Prévention et repérage des conduites à risque chez l adolescent : Agir 33. alcool, tabac, drogues

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1 Prévention et repérage des conduites à risque chez l adolescent : Agir 33 alcool, tabac, drogues

2 Les comportements Les essais, les expériences des jeunes peuvent comporter des risques. La prise de risque caractérise l adolescence mais attention si: Elle survient précocement, Elle se cumule et se répète, Elle dure, C est alors une conduite à risque

3 Les conduites à risque S expriment par des ruptures: Avec la famille, Avec les amis, Un désintérêt pour les loisirs, la scolarité, le travail. Le cumul des ruptures peut conduite à l isolement

4 Se souvenir : «P.I.R.E.» Plus les manifestations sont : Précoces, Intenses, Régulières, Menant à l Exclusion, à l isolement, Plus elles sont inquiétantes.

5 Pourquoi repérer plus particulièrement les consommations? Elles peuvent être le signal d un mal être. Elles peuvent être responsables de complications somatiques, psychiatriques, familiales, sociales, professionnelles, scolaires. Elles peuvent mettre le jeune dans une situation à risques (routier, sexuel, violences.)

6 Quand repérer les consommations? Le jeune peut en parler spontanément ; Les parents sont inquiets ; Face à des signes d alerte: mal être ; ivresses ; De façon systématique. Pour repérer ce qui ne se voit pas

7 Enquête LYCOLL (Mai 1999) (3749 élèves de 3eme et 2eme) La prévalence des ivresses est proportionnelle à l intensité du tabagisme et au cumul avec le cannabis: les consommations à risque sont intriquées. La fréquence des tentatives de suicide croit avec les consommations à risque, surtout chez les filles. Il en est de même de l impulsivité, du sentiment de popularité, du passage à l acte sexuel.

8 BEH (25 Mars 2008) A 17 ans Les ivresses régulières sont en hausse (6,4% en 2003 à 9,7% en 2005) La consommation quotidienne de cannabis est en hausse (3,9% en 2003 à 5,2% en 2005) Les autres produits illicites sont en hausse, les expérimentations ayant presque triplées entre 2000 et 2005 : champignons hallucinogènes, ecstasy, poppers et surtout amphétamines et cocaïne.

9 BEH (25 Mars 2008) Entre 18 et 25 ans, comparaison La consommation régulière d alcool baisse (17,6% à 8,9%), mais les ivresses régulières augmentent La consommation quotidienne de tabac baisse (40,4% à 26,2%) L expérimentation du cannabis stagne. L usage régulier de cannabis augmente.

10 Une majorité de jeunes s arrête s à l expérimentation ou à un usage modéré et occasionnel. La consommation est conviviale, récrr créative, jamais seule, en petits groupes de pairs, peu fréquente. Consommation plaisir, à la recherche de sensations. D autres cherchent à renforcer le sentiment d identitd identité et d appartenance au groupe. L utilisation auto-th thérapeutique,, plus régulir gulière et solitaire est bien sûr s r plus inquiétante. La répétition r des ivresses, des «défonces», «à tomber par terre»,, même rares et espacées, es, dénote d un passage à une consommation toxicomaniaque, toujours problématique matique.

11 Plus les consommations sont: Précoces Régulières Durables Solitaires Importantes jusqu à l ivresse et la «défonce» Plus elles sont: Intriquées (poly-consommateurs) Problématiques Symptomatiques d un d mal être, de difficultés s personnelles, d une pathologie mentale, d un d trouble de la personnalité.

12 Se souvenir : «P.I.R.E.» Plus les consommations sont : Précoces, Intenses, Régulieres, Menant à l Exclusion, à l isolement, Plus elles sont inquiétantes.

13 Une population hétérogène Des jeunes encore très «parents dépendantsd» Des jeunes déjà d «adultes»,, insérés s socialement (travail, famille). Des jeunes «ados» - adulescents en errance entre l enfance et la position adulte. Des jeunes en grande difficulté,, non insérés s (déscolaris scolarisés, s, sans travail, à la famille absente)

14 Comment intervenir en médecine générale? Développer la prévention primaire Repérer les patients en situation d addiction Réaliser une intervention simple pour les patients ayant un usage nocif Conseiller, soigner, orienter les patients dépendants

15

16 LE REPERAGE

17 Les objectifs du repérage Repérer si le jeune manifeste des signes de mal être et parmi ces signes, les consommations de substances psychoactives. Permettre au «jeune» d identifier ce qui pose éventuellement problème, dans sa vie et dans ses consommations. Être vigilant sur le «P.I.R.E.» Toujours rappeler le strict respect du secret médical

18 La majorité des jeunes ne vont pas mal et ont des consommations à faible risque. Les facteurs de risque individuels et environnementaux des consommations problématiques et du mal être sont, pour l essentiel, les mêmes. Certains comportements, certains symptômes, peuvent traduire aussi bien un mal être qu être la conséquence directe des produits. Il est important de se centrer sur ce qui fait problème pour le jeune.

19 Deux angles d approche Le premier indice qui apparaît est un signe de «mal être» TSTS CAFARD Le premier indice qui apparaît est une consommation de substances psychoactives. ADOSPA Mais au final les deux repérages sont nécessaires.

20 TSTS CAFARD Traumatologie: avez-vous eu un accident ou une blessure, même légère, au cours de l année? Sommeil: éprouvez-vous des difficultés pour dormir? Tabac: avez vous déjà fumé? Stress scolaire, familial ou professionnel: ressentez-vous du stress pour ton travail scolaire, professionnel ou dans la vie familiale? Toute réponse positive témoigne d un risque accru de mal être

21 TSTS CAFARD REPRENDRE LES QUESTIONS POSITIVES Cauchemars: fais-tu des cauchemars? Agressions: as-tu été victime d agression (de toute nature)? Fumeurs Addictifs: fumes-tu 5 cigarettes par jour tous les jours? Si oui faire l ADOSPA Ressenti Désagréable: dirais-tu que ta vie familiale est désagréable? Les réponses positives traduisent un risque augmenté de mal être

22 Est-ce que vous fumez? NON OUI JAMAIS Du tabac?? OUI Du cannabis? Vous arrive t il de boire des boissons contenant de l alcool? De prendre des médicaments pour le «stress», le sommeil?

23 Pour voir ensemble où vous en êtes, accepteriez vous de répondre à un questionnaire de 6 questions? Il suffit de cocher les questions où vous répondriez «Oui» L ADOSPA Un questionnaire standardisé Outil médiateur neutre, Réduit le sentiment d intrusion. Permet au jeune d identifier les problèmes. Pour consacrer l essentiel du temps à l écoute et non aux questions.

24 ADOSPA 1- Êtes vous déjà monté(e) dans un véhicule (Auto, moto, scooter) conduit par quelqu un (vous y compris) qui avait bu ou qui était défoncé(e)? 2- Utilisez vous de l alcool, du cannabis ou d autres drogues pour vous Détendre, vous sentir mieux ou tenir le coup? 3-Avez vous Oublié des choses que vous deviez faire (ou fait des choses que vous n auriez pas faîtes) quand vous utilisez de l alcool ou du cannabis ou d autres drogues? 4- Consommez vous de l alcool, du cannabis ou d autres drogues quand vous êtes Seul(e)? 5- Avez vous déjà eu des Problèmes en consommant de l alcool, du cannabis ou d autres drogues? 6- Vos Amis ou votre famille vous ont-ils déjà dit que vous devriez réduire votre consommation de boissons alcoolisées, de cannabis ou d autres drogues? Deux réponses affirmatives indiquent un usage nocif de substances psychoactives

25 A la fin du repérage Après TSTS Cafard et ADOSPA «Si je résume, vous dîtes que.. c est bien ça?»

26 Qu appelle t on une intervention brève?

27 L intervention brève : objectifs Provoquer une prise de conscience Inciter à un changement de comportement Respecter le choix du patient Amener le jeune à s approprier le fait que ses consommations posent problème ou à dire qu il ne va pas bien est déjà une avancée majeure

28 Prendre conscience de quoi? Changer quel comportement? Toujours partir de ce qui est un problème pour le jeune, selon lui, et non selon nous. Lui permettre, grâce à l ADOSPA, grâce au TSTS, grâce à l écoute, d identifier son ou ses problèmes. L inciter à chercher les solutions pour agir sur son ou ses problèmes, s il le souhaite. L accompagner, l aider et éventuellement l orienter.

29 L intervention brève: principes F R A M E S Feed-back: aider le jeune à identifier ce qui fait problème. Responsabiliser Advice : on donne son avis sur les changements que le jeune souhaite opérer. Menu: moyens possibles. Empathie: pas de jugement. Self-efficacy: encourager.

30 1 - Restituer le repérage. F E E D B A C K Le jeune est invité à reprendre les problèmes qu il vient d identifier. Il est invité à évoquer les désagréments, les risques encourus. L intervenant partage le diagnostic avec le jeune.

31 2- Si problème(s) R E S P O N S A B I L I S E R Qu est ce que le patient identifie vraiment comme un problème, pour lui? Est-il prêt à changer quelque chose? Le changement de comportement appartient au patient. A D V I C E

32 3- «comment changer?» M E N U Le jeune a-t-il des idées pour changer? Comment peut-il diminuer les risques encourus? Je ne bois plus avant d entrer en boite, Je ne fume plus seul des pétards, Je vais en parler à un psy ou à.. Je vais faire du sport Je ne bois plus à la maison. E M P A T H I E

33 4- si résistance «En reparler?» Si vous avez bien conscience des risques encourus et si vous jugez que cela en vaut la peine, je respecte votre choix. Mais, vous pouvez toujours revenir en parler, je serai là pour vous aider. Je peux vous donner un document, au cas où vous souhaiteriez vous informer un peu plus. Plaquette d «information»

34 5- Résumer et encourager S E L F E F F I C A C Y Résumer ce qui a été dit au cours de la consultation: Redéfinir ce qui fait problème, Intérêt de changer pour le patient, Reformuler ce que le patient a prévu pour diminuer les risques Proposer de refaire le point lors d une prochaine consultation (on donne le RV) Donner une documentation

35 L orientation est possible si Le jeune est volontaire et préparé, L intervenant lui a bien expliqué l intérêt de cette orientation et ses objectifs, L intervenant reste disponible si le jeune le souhaite. Sinon poursuivre les rencontres jusqu à ce que les bonnes conditions soient remplies. Un accueil privilégié des structures ressources pour les membres des réseaux.

36 Le médecin généraliste et les autres acteurs les autres acteurs de première ligne: Médecins du travail et de PMI, médecins scolaires et universitaires, certains spécialistes d organe pharmaciens, sages-femmes, et l ensemble des professionnels amenés à intervenir sur la santé Le social : travailleurs sociaux, les employés de municipalités, mais aussi les responsables d associations... Les réseaux addictions Le pôle psycho-médico-social spécialisé en addictologie Le pôle hospitalier La réadaptation psychosociale

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