Lâchers de mâles stériles pour le contrôle de la mouche de l oignon : de l idée à l utilisation à grande échelle

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Lâchers de mâles stériles pour le contrôle de la mouche de l oignon : de l idée à l utilisation à grande échelle"

Transcription

1 Lâchers de mâles stériles pour le contrôle de la mouche de l oignon : de l idée à l utilisation à grande échelle François Fournier Département de biologie, Collège Montmorency

2 Cycle biologique de la mouche de l oignon (Delia antiqua)

3 Biologie de la mouche de l oignon (Delia antiqua) Hiberne au stade de la pupe Plante hôte préférée: oignon Émergence débute au mois de mai Accouplement se fait 6-7 jours plus tard Longévité > 30 jours Fécondité > 450 oeufs / femelle (en laboratoire) 2 à 3 générations par été Capacité de dispersion relativement limitée

4 30-avr. 14-mai 28-mai 11-juin 25-juin 09-juil. 23-juil. 06-août 20-août 03-sept. 17-sept. 01-oct. 15-oct. 29-oct. Mouches / piège Capture moyenne de mouches à Ste-Clotilde

5 Deux types de dommages 1ère génération: destruction de jeunes plants pertes de rendement 2e et 3e génération : blessures aux bulbes pertes de rendement et potentiel de pourriture en entreposage

6 % dommages Dommages de mouche dans des parcelles non-traitées à Ste-Clotilde ( ) 1ère génération 2e génération

7 Stratégie de contrôle chimique conventionnelle Enrobage des semences avec Cryomazine : entraîne une réduction du taux de germination Incorporation de Chlorpyrifos granulaire au semis Dépistage : inspection de 15 X 1 mètre de rang d oignons /acre (1 ou 2 fois /semaine) Décompte du nombre de plants total, et nombre avec oeufs ou dommages Si dommages > 1% : avis d application foliaire de 3 traitements insecticide en 10 jours (Naled ou Lambda-cyhalothrine) Selon la culture, les coûts peuvent atteindre : 550 $/ha pour les oignons jaunes 1155 $/ha pour les oignons verts

8 % dommages Dommages moyens et maximum de la mouche de l oignon 10 Oignons jaunes 25 Oignons verts ,7 19,3 13,2 16,9 19,2 13,0 8, ,3 35,6 25,9

9 Lâchers de mâles stériles Comment? Produire une grande quantité d individus Les stériliser avant leur introduction au champ Les relâcher durant l activité de la population naturelle Les femelles naturelles s accouplent avec des mâles stériles Les femelles pondent alors des oeufs stériles

10 Pour une population de mouches donnée

11 Plus on relâche d insectes stériles.

12 Plus on fait diminuer les dommages

13 Une méthode éprouvée Méthode développée dans les années Éradication d insectes ravageurs dans certaines régions du monde. la lucilie bouchère dans le Sud des USA et au Mexique, en cours en Lybie Mouche méditerranéenne des fruits Mouche tsé-tsé sur l île de Zanzibar Méthode de contrôle efficace: Le carpocapse de la pomme dans la vallée d Okanagan en Colombie-Britannique La mouche de l oignon aux Pays-Bas depuis 1981, la moitié des superficies traitées en 2015

14 La mouche de l oignon: un bon candidat Conditions de mise en place: Une espèce limitée géographiquement Une espèce avec une ou peu de plantes hôtes Des femelles qui s accouplent une seule fois Une méthode d élevage de masse économique Une méthode de stérilisation qui n affecte pas la compétitivité des mâles Un taux d introduction des mâles stériles suffisamment élevé pour noyer la population naturelle

15 Élevage de masse

16 Mouches / piège Objectif à long terme: réduire la population de mouches Semaine #

17 Étapes du projet 2004 : Étude de faisabilité scientifique, technique et économique 2005 : Mise sur pied d un élevage de mouches de l oignon Validation de la méthode stérilisation des mouches aux installations du CRDA de St- Hyacinthe 2006 à 2010 : Validation de la méthode : lâchers d insectes stériles dans des champs commerciaux d oignons jaunes et verts sur de petites surperficies (0,6 à 4 ha) 2011 : Conditions économiques optimales à l adoption de lâchers de mouches stériles dans les cultures d oignons au Québec : Amélioration de la production de masse, réduction des taux d introduction Lâchers sur de grandes superficies : 140 à 260 ha : Amélioration des installations de production. Superficie à traiter : 350 ha

18 Validation de la méthode de stérilisation Objectifs : Stérilisation des femelles à 100% Stérilisation des mâles à 100% Compétitivité des mâles stériles : 10 mâles stériles + 10 mâles normaux + 20 femelles normales = la moitié des oeufs fertiles pondus par 20 mâles normaux + 20 femelles normales

19 Installations d irradiation Agriculture et agroalimentaire Canada: Centre de Recherche et Développement sur les aliments (CRDA) de Saint-Hyacinthe Source : barres de cobalt 60

20 Oeufs pondus / femelle Dose d irradiation vs fécondité des femelles Témoin Mâles stériles a Femelles stériles Compétition mâles a a a a b a b a a b a grays 45 grays 55 grays

21 % éclosion Doses d irradiation vs éclosion des oeufs pondus Témoin Mâles stériles 100% 80% a Femelles stériles a Compétition mâles a 60% 40% b b b 20% 0% c d c d c d 35 grays 45 grays 55 grays

22 Longévités (jours) Longévités (jours) Dose d irradiation vs longévité Mâles témoin Mâles stériles n.s. b a n.s gray 45 gray 55 gray Femelles témoin Femelles stériles a b n.s. a b gray 45 gray 55 gray

23 Lâchers de mouches stériles : procédure hebdomadaire Irradiation des mouches produites Coloration et lâchers des mouches stériles dans le champ traité Relevé des pièges pour établir le ratio de mouches stériles vs mouches naturelles Évaluation régulière des dommages de mouches

24 30-avr. 14-mai 28-mai 11-juin 25-juin 09-juil. 23-juil. 06-août 20-août 03-sept. 17-sept. 01-oct. 15-oct. 29-oct. Patron temporel des lâchers inondatifs de mouches stériles Captures Lâchers 1ère génération : 80 % 2e et 3e générations : 20 %

25 Mouches relâchées (milliers) Mouches / piège / jour Résultats été 2007 Nb total de mouches stériles relâchées : ou /ha Mouches stériles Captures mouches naturelles

26 Mouches / piège / jour Mouches stériles / naturelles Recapture des mouches stériles été 2007 mouches naturelles mouches stériles ratio stériles/naturelles 16,0 8,0 14,0 12,0 Ratio moyen: 1,0 6,0 10,0 8,0 4,0 6,0 4,0 2,0 2,0 0,0 0,0

27 Mouches relâchées (milliers) Mouches / piège / jour Résultats été 2009 Nb total de mouches stériles relâchées : ou /ha mouches stériles relâchées mouches naturelles capturées

28 Mouches / piège / jour Ratio stériles / naturelles Recapture des mouches stériles été 2009 mouches naturelles mouches stériles ratio stériles/naturelles 12,0 5,0 10,0 Ratio moyen : 2,0 4,0 8,0 3,0 6,0 4,0 2,0 2,0 1,0-0,0

29 Efficacité des lâchers inondatifs de mouches stériles Champ traités Champs commerciaux Superficie (ha) Mouches/h a ratio moyen ratio max % dom Dommages moyens Dommages maximum , ,09 0,7 0,3 3,5 16, , ,0 7,0 0 12,8 35, , ,0 8,3 0 4,5 35, , ,0 4,0 1,7 11,1 25,9

30 Bénéfice du traitement d une grande surface Mouches stériles Zone traitée Mouches naturelles

31 Bénéfice du traitement d une grande surface Zone traitée Mouches stériles Mouches naturelles

32 % dommages Captures de mouches de l oignon vs % dommages ( ) 18,00 16,00 14,00 12,00 10,00 8,00 6,00 4,00 2,00 y = 0,2095x + 0,5152 r² = 0,2562 P < 0,001 0,00 0,0 5,0 10,0 15,0 20,0 25,0 30,0 35,0 40,0 Mouches naturelles / piège

33 % dommages Captures de mouches de l oignon vs % dommages ( ) 9,00 8,00 7,00 6,00 5,00 4,00 3,00 2,00 1,00 y = 0,1187x + 0,7734 r² = 0,095 P < 0,001 0,00 0,0 5,0 10,0 15,0 20,0 25,0 30,0 Mouches naturelles / piège

34 % dommages Ratio mouches S/N vs % dommages ( ) 18,00 16,00 14,00 12,00 10,00 8,00 6,00 y = -0,0316x + 1,5061 r² = 0,012 P=0,1763 n.s. 4,00 2,00 0, Ratio S/N

35 % dommages Ratio mouches S/N vs % dommages ( ) 18,00 16,00 14,00 12,00 10,00 8,00 6,00 y = -0,079x + 1,7336 r² = 0,043 P < 0,01 4,00 2,00 0, Ratio S/N

36 % dommages Captures de mouches du semis vs % dommages ( ) 18,00 16,00 14,00 12,00 10,00 8,00 6,00 y = -1E-04x + 1,5084 r² = 0,0049 P=0,7541 n.s. 4,00 2,00 0, Captures de mouches du semis

37 Composante 2 (24,8 %) Analyse des composantes principales Composante 1 (26,8 %)

38 Quelques constats Efficacité des mouches stériles démontrée à grande échelle depuis 5 ans Réduction des taux d introduction et au fil des ans : Sans perte d efficacité dans l oignon vert Dans l oignon jaune: dommages plus élevés que régie conventionnelle un an sur deux, mais acceptables (taux d introduction plus faible) Les dommages de mouches de l oignon sont corrélés : Positivement aux captures de mouches de l oignon naturelles Négativement à : la superficie des champs Ratios de captures de mouches stériles vs naturelles Année et captures de mouches du semis peu corrélés

39 Coûts environnementaux et économiques de l application de pesticides aux États-Unis (Pimentel, 2005) Item Pertes économiques (millions $) Santé publique : Coût empoisonnement (hospitalisation, temps de travail perdu) 62 Cancers Autres coûts de santé et maladies 166,5 Pertes de cultures à cause des pesticides (dérives, mauvaise application, ) Animaux et écosystème : Empoisonnement d animaux domestiques et produits contaminés 30 Coûts résultants de la destruction d ennemis naturels bénéfiques 520 Pertes dues à la résistance des ravageurs Empoisonnement des abeilles et réduction de la pollinisation 283 Contamination des eaux souterraines Pertes aquacultures 100 Pertes d oiseaux et mammifères sauvages Fonds gouvernementaux pour contrôler la pollution causée par les pesticides 470 Total des coûts sociaux et environnementaux milliards de dépenses totales de pesticides permettent d épargner 40 milliards de pertes de récolte Ratio coûts sociétaux / coûts privés 9, 722 / 10 milliards = 0.97 Ratio coûts sociétaux / retour net 9,722 / 40 milliards = 0.24

40 Contamination de l eau dans une zone de production maraîchère de la Montérégie Ouest Échantillonnage de l eau du ruisseau Gibeault-Délisle 3X/sem de la mimai à la fin août en 2006 et 2007 (80 échantillons) Analyse de la présence de 68 pesticides et 7 produits de dégradation Deux critères de qualité pour la protection de la vie aquatique : Critère de vie aquatique chronique (CVAC) : concentration maximale d un produit à laquelle les organismes peuvent être exposés durant toute leur vie sans effet néfaste. Critère de vie aquatique aiguë (CVAA) : concentration maximale d un produit à laquelle les organismes peuvent être exposés sur une courte période sans mortalité.

41 Contamination de l eau dans une zone de production maraîchère de la Montérégie Ouest 36 pesticides et produits de dégradation détectés : 14 herbicides 13 insecticides 2 fongicides 2 produits de dégradation Tous les échantillons prélevés contenaient de 4 à 16 pesticides, dont plusieurs dépassaient simultanément les critères de qualité. Pires résultats obtenus dans différents types de production agricole (maïs-soya, pommes de terre, pommes)

42 Insecticides détectés et dépassements des critères de qualité de vie aquatique dans le ruisseau Gibeault-Délisle Insecticide Fréquence de détection Concentration (µg/l) Critère (% de dépassement) Max Moy CVAC CVAA Chlorpyrifos 100 2,2 0,263 0,0035 (100) 0,027 (100) Malathion ,478 0,1 (18) - Phosmet , Carbaryl 11 0,34 0,023 0,2 (2) Diazinon 24 0,6 0,043 0,004 (24) 0,064 (10) Lambda-cyhalothrine 13 3,2 0, Dichlorvos 7 0,52 0, Diméthoate 2 0,11 0, Carborfuran 4 0,55 0, Parathion 1 0,34 0,007 0,013 (1) 0,065 (1) Perméthrine 2 0,68 0,009 0,004 (2) 0,044 (2) Cyperméthrine 1 0,13 0,001 Imidacloprid 100 7,77 1,256 0,23 (43) 8500 (0) I-guanidine 100 0,3 0, I-urée 43 0,054 0,

43 Chlorpyrifos : champion de la contamination toute catégorie 100% des échantillons avec des concentrations supérieures aux CVAA et CVAC Concentration moyenne (0,263 µg/l): 9,7X la valeur du CVAA 75X la valeur du CVAC Concentration maximale (2,2 µg/l) : 81,5X la valeur du CVAA 628,6X la valeur du CVAC Insecticide appliqué au printemps!!!

44 Quelques constats Coût des mouches stériles de plus en plus compétitif Contamination due au chlorpyrifos : problème sérieux Homologation du chlorpyrifos.en péril Récemment, l utilisation des pesticides au Québec sur la sellette : Radio-Canada : «Québec a perdu le contrôle de l utilisation des pesticides» Réaction : restreindre l utilisation des néonicotinoïdes, interdiction de plus de pesticides en milieu urbain À venir: 2 e rapport sur la présence de pesticides dans le ruisseau Gibeault-Délisle (1 ère page de La Presse en 2008)

45 Production sur Oignons frais ( ) Diète artificielle ( )

46 Productivité sur deux diètes : Nb de pupes récoltées par plateau d élevage Quantité de nourriture 3,5 kg 3 kg Quantité d oeufs 0,45 g 1,2 g oignons diète artificielle

47 Poids (mg) Qualité des mouches produites sur diète artificielle : poids moyen des pupes récoltées c 12,4 17,8 14,2 Oignons Diète artificielle Champ a b

48 % émergence % d'émergence Production just in time durant l été vs accumulation de stocks de pupes durant l hiver y = 108,07-4,3152x r² = 0, Nb de semaines à 1 C 100% 80% 60% 40% 20% 0% Nb de semaines à 1 C

49 Longévité (jours) Qualité des mâles : taille vs longévité Eau Nourriture 4 jrs Poids des mâles (mg)

50 Nombre de femelles accouplées Qualité des mâles : Taille vs capacité d accouplement 20,0 18,0 16,0 14,0 12,0 10,0 8,0 6,0 4,0 2,0 0, mg mg mg 2 jrs 4 jrs 8 jrs Période de contact avec femelles

51 % femelles accouplées par mâle stérile Mâles stériles de taille comparable ou plus petits : compétitivité des mâles stériles < mâles normaux c 2 = 3,903 p = 0,048 * c 2 = 0,585 p = 0,444 n.s. c 2 = 0,297 p = 0,526 n.s c 2 = 7,750 P = 0,005 ** MS + MN PS + MN MS + GN PS + GN

52 % accouplement par mâles stériles Mâles stériles de plus grande taille : compétitivité des mâles stériles > mâles normaux c 2 = 4,385 p = 0,036 * c 2 =3,152 p = 0,075 n.s. c 2 = 8,585 p = 0,003 ** MN + MS PN+MS MN + GS PN + GS

53 Remerciements Luc Brodeur, agronome à l origine du projet Partenaires Organismes subventionneurs: Personnel de PRISME et Phytodata Techniciens de laboratoire du Collège Montmorency Étudiants du Collège Montmorency

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS

ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS ÉVALUATION DU TYPE DE DOMMAGE CAUSÉ PAR LA PUNAISE PENTATOMIDE VERTE, ACROSTERNUM HILARE (SAY) SELON LE DÉVELOPPEMENT DES FRUITS CAROLINE PROVOST, MANON LAROCHE, MAUD LEMAY LES OBJECTIFS Objectif principal:

Plus en détail

La culture de la fraise à jours neutres

La culture de la fraise à jours neutres La culture de la fraise à jours neutres INTRODUCTION : Introduite en 1985 par l'université Laval à titre d'essai, la culture de la fraise à jour neutre est restée une production marginale au Québec. Le

Plus en détail

Canada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson

Canada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson Canada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson RÈGLEMENT # 72-2013 Règlement concernant l utilisation des pesticides et des engrais sur le territoire de la Ville de Sainte- Marguerite-du-Lac-Masson.

Plus en détail

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les

Plus en détail

Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011

Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Résumé du suivi phytosanitaire du canola au Centre-du-Québec de 2009 à 2011 Brigitte Duval, agronome (MAPAQ Nicolet) et Geneviève Labrie, Ph.D. (CÉROM) en collaboration avec Joëlle Cantin, stagiaire, Mathieu

Plus en détail

Au Québec, les superficies en culture

Au Québec, les superficies en culture QUALITÉ DE L EAU EN MILIEU AGRICOLE L utilisation des pesticides dans le maïs et le soya Au Québec, les superficies en culture de maïs ont augmenté d environ 29% entre 1996 et 2001. En 2001, elles atteignaient

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85

DOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85 DOSSIER DE PRESSE Organisateur CARI asbl Place Croix du Sud, 4 1348 Louvain la Neuve +32 (0)10 47 34 16 www.cari.be Contact Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47

Plus en détail

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,

Plus en détail

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse

Plus en détail

HACCP et sécurité sanitaire des aliments

HACCP et sécurité sanitaire des aliments HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et

Plus en détail

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie

La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures. Geneviève Labrie La lutte intégrée contre les ravageurs de sol en grandes cultures Geneviève Labrie La lutte intégrée Portrait des dommages au Québec Financière agricole du Québec 880 avis de dommages depuis 2008 224 avis

Plus en détail

Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle

Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle Tétranyques à deux points: stratégies de contrôle Par Jean-Paul Soucy, agr. Les acariens nuisibles en serre Tétranyque à deux points Tétranyque de Lewis Acariens des bulbes Mite du cyclamen/tarsonème du

Plus en détail

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :

Plus en détail

Un peu d histoire. Lutte biologique. Que retirer de l expérience des producteurs de légumes de serre?

Un peu d histoire. Lutte biologique. Que retirer de l expérience des producteurs de légumes de serre? Lutte biologique ------------------------------ Un peu d histoire ------------------------- Que retirer de l expérience des producteurs de légumes de serre? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome, M. Sc. Conseiller

Plus en détail

Enquêtes nationales 2006-2007 sur les utilisations agricoles de pesticides

Enquêtes nationales 2006-2007 sur les utilisations agricoles de pesticides Enquêtes nationales 2006-2007 sur les utilisations agricoles de pesticides Hiérarchisation des substances actives pour la surveillance des expositions alimentaires Alexandre Nougadère Direction de l Evaluation

Plus en détail

Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme

Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme Évaluation du potentiel du semis direct en agriculture biologique au Québec : construction d un «rouleur-crêpeur de couvre-sols» et essais à la ferme Projet du Syndicat des producteurs de grains biologiques

Plus en détail

BipBatlula, monitoring autonome en haute fréquence

BipBatlula, monitoring autonome en haute fréquence BipBatlula, monitoring autonome en haute fréquence Premiers essais 2009 Observateurs : Fabien Berhault Arnaud Le Houédec Chloé Thomas Rédacteur : Arnaud Le Houédec Présentation du matériel Le matériel

Plus en détail

Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare

Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE LA PAROISSE DE SAINT-LAZARE M.R.C. DE VAUDREUIL-SOULANGES RÈGLEMENT NUMÉRO 627 RÈGLEMENT VISANT À INTERDIRE L UTILISATION

Plus en détail

Annexe A : Tableau des exigences

Annexe A : Tableau des exigences E1 E1.1 E1.2 E1.3 E1.4 E1.5 E1.6 Exigences générales production Les végétaux destinés à la consommation humaine doivent être cultivés au Québec. Les végétaux destinés à la consommation humaine doivent

Plus en détail

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008 Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel

Plus en détail

1st International Workshop on Harmonization of GMO Detection and Analysis in the Middle East and North Africa (MENA) Region

1st International Workshop on Harmonization of GMO Detection and Analysis in the Middle East and North Africa (MENA) Region Université Mentouri Constantine 1st International Workshop on Harmonization of GMO Detection and Analysis in the Middle East and North Africa (MENA) Region Dead Sea, Jordan, 4-5 June 2012. 1 Les OGMen

Plus en détail

Résultats et impacts

Résultats et impacts Résultats et impacts «Creusement d un puits pour une utilisation maraîchère à Fandène, Sénégal» Village de Diayane Localisation: Village de Diayane dans la commune de Fandene, département de Thiès, à 77

Plus en détail

Héron. branché NOUVEAUTÉ CET AUTOMNE! 22 octobre au 2 novembre

Héron. branché NOUVEAUTÉ CET AUTOMNE! 22 octobre au 2 novembre Le petit Héron branché Infolettre pour les professionnels de l éducation www.heritagestbernard.qc.ca Volume 3 Numéro 3 AUTOMNE 2012 NOUVEAUTÉ CET AUTOMNE! 22 octobre au 2 novembre Le À lire dans cette

Plus en détail

Désherbage maïs. Synthèse 2014. Présentation des essais. Le protocole

Désherbage maïs. Synthèse 2014. Présentation des essais. Le protocole Désherbage maïs Synthèse 2014 Cette synthèse regroupe les résultats de 9 essais du réseau de désherbage maïs Poitou-Charentes Vendée. L animation du réseau et la synthèse des données brutes sont assurés

Plus en détail

Pesticides. agricoles Moins et Mieux. Cahier d auto- évaluation

Pesticides. agricoles Moins et Mieux. Cahier d auto- évaluation Pesticides agricoles Moins et Mieux Cahier spécifique Cahier d auto- évaluation Maïs sucré 1 re ÉDITION (2004) : Coordination et réalisation : Marie-Hélène April Raymond-Marie Duchesne Stratégie phytosanitaire

Plus en détail

Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)

Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) 105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site

Plus en détail

Insecticide SCIMITAR MC CS

Insecticide SCIMITAR MC CS Approved Pamphlet SCIMITAR 28499 06-11-23 Page 1 of 7 USAGE COMMERCIAL Insecticide SCIMITAR MC CS GROUPE 3 INSECTICIDE GARANTIE Lambda-cyhalothrine... 100 g/l Ce produit contient du 1,2-benzisothiazolin-3-one

Plus en détail

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005

AVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005 AVIS Réf. : CWEDD/05/AV.276 Liège, le 14 mars 2005 Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Avis du CWEDD portant sur une demande de permis de lotir à Franc-Waret (FERNELMONT) L avis

Plus en détail

2. Les auxiliaires de culture

2. Les auxiliaires de culture III- Maîtriser les ravageurs et les adventices 2. Les auxiliaires de culture Insectes Le principe de la lutte biologique est la régulation des populations de ravageurs de culture par l utilisation de leurs

Plus en détail

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur

Jeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant

Plus en détail

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits

2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits 2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose

Plus en détail

GUIDE DE PROTECTION DES GRANDES CULTURES

GUIDE DE PROTECTION DES GRANDES CULTURES GUIDE DE PROTECTION DES GRANDES CULTURES 2014-2015 Publication 812F Jeter les éditions périmées de la présente publication. Chaque année, le sous-comité concerné du Comité ontarien de la recherche et des

Plus en détail

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2013, dans le cadre du monitoring actif, 3.181 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.

Plus en détail

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015

Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Valérie Roy-Fortin, agr. Bio pour tous! - 6 mars 2015 Mise en contexte Résultats des essais du CETAB+ Méthodologie; Biomasse et facteurs de variation; Rendements en maïs et corrélations avec l azote apporté;

Plus en détail

Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)

Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. 1.3 Généralité Le personnel des animaleries doit aviser l assistant-chef si cette procédure ne peut être respectée.

TABLE DES MATIÈRES. 1.3 Généralité Le personnel des animaleries doit aviser l assistant-chef si cette procédure ne peut être respectée. /01 TABLE DES MATIÈRES 1.0 Introduction 1.1 But 1.2 Portée 1.3 Généralité 1.4 Matériel 2.0 Méthodes/Processus 2.1 Général 2.2 Systèmes de détection 2.3 Principes généraux du contrôle de la vermine 2.4

Plus en détail

CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT

CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants

Plus en détail

Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte

Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte Puceron rose et cécidomyie cidomyie du pommier: cycle de vie et moyens de lutte Daniel Cormier, Ph. D. Institut de recherche et de développement d en agroenvironnement inc.. (IRDA), Québec, Canada Pourquoi

Plus en détail

La réglementation Mardi de la DGPR. sur les produits biocides 05/04/2011

La réglementation Mardi de la DGPR. sur les produits biocides 05/04/2011 La réglementation r Mardi de la DGPR 05/04/2011 sur les produits biocides Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention des nuisances et de la qualité de l environnement Département

Plus en détail

Partie V Convention d assurance des cultures légumières

Partie V Convention d assurance des cultures légumières Partie V Convention d assurance des cultures légumières Légumes de transformation Moyenne du rendement agricole A. Dispositions générales La présente partie s applique à la betterave à sucre, à la betterave

Plus en détail

vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises

vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises Avant d utiliser des produits chimiques, vérifiez leur compatibilité avec nos auxiliaires sur notre site web www.biobest.be Bulletin d information sur les cultures fraises Stratégie IPM pour les fraises

Plus en détail

Permet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles

Permet plus de souplesse au niveau du raisonnement de la lutte contre les organismes nuisibles Atelier Biocontrôle Matthieu BENOIT Chambre régionale d agriculture de Normandie - arboriculture Action pilotée par le ministère chargé de l'agriculture, avec l appui financier de l Office national de

Plus en détail

Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir?

Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir? Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir? Christine Villeneuve, agr. MAPAQ, Ste-Martine 25 janvier 2012 Impact des changements climatiques sur l'agroclimat

Plus en détail

Appât insecticide anti-fourmis en gel OPTIGARD

Appât insecticide anti-fourmis en gel OPTIGARD Approved Pamphlet OPTIGARD Ant Gel Bait 30788 2013-03-06 Page 1 of 6 GROUPE 4 INSECTICIDE INSECTICIDE USAGE COMMERCIAL Appât insecticide anti-fourmis en gel OPTIGARD POUR UTILISATION DANS LES ZONES COMMERCIALES,

Plus en détail

12. À chacun son point de vue

12. À chacun son point de vue 12. À chacun son point de vue Secondaire, cycle 1 Durée : 60 min. L agriculture est en crise partout sur la planète. Alors que certains louent les bénéfices de l agriculture conventionnelle moderne, d

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne

Plus en détail

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014

Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014 Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2014, dans le cadre du monitoring actif, 3.036 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.

Plus en détail

POUR VENTE POUR UTILISATION DANS L EST DU CANADA ET EN COLOMBIE-BRITANNIQUE COMMERCIAL

POUR VENTE POUR UTILISATION DANS L EST DU CANADA ET EN COLOMBIE-BRITANNIQUE COMMERCIAL PMRA Approved April 22, 2010 GROUPE 3 INSECTICIDE INSECTICIDE decis 5 CE POUR VENTE POUR UTILISATION DANS L EST DU CANADA ET EN COLOMBIE-BRITANNIQUE COMMERCIAL NUMÉRO D HOMOLOGATION 22478 LOI SUR LES PRODUITS

Plus en détail

L assurance récoltes en France

L assurance récoltes en France P A C I F I C A - A S S U R A N C E S D O M M A G E S L assurance récoltes en France Colloque FARM - Pluriagri du 18 décembre 2012 Thierry LANGRENEY Directeur général de Pacifica L assurance, un outil

Plus en détail

Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages

Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages Première tournée / premier spectacle Nouvelle tournée / nouveau spectacle Entrée en Suisse de l étranger

Plus en détail

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale

Un expérience pluridisciplinaire de l intensification écologique en Agriculture Familiale Le développement du semis-direct sous couverture végétale pour les agriculteurs des exploitations familiales des biomes Cerrados (2005-2009) et Amazonia (2008-2013) Un expérience pluridisciplinaire de

Plus en détail

UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT

UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT Le cheval, UTILISATION CONTEMPORAINE DU CHEVAL DE TRAIT un moteur d insertion écologique, durable, économique, créatif... Une énergie renouvelable. Un brin d Histoire... Les années de Gloire et le déclin.

Plus en détail

Moyens de production. Engrais

Moyens de production. Engrais Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement

Plus en détail

La production de Semences potagères

La production de Semences potagères La production de Semences potagères Intérêts de l autoproduction de semences Les producteurs qui se lancent dans leur propre production de semences le font pour diverses raisons. Maintien d une biodiversité

Plus en détail

Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification

Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE. Description. Identification Petits fruits Bulletin d information No 15 17 mai 2013 PUNAISE TERNE Identification Nom français : Punaise terne Nom latin : Lygus lineolaris Nom anglais : Tarnished plant bug Ordre : Hemiptera Famille

Plus en détail

Une planète. Six engagements.

Une planète. Six engagements. Une planète. Six engagements. Nous ne pouvons plus continuer ainsi L humanité est confrontée à son plus grand défi Chaque jour, notre planète se réveille avec 200 000 nouvelles bouches à nourrir. 1 Chaque

Plus en détail

République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION

République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN

Plus en détail

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,

Plus en détail

EVALUATION FINALE BKF/012

EVALUATION FINALE BKF/012 EVALUATION FINALE BKF/012 Projet d Appui à la Gestion participative des Ressources naturelles dans la Région des Hauts-Bassins FICHE SYNTHETIQUE Pays Titre du projet Code LuxDev Burkina Faso Projet d Appui

Plus en détail

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture

Plus en détail

Association des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale,

Association des. Objectifs. convivialité, réunir les habitants autour du jardinage. action sociale, action environnementale, Objectifs Association des convivialité, réunir les habitants autour du jardinage action sociale, création de jardins familiaux action environnementale, promouvoir un jardinage respectueux de l environnement

Plus en détail

Monitoring de la qualité des eaux marines dans les secteurs coquilliers

Monitoring de la qualité des eaux marines dans les secteurs coquilliers Monitoring de la qualité des eaux marines dans les secteurs coquilliers Jacques Sénéchal, Monitoring de la qualité des eaux marines, Environnement Canada 12 et 13 mars 2013 Programme canadien de contrôle

Plus en détail

Actualité Ecophyto 2010

Actualité Ecophyto 2010 N 12 - Décembre 21 SOMMAIRE Actualité Ecophyto 1 Actualité réglementaire 1 Actualité cultures 3 Résultats essais 3 Actualité Ecophyto 21 Prochaines échéances JANVIER 211 Résultats de la sélection des groupes

Plus en détail

RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV

RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I

Plus en détail

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.)

Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Les méthodes de luttes : De la protection «systématique» à la Protection Intégrée (P.B.I.) Protection Biologique Intégrée Lutte phytosanitaire De la lutte «systématique» à la lutte raisonnée La lutte «systématique»

Plus en détail

Le Crabe commun des eaux côtières du Québec

Le Crabe commun des eaux côtières du Québec Pêches et Océans Canada Sciences Fisheries and Oceans Canada Science MPO Sciences Région Laurentienne Rapport sur l état des stocks C-2 (21) 5 16B 16A 17A-C D 16C 16D 16E YZ E-X A-C Le Crabe commun des

Plus en détail

Le verger du parc national du Mont-Saint-Bruno

Le verger du parc national du Mont-Saint-Bruno Le verger du parc national du Mont-Saint-Bruno Une vitrine unique de sensibilisation et de solutions pour la production pomicole dans un contexte de développement durable au Québec Vincent Philion 1, Gérald

Plus en détail

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ

Plus en détail

Une nouvelle écologie des parcs et des jardins

Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Une nouvelle écologie des parcs et des jardins Patrimoine vert bordelais et politique de développement et de gestion Ecologie : grands principes et applications

Plus en détail

On the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun

On the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun On the spot Ecocertification et images satellites Exploitation forestière tropicale au Cameroun Exploitation forestière tropicale au Cameroun Un nombre croissant d opérateurs forestiers s engagent dans

Plus en détail

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation

Plus en détail

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification

Plus en détail

Bienvenue sur la planète des insectes!

Bienvenue sur la planète des insectes! Bienvenue sur la planète des insectes! Les Entomonautes c/o Youssef Guennoun 49 bis rue du Borrégo 75020 Paris entomonautes(at)gmail.com Des milliards de petites bêtes Les insectes constituent 75 % de

Plus en détail

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique

Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Les compensations écologiques sur la ligne à grande vitesse Sud Europe Atlantique Conception, rédaction, réalisation : Parménion/RFF - Crédit photos : Biotope, CREN Poitou-Charentes, Ecosphère, RFF Impression

Plus en détail

La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat

La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat La réalisation d essais en réacteur pilote en vue d une demande d homologation de digestat M CORDELIER, JF. LASCOURREGES, C. PEYRELASSE, C.LAGNET, P.POUECH 4 ième Journées Industrielles Méthanisation 4

Plus en détail

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD

Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat

Plus en détail

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son

Plus en détail

Quelles évolutions au niveau des prédateurs nuisibles en culture de maïs et les moyens de lutte?

Quelles évolutions au niveau des prédateurs nuisibles en culture de maïs et les moyens de lutte? Quelles évolutions au niveau des prédateurs nuisibles en culture de maïs et les moyens de lutte? En culture de maïs, le pourcentage de surfaces traitées avec un insecticide avoisinne actuellement les 3

Plus en détail

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES

1.2. REALISATION DES OPERATIONS DE PRELEVEMENTS ET D ANALYSES AVANT-PROPOS Le présent document a été réalisé par ASCONIT Consultants, pour le compte du Conseil Général de Haute-Savoie (CG74) dans le cadre du programme 2007-2008 du suivi de la qualité des eaux des

Plus en détail

Qualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle

Qualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25 Laitues d hiver Moins de pe Les laitues pommées bio se révèlent exemptes de pesticides. Plus «Bonne nouvelle: toutes les salades sont conformes et

Plus en détail

PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON

PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20

Plus en détail

Applicable à partir de l année d assurance 2014 Assurance récolte Apiculture Section 13,2 - Admissibilité

Applicable à partir de l année d assurance 2014 Assurance récolte Apiculture Section 13,2 - Admissibilité Section 13,2 - Admissibilité Page 1 Les normes générales à toutes les protections d assurance concernant l application des normes d admissibilité se retrouvent à la procédure générale. Cependant, les normes

Plus en détail

GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS

GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS Refuge Advanced MC SmartStax MC Herculex MC ÉDITION CANADIENNE Le présent guide d utilisation du produit (le guide) établit les exigences pour la culture des hybrides

Plus en détail

BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL PAYS DE LA LOIRE >>> MARAICHAGE

BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL PAYS DE LA LOIRE >>> MARAICHAGE BULLETIN DE SANTÉ DU VÉGÉTAL 2 AOÛT 2012 Retrouvez le Bulletin de santé du végétal sur le Web! www.draaf.pays-de-la-loire.agriculture.gouv.fr www.agrilianet.com - www.fredonpdl.fr Les maladies du feuillage

Plus en détail

Applicable à partir de l année d assurance 2015 Assurance récolte - Sauvagine Section 12,3 - Expertise

Applicable à partir de l année d assurance 2015 Assurance récolte - Sauvagine Section 12,3 - Expertise Page 1 1. AVIS DE DOMMAGES Enregistrer les avis de dommages des producteurs affectés par la sauvagine, à partir de l unité de traitement «AVIS» tout en sélectionnant le programme Sauvagine (SAU). 2. CONSTATATION

Plus en détail

Le système HACCP. Plan. Plan. Introduction :

Le système HACCP. Plan. Plan. Introduction : Le système HACCP Introduction : Plan L importance de l alimentation Le risque alimentaire La gestion de la qualité : Les systèmes d assurance de la qualité Le système HACCP Origine Objectifs Principes

Plus en détail

Fertiliser le maïs autrement

Fertiliser le maïs autrement Fertiliser le maïs autrement Dans un contexte de renchérissement des ressources en azote organique et de recherche de plus d autonomie, les agriculteurs biologiques picards et leurs conseillers au sein

Plus en détail

CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT. Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie

CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT. Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie Voici le Programme de salubrité des aliments à la ferme pour le bœuf- Bœuf Qualité Plus-

Plus en détail

Les principaux thèmes liés à cette cause sont :

Les principaux thèmes liés à cette cause sont : S engager pour l environnement Les hommes sont dépendants de leur environnement : c est leur lieu de vie. C est pourquoi lutter contre la pollution et le gaspillage est important. La défense de l environnement,

Plus en détail

Pour en savoir plus sur la

Pour en savoir plus sur la Pour en savoir plus sur la Connaître son ennemi Moyens de lutte Mycotoxines La recherche Ce que vous pouvez faire La fusariose de l épi est une maladie fongique qui touche plusieurs cultures céréalières

Plus en détail

Cadre légal des CLD. Au Canada le développement socioéconomique relève de la juridiction des provinces

Cadre légal des CLD. Au Canada le développement socioéconomique relève de la juridiction des provinces Banque de terres Simon Ouellet Agent de développement rural Un outil pour le développement territorial CLD des Collines-de-l Outaouais Emmanuel Roy Agent de développement écologique Cadre légal des CLD

Plus en détail

ÉVALUATION DU DORÉ JAUNE (Sander vitreus) DU LAC TATHLINA, DANS LES TERRITOIRES DU NORD-OUEST

ÉVALUATION DU DORÉ JAUNE (Sander vitreus) DU LAC TATHLINA, DANS LES TERRITOIRES DU NORD-OUEST Secrétariat canadien de consultation scientifique Avis scientifique 1/3 ÉVALUATION DU DORÉ JAUNE (Sander vitreus) DU LAC TATHLINA, DANS LES TERRITOIRES DU NORD-OUEST Photo prise par Mike Low Figure 1.

Plus en détail

Présentation du nouveau programme de remboursement de taxes foncières. novembre 2014

Présentation du nouveau programme de remboursement de taxes foncières. novembre 2014 Présentation du nouveau programme de remboursement de taxes foncières novembre 2014 Progamme de remboursement de taxes foncières 1. Contexte général; 2. Résumé de l ancien programme; 3. Présentation du

Plus en détail

LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015

LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 Table des matières Message du président-directeur général 3 Orientation gouvernementale 1 : Informer, sensibiliser, éduquer,

Plus en détail

ANNEXE 1-A UNOPS BUREAU DES SERVICES D APPUI AUX PROJETS DES NATIONS UNIES INDICATEURS DES PERFORMANCES DU PROJET

ANNEXE 1-A UNOPS BUREAU DES SERVICES D APPUI AUX PROJETS DES NATIONS UNIES INDICATEURS DES PERFORMANCES DU PROJET ANNEXE 1-A UNOPS A. ETAT D EXECUTION DES RECOMMANDATIONS DE LA MISSION DE SUPERVISION DU MOIS DE SECTION II : RECOMMA NDATIONS DE LA MISSION N. ET ACTIONS ENTREPRISES PAR LE PROJET RECOMMANDATIONS SITUATION

Plus en détail

MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)

MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural) MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE

Plus en détail

Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ De Homer à oppenheimer

Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ De Homer à oppenheimer Complétez le schéma de gestion des déchets nucléaires en vous aidant du panneau, les surfaces des cercles sont proportionnelles à leur importance Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ

Plus en détail

RECERTIFICATION OBLIGATOIRE

RECERTIFICATION OBLIGATOIRE 2011-2013 RECERTIFICATION OBLIGATOIRE APPLICATION DES PESTICIDES CATÉGORIES CD ET CD4 En horticulture ornementale Programme de préparation aux examens OBLIGATOIRES pour les membres de l ASGQ Selon information

Plus en détail

Image de la carte bancaire auprès des porteurs - France

Image de la carte bancaire auprès des porteurs - France Image de la carte bancaire auprès des porteurs - France Rapport d étude 7 novembre 2005 Contacts TNS SOFRES : Florence de MARIEN 01.40.92.45.59 Benjamine DUROUCHOUX 01.40.92.45.14 BDX R_42GV07_01 Département

Plus en détail