REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE

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1 RESUME EXECUTIF : RESULTATS DE L ENQUETE APPROFONDIE SUR LA SECURITE ALIMENTAIRE DES MENAGES DANS LA PROVINCE DE L EQUATEUR : Avril 2012 CONTEXTE ET JUSTIFICATION Avec une superficie de km² soit 17,2% du territoire national, l Equateur est la troisième province la plus vaste de la RDC derrière celles de la Province Orientale ( km²) et du Katanga ( km²). Elle partage ses frontières avec la République du Congo à l Ouest, la République Centrafricaine au Nord et au Nord-Ouest, la Province Orientale à l Est, les deux Kasaï au Sud-Est et le Bandundu au Sud et au Sud-Ouest. Comme la plupart des provinces du pays, elle est également dotée d importantes potentialités naturelles, agricoles, touristiques mais reste l une des plus pauvres du pays. La région dispose du réseau hydrographique le plus dense du pays. Elle est traversée par le fleuve Congo sur une distance d environ km allant du territoire de Bumba au nord Est à celui de Lukolela à l extrême sud Est. Elle est également baignée par le fleuve Oubangui qui constitue la frontière naturelle entre la RDC et la République du Congo à l Ouest et à l extrême nord ouest avec la République Centrafricaine. Ces deux grands fleuves et leurs affluents constituent l artère vitale du point de vue transport. Notons aussi que la région dispose également de deux grands lacs (Tumba et Lombe). Les voies fluviales sont pratiquement les seuls moyens de desserte pour la population occasionnant parfois des ruptures en approvisionnement pendant les moments de décrue qui empêchent la navigation sur les rivières vers les fleuves. L exploitation du trafic fluvial est cependant très peu organisée et se fait avec des moyens de transport rudimentaires occasionnant des coûts de transport onéreux et même des naufrages réguliers. Les activités agricoles et de pêche sont limitées à la subsistance et les revenus générés sont insuffisants pour faire face aux besoins de base de la population. Très enclavée, les populations de cette région sont affectées par une pauvreté massive et l état sanitaire est d une manière générale très mauvaise et les maladies les plus fréquentes sont le paludisme, le choléra, la rougeole Jadis parmi les greniers du pays qui approvisionnaient la ville de Kinshasa et la province orientale voisine en denrées s diverses, la production agricole de la province de l Equateur a été sérieusement affectée par une succession de chocs, notamment les conflits politico militaires ainsi que les faibles performances sur le plan économique. Ces événements ont occasionné le pillage et la destruction de l essentiel des fermes agricoles qui étaient installées dans la partie nord du pays. En 2009, les conflits interethniques qui ont surgi dans le secteur de Dongo sont venus exacerber une situation de sécurité déjà précaire pour les populations habitant la partie nord-ouest de la province, y compris dans les territoires de Kungu, Libenge, Bomongo, Gemena et Makanza. Ces conflits se sont plus tard étendus vers le sud atteignant la ville de Mbandaka et le territoire de Lukolela. Ils ont eu comme conséquences d importants dégâts matériels, des pertes en vies humaines et d importants mouvements de populations. Le nombre de déplacés internes a été estimé à environ personnes et personnes réfugiées dont en République du Congo et environ personnes en République Centrafricaine selon le HCR. L amélioration des conditions sécuritaires après a encouragé une partie de ces réfugiés à envisager un retour dans leurs villages d origine. Selon le HCR, quelques réfugiés en république du Congo seront rapatriés en Les résultats de l enquête MICS 2010 ont révélé des taux d insécurité et de malnutrition élevés. Plus d un ménage sur trois (36,3%) ont une consommation pauvre ou limite et la malnutrition aiguë touche 13,4% des enfants de moins de 5 ans. Le taux de mortalité infantile est de 104 1

2 pour 1000 soit l un des plus élevés du pays. Le taux net de fréquentation à l école primaire est seulement de 68%. L enquête nutritionnelle territoriale menée en Décembre 2009 par le Programme National de Nutrition (PRONANUT) avec l appui du PAM et de l UNICEF a estimé un taux de malnutrition aigue globale (MAG) de 11,3% pour le territoire de Kungu et de 10,3% pour Libenge, le territoire voisin. Selon cette enquête, les taux de mortalité pour les enfants de moins de 5 ans a été jugée urgente dans les territoires de Businga et Monkoto où les taux de mortalité rétrospectives dépassaient 2/10 000/j. En considérant la population totale, la situation a été estimée préoccupante dans les territoires de Monkoto, Bokungu, et Libenge où les taux de mortalités rétrospectives ont été trouvés supérieurs à 1/ qui est le seuil d urgence. Libenge fait partie de la zone de retour des populations déplacées (IDPs) ou refugiées. Ce tableau plutôt alarmant nécessite des analyses plus approfondies qui permettraient d identifier les territoires et les caractéristiques des ménages les plus affectés par l insécurité ainsi que les options de réponses les mieux appropriées aussi bien dans le court que dans le long terme. OBJECTIF DE L ENQUETE L objectif global de cette évaluation est de disposer d indicateurs de référence sur la sécurité des ménages en vue de proposer les options de réponse les mieux appropriées. De manière plus spécifique, l enquête vise à collecter et à analyser les données secondaires et primaires sur la consommation, les revenus et les moyens de subsistance, les chocs et les stratégies de survie, la production agricole, l accès aux services sociaux (santé, éducation) ainsi que l évolution des prix sur les marchés afin de répondre aux questions-clé ci-après : Quelle est la magnitude/prévalence de l insécurité dans la province de l Equateur? Combien de personnes font face à ce problème? Qui sont-ils? Où sont-ils? Pourquoi sont-ils en insécurité? Quelles sont les options de réponses les mieux appropriées aux causes identifiées d insécurité? METHODOLOGIE DE L ENQUETE La méthodologie appliquée à l enquête procède d un sondage stratifié probabiliste à deux degrés, avec comme unité primaire les villages et comme unité secondaire les ménages échantillonnés dans le village. Les strates sont constituées des territoires de façon à avoir des résultats représentatifs au niveau de chaque territoire constituant la strate. La taille minimale requise au niveau de chaque strate a été calculée en se basant sur les informations secondaires existantes sur la sécurité de façon à assurer un niveau de confiance de 95%. Afin de tenir compte du poids démographique de chaque strate, la taille globale de l échantillon a été repartie proportionnellement à la taille de chaque strate avec des ajustements pour permettre d atteindre un niveau minimal de ménage par strate et par territoire. Le nombre de villages requis par territoire a été sélectionné au hasard par l INS à partir de sa base de données actualisée sur l ensemble des villages de la province.. A cause des difficultés d accessibilité de 2

3 certains villages, ils ont été substitués avec d autres villages les plus proches au moment de l élaboration de l échantillonnage en se fondant sur les informations fournies par les informateurs-clé. Pour l ensemble du champ de l enquête, la taille de l échantillon a été de 2066 ménages à enquêter à raison de 10 ménages par village échantillonné. Deux outils ont permis de collecter les données primaires : un questionnaire administré aux ménages faisant partie de l échantillon et un questionnaire communautaire administré en focus groups ou aux informateurs-clé dans chaque village échantillonné. L utilisation des PDA par des enquêteurs formés a permis de collecter des données de meilleures qualité et dans un temps réduit par rapport à l utilisation des questionnaires sur papiers. LIMITES DE L ENQUETE L enquête a couvert uniquement le milieu rural et n a pas tenu compte des zones urbaines. La province de l Equateur est une province où l accessibilité est très difficile, c est pourquoi certains villages dont l accès était jugé extrêmement difficile ont été substitués au moment de l élaboration de l échantillon. COMBIEN DE PERSONNES SONT EN INSECURITE ALIMENTAIRE EN MILIEU RURAL? Les résultats de l analyse de l insécurité fondée sur le score de consommation triangulé avec quelques indicateurs d accès, notamment l indice de stratégie de survie (ISS) et l indice de richesse révèlent que 15.9% des ménages dans la province de l Equateur sont en insécurité sévère, 44 % sont en insécurité modérée et 40% seulement sont en sécurité. L insécurité (sévère et modérée) affecte 60% des ménages dans la province de l Equateur. Ce qui représente environ à l échelle de toute la province environ personnes dont personnes en insécurité sévère et personnes en insécurité modérée. Le tableau ci-dessous présente les statistiques par territoire des personnes affectées par l insécurité. 3

4 Territoires Population rurale Insécurité sévère (A) Insécurité limite (B) Insécurité (A+B) En sécurité % population % population % population % Population BASANKUSU BOLOMBA INGENDE BIKORO LUKOLELA MAKANZA BOMONGO GEMENA BUDJALA KUNGU LIBENGE MOBAYI MBONGO YAKOMA BUSINGA BOSOBOLO LISALA BUMBA BONGANDANGA BOENDE BEFALE DJOLU IKELA BOKUNGU MONKOTO Total Source des statistiques sur la pop: Min de la santé, PEV OU SONT-LES MENAGES EN INSECURITE ALIMENTAIRE? La répartition spatiale de l insécurité donne des disparités relativement grandes entre les territoires, avec certains présentant des taux d insécurité très élevés. Le graphique ci-après illustre la répartition géographique des ménages selon les types d insécurité. 4

5 En ce qui concerne l insécurité sévère, les territoires de Lukolela (48,3%), Bolomba (46,5%), Ingende (41,4%), Bomongo (31,7%), Basankusu (23,6%), Ikela (22,7%), Djolu (21,6%), Monkoto (19,4%), présentent des taux élevés, au dessus de la moyenne provinciale qui est de 15,9%. L insécurité modérée est plus présente dans les territoires de Bumba (63%), Boende (58%), Befale (55,8%), Yakoma (55%), Businga (53,2%), Mobay Bongo (51,9%), Kungu (51,1%), Bikoro (48%), Bosobolo (47,7%), Ikela (46,6%), libenge (46,2%), et Lukolela (45%) qui ont des taux supérieurs à la moyenne provinciale de 44,2%). La carte ci-après présente la situation de l insécurité (sévère + modérée) par territoire. 5

6 QUI SONT-ILS? - PROFIL DES MENAGES EN INSECURITE ALIMENTAIRE Caractéristiques du ménage Insécurité Insécurité En sécurité Total Le tableau ci-contre donne les caractéristiques sévère modérée Sexe du chef de principales des ménages Homme 16,2% 44,6% 39,2% 100% ménage selon leur niveau d insécurité Femme 12,1% 39,5% 48,4% 100% et permet de Niveau Aucun 18,7% 35,9% 45,5% 100% d instruction du tirer plusieurs conclusions. Primaire 16,3% 51,8% 31,9% 100% chef de ménage En premier lieu, l analyse Secondaire 14,4% 45,0% 40,5% 100% montre que l insécurité Supérieur 3,4% 37,9% 58,6% 100% touche Taille moyenne Moyenne globalement davantage plus du ménage 1-3 pers 14,8% 43,0% 42,2% 100% les ménages dirigés par les 4-7 pers 13,1% 43,8% 43,1% 100% hommes que ceux dirigés par 8-10 pers 14,9% 46,7% 38,4% 100% les femmes. 11 pers 22,3% 43,1% 34,6% 100% En second lieu, les résultats et+ montrent également que Niveau de Pauvre 33,6% 29,9% 36,5% 100% richesse l insécurité est Moyen 9,0% 55,0% 36,0% 100% d une manière générale Plus nantis 5,1% 47,6% 47,0% 100% également liée au niveau d instruction du chef de ménages. Ce qui suggère que les ménages dotés d un capital humain important ont plus de chances d améliorer leur niveau de sécurité dans la mesure où ils ont plus de capacité d améliorer leur productivité agricole, diversifier leur source de revenu ou de trouver un emploi rémunéré. 6

7 En troisième lieu, l étude révèle que les taux d insécurité sont significativement plus élevés parmi les ménages de grande taille. La taille moyenne des ménages en insécurité sévère est de 9 contre 8 pour les ménages en insécurité modérée et de 8 pour les ménages en sécurité. Globalement, la taille moyenne des ménages de la province est de 8 personnes. Le taux d insécurité sévère parmi les ménages dont la taille est comprise entre une et trois personnes est de 14,8% contre 22,3% pour les ménages de 11 personnes et plus. Si l on regarde le profil de l insécurité suivant le niveau de richesse des ménages mesuré à partir des dépenses, on note que l insécurité touche avant tout les ménages les plus pauvres. Par ailleurs, en considérant le statut du ménage on constate que l insécurité sévère touche plus les ménages retournés ou rapatriés que les ménages résidents. Toutefois, en considérant à la fois l insécurité sévère et modérée, on note que les différences entre les deux groupes ne sont pas considérables : 58% des ménages retournés_rapatriés contre 60% des ménages résidents (voir tableau cidessous). Statut du ménage sécurité sévère Retournés_Rapatriés 23,2% Résidents 15,6% POURQUOI SONT-ILS EN INSECURITE ALIMENTAIRE? sécurité modérée 34.8% 44.5% sécurité sévère et modérée 58% 60% Les causes de l insécurité dans la province de l Equateur sont diverses et variées. Elles sont généralement liées à la pauvreté qui est le résultat de plusieurs années de conflits politico militaires et de faibles performances économiques. La province de l Equateur est parmi l une des plus pauvres du pays. L agriculture et la pêche sont les principales activités de subsistance et les principales sources de revenu et de nourriture. Ces activités sont cependant confrontées à des contraintes dont principalement le le manque d encadrement et de matériels agricoles et de pêche adéquats. Dans un contexte où l agriculture est essentiellement faite à la houe et à la machette, le déficit en main d œuvre agricole se présente comme une contrainte de plus à la production agricole. L analyse des contraintes à l agriculture révèle qu environ 70% des ménages enquêtés ont déclaré ne pas avoir accès aux semences améliorées et aux matériels agricoles. Environ 50,8% ont déclaré avoir des problèmes de main d œuvre agricole. Ces contraintes ont un impact négatif sur le niveau de production qui a visiblement baissé au cours des 15 dernières années. Environ 57,6% des ménages enquêtés ont identifié la faible production agricole parmi les contraintes qui affectent négativement le revenus. La situation d enclavement dans laquelle vit une grande majorité des populations de la province en raison des infrastructures routières et maritimes désuètes limite également l accès des ménages aux marchés et donc réduit la capacité de ces derniers à générer un revenu suffisant. Environ 38,3% des ménages enquêtés ont identifié le manque de marchés et 61% les faibles prix de produits agricoles parmi les contraintes aux sources de revenus. L enclavement affecte surtout les territoires dans le sud de la province, particulièrement ceux situés dans le district de Tshuapa où les taux d insécurité les plus élévés sont observés. Les scores de consommation des territoires de Tshuapa sont parmi les plus faibles de la province. A titre d exemple, 16,3% des ménages seulement ont une consommation acceptable à Bokungu, 30% à Boende, 35% à Ikela et 36% à Ingende, suggérant que la grande majorité des populations dans cette partie de la province ont une consommation 7

8 déséquilibrée. D autres territoires, comme Lukolela (8%), Bomongo (33%) et Bumba (34%) ont également des faibles pourcentages des ménages qui ont une consommation acceptable. L analyse de l accès à l eau potable et les types de toilettes utilisés par les ménages révèle que seulement 5% des ménages ruraux dans cette province ont accès à l eau estimée potable et 1,6% utilisent des latrines améliorées. Les populations entières dans les territoires comme Basankusu, Befale, Boende, Bokungu, Bomongo, Bongandanga, Budjala, Bumba, Lisala, Monkoto, Djolu et Yakoma n ont pas du tout accès à l eau potable. L accès très limité à l eau potable et à l hygiène sont généralement sources des maladies qui occasionnent souvent des dépenses et imposent une pression sur les revenus déjà faibles. En outre, Les dépenses élevées des ménages pour les soins de santé contribuent à maintenir ces derniers dans un cycle de pauvreté. Les conflits armés, notamment les conflits interethniques qui ont secoué les territoires du nord-ouest depuis 2009 ne sont venus qu exacerber une situation de sécurité déjà précaire. Les déplacements massifs des populations suite aux conflits ont perturbé les moyens de subsistance des populations, occasionnant des pertes importantes des biens et des outils de production, des pillages des récoltes et des produits d élevage. Ces conflits ont de ce fait eu un impact négatif sur la production et la disponibilité de la nourriture dans cette partie de la province. RECOMMANDATIONS POUR LES INTERVENTIONS ET PROGRAMMES 1. Provision d une assistance : ce type d assistance devrait concerner les réfugiés qui sont en cours de rapatriement vers les territoires du nord-ouest de la province, notamment Kungu, Libenge, Bomongo, Budjala et Gemena qui, du reste, ont déjà un pourcentage assez élevé des ménages en insécurité. La durée et les modalités de cette assistance devraient cependant être déterminées par des évaluations spécifiques ; 2. Provision des intrants agricoles et de pêche : le gouvernement et les organisations humanitaires devraient faciliter l accès des ménages pauvres en insécurité à accéder aux intrants agricoles et de pêche (houes, machettes, haches, semences, fertilisants, filets, hameçons, ) en vue de booster leurs capacités à relever leurs propres production agricole et de pêche ; 3. Elargir le programme de P4P : la province de l Equateur offre des potentialités énormes pour de fortes productions agricoles. De ce fait, l expansion du programme pilote P4P en cours d expérimentation dans le territoire de Bikoro serait un moyen approprié pour le renforcement des capacités des ménages à relever leur niveau de production et de revenu. Il devrait donc être élargi dans les autres territoires avec des proportions des ménages en insécurité élevé et ayant de forte potentialités agricoles; 4. Mise en place ou continuation (là où ils existent déjà) des programmes de cantines scolaires dans les territoires avec des pourcentages élevés des ménages avec des enfants qui ne vont pas à l école et où le taux de scolarisation est faible : il s agit notamment de Basankusu, Libenge, Ingende, Bosobolo, Mobay, Businga, Bolomba, Bikoro et Gemena. 5. Améliorer l accès aux marchés : les paysans sont encouragés à produire des surplus s ils peuvent le vendre. Pour ce fait, la réhabilitation des routes et le renforcement et l organisation des moyens de transport maritime pourraient améliorer l accès des ménages aux marchés et relever leur niveau de revenu ; 6. Améliorer l accès à l eau potable : des actions, y compris l installation des robinets ou des pompes à eau, l aménagement des sources d eau et des puits protégés devraient être entreprises en vue de l amélioration de l accès des ménages ruraux à l eau potable ; 8

9 7. Mettre en place un système de suivi de la sécurité dans les territoires présentant un pourcentage élevé des ménages en insécurité modérée : en effet les ménages en insécurité modérée sont exposés aux risques de tomber dans la catégorie des ménages à insécurité sévère en cas de choc et devraient pour ce fait être surveiller de près. 9

10 Annexes A. Situation de consommation dans la province de l Equateur, selon l évaluation de sécurité d avril TERRITOIRES Consommation Pauvre Consommation limite Consommation Acceptable BASANKUSU 20.2% 18.0% 61.8% BEFALE 5.2% 54.5% 40.3% BIKORO 10.0% 42.0% 48.0% BOENDE 15.0% 55.0% 30.0% BOKUNGU 23.3% 60.5% 16.3% BOLOMBA 23.7% 27.8% 48.5% BOMONGO 13.3% 53.3% 33.3% BUMBA 2.4% 63.5% 34.1% BONGANDANGA_LISALA 1.6% 47.6% 50.8% BOSOBOLO_YAKOMA_MOBAY.4% 13.3% 86.3% BUDJALA 7.0% 26.0% 67.0% BUSINGA 2.6% 18.2% 79.2% GEMENA 7.2% 29.7% 63.0% IKELA 12.5% 52.3% 35.2% INGENDE 27.6% 36.8% 35.6% KUNGU 8.9% 32.2% 58.9% LIBENGE 8.8% 33.0% 58.2% LUKOLELA 31.7% 60.0% 8.3% MAKANZA 8.3% 30.0% 61.7% MONKOTO 13.4% 49.3% 37.3% Djolu 7.8% 45.1% 47.1% Total 10.4% 37.2% 52.5% 10

11 A. Indice moyen de stratégie de survie par territoire. Indice de stratégie de Nom Territoire survie BASANKUSU 10 BEFALE 6 BIKORO 11 BOENDE 6 BOKUNGU 9 BOLOMBA 11 BOMONGO 22 BONGANDANGA 2 BOSOBOLO 13 BUDJALA 7 BUMBA 1 BUSINGA 10 GEMENA 4 IKELA 9 INGENDE 10 KUNGU 8 LIBENGE 7 LISALA 1 LUKOLELA 18 MAKANZA 5 MOBAY 12 MONKOTO 5 DJOLU 6 YAKOMA 13 Total 8 Pour en savoir plus Martin Ohlsen : Kojo Anyanful : Patrizia Papinutti : Koffi Akakpo : Alti.Belma : Représentant du PAM ; martin.ohlsen@wfp.org, Représentant adjoint du PAM ; kojo.anyanful@wfp.org Chef de programme ; patrizia.papinutti@wfp.org Chef de l unité VAM ; koffi.akakpo@wfp.org Chef du sous-bureau de Gemena ; alti.belma@wfp.org 11

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