrielles françaises de plus en plus impliquées dans les NTIC Malgré l adoption accélérée des différents outils des nouvelles technologies de l information et de la communication (NTIC)
Plus en détailVotre guide 2013 pour la gestion des déplacements et frais professionnels
Votre guide 2013 pour la gestion des déplacements et frais professionnels La majorité des organisations comptent sur les voyages d affaires pour réaliser leurs objectifs opérationnels, qu il s agisse de
Plus en détailcuraprax le logiciel de cabinet médical moderne destiné aux cabinets médicaux individuels ou de groupe
curaprax le logiciel de cabinet médical moderne destiné aux cabinets médicaux individuels ou de groupe Le logiciel de cabinet médical basé sur le Web. Simple. Efficient. Sûr. www.curaprax.ch curaprax vous
Plus en détailFloored Floater sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «General Electric Capital Corporation»
sur le taux d intérêt LIBOR CHF à trois mois avec emprunt de référence «General Electric Capital Corporation» Dans l environnement actuel caractérisé par des taux bas, les placements obligataires traditionnels
Plus en détailEnquête internationale 2013 sur le Travail Flexible
Enquête internationale 2013 sur le Travail Flexible En octobre 2013, BakkerElkhuizen a mené une enquête en ligne parmi les professionnels RH en Allemagne, en Angleterre, en Belgique et aux Pays-Bas portant
Plus en détailStratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants
Stratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : Dossier à l attention des dirigeants Centres d évaluation de la technologie inc. Stratégies gagnantes pour l industrie : Synthèse Jusqu ici, les
Plus en détailLes agences de publicité et de communication et agences média leaders en Suisse font preuve d optimisme dans un avenir exigeant.
Communiqué de presse 9 octobre 2012 bsw leading swiss agencies Les agences de publicité et de communication et agences média leaders en Suisse font preuve d optimisme dans un avenir exigeant. Les agences
Plus en détailConvention nationale sur les modalités d application complémentaires dans le cadre de l introduction de la structure tarifaire SwissDRG
Convention nationale sur les modalités d application complémentaires dans le cadre de l introduction de la structure tarifaire SwissDRG entre H+ Les Hôpitaux de Suisse (ci-après «les hôpitaux») et santésuisse
Plus en détailEvolution des pratiques achats
Evolution des pratiques achats Enquête clients Juin 2012 2 Sommaire 3 4 4 4 5 6 6 7 7 8 9 9 10 11 Introduction I - Utilisation générale de b-pack Modes d acquisition Volume d achats Modules et catégories
Plus en détailA N N E X E 1. Introduction : référentiel d activités professionnelles page 7. Référentiel de certification page 21
A N N E X E 1 Introduction : référentiel d activités professionnelles page 7 Référentiel de certification page 21 - Compétences professionnelles page 21 - Connaissances associées page 55 - Unités constitutives
Plus en détailMODULES ECBL DESCRIPTIF SENIOR
MODULES ECBL DESCRIPTIF SENIOR Modules ECBL Basic Supply Chain Concepts (BSCC) Core Management Skills (CMS) DESCRIPTIF/CONTENU Maîtriser l environnement de la Supply Chain (SC): - Loi de l offre et la
Plus en détailLe WACC est-il le coût du capital?
Echanges d'expériences Comptabilité et communication financière Dans une évaluation fondée sur la méthode DCF, l objectif premier du WACC est d intégrer l impact positif de la dette sur la valeur des actifs.
Plus en détailOrganisation des Nations Unies pour le développement industriel
Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre
Plus en détailTirez plus vite profit du cloud computing avec IBM
Tirez plus vite profit du cloud computing avec IBM Trouvez des solutions de type cloud éprouvées qui répondent à vos priorités principales Points clés Découvrez les avantages de quatre déploiements en
Plus en détailPerformance 2010. Eléments clés de l étude
Advisory, le conseil durable Consulting / Operations Performance 2010 Eléments clés de l étude Ces entreprises qui réalisent deux fois plus de croissance. Une enquête sur les fonctions ventes et marketing.
Plus en détailLes Principes et les Bonnes Pratiques Relatifs à la Sensibilisation et l Education Financières
DIRECTORATE FOR FINANCIAL AND ENTERPRISE AFFAIRS Les Principes et les Bonnes Pratiques Relatifs à la Sensibilisation et l Education Financières RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Principes et Bonnes Pratiques
Plus en détailThe Promotion of Employee Ownership and Participation
The Promotion of Employee Ownership and Participation Study prepared by the Inter-University Centre for European Commission s DG MARKT (Contract MARKT/2013/0191F2/ST/OP) Final report October 2014 French
Plus en détailwww.kaeser.com Votre partenaire pour les solutions d air comprimé
Votre partenaire pour les solutions d air comprimé KAESER COMPRESSEURS Fournisseur de systèmes d air comprimé de réputation mondiale L entreprise fondée en 1919 par Carl Kaeser père était à l origine un
Plus en détailBaromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013
Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses
Plus en détailLes moyens de financement mobilisables par les entreprises de la Plasturgie
Les moyens de financement mobilisables par les entreprises de la Plasturgie Les entreprises industrielles s appuient régulièrement sur des moyens de financement autres que les fonds propres, afin de développer
Plus en détailDes TIC de plus en plus diversifiées dans les entreprises
Des TIC de plus en plus diversifiées dans les entreprises Sonia Besnard, Pascale Chevalier, Patrice Victor, Insee Pays de la Loire Danièle Guillemot, Yusuf Kocoglu, Centre d études de l emploi En France,
Plus en détailSoyez plus réactifs que vos concurrents, optimisez votre chaîne logistique
IBM Global Services Soyez plus réactifs que vos concurrents, optimisez votre chaîne logistique Supply Chain Management Services Supply Chain Mananagement Services Votre entreprise peut-elle s adapter au
Plus en détailcofi 1 fiduciaire-internet (présaisie) Testez Cofi 1 sur www.internet-treuhaender.ch
cofi 1 (présaisie) Le profil Cofi 1 (présaisie) s adresse aux petites et moyennes entreprises ayant confié leur comptabilité à un collaborateur qui procède de manière autonome à la comptabilisation des
Plus en détailSage 50 Gestion commerciale Logiciel PME performant pour une gestion commerciale efficace.
Sage 50 Gestion commerciale Logiciel PME performant pour une gestion commerciale efficace. 1 Comptabilité Gestion commerciale Facturation Gestion des salaires Comptabilité Comptabilité générale Option
Plus en détailFormation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation)
Formation PME Comptabilité analytique (ou comptabilité d exploitation) Fit for Business (PME)? Pour plus de détails sur les cycles de formation PME et sur les businesstools, aller sous www.banquecoop.ch/business
Plus en détailLES ECHANGES DE DONNEES INFORMATISEES
L EDI (Échange de Données Informatisées) est un processus d échange d informations, sous forme électronique, entre deux systèmes informatiques distincts. Cette technique utilisée au moins depuis deux décennies
Plus en détailLes bonnes pratiques d un PMO
Livre Blanc Oracle Avril 2009 Les bonnes pratiques d un PMO Un plan évolutif pour construire et améliorer votre Bureau des Projets Une construction progressive La première étape consiste à déterminer les
Plus en détailPerformance creates trust
Performance creates trust Vontobel Mini Futures Futures Investissement minimum, rendement maximum Vontobel Investment Banking Vontobel Mini Futures Investir un minimum pour un maximum de rendement Avec
Plus en détailMarketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu
Calcul du prix & Indicateurs Pour la gestion économique de l'entreprise, il est essentiel que les prix des biens et services soient soigneusement calculés en tenant compte de tous les facteurs internes
Plus en détailBaromètre Atradius des pratiques de paiement Etude internationale sur les comportements de paiement en B2B Principaux résultats - Belgique
RÉsultats Printemps 2012 Baromètre Atradius des pratiques Etude internationale sur les comportements en B2B Principaux résultats - Belgique Copyright Atradius N.V. 2012 Avertissement Ce rapport fournit
Plus en détailUn climat des affaires conforté
JUILLET 2015 Un climat des affaires conforté Même si une part toujours importante de TPE/PME enregistre un recul du chiffre d affaires, le bilan du 2 e trimestre marque une amélioration sensible, confirmée
Plus en détailLes Canadiens continuent de négliger des moyens simples de régler leurs dettes personnelles plus rapidement
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Le 6 décembre 2011 #dettes #hypothèque Les Canadiens continuent de négliger des moyens simples de régler leurs dettes personnelles plus rapidement Waterloo Les résultats du plus
Plus en détailNorme comptable internationale 21 Effets des variations des cours des monnaies étrangères
Norme comptable internationale 21 Effets des variations des cours des monnaies étrangères Objectif 1 Une entité peut exercer des activités à l international de deux manières. Elle peut conclure des transactions
Plus en détailPERSPECTIVES. Hedge funds. Approche en matière d ESG
PERSPECTIVES Adoption des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance par les gérants de hedge funds et de private assets : une enquête d Unigestion Avril 2015 Il est de plus en plus admis que
Plus en détailLES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO
LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO La BCEAO dispose dans chaque Etat membre de l UEMOA, d une agence nationale et des agences auxiliaires. L agence nationale du Niger comprend trois représentations
Plus en détailMalgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire
Résultats de l enquête Ifop/Wincor sur les relations des Français à leur agence bancaire Malgré une image des banques entachée par la crise, les Français restent très attachés à leur agence bancaire -
Plus en détailSujets d actualité, débats, perspectives, enjeux Tendances Achats vous donne la parole et analyse pour vous le monde des Achats.
Sujets d actualité, débats, perspectives, enjeux Tendances Achats vous donne la parole et analyse pour vous le monde des Achats. DEMATERIALISATION DES FACTURES FOURNISSEURS : PROJET ACHATS OU PROJET D
Plus en détailLA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier
LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de
Plus en détailWhite Paper Managed IT Services
White Paper Managed IT Services MANAGED IT SERVICES 1. Executive Summary Dans l économie mondiale exigeante d aujourd hui, les entreprises se consacrent de plus en plus à leurs activités principales. Elles
Plus en détailSynthèse des réponses à la consultation publique sur le Cloud computing lancée par la CNIL d octobre à décembre 2011 et analyse de la CNIL
Synthèse des réponses à la consultation publique sur le Cloud computing lancée par la CNIL d octobre à décembre 2011 et analyse de la CNIL 1. Définition du Cloud computing Dans la consultation publique,
Plus en détailACTIONS ET OBLIGATIONS Les placements financiers en quelques mots
Aperçu des actions et des obligations Qu est-ce qu une action? Une action est une participation dans une entreprise. Quiconque détient une action est copropriétaire (actionnaire) de l entreprise (plus
Plus en détailGuide sur les instruments financiers à l intention des entreprises à capital fermé et des organismes sans but lucratif du secteur privé
juin 2011 www.bdo.ca Certification et comptabilité Guide sur les instruments financiers à l intention des entreprises à capital fermé et des organismes sans but lucratif du secteur privé Guide sur les
Plus en détailMANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC
Garantir une organisation performante pour satisfaire ses clients et ses partenaires, telle est la finalité d une certification «qualité». On dénombre de nombreux référentiels dont le plus connu et le
Plus en détailLa lettre. La Gestion des comptes clients : les mesures à adopter très vite. Le poste client : l investissement le plus important à l actif du bilan
Dossier : Gestion d entreprise 43 Direction financière à la demande La Gestion des comptes clients : les mesures à adopter très vite La gestion des comptes clients, est-ce seulement le boulot de la compta?
Plus en détailEvolution des risques sur les crédits à l habitat
Evolution des risques sur les crédits à l habitat n 5 février 2012 1/17 SOMMAIRE 1. PRINCIPALES CARACTÉRISTIQUES DE LA PRODUCTION... 4 2. ANALYSE DÉTAILLÉE DES INDICATEURS DE RISQUE... 8 2.1 Montant moyen
Plus en détailLa mise en place du Lean Supply Chain chez Schneider Electric
La mise en place du Lean Supply Chain chez Schneider Electric Gérard JORGE Directeur de la division Ibérique & Internationale, Schneider Electric Revoir complètement la chaîne d approvisionnement, assurer
Plus en détailDélais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM
Délais et retards de paiement : analyse et propositions de l UCM Mars 2013 RÉSUMÉ :... 2 NOTE INTÉGRALE :... 3 1. LIEN ENTRE RETARDS DE PAIEMENT ET FAILLITES :... 3 2. DÉLAIS DE PAIEMENT... 4 3. RETARDS
Plus en détailLa capture. documentaire
La capture documentaire Une expertise reconnue sur la scène internationale Aujourd hui plus que jamais, les organisations sont confrontées à la nécessité d améliorer significativement leurs performances
Plus en détailMANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC
MANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC Lorraine Garantir une organisation performante pour satisfaire ses clients et ses partenaires, telle est la finalité d une certification «qualité». On dénombre de nombreux
Plus en détailL OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013
L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES 25 ème rapport annuel Tableau de bord Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 La photographie des ménages détenant des crédits que propose la 25 ième
Plus en détail