La cellule est la plus petite unité de la matière vivante. Nous allons donc commencer par décrire la composition chimique de cette matière vivante.
|
|
- Lucie Rochon
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 2 La cellule eucaryote La cellule est la plus petite unité de la matière vivante. Nous allons donc commencer par décrire la composition chimique de cette matière vivante. I. c omposition chimique De La MatIÈre VIVaNte Les composés chimiques constituant la matière vivante peuvent se répartir en deux grandes catégories : ¾¾Les composés organiques, c est-à-dire constitués d atomes de carbones. Il s agit des glucides (voir chapitre 7, p. 197), des lipides (voir chapitre 8, p. 225), des protides (voir chapitre 9, p. 257) et des composés nucléiques (voir chapitre 3, p. 57). ¾¾Les composés inorganiques, c est-à-dire sans atomes de carbones. Il s agit de l eau (H 2 O) et des minéraux. A. L eau Chez l Homme, l eau représente environ 65 % du poids corporel (c est-à-dire à peu près 40 l pour une personne de 70 kg), un peu plus chez un enfant (environ 70 %), et un peu moins chez la personne âgée (environ 50 %). Selon les tissus considérés, on la retrouve dans des proportions différentes : ¾¾Sang : 83 % ¾¾Cerveau : 80 % ¾¾Muscle : 75 % ¾¾Tissu osseux : 40 à 60 % ¾¾Tissu adipeux : 15 à 35 % Il en est de même pour les aliments : ¾¾Melon : 95 % ¾¾Laitue : 95 % ¾¾Carotte : 85 % ¾¾Pomme de terre : 78 % ¾¾Blé : 70 % ¾¾Jaune d œuf : 75 % ¾¾Poisson : 80 % 1. Structure et polarité de l eau L eau est composée de 2 atomes d hydrogène et un atome d oxygène. Elle est globalement neutre, mais également polaire. C est-à-dire qu elle présente une charge électrique partielle négative, notée δ, sur l atome d oxygène, et une charge électrique partielle positive, notée δ +, sur chaque atome d hydrogène (Figure 1). 33 BAH1_ch02.indd 33 23/01/ :09
2 Biologie À cause de cette polarité, à l état liquide, les molécules d eau adjacentes peuvent former des liaisons hydrogène, liaisons entre deux charges opposées (Figure 1). δ + H H δ+ O δ H δ+ O δ H δ+ une molécule d eau polaire O H δ+ H δ + δ O δ H δ+ H δ + O δ H δ + H δ + liaison hydrogène entre charges partielles opposées Figure 1 Structure de l eau, une molécule polaire À l état liquide, ces liaisons varient constamment, car les molécules d eau se déplacent. Par contre, à l état solide lorsque l on baisse la température (0 C), les molécules d eau ne peuvent plus se déplacer, les liaisons hydrogène se stabilisent, et la structure se fi ge en position cristalline. Enfi n, lorsque l on augmente la température (100 C), l énergie thermique entraîne une forte agitation des molécules. Celle-ci va alors provoquer la rupture des liaisons hydrogènes ; l eau est alors à l état gazeux sous forme de vapeur. 2. Rôles biologiques Solvant biologique L eau assure la dissociation et la dispersion de certaines substances. Ces substances qui se dissolvent facilement dans l eau sont dites hydrophiles. Elles sont composées d ions ou de molécules polaires, qui attirent les molécules d eau par l effet de leur charge électrique. Les molécules d eau vont alors entourer chaque ion ou molécule polaire à la surface d une substance solide, et les mettre en solution. Ces ions ou molécules sont dits solubles en solvant aqueux. Prenons l exemple du sel de cuisine, le chlorure de Sodium (NaCl). Les molécules d eau vont entourer les ions sodium (Na + ) et chlorure (Cl ) provoquant leur dissociation, et donc leur mise en solution (Figure 2). Chlorure de sodium (solide) H Chlorure de sodium (en solution) H Na Cl eau H H O δ O Na + O δ δ O H H O H H Cl H Hδ Hδ δ + δ + H δ + O δ + H H O Figure 2 Exemple d une substance hydrophile et soluble en aqueux, le NaCl 34 BAH1_ch02.indd 34 23/01/ :09
3 La cellule eucaryote Les molécules qui contiennent une prépondérance de liaisons non polaires (non électrostatiques), comme par exemple un groupement aliphatique (groupement composé uniquement d atomes de carbone et d hydrogène), sont insolubles dans l eau. Elles sont dites hydrophobes. Grâce à cette propriété de l eau, l eau biologique est utilisée comme de transport pour les molécules solubles (par exemple, l eau contenue dans le sang permet le transport du glucose). Réactif dans les réactions biochimiques d hydrolyse L eau va être utilisée comme réactif dans les réactions d hydrolyse permettant de rompre une liaison entre deux composés d une substance telle que : A B + H 2 O A OH + B H Par exemple, lors de la digestion, il va y avoir hydrolyse d un glucide, le saccharose, tel que : Saccharose + H 2 O glucose + fructose Protection mécanique Elle joue le rôle de lubrifiant dans les mucus, ou bien encore d amortisseur mécanique. Par exemple, le liquide céphalorachidien protège le cerveau et la moelle épinière des chocs. Thermorégulateur Par exemple, lors d un effort physique, les muscles libèrent de l énergie thermique. L eau va la répartir dans tout l organisme, et l évacuer au niveau cutané grâce à la sudation. B. Les minéraux Dans l organisme, les minéraux sont présents sous forme d électrolyte, c est-à-dire sous forme ionique, dans les liquides biologiques ou sous la forme de cristaux, comme par exemple le phosphore et le calcium au niveau du tissu osseux. On distingue trois grands types de minéraux en fonction de leur quantité dans l organisme : Les macro-éléments Un macro-élément est un minéral qui, chez un homme de 70 kg, représente plus de 10 grammes. Il s agit du : ¾¾Calcium (Ca), g ¾¾Phosphore (P), 780 g ¾¾Potassium (K), 200 g ¾¾Soufre (S), 200 g ¾¾Sodium (Na), 100 g ¾¾Chlore (Cl), 100 g ¾¾Magnésium (Mg), 20 g (Moyen mnémotechnique : «Catherine Pèse 50 Kg Sans sel (NaCl) et sans Manger»). Les micro-éléments Un micro-élément est un minéral qui, chez un homme de 70 kg, représente entre 1 mg et 10 g. Il s agit de l iode (I), du fluor (F), du fer (Fe), du zinc (Zn) et du brome (Br). (Moyen mnémotechnique : «Ils font faire un zinc en brome»). 35 BAH1_ch02.indd 35 23/01/ :09
4 Biologie Les oligoéléments Un oligoélément est un minéral qui, chez un homme de 70 kg, représente moins de 1 mg. Il s agit de Molybdène (Mo), du manganèse (Mn), du chrome (Cr), de l étain (Sn), du cuivre (Cu), du cobalt (Co) et du silicium (Si). (Moyen mnémotechnique : «Monsieur Manganèse Croit avoir éteint la Cuisine Comme d habitude, Six fois aujourd hui»). Tous ses éléments jouent des rôles importants dans l organisme sous forme d électrolytes. Par exemple : ¾¾Le Ca 2+, dans de la contraction musculaire, ¾¾Le Fe 2+, dans le transport du dioxygène, ¾¾Le Na +, K + et Cl -, dans la transmission nerveuse, ¾¾Le Fe 2+, Mg 2+, Cu 2+ et Zn 2+, comme cofacteur enzymatique. II. L a cellule eucaryote La cellule est donc la plus petite unité de la matière vivante, c est-à-dire la plus petite unité structurale et fonctionnelle du monde vivant. Elle est donc dotée d un métabolisme (Ensemble des transformations moléculaires et énergétiques permettant le fonctionnement cellulaire) permettant sa croissance, et est capable de se reproduire. Il existe deux types de cellules : les cellules eucaryotes, «avec noyau» et les cellules procaryotes, «sans noyau» (voir chapitre 17, p. 439). Les organismes peuvent être unicellulaire (une cellule) ou pluricellulaire (des milliers voire plus, de cellules. L Homme possède cellules). Dans ce dernier cas, les cellules sont alors différenciées, et spécialisées dans une fonction biologique particulière. Les cellules spécialisées dans une même fonction forment un tissu (Exemple : les ostéoblastes, ostéocytes et ostéoclastes forme le tissu osseux), et un ensemble de tissus dont les fonctions sont complémentaires forme un organe. Enfin, les organes concourant à une même fonction (de nutrition, de reproduction, ou de communication) sont rassemblés en système (Exemple : la bouche, l œsophage, l estomac, le pancréas, le foie, la vésicule biliaire, l intestin et le côlon forment le système digestif). Il en existe 11 principaux : les systèmes tégumentaire, squelettique, musculaire, nerveux, endocrinien, cardiovasculaire, lymphatique, respiratoire, digestif, urinaire et reproducteur. A. Ultrastructure de la cellule eucaryote La cellule est limitée par une membrane, la membrane plasmique ou cellulaire, qui constitue une frontière physique, mais également un médiateur des échanges entre le extracellulaire et le compartiment intracellulaire. Elle contient le noyau, «ordonnateur» de toutes les fonctions biologiques, qui contient le matériel génétique, et le cytoplasme, «salle des machines» de l activité cellulaire. Ce dernier est constitué d une substance fondamentale, le cytosol ou hyaloplasme, siège du métabolisme, dans lequel baignent les éléments de la cellule, les organites, structures spécialisées dans des fonctions particulières, délimitées du reste de la cellule par un système membranaire, et des inclusions inertes (produits de réserve comme par exemple, les rosettes de glycogène, déchets). 36 BAH1_ch02.indd 36 23/01/ :09
5 La cellule eucaryote L ultrastructure de la cellule eucaryote, avec ses principaux organites et les différenciations typiques, est présentée dans la Figure 3, à l aide d une représentation schématique de la cellule épithéliale (cellule composant le tissu épithélial, tissu où les cellules sont jointives). cil vésicule d endocytose glycocalix microvillosité jonction serrée réticulum endoplasmique lisse (REL) centriole noyau cytosol jonction communicante rosette de glycogène (inclusion de réserve) desmosome polysome ribosome cytosquelette réticulum endoplasmique rugueux (RER) lysosome peroxysome appareil de Golgi vésicule golgienne vésicule d exocytose mitochondrie lame basale hémidesmosome espace intercellulaire Figure 3 Ultrastructure de la cellule eucaryote ; exemple de la cellule épithéliale B. La membrane plasmique 1. Structure Lorsqu on l observe au MET, il apparaît une structure tripartite. On visualise deux feuillets sombres de 2 nm séparés par un espace clair. Cette structure tri-feuilletée repose sur son constituant principal, le phospholipide (voir chapitre 8, p. 225). La membrane plasmique est en fait une bicouche phospholipidique (Figure 4). Ce lipide possède deux régions distinctes par leur comportement par rapport à l eau. Il présente une région hydrophile, que l on nomme «tête hydrophile» et une région hydrophobe, que l on nomme «queues hydrophobes». De par cette propriété, les têtes vont donc s orienter vers les x extra- et intracellulaire (x aqueux), et les queues, vers l intérieur de cette structure, au centre, pour éviter au maximum le contact avec l eau. Les deux feuillets sombres correspondent donc aux têtes, et l espace clair aux queues des phospholipides (Figure 4). 37 BAH1_ch02.indd 37 23/01/ :09
6 Biologie au MET : feuillet sombre feuillet clair extracellulaire intracellulaire tête hydrophile queues hydrophobes phospholipide bicouche phospholipidique Figure 4 La membrane plasmique au microscope électronique à transmission Les phospholipides ne sont pas les seuls constituants de la membrane plasmique. On y trouve également du cholestérol, des protéines et des glucides. Une représentation schématique de son ultrastructure est présentée en Figure 5. extracellulaire groupement glucidique phospholipide glycolipide groupement glucidique protéine intrinsèque glycoprotéine glycocalix couche externe couche interne bicouche phospholipidique intracellulaire protéine intrinsèque cholestérol protéine extrinsèque Figure 5 Ultrastructure de la membrane plasmique, modèle de la mosaïque fluide En terme de masse, et selon le type cellulaire, on trouve entre 30 et 50 % de lipides, 50 à 70 % de protéines, et entre 2 et 10 % de glucides dans la membrane plasmique. On distingue deux sortes de protéines membranaires : ¾¾Les protéines intrinsèques (intégrées ou transmembranaires), c est-à-dire associées fortement à la bicouche lipidique. Les transporteurs ou les pompes sont par exemple des protéines intrinsèques de la membrane plasmique ; ¾¾Les protéines extrinsèques (liées aux protéines intrinsèques). Certaines enzymes sont par exemple des protéines extrinsèques. Elles assurent différentes fonctions : ¾¾Récepteurs membranaires ; ¾¾Reconnaissance cellulaire ; ¾¾Adhérence cellulaire ; ¾¾Formation de pores, ou canaux pour le passage d eau, des ions ou molécules ; ¾¾Enzymes. Il n y a pas de glucides libres. Soit, ils sont associés à des lipides (glycolipides), soit, à des protéines (glycoprotéines). L ensemble des groupements glucidiques tapissant la couche externe de la membrane plasmique définit le glycocalix ou «cell coat». La membrane plasmique n est pas une structure figée. On parle de fluidité membranaire. 38 BAH1_ch02.indd 38 23/01/ :09
7 La cellule eucaryote Ces composants peuvent se déplacer librement : ¾¾Les lipides peuvent diffuser latéralement au sein d une monocouche, tourner autour de leur axe, et peuvent même basculer d une couche à l autre (plus rares) ; ¾¾Les protéines peuvent diffuser latéralement, et effectuer des rotations. Les protéines extrinsèques ont de mouvements plus importants que ceux des protéines transmembranaires, puisque ces dernières traversent les deux couches phospholipidiques. Par exemple, certains transporteurs protéiques subissent un simple changement de conformation pour assurer leur fonction de transport. De par sa composition moléculaire hétérogène et sa fluidité, on considère la structure moléculaire de la membrane plasmique comme une «mosaïque fluide». Plusieurs paramètres peuvent jouer sur cette fluidité : ¾¾La composition lipidique : plus il y a de sphingomyélines (un type de phospholipide, voir chapitre 8, p. 225) ou de cholestérols, plus la fluidité diminue, et plus la membrane plasmique devient rigide ; ¾¾La nature des acides gras (voir chapitre 8, p. 225) : plus il y a d acides gras insaturés, plus la fluidité membranaire augmente. De même, plus la chaîne carbonée d acide gras est longue, plus la fluidité diminue et plus la membrane plasmique devient rigide ; ¾¾La composition protéique : plus il y a de protéines, plus la fluidité diminue ; ¾¾La température : le froid diminue la fluidité membranaire. 2. Rôles La membrane plasmique délimite donc la cellule ; elle sépare le intracellulaire du extracellulaire. Elle est à distinguer des endomembranes qui délimitent les organites. De par sa composition, elle représente une barrière de perméabilité très sélective. La membrane plasmique a donc le double rôle de protection et de zone d échanges entre le intracellulaire et extracellulaire. Selon le type cellulaire, et donc selon la fonction cellulaire, la membrane plasmique peut être spécialisée : Spécialisation permettant d augmenter sa surface Il s agit des microvillosités (Figure 3). Ce sont des prolongements cytoplasmiques cylindriques de la membrane plasmique. Le but est d augmenter la surface d échanges, et donc, de permettre une meilleure absorption des nutriments, par exemple, dans le cas des cellules intestinales. Spécialisation impliquée dans l adhésion et la communication des cellules Il s agit des jonctions intercellulaires. Celles-ci diffèrent en fonction de leur étendue, et de leur fonction. Selon l étendue de la jonction, on trouve la : ¾¾Zonula : formant une bande continue tout autour de la cellule, ¾¾Fascia : relativement étendue, ¾¾Macula : ponctuelle. Selon leur fonction, elles sont de type (Figure 3) : ¾¾Serrée ou occludens ou «Tight junction» : si elle obture l espace intercellulaire. Ces jonctions sont imperméables. En effet, les feuillets externes des deux membranes sont jointifs établissant un contact si étroit qu il obture complètement l espace intercellulaire et empêche le passage de toute substance ; 39 BAH1_ch02.indd 39 23/01/ :09
8 Biologie ¾¾Communicante ou «Gap junction» : si elle permet des communications d une cellule à l autre. Ces jonctions sont dites communicantes, car elles permettent à de petites molécules (vitamines, acides aminés, oses ) de passer directement du cytoplasme d une cellule au cytoplasme de l autre. Mais elles ne permettent pas le passage de macromolécules (protéines, acides nucléiques ). Chacune des membranes cellulaires qui fait partie de la jonction, possède des protéines appelées connexines qui s associent en connexon (héxamère de connexines) qui forme un canal. Chaque connexon d une membrane est connecté dans l espace extracellulaire à un connexon de la deuxième membrane jonctionnelle, reliant ainsi les x internes des deux cellules adjacentes ; ¾ ¾«Adherens» : il s agit des desmosomes et des hémidesmosomes. Elles interviennent surtout dans la cohésion intercellulaire. Ces jonctions agissent comme des «boutons de pression» pour maintenir les cellules attachées en des points de contact (desmosome), ou pour maintenir la cellule à sa lame basale (hémidesmosome). Elles servent également de points d ancrage pour les fi laments intermédiaires (voir Le cytosquelette, p. 47) qui s étendent d un côté à l autre de la cellule. Remarque : dans le myocarde, les fi bres musculaires cardiaques sont unies par jonctions intercellulaires spécialisées, des disques intercalaires qui sont constitués de desmosomes et de jonctions communicantes (voir chapitre 4 sur les tissus, p. 83). Spécialisation dans les échanges, le transport transmembranaire La membrane plasmique n est pas perméable à toutes les molécules : on dit qu elle est semiperméable. On distingue trois types de transport membranaire : ¾¾Les mécanismes passifs : les cellules baignent dans une substance riche en substances dissoutes (glucose, oses, acides aminés, acides gras, vitamines ). La membrane est perméable à certaines substances et imperméable à d autres. Les mécanismes passifs sont ceux qui se font naturellement, c est-à-dire sans nécessité d énergie. Il en existe 3 : La diffusion simple (Figure 6) : elle tend à réaliser un équilibre de part et d autre de la membrane plasmique, c est-à-dire que les particules diffusent selon le gradient de concentration, du plus concentré vers le moins concentré. Le qui a la concentration moléculaire la plus importante est dit hypertonique. Et donc, celui qui a la concentration la moins importante est dit hypotonique. Quand les deux x sont à la même concentration, on parle d isotonie. Ce type de transport concerne, par exemple, le dioxygène. L osmose (Mécanisme de diffusion simple, mais qui concerne l eau) (Figure 7) : la membrane plasmique est très perméable à l eau. Celle-ci diffuse dans le sens contraire du gradient de concentration, du le moins concentré vers le plus concentré («pour diluer»). Prenons un exemple, si on place une cellule sanguine de concentration NaCl à 9 % dans un où la concentration est supérieure à 9 % (donc dans un hypertonique), l eau sort de la cellule et celle-ci se contracte. Ce phéno hypertonique membrane plasmique hypotonique Figure 6 La diffusion simple, mécanisme passif du transport transmembranaire hypertonique membrane plasmique hypotonique H 2 O Figure 7 L osmose, mécanisme passif du transport transmembranaire 40 BAH1_ch02.indd 40 23/01/ :09
9 La cellule eucaryote mène est nommé «plasmolyse». Par contre, si on la place dans un à 6 % (donc, dans hypotonique), l eau rentre dans la cellule, et elle gonfle. Ce phénomène est appelé «turgescence», la cellule risque même d éclater. Ce phénomène est nommé «hémolyse». La diffusion facilitée (Figure 8) : le mécanisme est le même que celui de la diffusion simple : déplacement des particules selon le gradient de concentration. Mais, cette fois-ci, les particules ne diffusent pas toutes seules à travers la membrane. Ce transport, qui est spécifique, se fait par l intermédiaire d une protéine formant soit un canal protéique, soit un transporteur. ¾¾Le transport actif primaire (Figure 9). Ce transport ne se fait pas naturellement, il nécessite de l énergie, généralement fournie par l hydrolyse de l ATP (Nucléotide possédant des liaisons riches en énergie chimique, voir chapitre 3, p. 57). Ceci, car les molécules sont transportées dans le sens contraire du gradient de concentration, c est-à-dire du moins concentré vers le plus concentré. Ce transport, qui est spécifique, est assuré par des transporteurs membranaires de nature protéique, nommés pompes. On les qualifie également d ATPase à cause de l hydrolyse de l ATP. membrane plasmique canal protéique Figure 8 La diffusion facilitée, mécanisme passif du transport transmembranaire membrane plasmique pompe ATPase énergie Figure 9 Le transport actif, mécanisme actif du transport transmembranaire Certaines particules ne présentent pas de transport spécifique. Dans ce cas, le transport de cette particule va être couplé à un transport spécifique. On parle de transport actif secondaire. Qu il soit passif ou actif, lorsque ce transport implique des protéines (diffusion facilitée et transport actif), il s organise selon trois modalités (Figure 10) : Il implique un transporteur protéique uniport : déplacement dans une direction d une seule particule à travers la membrane ; Il implique un transporteur protéique symport : déplacement dans la même direction d au moins 2 particules différentes à travers la membrane ; Il implique un transporteur protéique antiport : déplacement dans des directions opposées d au moins 2 particules différentes à travers la membrane. transporteur protéique membrane plasmique Uniport Symport Antiport Figure 10 L uniport, le symport et l antiport 41 BAH1_ch02.indd 41 23/01/ :09
10 Biologie ¾¾Le transport vésiculaire. Ce transport nécessite également la production d énergie, et donc l hydrolyse d ATP. Il existe différents types de transport vésiculaire : L exocytose (Figures 3 et 11) : sécrétion dans le extracellulaire de substances présentes dans la cellule. La substance est enfermée dans une vésicule d exocytose (sac membraneux qui fusionne avec la membrane plasmique et s ouvre vers l extérieur en relâchant la substance en question). membrane plasmique extracellulaire intracellulaire exocytose vésicule fusion de la vésicule avec la membrane Figure 11 L exocytose L endocytose par récepteur interposé (Figure 12) : la substance venant de l extérieur se lie à des récepteurs membranaires (de nature protéique), des vésicules d endocytose se forment à la surface de la membrane et s ouvrent vers l intérieur en relâchant la substance en question. récepteur membranaire endocytose vésicule extracellulaire intracellulaire membrane plasmique Figure 12 L endocytose par récepteur interposée L endocytose (Figures 3 et 13) : une grosse particule externe (protéine, bactérie, débris cellulaire) est entourée par des «pieds» (pseudopodes), ou invagination, et est enfermée dans une vésicule d endocytose. endocytose invagination ou pseudopode extracellulaire intracellulaire membrane plasmique vésicule Figure 13 L endocytose 42 BAH1_ch02.indd 42 23/01/ :09
11 La cellule eucaryote La pinocytose (endocytose d un liquide) (Figure 14) : la membrane plasmique s invagine sur une gouttelette de liquide externe contenant de petits solutés ; les bords de la membrane fusionnent en formant une vésicule de pinocytose remplie de liquide. endocytose liquide extracellulaire vésicule extracellulaire intracellulaire membrane plasmique Figure 14 La pinocytose C. Le noyau 1. Ultrastructure L ADN (Acide DésoxyriboNucléotide) (voir chapitre 3, p. 57), molécule porteuse du programme génétique, est localisé au niveau du noyau. L ADN se réplique dans le noyau, c està-dire qu il produit des répliques de lui-même. Le noyau est donc indispensable à la vie cellulaire, car il joue un rôle fondamental dans la synthèse de la matière vivante, dans la division cellulaire et dans les mécanismes de l hérédité. En général, le noyau est une masse sphérique ou ovoïde (en forme d œuf) qui se trouve au centre de la cellule. La forme est en corrélation directe avec la forme de la cellule. Par exemple, il est sphérique dans les cellules globuleuses (par exemple, dans les lymphocytes, cellules immunitaires), ovoïdes dans les cellules prismatiques (par exemple, dans les cellules épithéliales) et aplati dans les cellules à cytoplasme réduit (par exemple, dans les adipocytes). Sa situation et sa taille sont également fonction de la différenciation de la cellule. Dans la plupart des cas, chaque cellule contient un seul noyau. Néanmoins, certains types cellulaires possèdent occasionnellement deux noyaux (par exemple, les hépatocytes), ou régulièrement plusieurs noyaux (par exemple, les ostéoclastes, cellules responsables de la résorption du tissu osseux). Certains types cellulaires sont également dépourvus de noyau (par exemple, les globules rouges), mais dérivent en fait de cellules qui, au cours de leur différenciation, l ont éliminé. Enfi n, certaines cellules sont polynucléées (par exemple, les cellules musculaires squelettiques striées). La localisation du noyau est, le plus souvent, centrale, mais il existe aussi des cellules ayant un noyau périphérique comme les cellules musculaires squelettiques striées ou les adipocytes. L ultrastructure du noyau est présentée dans la Figure 15, à l aide d une représentation schématique. 43 BAH1_ch02.indd 43 23/01/ :09
12 Biologie membrane externe espace périnucléaire membrane interne enveloppe nucléaire pore nucléaire RER euchromatine hétérochromatine nucléoplasme nucléole Figure 15 Ultrastructure du noyau 2. L enveloppe nucléaire Elle délimite le noyau. Elle est formée de 2 membranes, une membrane externe au contact du cytoplasme, et une membrane interne au contact du nucléoplasme, séparées par l espace périnucléaire. La membrane externe est en continuité avec la membrane du réticulum endoplasmique, porte des ribosomes, et fait partie du réseau endomembranaire interne (voir Le réseau endomembranaire interne, p. 45). En certains points de la surface nucléaire, les deux membranes sont en continuité, délimitant des canaux aqueux de communication entre les compartiments nucléaire et cytoplasmique, les pores nucléaires. Ces pores représentent environ 30 % de la surface de l enveloppe. 3. La chromatine La chromatine est la forme sous laquelle se présente l ADN dans le noyau (voir chapitre 3, p. 57). Lorsqu on l observe au MET, on distingue 2 types de chromatine : ¾¾Une chromatine apparaissant claire et se situant plutôt au centre du noyau. Il s agit de la chromatine diffuse ou euchromatine ; ¾¾Une chromatine apparaissant sombre et se situant plutôt en périphérie du noyau au contact de l enveloppe. Il s agit de la chromatine condensée ou hétérochromatine. 4. Le nucléole Le nucléole est un amas de chromatine plus ou moins condensée. Il est un sous-compartiment nucléaire où se produit la transcription des ARN ribosomiques, qui constituent avec des protéines, les deux sous-unités des ribosomes (voir chapitre 3, p. 57). 5. Le nucléoplasme Le nucléoplasme est une substance fondamentale qui contient en moyenne entre 70 % et 90 % d eau. Il est riche en enzymes intervenant entre autres dans la synthèse de l ADN et de l ARN, ou permettant le stockage intracellulaire de produits de réserve, comme des lipides, des glucides et des nucléotides. 44 BAH1_ch02.indd 44 23/01/ :09
13 La cellule eucaryote D. Le réseau endomembranaire interne Ce réseau comprend la membrane externe de l enveloppe nucléaire, le réticulum endoplasmique, l appareil de Golgi, les lysosomes et les vésicules de sécrétion. 1. Le réticulum endoplasmique Le réticulum endoplasmique (Figures 3 et 17) forme des cavités tubulaires qui communiquent entre elles. Il existe 2 types de réticulum : ¾¾Le réticulum endoplasmique lisse (REL) ou agranaire : il a un rôle dans le stockage du Calcium (Ca) intracellulaire et un rôle dans la synthèse des lipides (voir chapitre 12, p. 345) ; ¾¾Le réticulum endoplasmique rugueux ou granuleux (RER ou REG) : il porte sur sa membrane des ribosomes fi xés par la grande sous unité. Ce réticulum joue un rôle dans la synthèse des protéines (voir chapitre 3, p. 57), et dans leur stockage ainsi que dans leur transport. Les ribosomes (Figure 16) sont des complexes ribonucléoprotéiques, c est-à-dire composés de protéines et d ARN (Acide ribonucléique, voir chapitre 3, p. 57). Leur fonction est de synthétiser les protéines en décodant l information contenue dans l ARN messager. Ils sont constitués de deux sous-unités, une petite et une grande, chacune possédant une fonction spécifi que lors de la synthèse protéique (voir chapitre 3, p. 57). grande sous-unité petite sous-unité Figure 16 Un ribosome 2. L appareil de Golgi L appareil de Golgi (Figures 3 et 17) et le réticulum endoplasmique rugueux sont en liaison directe : le RER décharge ses produits dans l appareil de Golgi. Celui-ci est formé de saccules aplaties superposées les unes aux autres. Un ensemble de saccules est nommé un dictyosome (il y a 3 à 6 saccules par dictyosome). On trouve généralement les dictyosomes à proximité du REG et du noyau. L appareil de Golgi participe à diverses synthèses cellulaires, et joue un rôle dans le transport, le stockage et le conditionnement de nombreux produits. Les protéines nouvellement synthétisées et introduites dans le RER ne correspondent pas tout à fait à la protéine défi nitive qui sera excrétée. Il y a un phénomène de maturation (modifications post-traductionnelles, voir chapitre 3, p. 57). L appareil de Golgi va ensuite les emballer dans des vésicules qui pourront soit, devenir des lysosomes primaires (voir Les lysosomes, p. 46), soit, fusionner avec la membrane plasmique pour que leur contenu soit exocyté. 45 BAH1_ch02.indd 45 23/01/ :09
14 Biologie La face de l appareil de Golgi en liaison avec le RER est nommée «face cis» (elle est convexe), et la face responsable de la formation des lysosomes et des vésicules de sécrétion est nommée «face trans» (elle est concave). 3. Les lysosomes Les lysosomes (primaires) (Figures 3 et 17) sont des sacs membraneux qui contiennent des hydrolases acides (lipases, glycoside hydrolases, protéases et nucléases), enzymes hydrolytiques chargées de la digestion d organites inutilisables dans la cellule, ou de certains matériaux exogènes (par exemple, des bactéries). La membrane des lysosomes est résistante à l action digestive des enzymes qu elle contient. Le rôle joué par cette membrane est d une importance capitale puisqu elle protège effi cacement le cytoplasme environnant contre le contenu corrosif du lysosome. Pour se protéger de l action de ses enzymes, la membrane du lysosome présente, du côté intra-vésiculaire, un revêtement glycoprotéique. Un lysosome secondaire (Figure 17) est issu de la fusion entre un lysosome primaire et une vésicule contenant le matériel à digérer (par exemple, une vésicule d endocytose contenant des matériaux exogènes à digérer). 4. Schéma bilan sur le réseau endomembranaire interne Les différents compartiments de ce réseau communiquent entre eux par des vésicules de transport. vésicule de transport lysosome secondaire RER endocytose lysosome noyau face trans face cis exocytose dictyosome golgien sens de la communication entre les compartiments Figure 17 Le réseau endomembranaire interne 46 BAH1_ch02.indd 46 23/01/ :09
15 La cellule eucaryote E. La mitochondrie La Figure 18 présente l ultrastructure de la mitochondrie. membrane externe espace intermembranaire membrane interne crête mitochondriale ADN mitochondrial matrice mitochondriale mitoribosome goutelette lipidique Figure 18 Ultrastructure de la mitochondrie Cet organite est délimité par une double membrane, une externe et une interne, séparées par un espace intermembranaire. La membrane interne est riche en enzymes impliquées dans le métabolisme énergétique (producteur d ATP) ; elle est composée de 75 % de protéines et de 25 % de lipides. Celle-ci s invagine en plusieurs points de sa surface formant les crêtes mitochondriales. Contrairement à la membrane externe, elle est quasiment imperméable, elle n est en fait perméable qu à l eau, au glycérol, à l urée, à l oxygène et aux acides gras à chaînes courtes. La membrane externe est riche en protéines de transfert permettant un échange accru entre le cytosol et l intérieur de mitochondrie, la matrice mitochondriale. Celle-ci est également un lieu important dans le métabolisme énergétique (par exemple, le cycle de Krebs, voir chapitre 15, p. 409, se déroule dans cette matrice). En dehors de son implication primordiale dans le métabolisme énergétique, elle participe également à la synthèse des hormones stéroïdiennes (voir chapitre 12, p. 345). Il est à noter que cet organite possède son propre matériel génétique, une molécule d ADN circulaire, et des ribosomes, appelés mitoribosomes. Elle est donc capable de se reproduire indépendamment de la cellule. L ensemble des mitochondries d une cellule est appelé «chondriome». F. Le cytosquelette, les cils et flagelles, et les centrioles 1. Le cytosquelette Le cytoplasme possède un réseau tridimensionnel de filaments allongés que l on nomme cytosquelette. Ces fi laments permettent de donner sa forme à la cellule, et participent aux mouvements cellulaires. On distingue trois types de filaments constituant le cytosquelette (Figure 3) : ¾¾Les microfilaments : ils sont constitués à partir de la polymérisation (en présence de Mg 2+ et de GTP) d un monomère d une protéine globulaire, l actine (actine G). De par cette composition, on les appelle également filaments d actine (actine F). Ils sont constitués 47 BAH1_ch02.indd 47 23/01/ :09
16 Biologie de deux brins d actine formant une double hélice. Ce sont les fi laments du cytosquelette les plus fins. Ils font environ 7 nm de diamètre ; ¾¾Les filaments intermédiaires : ce sont de longs bâtonnets droits ou courbés, composés de différentes protéines qui donnent une certaine rigidité au cytosquelette, et sont spécifi ques du type cellulaire (par exemple, les neurofi laments). Comme leur nom l indique, ils ont une taille intermédiaire ; leur diamètre est d environ 10 nm ; ¾¾Les microtubules : ce sont des bâtonnets creux formés à partir de la polymérisation (en présence de Mg 2+ et de GTP) d un monomère d une protéine globulaire constituée de deux sous-unités α et β, la tubuline. Ce sont les fi laments du cytosquelette les plus épais. Ils font environ 25 nm de diamètre. En interphase, ils sont disposés radialement à partir du centrosome (voir Les cils et fl agelles, p. 48). En mitose, lors de la division cellulaire, ils constituent le fuseau mitotique. Les microtubules se polymérisent en s allongeant vers la périphérie cellulaire, et peuvent y subir soit une stabilisation, soit une alternance entre des phases de dépolymérisation et de repolymérisation (phénomène d instabilité dynamique). Les microtubules qui présentent ainsi un fort taux de renouvellement, dits labiles ou dynamiques, interviennent par exemple, dans les mouvements des organites cytoplasmiques, et diffèrent des microtubules stables, qui constituent les centrioles, les cils et les flagelles. 2. Les cils et flagelles Les cils et flagelles (Figures 3 et 19) sont des prolongements cytoplasmiques spécialisés dans les mouvements cellulaires. Un cil est une courte projection cytoplasmique à la surface de la cellule. Il se compose de 9 paires de microtubules entourant une dixième paire centrale. Un ensemble de cils, grâce à leur mouvement coordonné, créent un courant unidirectionnel déplaçant les substances à la surface de la cellule. Une cellule possédant des cils est dite ciliée. Un flagelle est similaire à un cil, mais plus long. Dans une cellule, il est en général unique, et sert à propulser la cellule. Les spermatozoïdes, par exemple, ont un fl agelle. cil ou flagelle extracellulaire coupe transversale intracellulaire microtubule Figure 19 Les cils et flagelles 3. Les centrioles, et le centrosome Un centriole (Figures 3 et 20) est un cylindre comprenant 9 groupes de 3 microtubules. Une cellule en interphase comprend 2 centrioles (un diplosome) perpendiculaires l un à l autre, et en général proches du noyau. Ils sont entourés d un nuage protéique, ce qui forme le centrosome (Figure 20). Une cellule en mitose comprend 2 centrosomes, soit 4 centrioles. Leur rôle est de synthétiser les microtubules, et donc de coordonner et de réguler les mouvements intracellulaires. Ils jouent également un rôle important lors de la division cellulaire notamment dans la formation du fuseau mitotique, constitué de microtubules. 48 BAH1_ch02.indd 48 23/01/ :09
17 La cellule eucaryote 3 microtubules 1 microtubule 2 centrioles = 1 diplosome 9 groupes de 3 microtubules = 1 centriole 1 centrosome nuage protéique diplosome microtubule en cours de synthèse Figure 20 Les centrioles, et le centrosome G. Les peroxysomes Les peroxysomes (Figure 3) sont des sacs membraneux contenant des enzymes, les oxydases et catalases, neutralisant certaines substances toxiques. Ils interviennent donc dans la détoxification de la cellule. Par exemple, la catalase neutralise le peroxyde d hydrogène, qui est un radical libre (espèce chimique très réactive, responsable par exemple de l oxydation des acides gras, voir chapitre 8, p. 225), composé très toxique pour la cellule. On les trouve dans toutes les cellules mais principalement dans les cellules du foie, du rein et dans les polynucléaires éosinophiles. III. L e cycle cellulaire Un cycle cellulaire (Figure 21) est l ensemble des phases par lesquelles une cellule passe entre deux divisions successives. Ce cycle comprend 2 étapes principales que sont l interphase et la mitose. L interphase couvre la période fonctionnelle pendant laquelle les activités biochimiques sont intenses. C est une phase de croissance et de synthèse. Elle comprend trois phases : les phases G1, S et G2. Les phases G (pour «Gap») sont de phases de croissance, et la phase S (pour «Synthèse») est une phase de synthèse d ADN (voir chapitre 3, p. 57). La mitose, ou phase M, est la phase de division cellulaire pendant laquelle la cellule se reproduit. On parle de «reproduction conforme», car les 2 cellules fi lles générées à l issue de cette division, sont génétiquement identiques entre elles et à la cellule mère. 49 BAH1_ch02.indd 49 23/01/ :09
18 Biologie cellule mère Mitose M + 2 cellules filles génétiquement identiques G 2 G 1 S Interphase Figure 21 Le cycle cellulaire La mitose (Figure 22) comprend 4 phases : ¾¾La prophase (phase la plus longue) : la chromatine nucléaire se condense pour former des chromosomes (voir chapitre 3, p. 57). Chaque chromosome dupliqué (suite à la synthèse d ADN, en phase S), prend la forme de deux fi laments identiques, qui portent le nom de chromatides sœurs, et qui sont reliés par une petite région resserrée, le centromère. Le nucléole disparaît et l enveloppe nucléaire se fragmente. Les 2 centrosomes (qui se sont dupliqués lors de la phase G2 précédente) deviennent le point de départ de la croissance d un nouveau réseau de microtubules appelé fuseau mitotique. Lorsque ce fuseau croit, les 2 centrosomes sont repoussés vers les extrémités opposées de la cellule, les pôles. Certains microtubules du fuseau mitotique vont alors s attacher au centromère des chromosomes au niveau de structures appelées les kinétochores ; ¾¾La métaphase : les deux centrosomes se trouvent aux pôles opposés de la cellule. Grâce à leur attachement aux microtubules du fuseau mitotique, les chromosomes vont alors aligner leur centromère au centre de la cellule, nommé l équateur. L alignement des chromosomes forme la plaque équatoriale ; ¾¾L anaphase (phase la plus courte) : elle correspond au moment où les centromères se séparent brusquement et simultanément, grâce au raccourcissement des microtubules du fuseau mitotique. Les 2 chromatides d un chromosome vont alors se séparer et migrer vers les pôles opposés. On parle d ascension polaire. Ces chromatides deviennent alors des chromosomes fils indépendants ; ¾¾La télophase : une fois le déplacement des chromosomes terminés, ils sont répartis en 2 lots identiques situés à chaque extrémité de la cellule. Ils se décondensent, et redeviennent des fi laments de chromatine. Une nouvelle enveloppe nucléaire se reforme autour de chaque lot de chromosomes fils, et les nucléoles réapparaissent. Le fuseau mitotique se désintègre et disparaît. La dernière étape est la cytocinèse. Un anneau contractile de microfi laments se forme au centre de la cellule (sur le plan équatorial) séparant la cellule en 2 cellules filles. 50 BAH1_ch02.indd 50 23/01/ :09
19 La cellule eucaryote chromatide sœur Début prophase membrane plasmique centrosome microtubule du fuseau mitotique naissant centromère fragmentation de l enveloppe nucléaire chromosome dupliqué Fin prophase attachement des microtubules au centromère des chromosomes pôles opposés de la cellule équateur Métaphase fuseau mitotique plaque équatoriale alignement des centromères Anaphase chromosome fils ascension polaire des chromatides cellules filles Télophase reformation de l enveloppe nucléaire les chromosomes fils se décondensent reformant de la chromatine anneau contractile Figure 22 Les différentes étapes de la mitose 51 BAH1_ch02.indd 51 23/01/ :09
20 Biologie TESTER SES CONNAISSANCES Exercice 1 Relever les propositions exactes pour chaque QCM. Q L eau : A B C D est une molécule globalement neutre. est une molécule polaire. à l état solide, forme des liaisons hydrogènes stables avec ces congénères. joue le rôle d amortisseur mécanique dans l organisme. W La mitochondrie : A B C D possède une face cis et une face trans par rapport à son orientation dans la cellule. possède son propre matériel génétique sous forme circulaire. participe à la synthèse des hormones stéroïdiennes. possède une membrane interne qui s invagine sous forme de crête mitochondriale. E À propos des minéraux : A B C D dans l organisme, ils peuvent être sous forme ionisés. dans l organisme, ils peuvent être sous forme de cristaux. le calcium est un oligoélément pour l Homme. le sodium intervient dans la transmission nerveuse. R À propos de la cellule : A B C D il s agit d une entité biologique qui n est pas autonome. la cellule eucaryote possède un noyau, contrairement à la cellule procaryote. quand elles sont spécialisées dans une même fonction, elles forment un tissu. une cellule possède toujours une membrane plasmique. T À propos de l eau : A B C D l eau est une molécule apolaire, c est-à-dire qu elle est globalement neutre. à l état liquide, les molécules d eau montrent une structure cristalline. à l état solide, les molécules d eau sont soumises à une certaine agitation moléculaire. on trouve environ 40 litres d eau dans le corps d une personne de poids corporel de 70 kg. Y À propos des jonctions intercellulaires : A les jonctions serrées permettent le passage des petites molécules comme les acides aminés. B la zonula est une jonction cellulaire ponctuelle. C les jonctions gap sont constituées de protéines nommées connexines. D les desmosomes et hémidesmosomes sont des jonctions de type «adherens». 52 BAH1_ch02.indd 52 23/01/ :09
21 La cellule eucaryote U À propos du noyau : A B C D le nucléole est un sous-compartiment nucléaire où se produit la transcription des ARN de transfert. l enveloppe nucléaire est composée de deux bicouches phospholipidiques séparées par un espace périnucléaire. en interphase, on distingue l hétérochomatine et l euchromatine au microscope électronique à transmission. la membrane externe de son enveloppe porte des ribosomes. I À propos du réticulum endoplasmique : A B C D il fait partie du réseau endomembranaire interne de la cellule. le REL intervient dans le métabolisme des lipides. le REG intervient dans le métabolisme des protéines. il est formé de cavités tubulaires qui communiquent entre elles. O À propos des cils et flagelles : A il s agit de prolongements cytoplasmiques spécialisés dans les mouvements cellulaires. B les spermatozoïdes possèdent un cil qui leur permet de se propulser. C le flagelle est une ultrastructure cellulaire similaire à un cil, mais il est plus court. D une cellule ciliée déplace les substances à sa surface de manière unidirectionnelle. P À propos du cycle cellulaire : A l interphase est une phase de croissance et de synthèse pendant laquelle les activités biochimiques sont intenses. B la mitose comprend trois phases : les phases G1, S et G2. C la mitose permet de générer deux cellules filles génétiquement différentes. D l anaphase, phase la plus longue de la mitose, correspond à la séparation des chromatides des chromosomes. Exercice 2 Définir les phrases suivantes à l aide d un mot ou d une expression. Q Transport vésiculaire nécessitant de l énergie où la membrane plasmique s invagine autour d une gouttelette de liquide externe. W Complexe ribonucléoprotéique capable de décoder l information contenue dans l ARNm afin de synthétiser une protéine. E Organite cytoplasmique rempli d hydrolases acides. R Ensemble d organites cytoplasmiques possédant une double membrane, indispensables au métabolisme énergétique, et participant à la synthèse des stéroïdes. T Ultrastructure cylindrique responsable de la polymérisation des microtubules. 53 BAH1_ch02.indd 53 23/01/ :09
22 Biologie Y Phase de la mitose où les centromères des chromosomes s alignent sur une ligne fictive que l on nomme l équateur. U Mécanisme passif du transport membranaire qui concerne les mouvements d eau. I Sens du mouvement des solutés lorsque leur transport s effectue par diffusion simple. O Transporteur membranaire de nature protéique déplaçant dans la même direction deux particules différentes. P Organite cytoplasmique rempli d oxydases et de catalases, intervenant dans la détoxification cellulaire. Exercice 3 Les entérocytes sont les cellules les plus internes de l intestin grêle, celles qui sont en contact avec le chyme (bouillie provenant des premières transformations du bol alimentaire). Leur principale fonction est de permettre le transit sélectif des nutriments de la lumière (intérieur) de l intestin grêle vers le intérieur en passant par le sang. À partir de vos connaissances, retrouvez les organites et spécialisations structurales de ces cellules. 54 BAH1_ch02.indd 54 23/01/ :09
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne
ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une
Plus en détailChapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire
UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE
Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailAnnales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)
Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr
Plus en détailCHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES
CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailLe trajet des aliments dans l appareil digestif.
La digestion. La digestion, c est la transformation des aliments en nutriments assimilables par l organisme. Dans le tube digestif, les aliments subissent une série de dégradations mécaniques et chimiques
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détail- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites
LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les
Plus en détailATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION
ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailLe rôle de l endocytose dans les processus pathologiques
UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailSéquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN
Séquence 1 Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Sommaire 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN 2. Variabilité
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailL univers vivant De la cellule à l être humain
L univers vivant De la cellule à l être humain La cellule humaine Voir : http://www.biologieenflash.net/sommaire.html Voir : http://fr.wikipedia.org/ La cellule humaine Unité de base de tous les êtres
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailAllégations relatives à la teneur nutritive
Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailÉcole secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534
École secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534 I. Rappel sur anatomie du système digestif Unité 3 La vie une question d adaptation 2 Unité 3 La vie une question d adaptation 3 Unité 3 La vie une
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailSECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène
SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailLa séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?
La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailSynthèse et propriétés des savons.
Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailINTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE
INTRODUCTION À L'ENZYMOLOGIE Les enzymes sont des macromolécules spécialisées qui - catalysent les réactions biologiques - transforment différentes formes d'énergie. Les enzymes diffèrent des catalyseurs
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailFormavie 2010. 2 Différentes versions du format PDB...3. 3 Les champs dans les fichiers PDB...4. 4 Le champ «ATOM»...5. 6 Limites du format PDB...
Formavie 2010 Les fichiers PDB Les fichiers PDB contiennent les informations qui vont permettre à des logiciels de visualisation moléculaire (ex : RasTop ou Jmol) d afficher les molécules. Un fichier au
Plus en détailT4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?
T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de
Plus en détailRespiration Mitochondriale
Université Pierre et Marie Curie Respiration Mitochondriale Objectifs au cours de Révisions Biochimie PCEM2 Révisions Biochimie Métabolique 2004-2005 Pr. A. Raisonnier (alain.raisonnier@upmc.fr) Mise à
Plus en détailcontributions Les multiples de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores
Les multiples contributions de la chimie dans la conception des tablettes et des Smartphones Jean-Charles Flores Jean-Charles Flores est spécialiste de l électronique organique au sein de la société BASF
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailCommentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre
Commentaires sur les épreuves de Sciences de la Vie et de la Terre Épreuve ÉCRITE de BIOLOGIE A...2 Épreuve ÉCRITE de BIOLOGIE B...9 Épreuve ORALE de BIOLOGIE...13 ANNEXE 1 : LISTE DES SUJETS D ORAL PROPOSÉS
Plus en détailSP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :
SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailne définition de l arbre.
LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement
Plus en détailDéshydratation, Inclusions, Coupes, et microscopie électronique à transmission
Déshydratation, Inclusions, Coupes, et microscopie électronique à transmission Valérie Messent Lobservation de tissus vivants en microscopie électronique à transmission impose des techniques de préparations
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailPrincipe de fonctionnement des batteries au lithium
Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /
Plus en détailECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey
ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailSéquence 4. La nature du vivant. Sommaire. 1. L unité structurale et chimique du vivant. 2. L ADN, support de l information génétique
Séquence 4 La nature du vivant Sommaire 1. L unité structurale et chimique du vivant 2. L ADN, support de l information génétique 3. Synthèse de la séquence 4. Exercices Devoir autocorrectif n 2 Séquence
Plus en détailBASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE
BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage
PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage I) Qu'est-ce qu'un savon et comment le fabrique-t-on? D'après épreuve BAC Liban 2005 Physique-Chimie dans la cuisine Chapitre 3 1/6 1- En vous
Plus en détailA B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent
1L : Physique et chimie dans la cuisine Chapitre.3 : Chimie et lavage I. Les savons et les détergents synthétiques 1. Propriétés détergentes des savons Le savon est un détergent naturel, les détergents
Plus en détailNotes. Schéma général PRODUCTION ÉLECTROLYTIQUE Composés inorganiques, nonmétaux
XXXX C25 PROCÉDÉS ÉLECTROLYTIQUES OU ÉLECTROPHORÉTIQUES; APPAREILLAGES À CET EFFET (électrodialyse, électro-osmose, séparation de liquides par l électricité B01D; usinage du métal par action d une forte
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailA retenir : A Z m n. m noyau MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE
CP7 MASSE ET ÉNERGIE RÉACTIONS NUCLÉAIRES I) EQUIVALENCE MASSE-ÉNERGIE 1 ) Relation d'équivalence entre la masse et l'énergie -énergie de liaison 2 ) Une unité d énergie mieux adaptée 3 ) application 4
Plus en détailCompétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur
Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailSéquence 2. L expression du patrimoine génétique. Sommaire
Séquence 2 L expression du patrimoine génétique Sommaire 1. La synthèse des protéines 2. Phénotypes, génotypes et environnement Synthèse de la séquence 2 Exercices de la séquence 2 Glossaire des séquences
Plus en détailPROCÉDÉS DE SÉPARATION MEMBRANAIRE ET LEUR APPLICATION DANS L INDUSTRIE ALIMENTAIRE
Siège social et station expérimentale 142, Rang Lainesse Saint-Norbert d Arthabaska Québec G0P 1B0 Téléphone : (819) 369-4000 Télécopieur : (819) 369-9589 REVUE DE LITTÉRATURE PROCÉDÉS DE SÉPARATION MEMBRANAIRE
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailComprendre l Univers grâce aux messages de la lumière
Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailL équilibre alimentaire.
L équilibre alimentaire. Une bonne nutrition est un incontestable facteur de bonne santé. Dans la médecine traditionnelle chinoise, certains aliments bien utilisés servent de remèdes pour prévenir et traiter
Plus en détailTable des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche
Table des matières Introduction! *! Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse! 1.1!Les!matériaux! 1.2!Solides,!liquides!et!gaz 1.3!Gaspiller!de!l énergie! 1.4!Le!carburant!du!corps! Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l
Plus en détailEpreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9
Epreuve de biologie... 2 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 9 Travaux pratiques de biologie... 17 Annexe : Liste des sujets de la session 2013... 26 Travaux d initiative personnelle encadrés
Plus en détailCHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailChapitre 5 : Noyaux, masse et énergie
Chapitre 5 : Noyaux, masse et énergie Connaissances et savoir-faire exigibles : () () (3) () (5) (6) (7) (8) Définir et calculer un défaut de masse et une énergie de liaison. Définir et calculer l énergie
Plus en détail(Actes non législatifs) RÈGLEMENTS
15.1.2011 FR Journal officiel de l Union européenne L 12/1 II (Actes non législatifs) RÈGLEMENTS RÈGLEMENT (UE) N o 10/2011 DE LA COMMISSION du 14 janvier 2011 concernant les matériaux et objets en matière
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailExercices sur le thème II : Les savons
Fiche d'exercices Elève pour la classe de Terminale SMS page 1 Exercices sur le thème : Les savons EXERCICE 1. 1. L oléine, composé le plus important de l huile d olive, est le triglycéride de l acide
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailSTRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES
Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/
Plus en détailSection «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée
EXAMENS D'ADMISSION Admission RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES MATIÈRES Préparation en 3 ou 4 semestres Formation visée Préparation complète en 1 an 2 ème partiel (semestriel) Niveau Durée de l examen
Plus en détailBanque Agro-Veto Session 2014 Rapport sur les concours A filière BCPST
1 Épreuve de biologie Épreuve non prise en compte au concours PC BIO Concours Nb cand. Moyenne Ecart type Note la plus basse Note la plus haute A BIO 2158 11,94 4,10 1 20 A ENV 883 13,54 3,69 1,5 20 Ce
Plus en détailDes molécules hydrophobes dans l eau
Des molécules hydrophobes dans l eau B. Cabane PMMH, ESPCI, Paris bcabane@pmmh.espci.fr Je remercie pour leurs contributions: D. Durand, B. Guillot, H. Lannibois-Drean, C. Pascal, C. Poncet-Legrand, A.
Plus en détail