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1 ALFRED-M. MAYER. - A Note on experiments with floating magnets... (Note sur des expériences réalisées avec des aimants qui flottent...); the American Journal of Sciences and Arts, t. XV, avril 1878, p ALFRED-M. MAYER. - On the morphological laws of the figures formed by magnets floating vertically... (Lois morphologiques des figures formées par des aimants qui flottent verticalement...) ; the American Journal of Sciences and Arts, t. XVI. octobre 1878, p. 247 Ch. D Almeida To cite this version: Ch. D Almeida. ALFRED-M. MAYER. - A Note on experiments with floating magnets... (Note sur des expériences réalisées avec des aimants qui flottent...); the American Journal of Sciences and Arts, t. XV, avril 1878, p ALFRED-M. MAYER. - On the morphological laws of the figures formed by magnets floating vertically... (Lois morphologiques des figures formées par des aimants qui flottent verticalement...) ; the American Journal of Sciences and Arts, t. XVI. octobre 1878, p J. Phys. Theor. Appl., 1879, 8 (1), pp < /jphystap: >. <jpa > HAL Id: jpa Submitted on 1 Jan 1879

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3 32 urès-concordantes et fournissent Line courbe très-appro-.%-,iniaulvement logarithmique. II. HURION. ALFRED-M. MAYER A Note on experiments with floating magnets (Note sur... des expériences réalisées avec des aimants qui flottent...); the American Journal of Sciences and Arts, t. XV, avril I878, p ALFRED-M. MAYER On the morphological laws of the figures formed by magnets... floating vertically (Lois morphologiques des figures formées par des aimants qui flottent verticalement...) ; the American Journal of Sciences and Arts, t. XVI. octobre I878, p M. 1Bfayer, préparant un Traité élémentaire de Physique expérimentale et désirant faire comprendre les groupements et les actions moléculaires, imagina un système d expériences figuratives de ces groupements et de ces actions. Dans ce bllt, il eut recours aux actions magnétiques. Des aiguilles à coudre sont aimantées ; chacune traverse de part en part un petit bouchon de liége et s y enfonce jusqu à la tête. Ces aiguilles, abandonnées sur l eau, flottent verticalement, la pointe en bas, et, comme le sens de leur aimantation est le même, elles se repoussent. Ce sont ces aiguilles qui représentent les molécules ; leur magnétisme figure les forces répulsives. I our obtenir des forces attractives, M. 1BTayer se sert d un barreau aimanté tenu verticalement au-dessus de la surface de l eau, dans une telle position que son pôle, de nom contraire à celui de la tête des aiguilles, soit dirigé verts le bas. Celles-ci sont attirées; r elles s approchent et alors se produisent des groupements qui dépendent du nombre des aiguilles, de leur position initiale et des impulsions imprimées. Vingt-trois de ces groupements sont représentés ici. La figure la plus complexe est formée de vingt aiguilles. L auteur en a étudié de plus complexes encore : il a associé plus de cincluante aiguilles simultanément dans la même expérience. Les figures se classent naturellement d après l ordre de leur complexité. Les unes (fig. 2, 3, 4, 5a, etc.) sont simples; les autres Article published online by EDP Sciences and available at

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6 (fig. 8 b, 8 c, 9, I o, etc.) sont composées d une des figures précédentes, que l on peut appeler le noyau, enveloppée d une autre; nous les appellerons figures du dellxiènze ordre; d autres, la fig. 20 par exemple, sont des figures du troisième ordre ; enfin on a obtenu aussi des figures du quatrième et même du cinquième ordre. Ces figures montrent qu un même nombre d aiguilles peut prendre divers groupements ; exemples : 6 a, 6 b et 18a, 18b. Ces groupements ne sont pas tous également stables : les lettres cc, b, c indiquent l ordre de stabilité. Un choc léger suffit souvent pour faire disparaître le groupement instable et pour produire le groupement stable qui correspond au nombre d aiguilles en expérience. A l aide de ces expériences, l auteur explique divers points de la théorie des atomes ; mais il est bien entendu que ces explications ne sont que de simples comparai sons, destinées à faire comprendre les phénomènes tels qu on les conçoit dans la théorie moléculaire. Voici les points signalés par l auteur. Les molécules des corps sont souvent dans un état d équilibre instable : dans le cas de surfusion par exemple, l eau, à io C., le soufre, à -t- 1000, deviennent solides par le choc ou par l introduction d un cristal. Ce sont des phénomènes semblables aux variations des groupements, tels que 6b en 6a, changements qu un choc produit également. Pendant la solidification, une variation de volume se produit; de même,, un groupement, qui se transforme en un autre, occupe un espace plus grand ou plus petit. On conçoit aisément comment la représentation de l allotropie et de l isomérie est donnée par les mêmes figures. L auteur termine en indiquant la manière de projeter les expériences. Nous ne nous arrêterons pas sur ce point. La lanterne verticale de M. Duboscq (1) permet de réaliser toutes les projections de ce genre. Nous l avons emplojtée, pour montrer ces expériences, dans une des séances de la Société de Physique. CH. D ALMEIDA. 35 (1) Voir ce Journal t. V, p. 216.

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