I N S P E C T I O N R A P P O R T

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "I N S P E C T I O N R A P P O R T"

Transcription

1 Département de la santé et de l action sociale Service de la santé publique I N S P E C T I O N R A P P O R T In s t i t u t i o n An n é e T F qual.santepublique@vd.ch 1 de 26

2 RECUEIL D'INFORMATIONS Hôpitaux, cliniques, ambulatoires, apparentés ETAT DE VAUD Département de la santé et de l'action sociale Service de la santé publique Structure du recueil d'informations Page de garde Présentation de l'établissement Chapitre 1 Démarche qualité et incidents critiques Chapitre 2 Titulaire Chapitre 3 Responsabilités 3.1 Responsabilité d exploitation 3.2 Responsabilité médicale 3.3 Responsabilité infirmière Chapitre 4 Personnel 4.1 Dotation en personnel soignant 4.2 Service de garde ou de piquet Chapitre 5 Surveillance pharmaceutique 5.1 Responsabilité 5.2 Stockage Chapitre 6 Gestion des risques infectieux 6.1 Responsabilité 6.2 Hygiène et sécurité du personnel et des patients 6.3 Architecture et prévention des infections Chapitre 7 Laboratoire Chapitre 8 Stockage de sang et de produits sanguins Chapitre 9 Architecture 9.1 Nombre et type de lits 9.2 Chambres 9.3 Protection et lutte contre l incendie Chapitre 10 Droits des patients Chapitre 11 Publicité Chapitre 12 Suivi de l'inspection T F qual.santepublique@vd.ch 2 de 26

3 PRESENTATION DE L'ETABLISSEMENT Caractéristiques Nom de l'établissement Localité Titulaire de l'autorisation d'exploiter Date de la dernière autorisation d'exploiter Date de la dernière inspection Effectuée par Date de l'inspection Missions ou activités reconnues Effectuée par Population et activités Développements particuliers en lien avec les domaines du rapport T F qual.santepublique@vd.ch 3 de 26

4 1. DEMARCHE QUALITE ET INCIDENTS CRITIQUES Règlement cantonal du 26 janvier 2011 sur les établissements sanitaires et les établissements apparentés de droit privé dans le Canton de Vaud art. 22 et 23. Certificat délivré par un organisme reconnu ou démarche d amélioration continue (autoévaluation ) Organisme : Norme auditée : Validité : Laquelle : Démarche en suspens pour une durée déterminée Présence de démarche qualité. Les procédures de traitement des plaintes sont mises à disposition du service Type et nombre de plaintes : Nombre de plaintes portées devant la justice : Existence d un protocole d annonce des incidents critiques au médecin cantonal Nombre d incidents critiques rapportés au médecin cantonal Aucune démarche en cours 2. TITULAIRE Loi cantonale du 29 mai 1985 sur la santé publique art. 147 à 149. Règlement cantonal du 26 janvier 2011 sur les établissements sanitaires et les établissements apparentés de droit privé dans le Canton de Vaud art. 4 et 5. L'inscription au registre du commerce correspond à la réalité Des informations doivent être misent à jour (nom duprésident, but de l'entreprise, etc.) Pas d'inscription au registre du commerce T F qual.santepublique@vd.ch 4 de 26

5 Atteint 3. RESPONSABILITES Loi cantonale du 29 mai 1985 sur la santé publique art. 147 à 149b; Règlement cantonal du 26 janvier 2011 sur les établissements sanitaires et les établissements apparentés de droit privé dans le Canton de Vaud art. 7 à Responsabilité d exploitation Le responsable d exploitation est au bénéfice d une autorisation de diriger Le responsable d exploitation est au bénéfice d une autorisation de diriger Le taux d activité est suffisant pour permettre au responsable d exploitation d assurer la gestion de l établissement Une délégation de compétences existe et a été agréée par le Département Le responsable d exploitation a suivi des cours de formation continue dans les trois dernières années T F qual.santepublique@vd.ch 5 de 26

6 3.2 Responsabilité médicale Le médecin responsable est autorisé à pratiquer. Le médecin responsable remplaçant est autorisé à pratiquer. Le médecin responsable dispose d une formation postuniversitaire en lien avec la mission de l établissement. Laquelle : Le médecin responsable dispose d une formation postuniversitaire en lien avec la mission de l établissement. Laquelle : La surveillance et la formation des médecinsassistants est assurée 3.3 Responsabilité infirmière Une infirmierèrecheffe est nommée Son dossier a été validé par le Département T F qual.santepublique@vd.ch 6 de 26

7 4. PERSONNEL Loi cantonale du 29 mai 1985 sur la santé publique art. 147b; Règlement cantonal du 26 janvier 2011 sur les établissements sanitaires et les établissements apparentés de droit privé dans le Canton de Vaud art. 43 et Dotation en personnel soignant L établissement dispose du personnel qualifié en nombre suffisant. Norme de référence : 4.2 Service de garde ou de piquet L établissement est un hôpital ou une clinique qui offre un service d urgence L établissement dispose d une garde médicale sur site 24h/24 et 7j/7, ainsi que d un service de piquet. Ils disposent en outre de personnel infirmier formé au tri et à la prise en charge des urgences adultes et pédiatriques L établissement dispose uniquement d un service de piquet assumé par un médecin cadre En cas de délégation du piquet à un médecin assistant, celuici est au bénéfice d au moins 3 ans de pratique clinique et œuvre sou la responsabilité du médecin cadre Le médecin assumant le piquet est en mesure d intervenir dans les 30 minutes maximum T F qual.santepublique@vd.ch 7 de 26

8 5. SURVEILLANCE PHARMACEUTIQUE Loi fédérale du 15 décembre 2000 sur les produits thérapeutiques (LPTh) art. 3; Loi cantonale du 29 mai 1985 sur la santé publique art. 117; Règlement cantonal du 26 janvier 2011 sur les établissements sanitaires et les établissements apparentés de droit privé dans le Canton de Vaud art. 27 à Responsabilité Stock nominatif de médicaments (approvisionnement : dans une officine de ville avec des ordonnances nominatives) Un professionnel de santé qualifié est responsable du stockage de médicaments, de l organisation et de la surveillance de la distribution des médicaments dans l établissement. Son taux d activité et son cahier des charges sont fixés par écrit Un professionnel de santé qualifié est responsable du stockage de médicament. Qualification : Son taux d activité et son cahier des charges sont fixés par écrit Un professionnel de santé qualifié est responsable de l organisation et de la surveillance de la distribution des médicaments dans l établissement. Qualification : Son taux d activité et son cahier des charges sont fixés par écrit Pas de stock nominatif T F qual.santepublique@vd.ch 8 de 26

9 5.1.2 Pharmacie d'établissement (approvisionnement : grossiste) La pharmacie d établissement est placée sous la surveillance d un pharmacien. Le pharmacien est responsable du stockage de médicament, de l organisation et de la surveillance de la distribution des médicaments dans l établissement Son taux d activité et son cahier des charges sont fixés par écrit Pas de pharmacie d'établissement 5.2 Stockage Gestion des médicaments Les procédures de gestion des médicaments sont validées par le pharmacien responsable ou le pharmacien fournisseur La procédure d acquisition existe La procédure de stockage existe La procédure de distribution existe La procédure de remise existe La procédure d élimination existe La personne responsable du stockage fait des contrôles des endroits de stockage des médicaments La personne responsable du stockage établit un rapport sur les contrôles des endroit de stockage T F qual.santepublique@vd.ch 9 de 26

10 5.2.2 Locaux de stockage Les produits thérapeutiques sont stockés à l'écart du flux des personnes L accès aux produits thérapeutiques est réservé aux seules personnes autorisées La température des locaux et réfrigérateurs est contrôlée La température des locaux et réfrigérateurs est relevée Gestion des stupéfiants Pas de stupéfiants Les stupéfiants sont conservés sous clé séparément des autres médicaments Une comptabilité des entrées, sorties et état du stock est tenue Les documents justificatifs sont conservés pendant une période de 10 ans T F qual.santepublique@vd.ch 10 de 26

11 6. GESTION DU RISQUE INFECTIEUX Loi cantonale du 29 mai 1985 sur la santé publique art. 117; Règlement cantonal du 26 janvier 2011 sur les établissements sanitaires et les établissements apparentés de droit privé dans le Canton de Vaud art. 4 et 55 ; Exigences du Département de la santé et de l action sociale en matière d organisation et d équipement des locaux : Exploitation, construction ou transformation d établissements sanitaires dans le Canton de Vaud de juillet 1989 ; Loi fédérale du 18 juin 1993 sur la responsabilité du fait des produits (LPRF) ; Loi fédérale du 15 décembre 2000 sur les produits thérapeutiques (LPTh) ; Loi fédérale du 18 décembre 1970 sur la lutte contre les maladies transmissibles de l homme (Loi sur les épidémies); Ordonnance sur les dispositifs médicaux du 17 octobre 2001 (Odim) ; Ordonnance sur la prévention de la maladie de CreutzfeldJakob lors d interventions médicochirurgicales (OMCJ) ; Ordonnance sur le mouvement des déchets de 2005 ; Ordonnance 3 relative à la loi sur le travail (Hygiène, OLT3) du 18 août 1993 Directive pour la sécurité au travail (CFST) état janvier Responsabilité Une responsable d hygiène est nommé. Le responsable est au bénéfice d une formation ad hoc. Laquelle : Les activité qui se déroulent dans l instituion ne nécessitent pas la désignation d un responsable hygiène 6.2 Hygiène et sécurité du personnel et des patients Sécurité du personnel Nomination d un médecin du travail ou prise en charge par médecin du travail externe. T F qual.santepublique@vd.ch 11 de 26

12 Promotion annuelle de vaccination de grippe Couverture vaccinale du personnel est contrôlée Les procédures liées à la sécurité du personnel et à la prévention des infections font partie intégrante des recommandations d hygiène de l'établissement Présence de la procédure de la conduite à tenir en cas d'aes dans les lieux stratégiques Le matériel de sécurité et les protocoles d'utilisation de ce matériel sont à dispositon du personnel (masque, gants, lunettes, solution hydroalcoolique) Respect des MSST (notament mesures ergonomiques) Surveillance et prévention (sécurité patients) Nomination responsable de qualité et sécurité. Existence d un protocole pour la surveillance d éscarres Existence d un protocole pour la surveillance des chutes Existence d un protocole de lutte contre les erreurs médicamenteuses Existence d un protocole pour la surveillance : germes multirésistants Existence d un protocole pour la surveillance : bactériémies Existence d un protocole pour la surveillance : infections nosocomiales Existence d un protocole pour la surveillance : site opératoire Existence d un protocole pour la surveillance : consommation de solutions hydroalcoolique Suivi d indicateurs de qualité. Lesquelles : Connaissance et utilisation du site HPCI T F qual.santepublique@vd.ch 12 de 26

13 6.2.3 Gestion des déchets Le tri et l'élimination des déchets s'effectuent selon des procédures écrites et conformément aux directives en vigueur Les déchets coupant/tranchant sont conditionnés dans des safebox remplis au 2/3 au maximum Les déchets à risque infectieux sont conditionnés dans des sacs/conteneurs facilement identifiables Les déchets à risque infectieux sont centralisés dans un local dédié et sécurisé avant leur prise en charge à l'extérieur de l'établissement Les déchets à risque infectieux sont transportés par un transporteur autorisé jusqu'à l'usine d'incinération Gestion du linge Présence de procédures écrites décrivant le circuit et le stockage du linge propre ainsi que le tri et le circuit du linge sale Séparation entre le circuit propre et sale du linge Présence de supports adéquats pour les sacs à linge sale Linge traité intrahospitalier Linge traité extrahospitalier. Nom de l entreprise : Pas d utilisation de linge T F qual.santepublique@vd.ch 13 de 26

14 6.3 Architecture et prévention des infections Services ou locaux de soins La disposition des locaux favorise une bonne gestion des circuits propres et sales Les zones propres à risque (salles de soins, local pharmacie, local de stockage du matériel propre, tisannerie) sont en dehors du flux des personnes non autorisées Les zones sales à risque (vidoirs, local de stockage des DM utilisés, local de stockage des déchets) sont séparées des autres locaux Le mobilier est en bon état Les revêtements des surfaces verticales et horizontales sont en bon état et lessivables L'entretien des locaux est protocolé et les locaux sont bien entretenus y compris le chariot de ménage Réutilisation du matériel de soins à usage unique (UU) Le contrôle des dates de péremption des dispositifs médicaux (DM) est protocolé La maintenace des DM est agendée et les contrôles sont archivés Service de stérilisation Infrastructure Nomination d une responsable de la stérilisation. T F qual.santepublique@vd.ch 14 de 26

15 La planification des locaux et la prise en charge des DM est conforme aux recommandations de Swissmedic (bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux stériles) Revêtements des surfaces verticales et horizontales lessivables Entrée dans les zones propres et sales sécurisés Séparation physique entre la zone sale et la zone propre Marche en avant des DM, du plus sale au plus propre respectée Personnel Le personnel travaillant en stérilisation est formé Le personnel change de tenue vestimentaire en passant d une zone à l autre Matériel Prise en charge des DM depuis le lieu d'utilisation jusqu'au service de stérilisation protocolée Le matériel stérile est stocké à l'abri de la poussière et du flux des personnes Présence de protocole décrivant l entretien des locaux et/ou locaux biel entretenus Sécurité/traçabilité Etiquetage complet des emballages des DM retraités Eau et air contrôlés Procédé de stérilisation conforme à l'omcj Traçabilité des contrôles de routine des procédés de retraitement des DM Traçabilité de requalification opérationnelle (maintenance, certificats de validation) des appareils Documentation libération charges à disposition et archivée Pas de service de stérilisation T F qual.santepublique@vd.ch 15 de 26

16 6.3.3 Service de radiologie Nomination d une responsable de la radiologie. Les rapports d'inspection de l'ofsp sont archivés Les locaux sont entretenus selon des protocoles établis Pas de service de radiologie Service d endoscopie Nomination d une responsable pour le service d endoscopie. Infrastructure La planification des locaux et la prise en charge des endoscopes est conforme aux recommandations en la matière (salle d examen distincte de la salle de retraitement des endoscopes Local d examen d endoscopie dédié et adapté Présence d armoires de stockage dédiées, fermées et sécurisées Les locaux sont entretenus selon un protocole écrit Personnel Matériel de protection à disposition dans le local d examen et le local du retraitement des endoscopes Présence de tenues de protection pour le retraitement des endoscopes T F qual.santepublique@vd.ch 16 de 26

17 Existence de procédure de comportement en cas de AES et marche à suivre pour déclaration et consultation en cas d accident Patient Existence de protocole pour la prise en charge d un patient faisant l objet de mesures additionnelles Matériel Transport du matériel propre et sale adéquat Séparation physique entre la zone sale et la zone propre Marche en avant des endoscopes, du plus sale au plus propre respectée Existence d un protocole de traitement d endoscopes Traitement manuel des endoscopes Traitement en laveur désinfecteur Existence de protocole de maintenance des appareils, si laveur désinfecteur, planning du contrôle de routine et validation Pas de service d endoscopie Service de dialyse Nomination d une responsable pour le service de dialyse. Infrastructure Nombre de postes de dialyse : Distance de 2 mètres minimum entre deux postes Matériel de securite à portée de mains Possibilite d isoler un patient T F qual.santepublique@vd.ch 17 de 26

18 Protocoles pour l'entretien des locaux Personnel Présence de tenue de protection pour la prise en charge des patients dialysés Présence de procédure de comportement en cas de AES et marche à suivre pour déclaration et consultation en cas d accident Patient Présence de protocole pour la prise en charge d un patient faisant l objet de Mesures Additionnellesaux Précautions Standard Matériel Protocole pour l entretien des machines, maintenance, validation et archivage Gestion du stock de matériel Gestion des déchets maitrisée Protocole de surveillance des bactériémies et des infections du site d insertion Pas de service de dialyse Bloc opératoire Reconnaissance Tarmed : OP Cabinet OPI OPII OPIII Autocontrôle Nomination d une responsable du bloc opératoire. Infrastructure Nombre de salles d opération : Existence d un SAS d'aération avant de pénétrer et sortir du bloc opératoire Le circuit propre et sale est défini L entrée et la sortie du bloc opératoire sont sécurisée T F qual.santepublique@vd.ch 18 de 26

19 Entrée du personnel distincte de celle des patients Revêtements des surfaces verticales et horizontales lessivables et et facil à entretenir La salle d'opération est vide (mobilier et installations intégrées) hors activité opératoire Les fenêtres sont condamnées Branchement fixe des gaz médicaux assuré Les exigences de ventilation selon la directive SICC 993 sont respectées Existence de salle pré anesthésie et/ou de salle de réveil Existence de salle de repos fermée et à l écart des salles d opération pour le personnel travaillant au bloc op Existence d un bureau pour le ou la responsable du bloc opératoire Existence d un vestiaire pour le personnel avec marche en avant et séparation de zone propre et sale Personnel Présence d une fiche décrivant la technique de la désinfection chirurgicale des mains Mise à disposition d une tenue standard pour le bloc opératoire Mise à disposition d une tenue spécifique dans l enceinte de la salle d opération Mise à disposition du matériel de protection (gants, masques, masques à visière, lunettes, blouses et tabliers, conteneur à objets piquants/tranchants, tablier de plomb) Existence de procédure en cas de AES et marche à suivre pour déclaration et consultation en cas d accident Patient Existence de checklist patients Existence de protocole pour la prise en charge d un patient faisant l objet de Mesures Additionnelles Existence de protocole pour la technique de la désinfection du site opératoire et produit avec fiche technique et fiche de sécurité Matériel Séparation des circuits propres et sales du matériel Déconditionnement du matériel avant son entrée au bloc op Gestion des stocks de DM et produits thérapeutiques Contrôle et tracabilité de la température du réfrigérateur et congélateur Stockage du matériel stérile à l'abri du flux des personnes et de la poussière Existence d un vidoir ou local permettant la prédésinfection des DM après utilisation et stockage des déchets et du linge avant leur évacuation T F qual.santepublique@vd.ch 19 de 26

20 Existence de protocole pour la prise en charge du matériel après son utilisation Existence de traçabilité des contrôles de maintenance des dispositifs médicaux Linge et locaux Existence de protocole pour le stockage du linge propre, le tri du linge sale et l évacuation de ce dernier Entretien des locaux et d un protocole pour l'entretien Tracabilité de l entretien des locaux Protocole d utilisation des produits de désinfection et nettoyage des surfaces Pas de bloc opératoire 7. LABORATOIRE Loi fédérale sur l'assurancemaladie (LAMal) art. 38; Ordonnance sur l'assurancemaladie (OAMal) art. 54; Loi cantonale du 29 mai 1985 sur la santé publique art. 153a ; Règlement cantonal du 5 mars 1986 concernant les laboratoires d analyses pour la médecine humaine. 7.1 Laboratoire A B C Analyse uniquement dans le cadre de soins de base (pour l établissement et/ou un fournisseur de prestations externe) Analyses hors soins de base uniquement pour les besoins de l établissement diplôme universitaire formation supérieure (laborantin) Analyses hors soins de base uniquement pour les besoins de l établissement et sur prescription d un fournisseur de prestations externe Diplôme universitaire et formation post grade avec obtention du tite de FAMH Nomination d une responsable pour le laboratoire. T F qual.santepublique@vd.ch 20 de 26

21 Le laboratoire est inscrit à un contrôle de qualité externe Les maintenances des équipements sont faites Les maintenances des équipements sont documentées par écrit Les calibrations sont faites Les calibrations sont documentées par écrit Les rapports d analyse sont conservés au moins 5 ans (20 ans pour les analyses transfusionnelles) Pas de laboratoire d'analyses médicales 8. STOCKAGE DE SANG ET DE PRODUITS SANGUINS Loi fédérale du 15 décembre 2000 sur les produits thérapeutiques (LPTh) art 34; Règlement du 26 janvier 2011 sur les établissements sanitaires et les établissements apparentés de droit privé dans le Canton de Vaud art. 34 à Stockage de sang et produits sanguins A B C Manipulation de sang et produits sanguins autorisation Swissmedic Stockage de sang et produits sanguins sans manipulation autorisation Canton de Vaud Pas de stockage de sang Autocontrôle Nomination d une responsable pour le stockage de sang. T F qual.santepublique@vd.ch 21 de 26

22 Nomination d une responsable de l hémovigilance Les procédures de commande, contrôle à réception et stockage sont écrites Les procédures de retour et élimination sont écrites La procédure de transfusion est écrite La procédure d hémovigilance est écrite La traçabilité est assurée du fournisseur au receveur et inversément Ll annonce des incidents transfusionnels à Swissmedic est réglée Les réfrigérateurs et congélateurs ont un contrôle de température Les réfrigérateurs et congélateurs ont un enregistrement de température Les poches pour transfusion autologue sont stockées séparément Les documents sont conservés pendant 20 ans 9. ARCHITECTURE Règlement cantonal du 26 janvier 2011 sur les établissements sanitaires et les établissements apparentés de droit public dans le Canton de Vaud art. 45; Exigences du Département de la santé et de l action sociale en matière d organisation et d équipement des locaux : Exploitation, construction ou transformation d établissements sanitaires dans le Canton de Vaud de juillet Nombre et type de lits Les normes architecturales édictées par le Département sont respectées Le nombre de lits correspond aux informations dont dispose le Service de la santé publique (validation datant de moins de 2 ans) T F qual.santepublique@vd.ch 22 de 26

23 Le type de lits correspond aux informations dont dispose le Service de la santé publique Pas de lits 9.2 Chambres Chambres conformes aux recommandations architecturales Chambres à 1 lit : Chambres à 2 lits : Chambres à plus de 2 lits : Chaque chambre dispose d une salle de bain et toilettes Chaque lit dispose d une table de nuit et d une armoire L agencement respecte l intimité des personnes hospitalisées Chaque lit ou local sanitaire est pourvu d un système d appel du personnel Pas de chambres 9.2 Protection et lutte contre l incendie L établissement répond aux exigences de prévention et de lutte contre l incendie et les éléments naturels. Il dispose d un certificat de conformité délivré par l ECA L établissement a fait l objet d un rapport récent de l ECA (moins de 5 ans) T F qual.santepublique@vd.ch 23 de 26

24 L établissement doit réaliser des mises en conformité pour répondre aux normes AEAI 10. DROITS DES PATIENTS Loi cantonale du 29 mai 1985 sur la santé publique chapitre III ; Règlement cantonal du 26 janvier 2011 sur les établissements sanitaires et les établissements apparentés de droit privé dans le Canton de Vaud art Respect des droits des patients L établissement applique les dispositions liées au libre choix du professionnel et de l établissement sanitaire L établissement applique les dispositions liées à l accompagnement des patients en établissement L établissement applique les dispositions liées au droit à l information L établissement applique les dispositions liées au consentement libre et éclairé L établissement applique les dispositions liées à l interdiction des mesures de contraintes L établissement applique les dispositions liées au droit d accès au dossier L établissement connaît et diffuse la brochure sur le droit des patients T F qual.santepublique@vd.ch 24 de 26

25 11. PUBLICITE Loi cantonale du 29 mai 1985 sur la santé publique art. 150 ; Règlement cantonal du 26 janvier 2011 sur les établissements sanitaires et les établissements apparentés de droit public dans le Canton de Vaud art Publicité L établissement respecte la législation en matière de publicité en rendant publicdes informations objectives et véridiques par rapport à leurs activités Les informations rendues publiques ne sont pas objectives ou véridiques Les informations rendues publiques sont diffusées à large échelle et de manière systématique L établissement produit des publireportages T F qual.santepublique@vd.ch 25 de 26

26 12. MESURES CORRECTRICES Actions correctrices à effectuer immédiatement Actions correctrices à effectuer à courtterme (3 mois) Actions correctrices à effectuer à moyenterme (6 mois) Actions correctrices à effectuer à longterme (environ 1 an) Informations complémentaires à transmettre au Suite à donner à l inspection nbre nbre nbre nbre Personnes rencontrées : Pour le Service de la santé publique : Joëlle de Claparède Pia Raselli Copies Dr Karim Boubaker médecin cantonal Mme AnneSylvie Fontannaz pharmacien cantonal M. Thierry Monod division Hôpitaux T F qual.santepublique@vd.ch 26 de 26

BOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes

BOP: Environnement - Entretien des salles d'opération et des locaux annexes 1. ENTRETIEN À L OUVERTURE D UNE SALLE D OPÉRATION NON UTILISÉE AU DELÀ DE 24 H Nettoyer les surfaces (table d opération, table d instruments, éclairage opératoire, appareil d anesthésie), avec un chiffon

Plus en détail

Bio nettoyage au bloc opératoire

Bio nettoyage au bloc opératoire Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence

Plus en détail

Accueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale. Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA

Accueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale. Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA Accueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA PLAN Introduction Réglementation Circuit du personnel Procédure de Formation Accueil

Plus en détail

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel? L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.

Plus en détail

AUDIT BLOC OPERATOIRE

AUDIT BLOC OPERATOIRE AUDIT BLOC OPERATOIRE Forum Octobre 2006 G.Bossuat, inf, HPCI, CHUV 1 Rappel théorique Audit vient du mot latin «audire», écouter. L audit, est un processus méthodique, indépendant et documenté permettant

Plus en détail

«Bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux et audits des cabinets dentaires : des peurs à la réalité»

«Bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux et audits des cabinets dentaires : des peurs à la réalité» «Bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux et audits des cabinets dentaires : des peurs à la réalité» SSO-Fribourg, jeudi 12 février 2015 Dr Christine Cunier Adjointe du médecin-dentiste

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire

Plus en détail

Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional

Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut

Plus en détail

ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS

ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification

Plus en détail

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE

Plus en détail

COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE

COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE Client : JEAN CUISTOT TRAITEUR 31 RUE DE L 'OCEAN 17510 CHIVES jeancuistot.traiteur@club-internet.fr Tél. 05 46 33 64 21 Date de l'examen : 28-oct-2013 Technicien :

Plus en détail

Livret d accueil des stagiaires

Livret d accueil des stagiaires Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service

Plus en détail

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances

Plus en détail

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement

Plus en détail

ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE

ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE Instructions Merci : de répondre complètement à toutes les questions, d écrire lisiblement, de signer et dater

Plus en détail

BONNES PRATIQUES DE PHARMACIE HOSPITALIERE

BONNES PRATIQUES DE PHARMACIE HOSPITALIERE MINISTERE DE L EMPLOI ET DE LA SOLIDARITE MINISTERE DELEGUE A LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS BONNES PRATIQUES DE PHARMACIE HOSPITALIERE 1 ère édition juin 2001 SOMMAIRE

Plus en détail

Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard

Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Guide Romand pour la prévention des infections liées aux soins 1 Préambule Ce document est destiné à tous les professionnels travaillant dans les structures

Plus en détail

PROCEDURE ENREGISTREMENT

PROCEDURE ENREGISTREMENT Page 1 sur 7 ANNULE ET REMPLACE LES DOCUMENTS SUIVANTS référence 04/PR/001/02/V01 04/PR/001/02/V02 04/PR/001/02/V03 04/PR/001/02/V04 04/PR/001/02/V05 04/PR/001/02/V06 04/PR/001/02/V07 04/PR/001/02/V08

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE

REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE 1 ACTIVITES TECHNIQUES AIDE DENTAIRE / GESTION DU RISQUE INFECTIEUX Préparer et entretenir la salle de soins Entretenir la salle de stérilisation

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

Annexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité

Annexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation

Plus en détail

CHARGÉ(E) DE SÉCURITÉ (60 % - 80 %)

CHARGÉ(E) DE SÉCURITÉ (60 % - 80 %) La Municipalité de Montreux met au concours un poste de : Tâches principales : CHARGÉ(E) DE SÉCURITÉ (60 % - 80 %) Conseiller et aider la Municipalité, les services, les supérieurs hiérarchiques et les

Plus en détail

AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine

AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine Nom de l'établissement Date Nombre de préparations / an : Date d'installation: Personnes présentes Nom / Prénom Fonction Signature Réseau Oncolor 2010 1 SOMMAIRE Page I

Plus en détail

GESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck

GESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck GESTION DE STOCK July 2009 Hilde De Boeck Table des matières Introduction Organisation du stock centrale 1. Gestionnaire de stock 2. Stockage: - Les Conditions - Rangement des produits 3. Les outils de

Plus en détail

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que

Plus en détail

OUVERTURE ET MISE EN PLACE

OUVERTURE ET MISE EN PLACE OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite

Plus en détail

Unité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012

Unité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012 Visite de pré-sélection Visite de Mise en place Murielle COURREGES-VIAUD, ARC Laurence GUERY, ARC responsable Assurance Qualité Véronique JOUIS, Coordinatrice des ARCs Responsable Logistique Unité de Recherche

Plus en détail

Information au patient

Information au patient Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même

Plus en détail

MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :

MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application : 1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...

Plus en détail

Edition et intégration de logiciels médicaux. Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS. Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25

Edition et intégration de logiciels médicaux. Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS. Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25 Edition et intégration de logiciels médicaux Service commercial 22 rue de Chantepie 37300 JOUE LES TOURS Tél : 02 47 67 81.81 Fax : 02 47 67 42 25 LOGICIEL AXILA Le dossier médical informatisé pour les

Plus en détail

Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique

Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Pôle Qualité / Gestion des Risques 05 Janvier 2012 Plan La qualité d une recherche c est quoi? Bonnes Pratiques Cliniques (BPC) Responsabilités des

Plus en détail

Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires

Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires Applicable au 1 er janvier 2006 Objectif : Etablit les règles générales en matière d hygiène, est directement applicable

Plus en détail

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière

Plus en détail

Zone de commentaires. Convention EFS / ES ( document à joindre) II, Les systèmes d'information OUI NON NC Zone de commentaires. Zone de commentaires

Zone de commentaires. Convention EFS / ES ( document à joindre) II, Les systèmes d'information OUI NON NC Zone de commentaires. Zone de commentaires 5. ENSEMBLE DES PIECES CONSTITUANT LE DOSSIER A FOURNIR A L'AGENCE REGIONALE DE L'HOSPITALISATION POUR UNE DEMANDE D AUTORISATION DE FONCTIONNEMENT D UN DEPÔT DE SANG DANS UN ETABLISSEMENT DE SANTE I.

Plus en détail

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux 3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central

Plus en détail

Pandémie & Entreprises

Pandémie & Entreprises Pandémie & Entreprises Dr. Elisabeth Conne-Perréard 29.09.09 28.10.2009 - Page 1 Département Office Qu'est-ce que la grippe et comment se transmet-elle? Comment se protéger contre la grippe? Que faire

Plus en détail

GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ

GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES

PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES Janvier 2009 TABLE DES MATIÈRES Page Préambule 3 1. Dotation en personnel 4 1.1 Compétences du personnel 4 1.2 Fonctions

Plus en détail

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe

Plus en détail

H A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations.

H A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations. H A C C P Hazard Analysis, Critical Control Point Analyse des dangers, maîtrise des points critiques Objectifs : L'HACCP est une norme de mise en œuvre destinée à évaluer les dangers, et, mettre en place

Plus en détail

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1. Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1 Juin 2015 NOTICE D HYGIENE ET DE SECURITE P. 2 sur 8 SOMMAIRE 1 Hygiène...

Plus en détail

MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS DE SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PRATICULIERES (CCTP)

MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS DE SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PRATICULIERES (CCTP) MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS DE SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PRATICULIERES (CCTP) Pouvoir adjudicateur Institut d'etudes Politiques de Rennes Représentant du pouvoir adjudicateur Monsieur le

Plus en détail

Sommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013

Sommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013 La base documentaire a été complètement révisée pour être en conformité avec cette version 2012 de l ISO 15189. La cartographie des différents processus du LBM a également été modifiée (suppression du

Plus en détail

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service

Plus en détail

FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL

FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations

Plus en détail

Pour la création d une maison d assistants maternels

Pour la création d une maison d assistants maternels CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Mars 2011 CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Le Code de l Action Sociale et des Familles

Plus en détail

Premiers secours. Article 36

Premiers secours. Article 36 Commentaire de l ordonnance 3 relative à la loi sur le travail Art. 36 Article 36 Premiers secours 1 Les moyens nécessaires pour les premiers secours seront disponibles en permanence, compte tenu des dangers

Plus en détail

HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE

HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE Dr Erick KEROURIO DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE L ESSONNE Le cadre réglementaire LA RESTAURATION COLLECTIVE Notion de «clientèle» captive

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres

SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6

Plus en détail

Secteur Protégé d Hématologie

Secteur Protégé d Hématologie INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de

Plus en détail

Le délai de conservation

Le délai de conservation Stéphanie SÉGUI Consultante au Centre de droit JuriSanté (CNEH) MOTS-CLÉS archives hospitalières conservation dossiers de consultations externes dossiers de pédiatrie dossiers de stomatologie dossiers

Plus en détail

4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES

4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES PROTOCOLE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES TRANSPORTS SANITAIRES ET DE LEURS MATERIELS Selon les protocoles du CLIN, du SMUR 54 et du Groupe Synapse (69) Pour assurer une efficacité optimale du nettoyage

Plus en détail

Service Privé d ambulances 2010

Service Privé d ambulances 2010 FICHE TECHNIQUE Intitulé du métier ou de l activité : Service Privé d ambulances Codification NAA : 85.16 Codification ONS : 85.17 Codification Agriculture : / Codification Artisanat : / Codification CNRC

Plus en détail

Communauté de Communes du Pays de Livarot

Communauté de Communes du Pays de Livarot Rue des Frères Lumière 14120 MONDEVILLE 02 31 35 64 35 02 31 35 64 36 Email : contact@inea-be.com Communauté de Communes du Pays de Livarot Aménagement de l ancienne usine Leroy en un Pôle de Santé Libéral

Plus en détail

OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS

OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS Filière : APS et Bachelor en soins infirmier Nom de l institution : CHUV Nom de l

Plus en détail

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...

Plus en détail

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS

Plus en détail

Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale

Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux

Plus en détail

Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007

Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes

Plus en détail

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DU CENTRE DE SOINS SPECIALISE LE CHÂTEAU DU BOY. Lanuéjols 48000 MENDE

COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DU CENTRE DE SOINS SPECIALISE LE CHÂTEAU DU BOY. Lanuéjols 48000 MENDE COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DU CENTRE DE SOINS SPECIALISE LE CHÂTEAU DU BOY Lanuéjols 48000 MENDE SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p. 3 PARTIE 1 PRESENTATION DE L ETABLISSEMENT

Plus en détail

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services

Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte

Plus en détail

Pharmacien Responsable. Rôle et Attributions. Seul le Code de la Santé Publique s applique

Pharmacien Responsable. Rôle et Attributions. Seul le Code de la Santé Publique s applique Pharmacien Responsable Rôle et Attributions Version approuvée ( médicaments à usage humain ) en novembre 2010 Seul le Code de la Santé Publique s applique Plus qu une personne qualifiée En France, le Pharmacien

Plus en détail

LIVRET D'ACCUEIL. EHPAD Valle Longa 0495532200 www.vallelonga.fr 20117 Cauro

LIVRET D'ACCUEIL. EHPAD Valle Longa 0495532200 www.vallelonga.fr 20117 Cauro LIVRET D'ACCUEIL EHPAD Valle Longa 0495532200 Sialare www.vallelonga.fr 20117 Cauro LE MOT D ACCUEIL Madame, Monsieur, Nous vous souhaitons la bienvenue à la résidence Valle Longa de Cauro. Valle Longa,

Plus en détail

Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire

Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Causes d insatisfactions du patient pris en charge en ambulatoire Michel MAILLET Unité d Anesthésie & Chirurgie Ambulatoires Hôpital Tenon, AP-HP 4 rue de la Chine; 75020 Paris Chemin Clinique Éligibilité

Plus en détail

JORF n 0060 du 12 mars 2009. Texte n 18

JORF n 0060 du 12 mars 2009. Texte n 18 Le 16 mars 2009 JORF n 0060 du 12 mars 2009 Texte n 18 ARRETE Arrêté du 10 février 2009 fixant les conditions exigées pour les véhicules et les installations matérielles affectés aux transports sanitaires

Plus en détail

PARAMEDICAL. Métiers et formations. Centre d information et d orientation de NOUMEA

PARAMEDICAL. Métiers et formations. Centre d information et d orientation de NOUMEA PARAMEDICAL Métiers et formations Centre d information et d orientation de NOUMEA Santé et paramédical Soins médicaux médecin, chirurgien dentaire, pharmacien, sage-femme Soins paramédicaux infirmier,

Plus en détail

AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON

AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS

Plus en détail

ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES

ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES 1 ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES A. NETTOYAGE COURANT Il est effectué: en dernier lieu, Idéalement ½ heure minimum après la réfection du lit. en

Plus en détail

Centre Hospitalier de Béziers

Centre Hospitalier de Béziers Centre Hospitalier de Béziers Edito Établissement public de santé, le Centre Hospitalier de Béziers est l hôpital de référence du bassin de santé Ouest-Hérault de plus de 200 000 habitants. Sa taille et

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL

SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire

Plus en détail

Tableau des garanties Contrats collectifs

Tableau des garanties Contrats collectifs Assurances santé conformes à la Convention du travail maritime, 2006 Tableau des garanties Contrats collectifs Conformité à la Convention du travail maritime (MLC) 2006 La conformité avec la Convention

Plus en détail

Risques et dispositifs médicaux. «Responsabilités encourues» Isabelle Lucas-Baloup. 12, 13 et 14 octobre 2010

Risques et dispositifs médicaux. «Responsabilités encourues» Isabelle Lucas-Baloup. 12, 13 et 14 octobre 2010 Risques et dispositifs médicaux «Responsabilités encourues» 1 Le circuit du dispositif médical Responsabilité D.M. approche systématique approche du produit implique analyse des missions et responsabilités

Plus en détail

La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais

La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais 14 besoins fondamentaux selon Virginia Henderson La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais Journée EHPAD Ile de France 03 avril 2014 Nouara Baghdadi pour le groupe de travail Nord Pas de Calais

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

Audit interne. Audit interne

Audit interne. Audit interne Définition de l'audit interne L'Audit Interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils

Plus en détail

2014-2018 CLINIQUE SAINT-JEAN DOC STRAT-PIL-15

2014-2018 CLINIQUE SAINT-JEAN DOC STRAT-PIL-15 2014-2018 CLINIQUE SAINT-JEAN DOC STRAT-PIL-15 [POLITIQUE QUALITE, GESTION DES RISQUES, SECURITE DES SOINS, ENVIRONNEMENT] 1 ENGAGEMENTS QUALITÉ, SÉCURITÉ, GESTION DES RISQUES ET ENVIRONNEMENT Depuis sa

Plus en détail

POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa :

POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa : POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017 Document validé le Nom : M. GROHEUX Nom : M. MATHIEU Fonction : Directeur Fonction : Président de la CME Visa : Visa : Page

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011

Plus en détail

Poitou-Charentes. Commission Sécurisation du circuit du médicament Groupe informatisation du circuit

Poitou-Charentes. Commission Sécurisation du circuit du médicament Groupe informatisation du circuit Observatoire Régional du MEdicament et des Dspositifs Médicaux Stériles Page 1 sur 17 Ce document a été élaboré par le groupe (informatisation du circuit du médicament) travaillant dans le cadre de l ORMEDMS.

Plus en détail

LIVRET DE FORMATION C. A. P. SERVICES HÔTELIERS

LIVRET DE FORMATION C. A. P. SERVICES HÔTELIERS M i n i s t è r e d e l ' E d u c a t i o n N a t i o n a l e Certificat d'aptitude Professionnelle LIVRET DE FORMATION C. A. P. SERVICES HÔTELIERS Nom et prénom Années Scolaires Apprenant Etablissement

Plus en détail

Références et partenaires :

Références et partenaires : Eric RIPERT, 49 ans, Formateur - Consultant depuis 1995 dans les domaines HYGIENE SECURITE ENVIRONNEMENT. (H.S.E) Formateur et coordinateur de pôle en 2010 dans un centre de formation de premier plan sur

Plus en détail

Hygiène alimentaire. Réglementation. Restaurants et commerces alimentaires

Hygiène alimentaire. Réglementation. Restaurants et commerces alimentaires Hygiène alimentaire Réglementation Restaurants et commerces alimentaires Hygiène alimentaire Sommaire Avant de s installer, les démarches à suivre p.3/4 Concevoir la cuisine p.5 Hygiène - Les bonnes pratiques

Plus en détail

Conférence de presse «Bientôt le nouvel hôpital» - Toulon - Lundi 4 avril 2011. Sommaire. 1 > Relever les défis de la santé du futur...

Conférence de presse «Bientôt le nouvel hôpital» - Toulon - Lundi 4 avril 2011. Sommaire. 1 > Relever les défis de la santé du futur... 1 Sommaire 1 > Relever les défis de la santé du futur... 3 Assurer les missions de santé publique du territoire... 3 Une tradition séculaire en santé publique... 3 Une réponse à la hauteur des besoins

Plus en détail

PREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE. Marcelle Haddad

PREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE. Marcelle Haddad PREPARATION DU PATIENT POUR UNE CHIRURGIE Marcelle Haddad PLUSIEURS CATEGORIES DE CHIRURGIE 1-Perte d un d organe ou d une fonction Ex: cholecystectomie,appenticectomie 2-Ablation d une tumeur,, d un d

Plus en détail

STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE

STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE FACULTÉ DE MÉDECINE FACULTÉ DE CHIRURGIE DENTAIRE Université de Strasbourg STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE JUILLET ou AOUT ou SEPTEMBRE 2012

Plus en détail

MONITORING / SUIVI DES PATIENTS

MONITORING / SUIVI DES PATIENTS Formation Recherche Clinique OncoBasseNormandie 02/12/2013 MONITORING / SUIVI DES PATIENTS Jean-Michel GRELLARD ARC Coordinateur - Centre François Baclesse Quelques définitions Cahier d observation ou

Plus en détail

La version électronique fait foi

La version électronique fait foi Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.

Plus en détail

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,

Plus en détail

Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban

Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban Cahier des charges du Logiciel Médico Technique Rédigé en collaboration avec Cahier des charges du Logiciel Médico Technique La procédure d

Plus en détail

Parties communes et services

Parties communes et services Parties communes et services Ergonomie pratique en 128 points CHECKPOINT 95 Mettre des vestiaires et des sanitaires à la disposition des employés pour garantir un bon niveau d'hygiène et de propreté. POURQUOI

Plus en détail

"Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse"

Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse "Formation et évaluation de la compétence du pharmacien clinicien expérience suisse" Journées Franco-Suisses de Pharmacie Hospitalière 23 avril 2015, Mâcon Dr Vera Jordan-von Gunten Pharmacien d hôpital,

Plus en détail

RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION IDENTIFICATION DES COMPÉTENCES À PARTIR DES ACTIVITÉS

RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION IDENTIFICATION DES COMPÉTENCES À PARTIR DES ACTIVITÉS RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION IDENTIFICATION DES COMPÉTENCES À PARTIR DES ACTIVITÉS ACTIVITÉS Capacités COMPÉTENCES C1 Préparation des activités Réalisation d activités Relations avec les clients, avec

Plus en détail

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places

Plus en détail

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085 Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013

Plus en détail

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France? 53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées

Plus en détail