Rapport de stage (2017/2018) Bilan de l alimentation d un troupeau laitier

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1 Rapport de stage (2017/2018) Bilan de l alimentation d un troupeau laitier Les objectifs de la partie alimentation de ce stage sont multiples : - identifier les matières premières utilisées dans une ration pour vache laitière - juger la valeur alimentaire et la qualité de ces matières premières. - reconnaître le système de rationnement mis en place par l éleveur (ration individuelle ou ration complète/semi-complète) - contrôler la ration effectivement donnée aux vaches - établir un jugement global du système de rationnement par rapport aux objectifs de production. Ces aspects font un lien avec les cours et TD de Bromatologie dispensés sur le site d Alfort et la visite et les TD dispensés à Champignelles. Cette étude du rationnement des vaches laitières traite du système sain pendant la période de stabulation. En effet, il est primordial de connaître le système sain avant de traiter des cas d élevages à problème (voir programme de l UC Gestion collective de la production et de la santé dans les élevages de vaches laitières, semestres 9). Le rapport est divisé en deux parties : - Bromatologie (à faire pendant la première semaine de stage). Dans la partie Bromatologie, l objectif est de collecter toutes les informations concernant les matières premières utilisées dans l élevage : système de production, valeur nutritive/alimentaire et qualité. Cette partie comportera au maximum 2 pages dactylographiées, sans compter les annexes et les illustrations (tableaux et figures). Ce premier document sera remis en Zootechnie le 13/11/ Rationnement (à faire pendant les deux dernières semaines de stage). Dans la partie Rationnement l objectif est d identifier le système de rationnement utilisé, de contrôler la ration et de donner un jugement global du système de rationnement. Cette partie comportera au maximum 8 pages dactylographiées, sans compter les annexes et les illustrations (tableaux et figures). Dans les deux documents les tableaux et figures doivent être intercalés vis-à-vis ou à proximité des paragraphes y faisant référence. Les annexes seront placées à la fin du rapport final regroupant les deux parties. La partie Bromatologie sera corrigée et rendue aux étudiants. Après la deuxième période de stage la partie Bromatologie corrigée (si nécessaire) sera complétée par la partie Rationnement pour former le rapport final. Ce rapport sera rendu en Zootechnie le 09/04/2018. B. Partie sur le Rationnement 3. Contrôle des rations pendant le stage (les 2 semaines de stage en janvier) Vous indiquerez le TB (g/kg) et le TP (g/kg) au moment de ce contrôle. Dans un tableau (tableau 6) vous indiquerez les éléments nécessaires pour décrire globalement le système de distribution (ration individuelle, ration complète ou ration semi-complète). Les trois modèles les plus classiquement rencontrés sont présentés en cours et en TD, mais il peut y avoir des variantes. Si vous avez un problème pour définir le système il faut contacter l enseignant qui va corriger votre rapport pour avoir son avis sur le système de rationnement. Il est très important de définir correctement le système de rationnement (ration individuelle ou ration complète/semi-complète) car le choix des tableaux utilisés pour faire le bilan en dépend Alimentation individuelle Une description de la mise en œuvre de la ration est nécessaire. Ce système est basé sur l hypothèse que toutes les vaches consomment la même quantité de ration de base équilibrée et que seule la quantité de concentré de production est modulée par l éleveur en fonction du niveau de production de lait Ration de base équilibrée Contrôle des quantités de matières premières Cette partie du rapport est réservée à la méthode utilisée pour calculer/mesurer les quantités de chaque fourrage dans la ration (cubage du silo, de la désileuse ou nombre de balles de foin par semaine). Des erreurs classiques dans les calculs sont : - de mal estimer la densité de l ensilage (ensilage tassé ou détassé), - de faire une confusion entre matière sèche et matière brute pour un ensilage, - de ne pas tenir compte des parties enlevées par l éleveur avant la distribution des fourrages, - de ne pas tenir compte des refus dans l auge avant chaque nouvelle distribution. Si vous n observez pas de refus il est plus difficile de faire un bilan des apports par la ration car il risque d y avoir des problèmes de compétition entre vaches pour consommer la ration. Certaines vaches, les plus dominantes, vont pouvoir consommer suffisamment de ration et d autres, les dominées, vont consommer moins que ce qui est nécessaire. Il faut montrer les étapes de calcul : - Calcul de la quantité distribuée - Calcul des refus

2 Une étape importante dans le contrôle des quantités de fourrage consommées par les vaches dans le cas d une ration individuelle est de voir si les vaches peuvent raisonnablement consommer ce qui a été calculé (voir poly cours rationnement ). Il faut tenir compte de la valeur énergétique (UFL) et de la valeur d encombrement (UEL) pondérées des fourrages pour utiliser ce tableau. Eventuellement, une correction pour le poids vif des vaches peut s avérer nécessaire. Ce tableau donne une estimation de la quantité de fourrage que la vache peut consommer. Ensuite les quantités de concentré d équilibre et de CMV consommées doivent être mesurées. Pour le faire, il faut mesurer le contenu des récipients utilisés pour distribuer le concentré de production à l auge ou la quantité de concentré qui tombe chaque fois que l éleveur actionne les tirettes dans la salle de traite ou chaque fois qu une vache entre dans le DAC Contrôle du mode de distribution Une description détaillée du système de distribution des fourrages et des concentrés d équilibre (CMV) est à faire dans cette section. Le but est de noter les éléments qui pourraient affecter la prise alimentaire (place à l auge, aliments repoussés plusieurs fois/j ). Ces éléments vont être ensuite repris dans la section 4.2. Qualité où il faut donner votre avis sur une possible baisse de la consommation des matières premières. Le point le plus important est l accès à l eau et sa qualité. En moyenne une vache boit 4L d eau/kg de MS consommé et 1L d eau/kg de lait produit. La dernière étape est de remplir le tableau 7 qui fait un bilan de la quantité de lait permise par la ration de base équilibrée Complément de production Contrôle des quantités de matières premières Les quantités de concentré de production consommées doivent être mesurées. Pour le faire, il faut mesurer le contenu des récipients utilisés pour distribuer le concentré de production à l auge ou la quantité de concentré qui tombe chaque fois que l éleveur actionne les tirettes dans la salle de traite ou chaque fois qu une vache entre dans le DAC. Le cas de la ration individuelle + robot de traite. Vous indiquerez dans un tableau (tableau 6) des éléments pour décrire globalement le système de distribution de la ration individuelle + robot de traite. Ce système est basé sur l hypothèse que toutes les vaches consomment la même quantité de ration de base équilibrée et que seule la quantité de concentré de production est modulée par l éleveur en fonction du niveau de production de lait. Toutes les vaches vont recevoir un peu de concentré (minimum 0,5kg/j) par le robot même si le niveau de production est faible pendant toute la lactation. Le concentré est utilisé pour attirer les vaches dans le robot pour la traite. Cette supplémentation est systématique et peut être le concentré d équilibre ou le concentré de production. Si votre éleveur utilise une ration individuelle + robot de traite il faut remplir les tableaux 7 et 8 en utilisant la méthodologie de la ration individuelle Contrôle du mode de distribution Une description détaillée du système de distribution du concentré de production est à faire dans cette section. Le but est de noter les éléments qui pourraient affecter la prise alimentaire (accès physique ou dans le temps, place à l auge, aliments repoussés plusieurs fois/j ). Ces éléments vont être ensuite repris dans la section 4.2. Qualité où il faut donner votre avis sur une possible baisse de la consommation des matières premières. La dernière étape est de remplir le tableau 8 qui fait un bilan de la quantité de lait permise par la ration d un groupe de vaches représentatif du troupeau en termes de production laitière (entre 8 et 10 vaches). N oubliez pas d inclure des multipares et des primipares dans le tableau 8. OU 3.1. Ration complète Vous indiquerez dans un tableau (tableau 6) les éléments pour décrire globalement le système de distribution de la ration complète). Une description de la mise en œuvre de la ration est nécessaire. Ce système est basé sur l hypothèse que chaque vache consomme la quantité de ration complète nécessaire pour couvrir ses besoins. L éleveur n impose pas une quantité d aliment à consommer en fonction du niveau de production de lait. Les vaches doivent donc disposer d une ration complète à volonté (sur la journée obligatoirement >3% ou 1-2kg MS/vache de refus consommables) Constitution des lots Les vaches ne sont pas alimentées individuellement. Une ration est distribuée à un groupe de vaches et cette ration est prévue pour couvrir les besoins de la vache «moyenne» du lot. Il faut noter le nombre de lots de vaches dans l élevage (au minimum 2 lots de vaches doivent être présents : vaches en production et vaches taries) Mélange Contrôle des quantités de matières premières Cette partie du rapport est réservée à la méthode utilisée pour calculer les quantités de chaque fourrage dans la mélangeuse. Deux possibilités sont classiquement rencontrées : - la mélangeuse est une mélangeuse-peseuse (il faut que la machine soit vérifiée régulièrement), - la quantité d ensilage dans la mélangeuse (par cubage du silo ou de la désileuse) et le nombre de balles de foin ajoutées dans la mélangeuse doivent être calculés. Des erreurs classiques dans les calculs sont : - de mal estimer la densité de l ensilage (ensilage tassé ou ensilage détassé),

3 - de faire une confusion entre matière sèche et matière brute pour un ensilage, - de ne pas tenir compte des parties enlevées du silo (parties sèches ou moisies) par l éleveur avant l ajout d ensilage dans la mélangeuse. Ensuite les quantités de chaque concentré et de CMV doivent être mesurées, soit par la mélangeuse-peseuse, soit par pesée des conteneurs utilisés pour verser les concentrés et le CMV dans la mélangeuse. Il faut montrer les étapes de calcul : - Calcul de la quantité distribuée - Calcul des refus Vous devrez remplir le tableau 7 qui fait un bilan des quantités de chaque matière première dans la mélangeuse. Il est très important de calculer en fonction de la quantité dans la mélangeuse et non pas par vache car la quantité totale de matière sèche dans la mélangeuse divisée par le nombre de vaches nous renseigne sur la question : la ration complète est-elle vraiment à volonté? Le but de ce tableau est de permettre le calcul de la composition (UFL, PDIN, PDIE, Ca et P) d un kg de matière sèche de mélange. La dernière étape est de remplir le tableau 8 qui fait un bilan de la quantité de lait permise par la ration d un groupe de vaches représentatif du troupeau. Pour que ce bilan soit juste il faut que la ration soit à volonté donc, sur la journée, il doit rester >3% MS de refus consommables dans l auge (ou 1-2kg de MS par vache). Si la ration n est pas à volonté ce bilan n est pas possible ou très difficile à faire. N oubliez pas d inclure des multipares et des primipares dans le tableau 8. Pour les vaches en lactation il faut utiliser une formule pour estimer la quantité de matière sèche consommée par vache (MSI = 2% du poids vif + ¼ de la production laitière observée). C est une estimation de la consommation de la ration complète, les vaches peuvent manger plus ou moins en fonction de plusieurs facteurs (température ambiante, race, accès à l auge, disposition de l auge, disponibilité en eau ). Pour nos besoins de bilan cette approche est suffisante. Le cas de la ration semi-complète. Vous indiquerez dans un tableau (tableau 6) des éléments pour décrire globalement le système de distribution de la ration semi-complète. Définition : tous les fourrages, les concentrés et le CMV sont mélangés ensemble. Ce mélange est donné à volonté aux vaches sans complémentation individuelle. Cependant, certaines vaches très hautes productrices peuvent recevoir 1-2kg/j d un concentré riche en PDI (tourteau ou tourteau tanné) pendant quelques semaines en début de lactation. Cette supplémentation est exceptionnelle (5-10% des vaches dans le lot). Il ne faut pas confondre ce système avec le système de ration individuelle où la majorité des vaches (70-80% des vaches dans le lot) vont recevoir un concentré de production pendant la quasi-totalité de la période de lactation. Si votre éleveur utilise une ration semi-complète il faut remplir les tableaux 7 et 8. La formule utilisée pour estimer la MSI reste la même [MSI = (2% x PV) + (1/4 x PL) en kg/j], mais la valeur calculée couvre à la fois la MSI du mélange + la MSI du concentré Contrôle du mode de distribution Une description détaillée du système de distribution de la ration complète est à faire dans cette section. Il faut se poser la question : y-a-t-il un élément physique qui empêche les vaches de consommer ce mélange? (place à l auge, aliments repoussés plusieurs fois/j ). Le point le plus important est l accès à l eau et sa qualité. En moyenne, une vache boit 4L d eau/kg de MS consommé et 1L d eau/kg de lait produit. De plus, la qualité du mélange est importante, les vaches ne devraient pas trier entre les différentes matières premières. Si cela est possible la ration n est plus équilibrée Ration des vaches taries Vous devrez calculer la composition et la quantité de la ration consommée par les vaches taries (ration individuelle Tableau 9 ou ration complète Tableau 9 et 10). Les recommandations sont indiquées dans un tableau (voir poly cours rationnement ) et correspondent au 8 ème et au 9 ème mois de gestation. La ration devrait être spécifiquement formulée pour des vaches taries et ne pas être composée uniquement des refus des vaches en production. Les besoins de ces deux groupes de vaches sont très différents (surtout en protéines, fibres et calcium) et les rations doivent donc être différentes. Une description du système utilisé pour le passage entre la ration vache tarie et la ration vache en production et également entre la ration vache en lactation et la ration vache tarie doit être donnée dans cette partie du rapport. 4. Jugement global quantitatif du rationnement Vous devrez donner votre avis sur le système de rationnement dans la quatrième partie du rapport. Il faut comparer ce qui est fait par rapport à ce qui devrait être fait dans une situation «idéale». Cependant, cette comparaison entre la situation réelle et la situation idéale doit rester limitée. Il n est pas demandé de faire la liaison entre une erreur de rationnement et une maladie métabolique ou un problème de reproduction. Ces aspects seront traités en 3 année (Gestion collective de la production et de la santé dans les élevages de vaches laitières) Quantité Deux aspects sont à envisager dans cette section : le court terme et le long terme. Le court terme donne une indication du niveau de la ration instantanée, le jour de la mesure, indiquant votre estimation de la couverture des besoins pour tous les éléments : UFL, PDIN, PDIE, Ca et P. Le long terme donne une indication de la réponse des vaches à la ration concernant l énergie seulement, indiquant ce qui se passe réellement après l ingestion de la ration pour la couverture des besoins en énergie des vaches Le court terme

4 - Vaches en production. Vous devrez réutiliser le tableau de bilan de la ration (tableau 8). Il faut indiquer pour chacun des apports (UFL, PDIN, PDIE, Ca et P) à quel niveau on observe un décrochage ou un excédent entre le niveau de production laitière observé et le niveau de production laitière permis par la ration ingérée (vert = besoins couverts ou rouge = besoins non couverts). Une attention particulière doit être apportée aux primipares car elles n ont pas encore terminé leur croissance. Classiquement, la ration des primipares doit apporter suffisamment d éléments pour permettre la production de 5kg de lait en plus du niveau de production laitière observé. - Vaches taries. Vous devrez réutiliser le tableau de bilan de la ration (tableau 9a ou 9b+10b). Il faut indiquer pour chacun des apports (UFL, PDIN, PDIE, Ca et P) si les besoins sont couverts (vert = besoins couverts ou rouge = besoins non couverts) Le long terme Vous devrez faire une figure (figure 4) qui trace l état corporel des vaches multipares et primipares en fonction du mois de lactation pendant le stage (nuage de points sans relier les points). Attention nouvelles recommandations (voir poly TD rationnement ). Une courbe théorique de l évolution de l état doit être tracée sur la figure (soit kg, soit 6 500kg de lait, il faut choisir). La courbe théorique montre les extrêmes acceptés en fonction du mois de lactation. Les primipares devront toujours être en meilleur état que les multipares. Vous devrez faire des commentaires sur le respect de l état corporel des vaches par rapport à la courbe «idéale» et la dispersion des points sur la figure Qualité Vous devrez donner votre avis dans cette partie du rapport sur les effets possibles des problèmes de qualité qui pourraient diminuer : - l ingestion de la ration (concernant l auge, la qualité des matières premières, le tri des matières premières, le hachage des matières premières, des matières premières peu appétantes ) - l utilisation de la ration au niveau digestif (grain non écrasé, séparation dans le temps de la distribution d énergie et d azote ) Ces éléments sont à prendre dans la conclusion du rapport Bromatologie et la partie sur le Contrôle du mode de distribution. Conclusion Ce rapport jette les bases nécessaires pour l analyse du système alimentaire en exploitation laitière. Il est essentiellement consacré à l observation et à la récolte des données nécessaires pour faire un premier bilan des rations réellement utilisées pour les vaches en production et les vaches taries. Le bilan des rations doit être calculé pour une dizaine de vaches (représentatives des vaches de l élevage) : 1 à 2 vaches taries (8 ème et 9 ème mois de gestation) et 8 à 9 vaches en production (primipares et multipares) La conclusion doit comporter un tableau des points forts et des points faibles du système d alimentation (Tableau 11). Finalement, une comparaison entre les rations utilisées par l éleveur et celles proposées par le contrôleur laitier ou un technicien d alimentation doit être décrite dans cette partie du rapport. S il existe des différences il faut indiquer pourquoi l éleveur a choisi de ne pas suivre les rations proposées. Quelques pièges? 1. Une mauvaise estimation des besoins : - le lait produit est rarement un lait standard (TB = 4% et TP = 3,1%) il faut donc en tenir compte dans le bilan (voir poly cours rationnement pour les formules) - le poids vif des vaches est différent de 600kg (voir poly cours rationnement pour les formules) 2. Un mauvais choix du système de distribution (ration individuelle ou ration complète ou ration semi-complète). La définition de la ration complète est donnée dans le poly cours rationnement. Si les critères ne sont pas réunis ce n est pas une ration complète (ou c est une mauvaise ration complète). 3. Une méconnaissance des numéros des vaches quand un plan de complémentation individuelle avec un concentré de production est utilisé en salle de traite ou à l auge pas exemple. 4. Une absence de refus consommables. Dans les systèmes de rationnement, ration individuelle ou ration complète ou ration semi-complète, un fourrage ou la ration sont distribués à volonté. Si cela n est pas le cas, un bilan est très difficile à faire à cause des difficultés pour estimer la quantité consommée. 5. La présence de refus consommables n est pas une garantie que la ration est à volonté, car ceci peut résulter plutôt d un problème d accès à la ration que d un problème de ration (fourrage) qui ne serait pas distribuée à volonté. 6. L emploi d un mélange entre les deux systèmes utilisés pour exprimer les apports par la ration et les besoins de la vache en calcium et en phosphore. En effet, le système pour calculer les apports en calcium et en phosphore est en train d évoluer vers un système plus performant. Dans le passé, le système calcium total et phosphore total était utilisé. Actuellement, certains éleveurs utilisent le nouveau système qui fait des calculs en termes de calcium et phosphore absorbables. Il ne faut pas mélanger les deux systèmes. Si vous avez les valeurs de matières premières en total, le bilan de la ration se fait en total. Si vous avez les valeurs de

5 matières premières en absorbable, le bilan de la ration se fait en absorbable. Si pour les matières premières il y a un mélange de valeurs en total et en absorbable il faut choisir un des deux systèmes pour faire le calcul du bilan (contacter l enseignant pour savoir comment convertir total en absorbable ou absorbable en total ).

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