DÉPISTAGE DE L AOMI DOCUMENT D INFORMATION POUR LES MÉDECINS GÉNÉRALISTES SOCIÉTÉ FRANÇAISE DE MÉDECINE VASCULAIRE
|
|
- Chrystelle Vinet
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DOCUMENT D INFORMATION POUR LES MÉDECINS GÉNÉRALISTES DÉPISTAGE DE L AOMI des pas pour la vie Campagne pour la prévention de l'artériopathie des membres inférieurs SOCIÉTÉ FRANÇAISE DE MÉDECINE VASCULAIRE
2 DIAGNOSTIC ET PRISE EN CHARGE DE L ARTÉRIOPATHIE : RECOMMANDATIONS DE LA HAUTE AUTORITÉ DE SANTÉ 1 AVRIL 2006 Le dépistage de l artériopathie doit être réalisé chez tous les sujets à risque cardiovasculaire élevé. «La prévalence de l AOMI asymptomatique, la mortalité cardiovasculaire associée et les moyens thérapeutiques disponibles ( ) invitent à son dépistage individuel par une évaluation clinique bien conduite et la mesure systématique de l IPS chez tous les sujets à risque d accident cardiovasculaire». La prise en charge de l artériopathie intègre celle des facteurs de risque. Exercice physique quotidien et éducation thérapeutique structurée seront systématiques. En cas d AOMI, le traitement médicamenteux dans la prévention du risque cardiovasculaire associera dans la majorité des cas un antiagrégant plaquettaire, une statine et un inhibiteur de l enzyme de conversion de l angiotensine. Les autres facteurs seront traités en fonction de leurs caractéristiques : tabagisme, surcharge pondérale, dyslipidémie, HTA, diabète. Pour plus d informations, veuillez visiter le site : 2
3 POURQUOI DÉVELOPPER LE DÉPISTAGE DE L ARTÉRIOPATHIE OBLITÉRANTE DES MEMBRES INFÉRIEURS (AOMI)? Parce qu en France, on dénombre patients claudiquants pour cette pathologie 2 et que l on estime à 2 millions le nombre de personnes potentiellement atteintes. Parce que la présence d une artériopathie, quel que soit son stade, est un puissant marqueur de risque cardiovasculaire, et que son pronostic est toujours grave : en l absence de prise en charge, le taux de mortalité est de près de 50 % à 10 ans 1,2. Parce que des solutions existent si la pathologie est prise en charge à temps : la Haute Autorité de Santé vient de publier à ce sujet des recommandations concernant la pratique clinique 1. Améliorer le dépistage de l AOMI est à la fois urgent et relativement simple, c est pourquoi les médecins de la Société Française de Médecine Vasculaire et de l Institut de l Athérothrombose, ainsi que l ensemble des professionnels de santé concernés, lancent aujourd hui une campagne de sensibilisation sur l artériopathie. DÉFINITION DE L AOMI L AOMI est caractérisée par un rétrécissement du calibre des artères à destination des membres inférieurs. Il entraîne une perte de charge hémodynamique avec ou sans traduction clinique, dont le meilleur témoin est la chute de l index de pression systolique (IPS). L IPS est le rapport de la pression systolique à la cheville sur la pression brachiale mesurée grâce à l utilisation d une sonde Doppler. La Haute Autorité de Santé 1 Des pas pour la vie : une campagne pour Inciter les patients de plus de 60 ans à prendre au sérieux d éventuelles douleurs à la jambe et à en parler à leur médecin. Proposer aux médecins généralistes quelques conseils pratiques pour développer le dépistage de l artériopathie. des pas pour la vie Campagne pour la prévention de l'artériopathie des membres inférieurs 3
4 L AOMI 3 RÉFLEXES CLÉS PENSEZ À POSER LA QUESTION DE LA DOULEUR EN MARCHANT CHEZ LES PATIENTS DIABÉTIQUES ET/OU FUMEURS : INTÉGREZ SYSTÉMATIQUEMENT LE DOPPLER DANS LE BILAN VASCULAIRE ÉQUIPEZ-VOUS D UN DOPPLER DE POCHE 4
5 VIS-À-VIS DE VOS PATIENTS À RISQUE LA DOULEUR DU MOLLET EN MARCHANT SIGNE L AOMI L AOMI est souvent silencieuse mais elle se caractérise chez certains patients par une claudication intermittente d origine artérielle. Cette apparition à la marche d une douleur le plus souvent au mollet se manifeste à intervalle régulier, après une distance de marche donnée pour chaque patient ; la douleur disparaît rapidement à l arrêt de la marche. QUI SONT LES PATIENTS À RISQUE 1? Ce sont des patients de plus de 60 ans (50 ans pour les femmes) qui présentent les facteurs de risque suivants : Le tabagisme, facteur de risque le plus fréquemment présent. Le diabète, qui aggrave considérablement le pronostic fonctionnel et vital du sujet souffrant d une AOMI. L hypertension artérielle, présente chez près de 50 % des patients, multiplie par 2 le risque de développer une AOMI. La dyslipidémie : outre l augmentation du LDL-cholestérol, le profil dyslipidémique le plus fréquemment retrouvé associe hypertriglycéridémie et HDL-cholestérol bas. L obésité abdominale (périmètre abdominal supérieur à 102 cm chez l homme et à 88 cm chez la femme) ou l obésité (Indice de Masse Corporelle égal ou supérieur à 30 kg/m 2 ). Des antécédents cardiovasculaires familiaux directs. Un antécédent cardiovasculaire tel qu un IDM ou un AVC. LA MESURE DE L IPS Le Doppler de poche est un instrument simple qui peut être utile plusieurs fois par jour ou par semaine en médecine générale. Les médecins vasculaires sont prêts à former les médecins généralistes qui le souhaitent (une à deux heures suffisent). Pour plus d information : 5
6 DÉPISTAGE ET PRISE EN CHARGE GLOBALE DE L AOMI D après le Dr Jean-Pierre Laroche Cet arbre décisionnel vous permettra une prise en charge optimale de l AOMI selon son mode de présentation clinique. Le rôle du médecin généraliste est prépondérant de la détection jusqu au suivi de l AOMI. Population cible 60 ans + FDR (tabac, diabète, HTA, cholestérol, obésité, antécédents familiaux) Sujets ASYMPTOMATIQUES Sujets présentant une ischémie d effort (claudication) Sujets présentant ischémie de repos (douleurs décubitus calmées par le déclive) ou trouble trophique de cicatrisation lente Démarche pragmatique Pouls + et Souffle - Pouls - et/ou Souffle + Si pas de Doppler de poche Écho-Doppler AMI, Aorte et TSAO, IPS < 0,9 Tapis roulant si nécessaire (claudication atypique) Écho-Doppler AMI, Aorte Évaluation micro circulatoire (TCPO2) Si Doppler de poche = absence AOMI IPS < 0,9 Maîtrise FDR Marche Traitement médical antiagrégant plaquettaire Statine / IEC Maîtrise FDR Marche Traitement médical antiagrégant plaquettaire Statine / IEC Pronostic vital du membre en jeu : restitution débit correct : angioplastie et/ou chirurgie Prise en charge par le médecin généraliste Prise en charge par le médecin spécialiste FDR : Facteurs de risque AMI : Artères des membres inférieurs TSAO : Tronc supra aortique TCPO2 : Pression transcutanée en oxygène 6
7 DES GESTES SIMPLES POUR RECONNAÎTRE UNE AOMI L examen clinique La palpation des pouls des membres inférieurs (pédieux, tibial postérieur) est un geste essentiel ; en cas d AOMI, diminution ou abolition d un ou de plusieurs pouls des membres inférieurs. Du point de vue méthodologique la palpation simultanée des deux pouls tibiaux postérieurs améliore l efficacité diagnostique. L examen des téguments cutanés est aussi un temps important avec notamment l appréciation de la chaleur cutanée. La confirmation de l AOMI L auscultation de l artère fémorale au triangle de Scarpa recherche la présence éventuelle d un souffle qui est un indicateur très fort d AOMI. Lorsque les pouls distaux sont non ou mal perçus ou en cas de doute, l usage d un Doppler s impose pour l évaluation du signal Doppler des artères jambières à la cheville et surtout pour la mesure de l index de pression systolique à la cheville. L Index de Pression Systolique à la cheville (IPSch) est le rapport de la Pression Artérielle Systolique (PAS) à la cheville sur la Pression Artérielle Systolique (PAS) brachiale : IPS = PAS cheville/pas brachiale Palpation simultanée des pouls tibiaux postérieurs Évaluation du signal Doppler artériel 7
8 LA MESURE DE L IPS : UNE FAÇON SIMPLE, RAPIDE ET PEU COÛTEUSE DE DÉPISTER PRÉCOCEMENT L AOMI La mesure de l IPS permet le diagnostic de l artériopathie Un IPS < 0,9 affirme une AOMI avec une sensibilité de 95 % et une spécificité voisine de 100 % 3. Un signal Doppler et un IPS normaux excluent une AOMI avec une fiabilité supérieure à 90 %. Devant une AOMI symptomatique ou non, le risque artériel est d autant plus important que l IPS est plus bas. Mesure de la PAS à la cheville avec une sonde Doppler POUR MÉMOIRE Les valeurs de l IPS doivent figurer dans tout compte rendu d Écho- Doppler des artères des membres inférieurs. Nous conseillons aux médecins généralistes lorsqu ils prescrivent un Écho-Doppler artériel des membres inférieurs d ajouter la mention «avec mesure de l IPS de cheville». La mesure de l IPS permet d évaluer le degré de sévérité de l artériopathie Il existe une corrélation constante entre l IPS et la gravité des lésions sous jacentes. Les valeurs de 0,9 sont corrélées à des sténoses artérielles de plus de 50 %, même en l absence de symptôme. La mesure de l IPS permet d estimer les risques d événements cardiovasculaires Il existe une corrélation linéaire entre la sévérité de l artériopathie définie par l IPS, le risque cardiovasculaire et la mortalité. PAS bras droit 135 mm Hg PAS cheville droite 135 mm Hg PAS bras gauche 135 mm Hg PAS cheville gauche 100 mm Hg Calcul IPSch IPS droit : 135/135 = 1,00 IPS gauche : 100/135 = 0,74 Diagnostic : AOMI à la jambe gauche Exemple : mesure de l IPSch chez un homme de 55 ans, hypertendu traité 8
9 LE QUESTIONNAIRE D EDIMBOURG : UN OUTIL DE DIAGNOSTIC SIMPLE ET PERFORMANT Ce questionnaire a été conçu par des spécialistes de la médecine vasculaire (d après Aboyans V, Lacroix P et all, Arch Maladie du Cœur et des Vaisseaux 2000). Il permet d établir avec une grande fiabilité l origine artérielle de la douleur. AUTOÉVALUATION DE LA DOULEUR PAR LE PATIENT A. Ressentez-vous une douleur ou une gêne dans une jambe quand vous marchez? 1. Oui 0. Non 2. Je ne peux pas marcher Si OUI, continuez le questionnaire B. Cette douleur commence-t-elle parfois à se manifester quand vous êtes debout immobile ou assis? 1. Oui 0. Non C. Ressentez-vous cette douleur quand vous montez une côte ou quand vous marchez vite? 1. Oui 0. Non E. Que devient la douleur si vous vous arrêtez? 1. Elle persiste habituellement plus de 10 mn 0. Elle disparaît habituellement en 10 mn ou moins F. Où ressentez-vous cette douleur ou gêne? Marquez l emplacement par une croix sur le schéma suivant : D. La ressentez-vous quand vous marchez d un pas normal sur le terrain plat? 1. Oui 0. Non Vue avant Vue arrière INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS On considère qu il y a une claudication intermittente lorsque les réponses sont les suivantes : Question A : OUI Question B : NON Question C : OUI Question D : OUI (claudication forte) ou NON (faible) Question E : 10 mn ou moins Question F : Claudication artérielle définie si croix sur les mollets, possible si croix sur les fesses ou sur les cuisses, claudication non artérielle si les articulations sont pointées. Performances diagnostiques de la version française du questionnaire d Edimbourg Sensibilité (IC-95 %) : 86,5 % Spécificité (IC-95 %) : 95,6 % Valeur Prédictive Positive (IC-95 %) : 91,4 % Valeur Prédictive Négative (IC-95 %) : 92,4 % Précision (IC-95 %) : 92,4 % IPS : Sensibilité : 95 % Spécificité : 100 % 9
10 UNE PRISE EN CHARGE GLOBALE DE L AOMI ET DES FACTEURS DE RISQUE L AOMI est l une des expressions cliniques de l athérothrombose. Le patient qui présente une AOMI est un patient à haut risque cardiovasculaire. La prise en charge sera fonction de la sévérité de l ischémie et de l extension de la maladie athérothrombotique. Prendre en charge efficacement une AOMI, c est prévenir les risques d infarctus du myocarde ou d accident vasculaire cérébral ischémique mais aussi rechercher un anévrisme de l aorte abdominale 4. L arrêt du tabac doit être une priorité L intoxication tabagique augmente le risque d aggravation de la claudication, d amputation et aussi les risques d autres accidents ischémiques. L efficacité de l arrêt du tabac est largement conditionnée par une prise en charge spécifique (consultation anti tabac). Prévenir l aggravation de l athérothrombose Chez un patient avec une AOMI, la prévention secondaire du risque cardiovasculaire repose sur le contrôle des facteurs de risques et donc sur l association d un antiagrégant plaquettaire, d une statine et d un IEC. En cas de coronaropathie, l AOMI au stade d ischémie d effort ne contre-indique pas le traitement bétabloquant 1,5. L éducation thérapeutique doit faire partie de l arsenal thérapeutique Il s agit d apporter au patient une meilleure connaissance de l AOMI dans le but d obtenir une compliance renforcée aux mesures thérapeutiques. Si l éducation du diabétique est une réalité en France, pour l AOMI nous en sommes aux balbutiements. Les autres traitements Les techniques de radiologie interventionnelle Les angioplasties se discutent au stade de claudication intermittente pour des lésions localisées, segmentaires en fonction de leur tolérance clinique et des facteurs de co-morbidité que présente le patient. Les techniques chirurgicales Réservées à des patients avec un retentissement fonctionnel sévère ou avec des lésions à potentiel évolutif comme des anévrismes. 10
11 MARCHER OU RÉAPPRENDRE À MARCHER La pratique régulière de la marche est essentielle pour améliorer la qualité de vie du patient atteint d artériopathie. L enjeu : améliorer progressivement la distance de marche qu il est capable de parcourir sans douleur. L entraînement à la marche développe la circulation collatérale de suppléance et permet de doubler la distance de marche en 6 à 12 semaines ; et ce d autant que le sujet est plus âgé. L exercice physique est bénéfique : son mécanisme d action permet une adaptation métabolique des muscles des membres inférieurs. L effet favorable s exerce sur la claudication mais aussi sur les autres facteurs de risque cardiovasculaire. Références 1 Haute Autorité de Santé, Recommandations pour la pratique clinique, Prise en charge de l Artériopathie Chronique Oblitérante Athéroscléreuse des membres inférieurs (indication médicamenteuse de revascularisation et de rééducation) avril 2006 ( 2 Letouzey JP. et al. Livre Blanc sur la prise en charge des maladies cardiovasculaires en France. Cardiologie ; 1: Becker F. Artériopathie chronique oblitérante des membres inférieurs : les clefs du diagnostic précoce. A.I.M n Cacoub John Libbey. Athérothrombose, Tome II, Fiessinger JN., Sapoval M., Julia P. Prise en charge d un patient ayant une claudication intermittente des membres inférieurs. Rev Prat 2005 ; 55 : En pratique, le patient doit effectuer au minimum trois marches hebdomadaires d une durée d environ une heure. Pour que l exercice soit efficace et agréable, la marche doit être régulière, l effort modéré et effectué dans de bonnes conditions : chaussures confortables, terrain plat, météo favorable. 11
12 des pas pour la vie Campagne pour la prévention de l'artériopathie des membres inférieurs La mobilisation des professionnels de santé De nombreuses sociétés savantes, institutions publiques et associations apportent leur soutien et contribuent à la campagne Des pas pour la vie. Cette brochure est destinée aux médecins généralistes. Conçue par des médecins spécialistes des maladies artérielles, elle a pour objectif de développer le dépistage de l artériopathie. 12 Pour plus d informations et pour télécharger les documents de la campagne, veuillez visiter les sites web de la Société Française de Médecine Vasculaire de l Institut de l Athérothrombose et du Collège des Enseignants de Médecine Vasculaire /2006
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailGUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Artériopathie oblitérante des membres inférieurs Mars 2007 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2 avenue
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailLES FACTEURS DE RISQUE
LES FACTEURS DE RISQUE C EST QUOI UN FACTEUR DE RISQUE? C est une caractéristique lié à une personne, à son environnement à sa culture, à son mode de vie qui entraine pour elle une probabilité plus importante
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailLe VIH et votre cœur
Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,
Plus en détailPREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an
Plus en détailLe VIH et votre apparence physique
Le VIH et votre apparence physique Le VIH et votre apparence physique Les personnes séropositives subissent-elles souvent des changements de l apparence physique? Il est difficile de dire avec exactitude
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailmaladies des artères Changer leur évolution Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs
maladies des artères Infarctus du myocarde Accident vasculaire cérébral Artérite des membres inférieurs maladies des artères : comment, pourquoi? La principale maladie de nos artères, appelée athérosclérose,
Plus en détailPROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ. Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé
PROGRESSEZ EN SPORT ET EN SANTÉ Mieux vivre avec ma maladie chronique, Me soigner par l activité physique Programmes Santé À chacun son stade! Votre profil est unique, votre réponse à l exercice physique
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailFemmes, prenez soin de votre cœur! LIVRET DE PREVENTION
LIVRET DE PREVENTION Femmes, prenez soin de votre cœur! TOUT SAVOIR SUR LA SANTE DU CŒUR DES FEMMES, par la Fondation Cœur et Artères, reconnue d utilité publique Introduction Ce livret s adresse à toutes
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailHypertension artérielle. Des chiffres qui comptent
Hypertension artérielle Des chiffres qui comptent REPÈRES 7 500 000 d hypertendus (15 à 20 % des adultes en 1990). La fréquence de l hypertension artérielle (HTA) augmente avec l âge. Mais sur 8 personnes
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailEvaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI
Evaluation du risque Cardio-vasculaire MOHAMMED TAHMI La pression artérielle normale n existe plus. L hypertension artérielle n existe plus. On soigne un risque cardiovasculaire. Plus celui-ci est élevé
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailParcours du patient cardiaque
Parcours du patient cardiaque Une analyse HAS à partir de la base QualHAS, des Indicateurs Pour l Amélioration de la Qualité & Sécurité des Soins (IPAQSS)- Infarctus du myocarde Linda Banaei-Bouchareb,
Plus en détailALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement
Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de
Plus en détailTronc Artériel Commun
Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailDiabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question
Diabète et risque cardiovasculaire: Le syndrome métabolique en question Eugène Sobngwi, MD, PhD Service d Endocrinologie d Diabétologie Hôpital Saint-Louis, Paris 10 / INSERM U 671 Le diabète sucré en
Plus en détailntred 2007 Résultats de l étude Description des personnes diabétiques
Résultats de l étude ntred 2007 EÉCHANTILLON NATIONAL TÉMOIN REPRÉSENTATIF DES PERSONNES DIABÉTIQUES Le diabète est une maladie chronique de plus en plus fréquente, qui touche en France plus de 2 millions
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailCazenove & Stédo. départ pour : RCV. Nous ne sommes pas que des super héros, nous sommes avant tout des Hommes comme les autres! Scénario.
Cazenove & Stédo départ pour : RCV Nous ne sommes pas que des super héros, nous sommes avant tout des Hommes comme les autres! Scénario Cazenove Dessins Stédo Couleurs Christian Favrelle et Pierre Schelle
Plus en détailTITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire»
TITRE : «Information et consentement du patient en réadaptation cardiovasculaire» MC Iliou, R Brion, C Monpère, B Pavy, B Vergès-Patois, G Bosser, F Claudot Au nom du bureau du GERS Un programme de réadaptation
Plus en détailLe cœur et les artères des femmes sont en danger
Le cœur et les artères des femmes sont en danger Dossier de presse Contact Luc-Michel Gorre Association de Cardiologie Nord Pas de Calais Coordination et Communication 03 20 21 07 58 06 16 48 13 35 luc-michel.gorre@orange.fr
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailMÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE
MÉTHODES DIAGNOSTIQUES DE STÉNOSE DE L ARTÈRE RÉNALE Mai 2004 Service Évaluation Technologique - 1 - Pour recevoir la liste des publications de l Anaes, il vous suffit d envoyer vos coordonnées à l adresse
Plus en détailLa maladie de Takayasu
La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Takayasu. Elle ne se substitue
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailL obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon
L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailHEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs
HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du
Plus en détailContraception après 40 ans
Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailRééducation des accidents vasculaires cérébraux
Module «Système nerveux central et MPR» Septembre 2008 Rééducation des accidents vasculaires cérébraux G. Rode, S. Jacquin-Courtois, A. Yelnik Ce document est le support des cours «AVC» faits lors de la
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailAutomesure de la tension artérielle
Automesure de la tension artérielle Pour mieux surveiller votre santé Illustration Imothep M.-S. Être bien informé, mieux se prendre en charge Souhaitez-vous mesurer vous-même votre tension? Comprendre
Plus en détailÉvaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement
Évaluation du risque cardiovasculaire dans le contexte de l hypertension artérielle et de son traitement DIU HTA François Gueyffier Service de pharmacologie clinique UMR CNRS 5558 CIC 201, LYON francois.gueyffier@chu-lyon.fr
Plus en détailAPRÈS L'ACCIDENT CORONAIRE
APRÈS L'ACCIDENT CORONAIRE CE QUE JE DOIS FAIRE POUR PRÉVENIR LA RÉCIDIVE! Informations et conseils pour une bonne réadaptation La fédération française de cardiologie finance : prévention, recherche, réadaptation
Plus en détailPRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES. collectives D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES collectives D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailLE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE
LE PSORIASIS ET SES CO-MORBIDITES PARTICULIEREMENT LE DIABETE Le psoriasis est apparu longtemps comme une maladie de peau isolée mais des études épidémiologiques internationales ces dernières années ont
Plus en détailRisque Cardiovasculaires au cours des Vascularites et des pathologies inflammatoires chroniques
Risque Cardiovasculaires au cours des Vascularites et des pathologies inflammatoires chroniques Dr Jérôme CONNAULT Service de Médecine Interne et Vasculaire CHU Nantes Société Algérienne de Médecine Interne
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailSEMEIOLOGIE CARDIO-VASCULAIRE Mesure de la Pression Artérielle
SEMEIOLOGIE CARDIO-VASCULAIRE Mesure de la Pression Artérielle Plan de cours I-Principes généraux... 2 I-1.La mesure exacte : la pression artérielle «intravasculaire»... 2 I.1- La mesure indirecte : notion
Plus en détailDr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008. Mise à jour 24-06-08
Diabète de type 2 et Sport Dr Laurence FAYARD- JACQUIN Cœurs du Forez 2008 Mise à jour 24-06-08 L activité physique est recommandée depuis longtemps aux patients diabétiques Dès la fin du 19 ème siècle,
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailCENTRE DU DIABETE CLINIQUE SAINT-JEAN. Centre de traitement multidisciplinaire pour personnes diabétiques
CLINIQUE SAINT-JEAN Centre de traitement multidisciplinaire pour personnes diabétiques 1 Madame, Mademoiselle, Monsieur, Bienvenue au Centre du Diabète de la. Nous sommes un centre de traitement multidisciplinaire
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailProgramme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie
Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,
Plus en détailFarzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France. Probability of cardiovascular events. Mortalité CV
Nouveautés dans le diagnostique et le traitement de la maladie coronaire du dialysé Farzin Beygui Institut de Cardiologie CHU Pitié-Salpêtrière Paris, France Probability of cardiovascular events Mortalité
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailSANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT!
SANTÉ stop cholesterol diabete hypertension E-BOOK équilibre Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! un peu d histoire... Il y a 200 ans, un Français faisait en moyenne entre
Plus en détailPrimeurs en cardiologie I
Primeurs en cardiologie I Chicago Emmanuèle Garnier Le congrès de l American College of Cardiology (ACC), qui avait lieu du 29 mars au 1 er avril, a permis le dévoilement en primeur de nombreux résultats
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailLa prise en charge de votre cardiopathie valvulaire
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire Vivre avec une cardiopathie valvulaire Décembre 2008 En cas de cardiopathie valvulaire opérée
Plus en détailLes formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.
1 FM4 PAGE 1/4 Les formalités médicales ci-dessous sont celles prévues aux conditions générales du contrat assurance emprunteur çaassure n 24.747 si : L âge de l emprunteur est < 50 ans & le capital assuré*
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailPour la prévention des maladies cardiovasculaires dans le diabète, le taux d'hba1c cible recommandé est <7,0% (<53 mmol / mol).
Discussion par le Dr Boustani : les nouvelles recommandations européennes sur la prévention nous invitent à une révolution intellectuelle dans l identification des patients à risques. La majorité des cardiologues,
Plus en détailUN ENNEMI DU CŒUR ET DES ARTÈRES
DIABÈTE UN ENNEMI DU CŒUR ET DES ARTÈRES La Fédération Française de Cardiologie finance : prévention, recherche, réadaptation et gestes qui sauvent grâce à la générosité de ses donateurs UN ENNEMI DU CŒUR
Plus en détailMarche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica)
December 1, 2010 Klick Inc. Marche à suivre pour importer votre base de données Guide santé CV MC ) (Réservé à l usage de Clinemetrica) Les utilisateurs de l application Guide santé CV MC qui souhaitent
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailéviter UNE RÉCIDIVE APRÈS UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
éviter UNE RÉCIDIVE APRÈS UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR SES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur ses connaissances 3 Vrai Faux Rappel 4 Un AVC peut-il
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailApproche centrée e sur le patient
Approche centrée e sur le patient Objectifs Prendre conscience des différences de type d approche Connaître le concept de l approche centrée sur le patient Savoir utiliser un outil d approche centrée sur
Plus en détailSystème cardiovasculaire - CV CV111 CV110. aliskirène Rasilez
aliskirène Rasilez CV111 Pour le traitement de l hypertension artérielle, en association avec au moins un agent antihypertenseur, si échec thérapeutique, intolérance ou contre-indication à un agent de
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détail