EULAR 2003 Guidelines
|
|
- Marie Favreau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 EULAR 2003 Guidelines Juin 2003, Lisbonne Nouvelles directives thérapeutiques dans la prise en charge de la gonarthrose PD Dr Hans-Jörg Häuselmann, Zurich
2 Origines multiples de la douleur Les 3 origines de la douleur «Parmi les différents tissus impliqués dans l origine de la douleur, le tissu synovial et capsulaire et/ou l os sous-chondral jouent un rôle plus important que le cartilage non-innervé.» (1, adapté par H-J. Häuselmann) Signes de douleur «mécaniques (2)» Signes de douleur «inflammatoires (3)» surviennent à l appui et à l'effort épanchement s estompent au repos et la nuit douleur nocturne d intensité variable raideur matinale de plus de 20 min raideur matinale possible < 15 min signes locaux d inflammation (1) Chevalier X. Les médicaments de l arthrose. Médecine thérapeutique 1999; 5(8):651-3 (2) Simon L et al. Rhumatologie. Masson. 5ème édition (3) Valat JP. Anti-inflammatoires non stéroïdiens versus antalgiques dans l arthrose. Rhumatologie 2002; 54(6):15-9
3 Recommandations européennes 2003 pour traiter la gonarthrose R1 : La prise en charge optimale de la gonarthrose repose sur la combinaison de thérapeutiques pharmacologiques et non pharmacologiques. R2 : Le traitement de la gonarthrose doit être personnalisé en fonction : de facteurs de risque locaux (obésité, facteurs mécaniques, activité physique) de facteurs de risque généraux (âge, co-morbidité, polymédication) du niveau de douleur et de gène fonctionnelle de signes d inflammation (tel un épanchement) de la localisation et de l importance des lésions structurales. Révision, juin 2003
4 Recommandations européennes 2003 pour traiter la gonarthrose R3 : Les moyens non pharmacologiques doivent inclure l éducation, les exercices, les aides techniques (canne, semelles) et la perte de poids. R4 : Le paracétamol est l antalgique per os de première intention, à poursuivre au long cours s il est efficace. R5 : Les topiques locaux (AINS, capsaïcine) sont efficaces et bien tolérés. Révision, juin 2003
5 Recommandations européennes 2003 pour traiter la gonarthrose R6 : Les AINS sont indiqués en cas d échec du paracétamol. Chez les patients dont le risque gastro-intestinal est majoré, soit AINS classiques + protecteur gastrique efficace soit coxibs. R7 : Les opiacés, ± paracétamol, sont une alternative utile au cas ou les AINS (dont les coxibs) sont contre-indiqués, inefficaces et/ou mal tolérés. R8 : Les AAAL (glucosamine sulphate, chondroitine sulphate, ASU (insaponifiables d'huile d'avocat et de soja), diacéreine, acide hyaluronique ont un effet symptomatique et pourraient être chondroprotecteurs. Révision, juin 2003
6 Recommandations européennes 2003 pour traiter la gonarthrose R 9 : L injection intra-articulaire d un corticoïde long retard est indiqué en cas de poussée surtout si elle s accompagne d un épanchement. R 10 : Le remplacement prothétique doit être proposé chez des malades avec arthrose Rx prouvée, qui ont une douleur réfractaire et sont handicapés. Révision, juin 2003
7 En pratique: un traitement individualisé à l avenir? Moyens non pharmacologiques (éducation, exercices, limiter les facteurs mécaniques délétères) ± paracétamol ± AINS topiques insuffisant AINS/coxibs Infiltration de cortisone ou opioïdes AAAL insuffisant PTG
8 Take Home Messages Les douleurs arthrosiques doivent être prises au sérieux! Le dosage du paracétamol doit être augmenté jusqu'à 4 g par jour! Ne pas instaurer trop vite un traitement par anti-inflammatoire non stéroïdien! Oser associer des mesures non pharmacologiques au traitement! Toujours inclure la périarthrite dans le diagnostic! Adresser le patient à un spécialiste si le traitement ne donne pas satisfaction!
Traitement médicamenteux de l arthrose
30 DOSSIER ARTHROSE Disponible en ligne sur www.smr.ma Traitement médicamenteux de l arthrose Pharmacological management of osteoarthritis Sabrina Haid 1, Samy Slimani 2, Fadia Rahal 1, Amina Abdessemed
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailRevue du Rhumatisme 76 (2009) 279 288. Recommandations. Accepté le 30 juillet 2008 Disponible sur Internet le 10 février 2009
Revue du Rhumatisme 76 (2009) 279 288 Recommandations Traduction française des recommandations de l Osteoarthritis Research Society International (OARSI) sur la prise en charge de la gonarthrose et de
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailOPTI JOINT. le complément alimentaire pour des articulations souples & un cartilage sain
OPTI JOINT le complément alimentaire pour des articulations souples & un cartilage sain Pas moins de 1 chien sur 5 âgés de plus d un an sont confrontés à des problèmes d articulations Quels chiens sont
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailGenou non traumatique
Epidémiologie Genou non traumatique Laure Brulhart (Paola Chevallier) 25 37% des patients >50 ans souffrent de gonalgie 50% restriction dans les AVQ 33% consultent leur généraliste Facteurs associés avec
Plus en détailL abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois
L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois 2. Elle est présente : 15 jours/mois pour les antalgiques non opioïdes (paracétamol, aspirine,
Plus en détailCHAPITRE VI : L ARTHROSE
CHAPITRE VI : L ARTHROSE I- Introduction II- Définition III- Epidémiologie descriptive A- Prévalence B- Incidence C-Les facteurs de risque D- Facteurs de risque de progression structurale IV- Retentissement
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailUTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009
UTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009 Objectifs pédagogiques : 1 ) Connaître les mécanismes d action des AINS
Plus en détailMIGRAINE - TRAITEMENT
MIGRAINE - TRAITEMENT Restauration d une bonne qualité de vie Adapté à chaque patient Reposant sur trois axes : éviction des facteurs déclenchants traitement de crise traitement prophylactique ANAES 2002
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailDU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE
DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailÉquivalence et Non-infériorité
Équivalence et Non-infériorité Éléments d Introduction Lionel RIOU FRANÇA INSERM U669 Mars 2009 Essais cliniques de supériorité Exemple d Introduction Données tirées de Brinkhaus B et al. Arch Intern Med.
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailDouleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013
Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailUne discipline en pleine évolution
Sommaire Berger/Phanie et Airelle-Joubert/Phanie Maladies rhumatismales : des coûts conséquents Douleur : un symptôme toujours présent Lombalgies : la plainte la plus fréquente Arthrose : un problème de
Plus en détailItem 123. Psoriasis. Insérer les T1. Objectifs pédagogiques
20 Item 123 Psoriasis Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un psoriasis. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. COFER Connaître les particularités cliniques,
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailLA PROTHESE TOTALE DE GENOU
LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailCOMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles
Plus en détailSymposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones
Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailItem 123 : Psoriasis
Item 123 : Psoriasis COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition...3 II Épidémiologie du rhumatisme
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailMigraine : traitement de la crise. Comment utiliser les triptans?
Migraine : traitement de la crise Comment utiliser les triptans? 6 ème congrès national de lutte contre la douleur 19-20 Mars Alger Alain Serrie Service de Médecine de la douleur, médecine palliative et
Plus en détailDoit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?
Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailDiagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites
Diagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Diagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites RECOMMANDATIONS Décembre
Plus en détailMédicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie
Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie Adapté d un article approuvé de l Alliance canadienne des organismes de réglementation de la physiothérapie (2012) Le CPTNB
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailDIAGNOSTIC, PRISE EN CHARGE ET SUIVI DES MALADES ATTEINTS DE LOMBALGIE CHRONIQUE
DIAGNOSTIC, PRISE EN CHARGE ET SUIVI DES MALADES ATTEINTS DE LOMBALGIE CHRONIQUE Décembre 2000 Service des recommandations et références professionnelles Ces recommandations ont été réalisées à la demande
Plus en détailSpondylarthrite grave
Titre du document (En-tête) GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Spondylarthrite grave Décembre 2008 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2, avenue
Plus en détailLe syndrome SAPHO Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique
Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailConseils pour le traitement des douleurs persistantes
Page -1- Conseils pour le traitement des douleurs persistantes Ce qu'il faut savoir avant tout, c'est que les douleurs persistantes sont des "douleurs particulières", qui doivent donc être traitées en
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailLes medicaments contre l arthrite. Un guide de référence. SeRIE TRAITEMENTS. arthrite.ca
Les medicaments contre l arthrite Un guide de référence SeRIE TRAITEMENTS arthrite.ca Table des matières REMARQUE : Le masculin est utilisé pour faciliter la lecture. Mot de bienvenue 4 Introduction à
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailLa prise en charge de votre spondylarthrite
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre spondylarthrite Vivre avec une spondylarthrite Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailL ostéopathie au service des professionnels
L ostéopathie au service des professionnels Parce que la performance de votre entreprise passe avant tout par la santé de vos collaborateurs info@proosteo.fr Les Troubles Musculo-Squelettiques Les TMS
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailDOULEUR et SOINS INFIRMIERS
DOULEUR et SOINS INFIRMIERS Certificate of Advanced Studies (CAS) - 2015 Agir en tant que professionnel ressource dans le domaine de la prise en charge de la personne souffrant de douleur aiguë ou chronique,
Plus en détailInformation sur les programmes d autorisation préalable, de pharmacie désignée et de gestion des dossiers médicaux. Autorisation préalable
Information sur les programmes d autorisation préalable, de pharmacie désignée et de gestion des dossiers médicaux La présente feuille de renseignements vise à fournir de l information sur le processus
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailArthrose. usure articulaire. Enfin une approche naturelle à l efficacité scientifiquement démontrée. Ce «mal du siècle» qui nous menace tous
SCIENCE, NATURE ET SANTE - N SPECIAL Arthrose et usure articulaire Enfin une approche naturelle à l efficacité scientifiquement démontrée La synergie efficace pour entretenir, protéger, régénérer les tissus
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailPlacebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes
Placebo Effet Placebo Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Plan Définitions Placebo dans les essais thérapeutiques Effet placebo Médicaments
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailLa politique européenne de la Mutualité Française en matière de dispositifs médicaux
La politique européenne de la Mutualité Française en matière de dispositifs médicaux Assises du Médicament GT 6 Sabine Bonnot Chargée de mission Politique des produits de santé 6 avril 2011 Sommaire: -
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détailAnti-Inflammatoires Non stéroïdiens
Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation
Plus en détailPrévalence des céphalées à travers l enquête décennale Santé 2002-2003
Ministère de l Emploi, de la cohésion sociale et du logement Ministère de la Santé et des Solidarités Près d une personne sur deux âgée de 15 ans et plus déclare être sujette à des maux de tête. Ceux-ci
Plus en détailAnticorps neutralisants des Interférons dans la Sclérose En Plaques en Bretagne
Anticorps neutralisants des Interférons dans la Sclérose En Plaques en Bretagne Pr Gilles EDAN, Dr Emmanuelle LEPAGE, Morgane PIHAN (Interne), Virginie OLIVE, (Attaché de recherche clinique), Neurologie,
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DE LA SANTÉ ET DES DROITS DES FEMMES SANTÉ
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DE LA SANTÉ ET DES DROITS DES FEMMES _ SANTÉ Professions de santé Arrêté du 23 septembre 2014 relatif à la création d une annexe «Supplément au diplôme» pour les formations
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailDOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES
DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailMarquage CE et dispositifs médicaux
Marquage CE et dispositifs médicaux Références officielles Trois principales directives européennes réglementent la mise sur le marché et la mise en service des dispositifs médicaux : la directive 90/385/CEE
Plus en détailLombalgies non spécifiques - recommandations thérapeutiques fondées sur la médecine factuelle
University of Zurich Zurich Open Repository and Archive Winterthurerstr. 190 CH-8057 Zurich http://www.zora.uzh.ch Year: 2008 Lombalgies non spécifiques - recommandations thérapeutiques fondées sur la
Plus en détailModules optionnels. Passer à l acte en implantologie
Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,
Plus en détailLes Spondylarthrites
Les Spondylarthrites Le concept de spondylarthrite Ensemble de rhumatisme inflammatoires chroniques qui partagent certaines de leurs manifestations cliniques ainsi qu un terrain génétique commun. Le concept
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailQuelle place pour le complément alimentaire dans l arthrose à l officine?
Année universitaire 2011-2012 THÈSE pour le DIPLÔME D'ÉTAT DE DOCTEUR EN PHARMACIE par Ophélia BAILLET née le 29 décembre 1987 à Angers (49) ---------------- soutenue publiquement le 17 décembre 2012 ----------------
Plus en détailI.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES -ANTINFLAMMATOIRES BIPROFENID -TRIPTANS
TRAITEMENT DE LA MIGRAINE I.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES PARACETAMOL PEU OU PAS EFFICACE ASSOCIATIONS ASPIRINE-METOCLOPRAMIDE (CEPHALGAN MIGPRIV ) -ANTINFLAMMATOIRES -TRIPTANS BIPROFENID 1
Plus en détailLES JOURNÉES DENTAIRES INTERNATIONALES DU QUÉBEC 2015 ÉLÉMENTS ESSENTIELS DE LA PATHOLOGIE BUCCALE ET DE LA MÉDECINE BUCCALE AU QUOTIDIEN.
LES JOURNÉES DENTAIRES INTERNATIONALES DU QUÉBEC 2015 PRÉSENTE ÉLÉMENTS ESSENTIELS DE LA PATHOLOGIE BUCCALE ET DE LA MÉDECINE BUCCALE AU QUOTIDIEN. PAR DOCTEUR BENOÎT LALONDE LE LUNDI 25 MAI 2015 DE 13
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailLES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION
LES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION Parfois sous estimées, les orthèses de compression contention augmentent le niveau de vigilance par leur mécanisme de «rappel à l ordre», préviennent les récidives
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailSurpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours
Surpoids et obésité de l adulte : prise en charge médicale de premier recours Septembre 2011 Pourquoi repérer l excès de poids? Que faire chez les sujets ayant un âge physiologique avancé? Quand diagnostiquer
Plus en détailLombalgies inflammatoires de l homme jeune
Lombalgies inflammatoires de l homme jeune Auteur : Dr Éric TOUSSIROT, Besançon Comité éditorial : Dr Laure GOSSEC, Paris Dr Henri NATAF, Mantes-La-Jolie Relecteurs CFMR : Pr Bernard DUQUESNOY, Lille Pr
Plus en détailService évaluation des actes professionnels
TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailTRAITEMENT DE LA MIGRAINE. programme aux résidents de neurologie
TRAITEMENT DE LA MIGRAINE programme aux résidents de neurologie LA MIGRAINE Classification I.H.S. 1.1 Migraine sans aura 1.2 Migraine avec aura 1.2.1 Migraine avec aura typique 1.2.2 Migraine avec aura
Plus en détail