Les Comptes Nationaux Trimestriels

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1 REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Patrie INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Fatherland NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS Les Comptes Nationaux Trimestriels (1 er trimestre 2016).Une offre locale boostée par le secteur secondaire..2 Un secteur primaire en progression ralentie.2 Un secteur secondaire encore moteur de croissance...3 Un secteur tertiaire en redressement..4 Une économie boostée par la consommation finale des ménages et la demande extérieure 5 Une consommation finale en amélioration 5 Une amélioration remarquable du niveau d investissement public.6 Un ralentissement du rythme des échanges avec l extérieur 7 Une baisse considérable des importations 7 Une hausse remarquable des exportations 8 N 016 Juillet 2016

2 Avec une croissance du PIB de 3,7% au premier trimestre de 2016, l activité économique affiche une amélioration par rapport au trimestre correspondant en Du côté de l offre, cette performance est le résultat d un dynamisme des activités de 9,3% dans le secteur secondaire, combiné au redressement de 2,9% du secteur tertiaire, compensant ainsi le ralentissement observé dans le primaire qui a affiché une progression moins forte de 2,6% contre 5,7% au premier trimestre de Du côté de la demande, la dynamique de croissance économique observée au premier trimestre de 2016 est soutenue par une croissance de 6,9% des exportations et dans une moindre mesure par la consommation finale des ménages qui affiche une hausse de 1,7 %, quelque peu freinée par une chute de 9,6% des investissements, notamment la composante privée qui dégringole de 13,9%. Croissance du PIB trimestriel (t/t-4 en %).Une offre locale boostée par le secteur secondaire. Un secteur primaire en faible progression Au premier trimestre de 2016, l activité économique dans le secteur primaire est en progression de +2,6% par rapport à la même période de l année précédente, malgré une légère perte de vitesse dans son rythme de croissance. Cette évolution s explique essentiellement par une amélioration des activités dans le soussecteur de l agriculture vivrière (+3,4 %), composante importante du secteur primaire, et dont le volume des activités agricoles dans la majorité des bassins de production a connu une augmentation considérable ce trimestre par rapport à celui de Les Comptes Nationaux Trimestriels (1 er trimestre 2016) Les activités d élevage, chasse et pêche (+7,7%) contribuent aussi significativement à l amélioration du secteur primaire, avec un rythme d évolution positive et soutenue depuis plusieurs trimestres. Par contre, la chute des activités de l agriculture industrielle et d exportation (- 9,8%) et la contraction de celles de la 2

3 sylviculture (- %) ont évidemment freiné la dynamique de croissance observée dans le primaire ce trimestre. Croissance du secteur primaire (t/t-4 en %) Un secteur secondaire moteur de croissance Au premier trimestre de 2016, le secteur secondaire maintient le relai moteur de l activité économique, avec une croissance de +9,3 %, par rapport au trimestre correspondant en Ce dynamisme est imputable à un rythme de croissance soutenue dans le sous-secteur des industries extractives (22,7%) notamment l extraction d hydrocarbure (22,9%) avec la poursuite de l exploitation effective des nouveaux puits. La performance réalisée par le secondaire ce trimestre, peut aussi se justifier par des efforts entrepris dans les Bâtiments et Travaux Publics (+1 %), notamment l entrée en puissance de la cimenterie DANGOTE depuis l année dernière avec une production nettement à la hausse ce trimestre. Les activités de production et de distribution d eau et d électricité (+ %) ainsi que celles des autres industries manufacturières (+8,1 %) ont également contribué positivement à la bonne tenue du secteur secondaire. Quant aux industries agroalimentaires, bien que le rythme de croissance soit resté positif (+0,4 %), ce sous-secteur, n a pas toujours réussi à prendre de l envol, sous performance liée à la baisse considérable de la production des boissons ce trimestre. Les Comptes Nationaux Trimestriels (1 er trimestre 2016) 3

4 Croissance du secteur secondaire (t/t-4 en %) Un secteur tertiaire en redressement. Le premier trimestre de 2016 est marqué par un redressement de la plupart des activités dans le secteur tertiaire qui enregistre une croissance de +2,9 % par rapport à la période correspondante en Cette performance est le résultat d un dynamisme retrouvé des activités de l administration publique, de la santé et de l éducation (+6,4 % après -12,3 %) combiné à celui des activités des services financiers (+13,7 %). Les activités du commerce et réparation (+1,7 %) et celles du transport (+1,2 %) ont également contribué au redressement du secteur tertiaire ce trimestre, même si les niveaux de croissance sont faibles par rapport à ceux enregistrés les trimestres précédents. Par contre les activités dans les sous-secteurs des télécommunications (-1,5 %) et des hôtels et restauration (-2,3 %) ont reculé ce trimestre comme au cours de la plupart des premiers trimestres de l année, souvent considéré comme des périodes mortes après la période des fêtes du quatrième trimestre. Quant aux autres services marchands (+5,4 %), ceux-ci ont conservé leur performance encourageante acquise depuis le début de l année dernière Les Comptes Nationaux Trimestriels (1 er trimestre 2016) 4

5 Croissance du secteur tertiaire (t/t-4 en %) Une demande boostée par la consommation finale des ménages et la forte hausse des exportations Une consommation finale en amélioration La consommation finale s améliore de +3,4 % par rapport au premier trimestre de Cette amélioration de la consommation finale est le fait d une augmentation considérable de celle des administrations publiques (+9,1 %), après une forte baisse le trimestre précédent (- 15,6 %), conjuguée à une légère hausse de la consommation finale privée (+0,6 %). La consommation finale des ménages est ellemême portée par une importante demande de certains produits des secteurs primaire et secondaire tels que les produits du textile et de l habillement (+15,7 %), l eau et l électricité (+6,6 %), l élevage, la chasse et la pêche (+4,7 %), ou encore l agriculture vivrière (+3,1 %), mais aussi par la demande des services aux ménages (+8,6 %). La demande des produits de fabrication de boissons a connu un recul significatif (-11,3 %), pareil pour la demande des services de télécommunications (-4,2 %), en perte de vitesse depuis quelques trimestres déjà. Les Comptes Nationaux Trimestriels (1 er trimestre 2016) 5

6 Croissance de la Consommation finale (CVS, t/t-4 en %) Une amélioration remarquable du niveau d investissement public Au premier trimestre de 2016, malgré une baisse de l investissement total (-9,6 %), l investissement public a pris un envol encourageant (+30,4 %). machines et appareils électriques (+5,7 %) et de la fabrication des meubles (+2,3 %). Il est à noter que la contraction de l investissement total est due essentiellement à la chute des investissements privés (-13,9 %), et ce malgré l envol pris par les investissements publics (+30,4 %). Ceci peut être mis en liaison avec la mise en œuvre effective du plan d urgence instruit par le Président de la république. En outre, ce dynamisme des investissements publics s est répercuté dans la demande d investissement notamment dans le secteur des BTP (+7,6 %), de la fabrication des Toutefois, on remarque que la demande d investissement en matériels de transport est largement en baisse (-39,1 %), tout comme celle des équipements audio visuels (-9,6 %). Les Comptes Nationaux Trimestriels (1 er trimestre 2016) 6

7 Investissement (CVS, t/t-4 en %) Un ralentissement du rythme des échanges avec l extérieur Une baisse considérable des importations Comparativement à la même période en 2015, le premier trimestre de 2016 affiche plutôt un rétrécissement du volume des importations globales (-9,7 %). Ce résultat est la conséquence d une importante chute des importations de biens (-14,2 %), malgré l augmentation du volume des importations de services (+8,3 %). La chute des importations de biens ce trimestre est le fait d un effondrement des importations des produits de l industrie chimique (-33,9 %), de pétrole (-23,1 %), de l industrie du textile (-15,5 %), des travaux de grains (-7,6 %), de l industrie de fabrication des meubles (-5,9 %) et des autres produits manufacturiers (-1 %). De manière générale, en dehors des produits des travaux de grains, les importations des autres biens ont évolué à la baisse au premier trimestre 2016, comparativement à la même période en Les Comptes Nationaux Trimestriels (1 er trimestre 2016) 7

8 Importations (CVS, t/t-4 en %) Une hausse remarquable des exportations Le premier trimestre de 2016 se caractérise par une meilleure évolution des exportations globales (+6,9 %), comparativement au premier trimestre de Cette évolution est la résultante aussi bien d une augmentation des exportations de biens (+5,4 %) que de celle des services (+11,1 %). En dehors des services (+11,1%), Le dynamisme des exportations globales est aussi dû à celui des exportations du pétrole brut (+17,6%) et des produits de la transformation agricole (+3,0%). Toutefois, la bonne tenue des exportations de biens est contrastée par une mauvaise posture des branches telles que les exportations de bois grumes fortement en chute (-16,0%), et de l agriculture d exportation (-3,0%). Exportations (CVS, t/t-4 en %) 8

9 Le solde de la balance commerciale toujours déficitaire, malgré la hausse le bon comportement des exportations Comparativement à la même période en 2015, le déficit du solde de la balance commerciale s est réduit de -43,1% au premier trimestre de Entre le premier trimestre 2015 et celui de 2016, l évolution contraire des exportations (en hausse de +6,9%) et des importations (en baisse de -9,7%) contribue à une réduction du déficit de la balance commerciale (-43,1 %). Toutefois, l ampleur des évolutions n a pas été de nature à inverser la tendance du solde en question, qui demeure toujours déficitaire. Déficit balance commerciale (en pourcentage du PIB) 9

10 Annexes Résumé méthodologique Nomenclature des activités et indicateurs L élaboration des comptes nationaux trimestriels (CNT) nécessite la mise en place des nomenclatures des activités et des produits qui tiennent compte de la disponibilité des indicateurs conjoncturels. Ces nomenclatures doivent être cohérentes avec celles retenues pour élaborer les comptes nationaux annuels. Le principe d agrégation suivant a été retenu : disposer d une nomenclature suffisamment détaillée pour que les erreurs sur une branche d activité n occasionnent pas de grandes variations du PIB trimestriel. En outre, l on a tenu compte du secteur informel qui pose des problèmes en raison de son importance dans certaines branches et de l absence d indicateurs trimestriels. On utilisera alors des indicateurs indirects ou des lissages par la tendance. Ainsi, l on est passé de 44 branches pour les comptes annuels à 29 branches pour les CNT. Approche de calcul Le produit intérieur brut (PIB) trimestriel est calculé selon deux (2) approches. D abord, selon l approche production en partant d un regroupement des valeurs ajoutées de branches. Il est évalué aux courants et aux prix constants de 2000, année de base-prix des comptes nationaux annuels. Ensuite, le produit intérieur brut (PIB) trimestriel est calculé par la somme des emplois (consommation, formation brute de capital fixe, variation de stocks, exportations et importations) aux prix courants et aux prix constants de Le PIB est évalué en brut et corrigé des variations saisonnières (cvs) par la dessaisonalisation des indicateurs conjoncturels. Méthodologie de calcul Le produit intérieur brut (PIB) trimestriel est calculé selon l approche économétrique d étalonnage et de calage, en particulier la méthode robuste en une étape développée par Chow et Lin (1971). Pour plus de détails, se référer au «Document de méthodologie d élaboration des comptes trimestriels du Cameroun, 2015». Les outils informatiques utilisés sont le logiciel ECOTRIM pour les étalonnages et calages et JDEMETRA+ pour la dessaisonalisation. Ces logiciels sont développés par Eurostat. Révision Les révisions ont pour but de fournir aux utilisateurs des données aussi précises et actuelles que possible. Les révisions peuvent concerner le trimestre (évolution des indicateurs conjoncturels), l année (alignement sur les nouvelles données annuelles) ou une période plus longue (changement du SCN, nouvelle année de base, etc.) Diffusion Cette note d analyse sur le PIB trimestriel couvre le premier trimestre de l année La note d analyse sur le PIB trimestriel est publiée au plus tard quatre-vingt-dix (90) jours après la fin du trimestre. Les évolutions du PIB trimestriel sont mesurées en variations trimestrielles et glissements annuels sur des données corrigées des variations saisonnières (CVS). 10

11 Note sur les changements de la série des données des comptes trimestriels. Chaque version des comptes trimestriels peut comporter des changements de données sur l ensemble de la période. Ces changements seront de moins en moins importants au fur et à mesure qu on remontera dans le temps. Elles sont dues à des améliorations faites sur des indicateurs observés, à des révisions des données de base publiées par les sources, et quelquefois à des révisions de méthodologie. Ventilation du PIB réel trimestriel CVS par secteurs d activités Variations PIB réel trimestriel CVS par secteurs d activités (T/T-1) (%) (base 100 = 2000) (en milliards FCFA) Libellé T4_2014 T4_2014 Secteur primaire 593,1 605,3 609,4 615,8 620,0 62 2,1 0,4 2,1 Agriculture des produits vivriers 398,9 402,5 406,1 408,9 412,8 416,3 0,9 0,9 Agriculture industrielle et d'exportation 43,8 49,7 48,9 50,6 48,7 44,8-10,4 1 13,5-1,7 3,6-3,7 Elevage, chasse et pêche 97,5 99,4 101,3 103,2 105,1 107,0 1,7 Sylviculture et exploitation forestière 52,9 53,7 53,1 53,1 53,4 52,6 3,7 2,5 1,5-1,1-0,1 Secteur secondaire , ,1 770,2-1,2 2,5 3,6 4,7 3,8 Industries Extractives 116,8 125,4 148,1 147,7 150,6 153,9 7,3 18,1-0,3 dont extraction d'hydrocarbure 111,3 119,6 142,1 141,3 144,0 147,0 1,3 1,2 7,5 18,8-0,5 Industries Agro-alimentaires 166,2 167,2 166,6 166,8 168,1 167,8 0,4 0,6-0,4 0,2 Autres Industries Manufacturières 289,7 299,3 303,0 299,8 308,0 323,6 6,3 3,3 1,2-1,1 2,7 5,1 Electricité et Eau 22,1 22,5 22,9 23,1 23,1 23,5 2,9 1,6 2,2 0,1 BTP 96,6 90,2 97,1 93,6 109,3 10 4,7-6,6 7,7-3,6 16,8-7,2 1368,2 1347,7 1377,6 1379,4 1376,8 1386,2 1,3 5,1-1,5 2,2 Secteur tertiaire Commerce et réparation 491,7 485,9 499,0 498,2 507,3 494,1-1,2 2,7 1,8-2,6 Transports 124,6 125,5 128,2 128,0 128,3 127,1 3,4 2,1-0,1 0,2 - Télécommunication 169,7 168,3 168,5 174,3 175,0 165,8-0,1 3,4 0,4-5,3 Hotel et restauration 7 73, ,1 1,2 4,2-3,1 0,6 0,2 0,1 Services financiers 43,6 45,1 46,3 49,2 50,1 51,3 2,6 3,6 2,6 6,3 1,7 2,5 Administrations publiques 274,0 254,0 265,0 256,9 240,2 270,2 15,0-7,3 4,3-3,0-6,5 12,5 Autres services marchands SIFIM 210,6-16,8 212,1-16,9 216,3-17,1 218,4-17,5 221,5-17,6 223,5-17,8 2,7 0,6 0,9 1,1 2652,7 2657,5 2724,7 2726,2 2755,9 2777,1 4,0 0,2 2,5 1,1 244,3 234,1 236,1 232,1 236,1 222,8 6,7-4,2 0,9-1,7 1,7-5, , , , ,0 4,2 2,4-0,1 1,1 0,3 TOTAL DES VALEURS AJOUTEES Impôts et taxes PIB 11

12 Libellé Ventilation du PIB réel trimestriel CVS par secteurs d activités (base 100 = 2000) (en milliards FCFA) T4_2014 Variations PIB réel trimestriel CVS par secteurs d activités (T/T-4) (%) T4_2014 Secteur primaire 593,1 605,3 609,4 615,8 620,0 62 4,8 5,7 6,7 5,2 2,6 Agriculture des produits vivriers Agriculture industrielle et d'exportation Elevage, chasse et pêche 398,9 402,5 406,1 408,9 412,8 416,3 4,0 4,4 3,8 3,5 3,5 3,4 43,8 49,7 48,9 50,6 48,7 44,8 13,3 24,4 1 29,4 1-9,8 97,5 99,4 101,3 103,2 105,1 107,0 5,4 6,4 7,2 7,6 7,8 7,7 52,9 53,7 53,1 53,1 53,4 52,6 14,7 11,3 6,7 2,8 - Secteur secondaire , ,1 770,2 6,4 7,6 7,0 13,4 9,8 9,3 Industries Extractives 116,8 125,4 148,1 147,7 150,6 153,9 3,8 1 30,3 28,1 28,9 22,7 dont extraction d'hydrocarbure 111,3 119,6 142,1 141,3 144,0 147,0 3,4 11,8 30,9 28,5 29,4 22,9 Industries Agro-alimentaires 166,2 167,2 166,6 166,8 168,1 167,8 3,5 4,0 2,1 1,2 0,4 Autres Industries Manufacturières 289,7 299,3 303,0 299,8 308,0 323,6 5,6 6,3 12,1 10,0 6,3 8,1 Electricité et Eau 22,1 22,5 22,9 23,1 23,1 23,5 6,4 5,6 6,1 7,7 4,7 BTP 96,6 90,2 97,1 93,6 109, ,4 9,0 18,5 13,1 12,5 1368,2 1347,7 1377,6 1379,4 1376,8 1386,2 3,4 7,6 4,8 7,2 0,6 2,9 Sylviculture et exploitation forestière Secteur tertiaire Commerce et réparation 491,7 485,9 499,0 498,2 507,3 494,1 7,2 5,0 7,8 5,9 3,2 1,7 Transports 124,6 125,5 128,2 128,0 128,3 127,1 4,4 5,0 9,0 6,3 3,0 1,2 Télécommunication 169,7 168,3 168,5 174,3 175,0 165,8 6,7-9,9 2,5 3,2-1,5 Hotel et restauration 7 73, ,1 3,9 6,3 2,6 2,7 1,7-2,3 Services financiers 43,6 45,1 46,3 49,2 50,1 51,3 12,3 6,6 8,4 15,9 14,9 13,7 Administrations publiques 274,0 254,0 265,0 256,9 240,2 270,2 13,4 8,1 5,6 7,8-12,3 6,4 Autres services marchands SIFIM TOTAL DES VALEURS AJOUTEES 210,6-16,8 212,1-16,9 216,3-17,1 218,4-17,5 221,5-17,6 223,5-17,8 4,6 7,3 4,7 3,0 5,9 2,7 5,6 5,6 5,2 5,2 5,4 5,3 2652,7 2657,5 2724,7 2726,2 2755,9 2777,1 7,2 5,8 8,4 3,9 244,3 234,1 236,1 232,1 236,1 222,8 10,6 1,7 7,6 1,3-3,4-4, , , , ,0 7,5 5,5 8,3 6,4 3,3 3,7 Impôts et taxes PIB Libellé Ventilation du PIB courant trimestriel brut par secteurs d activités (en milliards FCFA) Variations PIB courant trimestriel brut par secteurs d activités (T/T-4) (%) Variations déflateur du PIB trimestriel brut par secteurs d activités (T/T-4) (%) 12

13 Secteur primaire 849,8 868,5 898,5 926,0 925,4 7,4 8,8 1 11,3 8,9-17,1 5,5 16,1 5,3 Agriculture des produits vivriers 569,4 586,7 603,5 619,8 62 5,1 7,9 9,4 9,6 9,1 4,1-26,9 7,1 30,3 3,8 Agriculture industrielle et d'exportation 60,0 57,7 61,7 69,2 56,9 27,3 10,5 22,5 25,2-5,1 15,8 33,8-2,6-27,2 11,7 Elevage, chasse et pêche 152,2 157,3 162,3 167,3 17 9,1 11,8 13,4 13,8 13,0 1,6 1,3 1,2 Sylviculture et exploitation forestière 68,1 66,8 70,9 69,7 75,0 8,6 8,1 15,9 7,7 10,1 4,7-4,8 5,7 0,5 12,3 1135, , ,3 8,0 6,7 3,1-3,1-0,5-6,4-1,7 3,8-8,5 - Secteur secondaire Industries Extractives 255,0 247,4 244,4 190,9 165,2-7,2-10,3-9,8-35,8-35,2-18,2-17,6-3,4-23,6-13,3 dont extraction d'hydrocarbure 245,7 237,7 234,2 180,3 154,2-7,9-11, ,5-37,3-18,7-18,3-3,5-24,6-14,2 Industries Agro-alimentaires 235,4 240,1 239,3 246,7 246,7 8,6 7,8 3,6 4,8-5,0-1,6 0,2 Autres Industries Manufacturières 312,3 292,2 290,5 303,1 326,3 2,6-10,6 0,6 5,2 - -8,0 Electricité et Eau 41,8 44,1 46,1 45,9 46,2 12,5 19,2 19,7 11,3 10,5-2,1 4,9 5,2-1,6 - BTP ,1 315,0 344,0 344,9 30,1 28,1 16,8 19,1 18,6 28,9-11,1 12,5-23,3 4 Secteur tertiaire Commerce et réparation Transports Télécommunication 1802,3 714,8 237,8 44,7 1855,0 745,9 238,0 44,1 1849,3 738,9 239,0 43, ,4 237,7 42,5 1856,2 716,4 237,1 41,3 8,5 5,5 7,7-5,0 9,0 10,1 13,7-3,4 8,1 5,8 6,3-7,9-3,8 0,6-8,7 3,0 0,2-0,3-7,7 4,9-3,2-1,8-0,1-4,3-1,5 0,1 0,6 1,8-4, ,7-3,1 4,0 0,9 5,9 2,5 5 52,7 50,4 50,5 28,6 9,6-2,4 3,7-10,3-43,8-12,1 6,8-2,8-3,2-41,7 Hotel et restauration Services financiers 45,6 46,4 48,9 49,5 50,3 5,6 6,5 10,2 9,7 10,4-2,6 - -0,9-0,5-0,9 Administrations publiques 409, ,1 359,7 461,7 18,2 8,6 17,0-22,2 12,9 5,6-9,2 1,5-4,2 14,7 Autres services marchands 323,2 330,2 334, ,1 6,9 7,9 7,4 7,1 7,4 1,3-0,1 0,4 0,2 1,5 SIFIM -23,7-24,3-25,6-26,0-26,4 6,4 8,2 12,9 12,1 1 1,6 2,5 3,3-0,3-5,6 2,3 0,0 2,4 8,1-3,0 2,6-5,3 13,2 0,4-5,3 2,3-0,4 3,2 TOTAL DES VALEURS AJOUTEES Impôts et taxes 3787, ,6 PIB 324, ,0 3883,1 329, , ,7 3868,7 332, , ,2 8,1 8,2 6, ,0 8,0 5,2 7,8 Ventilation du PIB réel trimestriel CVS par composantes Libellé 7,3 3,3 (base 100 = 2000) (en milliards FCFA) -0,4-2,2 7,2-0,5 3,1 Variations PIB réel trimestriel CVS par composantes (T/T-1) (%) T4_2014 T4_2014 Consommation Finale 2523,4 2536,7 2588,1 2564,9 2558,5 2579,3 4,6 0,5-0,9 Consommation privée 2170,9 2212,6 2256,4 2237,8 2261,1 2226,0 2,7 - -1,6 Consommation publique 352,5 324,0 331,7 327,1 297,5 353,4 17,5-8,1 2,4 - -9,1 18,8 13

14 FBCF 686,5 681,3 636,8 629,0 764,0 616,6 14,2 - -6,5-1,2 21,5-19,3 FBCF privée 607,2 613,7 572,4 555,4 688,7 528,3 14,2 1,1-6,7-3,0 24,0-23,3 FBCF publique 79,4 67,7 64,4 73,6 75,3 88,2 14,3-14,7-4,8 14,3 2,2 17,2 Variation des stocks -0,6-29,2 78,0 36,9-31,7-27,1-100,9 4778,2-366,7-52,7-185,9-1 INVESTISSEMENT 685,9 652,1 714,8 665,9 732,3 589,5 2,8-4,9 9,6-6,8 10,0-19,5 Exportations 596, ,7 618,5 610,0 642,5 7,1-5,3 Exportations des biens 443,5 442,8 443, ,2 466,9 9,2 0,2 1,6-2,8 6,5 Exportions des services 153,1 158,2 163,0 167,5 171,7 175,7 1,6 3,3 3,0 2,8 2,5 2,3 Importations 909,0 898,2 948, ,9 81 6,1-1,2 5,6-6,1-1 Importations des biens 731,2 716,4 762,9 701,3 715,4 61 7,4-6,5-8,1-14,1 Importations des services 177, ,9 189,7 193,4 197,0 0,9 2,3 2,2 2,1 1,8 PIB 2897,0 2891, , ,0 4,2 2,4-0,1 1,1 0,3 Libellé Consommation Finale Consommation privée Consommation publique FBCF FBCF privée FBCF publique Ventilation du PIB réel trimestriel CVS par Composantes (base 100 = 2000) (en milliards FCFA) T4_ ,4 2536,7 2588,1 2564,9 2558,5 2579,3 2170,9 2212,6 2256,4 2237,8 2261,1 2226,0 352,5 324,0 331,7 327,1 297,5 353,4 686,5 681,3 636,8 629,0 764,0 616,6 607,2 613,7 572,4 555,4 688,7 528,3 79,4 67,7 64,4 73,6 75,3 88,2 Variations PIB réel trimestriel CVS par composantes (T/T-4) (%) T4_2014 6,4 5,0 15,5 22,5 24,8 7,1 6,0 5,7 8,7-2,4-3,0 4,1 7,6 8,1 4,0-0,4 2,8-2 6,3 5,9 9,1 4,6 4,4 6,1 4,2-15,6 11,3 13,4-5,2 1,7 0,6 9,1-9,5-13,9 30,4 14

15 Variation des stocks INVESTISSEMENT Exportations Exportations des biens Exportions des services Importations Importations des biens Importations des services PIB -0,6 685,9 596,6 443,5 153,1 909,0 731,2 177,7 2897,0-29,2 652, ,8 158,2 898,2 716, ,5 78,0 714,8 606,7 443,7 163,0 948,8 762,9 185, ,9 665,9 618, , ,3 189,7 2958,3-31,7 732,3 610,0 438,2 171,7 908,9 715,4 193, ,1 589,5 642,5 466,9 175, ,0 3000,0-146,3 22,1 5,5 9,3-4,2 13,1 18,7-5,2 7,5-49,3 7,2 8,9 2,7 5,5 6,9 0,4 5,5 338,2 8,8 10,9 1 7,9 8,3 9,2 4,8 8,3-44,0 11,1 1 11,2 4,0 3,0 7,6 6,4 5179,7 6,8 2,2-1,2 12,2 0,0-2,2 8,8 3,3-7,5-9,6 6,9 5,4 11,1-9,7-14,2 8,3 3,7 15

16 Equipe Technique Supervision générale 1. TEDOU Joseph, Directeur Général, Institut National de la Statistique (INS) 2. SHE ETOUNDI Joseph Guy Benjamin, Directeur Général Adjoint, INS Coordination technique 1. NEPETSOUN, Chef du Département des Synthèses et des Analyses Economiques 2. NGUIGNANG Bernard, Chef de Division des Synthèses Economiques 3. NGHOGUE VOUFO Léonel Erith, Chef de la Cellule des comptes provisoires et des comptes régionaux Estimation et rédaction 1. SIKUBE TAKAMGNO Célestin, Cadre INS 2. MOFFO DZOUBOSSE Ghislain, Cadre INS 3. EKOBE EYEM Abel, Cadre INS 4. FOTSO KENGNE Elie, Cadre INS 16

17 Institut BP : Tél Fax Site Web: National de la Statistique 134 Yaoundé - Cameroun : (237) : (237) Une Publication du Département des Synthèses et des Analyses Economiques INS,

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