IDENTIFICATION DES EFFORTS APPLIQUES AUX PALIERS VILEBREQUIN D UN CARTER CYLINDRE DE GMP PAR PROBLEME INVERSE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "IDENTIFICATION DES EFFORTS APPLIQUES AUX PALIERS VILEBREQUIN D UN CARTER CYLINDRE DE GMP PAR PROBLEME INVERSE"

Transcription

1 IDENTIFICATION DES EFFORTS APPLIQUES AUX PALIERS VILEBREQUIN D UN CARTER CYLINDRE DE GMP PAR PROBLEME INVERSE Résumé On considère le problème de l identification des sources de vibrations à l intérieur d un moteur à partir de mesures accélérométriques réalisées sur son enveloppe externe. Ce type de problème, qualifié d inverse, est caractérisé par l extrême sensibilité du résultat (la reconstitution des efforts face aux incertitudes sur les données (les mesures de déplacement. Par ailleurs, l application stricte du problème inverse nécessite la connaissance exhaustive du mouvement de la structure. Le cas d une structure complexe telle qu'un carter cylindre de moteur demande de recadrer le problème : il est impossible de disposer de mesures du mouvement sur l intégralité du modèle. Il est donc nécessaire de combler le manque d information sur les données du problème par une information a priori sur le résultat. On présente ici deux méthode numériques, s appuyant sur une modélisation éléments finis du carter cylindre dont l'information est à priori comblée par une pré-localisation des efforts. Une première méthode, s appuyant sur une suite de manipulations matricielles de l équation de mouvement, permet d interpoler les déplacements en tout point de la structure à partir des mesures et de la pré-localisation des forces, la connaissance globale du mouvement autorisant ainsi l application stricte du problème inverse. La seconde méthode utilise des fonctions de transfert calculées numériquement entre les points de pré-localisation des forces et les points de mesures. Ces deux méthodes sont testées en simulant des mesures par un calcul direct bruité aléatoirement en phase et en amplitude. Des résultats sont présentés dans le cas de la reconstitution d une distribution de forces appliquée aux paliers vilebrequin du carter cylindre PI&GMP.doc

2 Introduction Le travail présenté au travers de ce document a pour objectif de mettre en œuvre une méthode inverse permettant de reconstituer des efforts vibrants appliqués à un carter cylindre de GMP (Groupe MotoPropulseur à partir de mesures de déplacement réalisées sur son enveloppe externe. Cette étude, réalisée en collaboration avec RENAULT dans le cadre d'un stage de D.E.A. (cf.[1, s'inscrit dans le prolongement d'un axe de recherche du laboratoire Vibrations-Acoustique de l'insa de Lyon. En effet, la méthode RIFF (Résolution Inverse Filtrée Fenêtrée, développée au laboratoire, décrit une méthodologie permettant d'obtenir la distribution de force appliquée à une structure fine connaissant le champ de déplacement ( cf.[2. La localisation des sources de vibration à l intérieur d un carter cylindre de GMP présente les caractéristiques inhérentes à tout problème inverse : la reconstitution des forces est extrêmement sensible aux erreurs introduites lors des mesures. En effet, en problème direct, le mouvement d une structure généré par une distribution de force n est autre que la somme des mouvements produits par chaque élément de cette force. L instabilité du problème inverse se situe dans l impossibilité de décomposer le mouvement d une structure en une somme de mouvements élémentaires sans mettre en jeux des efforts colossaux dont l intensité n a pas de sens physique. La reconstitution de la distribution de force à partir de ce type de décomposition est donc logiquement fortement instable. D autre part, on étudie une structure complexe qui nous interdit l accès à la mesure du mouvement en tout point : l application stricte du problème inverse et de la méthode RIFF est donc impossible. Cependant, il semble judicieux de combler le manque d information par une pré-localisation des forces que l on souhaite reconstituer. En effet, les zones d un carter cylindre de moteur soumises à des efforts sont a priori connues, et on se limitera dans notre étude à la reconstitution d efforts appliqués aux paliers vilebrequin. 1 Présentation de la structure étudiée La structure est un carter cylindre isolé de moteur K4M RENAULT munit des cinq chapeaux paliers, nécessaires à la représentation des efforts appliqués par le vilebrequin. On étudie le comportement modal de la structure libre libre : Le premier mode propre (figure 1, aux environs de 600 Hz, est un mode de torsion sur un axe parallèle au vilebrequin. Mode Hz Fig.1 - Premier mode propre de la structure PI&GMP.doc

3 Les six modes suivants, situés entre 900 et 1250 Hz, sont des modes de flexion de paliers, plus ou moins locaux (figure 2. Mode Hz Mode Hz Mode Hz Mode Hz Mode Hz Mode Hz Fig. 2 Modes de paliers Le domaine d étude se limitera en fréquence à la bande Hz, avec deux fréquences de calcul à 300 Hz, avant le premier mode, et à 800 Hz, après le premier mode. 2 Présentation du modèle : Le système utilisé est une condensation Craig & Bampton (cf. [3 d un modèle éléments finis 3D d environ 3500 nœuds. La condensation est effectuée sur les 3 degrés de liberté de 73 nœuds situés à l intérieur et à l extérieur des paliers, et sur l enveloppe extérieure du carter. Les nœuds situés à l intérieur des paliers sont les nœuds de reconstitution des efforts, et les nœuds sur l extérieur des paliers ainsi que les nœuds sur l enveloppe sont les points de mesures. Le système est tronqué au 100 ème mode propre de structure contrainte, ce qui donne au final un système de taille 319*319 (73* PI&GMP.doc

4 3 La démarche adoptée : + && #, ω ω! " # $ $ ϕ %"&& # %"'# ' && # ' ( ( ϕ!$*%!! # La démarche adoptée pour la mise en œuvre des méthodes inverses (fig.3 est basée sur une simulation numérique des mesures. On réalise dans un premier temps le calcul direct pour obtenir le déplacement aux points de simulation des mesures. Ensuite, on réalise un bruitage aléatoire multiplicatif en amplitude et additif en phase sur la valeur de ces déplacements, l ensemble de ces valeurs bruitées constituant un tirage de mesures. La reconstitution des efforts à partir d un seul tirage de mesures n est pas représentative, les efforts reconstitués à partir de deux tirages sont très différents. Il est donc nécessaire d effectuer plusieurs calculs sur plusieurs tirages de mesures, afin d obtenir un ensemble de reconstitutions d efforts, caractérisé par une moyenne, un écart type sur l amplitude, et un écart type sur la phase pour chaque effort reconstitué. Les différentes entrées de la démarche sont donc la fréquence d étude, le bruit introduit sur les simulations de mesures, le nombre et l emplacement des points de mesures. Les sorties du problème sont d une part les moyennes des efforts reconstitués, nous permettant d introduire le critère de justesse du résultat par rapport aux efforts introduits, et d autre part les écarts types des efforts reconstitués, nous permettant d introduire le critère de stabilité du résultat par rapport au bruit introduit sur les mesures PI&GMP.doc

5 4 Les deux méthodes inverses mises en œuvre Les données des deux méthodes inverses sont d une part les mesures du mouvement de la structure en un certain nombre de points (appelés points de mesures, et d autre part le choix des points sur lesquels les forces seront reconstituées (appelés points de reconstitution des efforts. Le nombre de points de reconstitution des efforts est bien sur limité par le nombre de points de mesures. 4.1 Méthode inverse simple La première méthode, appelée méthode inverse simple, a pour principe d interpoler dans un premier temps le mouvement de la structure en tout point du modèle à partir des mesures et de la prélocalisation des forces. Les efforts peuvent ensuite être reconstitués par une inversion stricte du système. Détail de la méthode : - Pré-localisation des efforts : La pré-localisation est effectuée en forçant à 0 les efforts sur les degrés de liberté supposés non chargés, les efforts sur les autres degrés de liberté restant inconnus : {. }. = (1 - Calcul du mouvement en tout point de la structure : On introduit les efforts pré-localisés dans le système : {. } [ = (2 [! [! [! [! [! [! [! [! [!. = (3 Nota : Les indices i sont utilisés pour les forces et déplacements inconnus, et m pour les déplacements mesurés. On s intéresse à la partie du système ayant un second membre nul : Soit : {. } {. } = [! [! [! [! [! [! [ [! [ [!! = [ [!!! (4 ( PI&GMP.doc

6 On obtient ainsi une interpolation des déplacements inconnus {D} i (non mesurés : [! [! [! [! [! [! = " 0 (6 * : L inversion peut être effectuée, en cas de système rectangulaire, à l aide de l inverse généralisée de Moore-Penrose (cf. [4 - Calcul des forces reconstituées : On peut finalement réintroduire les déplacements obtenus en (6 dans l'équation (1. = [ (7 4.2 Méthode inverse aux coefficients d influence dynamiques La seconde méthode mise en œuvre repose sur le calcul classique de fonctions de transfert entre les points de mesures et les points de reconstitution de efforts. On décompose le déplacement mesuré dans une base de déplacements calculés en appliquant un effort unitaire sur chaque point de reconstitution des efforts, cette base constituant pour une fréquence donnée l ensemble des coefficients d influence de chaque effort en chaque point de mesure. Ainsi, les coordonnées des mesures dans cette base n est autre que la valeur des efforts reconstitués. Détail de la méthode : - Pré-localisation des efforts : La pré-localisation est effectuée en forçant à 0 les efforts sur les degrés de liberté supposés non chargés, les efforts sur les autres degrés de liberté restant inconnus : {. }. = (8 - Construction des fonctions de transfert : On applique tour à tour sur chaque point de reconstitution d effort une force de 1N à la fréquence d étude. On définit {Φ 1 }, {Φ n } les (n mouvements produits aux points de mesures par les (n efforts unitaires. On obtient la matrice [H des fonctions de transfert entre les efforts recherchés et les points de mesure, à la fréquence d étude. [. Φ = ; Φ = [ {.}. [H = [{Φ 1 },,{Φ n } (9 - Reconstitution de la distribution d efforts à partir des déplacements mesurés, selon les fonctions de transfert, sur les seuls points de reconstitution des forces {F} f : {F} f =[H -1 {D} m ( PI&GMP.doc

7 5 reconstitution d une force répartie sur plusieurs paliers vilebrequin du carter cylindre On tente de modéliser simplement les effort sur les paliers résultants d efforts unitaires appliqués sur les pistons transmis par l intermédiaire du vilebrequin. Efforts appliqués par les pistons : ",.2.$325.4.$32.4.$1234.$1234 Fig.4 Modélisation d'efforts appliqués par les pistons Résultantes aux paliers :.$ $1234.$1234 Fig.5 Résultantes aux paliers.$ PI&GMP.doc

8 On simule des points de mesures à l extérieur des paliers ainsi que sur l enveloppe extérieure de la structure : Fig.6 Emplacement des points de mesures simulés On tente, par les deux méthodes inverses décrites en partie IV, et avec la démarche explicité en partie III, de reconstituer les efforts sur les cinq paliers. Calculs à 300 Hz : Fréquence d'étude (Hz Incertitude introduite sur les mesures (% nombre de tirs aléatoires de mesures Emplacement des efforts Effort introduit méthode inverse simple méthode des fonctions de transfert Palier 1 Palier 2 Palier 3 Palier 4 Palier 5 Amplitude (N 0,5 0,7 0 0,7 0,5 Phase ( Amplitude moyenne (N 0,52 0,73 0,24 0,76 0,52 Ecart type amplitudes (% Phase moyenne ( Ecart type phases ( Amplitude moyenne (N 0,55 0,77 0,25 0,70 0,55 Ecart type amplitudes (% Phase moyenne ( Ecart type phases ( Tableau 1 : résultats de calculs à 300Hz Les résultats sont semblables pour les deux méthodes : - une justesse (moyenne des efforts reconstitués peu fiable : un écart d environ 20 % par rapport aux efforts introduits, - Une mauvaise stabilité : un écart type d environ 50 % sur les efforts reconstitués avec un bruit de 5% introduit sur les mesures PI&GMP.doc

9 Calculs à 800 Hz : Fréquence d'étude (Hz Incertitude introduite sur les mesures (% nombre de tirs aléatoires de mesures Emplacement des efforts Effort introduit méthode inverse simple méthode des fonctions de transfert Palier 1 Palier 2 Palier 3 Palier 4 Palier 5 Amplitude (N 0,5 0,7 0 0,7 0,5 Phase ( Amplitude moyenne (N 0,50 0,70 0,02 0,70 0,50 Ecart type amplitudes (% Phase moyenne ( Ecart type phases ( Amplitude moyenne (N 0,51 0,70 0,02 0,70 0,50 Ecart type amplitudes (% Phase moyenne ( Ecart type phases ( Tableau 2 : résultats de calculs à 800Hz A cette fréquence, les résultats restent semblables pour les deux méthodes, mais sont cette fois très encourageants : - une bonne justesse : un écart quasi nul entre la moyenne des efforts reconstitués et les efforts introduits - une stabilité satisfaisante : un écart type d environ 5% sur la reconstitution pour un bruit de 5% introduit sur les mesures. Introduction d un effort perturbateur : La contrainte des deux méthodes décrites est bien entendu l obligation de pré-localiser les efforts. Pour tester la réaction des méthodes à l introduction d un effort non pré-localisé (effort qui n est donc pas reconstitué, on effectue le même calcul que précédemment ( à 800 Hz en introduisant un effort de 1N appliqué sur l enveloppe extérieure de la structure. Fréquence d'étude (Hz Incertitude introduite sur les mesures (% nombre de tirs aléatoires de mesures Emplacement des efforts Effort introduit méthode inverse simple méthode des fonctions de transfert Palier 1 Palier 2 Palier 3 Palier 4 Palier 5 effort perturb. Amplitude (N 0,5 0,7 0 0,7 0,5 1 Phase ( Amplitude moyenne (N 0,53 0,63 0,12 0,58 0,73 Ecart type amplitudes (% Phase moyenne ( Ecart type phases ( Amplitude moyenne (N 0,79 1,12 0,47 0,54 1,20 Ecart type amplitudes (% Phase moyenne ( Ecart type phases ( Tableau 3 : résultats de calculs à 800Hzavec un effort perturbateur Cette fois, les deux méthodes ne réagissent pas de la même manière : - en terme de justesse, c est la première méthode, la méthode inverse simple, qui donne le plus de satisfaction : l écart entre la moyenne des efforts reconstitués et les efforts introduits reste inférieur à 20 %, contre un écart pouvant atteindre 60 % avec la méthode aux coefficients d influence dynamiques. - En terme de stabilité, c est la seconde méthode qui reste la plus satisfaisante : un écart type de moins de 10 % contre 20% à la méthode inverse simple PI&GMP.doc

10 Conclusion Le contexte d application du problème inverse est étroitement cadré : on ne dispose de l information sur le déplacement qu en quelques points situés sur l enveloppe extérieure de la structure du carter cylindre (contrainte imposée par les conditions de mesures, ce qui impose une pré-localisation des efforts recherchés. Deux méthodes de calcul ont été mises au point, la première, ou méthode inverse simple, extrapole les déplacements en tout point du modèle à partir des mesures et de la localisation des efforts ; la deuxième, ou méthode inverse aux coefficients d influence dynamiques, recompose le déplacement mesuré du modèle dans une base de déplacements produits par des efforts unitaires appliqués aux points de localisation des forces. Ces deux méthodes, relativement satisfaisantes face aux erreurs de mesures, donnent des résultats intéressants surtout après la première fréquence propre de la structure (600Hz. Par ailleurs, les deux méthodes peuvent s avérer complémentaires : la seconde est plus rapide et plus stable, tandis que la première est plus précise face aux efforts parasites ( introduits mais non reconstitués. Ces méthodes inverses semblent intéressantes d'après les simulation numériques réalisées. L'étape suivante est l'introduction de mesures réelles dans le problème. Références bibliographiques [1 Q. LECLERE Identification des efforts appliqués aux paliers vilebrequin d un carter cylindre de GMP par problème inverse rapport de DEA septembre 2000 [2 C. PEZERAT, J.L.GUYADER Localisation d efforts appliqués sur des structures minces ; régularisation du problème inverse Revue Française de Mécanique n [3 J.F. IMBERT Analyse des structures par éléments finis Cépaduès Editions 1979, Chapitre X.3.3, Méthode avec interface fixe [4 R. BRONSON Calcul matriciel Série Schaum chapitre 21, Inverses généralisées PI&GMP.doc

Actions de réduction de bruit sur un moteur poids lourd

Actions de réduction de bruit sur un moteur poids lourd 10 Actions de réduction de bruit sur un moteur poids lourd Laurent Moulin, Renault VI, 99, route de Lyon, 69802 Saint Priest, e-mail : laurent.moulin@renaultvi.com D epuis 1974 à aujourd hui, la réglementation

Plus en détail

ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE

ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE PROJET D AMÉNAGEMENT D UN CENTRE DE STOCKAGE DE SEDIMENTS Commune de Bessines-sur-Gartempe Maître d Ouvrage AREVA Etablissement de Bessines 1, Avenue du Brugeaud 87250 Bessines

Plus en détail

Précision d un résultat et calculs d incertitudes

Précision d un résultat et calculs d incertitudes Précision d un résultat et calculs d incertitudes PSI* 2012-2013 Lycée Chaptal 3 Table des matières Table des matières 1. Présentation d un résultat numérique................................ 4 1.1 Notations.........................................................

Plus en détail

Systèmes de transmission

Systèmes de transmission Systèmes de transmission Conception d une transmission série FABRE Maxime 2012 Introduction La transmission de données désigne le transport de quelque sorte d'information que ce soit, d'un endroit à un

Plus en détail

Direction des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels

Direction des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels Etab=MK3, Timbre=G430, TimbreDansAdresse=Vrai, Version=W2000/Charte7, VersionTravail=W2000/Charte7 Direction des Études et Synthèses Économiques Département des Comptes Nationaux Division des Comptes Trimestriels

Plus en détail

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées.

Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. Les correcteurs accorderont une importance particulière à la rigueur des raisonnements et aux représentations graphiques demandées. 1 Ce sujet aborde le phénomène d instabilité dans des systèmes dynamiques

Plus en détail

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques

Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................

Plus en détail

Bandes Critiques et Masquage

Bandes Critiques et Masquage Bandes Critiques et Masquage A. Almeida Licence Pro Acoustique et Vibrations Octobre 2012 Au Menu Au programme 1 Observations du masquage 5 Application du masquage 2 Conséquences du Masquage 3 Interprétation

Plus en détail

L AMDEC un outil puissant d optimisation de la maintenance, application à un motocompresseur d une PME marocaine

L AMDEC un outil puissant d optimisation de la maintenance, application à un motocompresseur d une PME marocaine L AMDEC un outil puissant d optimisation de la maintenance, application à un moto d une PME marocaine Brahim HERROU*, Mohamed ELGHORBA** *Ecole Supérieure de Technologie BP. 2427 Route Imouzzer Fes herroubrahim@yahoo.fr

Plus en détail

SDLS08 - Modes propres d'une plaque carrée calculés sur base réduite

SDLS08 - Modes propres d'une plaque carrée calculés sur base réduite Titre : SDLS08 - Modes propres d'une plaque carrée calculé[...] Date : 03/08/2011 Page : 1/6 SDLS08 - Modes propres d'une plaque carrée calculés sur base réduite Résumé : Ce cas test a pour objectif de

Plus en détail

A la découverte du Traitement. des signaux audio METISS. Inria Rennes - Bretagne Atlantique

A la découverte du Traitement. des signaux audio METISS. Inria Rennes - Bretagne Atlantique A la découverte du Traitement des signaux audio METISS Inria Rennes - Bretagne Atlantique Les conférences scientifiques au Lycée Descartes Imagerie médicale et neuronavigation par Pierre Hellier Le respect

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

UML (Paquetage) Unified Modeling Language

UML (Paquetage) Unified Modeling Language UML (Paquetage) Unified Modeling Language Sommaire Introduction Objectifs Paquetage Espace de nommage d un paquetage Dépendances entre paquetages 2 Notion introduite véritablement par UML car superficiellement

Plus en détail

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce

Plus en détail

Equipement. électronique

Equipement. électronique MASTER ISIC Les générateurs de fonctions 1 1. Avant-propos C est avec l oscilloscope, le multimètre et l alimentation stabilisée, l appareil le plus répandu en laboratoire. BUT: Fournir des signau électriques

Plus en détail

Exemples de dynamique sur base modale

Exemples de dynamique sur base modale Dynamique sur base modale 1 Exemples de dynamique sur base modale L. CHAMPANEY et Ph. TROMPETTE Objectifs : Dynamique sur base modale réduite, Comparaison avec solution de référence, Influence des modes

Plus en détail

Incertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles

Incertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles Incertitude et variabilité : la nécessité de les intégrer dans les modèles M. L. Delignette-Muller Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive VetAgro Sup - Université de Lyon - CNRS UMR 5558 24 novembre

Plus en détail

1 - Connexion au service de gestion des demandes informatiques du lycée

1 - Connexion au service de gestion des demandes informatiques du lycée 1 - Connexion au service de gestion des demandes informatiques du lycée http://support.e-lycee-paca.fr Adresse du service en ligne à partir de tout point d accès internet, 24h/24. 1 Les identifiants sont

Plus en détail

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION

LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,

Plus en détail

DéSIT Démarche d ingénierie pour les Systèmes d Information Transport ambiants, sécurisés et personnalisables

DéSIT Démarche d ingénierie pour les Systèmes d Information Transport ambiants, sécurisés et personnalisables DéSIT Démarche d ingénierie pour les Systèmes d Information Transport ambiants, sécurisés et personnalisables Début du projet : septembre 2008 Durée prévue : 3 ans Projet du cluster Territoires, Transports

Plus en détail

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12

FORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30

Plus en détail

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd UE 503 L3 MIAGE Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique A. Belaïd abelaid@loria.fr http://www.loria.fr/~abelaid/ Année Universitaire 2011/2012 2 Le Modèle OSI La couche physique ou le

Plus en détail

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1 TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun

Plus en détail

Texte Agrégation limitée par diffusion interne

Texte Agrégation limitée par diffusion interne Page n 1. Texte Agrégation limitée par diffusion interne 1 Le phénomène observé Un fût de déchets radioactifs est enterré secrètement dans le Cantal. Au bout de quelques années, il devient poreux et laisse

Plus en détail

Rapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS

Rapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS Rapport Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS A.AZOULAY T.LETERTRE R. DE LACERDA Convention AFSSET / Supélec 2009-1 - 1. Introduction Dans le

Plus en détail

Souad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/

Souad EL Bernoussi. Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Recherche opérationnelle Les démonstrations et les exemples seront traités en cours Souad EL Bernoussi Groupe d Analyse Numérique et Optimisation Rabat http ://www.fsr.ac.ma/ano/ Table des matières 1 Programmation

Plus en détail

Chapitre 1 : Évolution COURS

Chapitre 1 : Évolution COURS Chapitre 1 : Évolution COURS OBJECTIFS DU CHAPITRE Savoir déterminer le taux d évolution, le coefficient multiplicateur et l indice en base d une évolution. Connaître les liens entre ces notions et savoir

Plus en détail

Dan Istrate. Directeur de thèse : Eric Castelli Co-Directeur : Laurent Besacier

Dan Istrate. Directeur de thèse : Eric Castelli Co-Directeur : Laurent Besacier Détection et reconnaissance des sons pour la surveillance médicale Dan Istrate le 16 décembre 2003 Directeur de thèse : Eric Castelli Co-Directeur : Laurent Besacier Thèse mené dans le cadre d une collaboration

Plus en détail

Systèmes de communications numériques 2

Systèmes de communications numériques 2 Systèmes de Communications Numériques Philippe Ciuciu, Christophe Vignat Laboratoire des Signaux et Systèmes cnrs supélec ups supélec, Plateau de Moulon, 9119 Gif-sur-Yvette ciuciu@lss.supelec.fr Université

Plus en détail

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception

Plus en détail

Ordonnance du DFJP sur les instruments de mesure audiométriques

Ordonnance du DFJP sur les instruments de mesure audiométriques Ordonnance du DFJP sur les instruments de mesure audiométriques (Ordonnance sur l audiométrie) 941.216 du 9 mars 2010 (Etat le 1 er janvier 2015) Le Département fédéral de justice et police (DFJP), vu

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE Le schéma synoptique ci-dessous décrit les différentes étapes du traitement numérique

Plus en détail

FctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines

FctsAffines.nb 1. Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008. Fonctions affines FctsAffines.nb 1 Mathématiques, 1-ère année Edition 2007-2008 Fonctions affines Supports de cours de mathématiques de degré secondaire II, lien hpertete vers la page mère http://www.deleze.name/marcel/sec2/inde.html

Plus en détail

Université de La Rochelle. Réseaux TD n 6

Université de La Rochelle. Réseaux TD n 6 Réseaux TD n 6 Rappels : Théorème de Nyquist (ligne non bruitée) : Dmax = 2H log 2 V Théorème de Shannon (ligne bruitée) : C = H log 2 (1+ S/B) Relation entre débit binaire et rapidité de modulation :

Plus en détail

mémo santé du bâtiment Chef d entreprise artisanales Le bruit est un son désagréable et gênant.

mémo santé du bâtiment Chef d entreprise artisanales Le bruit est un son désagréable et gênant. L'alliée de votre réussite mémo santé Chef d entreprise artisanale ATTENTION! LE BRUIT REND SOURD! Entreprises artisanales du bâtiment Le bruit est un son désagréable et gênant. Le son est le résultat

Plus en détail

Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale

Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale David BONACCI Institut National Polytechnique de Toulouse (INP) École Nationale Supérieure d Électrotechnique, d Électronique, d Informatique,

Plus en détail

Compatibilité Électromagnétique

Compatibilité Électromagnétique Compatibilité Électromagnétique notions générales et applications à l électronique de puissance Ir. Stéphane COETS 18 mai 2005 Journée d étude en Électronique de Puissance 1 Plan de l exposé La Compatibilité

Plus en détail

Format de l avis d efficience

Format de l avis d efficience AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation

Plus en détail

Rapport d'analyse des besoins

Rapport d'analyse des besoins Projet ANR 2011 - BR4CP (Business Recommendation for Configurable products) Rapport d'analyse des besoins Janvier 2013 Rapport IRIT/RR--2013-17 FR Redacteur : 0. Lhomme Introduction...4 La configuration

Plus en détail

Projet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR

Projet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR Projet de Traitement du Signal Segmentation d images SAR Introduction En analyse d images, la segmentation est une étape essentielle, préliminaire à des traitements de haut niveau tels que la classification,

Plus en détail

LISACode. Un simulateur opérationnel pour LISA. Antoine PETITEAU LISAFrance - le 16 mai 2006

LISACode. Un simulateur opérationnel pour LISA. Antoine PETITEAU LISAFrance - le 16 mai 2006 LISACode Un simulateur opérationnel pour LISA Antoine PETITEAU LISAFrance - le 16 mai 2006 Plan Rappel sur LISACode. Validation du simulateur. Possibilités du simulateur. Résultats obtenus. Bruit de confusion.

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Soutenance de stage Laboratoire des Signaux et Systèmes

Soutenance de stage Laboratoire des Signaux et Systèmes Soutenance de stage Laboratoire des Signaux et Systèmes Bornes inférieures bayésiennes de l'erreur quadratique moyenne. Application à la localisation de points de rupture. M2R ATSI Université Paris-Sud

Plus en détail

10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010

10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010 10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010 Le compressed sensing pour l holographie acoustique de champ proche II: Mise en œuvre expérimentale. Antoine Peillot 1, Gilles Chardon 2, François

Plus en détail

LES DECIMALES DE π BERNARD EGGER

LES DECIMALES DE π BERNARD EGGER LES DECIMALES DE π BERNARD EGGER La génération de suites de nombres pseudo aléatoires est un enjeu essentiel pour la simulation. Si comme le dit B Ycard dans le cours écrit pour le logiciel SEL, «Paradoxalement,

Plus en détail

Résumé non technique. Tableaux d estimation

Résumé non technique. Tableaux d estimation Résumé non technique Tableaux d estimation 4 Chapitre 1 Introduction 5 E n application de la directive européenne 2002/49/CE, et de ses retranscriptions en droit français (décret 2006-361 du 24 mars 2006

Plus en détail

Mathématique et Automatique : de la boucle ouverte à la boucle fermée. Maïtine bergounioux Laboratoire MAPMO - UMR 6628 Université d'orléans

Mathématique et Automatique : de la boucle ouverte à la boucle fermée. Maïtine bergounioux Laboratoire MAPMO - UMR 6628 Université d'orléans Mathématique et Automatique : de la boucle ouverte à la boucle fermée Maïtine bergounioux Laboratoire MAPMO - UMR 6628 Université d'orléans Maitine.Bergounioux@labomath.univ-orleans.fr Plan 1. Un peu de

Plus en détail

EMETTEUR ULB. Architectures & circuits. Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006. David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006

EMETTEUR ULB. Architectures & circuits. Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006. David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006 EMETTEUR ULB Architectures & circuits David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006 Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006 Introduction Emergence des applications de type LR-WPAN : Dispositif communicant

Plus en détail

ACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS

ACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS Matériel : Logiciel winoscillo Logiciel synchronie Microphone Amplificateur Alimentation -15 +15 V (1) (2) (3) (4) (5) (6) ACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS Connaissances et savoir-faire

Plus en détail

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE - MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base

Plus en détail

Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2. Novembre 2013. This document is also available in English.

Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2. Novembre 2013. This document is also available in English. Note d orientation : La simulation de crise Établissements de catégorie 2 This document is also available in English. La présente Note d orientation s adresse à toutes les caisses populaires de catégorie

Plus en détail

(51) Int Cl.: B23P 19/00 (2006.01) B23P 19/04 (2006.01) F01L 1/053 (2006.01)

(51) Int Cl.: B23P 19/00 (2006.01) B23P 19/04 (2006.01) F01L 1/053 (2006.01) (19) (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (11) EP 1 886 760 A1 (43) Date de publication: 13.02.2008 Bulletin 2008/07 (21) Numéro de dépôt: 0711197.6 (1) Int Cl.: B23P 19/00 (2006.01) B23P 19/04 (2006.01) F01L

Plus en détail

Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE Tel (++ 39 02) 90659200 Fax 90659180 Web www.electron.it, e-mail electron@electron.it

Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE Tel (++ 39 02) 90659200 Fax 90659180 Web www.electron.it, e-mail electron@electron.it Electron S.R.L. Design Production & Trading of Educational Equipment B3510--II APPLIICATIIONS DE TRANSDUCTEURS A ULTRASONS MANUEL D IINSTRUCTIIONS POUR L ETUDIIANT Electron S.R.L. - MERLINO - MILAN ITALIE

Plus en détail

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d

Plus en détail

Richard Abibon. «Le sujet reçoit de l Autre son propre message sous une forme inversée»

Richard Abibon. «Le sujet reçoit de l Autre son propre message sous une forme inversée» Richard Abibon «Le sujet reçoit de l Autre son propre message sous une forme inversée» Cette formule, on la trouve presque telle quelle dans l «Ouverture de ce recueil» qui introduit les «Ecrits» de Lacan.

Plus en détail

NOTRE OFFRE GLOBALE STAGES INTER-ENTREPRISES

NOTRE OFFRE GLOBALE STAGES INTER-ENTREPRISES NOTRE OFFRE GLOBALE STAGES INTER-ENTREPRISES HYDRAULIQUE MOBILE 5 Stages de 4 jours ----- HM1 HM2 HM3 HM4 HM5 2 Stages SAUER DANFOSS de 2 jours ----- PVG 32 ----- POMPE 90 MOTEUR 51 ELECTRONIQUE EMBARQUEE

Plus en détail

Automatique Linéaire 1 Travaux Dirigés 1A ISMIN

Automatique Linéaire 1 Travaux Dirigés 1A ISMIN Automatique Linéaire 1 Travaux Dirigés Travaux dirigés, Automatique linéaire 1 J.M. Dutertre 2014 TD 1 Introduction, modélisation, outils. Exercice 1.1 : Calcul de la réponse d un 2 nd ordre à une rampe

Plus en détail

Echantillonnage Non uniforme

Echantillonnage Non uniforme Echantillonnage Non uniforme Marie CHABERT IRIT/INP-ENSEEIHT/ ENSEEIHT/TéSASA Patrice MICHEL et Bernard LACAZE TéSA 1 Plan Introduction Echantillonnage uniforme Echantillonnage irrégulier Comparaison Cas

Plus en détail

Eléments mobiles du moteur Moteur 1/9

Eléments mobiles du moteur Moteur 1/9 Eléments mobiles du moteur Moteur 1/9 I Diagnostic des anomalies - Perte de compression ( par les segment ou par le piston ). - Consommation d huile ( remontée d huile dans la chambre ). - Bruits de fonctionnement

Plus en détail

En mars 2001, à l occasion d une journée

En mars 2001, à l occasion d une journée Solutions Cetiat MESURES ACOUSTIQUES TROIS NORMES POUR MESURER LE BRUIT DES MACHINES La chasse au bruit oblige les fournisseurs à tenir compte des caractéristiques acoustiques de leurs matériels de plus

Plus en détail

Cours d initiation à la programmation en C++ Johann Cuenin

Cours d initiation à la programmation en C++ Johann Cuenin Cours d initiation à la programmation en C++ Johann Cuenin 11 octobre 2014 2 Table des matières 1 Introduction 5 2 Bases de la programmation en C++ 7 3 Les types composés 9 3.1 Les tableaux.............................

Plus en détail

ÉVALUATION FORMATIVE. On considère le circuit électrique RC représenté ci-dessous où R et C sont des constantes strictement positives.

ÉVALUATION FORMATIVE. On considère le circuit électrique RC représenté ci-dessous où R et C sont des constantes strictement positives. L G L G Prof. Éric J.M.DELHEZ ANALYSE MATHÉMATIQUE ÉALUATION FORMATIE Novembre 211 Ce test vous est proposé pour vous permettre de faire le point sur votre compréhension du cours d Analyse Mathématique.

Plus en détail

COMPRESSEURS DENTAIRES

COMPRESSEURS DENTAIRES FRANCE COMPRESSEURS DENTAIRES TECHNOLOGIE SILENCIEUSE MGF NOS SERVICES, NOS ENGAGEMENTS - Les pièces détachées sont disponibles sur stock dans notre site localisé en Saône-et-Loire. Envoi express en h

Plus en détail

CHARTE INFORMATIQUE LGL

CHARTE INFORMATIQUE LGL CHARTE INFORMATIQUE LGL Selon la réglementation indiquée dans la charte informatique du CNRS, tout accès aux ressources informatiques du LGLTPE nécessite une authentification des personnels. Cette authentification

Plus en détail

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...

Plus en détail

SSLS116 - Chargement membranaire d une plaque excentrée

SSLS116 - Chargement membranaire d une plaque excentrée Titre : SSLS116 - Excentrement de plaque. Chargement membr[...] Date : 11/03/2010 Page : 1/12 Manuel de Validation Fascicule V3.03 : Statique linéaire des plaques et coques Document : V3.03.116 SSLS116

Plus en détail

Scanner acoustique NoiseScanner

Scanner acoustique NoiseScanner Scanner acoustique NoiseScanner «Des yeux et des oreilles pour localiser les sources de bruit...» Scanner acoustique NoiseScanner Décibel d Or 2014 Caractéristiques générales Originalités Fruit de 20 ans

Plus en détail

bouchons? Choisir ou des descoquilles

bouchons? Choisir ou des descoquilles PROTECTION INDIVIDUELLE Association paritaire pour la santé et la sécurité du travail Secteur fabrication de produits en métal et de produits électriques L exploitant d un établissement doit se conformer

Plus en détail

Modèles transport-urbanisme Fiches synthétiques SIMBAD. Modèle de dynamique urbaine désagrégé

Modèles transport-urbanisme Fiches synthétiques SIMBAD. Modèle de dynamique urbaine désagrégé Modèles transport-urbanisme Fiches synthétiques SIMBAD Identité du modèle : Nature Voyageurs / Marchandises Sur quoi porte le modèle d'urbanisme? Modes de transports Modèle agrégé/désagrégé? Modèle d'occupation

Plus en détail

La pratique des décisions dans les affaires

La pratique des décisions dans les affaires Association Française Edwards Deming Une philosophie de l action pour le XXIème siècle Conférence annuelle, Paris, 8 juin 1999 Jean-Marie Gogue, Président de l AFED La pratique des décisions dans les affaires

Plus en détail

La sécurité physique et environnementale

La sécurité physique et environnementale I. Qu est ce que la sécurité physique? "Il ne sert à rien de dresser une ligne Maginot logique si n'importe qui peut entrer dans la salle serveurs par la fenêtre " (Christian Pollefoort, consultant en

Plus en détail

Mémoire d actuariat - promotion 2010. complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains.

Mémoire d actuariat - promotion 2010. complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains. Mémoire d actuariat - promotion 2010 La modélisation des avantages au personnel: complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains. 14 décembre 2010 Stéphane MARQUETTY

Plus en détail

$SSOLFDWLRQGXNULJHDJHSRXUOD FDOLEUDWLRQPRWHXU

$SSOLFDWLRQGXNULJHDJHSRXUOD FDOLEUDWLRQPRWHXU $SSOLFDWLRQGXNULJHDJHSRXUOD FDOLEUDWLRQPRWHXU Fabien FIGUERES fabien.figueres@mpsa.com 0RWVFOpV : Krigeage, plans d expériences space-filling, points de validations, calibration moteur. 5pVXPp Dans le

Plus en détail

Instructions relatives à la soumission d une question sur le sujet d étude

Instructions relatives à la soumission d une question sur le sujet d étude Programme de bourses de recherche Amy Mahan pour évaluer l impact de l accès public aux TIC Instructions relatives à la soumission d une question sur le sujet d étude Table des matières À propos la Question

Plus en détail

Le trading haute fréquence vu de l AMF. Arnaud Oseredczuck, chef du service de la surveillance des marchés

Le trading haute fréquence vu de l AMF. Arnaud Oseredczuck, chef du service de la surveillance des marchés Le trading haute fréquence vu de l AMF Arnaud Oseredczuck, chef du service de la surveillance des marchés Introduction - Trading haute fréquence : définitions Conceptuellement, il convient de distinguer

Plus en détail

TP Modulation Démodulation BPSK

TP Modulation Démodulation BPSK I- INTRODUCTION : TP Modulation Démodulation BPSK La modulation BPSK est une modulation de phase (Phase Shift Keying = saut discret de phase) par signal numérique binaire (Binary). La phase d une porteuse

Plus en détail

CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI

CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses

Plus en détail

Les indices à surplus constant

Les indices à surplus constant Les indices à surplus constant Une tentative de généralisation des indices à utilité constante On cherche ici en s inspirant des indices à utilité constante à définir un indice de prix de référence adapté

Plus en détail

Les nouveautés de Femap 11.1

Les nouveautés de Femap 11.1 Siemens PLM Software Les nouveautés de Femap 11.1 Amélioration de la productivité des Ingénieurs calcul Avantages Manipulation plus rapide des modèles grâce à des performances graphiques améliorées Flexibilité

Plus en détail

Site Professionnel Opticiens : http://espaceprofessionnel.apgis.com

Site Professionnel Opticiens : http://espaceprofessionnel.apgis.com apgis Institution de prév oyance 12 rue Massue 94684 Vincennes cedex Site Professionnel Opticiens : http://espaceprofessionnel.apgis.com QUELQUES EXPLICATIONS Institution de Prévoyance agréée par le Ministère

Plus en détail

îundesdruokerei Berlin

îundesdruokerei Berlin Jtfk Europaisches Patentamt ^jll European Patent Office Numéro de publication: 0 295 972 Office européen des brevets A1 DEMANDE DE BREVET EUROPEEN Numéro de dépôt: 88401048.9 Int. Cl.4: G 05 B 19/10 @

Plus en détail

ANNEXE RELATIVE AUX CONDITIONS GENERALES D UTILISATION DES FICHIERS GEOGRAPHIQUES

ANNEXE RELATIVE AUX CONDITIONS GENERALES D UTILISATION DES FICHIERS GEOGRAPHIQUES ANNEXE RELATIVE AUX CONDITIONS GENERALES D UTILISATION DES FICHIERS GEOGRAPHIQUES Préambule La Poste est propriétaire de fichiers informatiques de données géographiques. Lesdits fichiers permettent de

Plus en détail

Pompes à Chaleur & environnement acoustique. Recommandations pour la mise en œuvre des pompes à chaleur. Fiche technique n 1

Pompes à Chaleur & environnement acoustique. Recommandations pour la mise en œuvre des pompes à chaleur. Fiche technique n 1 Fiche technique n 1 Pompes à Chaleur & environnement acoustique Recommandations pour la mise en œuvre des pompes à chaleur Association Française pour les Pompes A Chaleur 1 1 Puissance et pression acoustique

Plus en détail

MESURES de BRUIT. Chantier A63 Rechargement

MESURES de BRUIT. Chantier A63 Rechargement 1/21 MESURES de BRUIT Installations d enrobage Plate-forme LABENNE (40) RAPPORT DE MESURAGE Bruit ambiant et émergences RAPPORT DE MESURAGE Mesures réalisées le 17/10/2013 2/21 SOMMAIRE Page Conclusions

Plus en détail

Apport de la simulation de conduite dans le cadre de l'action 2

Apport de la simulation de conduite dans le cadre de l'action 2 Apport de la simulation de conduite dans le cadre de l'action 2 Lara Désiré Laboratoire Régional de Saint-Brieuc ERA33 «Comportement de l'usager et infrastructure PCI «Evaluation des politiques de sécurité

Plus en détail

Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6)

Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) ler semestre 2002 Renault O. Juiilei ZOO2 Ri-51786 Rapport de suivi du système de

Plus en détail

Mesures de temps de propagation de groupe sur convertisseurs de fréquence sans accès aux OL

Mesures de temps de propagation de groupe sur convertisseurs de fréquence sans accès aux OL Mesures de temps de propagation de groupe sur convertisseurs de fréquence sans accès aux Comment mesurer le temps de propagation de groupe sur des convertisseurs de fréquence dans lesquels le ou les oscillateurs

Plus en détail

Cisco Certified Network Associate

Cisco Certified Network Associate Cisco Certified Network Associate Version 4 Notions de base sur les réseaux Chapitre 8 01 Quelle couche OSI est responsable de la transmission binaire, de la spécification du câblage et des aspects physiques

Plus en détail

1. QU'EST-CE QUE L'INNOVATION

1. QU'EST-CE QUE L'INNOVATION 1. QU'EST-CE QUE L'INNOVATION L'innovation, étymologiquement, signifie «renouveler». L'innovation caractérise l'acte de déploiement du potentiel économique d'un résultat produit dans le champ de la connaissance

Plus en détail

BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1

BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1 TP A.1 Page 1/5 BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EPREUVE DE TRAVAUX PRATIQUES DE SCIENCES PHYSIQUES SUJET A.1 Ce document comprend : - une fiche descriptive du sujet destinée à l examinateur : Page 2/5 - une

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I. Les quanta s invitent

TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I. Les quanta s invitent TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS III CHAPITRE I Les quanta s invitent I-1. L Univers est en constante évolution 2 I-2. L âge de l Univers 4 I-2.1. Le rayonnement fossile témoigne 4 I-2.2. Les amas globulaires

Plus en détail

Généralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS

Généralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................

Plus en détail

Probabilités sur un univers fini

Probabilités sur un univers fini [http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 7 août 204 Enoncés Probabilités sur un univers fini Evènements et langage ensembliste A quelle condition sur (a, b, c, d) ]0, [ 4 existe-t-il une probabilité P sur

Plus en détail

Année propédeutique santé Présentation générale du programme

Année propédeutique santé Présentation générale du programme Année propédeutique Sante 2014-2015 DCA/sbe révision Août 2014 Année propédeutique santé s Présentation générale du programme Introduction et finalités de l année propédeutique santés L objectif de cette

Plus en détail

Décompresser, créer une archive au format «ZIP»

Décompresser, créer une archive au format «ZIP» Décompresser, créer une archive au format «ZIP» Qu'est-ce qu'une archive? Une archive est tout simplement une collection de fichiers stockée dans un fichier unique. Rien de plus, rien de moins. Il existe

Plus en détail

Traitement des plaintes sur le bruit et exigences aux entreprises qui le génèrent

Traitement des plaintes sur le bruit et exigences aux entreprises qui le génèrent Traitement des plaintes sur le bruit et exigences aux entreprises qui le génèrent Références légales : LRQ (c. Q-2), articles 20 et 22 JUIN 2006 Introduction 1. Objet de la note d instructions Cette note

Plus en détail

«Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner?

«Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner? «Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner? Congrès du CNGE Angers Novembre 2008 Sébastien Cadier*, Isabelle Aubin**, Pierre Barraine* *Département de médecine générale

Plus en détail