PRIVÉ DE LES LOYERS DANS LE PARC. Centre de Données Territoriales - numéro 22 - décembre 2007

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1 Centre de Données Territoriales - numéro 22 - décembre 2007 Après une année de hausse record, le mouvement des loyers dans le parc privé lyonnais ralentit sa progression pour se stabiliser autour de + 3,5 %. Le Grand Lyon où le loyer est d environ 8 euros/m², occupe désormais le sixième rang dans le classement des onze principales agglomérations de province des loyers les plus chers. Il a, avec les agglomérations de Bordeaux, Lille et la ville de Paris, enregistré le taux de croissance le plus élevé. C est un repli malgré tout au regard du mouvement d amplification des hausses de loyers observé les années précédentes. Il relève d un effet conjugué du ralentissement des hausses pratiquées lors d une relocation d une part, et d une décélération de l indice de référence des loyers (IRL) d autre part. Dans l agglomération lyonnaise, le loyer de relocation a connu une croissance beaucoup plus mesurée que l année précédente. Il progresse de + 4,8 %. Le prix de relocation s établit à un peu moins de 9 euros au premier janvier Cette évolution globale des loyers, relativement modérée, ne jugule pas pour autant les tensions persistantes dans le parc locatif de l agglomération lyonnaise. Les loyers ont encore progressé plus vite que l inflation. L écart entre la hausse ne du loyer dans le Grand Lyon et l indice des prix à la consommation s est encore creusé. En 2006, l écart de prix de location entre le secteur le plus cher (le Centre) et le secteur le moins cher (l Est) de l agglomération se creuse encore pour culminer à plus de 2 euros fin Sur l ensemble des logements mis en location (relocation comprise), un peu moins de la moitié des bailleurs lyonnais ont indexé l évolution des loyers sur l indice réglementaire en vigueur. La pratique de la majoration légale par les bailleurs lyonnais, demeure importante par rapport aux autres agglomérations de province où l application des hausses selon l IRL sur l ensemble des logements ne dépasse pas les 44 % en ne. Près d un tiers des logements est concerné par une évolution liée à une relocation. Les autres modes de fixation des loyers (baisse, stabilité, autres hausse, renouvellement de bail) ont touché les 23 % des logements restants de l ensemble du parc locatif privé. LES LOYERS DANS LE PARC PRIVÉ DE l agglomération lyonnaise L ICC (indice du coût de la construction) traduit l évolution des coûts dans le secteur immobilier. Cet indice est utilisé pour la révision des loyers jusqu à L indice général des loyers ou L indice de référence des loyers (IRL) s est substitué, depuis le 1 er janvier 2006, à l ICC. Il regroupe les loyers des logements locatifs du secteur privé et du secteur social. L IRL est calculé selon une ne de 60 % de l indice des prix à la consommation, 20 % de l IPEA (indice des prix de travaux d entretien et d amélioration du logement à la charge des bailleurs) et 20 % de l ICC. L indice des prix à la consommation ou l inflation exprime le déséquilibre entre la demande effective et l offre réelle de biens et de services engendrant selon le cas une hausse ou une baisse. La relocation concerne les logements ayant changé de locataires courant l année. Les «autres hausses» renvoient à une procédure qui n est pas identifiable lors de la fixation du prix du loyer (hausses autres que celles liées à une relocation, hausse non indexée à l IRL, hausse non liée à des travaux ) Chiffres clés de l agglomération lyonnaise Données générales Nombre de communes : 57 Nombre d habitants : 1,2 millions Superficie : 510 km² Données loyers au 1 er janvier 2007 Taux d évolution des loyers : + 3,5 % Prix : 7,94 / m² ne : 67 m² Taux d évolution relocation : + 4,8 % Prix de relocation : 8,88 / m²

2 Evolution comparée des indices +3,1% Indice général des loyers +1,2% Indice des prix à la consommation Source : Insee 1. Evolution générale des loyers Après des records atteints entre 1989 et 1992, le mouvement de l indice général des loyers a connu une nette décélération tout particulièrement à partir de 1993 pour s accélérer dans les années 2001 et Le léger repli observé en 2003 va vite céder la place à une nette accélération sur les deux années qui ont suivi, avant d amorcer de nouveau un léger retrait pour atteindre +3,1%. En 2006, le niveau de l indice général des loyers (IRL) est supérieur de 1,9 point à celui de l inflation. Depuis 2004, cet écart est quasi inchangé. Dans le secteur libre, la hausse des loyers continue d être plus élevée que l inflation. La dix-huitième enquête sur les loyers montre que, malgré une tendance à la baisse très marquée, l agglomération lyonnaise (avec Bordeaux, Lille et Paris) a connu la plus forte progression. Cette hausse atteint les + 3,5 % contre seulement + 3 % pour l ensemble des agglomérations de province participant à l enquête. Augmentation annuelle des loyers depuis 1992 dans le Grand Lyon ,0 % +2,6 % +1,6 % +1,2 % +1,2 % +1,6 % +2,2 % +0,5 % +1,8 % +2,9 % +4,2 % +3,9 % +4,4 % +5,1 % +3,5 % source : Enquête loyers % + 5% + 4% + 3% + 2% + 1% + 0% Evolution des loyers selon le type de gestion et la date d'emménagement du locataire Avant Ensemble des logements date d'emménagement du locataire présent en janvier 2007 Particuliers Professionnels Total 2. Evolution des loyers selon le type de gestionnaire et la date d emménagement Les professionnels appliquent une hausse ne des loyers plus marquée que les particuliers bailleurs et ceci quelle que soit la date d emménagement du locataire (respectivement + 3,7% et + 2,2 % pour l ensemble des logements). Les nouveaux occupants (locataires ayant emménagé ) paient des loyers supérieurs de 4,8 % à ceux de leurs prédécesseurs pour un même logement. Toutefois, la hausse est inégale selon le type de gestionnaire. A l occasion d une relocation, les administrateurs des biens appliquent, une hausse ne de 5,3 % contre 3,3 % chez les particuliers bailleurs. 3. Evolution des loyers de relocation Pour la deuxième année consécutive depuis 1999, la progression des loyers de relocation s atténue significativement (+ 4,8 % contre + 7,3 % en 2005 et + 7,6 % en 2004). 2 I Quid n 22 - Les loyers dans le parc privé de l agglomération lyonnaise - décembre 2007

3 Au premier janvier 2007, le loyer de relocation s élève à 8,88 euros/m². Il était de 8,56 euros/m² à la même date une année plus tôt. La surface ne des logements concernés par une relocation est inférieure de 9 m² à celle de l ensemble du parc (58 m² contre 67 m²). La rotation reste évidemment plus importante dans les petits logements. La part des logements de type T1 et T2 dans l ensemble des logements remis en location durant l année 2006 représente prés de 60 %. Ces petits logements sont destinés à une population jeune et très mobile composée en majorité d étudiants ou de jeunes ménages et travailleurs. +2,0% +2,0% +2,3% Comparaison de l'évolution globale des loyers et de l'évolution des loyers de relocation +2,2% s de relocation Total des loyers + 3,8% + 4,3% + 2,9% + 6,2% + 7,2% + 4,2% + 3,9% +2,1% +1,6% +0,5% + 1,8% +1,2% +1,2% +0,0% ,6% +4,4% ,3% +5,1% +4,8% +3,5% Evolution des loyers dans les agglomérations françaises ( /m²) Evolution Globale Evolution Relocation Evolution Autres Logements Evolution globale des loyers En 2006, les loyers dans le parc libre de Paris intra-muros et des agglomérations lyonnaise, bordelaise et lilloise, ont enregistré les plus fortes progressions parmi les principales agglomérations et villes françaises. L écart de croissance entre ces agglomérations et celles ayant le moins progressé oscille entre 1,2 et 1,4 point. Il s agit des agglomérations de Rennes, Nancy et Besançon où le loyer a augmenté de respectivement + 2,1 %, + 2,2 % et + 2,3 %. Avec un loyer de 7,94 euros/m², Lyon occupe la 6 e place au rang des agglomérations les plus chères de province. Malgré un taux de croissance relativement faible (en deçà de la ne des villes de province), avec un loyer de 10,4 euros, Aix-en-Provence garde le statut de ville de province où le loyer est le plus onéreux. Elle est suivie par Grenoble et Rennes qui occupent respectivement la seconde et la troisième place dans le classement des agglomérations les plus chères de province. Brest où le prix d une location dans le secteur privé se situe autour de 6,50 euros/m², demeure la ville la plus accessible pour les locataires du secteur privé. L écart des prix s entre la ville la plus chère et la ville la moins chère s est encore creusé. Il passe de 3,50 euros/m² en 2005 à 3,81 euros/m². Evolution des loyers de relocation Avec un taux de croissance de plus de 7%, l agglomération lilloise a réalisé la progression la plus élevée des loyers de relocation. Elle est suivie par Toulouse et Bordeaux avec un point d écart. L agglomération lyonnaise passe de la 2 e plus forte progression en 2005 à la 4 e. Son taux de hausse en relocation se situe désormais à 4,8%, au même niveau que la ne des agglomérations de province. Toutes les autres agglomérations réalisent une hausse située en deçà de la ne provinciale. Brest 6,54 + 2,5 % + 3,8 % + 1,9 % Nancy 7,07 + 2,2 % + 2,7 % + 2,0 % Besançon 7,29 + 2,3 % + 2,4 % + 2,3 % Strasbourg 7,57 + 2,4 % + 4,1 % + 1,8 % Lille 7,60 + 3,5 % + 7,1 % + 2,2 % Lyon 7,94 + 3,5 % + 4,8 % + 2,9 % Bordeaux 7,97 + 3,5 % + 6,0 % + 2,6 % Toulouse 8,11 + 3,2 % + 6,0 % + 2,0 % Rennes 8,58 + 2,1 % + 2,3 % + 2,1 % Grenoble 8,66 + 3,3 % + 4,4 % + 2,7 % Aix-en-Provence 10,35 + 2,8 % + 3,7 % + 2,4 % Total Province 7,95 + 3,0 % + 4,8 % + 2,4 % Banlieue Paris 13,60 + 2,9 % Evolution relocation 8% 7% 6% 5% 4% 3% 2% Paris 17,70 + 3,5 % Evolution du loyer pour les locataires "mobiles" et pour les locataires "stables" Strasbourg Brest Toulouse Nancy Rennes Lille Besançon Bordeaux Aix-en-Provence Grenoble Lyon 1,6 % 2,1 % 2,6 % 3,1 % Evolution autres logements Quid n 22 - Les loyers dans le parc privé de l agglomération lyonnaise - décembre 2007 I 3

4 29,3 % 12,9 % Evolution des loyers Ensemble des logements 9,2 % 0,6 % Hausse indexée IRL 48 % 5. Les facteurs d évolution des loyers Sur l ensemble des logements Après une diminution de la part des logements dont le montant des loyers est resté identique ou a baissé en 2005, jusqu à atteindre son niveau le plus bas depuis 1993, la proportion des logements qui ont fait l objet d une stabilisation ou d une baisse de leurs loyers dans l ensemble des logements enquêtés, a gagné 0,7 points sur l ensemble des logements (9,2 % de l ensemble des logements contre 8,5% en 2005). En revanche, la part des bailleurs privilégiant l indexation au taux légal en vigueur (IRL) est passée en dessous de la moitié des contrats en 2006 (50,7 % en 2005 contre 48 % ). La proportion des locataires concernés par une évolution liée à un renouvellement de bail ou un déménagement dans l année reste semblable à celle des années précédentes. Les «autres hausses» qui portaient sur moins de 10 % des logements en 2005, gagnent plus de 3 points. La part des différents modes d évolution des loyers depuis Stabilité ou Baisse 21,0 % 14,6 % 17,6 % 15,4 % 12,9 % 12,4 % 14,3 % 10,4 % 8,5 % 9,2 % ICC 40,3 % 40,1 % 45,2 % 51,7 % 50,0 % 47,9 % 41,7 % 45,0 % 50,7 % 48,0 % Relocation et Renouvellement 32,3 % 33,0 % 32,5 % 30,3 % 30,9 % 30,3 % 31,5 % 30,1 % 31,2 % 29,9 % Autres 6,4 % 12,3 % 4,7 % 2,6 % 6,2 % 9,4 % 12,6 % 14,5 % 9,6 % 12,9 % Autres hausses 53,0 % Evolution des loyers de relocation Baisse des loyers 6,9 % ne Stabilité des loyers 11,6 % Hausse indéxée IRL 28,5 % Baisse 504,61 71 m² 7,13-9,3 % Identique 511,85 55 m² 9,25 + 0,0 % Hausse IRL 514,68 58 m² 8,90 + 1,6 % Autres hausses 512,38 56 m² 9,07 + 9,7 % Total 512,44 58 m² 8,88 + 4,8 % 4 I Quid n 22 - Les loyers dans le parc privé de l agglomération lyonnaise - décembre 2007 Sur les relocations Au premier janvier 2007, la part des logements ayant subi les «autres hausses» (hausses sans référence ni au loyer du prédécesseur, ni à des travaux, ni aux loyers usuels du voisinage) dans l ensemble des logements remis en location, est identique à celle de Cette catégorie concerne plus de la moitié des logements ayant changé de locataire courant l année 2006 (53 %). Le niveau de la hausse se situe à + 9,7 % ; soit plus du double de l augmentation ne de relocation (+ 4,8 %). Ce niveau a pourtant baissé par rapport à 2005 où il était de l ordre de +12,3 %. Il concerne par ailleurs des logements dont la superficie ne est relativement plus faible qu en La structure des autres modes de fixation des loyers de relocation se modifie par rapport à l année précédente. Ainsi, la part des gestionnaires de biens appliquant une hausse indexée sur l IRL (ICC en 2005) lors d une relocation baisse entre 2005 et Elle passe de 36,4 % à 28,5 %. La part des loyers stables (identiques) ou en baisse, quant à elle augmente fortement. En 2006, 7 % des bailleurs ont baissé leurs loyers dans l ensemble du parc des logements reloués. Ils étaient seulement 2,4 % en 2005.

5 Le niveau de cette baisse a presque doublé entre 2005 et 2006 passant ainsi de - 5,9% à - 9,5%. Elle porte sur des logements dont la superficie ne est de plus de 70 m² contre 57 m² l année précédente. La superficie des logements pour lesquels le niveau de loyer est resté stable, a également légèrement augmenté. 6. Evolution et montant des loyers selon les caractéristiques des logements L époque de construction Pour les constructions antérieures à l année 2000, la surface ne croit avec l ancienneté du bâti. Cette tendance est inversée pour les logements construits après Ces logements neufs en location sont de très grande taille. La surface ne y est de 92 m². L habitat récent se révèle logiquement plus onéreux à la location : 10,36 euros par m² pour les logements les plus neufs et 9,57 euros par m² pour les logements construits entre 1990 et Dans le même ordre d esprit, les loyers les moins élevés se pratiquent dans le parc locatif ancien (7,5 euros par m² pour les logements construits avant 1949). Les plus fortes hausses de loyer touchent davantage les logements de l ancien bâti (avant 1990) que les logements récents (construits après 1990). Le montant des loyers Malgré une hausse sensiblement faible par rapport à ce qu elle était une année auparavant, le nivellement des loyers vers le haut se poursuit au détriment des loyers les plus modestes. Plus d un logement sur trois (35 %) a un loyer supérieur à 9,15 euros par m² ; soit un gain de 3 points par rapport à Les logements à loyer modéré voient leur part dans l ensemble du parc locatif se réduire. Ceux dont le loyer reste inférieur à 6,10 euros par m² représentent un logement sur six (15 %) contre un sur cinq en Les équipements de confort et de standing Les logements les plus spacieux sont les mieux équipés. Les logements équipés à la fois d un WC, d une salle d eau et du chauffage central ont une surface ne de 72 m². Ce type de logement «tout confort» se loue 7,5 euros/m² en ne. Les logements à faible commodité, ne disposant que d un WC ou d une salle d eau, sont en revanche de très petite taille. La superficie ne de ce type de logement est de 42 m² pour un loyer d à peine 5 euros. La présence d autres commodités comme le parking et l ascenseur joue également dans la détermination du prix du loyer. Outre le confort, le standing est lui aussi, un élément discriminatoire dans la détermination des prix de location. Les loyers s des logements jugés de très bon standing par leurs occupants sont les plus élevés et inversement. En revanche quel que soit le standing, les tailles nes des habitations sont sensiblement proches. Elles varient entre 64 m² pour le «très bon standing» et 67 m² pour le «standing médiocre». Epoque de construction 2007 ne de relocation Avant ,45 71 m² 7,50 + 3,6 % 8, ,19 65 m² 7,68 + 3,5 % 8, ,97 62 m² 8,53 + 3,5 % 8, ,64 57 m² 9,57 + 2,9 % 10, et après 948,26 92 m² 10,36 +3,2 % 9,92 1,3% CONFORT STANDING Total 529,55 67 m² 7,94 +3,5 % 8,88 Répartition du parc locatif privé selon le loyer (en Euros par m²) 3,1% - de 3,05 3,05 à 4,57 10,6% 4,57 à 6,10 22,8% 6,10 à 7,62 27,4% 7,62 à 9,15 ne 20,9% 9,15 à 10,67 au m 2 13,7% 10,67 et + WC, SE et CC 543,00 72 m² 7,51 + 3,7 % WC et SE 508,89 58 m² 8,83 + 3,0 % WC ou SE 210,80 42 m² 4,99 + 1,8 % avec ascenseur 558,93 69 m² 8,06 + 3,3 % sans ascenseur 478,97 61 m² 7,80 + 4,0 % avec parking 566,18 66 m² 8,62 + 2,7 % sans parking 509,89 66 m² 7,71 + 3,9 % SE : salle d eau CC : chauffage central très bon 574,13 64 m² 8,91 + 2,2 % bon 542,10 66 m² 8,21 + 3,9 % 497,15 67 m² 7,47 + 3,5 % médiocre 446,23 67 m² 6,98 + 3,8 % La notion de confort est objectivement définie en fonction des équipements du logement (WC, salle d eau, chauffage central, parking, ascenseur). La notion de standing fait appel à un jugement subjectif du locataire sur son logement (propreté, qualité de l environnement, modernité, agencement...). Quid n 22 - Les loyers dans le parc privé de l agglomération lyonnaise - décembre 2007 I 5

6 Le type de logement loyer en /m² et loyer en fonction de la taille du logement T1 Le prix du loyer est inversement proportionnel à la taille du logement. Ainsi les logements de type T1 et T2 se louent respectivement à 11,23 et 8,94 euros au m² contre seulement 6,39 euros pour les T5 et plus. En janvier 2007, la location d un logement coûte en ne 847 euros pour un T5 et plus, 375 euros pour un T1 et 566 euros pour un T3. Les maisons enregistrent une hausse largement inferieure à celle des appartements (1,4% contre 3,5%). 8 6 T2 T3 T4 T5 et loyer en ne de relocation Ecart en % entre loyer de relocation et loyer d ensemble 1 pièce 374,92 33 m² 11,23 + 3,9 % 380,85 + 1,6 % 2 pièces 457,37 51 m² 8,94 + 3,7 % 463,75 + 1,4 % 3 pièces 565,79 74 m² 7,69 + 3,1 % 593,33 + 4,9 % 4 pièces 633,72 92 m² 6,91 + 3,9 % 632,24-0,2 % 5 p. et + 847, m² 6,39 + 2,5 % 986, ,4 % Total 529,55 67 m² 7,94 + 3,5 % 512,44-3,2 % Maisons 644,59 87 m² 7,44 + 1,4 % 754, ,1 % Appart. 525,86 66 m² 7,96 + 3,5 % 509,61-3,1 % de relocation Evolution 1 pièce 11,72 + 5,4 % 2 pièces 9,52 + 5,5 % 3 pièces 8,10 + 4,2 % 4 pièces 7,35 + 5,5 % 5 p. et + 8,04 + 2,6 % Quelle que soit la taille du logement, les loyers de relocation de l année 2006, ont progressé moins vite que l année précédente. Les taux de hausses de relocation oscillent entre 5,5% pour les T2 et 2,6% pour les T5. Les écarts entre loyer de relocation et loyer global s est réduit par rapport à l année 2005 sauf pour les T5 où le loyer de relocation est en ne 16,5% supérieur au loyer global. C est l écart le plus élevé. Inversement l écart le plus faible est observé pour le logement de type T2. Pour les appartements, le loyer de relocation est inférieur au loyer global. 6 I Quid n 22 - Les loyers dans le parc privé de l agglomération lyonnaise - décembre 2007

7 7. Evolution et montant des loyers selon la localisation des logements Niveaux des loyers s dans l agglomération lyonnaise en janvier ,4 2,2 2,0 1,8 1,6 1,4 1,2 1,0 0,8 0,6 Différence de loyer entre le secteur le plus cher et le moins cher entre le 1 er janvier 1998 et le 1 er janvier La Tour de Salvagny Marcy L'Etoile St Genis les Ollières Craponne Dardilly OUEST Charbonnières Francheville Limonest T assin la demi lune Ecully Poleymieux St Didier Champagne Ste Foy les Lyon St Germain 5 9 Mulatière Curis Couzon Albigny Genay Neuville Fleurieu Rochetaillée St Romain Fontaines s/saône St Cyr Hypercentre Caluire Montanay Reste de LYON 7 2 Collonges 7 Fontaines s/ Martin 3 6 Sathonay C. Cailloux Sathonay V. Rillieux Villeurbanne 3 8 Bron V aulx en V elin Chassieu Decines 8,55 /m 2 8,11 /m 2 7,81 /m 2 7,69 /m 2 6,41 /m 2 Jonage Meyzieu En 2006, l écart de prix de location entre le secteur le plus cher et le secteur le moins cher, se creuse encore pour culminer à plus de 2 euros fin Cet écart avait déjà battu un record en St Genis Laval Oullins Pierre Bénite Irigny St Fons Feyzin Vénissieux Corbas EST Mions St Priest Comme les années précédentes, le centre de Lyon est le secteur le plus cher de l agglomération suivi par Villeurbanne, alors que les prix des loyers dans l Est sont les moins onéreux. Charly V ernaison Solaise Grigny Givors ne relocation Hypercentre 564,51 70 m² 8,11 + 3,5 % 9,36 + 4,9 % Reste de Lyon 518,69 61 m² 8,55 + 3,5 % 9,34 + 5,0 % Villeurbanne 468,15 60 m² 7,81 + 3,6 % 8,11 + 6,6 % Est 477,49 74 m² 6,41 + 3,7 % 7,52 + 4,6 % Ouest 547,62 71 m² 7,69 + 3,1 % 8,35 + 2,9 % Grand Lyon 529,55 67 m² 7,94 + 3,5 % 8,48 + 4,8 % Sur l ensemble du parc locatif, l Est connaît, pour la 3 e année consécutive la plus forte progression de ses loyers. L Ouest lyonnais, enregistre les plus faibles augmentations tant sur l ensemble des logements que sur les relocations. Avec respectivement, 3,1% et 2,9%, le niveau du taux de progression se situe bien en deçà de la ne de l agglomération. En 2005, l Ouest a subi de fortes hausses. A l inverse, Villeurbanne qui avait enregistré les progressions les plus modérées en 2005, fait partie des secteurs où le loyers progresse le plus. Cette progression est impulsée par des taux de relocation très élevés ,9%, loyer de relocation (en euros/m²) et évolution 3,5% 5% 3,5% relocation 6,6% 3,6% 4,6% 3,7% 2,9% 3,1% 4,8% 3,5% Hypercentre Reste de Lyon Villeurbanne Est Ouest Grand Lyon Quid n 22 - Les loyers dans le parc privé de l agglomération lyonnaise - décembre 2007 I 7

8 En application de la loi n du 6 juillet 1989 tendant à améliorer les rapports locatifs, le Gouvernement est tenu de déposer, tous les deux ans, sur le bureau des assemblées, un rapport sur l évolution des loyers dans le parc locatif privé. Dans ce cadre, 12 agglomérations, dont Paris, font l objet d une enquête similaire conduite par les agences d urbanisme et l Observatoire des loyers de l agglomération parisienne (Olap). L Agence d urbanisme pour le développement de l agglomération lyonnaise a donc réalisé, pendant l hiver 2007, la 18 e enquête depuis 1990 sur l ensemble du Grand Lyon. Cette enquête a pour objet principal de mesurer les niveaux s et hausses nes des loyers dans le parc privé et d apprécier la contribution des différents types d événements locatifs à la hausse ne. ÉLÉMENTS DE MÉTHODE L Olap, les agences d urbanisme et les Adil ont mis au point, à la demande de la Direction de l habitat et de la construction du ministère de l Équipement, un dispositif d observation de l évolution des loyers dans un ensemble d agglomérations de province. L observation est longitudinale : un même logement est décrit à deux dates (au 1/01/06 et au 1/01/07), ce qui permet de reconstituer l évolution d ensemble des loyers et la contribution à cette évolution des différents types d événements locatifs survenus au cours de l année écoulée (départs, renouvellement...). En revanche, la Cnab étudie uniquement les variations du niveau de prix du marché pour les logements mis en location dans l année par les adhérents (à la structure). L enquête sur la Communauté urbaine de Lyon est réalisée auprès d environ locataires, avec le concours de la Chambre syndicale des propriétaires immobiliers, de la Confédération nationale des administrateurs de biens et de la Fédération nationale des agents immobiliers. Cet échantillon fait l objet de tests de cohérence et d analyses de validation statistique approfondies. Comme les années antérieures, l enquête ne rend pas compte des logements «entrants» dans le champ (neufs, auparavant non locatifs, ou auparavant soumis à la loi de 1948). AGENCE D URBANISME pour le développement de l agglomération lyonnaise 18 rue du Lac - BP Lyon Cedex 03 Tél Télécopie pour tout complément d information sur ce document, vous pouvez contacter Caroline TESTUT au c.testut@urbalyon.org Salah JALLALI au s.jallali@urbalyon.org Les membres adhérents de l association Agence d urbanisme sont : Etat, Région, Conseil Général, Grand Lyon, Ville de Lyon, Ville de Villeurbanne, Sytral, Sepal, Syndicat mixte des Rives du Rhône, Syndicat mixte Scot Beaujolais, Ville de Givors, Communauté de communes de la Vallée du Lyonnais, Communauté de communes de la Vallée du Garon, Communauté de communes du Pays de l Arbresle, Communauté de communes du Pays Mornantais, Syndicat mixte de l Ouest Lyonnais, Chambre d agriculture, Chambre de commerce et d industrie de Lyon, Chambre de métiers et de l artisanat, Ademe. ISSN

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