PROGRAMME LOCAL DE PREVENTION DES DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL DE L AILETTE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PROGRAMME LOCAL DE PREVENTION DES DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL DE L AILETTE"

Transcription

1 PROGRAMME LOCAL DE PREVENTION DES DECHETS MENAGERS ET ASSIMILES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL DE L AILETTE Adopté par le conseil communautaire le 21 juin 2016

2 PRÉAMBULE La prévention de la production des déchets peut être définie comme l'ensemble des mesures et des actions situées en amont de la collecte des déchets par la collectivité. Ces actions, qui se situent notamment au niveau de la conception, de la production, de la distribution et de la consommation visent à : réduire les quantités de déchets produits et collectés ; et/ou réduire leur nocivité ; et/ou améliorer leur caractère valorisable, dans une logique de préservation des ressources. Dans un contexte de développement durable, la prévention doit aussi prendre en compte les impacts économiques et sociaux de la gestion des déchets et ne doit pas se faire au détriment d'un autre impact sur l'environnement (eau, air, énergie, sol). La loi Grenelle impose à tout EPCI à compétence déchets la réalisation d un Programme Local de Prévention des Déchets. Le décret du 10 juin 2015 définit le contenu de ces programmes, ainsi que leurs modalités d élaboration. La démarche est la suivante : 1. l établissement d un état des lieux (diagnostic du territoire), 2. la définition d objectifs de réduction des Déchets Ménagers et Assimilés (DMA) (l objectif minimal, inscrit dans la Loi de Transition Energétique étant «-10% de DMA en 2020 par rapport au niveau de 2010») 3. les mesures à mettre en œuvre pour atteindre ces objectifs (le programme d actions) 4. l évaluation et le suivi du PLPDMA (pilotage du programme avec indicateurs et bilan annuel) Par délibération du 30 novembre 2015, la communauté de communes du Val de l Ailette, s est engagée dans un Programme Local de Prévention des Déchets Ménagers et Assimilés. Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

3 SOMMAIRE PREAMBULE... 2 DIAGNOSTIC DU TERRITOIRE... 6 A) LA PREVENTION DES DECHETS... 7 A.1 - Définition... 7 A.2 - Cadre règlementaire et législatif... 8 A.3 Dispositifs et programmes d actions connexes... 9 B) DESCRIPTIF DU TERRITOIRE DE L EPCI B.1 LE TERRITOIRE B.2 Les données socio-économiques B.2.1. Nombre d habitants B.2.2. Age et composition des foyers (Source Insee 2012) B.2.3. Les Etablissements scolaires B.2.4. Le tissu associatif et culturel local C) L ORGANISATION DE LA COLLECTE DES DECHETS C.1 Compétences exercées C.2 Mode de financement du service C.2.1. Les soutiens des éco-organismes et les recettes de vente des matériaux C.2.2 Le financement par l usager C.3 Gisement de déchets ménagers sur le Val de l Ailette C.3.1 Les tonnages collectés en C.3.2 Devenir des déchets collectés C.4 Bilan D) ETAT INITIAL DE LA PREVENTION DES DECHETS D.1 Actions portées par la collectivité D.1.1 Publications- Journal du Val de l Ailette : «L Ailette» D.1.2. Publications Guide du tri/calendriers de collecte D.1.3. Le site internet D.1.4. L ambassadeur de tri et de prévention D.1.5. Les actions du Val de l Ailette D.1.6. Les évènements du Val de l Ailette D.1.7. L étude de faisabilité de recyclerie D.2 - Actions portées par d autres acteurs du territoire D.3 Relais et Partenaires potentiels du PLPDMA E) BILAN DU DIAGNOSTIC F) OBJECTIFS DE REDUCTION SUR LE VAL DE L AILETTE F.1- Les Objectifs globaux F.2- Le Potentiel d évitement F.2.1 L étude MODECOM Gisement des OMR F.2.2 Evaluation du potentiel d évitement théorique dans l Aisne G) INDICATEURS ET MODALITES D EVALUATION DU PLPDMA LE PROGRAMME D ACTION Axe I : Actions de sensibilisation Axe II Promouvoir les gestes de prévention Axe III Développer l économie circulaire ANNEXES Annexe 1 : Forum Eco tidien- Edition Annexe 2. Etude de faisabilité d une recyclerie Annexe 3. Le Jardin partagé de Familles Rurales Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

4 Annexe 4. Les actions de Perm Api et du LPA d Aumont Annexe 5. Les collégiens préservent la nature Annexe 6. Les artistes au service du réemploi Annexe 7 : Planning prévisionnel de mise en œuvre... Erreur! Signet non défini. Tables et lexiques Liste des Figures Figure 1 : Les grandes étapes de la vie d'un déchet... 7 Figure 2. Les différents niveaux de prévention Figure 3. Situation du Canton et du Val de l'ailette dans l'aisne et dans le Pays Chaunois Figure 4. Répartition de la population, par âge Figure 5. Composition des ménages Figure 6. Nombre d'enfants par foyer Figure 7. Taux de chômage Figure 8. Catégories socio-professionnelle Figure 9. Niveau de formation Figure 10. Occupation et typologie des logements Figure 11. Horaires d'ouverture de la déchèterie Figure 12. Recettes du budget annexe DMA Figure 13. Tonnages de DMA collectés, par flux Figure 14. Répartition par matière des produits valorisés en Figure 15. Evolution des quantités de déchets collectés, par type de déchet Figure 16. Fréquentation de la déchèterie en 2015, par commune Figure 17. Evolution des tonnages de déchèterie Figure 18. Evolution des tonnages de DMA. En kg/hab Figure 19. Devenir des déchets collectés en 2015, sur le territoire du Val de l'ailette Figure 20. Tonnages et destinations des déchets collectés hors déchèterie Figure 21. Tonnages et destinations des déchets apportés en déchèterie Figure 22. Magazine L'Ailette - Octobre Figure 23. Calendrier de collecte Figure 24. Guide du tri Figure 25. Site internet. Guide du réemploi et de la réparation Figure 26. Site internet. Compostage Figure 27. Autocollant Stop-pub Figure 28. Affiches des Forums "Eco'tidien" Figure 29. Objectifs de réduction des tonnages du Val de l'ailette Figure 30. Evolution des tonnages DMA selon les objectifs Figure 31. Objectifs de tonnages détaillés par flux Figure 32. La composition de la poubelle OMr- Source Modecom Figure 33. Calcul du potentiel d'évitement Liste des acronymes ADEME : Agence De l'environnement et de la Maîtrise de l'energie COTd : Contrat d Objectifs Territorial déchets DASRI : Déchets d'activités de Soins à Risques Infectieux DMA : Déchets Ménagers et Assimilés OMR : Ordures Ménagères Résiduelles OMA : Ordures Ménagères et Assimilées PDPD : Plan Départemental de Prévention des Déchets PPGDND : Plan de Prévention et de Gestion des Déchets Non Dangereux PLPD : Programme Local de Prévention des Déchets PNPD : Plan National de Prévention des Déchets TEOM : Taxe d Enlèvement des Ordures Ménagères TLC : Textiles, Linge, Chaussures Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

5 Glossaire Biodéchets : Fraction fermentescible des ordures ménagères composée des déchets de cuisine et certains déchets verts des ménages ainsi que des papiers et cartons Collecte : Ensemble des opérations consistant à enlever les déchets et à les acheminer vers un lieu de transfert, de tri, de traitement ou une installation de stockage des déchets Collectes sélectives (CS) : Collectes des déchets ménagers séparés en plusieurs flux différenciés (matériaux secs, fermentescibles, déchets encombrants des ménages, ) Coût aidé : coût résultant pour la collectivité locale = coût net diminué des soutiens et de la revente des matériaux BMPCJ (encore appelés Matériaux secs) : Ensemble des matériaux secs tels que les Briques, Cartons, Métaux, Plastiques et Journaux Encombrants : Déchets volumineux ne pouvant être déposés dans les containers de collecte. Ne sont pas pris en compte: les déchets verts et les déblais et gravats Emballage pour Liquide Alimentaire (ELA) : Communément appelé brique alimentaire (ou Tétra), ce type d emballage recyclable est destiné à contenir des liquides alimentaires (briques pour jus de fruits, laits ou potages). Il est fabriqué à partir de 3 matériaux différents : 75% de carton, 20% de plastique et 5% d aluminium Emballage Ménager Recyclable (EMR) : Aussi appelés cartonnettes, ces emballages sont composés de papier ou de carton et sont recyclables. On y trouve notamment des boîtes en carton plat ou ondulé, des étuis, des sacs et sachets en papier Déchets Ménagers et Assimilés (DMA) : Totalité des déchets des ménages et des activités économiques pris en charge par le service public : > Déchets ménagers : produits par les ménages (ordures ménagères et apports directs en déchetterie) > Déchets assimilés : de même nature que les déchets ménagers et en quantité comparable, mais produits par les professionnels DEEE : Déchets d équipements électriques et électroniques Gisement de déchets : Quantité (avec une répartition par nature) des déchets ménagers ou industriels produits et collectés pour un territoire défini : ville, région, zone industrielle, Ordures Ménagères et Assimilées (OMA) : DMA moins les apports en déchetteries. Elles sont composées de : > OMR : Ordures Ménagères Résiduelles. Désigne la part des déchets qui restent après les collectes sélectives (OMA moins les collectes tri sélectif) > CS : Matériaux secs Collectés Sélectivement (cartons d'emballage, emballages plastiques, verre...) > DVBD : Déchets Verts et Bio-déchets (fraction fermentescible des ordures ménagères). Ne sont pas compris les déchets verts apportés en déchèterie Méthanisation : La méthanisation est un processus biologique de décomposition de la matière organique par des micro-organismes qui aboutit, en l absence d oxygène (processus anaérobie) à la formation de biogaz. Cette décomposition de la matière organique conduit également à la production d un compost et de pressat biologique (engrais liquide) Mono flux : Le mono flux est le mode de tri des emballages et papiers en mélange Responsabilité élargie du producteur (REP) : Les politiques de collecte sélective et de recyclage des déchets s appuient pour partie sur les filières dites de responsabilité élargie du producteur, principe qui découle de celui du pollueur-payeur. Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

6 DIAGNOSTIC DU TERRITOIRE Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

7 A) LA PRÉVENTION DES DECHETS A.1 - Définition La prévention des déchets peut être définie comme «l'ensemble des mesures et des actions prises en amont (notamment au niveau de la conception, de la production, de la distribution et de la consommation d'un bien) et visant à réduire l'ensemble des impacts sur l'environnement et à faciliter la gestion ultérieure des déchets (notamment par la réduction des quantités de déchets produits et/ou la réduction de leur toxicité ou par l'amélioration du caractère valorisable)». Figure 1 : Les grandes étapes de la vie d'un déchet La prévention des déchets concerne l ensemble des actions pouvant être mises en place AVANT que le produit ne soit mis au rebus. Lorsque le déchet est pris en charge par la collectivité, on entre dans le cadre de la gestion des déchets. La prévention et le tri/recyclage sont donc complémentaires mais distincts. Il existe deux grands axes de prévention : Les mesures quantitatives concernent la réduction des quantités de déchets produits : - Sur le produit : - Privilégier l éco-conception des produits ; - Améliorer la durabilité ; - Le développement de pratiques comportementales - Pratiquer le compostage à domicile ; - Acheter des produits peu emballés ; - Prolonger la durée de vie des biens (réemploi, réparation, réutilisation) ; Les mesures qualitatives concernent la réduction de la nocivité et de la dangerosité des déchets produits sur l environnement et la santé : Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

8 - Utiliser des produits moins nocifs pour l environnement ; - Agir pour que le produit soit jusqu'à sa fin de vie biodégradable, aisément démontable, recyclable, réutilisable ou inerte ; - Limiter voir supprimer la dangerosité du déchet. La prévention quantitative se répercute directement sur la balance de notre poubelle, tandis que la prévention qualitative fait intervenir des paramètres plus difficiles à mesurer, comme la sécurité ou dangerosité d un produit (nombre de microgrammes de métaux lourds, équivalent-toxique, radioactivité, leurres hormonaux, etc.) A.2 - Cadre règlementaire et législatif Différents textes, à différentes échelles, régissent la prévention des déchets. La directive n 2008/98/CE dite «directive cadre déchets» de 2008 fixe un objectif global de 50% de réemploi ou recyclage pour les déchets ménagers ou assimilés en Elle oblige également les états membres à se doter d un Plan National de Prévention des Déchets (PNPD) dans un délai de 5 ans (soit fin 2013) et établit une hiérarchie des priorités en matière de déchets : 1) Prévention de la production de déchets 2) Préparation en vue du réemploi 3) Recyclage 4) Autre valorisation, notamment énergétique 5) Elimination Sur le plan National, la déclinaison de la DCE se traduit par la loi du 3 août 2009 (n ), dite «Grenelle 1», qui fixe des objectifs nationaux et globaux de diminution des Ordures Ménagères et Assimilés (OMA) à 7% pour les 5 prochaines années et propose une réduction de 15% des déchets ménagers et assimilés partant à l incinération ou à l enfouissement. Elle autorise également les collectivités locales à instaurer, la mise en place d une part variable incitative, calculée en fonction du poids et du volume des déchets, dans la taxe d enlèvement des ordures ménagères. A l échelle locale, la loi du 12 juillet 2010 (n ), dite «Grenelle 2», impose aux collectivités territoriales responsables de la collecte ou du traitement des déchets ménagers et assimilés, de définir, au plus tard le 1er janvier 2012, un Programme Local de Prévention (PLP) des déchets ménagers indiquant les objectifs de réduction des quantités de déchets et les mesures mises en place pour les atteindre. Le décret d application du 10 juin 2015 relatif aux Programmes Locaux de Prévention des Déchets Ménagers et Assimilés définit le contenu de ces programmes, ainsi que leurs modalités d élaboration par les collectivités territoriales responsables de la collecte des déchets ménagers. La démarche est la suivante : Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

9 1. l établissement d un état des lieux (diagnostic du territoire), 2. la définition d objectifs de réduction des DMA (l objectif minimal «-7% OMA en 5 ans» étant modifié depuis la Loi de Transition Energétique en : «-10% de DMA en 2020 par rapport au niveau de 2010») 3. les mesures à mettre en œuvre pour atteindre ces objectifs (le programme d actions) 4. l évaluation et le suivi du PLPDMA (pilotage du programme avec bilan annuel/indicateurs) A.3 Dispositifs et programmes d actions connexes Le Département de l Aisne porte la mise en œuvre du Plan de Prévention et de Gestion des Déchets Non Dangereux (PPGDND). Ce plan, répondant à la législation en vigueur et rendu opposable aux tiers, vise à organiser la gestion de la filière déchets en : - Identifiant les mesures à prendre pour réduire la quantité de déchets produite et leur nocivité (prévention des déchets) ; - Organisant le transport des déchets ; - Identifiant les moyens de valoriser les déchets et les traiter ; - Assurant l information du public. En complément, le Département a également engagé un Plan Départemental de Prévention des Déchets (PDPD), en contractualisant avec l Agence De l'environnement et de la Maîtrise de l'energie (ADEME) pour 5 ans (2012/2016). Ce plan de prévention décline les actions à mettre en œuvre pour réduire de manière durable la quantité de déchets produits et leur nocivité. Le rôle du PDPD est de couvrir 80% de la population par des programmes de prévention. Il a également une vocation à mettre en réseau les différents porteurs de programmes et à aider à la mise en cohérence des PLPDMA avec les autres outils de la planification territoriale. La mise en œuvre de ces Plans est facilitée par l existence d un Syndicat Mixte de Traitement des Déchets couvrant 95% du territoire Axonais : Valor Aisne. Ce syndicat est également engagé, auprès de l ADEME et de la région, dans un Contrat d Objectifs Territorial déchets (COTd), pour une durée de 3 ans (1er année en 2012). Cet outil regroupe des actions dont l objectif commun est d intégrer la politique des déchets aux enjeux du développement local, en fédérant les acteurs directs et indirects du monde des déchets sur le territoire. Six axes opérationnels ont été définis : - Animation de l approche territoriale ; - Réduction de la production de déchets ; - Réduction de la nocivité des déchets ; - Optimisation des services ; - Recherche de solution de valorisation ; - Optimisation des coûts. Le PLPDMA de la Communauté de Communes du Val de l Ailette s inscrit donc dans une politique «prévention des déchets» relayée à différents niveaux. Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

10 Figure 2. Les différents niveaux de prévention B) DESCRIPTIF DU TERRITOIRE DE L EPCI B.1 Le territoire La Communauté de Communes du Val de l Ailette (CCVA) est située au centre du département de l Aisne (région Picardie) au sein du canton de Vic sur Aisne. La CCVA est entourée de sept Communautés de Communes : 5 axonaises (Chauny-Tergnier, Villes d Oyse, Vallons d Anizy, Val de l Aisne, Vallée de l Aisne) et 2 isariennes (Pays Noyonnais et Canton d Attichy) et d une Communauté d Agglomération (la Communauté d Agglomération du Soissonnais). Le Val de l'ailette compose le Syndicat Mixte du Pays Chaunois avec la Communauté de Communes de Chauny-Tergnier et la Communauté de Communes des Villes d Oyse. Figure 3. Situation du Canton et du Val de l'ailette dans l'aisne et dans le Pays Chaunois Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

11 Créée le 22 décembre 1997, la Communauté de Communes du Val de l Ailette se localise au centre de quatre pôles urbains principaux : Chauny au Nord, Laon à l Est, Soissons au Sud, et Noyon à l Ouest. Son périmètre s étend sur 222 km 2 et comprend depuis le 1 er janvier communes : Barisis-aux- Bois, Besmé, Bichancourt, Blérancourt, Bourguignon-sous-Coucy, Camelin, Champs, Coucy-la-Ville, Coucy-le-Château, Crécy-au-Mont, Folembray, Fresnes-sous-Coucy, Guny, Jumencourt, Landricourt, Leuilly-sous-Coucy, Manicamp, Pont-Saint-Mard, Quierzy-sur-Oise, Quincy-Basse, Saint-Aubin, Saint- Paul-aux-Bois, Selens, Septvaux, Trosly-Loire, Verneuil-sous-Coucy. Dans le cadre de l élaboration de son Schéma Départemental de Coopération Intercommunale (SDCI), Monsieur le Préfet de l Aisne prévoit la fusion de la CCVA avec la CC des Vallons d Anizy au 1 er janvier 2017, malgré l opposition de la majorité des communes membres des 2 collectivités. Ce PLPDMA pourra être ajusté si le périmètre de la collectivité venait à évoluer. B.2 Les données socio-économiques Le recensement de ces données permettra de mieux cibler les actions à mettre en place. Certaines données ne sont disponibles qu à l échelle du périmètre de 2013 (19 communes, habitants). Le territoire étant cependant homogène, nous pouvons les extrapoler à l ensemble du Val de l Ailette dans ses limites actuelles (26 communes, habitants) B.2.1. Nombre d habitants Les habitants et foyers sont répartis de façon plutôt homogène sur le territoire. La faible densité de population (52 hab/km²) caractérise un territoire rural, propice à la promotion du compostage domestique. Néanmoins, on compte 4 communes de plus de 1000 habitants (Folembray, Blérancourt, Coucy-le- Château et Bichancourt) dans lesquelles des opérations de compostage en pied d immeuble (ou habitat collectif) pourraient être développées. La population du Val de l Ailette augmente légèrement plus que celle du département (taux moyen annuel de +0,4% entre 2011 et 2016 pour un taux moyen de 0.1% pour le département). Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

12 B.2.2. Age et composition des foyers (Source Insee 2012) Les habitudes de consommation diffèrent selon la composition du foyer. Les actions de prévention pourront être ciblées selon les catégories. Comme à l échelle nationale, la population est vieillissante, même si 55% des habitants ont moins de 44 ans. La sousreprésentation de la tranche d âge des ans traduit une migration des jeunes ne trouvant ni formation supérieure ni travail sur le territoire en fin de cycle scolaire. Figure 4. Répartition de la population, par âge Figure 5. Composition des ménages Figure 6. Nombre d'enfants par foyer Les moins de 20 ans, déjà consommateurs, sont les futurs acheteurs et parents de demain. Il est donc important de toucher cette tranche de la population en menant des animations scolaires et extra scolaires et en établissant donc un partenariat solide avec les écoles, collège, lycée et accueils de loisirs. La population âgée de 20 à 74 ans représente les acheteurs actuels. Cette catégorie peut être sensibilisée avec l aide des entreprises et de la moyenne et grande distribution, du territoire ou des territoires voisins. La population plus âgée représente un public non négligeable et surtout, disponible. Il s agit principalement de retraités qui s investissent dans le monde associatif, qui prennent le temps de faire du compostage et qui, souvent, sont déjà sensibilisés aux questions environnementales. Ils seront donc des relais intéressants au travers des associations. Les décès sont souvent associés à une production ponctuelle, mais importante de biens d ameublement. Promouvoir les associations du réemploi permettra de donner une destination autre que la déchèterie à ces déchets. La moitié des foyers comporte au moins 1 enfant, et les enfants de moins de 15 ans représentent 20% de la population. Les ménages avec enfants en bas âge sont de gros producteurs de déchets ménagers (couches, lingettes, ) et d importants consommateurs d articles de puériculture (poussettes, chaiseshautes, ), de vêtements et de jouets, devant être renouvelés régulièrement. Pour autant, ces articles Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

13 sont jetés alors qu ils sont souvent très peu usés. Des actions visant à promouvoir le don, le prêt ou encore l achat d occasion pour ces ménages peuvent être menées. Les célibataires représentant ¼ de la population. Ils seront par exemple concernés par des actions de sensibilisation au suremballage (portions, plats préparés..) Les jeunes actifs ont un niveau d information relativement fragile en matière de prévention des déchets. Cela rend difficile la mise en œuvre de comportements vertueux en matière de déchets (Source : Ademe Enquête IFOP 2009). Ce sont donc des actions qui répondent à la vie quotidienne qui devront être menées pour toucher cette tranche de la population. Figure 8. Catégories socio-professionnelle Figure 7. Taux de chômage La Communauté de Communes du Val de l Ailette enregistre, en 2012, un taux de chômage (13,7%) légèrement supérieur à celui de la France (13,2%), mais inférieur à celui de l Aisne (16,8%). En parallèle, le revenu disponible médian des habitants de la Communauté de Communes du Val de l Ailette ( en 2012) est supérieur à la moyenne départementale ( ). Il existe cependant des écarts importants au sein du territoire (varie entre et ). Figure 9. Niveau de formation Les actifs avec emploi peuvent être sensibilisés sur la composition de leurs repas méridien souvent pris hors domicile, tandis que les personnes sans emploi peuvent être sensibles à l achat d occasion ou la lutte contre le gaspillage alimentaire. Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

14 Avec 96% de logements individuels, le Val de l Ailette est un territoire propice au compostage individuel. Figure 10. Occupation et typologie des logements B.2.3. Les Etablissements scolaires - Le Val de l Ailette, compétent en affaires scolaires, gère les 21 sites d enseignement de niveau primaire (écoles maternelles et élémentaires) et 3 restaurants scolaires du territoire. - Le conseil départemental gère le collège de Coucy-le-Château et son restaurant. - La région est responsable du Lycée Professionnel Agricole de Coucy-la-Ville (internat et restaurant). B.2.4. Le tissu associatif et culturel local La CCVA dispose d un riche tissu associatif (plus de 150 associations actives) ainsi que de 2 sites touristiques d importance: Coucy-le-Château et Blérancourt qui reçoivent plus de touristes par an. Des actions de prévention pourraient être adossées aux diverses manifestations. Nombreuses sont celles organisées annuellement et bénéficiant d une logistique «rôdée»! C) L ORGANISATION DE LA COLLECTE DES DECHETS C.1 Compétences exercées La communauté de communes du Val de l Ailette a pris dès sa création (en 1998) la compétence collecte et traitement des ordures ménagères. La collecte est assurée par un prestataire, tandis que la compétence traitement (tri et enfouissement) a été transférée au Syndicat Valor Aisne. Les Ordures ménagères sont collectées toutes les semaines, tandis que la collecte sélective est assurée toutes les 2 semaines, en un seul sac. Le verre est collecté en apport volontaire, sur les 60 bornes réparties sur le territoire. Des bornes d apport du textile (Le Relai) maillent également le territoire. Une déchèterie, située au lieu-dit Les Michettes à Coucy-le-Château, permet de déposer ses déchets via 19 filières différentes. Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

15 Les heures d ouverture sont variables selon la saison. Mars-Avril Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi 13h30-18h 13h30-18h 13h30-18h 13h30-18h 9h-12h 13h30-18h Mai - Septembre 13h30-18h 13h30-18h 13h30-18h 13h30-19h 9h-18h Octobre 13h30-18h 13h30-18h 13h30-18h 13h30-18h Nov - Déc Janv - Fév 13h30-17h 13h30-17h 9h-12h 13h30-18h 9h-12h 13h30-17h Figure 11. Horaires d'ouverture de la déchèterie Une opération d extension et de mise aux normes de la déchèterie est en cours. Elle permettra notamment de stocker plus de déchets verts, et de faciliter le broyage des branchages, déjà mis en place depuis C.2 Mode de financement du service C.2.1. Les soutiens des éco-organismes et les recettes de vente des matériaux Pour financer son service, la Communauté de Communes du Val de l Ailette a contractualisé avec des éco-organismes qui lui versent des soutiens et revend la plupart des matériaux triés. Eco Emballages soutient la collectivité en fonction des tonnes d emballages triées et du nombre d ambassadeur du tri. (verre, plastique, carton, métaux) Eco Folio soutient la collectivité en fonction des quantités des différentes catégories de papiers collectés Eco TLC est l éco organisme des textiles, linges et chaussures. Les soutiens versés dépendent du nombre d habitants et du nombre de points de collecte de ces déchets. OCAD3E est l éco organisme des déchets d équipement électrique et électronique et des lampes et verse des soutiens en fonction des tonnages collectés et de la communication réalisée sur le territoire. EcoMobilier, en attendant de prendre à son compte la gestion des déchets d ameublement, verse des soutiens en fonction des tonnages d encombrants et de bois de déchèterie. EcoDDS, en prenant en charge la gestion d une partie des DDS, vient baisser les charges de fonctionnement de la déchèterie. Le produit des ventes et les soutiens des écoorganismes représentent 23% des recettes et ne permet pas à lui seul de financer le service. Figure 12. Recettes du budget annexe DMA Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

16 C.2.2 Le financement par l usager Pour équilibrer le budget, la collectivité, contrairement à beaucoup de voisines, a choisi la redevance et non la taxe. Calcul de la redevance d un foyer en 2015 : - Part fixe par foyer de 94 calculée au prorata des trimestres de présence - Une part variable de 32 par personne, calculée au prorata des trimestres de présence. Ce mode de financement permet de respecter le principe «pollueur-payeur». C.3 Gisement de déchets ménagers sur le Val de l Ailette C.3.1 Les tonnages collectés en 2015 L ensemble des flux collectés sur le territoire de la CCVA en 2015 (année de référence pour le suivi du PLP) sont présentés et comparés aux moyennes départementales (Valor Aisne) dans le tableau suivant : Flux considéré Tonnage collecté CCVA 26 (année 2015) Ratio de collecte CCVA 26 kg/an/hab Ratio de collecte ex- SIEVDM kg/an/hab Aisne (année 2014* ou 2013**) Ecart CCVA / Aisne OMR T * +6% CS 550 T * -8% dont refus de tri 94 T 8 4 7** +12% Verre 466 T ** +7% TOTAL OMA (OMR + Verre T % CS) Encombrants 373 T 32 67** -109% Autres déchets de Déchèterie T ** -51% TOTAL DMA T % Figure 13. Tonnages de DMA collectés, par flux Globalement, les quantités d OMR sont légèrement supérieures à celles du département. Néanmoins, 2 circuits de collecte coexistent au sein de la communauté de communes, faisant suite à l intégration du Syndicat Intercommunal d Exploitation et de Valorisation des Déchets Ménagers (SIEVDM). Sur le périmètre du SIEVDM, les encombrants sont collectés en porte à porte, alors qu ils ne le sont pas sur les 20 autres communes. Sur les 20 communes, un habitant produit 200 kg d OMR par an, pour 395 kg sur le périmètre du SIEVDM. Des actions spécifiques sur une partie du territoire, doivent être envisagées. Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

17 L étude MODECOM 2007 montre que 32% des OMR sont des déchets fermentescibles. Le potentiel de réduction est donc très important, si l on s intéresse au compostage domestique ou encore au gaspillage alimentaire. La quantité de déchets recyclables collectés en sacs jaunes est de même légèrement supérieure sur le territoire des 20 communes. Néanmoins, cette collecte stagne depuis quelques années, alors que les performances de tri sont croissantes au niveau départemental et national. Pour la première année, le Val de l Ailette est en-deçà de la performance départementale. Figure 14. Répartition par matière des produits valorisés en 2015 Cette répartition montre que des actions telles que «Stop-pub» et la lutte contre le suremballage seraient efficientes. Les erreurs de tri de 2015 ne sont pas représentatives. En effet, les déchets recyclables des 20 communes ont été triés sur un nouveau centre de tri, en rodage, produisant plus de refus qu en période de croisière. La quantité de verre collectée dans les bornes ne peut être différenciée d un secteur à l autre. Elle est en baisse depuis quelques années, bien qu encore légèrement supérieure à la moyenne départementale. Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

18 Figure 15. Evolution des quantités de déchets collectés, par type de déchet La quantité de déchets collectés en déchèterie est très inférieure à la moyenne départementale, notamment pour les encombrants. La collecte sur les autres flux doit continuer à être développée. Elle contribue à limiter la dangerosité des OMR. La fréquentation de la déchèterie n est pas homogène sur le territoire. Sans surprise, les communes les plus proches sont les plus représentées. Des actions de présentation de ce service pourront être ciblées. Figure 16. Fréquentation de la déchèterie en 2015, par commune Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

19 Figure 17. Evolution des tonnages de déchèterie Les déchets verts sont de plus en plus apportés en déchèterie alors qu ils pourraient être compostés. On note une baisse des encombrants, non triés, au profit des nouvelles filières (plâtre notamment). Au total, on note une légère augmentation du tonnage des DMA sur le territoire. Figure 18. Evolution des tonnages de DMA. En kg/hab Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

20 C.3.2 Devenir des déchets collectés Encore 61% des déchets collectés sont enfouis!! (Déchèterie, collecte en porte à porte et bornes) Figure 19. Devenir des déchets collectés en 2015, sur le territoire du Val de l'ailette. Les schémas ci-dessous détaillent les exutoires des différentes filières. Figure 20. Tonnages et destinations des déchets collectés hors déchèterie 2015 Figure 21. Tonnages et destinations des déchets apportés en déchèterie Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

21 C.4 Bilan Le programme local de prévention des déchets a pour ambition de faire changer les habitudes de consommation et de production des déchets des acteurs locaux. Le Val de l Ailette, avec une production globale de DMA assez faible est déjà bon élève. Néanmoins, on note une dégradation des performances de tri (verre et CS), des refus de tri importants et une quantité d OMR encore très importante. Le service de la déchèterie et des nombreuses filières qui y sont proposées est encore sous-utilisé par un certain nombre d habitants. D) ÉTAT INITIAL DE LA PRÉVENTION DES DÉCHETS D.1 Actions portées par la collectivité D.1.1 Publications- Journal du Val de l Ailette : «L Ailette» Depuis l année 2011, le Val de l Ailette diffuse à l ensemble de ses habitants un journal d informations générales sur ses actions. 2 à 3 pages sont chaque fois réservées au service environnement. Fin 2015, 2 pages de ce bulletin d informations ont été consacrées à la promotion du compostage domestique. Figure 22. Magazine L'Ailette - Octobre 2015 D.1.2. Publications Guide du tri/calendriers de collecte Depuis la prise de compétence de gestion des déchets, la collectivité diffuse en parallèle une communication spécifique aux déchets. Axée sur le geste de tri, elle comporte depuis 2013 la promotion du compostage. Figure 24. Guide du tri 2013 Figure 23. Calendrier de collecte 2016 Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

22 D.1.3. Le site internet Le site internet du Val de l Ailette propose en téléchargement - le guide du réemploi et de la réparation du conseil départemental. Figure 25. Site internet. Guide du réemploi et de la réparation - Une page spécifique sur le compostage : Figure 26. Site internet. Compostage Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

23 D.1.4. L ambassadeur de tri et de prévention Depuis 2012, le gardien de déchèterie est aussi ambassadeur du tri. Il est intervenu auprès des enfants lors d un ALSH pour sensibiliser les enfants au tri et à la prévention. Il intervient également en porte à porte, prioritairement là où sont signalés des problèmes ou des erreurs de collecte. Lors de ces interventions, il s agit principalement de sensibiliser les publics au tri des déchets, mais la prévention des déchets prend peu à peu sa place. D.1.5. Les actions du Val de l Ailette D Promotion du compostage Des composteurs à prix réduits sont proposés toute l année depuis Une «opération composteurs» avait déjà été proposée en Une soixantaine de foyers avaient été dotés. Des composteurs ont été donnés et montés dans 4 écoles volontaires du Val de l Ailette. Une réunion d échange sur les pratiques de compostage a été organisée fin 2012, en parallèle de l opération «composteurs à prix réduits». D Stop pub Des autocollants «stop-pub» réalisés par Valor Aisne sont disponibles gratuitement au siège Val de l Ailette. En 2011, une distribution massive a été effectuée : chaque mairie ayant été dotée d un autocollant par foyer. Figure 27. Autocollant Stop-pub D.1.6. Les évènements du Val de l Ailette En 2013 et 2015, le Val de l Ailette a organisé un forum «Eco tidien». Pendant un Week-End, des professionnels et associations ont présenté des pratiques et technologies permettant de réaliser des économies au quotidien. Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

24 Les associations Familles Rurales, Perm Api et Au bio panier, ainsi que le Lycée Professionnel Agricole d Aumont et Valor Aisne y ont promu les gestes de tri, de compostage et de réemploi, ainsi que la fabrication des lessives et la consommation de l eau du robinet. (Plus d info en annexe 1) Figure 28. Affiches des Forums "Eco'tidien" D.1.7. L étude de faisabilité de recyclerie Fin 2015, le Val de l Ailette a missionné le bureau d études CAP3C pour la réalisation d une étude de faisabilité, en vue de création d une recyclerie. Les résultats sont attendus en (Voir Annexe 2) D.2 - Actions portées par d autres acteurs du territoire Certains acteurs du territoire sont déjà moteurs en termes de prévention déchets. C est le cas notamment des associations Familles Rurales et Perm Api, du Lycée Professionnel Agricole d Aumont et de certaines écoles qui réalisent au sein de leurs structures des animations, formations, informations promouvant le compostage, le réemploi et les économies diverses. (Voir annexes 3, 4, 5) Certains artistes mettent aussi leur talent au profit du réemploi. (Voir annexe 6). Il existe certainement d autres acteurs déjà actifs en termes de prévention et dont la collectivité n a pas aujourd hui connaissance. Ils pourront être de précieux relais. D.3 Relais et Partenaires potentiels du PLPDMA Liste non exhaustive des acteurs pouvant être associés à la démarche par thématiques: Communes membres Valor Aisne Acteurs Publics Relais de l information et acteurs privilégiés pour la mise en place d actions d écoexemplarité Soutien en ressources humaines ou logistiques lors de manifestations Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

25 Conseil Départemental Conseil Régional Agence de l Environnement et de la Maitrise de l Energie Accompagnement des collectivités dans l élaboration du PLP et soutien technique et financier Partenaire identifié dans le cadre d actions envers les entreprises notamment Soutien technique et financier pour la collectivité Artisans Chambres consulaires Agriculteurs Commerces Gites, fermes pédagogiques Ecoles Maternelles et Elémentaires Collège Cantines (écoles et collège) Associations sportives et culturelles ALSH Relai Assistantes Maternelles Acteurs économiques Autres Acteurs Acteurs privilégiés pour la mise en place d actions de prévention des déchets du bâtiment. Partenaires en relation constante avec les habitants. Sources d informations Public cible de la prévention qualitative Acteurs pour la mise en place d actions de sensibilisation. Ces lieux seront à privilégier dans le cadre d actions concernant les habitudes de consommation. Supports de communication et source de partenariats L Education au Développement Durable est devenue un enseignement obligatoire. Relais et acteur de l information auprès des jeunes élèves et de leur famille. Actions pouvant être menées sous forme d expositions, de diffusion de vidéo ou encore de concours de collecte. Opportunité d action (réduction de la fraction fermentescible des OMR notamment) Acteurs privilégiés pour des partenariats lors d évènements ponctuels : Fêtes Brocantes Expositions Festivals Tournois/Compétitions.. Relais de l information auprès des jeunes Sensibilisation des parents et des assistantes maternelles Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

26 E) Bilan du diagnostic On peut synthétiser les forces, faiblesses, opportunités et menaces de la Communauté de Communes du Val de l Ailette ainsi : FORCES - Une légère croissance de la démographie et une population relativement jeune Dynamisme, facilité de mobilisation - Un niveau de vie moyen et un taux de chômage plus faible que la moyenne départementale Climat social propice à une sensibilisation et à la prévention - Territoire résidentiel composé d une forte majorité de logements individuels et occupés par des propriétaires au titre de résidences principales Favorable aux gestes de tri OPPORTUNITES - Présence d acteurs de la prévention sur le territoire (Lycée Professionnel d Aumont, Familles Rurales, Perm Api ) Appui et support de bonnes pratiques - 21 écoles, 1 collège et cantines publiques Support de communication et d opportunités de réduction des déchets organiques - Quelques rendez-vous annuels réguliers (brocantes et autres manifestations) Lieux de rassemblement permettant la sensibilisation FAIBLESSES - Peu d actions de prévention menées dans le passé Public peu sensibilisé - Importants échanges en directions des territoires voisins (travail, consommation, loisirs ) et offre commerciale peu présente Difficulté de mise en œuvre d actions MENACES - Population peu mobile (absence de moyens de transports) du fait de la ruralité, et de l étendue géographique du territoire Mise en adéquation des actions envisagées - Incompréhension du système de paiement «redevance» Confusion possible pour les usagers F) OBJECTIFS DE RÉDUCTION SUR LE VAL DE L AILETTE F.1- Les Objectifs globaux Le plan national de prévention des déchets ménagers, entré en vigueur le 28 aout 2014, prévoit un objectif de diminution de 7% de la production de Déchets Ménagers et Assimilés (DMA) par habitant en 2020 par rapport à Plus récemment, le projet de loi sur la transition énergétique prévoit d augmenter ce taux à 10%. Ainsi, 2 scenarii sont envisagés correspondant à ces 2 objectifs. Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

27 DMA Objectif 7% Objectif 10% Evitement Collecte et bornes Déchèterie Total DMA Tonnes Nbre hab Total DMA kg/hab Figure 29. Objectifs de réduction des tonnages du Val de l'ailette Evitement Pour atteindre l objectif, déjà ambitieux de 7% de réduction, il faut réduire de 10kg/an/hab la production de DMA. Figure 30. Evolution des tonnages DMA selon les objectifs Cet objectif global de -7% peut être atteint en maintenant les objectifs détaillés ci-après. DMA en kg/hab/an Année de référence 2010 Objectif de réduction 2020 OM % 188 Erreurs de tri 12-20% 9 Emb. et papiers Recyclés 43-6% 40 Verre 43-3% 42 Déchèterie 132-3% 128 TOTAL DECHETS 439-7% 408 Figure 31. Objectifs de tonnages détaillés par flux Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

28 F.2- Le Potentiel d évitement F.2.1 L étude MODECOM Gisement des OMR Le Val de l Ailette n ayant pas effectué de campagnes de caractérisation sur son territoire, l étude du contenu des OMR du MODECOM sera prise en compte en référence. Cette étude a été menée en 1993 puis en 2007 sur 100 communes françaises sélectionnées selon une méthodologie garantissant une bonne représentativité. L objectif est de donner une vision de la composition moyenne de la poubelle française. On notera qu entre la campagne de caractérisation de 1993 et celle de 2007, il y a eu une relative stabilité de la composition globale des déchets. Les résultats de l étude MODECOM 2007 sont consignés ci-après : Figure 32. La composition de la poubelle OMr- Source Modecom 2007 Parmi les faits marquants on soulignera notamment les points suivants : 22% des OMR collectées par le service public proviennent des déchets d activités économiques. A l échelle nationale, cela représente 4,4 millions de tonnes en 2007 dont la collecte et l élimination, en l absence de la mise en place d une redevance spéciale, sont financées par les usagers. 39% du gisement OMR (env. 150 kg/hab/an) pourrait faire l objet d opérations de prévention à travers le compostage individuel, le stop pub, des campagnes anti-gaspillage, la limitation des impressions bureautiques ou la collecte sélective des déchets dangereux des ménages. Près d un tiers de la poubelle OMR (32%) est composé de déchets putrescibles qui pourraient faire l objet de compostage individuel. Le gaspillage alimentaire représente 20 kg/hab/an dont 7 kg de produits encore emballés. F.2.2 Evaluation du potentiel d évitement théorique dans l Aisne Des données de référence en termes de potentiel de réduction des déchets existent au niveau du département. Elles restent tirées d un calcul théorique, basé sur de nombreuses hypothèses, mais permettent cependant : - d illustrer les efforts à mettre en œuvre pour atteindre les objectifs locaux de réduction des déchets - d identifier les actions de prévention dont l impact potentiel est le plus important - de fournir des ordres de grandeur en termes de tonnages globaux Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

29 Actions Flux impacté Potentiel de réduction (kg/hab/an) Source d'estimation Taux de pratique actuel des axonais Déchets organiques Hypothèse de mise en œuvre Potentiel de réduction (kg/hab/an) Objectifs de réduction du Val de l'ailette (kg/hab/an) Promotion du compostage à domicile Lutte contre le gaspillage alimentaire : produits non déballés Lutte contre le gaspillage alimentaire : restes de repas Ordures ménagères Ordures ménagères Ordures ménagères 40 Site "réduisons nos déchets" 7 Site "réduisons nos déchets" 13 50% de la population composte 54% de la population limite le gaspillage alimentaire Site "réduisons nos déchets" Déchets de papiers 45% 25% de la population supplémentaire pratique le compostage de foyers supplémentaires limitent le gaspillage alimentaire Opération stop pub Eco exemplarité des administrations en matière de consommation de papiers Déchets recyclables Déchets recyclables 15 Site "réduisons nos déchets" 13% de la population utilise un stop pub Pas de données à l'échelle du 80 dépt. Données PREDMA d'ile PREDMA IDF à de France ajuster Déchets d'emballages 25% 20% de population supplémentaire utilise un stop pub de réduction des quantités de papiers de bureau 3,75 - Effectuer des achats en minimisant les emballages Déchets recyclables 26 Site "réduisons nos déchets" 40% de la population effectue des achats minimisant les emballages 10% de population supplémentaire effectue les achats minimisant les emballages 2,6 3 Sacs jetables Déchets recyclables 2 Site "réduisons nos déchets" 50% de la population supplémentaire utilise des sacs cabas réutilisables 1 Promotion de l'eau du robinet Déchets recyclables 2 ACR+ 44% de la population boit de l'eau du robinet 40% de la population supplémentaire boit de l'eau du robinet 0,8 Lutte contre les achats superflus (location, achats de seconde main, ) Divers déchets 3 ACR+ Déchets occasionnels 33% de la population favorise le réemploi 25% de la population supplémentaire favorise le réemploi 0,75 Promotion de la réutilisation et du réemploi Bois, Encombrants, DEEE 13 ACR+ 63% de la population favorise la réutilisation 25% de la population supplémentaire favorise la réutilisation 3,25 4 Promotion de la réutilisation des vêtements Textiles 4 ACR+ 89% de la population donne des vêtements 5% de la population supplémentaire donne des vêtements 0,2 Figure 33. Calcul du potentiel d'évitement Quantités évitées kg/hab/an 35 En Tonnes 407 Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

30 G) Indicateurs et modalités d évaluation du PLPDMA Le Programme Local de Prévention des Déchets ménagers et assimilés est basé sur cinq années. La sixième année fera l objet d une évaluation avec l élaboration d un nouveau programme d actions. Un bilan annuel visant à évaluer l impact des mesures mises en œuvre sur l évolution des quantités de déchets produites sera établi et présenté lors des comités de suivi du programme. Ce bilan sera également l occasion d apporter des ajustements en fonction des résultats et d apprécier la cohérence des actions de prévention avec les objectifs de réduction sur les flux prioritaires. Le suivi du programme sera réalisé à travers la réalisation d indicateurs relatifs à la mesure de la mise en œuvre du PLP (moyens techniques, humains et financiers nécessaires) ainsi que des indicateurs relatifs aux quantités de déchets ménagers et assimilés produits. Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

31 LE PROGRAMME D ACTION Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

32 Préambule Afin d atteindre les objectifs du projet de loi sur la transition énergétique, la Communauté de Communes du Val de l Ailette se donne un objectif de réduction de 7% de la production de Déchets Ménagers et Assimilés (DMA) par habitant en 2020 par rapport à Cet objectif déjà ambitieux induit une réduction de 10kg/an/hab de la production de DMA. Plusieurs actions sont déjà mises en place sur le territoire, de façon informelle ou non coordonnée. Le Programme d action permettra de dynamiser et coordonner ces actions, et le travail de réflexion mené au cours du diagnostic permet de construire un programme d actions adapté au territoire. Ce plan d action se décline en trois axes principaux : - Axe 1 : Actions de sensibilisation - Axe 2 : Promouvoir les gestes de prévention - Axe 3 : Développer l économie circulaire Les différentes actions proposées ci-dessous ont un impact plus ou moins important en termes de production de déchets et demandent des investissements financiers, matériels et humains différents. Le rôle du Comité de Pilotage sera d arbitrer entre ces différentes actions. Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

33 Axe 1 : Actions de sensibilisation Axe I : Actions de sensibilisation Action 1 : Faire connaître la prévention déchets Lors d évènements organisés sur le territoire, la collectivité est présente sur le site et propose des jeux et autres outils sur le thème de la prévention des déchets Un stand "clé en main" doit être créé, avec des jeux, des plaquettes d'info, un composteur en démonstration, des fiches de vente de composteurs... Indicateur de suivi : Tenir 1 stand sur au moins 4 manifestations par an Calendrier prévisionnel : Tout au long du PLPDMA Action 2 : Bar à eau La collectivité, lors d évènements organisés sur le territoire tient un bar à eau et présente tous les avantages à consommer l eau du robinet, en comparant notamment la composition des eaux minérales et celle de l eau du robinet. Indicateur de suivi : Tenir 1 stand sur au moins 4 manifestations par an Calendrier prévisionnel : Tout au long du PLPDMA Action 3 : Produits ménagers "maison" La collectivité propose, aux membres d une association et lors d évènement, un atelier de fabrication de produits ménagers à moindre coût et plus respectueux de l environnement. Indicateur de suivi : Organiser 2 animations par an Calendrier prévisionnel : Tout au long du PLPDMA Action 4 : Prévention auprès des enfants La collectivité intervient dans les écoles et les centres de loisirs pour sensibiliser les enfants et ados à la prévention des déchets. Indicateur de suivi : Organiser 5 animations par an Calendrier prévisionnel : Tout au long du PLPDMA Action 5 : Prévention par les enfants La collectivité organise un grand concours de dessin sur le thème de la prévention auprès de toutes les écoles du territoire. La classe gagnante verra son dessin publié dans le journal interne à la collectivité. Indicateur de suivi : Organiser 1 concours par an Calendrier prévisionnel : Tout au long du PLPDMA Action 6 : Guides pratiques La collectivité met à disposition lors des manifestations, dans ses locaux et sur son site internet le guide du réemploi et de la réparation et la plaquette sur les déchets dangereux Indicateur de suivi : 20 guides lus/expliqués par an Calendrier prévisionnel : Tout au long du PLPDMA Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

34 Axe 2 : Promouvoir les gestes de prévention Axe II Promouvoir les gestes de prévention Actions visant la diminution des Ordures Ménagères résiduelles (OM et erreurs de tri) 2010 : 231 kg/hab => 2020 : 197 kg/hab Action 7 : Opération de compostage domestique Indicateur de suivi Calendrier prévisionnel Mettre à la disposition des habitants du territoire un composteur à prix réduit et les accompagner dans la fabrication et l utilisation de leur compost Equiper 12% des foyers, soit 585 composteurs (déjà 130 distribués de 2008 à 2015) Tout au long du PLPDMA Action 7 bis : Opération de compostage domestique Indicateur de suivi Calendrier prévisionnel Organiser des réunions publiques et diffuser des outils de communication Organiser 1 manifestation par an pour promouvoir le compostage (en partenariat avec le LPA, Perm'Api, Familles Rurales..) Tout au long du PLPDMA Action 8 : Elargir le réseau des guides composteurs Indicateur de suivi Calendrier prévisionnel Les guides composteurs sont des bénévoles formés par le Conseil Général pour sensibiliser les usagers. Avoir 2 guides composteurs hors agents CCVA sur le territoire en permanence Tout au long du PLPDMA Action 9 : Diffuser les coordonnées des guides composteurs Indicateur de suivi Calendrier prévisionnel Prévoir une diffusion Diffuser les coordonnées des guides composteurs, afin que les habitants puissent annuelle et une mise à les contacter facilement pour obtenir des conseils. jour régulière du site Tout au long du PLPDMA internet Action 10 : Mobiliser les guides composteurs Indicateur de suivi Calendrier prévisionnel Etre facilitateur pour les guides composteurs, afin qu'ils tiennent un stand lors de manifestations sur le territoire. (réservation d'emplacement, installation de composteur et des outils de communication..) cf action 1 Tenir 1 stand sur au moins 4 manifestations par an Tout au long du PLPDMA Action 11 : Mettre à disposition des composteurs dans les établissements scolaires Indicateur de suivi Calendrier prévisionnel Mettre à disposition un composteur pour le jardin, et former les professeurs des 2017 écoles au compostage Equiper chaque école Action 12 : Compostage en pied d'immeuble Indicateur de suivi Calendrier prévisionnel Promouvoir le compostage en pied d'immeuble en accompagnant les foyers volontaires (Folembray, Coucy le Château) Faire vivre un point de compostage en pied d'immeuble 2017 Action 13 : Bornes à textile Indicateur de suivi Calendrier prévisionnel Mettre à disposition des habitants des bornes de collecte de textiles et Une borne pour 500 Selon les opportunités promouvoir leur utilisation habitants Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

35 Axe 3 : Développer l'économie circulaire Axe 2 : Promouvoir les gestes de prévention Actions visant la diminution des déchets recyclables 2010 : 86 kg/hab => 2020 : 82 kg/hab Action 14 : Le sport et l'eau du robinet Indicateur de suivi Calendrier prévisionnel Encourager les associations sportives à inctier leurs adhérents à utiliser une gourde pour boire l'eau du robinet plutôt que de consommer de l'eau en bouteille, en valorisant les associations volontaires Proposer la démarche à l'ensemble des associations sportives 2017 Action 15 : Le Stop-pub Indicateur de suivi Calendrier prévisionnel Promouvoir l'utilisation du stop-pub en multipliant les points de distribution Mise à disposition régulière en mairie (0 rupture) et proposition aux mairie de distribution massive 1 fois/an Tout au long du PLPDMA Action 16 : Moins de papier dans les administrations Indicateur de suivi Calendrier prévisionnel Inciter les administrations à utiliser moins de papiers et autres consommables de bureau. Sensibilisation des agents par un guide de bonnes pratiques Diminution de 20% avant 2020 Tout au long du PLPDMA Actions visant la diminution des déchets apportés en déchèterie 2010 : 132 kg/hab => 2020 : 128 kg/hab Action 17 : Broyat de végétaux Indicateur de suivi Calendrier prévisionnel Broyer les végétaux secs et mettre le broyat à disposition gratuitement Organiser 1 distribution/an Tout au long du PLPDMA Action 18 : Lutter contre les déchets dangereux Indicateur de suivi Calendrier prévisionnel Valoriser les déchets dangerux, informer sur la dangerosité des produits, en partenariat avec les associations et/ou les écoles/alsh Distribution de la plaquette et 1 action tous les 2 ans 2017, 2019, 2021 Axe III Développer l économie circulaire Action 19 : Encourager la seconde vie des déchets Participer de façon active à la création et à la vie d'une recyclerie sur le territoire Indicateur de suivi Création Calendrier prévisionnel Début d'activité en 2017 Action 20 : Favoriser l'éco-responsabilité des évènements Mettre à disposition (conventionnement) des gobelets lavables et autre vaisselle réutilisable, des sacs jaunes sur pied avec des consignes de tri et un bac de récupération des bio-déchets Indicateur de suivi 4 manifestations par an Calendrier prévisionnel Tout au long du PLPDMA Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

36 ANNEXES Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

37 Annexe 1 : Forum Eco tidien- Edition 2015 Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

38 Annexe 2. Etude de faisabilité d une recyclerie Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

39 Annexe 3. Le Jardin partagé de Familles Rurales Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

40 Annexe 4. Les actions de Perm Api et du LPA d Aumont Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

41 Annexe 5. Les collégiens préservent la nature Annexe 6. Les artistes au service du réemploi Communauté de Communes du Val de l Ailette PLPDMA

déchets ménagers Collecte en apport aux colonnes Tél. 02 43 94 86 50 www.syndicatvaldeloir.fr

déchets ménagers Collecte en apport aux colonnes Tél. 02 43 94 86 50 www.syndicatvaldeloir.fr info service + Organisation de la collecte Demandez l autocollant «Stop pub»! Si vous ne souhaitez pas recevoir de publicités dans votre boîte à lettres, une seule solution : l autocollant «Stop pub»!

Plus en détail

SIEEOM Grisolles-Verdun

SIEEOM Grisolles-Verdun SIEEOM Grisolles-Verdun Actions visant la réduction des déchets Intervenante : Elodie Botti Présentation du SIEEOM Grisolles-Verdun Le syndicat regroupe 16 communes soit 20 968 habitants (population INSEE

Plus en détail

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION Projet de règlement no. 3 : Règlement sur la responsabilisation environnementale PRÉSENTATION Présenté par Monsieur Maxime Maheu-Moisan, membre du comité exécutif,

Plus en détail

Lettre info environnement

Lettre info environnement S O M M A I R E : 1-Edito du Président 2-Equipement des Professionnels et Particuliers en containers ordures ménagères 3-Les Permanences en Mairie et au bâtiment technique 4 Les Modalités de distribution

Plus en détail

Boulangerie AURANT REST Coiffeur

Boulangerie AURANT REST Coiffeur Boula ngeri e ANT R TAU RES Coiffe ur Remerciements Étude réalisée par In Numeri : Laurence HAEUSLER, Anne-Gaelle MORO-GOUBELY, Guillaume BERTHOIN Coordination technique : Christian MATHERY et Pierre GALIO,

Plus en détail

La mise en place de la redevance incitative

La mise en place de la redevance incitative SICTOM DE LA ZONE SOUS VOSGIENNE novembre 2010-n 4 La mise en place de la redevance incitative Dans ce numéro : La redevance incitative: qu est-ce que c est? La redevance incitative Astuces pour réduire

Plus en détail

À recycler ou pas? Guide pratique du tri

À recycler ou pas? Guide pratique du tri À recycler ou pas? Guide pratique du tri Pour trier, quels sont vos équipements? Pour les bouteilles et flacons en plastique, les emballages métalliques, les cartonnettes et les briques alimentaires Pour

Plus en détail

Fénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons?

Fénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons? LYCEE FENELON : démarche Qualycée en cours Quels sont les efforts réalisés à Fénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons? 16/03/2015 tri sélectif à Fénelon

Plus en détail

Déchets professionnels

Déchets professionnels 2015 info service+ Des questions? Des informations complémentaires? Des problèmes d équipements? Un changement de situation? Le professionnel est invité à contacter directement le Syndicat du Val de Loir

Plus en détail

BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION

BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION Constats partagés : - Les déchets de chantier et de maintenance sont plutôt bien traités et suivis. - Les déchets de bureaux sont bien suivis sur les gros

Plus en détail

Tél : 03 90 64 25 50 Site : www.cc-basse-zorn.fr

Tél : 03 90 64 25 50 Site : www.cc-basse-zorn.fr Communauté de Communes de la Basse-Zorn 34, rue de La Wantzenau - 67720 Hoerdt Tél : 03 90 64 25 50 Site : www.cc-basse-zorn.fr NOUVEAU SYSTEME DE COLLECTE DES DÉCHETS MÉNAGERS Weitbruch Gries Kurtzenhouse

Plus en détail

Tri et réduction des déchets

Tri et réduction des déchets Tri et réduction des déchets dans les locaux sociaux de son établissement # 1 - Organiser le tri dans les locaux sociaux # 2 - Valoriser les déchets en organisant la collecte des poubelles # 3 - Communiquer

Plus en détail

Les verres, bocaux et bouteilles en verre

Les verres, bocaux et bouteilles en verre Guide pratique du tri Les poubelles R pour protéger l et vos éc Trier ses déchets, ce n est pas seulement un geste citoyen bénéfique à l environnement, c est aussi un moyen de faire des économies en réduisant

Plus en détail

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER

ÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département

Plus en détail

Programme Local de Prévention des Déchets

Programme Local de Prévention des Déchets Programme Local de Prévention des Déchets, Direction collecte et traitement des déchets Esplanade Charles de Gaulle 33076 BORDEAUX Cedex 02.97.02.29.00 Sommaire Pages INTRODUCTION : CONTEXTE ET OBJECTIFS

Plus en détail

19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS

19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS 19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS Rapport de présentation / Diagnostic Dossier de PLU approuvé 255 19.1 LES ORDURES MENAGERES ET EMBALLAGES MENAGERS RECYCLABLES La prestation de collecte des

Plus en détail

PLUS BELLE MA VILLE!

PLUS BELLE MA VILLE! Conception graphique - Illustrations Communication GPSO - C.Favreau - 2013 ISS Y-LES-M O U L INE A U X PLUS BELLE MA VILLE! GUIDE DES COLLEC TES www.agglo-gpso.fr grand paris seine ouest collecte vos objets

Plus en détail

les outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir

les outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE

Plus en détail

Défi 7/7 Mission Ecogestes

Défi 7/7 Mission Ecogestes Défi 7/7 Mission Ecogestes - 202 851 habitants (au 1er janvier 2011) Les hommes commencent à se regrouper dans des villes. Les déchets sont jetés dans les rues entraînant de nombreuses épidémies meurtrières

Plus en détail

Guide 2015. Ordures ménagères

Guide 2015. Ordures ménagères Guide 2015 Ordures ménagères CDC de Podensac 12 rue du M al Leclerc-de-Hauteclocque Tel 05 56 76 38 00 environnement@cc-podensac.fr www.cc-podensac.fr EDITO Bernard Mateille Président de la CDC Maire de

Plus en détail

LE DEVENIR DES EMBALLAGES TRIÉS

LE DEVENIR DES EMBALLAGES TRIÉS UN DOUTE? UNE QUESTION? LE DEVENIR DES EMBALLAGES TRIÉS LA COLLECTE DES SACS ET DES BACS JAUNES : Les agents de collecte ramassent une fois par semaine les sacs et bacs jaunes. Seuls les emballages et

Plus en détail

LE GRAND LARGE S ENGAGE DANS LE DEVELOPPEMENT DURABLE

LE GRAND LARGE S ENGAGE DANS LE DEVELOPPEMENT DURABLE LE GRAND LARGE S ENGAGE DANS LE DEVELOPPEMENT DURABLE Contact : LE GRAND LARGE 02.99.20.60.20 contact@legrandlarge-congres.com SOMMAIRE LE DEVELOPPEMENT DURABLE AU GRAND LARGE Pages 1 à 7 ENVIRONNEMENT

Plus en détail

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services 1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de

Plus en détail

DÉCHETS MÉNAGERS. Mode d emploi. Point info 01 46 12 75 20. www.ville-montrouge.fr

DÉCHETS MÉNAGERS. Mode d emploi. Point info 01 46 12 75 20. www.ville-montrouge.fr DÉCHETS MÉNAGERS Mode d emploi Point info 01 46 12 75 20 www.ville-montrouge.fr C ollecte sélective en porte à porte, ramassage des encombrants, déchetterie, etc., la Ville de Montrouge propose une palette

Plus en détail

Mode d emploi. Moins de déchets, 10 gestes pour transformer nos habitudes

Mode d emploi. Moins de déchets, 10 gestes pour transformer nos habitudes Mode d emploi Moins de déchets, 10 gestes pour transformer nos habitudes 10 «petits» gestes pour réduire nos déchets Réduire ses déchets c est avant tout mieux consommer Le meilleur déchet est celui qui

Plus en détail

Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?

Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc? Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?» Le Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la baie

Plus en détail

eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com

eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste De plus en plus, le traitement des biodéchets

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR DES DECHETTERIES INTERCOMMUNALES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL DE DROME (CCVD) N 10/03-02-04/B

REGLEMENT INTERIEUR DES DECHETTERIES INTERCOMMUNALES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL DE DROME (CCVD) N 10/03-02-04/B REGLEMENT INTERIEUR DES DECHETTERIES INTERCOMMUNALES DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES DU VAL DE DROME (CCVD) N 10/03-02-04/B Les déchetteries intercommunales de la CCVD s inscrivent dans le rôle des collectivités

Plus en détail

COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles

COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles Rappel : Organisation de la collecte des déchets sur le secteur de SAINT-BRIEUC

Plus en détail

Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire

Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Collecte et valorisation des déchets dans le pays de Gex Permis de construire Édition 2013 Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Prévoir la voirie, les équipements et les zones

Plus en détail

INCITATIVE REDEVANCE. guide de la. à la réduction, au tri et à une meilleure gestion des déchets

INCITATIVE REDEVANCE. guide de la. à la réduction, au tri et à une meilleure gestion des déchets guide de la REDEVANCE INCITATIVE à la réduction, au tri et à une meilleure gestion des déchets COMMUNAUTÉ DE COMMUNES DU VAL DE MORTEAU MORTEAU // VILLERS-LE-LAC // LES FINS // MONTLEBON GRAND COMBE-CHÂTELEU

Plus en détail

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal FICHE SIGNALETIQUE Pays Cœur de Flandre Consultable sur www.sigale.nordpasdecalais.fr Le pays a été reconnu le 9 mars 2004 et le premier contrat a été signé le 15 décembre 2004. Il comporte 45 communes

Plus en détail

Junior. Le r ecyc lage. des D3E. Actualités. Zoom sur Le réemploi des objets. Jeux. travaux appliqués

Junior. Le r ecyc lage. des D3E. Actualités. Zoom sur Le réemploi des objets. Jeux. travaux appliqués n 8 avril 2014 ValDem Junior Le r ecyc lage des Actualités Zoom sur Le réemploi des objets Dossier : Déchets d Équipements Électriques et Électroniques Jeux BD Les aventures travaux appliqués de Bobo la

Plus en détail

Guide pratique pour la mise en place du TRI des biodéchets en restauration collective

Guide pratique pour la mise en place du TRI des biodéchets en restauration collective Guide pratique pour la mise en place du TRI des biodéchets en restauration collective Pourquoi ce guide? Ce document va vous permettre de quantifier les déchets alimentaires au sein de votre structure,

Plus en détail

BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES

BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES SOMMAIRE I- AVANT-PROPOS I.1- LES TROIS MODES DE FINANCEMENT DU SERVICE PUBLIC D ÉLIMINATION

Plus en détail

Le guide du tri. J habite Châtillon, je trie

Le guide du tri. J habite Châtillon, je trie Le guide du tri J habite Châtillon, je trie EDITO La collecte et le traitement des déchets ménagers jouent un rôle primordial dans la qualité de notre environnement. Ce guide du tri regroupe l ensemble

Plus en détail

Une facturation incitative doit «aider» à obtenir des résultats probants.

Une facturation incitative doit «aider» à obtenir des résultats probants. MISE EN PLACE DE LA REDEVANCE INCITATIVE LES QUESTIONS QUI SE POSENT NOUS SOMMES EN PHASE TEST DURANT UN AN! Il ne sert à rien de tricher, de jeter vos déchets chez le voisin, dans la nature, dans les

Plus en détail

Le compost. Un petit écosystème au jardin

Le compost. Un petit écosystème au jardin Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème

Plus en détail

Plan de réduction et de valorisation des déchets Pilier de l économie circulaire

Plan de réduction et de valorisation des déchets Pilier de l économie circulaire Plan de réduction et de valorisation des déchets Pilier de l économie circulaire 2014-2020 Projet présenté par Madame Ségolène Royal lors de la réunion du conseil national des déchets le 7 novembre 2014

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE PROJET DE LUTTE CONTRE LE GASPILLAGE ALIMENTAIRE AU SEIN DE LA RESTAURATION COLLECTIVE

DOSSIER DE PRESSE PROJET DE LUTTE CONTRE LE GASPILLAGE ALIMENTAIRE AU SEIN DE LA RESTAURATION COLLECTIVE DOSSIER DE PRESSE PROJET DE LUTTE CONTRE LE GASPILLAGE ALIMENTAIRE AU SEIN DE LA RESTAURATION COLLECTIVE Visite de presse mardi 14 avril 2015, restaurant scolaire de Saint-Pierre Dossier de presse - Projet

Plus en détail

eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7

eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7 eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7 I- ETUDE D UNE PHOTOGRAPHIE DE YANN ARTHUS-BERTRAND : Stockage d ordures dans la périphérie de Saint-Domingue en République dominicaine au cœur des Caraïbes Légende

Plus en détail

3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2.

3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2. Appel à proposition Projet Alimen terre Un système d'alimentation local sur le Pays de Vannes 3 ème année Avec près de 60 % de surfaces agricoles, l agriculture demeure prépondérante sur notre territoire.

Plus en détail

ANNEXES. En vigueur en juillet 2009

ANNEXES. En vigueur en juillet 2009 ANNEXES En vigueur en juillet 2009 Annexe 1 : Règles de dotation Habitat individuel Règles de dotation pour les déchets recyclables En habitat individuel, la capacité et le type de conteneurs attribués

Plus en détail

La collecte des papiers de bureau

La collecte des papiers de bureau Développement durable La collecte des papiers de bureau 1 LE SIVOM DU BAS-BUGEY Compétences La collecte des ordures ménagères La collecte sélective 3 déchetteries : Belley, Culoz et Virieu le Grand Quai

Plus en détail

«Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod. ECO GESTES AU QUOTIDIEN - Mercredi du Développement Durable

«Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod. ECO GESTES AU QUOTIDIEN - Mercredi du Développement Durable «Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod «La terre n appartient pas à l homme, c est l homme qui appartient à la terre» Sitting Bull L habitat est le premier

Plus en détail

implifiezletri vous Ville de Bondy GUIDE DU TRI Quelle poubelle choisir? Bouteilles et flacons en plastique Boîtes métalliques, briques, cartons

implifiezletri vous Ville de Bondy GUIDE DU TRI Quelle poubelle choisir? Bouteilles et flacons en plastique Boîtes métalliques, briques, cartons S ( implifiezletri vous GUIDE DU TRI Ville de Bondy Quelle poubelle choisir? Les autres déchets Vos équipements Bouteilles et flacons en plastique Boîtes métalliques, briques, cartons Journaux, magazines

Plus en détail

G U I D E D ' I N F O R M AT I O N R E D E VA N C E I N C I TAT I V E. Madame, Monsieur,

G U I D E D ' I N F O R M AT I O N R E D E VA N C E I N C I TAT I V E. Madame, Monsieur, 2 N LA REDEVANCE INCITATIVE LE GUIDE PRATIQUE Madame, Monsieur, Le respect de notre environnement étant un objectif commun, le G U I D E D ' I N F O R M AT I O N R E D E VA N C E I N C I TAT I V E tri

Plus en détail

Recycler mes lampes? Une idée lumineuse. En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent!

Recycler mes lampes? Une idée lumineuse. En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent! Recycler mes lampes? Une idée lumineuse En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent! Prévu par deux règlements européens relatifs à l éco-conception des lampes, le retrait progressif

Plus en détail

INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES RÉDUIRE ET VALORISER LES DÉCHETS,

INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES RÉDUIRE ET VALORISER LES DÉCHETS, INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES RÉDUIRE ET VALORISER LES DÉCHETS, les choix gagnants INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES PRÉVENIR ET VALORISER LES DÉCHETS UNE STRATÉGIE TRIPLEMENT RENTABLE

Plus en détail

Le Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux. Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux?

Le Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux. Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux? Le Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux? Qu est-ce qu un Tout le monde produit des déchets dangereux via ses activités quotidiennes

Plus en détail

Restauration collective

Restauration collective Dossier de presse Février 2014 Restauration collective La portion de fromage emballée individuellement un atout dans la lutte contre le gaspillage alimentaire Contacts presse : agence becom! T. 01 42 09

Plus en détail

Déchèteries du SYELOM. Mode d emploi pour les professionnels

Déchèteries du SYELOM. Mode d emploi pour les professionnels Déchèteries du SYELOM Mode d emploi pour les professionnels Sommaire Page Edito du Président 3 Qu est ce que le SYELOM? 4 Quels sont les professionnels 6 acceptés? Vous êtes professionnels? 7 Vous devez

Plus en détail

INFOS PRATIQUES. www.metropole-rouen-normandie.fr. duclair PROGRAMME DE REDUCTION DES DECHETS

INFOS PRATIQUES. www.metropole-rouen-normandie.fr. duclair PROGRAMME DE REDUCTION DES DECHETS INFOS PRATIQUES déchets PROGRAMME DE REDUCTION DES DECHETS 205 duclair www.metropole-rouen-normandie.fr édito Chère Madame, cher Monsieur, En matière de gestion des déchets, la Métropole Rouen Normandie

Plus en détail

COMMISSION DE SUIVI DE SITE

COMMISSION DE SUIVI DE SITE COMMISSION DE SUIVI DE SITE Centre de traitement multi filière SYCTOM IVRY Paris XIII Centre de tri et déchèterie exploités par SITA IDF SOMMAIRE Bassins versants Présentation du Centre de tri Bilan d

Plus en détail

VILLEPINTE. guide du TrI. document À Conserver. > Allo SEAPFA. Appel gratuit depuis un poste fixe ou 01 41 51 10 09

VILLEPINTE. guide du TrI. document À Conserver. > Allo SEAPFA. Appel gratuit depuis un poste fixe ou 01 41 51 10 09 guide du TrI Les meilleurs déchets sont ceux qu'on ne produit pas document À Conserver 2011 Allo SEAPFA Appel gratuit depuis un poste fixe ou 01 41 51 10 09 sommaire 4 les ordures ménagères 5 les emballages

Plus en détail

Que faire de nos déchets?

Que faire de nos déchets? Collège Que faire de nos déchets? Problématique L utilisation dans la vie quotidienne d une très grande variété d objets fabriqués dans des matériaux divers entraîne une production importante de déchets

Plus en détail

MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :

MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application : 1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...

Plus en détail

Cahier des charges pour la création du site internet Pays Sologne Val Sud

Cahier des charges pour la création du site internet Pays Sologne Val Sud Cahier des charges pour la création du site internet Pays Sologne Val Sud Septembre 2011 Domaine du Ciran - 45240 Ménestreau-en-Villette Tél: 02.38.49.19.49 - Fax : 02.38.49.19.59 - sologne.val.sud@wanadoo.fr

Plus en détail

Réserve Internationale de Ciel Etoilé du Pic du Midi. Informations et chiffres essentiels

Réserve Internationale de Ciel Etoilé du Pic du Midi. Informations et chiffres essentiels Réserve Internationale de Ciel Etoilé du Pic du Midi Informations et chiffres essentiels 2014 La Réserve Internationale de Ciel Etoilé du Pic du Midi Informations et chiffres essentiels Initié en 2009

Plus en détail

La production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues

La production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues La production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues Sommaire 1. Etat des lieux 2. Un contexte favorable à une optimisation énergétique 3. Maximiser la production de biogaz 4. Quelques

Plus en détail

CONSTRUIRE UNE QUESTION ET ELABORER UN QUESTIONNAIRE?

CONSTRUIRE UNE QUESTION ET ELABORER UN QUESTIONNAIRE? Déchets : outils et exemples pour agir Fiche méthode n 3 www.optigede.ademe.fr CONSTRUIRE UNE ET ELABORER UN NAIRE? Origine et objectif de la fiche : Les retours d expérience des collectivités locales

Plus en détail

pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux

pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget

Plus en détail

ADIL 05 Agence Départementale d Information sur le logement -

ADIL 05 Agence Départementale d Information sur le logement - ADIL 05 Agence Départementale d Information sur le logement - Observatoire des Loyers du Parc Privé des Communes de Briançon, Embrun et Gap Cette étude, à destination des professionnels de l immobilier,

Plus en détail

LES FEUX D HABITATION À PARIS

LES FEUX D HABITATION À PARIS BRIGADE DE SAPEURS-POMPIERS DE PARIS LES FEUX D HABITATION À PARIS I GÉNÉRALITÉS En France, les feux tuent environ 800 personnes chaque année, soit 1 décédé pour 77 500 habitants. Sur le secteur de la

Plus en détail

Analyse de la gestion des ordures ménagères par les collectivités. UFC-Que Choisir

Analyse de la gestion des ordures ménagères par les collectivités. UFC-Que Choisir Analyse de la gestion des ordures ménagères par les collectivités UFC-Que Choisir 1 Résumé La question de la maîtrise de la production des déchets ménagers et de la gestion de leur élimination est au cœur

Plus en détail

Présentation ERP. Présentation d ERP Organisation d ERP Présentation d ERP. Présentation d ERP ERP SAS FRANCE

Présentation ERP. Présentation d ERP Organisation d ERP Présentation d ERP. Présentation d ERP ERP SAS FRANCE Présentation ERP Présentation d ERP Société créée en France en 2002 4 membres fondateurs : Braun-Gillette, Electrolux, Hewlett Packard et Sony EUROPEAN RECYING PLATFORM E R P Société par actions simplifiée

Plus en détail

USTOM Document de présentation

USTOM Document de présentation USTOM Document de présentation TABLE DES MATIÈRES LE SYNDICAT USTOM 2 LA FORME JURIDIQUE 2 LES DIRIGEANTS 2 LES SALARIES 3 LA COMPOSTION DE L USTOM ET SON TERRITOIRE 4 LES DEPARTEMENTS ET LES COMMUNES

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Participez au mouvement! Service de Presse EcoTLC :

DOSSIER DE PRESSE. Participez au mouvement! Service de Presse EcoTLC : DOSSIER DE PRESSE Eco TLC met en ligne la première carte de France des points d apport de Textiles, Linge de maison et Chaussures (TLC) usagés sur le site : www.ecotlc.fr Participez au mouvement! Service

Plus en détail

Bordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président,

Bordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président, Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992 Bordeaux, le 22 mars 2010 Monsieur le Président, Par lettre du 9 septembre 2008, vous avez été informé que la Chambre régionale des comptes

Plus en détail

Service d enlèvement et de valorisation des déchets ménagers Rapport annuel sur le prix et la qualité du service 2011

Service d enlèvement et de valorisation des déchets ménagers Rapport annuel sur le prix et la qualité du service 2011 Service d enlèvement et de valorisation des déchets ménagers Rapport annuel sur le prix et la qualité du service 2011 En application du décret n 2000-404 du 11 mai 2000 Communauté de Communes de la Presqu'île

Plus en détail

GUIDE POUR L ORGANISATION ET LA RÉALISATION D UNE CORVÉE DE NETTOYAGE COMMUNAUTAIRE

GUIDE POUR L ORGANISATION ET LA RÉALISATION D UNE CORVÉE DE NETTOYAGE COMMUNAUTAIRE GUIDE POUR L ORGANISATION ET LA RÉALISATION D UNE CORVÉE DE NETTOYAGE COMMUNAUTAIRE L ARRIVÉE DU PRINTEMPS ET DE L AUTOMNE EST SOUVENT SYNONYME DE «GRAND MÉNAGE» OU DE «NETTOYAGE DES BERGES». LA FONTE

Plus en détail

Budget participatif des lycées. Règlement d intervention

Budget participatif des lycées. Règlement d intervention 3 CR 72-12 Budget participatif des lycées Règlement d intervention Préambule : La mise en œuvre du budget participatif des lycées manifeste la volonté de la région de poursuivre la démarche de dialogue

Plus en détail

POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY

POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY «Penser et agir famille» LES OBJECTIFS 1. Accueillir les familles avec respect et ouverture d esprit dans toutes leurs formes et leurs différences. 2. Stimuler

Plus en détail

REGLEMENT DEPARTEMENTAL DES SERVICES DE RESTAURATION ET D HEBERGEMENT Collège Joseph PEYRE à Garlin

REGLEMENT DEPARTEMENTAL DES SERVICES DE RESTAURATION ET D HEBERGEMENT Collège Joseph PEYRE à Garlin REGLEMENT DEPARTEMENTAL DES SERVICES DE RESTAURATION ET D HEBERGEMENT Collège Joseph PEYRE à Garlin Vu les articles L.213-2 et L.421-23 II du code de l Education qui confient aux départements la compétence

Plus en détail

Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone

Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone. Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Programme Action Carbone Présentation des projets de compensation carbone Fondation GoodPlanet Mettre l écologie au cœur des consciences Fondée en juillet 2005 par Yann Arthus-Bertrand

Plus en détail

DE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014

DE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014 CAHIER DES CHARGES ACCOMPAGNEMENT A LA DEFINITION DE LA STRATEGIE LEADER DU PNR DE LA BRENNE Appel d offres Novembre 2014 Parc naturel régional de la Brenne Maison du Parc Le Bouchet - 36300 ROSNAY 02

Plus en détail

Règlement de collecte des déchets ménagers et assimilés

Règlement de collecte des déchets ménagers et assimilés Page 1 sur 9 Règlement de collecte des déchets ménagers et assimilés ARTICLE 1 : OBJET ET CHAMP D APPLICATION 1.1 : Objet Le présent règlement fixe, à l intérieur du périmètre de ramassage des déchets

Plus en détail

MISSION D ACCOMPAGNEMENT DE L AGENCE DE DEVELOPPEMENT TOURISTIQUE DU LOIR-ET-CHER POUR LE LANCEMENT DU PROJET DE DEPLOIEMENT D UNE PLACE DE MARCHE

MISSION D ACCOMPAGNEMENT DE L AGENCE DE DEVELOPPEMENT TOURISTIQUE DU LOIR-ET-CHER POUR LE LANCEMENT DU PROJET DE DEPLOIEMENT D UNE PLACE DE MARCHE MISSION D ACCOMPAGNEMENT DE L AGENCE DE DEVELOPPEMENT TOURISTIQUE DU LOIR-ET-CHER POUR LE LANCEMENT DU PROJET DE DEPLOIEMENT D UNE PLACE DE MARCHE ETAPE 2.3 : PLAN D ACTIONS ET PLANNING Novembre 2014 Jean-Philippe

Plus en détail

BUREAU SYNDICAL SMIRTOM DU SAINT AMANDOIS

BUREAU SYNDICAL SMIRTOM DU SAINT AMANDOIS Délibération n 3 MISSIONS SPECIALES DU PRESIDENT ET DES VICE PRESIDENTS Vu le code général des collectivités territoriales et en particulier ses articles L2123-17 à L2123-24-1, Monsieur, Président, Messieurs

Plus en détail

Lundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps

Lundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi LeS nouveaux rythmes à l école primaire Exemples d emplois du temps Mars 2014 n exemple d organisation des temps scolaire et périscolaire Commune de 21 000 habitants

Plus en détail

Comment répondre aux obligations liées à l éco-contribution?

Comment répondre aux obligations liées à l éco-contribution? Responsabilité élargie du producteur de meubles fabricants de meubles Comment répondre aux obligations liées à l éco-contribution? 2015 Depuis le décret du 6 janvier 2012, les metteurs sur le marché d

Plus en détail

Emis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014

Emis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014 Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.

Plus en détail

Offre de formation. itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux. https://inscription.cnfpt.

Offre de formation. itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux. https://inscription.cnfpt. 2015 Offre de formation itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux Inscription en ligne aux stages https://inscription.cnfpt.fr/ Délégation régionale Basse-Normandie

Plus en détail

CONVENTION POUR LA COLLECTE DES DECHETS D ACTIVITES DE SOINS A RISQUES INFECTIEUX (DASRI)

CONVENTION POUR LA COLLECTE DES DECHETS D ACTIVITES DE SOINS A RISQUES INFECTIEUX (DASRI) 3, rue Malakoff Immeuble le forum 38031 Grenoble cedex 01 : 04 76 59 59 59 Fax : 04 76 59 57 26 CONVENTION POUR LA COLLECTE DES DECHETS D ACTIVITES DE SOINS A RISQUES INFECTIEUX (DASRI) Convention pour

Plus en détail

SIEEOM GRISOLLES & VERDUN Président : M. Denis ROGER. Règlement d attribution et d utilisation des contenants pour la collecte en porte-à-porte

SIEEOM GRISOLLES & VERDUN Président : M. Denis ROGER. Règlement d attribution et d utilisation des contenants pour la collecte en porte-à-porte SIEEOM GRISOLLES & VERDUN Président : M. Denis ROGER siège social : Mairie de Verdun-sur-Garonne services : Quai de Transfert Place de la Mairie 350, chemin de la Fraysse 82 600 Verdun-sur-Garonne 82 170

Plus en détail

2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2

2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2 Renens Epalinges Gland Froideville Crissier 11 janvier 17 janvier 18 janvier 19 janvier 19 janvier 2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2 tourisme des déchets Lausanne Région (29 communes, ~275 000 habitants) GEDREL

Plus en détail

Bibliothèque Royale Albert 1er

Bibliothèque Royale Albert 1er Bibliothèque Royale Albert 1er Description du projet Ce projet a pour but de valoriser des espaces plats et inutilisés (toit, terrasse ou autre) par la création de potagers écologique (sans pesticide,

Plus en détail

Consultation publique sur le projet de politique québécoise de gestion des matières résiduelles

Consultation publique sur le projet de politique québécoise de gestion des matières résiduelles Consultation publique sur le projet de politique québécoise de gestion des matières résiduelles Mémoire du Regroupement national des conseils régionaux de l environnement du Québec 23 février 2010 Présentation

Plus en détail

SOMMAIRE. Préambule p 3

SOMMAIRE. Préambule p 3 1 SOMMAIRE Préambule p 3 A/ Les collectes en Porte à Porte. A/ Chapitre 1. La collecte des déchets recyclables secs. p 6 (articles 1 à 6) II Les engagements de La Communauté d Agglomération de Montpellier.

Plus en détail

FORMULAIRE DE DEMANDE D AUTORISATION CLASSE 2

FORMULAIRE DE DEMANDE D AUTORISATION CLASSE 2 INFORMATIONS GENERALES Page 1 / 14 1. INFORMATIONS GENERALES N du dossier : Art. 7.7.b «La nature et l emplacement de l établissement, l objet de l exploitation, les installations et procédés à mettre

Plus en détail

COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL

COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL Séance du mercredi 10 Décembre 2014 Après avoir approuvé le compte rendu de la réunion du 12 novembre 2014, le conseil municipal a examiné les dossiers et pris

Plus en détail

Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES

Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440 Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Maître d ouvrage

Plus en détail

Synthèse du bilan carbone

Synthèse du bilan carbone Synthèse du bilan carbone patrimoine et services ville de CANNES Ce projet est co-financé par l Union europénne. Projet sélectionné dans le cadre du programme opérationnel FEDER PACA 27-213. Année de référence

Plus en détail

Participaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Hélène GASSIN, Jean-Pierre SOTURA et Michel THIOLLIERE, commissaires.

Participaient à la séance : Olivier CHALLAN BELVAL, Hélène GASSIN, Jean-Pierre SOTURA et Michel THIOLLIERE, commissaires. Délibération Délibération de la Commission de régulation de l énergie du 13 juin 2013 portant proposition d approbation du lancement du déploiement généralisé du système de comptage évolué de GrDF Participaient

Plus en détail

Calendrier2014 de collectes

Calendrier2014 de collectes Calendrier01 de collectes Férié : 1 pas de collecte 1 Report collecte Ordures Ménagères du 1 er Janvier 1 1 0 Pôle déchets du Pays de Sarrebourg Terrasse Normandie - ZAC des Terrasses de la Sarre - 0 SARREBOURG

Plus en détail

FICHE ACTION n 31. Fleur des Mauges. ACTIONS GLOBALES Pacte «nature et stratégie», Transparence et stratégie de la gouvernance, communication

FICHE ACTION n 31. Fleur des Mauges. ACTIONS GLOBALES Pacte «nature et stratégie», Transparence et stratégie de la gouvernance, communication FICHE ACTION n 31 Fleur des Mauges ACTIONS GLOBALES Pacte «nature et stratégie», Transparence et stratégie de la gouvernance, communication ACTIONS SOCIALES ET SOCIETALES Sensibilisation et formation du

Plus en détail

RÈGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE

RÈGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE S O M M A I R E Préambule Règlement Objectifs Ecole / cantine Quelques chiffres Le prestataire 1 2 Préambule RÈGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE A N N É E 2 0 1 2 / 2 0 1 3 La municipalité de CHAMPAGNIER

Plus en détail

PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE

PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE PLAN DE COMMUNICATION REGIONAL POUR LA PROMOTION DES FONDS EUROPEENS FEDER, FSE et FEADER EN ILE-DE-FRANCE Version du 23 avril 2008 1 Sommaire 1. RAPPEL DU CONTEXTE_ 3 2. PILOTAGE ET PERIMETRE DU PLAN

Plus en détail

ENQUETE BESOIN EN MAIN-D ŒUVRE 2012 Bassin de Saint Etienne

ENQUETE BESOIN EN MAIN-D ŒUVRE 2012 Bassin de Saint Etienne ENQUETE BESOIN EN MAIN-D ŒUVRE 2012 Bassin de Saint Etienne 6 804 projets de recrutement en 2012 1 Sommaire 1 L ESSENTIEL 2 LES METIERS PORTEURS 3 LES METIERS NON SAISONNIERS 4 LES METIERS DIFFICILES 5

Plus en détail

Bilan Eco-Festival. Rencontres Brel 2008 22 au 27 juillet. Eco-Festival Rencontres Brel 2008 v3 Page 1/11

Bilan Eco-Festival. Rencontres Brel 2008 22 au 27 juillet. Eco-Festival Rencontres Brel 2008 v3 Page 1/11 Bilan Eco-Festival Rencontres Brel 2008 22 au 27 juillet Eco-Festival Rencontres Brel 2008 v3 Page 1/11 Quelques mots des rencontres Brel Les Rencontres Brel sont organisés par l association Ephémère.

Plus en détail