La gouvernance des universités québécoises : des instruments à la mission
|
|
- Arsène Archambault
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La gouvernance des universités québécoises : des instruments à la mission Première tranche de vécu : l année précédent mon départ de l université, le directeur de mon département obtient du rectorat l autorisation d initier le concours pour le renouvellement du poste que j occupais. Il nous annonce en assemblée que le rectorat nous demande de soumettre un «plan d affaire», l idée étant qu un poste de professeur est un investissement qu accepte de faire l institution, mais à certaines conditions seulement. Il nous faut en effet convaincre les autorités que ce sera un investissement rentable, que son titulaire attirera des étudiants en formation initiale et continue, aussi et peut- être surtout aux études supérieures étant données les règles de financement, qu il aura un profil rapidement concurrentiel sur le marché local et international, et qu il sera capable d obtenir d importants fonds de recherche. Mes collègues et moi avons très mal réagi à cette demande : nous étions prêts à tenter de converger entre nous sur une vision commune de l état de la conjoncture scientifique et professionnelle de notre champ, sur l analyse de nos forces et de nos faiblesses, sur des besoins à combler, voilà qu on nous centrait sur une vision essentiellement opportuniste et à court terme: faire l analyse de notre segment du marché, trouver un créneau rentable immédiatement et convaincre l administration d y aller. Cette demande formulée dans le langage du plan d affaires nous a choqués. Nous avons refusé de réduire l ouverture d un poste à cette logique et avons gagné notre point. Pourtant, mes collègues de département un département d administration et de fondements de l éducation ne sont pas des idéalistes naïfs ou des radicaux de gauche. Mais nous sentions qu il fallait dire : ça suffit. L université n est pas une entreprise. Seconde tranche de vécu, cette fois à titre de président du conseil. Au sommet sur l École publique organisé le printemps dernier par la Fédération des commissions scolaires, je retrouve deux administrateurs d une organisation à but non lucratif et à leur demande, nous prenons rendez- vous. A cette rencontre, j apprends que leur organisation est un opérateur autonome dans la région des Laurentides. Un opérateur autonome est un courtier en formation : il analyse les besoins de formation dans une région, en consultant les entreprises, les institutions publiques et parapubliques et négocie avec les institutions post- secondaires des programmes de formation qui correspondent aux besoins identifiés. Ces programmes sont alors offerts dans la région, sous la
2 responsabilité académique des universités, dans des locaux que l opérateur loue ou auquel il a accès après entente avec les municipalités. (Il y a au Québec deux opérateurs autonomes, un dans les Laurentides et un autre, en Beauce). Jusque là, rien à redire, surtout que nous avons affaire à une région sous- scolarisée qui tente ainsi de prendre en charge son développement et que la formation continue et le service à la collectivité sont tout à fait compatibles avec la mission universitaire. Malheureusement, les administrateurs m annoncent que si rien ne change, ils devront se retire de ce domaine d intervention : selon les analyses faites, l offre de formation dépasse déjà la demande. Plusieurs universités font affaire directement avec les étudiants potentiels, certaines ont des bâtiments tout neufs, bref, entre Laval et St- Jérôme, là où il n y avait rien il y a une dizaine d années, nous nous retrouvons avec une capacité de formation d environ 7000 étudiants, soit plusieurs milliers de plus que l estimé le plus optimiste de la demande. Ma première tranche de vécu illustre le fait que les schèmes cognitifs et normatifs de la nouvelle gestion publique ont pénétré la culture administrative universitaire et qu elle informe et cadre le fonctionnement de l institution d une manière de plus en plus prégnante. Cela a commencé il y a déjà quelques décennies et est maintenant institutionnalisé. La seconde montre que les universités, dans leur quête d étudiants, semblent incapables de s auto- réguler et qu elles se livrent une lutte féroce, qui comme le plan d affaire de mon département, va trop loin. Les appels à la concertation, à un fonctionnement en réseau, à la complémentarité, à l autorégulation des universités au sein de la CRÉPUQ, ne fonctionnent pas. C est le constat que je fais. Je me souviens que lorsque le Québec a créé son réseau d écoles secondaires polyvalentes et de cégeps à travers le territoire, il y avait eu de bonnes chicanes de clochers pour que telle ou telle municipalité puisse avoir sa polyvalente et son cégep. Mais il y avait alors un pilote l état québécois - - qui avait un plan de développement du réseau secondaire et collégial et qui pour l essentiel, s y est tenu. Dans la situation actuelle, en ce qui concerne le marché de la formation continue et l ouverture de satellites universitaires, on a le sentiment qu il n y a pas de pilote. À mon sens, la réponse à ces dérives, ce n est pas moins d état et plus d autonomie universitaire, c est au contraire davantage d État, mais pas n importe quel État.
3 Il n y a pas si longtemps, le développement des universités s inscrivait dans un projet plus global de «construction de la nation» et l élaboration des politiques en matière d éducation supérieure participait d une tradition bien implantée de larges consultations publiques (rapport Parent, Commission Angers, États Généraux de l éducation, etc.). L université était un bien public d intérêt commun, une institution au service de la collectivité nationale et régionale, ainsi que des personnes, leur permettant d assurer leur autonomie et leur épanouissement. Sans que cette vision soit tout à fait perdue, depuis le tournant du millénaire et la promulgation de la loi sur la modernisation de l administration publique, l État soumet les universités, tout comme l ensemble de l administration publique et le reste des institutions éducatives, à une nouvelle forme de régulation que tentent de saisir les concepts de quasi- marchandisation, de nouvelle gestion publique et d université entrepreneuriale. La nouvelle gestion publique insiste sur la spécification opérationnelle des résultats et de leur mesure, la contractualisation entre l État et les établissements comme instrument de reddition de comptes, et l encouragement de la compétition. La quasi marchandisation se caractérise par l introduction graduelle de mécanismes de marché dans l enseignement supérieur, tout en conservant une part de contrôle étatique. L université entrepreneuriale soutient le développement économique par la production d un savoir utile et appliqué, voire un savoir commercialisable. Nous sommes dans cette mouvance, comme bien d autres systèmes et sociétés. Si notre version de cette évolution est plus soft qu ailleurs je pense à l Australie ce n est pas parce qu on évolue lentement et relativement doucement, que le virage n en est pas moins pris. Ce tournant a ceci de particulier qu il centre la discussion sur des instruments d action publique la contractualisation, le partenariat, la planification stratégique, l évaluation institutionnelle, les mécanismes d imputabilité et de reddition de comptes, les règles ou l absence de règles de concurrence, l assurance qualité, la composition des conseils d administration et non pas sur les finalités de l université qu il prétend respecter. D ailleurs, les principes apparaissent ici de peu d utilité : personne ne conteste publiquement l autonomie institutionnelle ou la liberté académique. Personne ne conteste non plus l obligation de rendre des comptes. Les acteurs s affrontent sur les
4 instruments, sachant que ces instruments ne sont pas neutres et qu ils structurent leurs interactions, leurs marges de manoeuvre et leurs objets. Les instruments d action publique sont importants songeons à l impôt et aux règles fiscales - -, après tout, ils incarnent et matérialisent des valeurs établies et il ne peut y avoir de gouvernance effective sans instruments. Mais les instruments ne sont pas uniquement évaluables en termes d efficacité et d efficience. La question de leur légitimité est aussi centrale. Lorsque sont insérés dans le fonctionnement institutionnel de multiples instruments qui participent tous de la même logique, il ne suffit pas de les mettre à sa main et de les négocier même si cela n est pas inutile et contribue à leur légitimité il faut parfois remonter de l instrument vers la mission et les finalités, afin de l actualiser. A cet égard, la démarche de la PQPPU est importante. Au delà de la gouvernance, c est donc de la mission de l université qu il est question. Actualiser la mission universitaire c est certainement prendre acte de certains grands phénomènes : l internationalisation de la recherche, le développement des études supérieures et le recrutement des étudiants internationaux, l élargissement des marchés universitaires je pense notamment à la construction de l espace européen de l enseignement supérieur, au développement universitaire en Chine, en Inde, en Amérique Latine - -, les besoins des «nouveaux» étudiants déjà insérés sur le marché du travail et responsables de famille, et leur formation continue, la croissance des coûts, l interdisciplinarité et de nouveaux objets d étude, le plurilinguisme, la société et l économie du savoir, etc. Ces phénomènes sont incontournables, ce qui ne veut pas dire qu il faut s y soumettre sans livrer bataille, sans les dompter ou les adapter. Il importe de les saisir pour ce qu il sont, c est- à- dire des sources de tension et de questionnement, ni comme des causes du «naufrage de l université», ni comme la promesse d un nouvel âge d or. Il nous faut trouver un chemin conforme à la tradition universitaire et fidèle au bien commun de la société québécoise qui soutient ses universités, entre l appartenance à une société particulière et la mondialisation, entre la recherche libre et le partenariat avec les acteurs sociaux et les acteurs économiques, entre l innovation technologique et l innovation sociale, entre le patrimoine culturel à sauvegarder, vivifier et transmettre,
5 et la création de nouvelles disciplines et de nouveaux champs d études, entre le service à la collectivité et la critique de la société, etc. Ce n est pas simple, nos consensus sont et seront fort probablement partiels et provisoires, mais il n y a pas d autre chemin que celui du dialogue et de la délibération. Il n y a pas d autre stratégie pour rendre légitime les instruments d action publique qui sont censés en découler. Claude Lessard, président Conseil Supérieur de l éducation
Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE
Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE Le Sommaire constitue un abrégé du document intitulé Bilan de l an I de Solidarité jeunesse : Rapport du Comité aviseur de Solidarité
Plus en détailUne école adaptée à tous ses élèves
PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS
Plus en détailRÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - 1 er cycle
RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - er cycle Direction générale de la formation des jeunes Octobre 006 Introduction Dans le
Plus en détailla Direction des ressources humaines et des relations de travail (langue du travail ; maîtrise du français par les employé(e)s)
L'application de cette politique est sous la responsabilité et la coordination de la Direction générale en collaboration avec la Direction des études et la Direction de la formation continue (langue d
Plus en détailRecherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux
Recherche et relations internationales (RRI) Elisa Pylkkanen Directrice adjointe, partenariats internationaux ADARUQ - Novembre 2013 RRI : Un aperçu «Habiliter, faciliter, créer des liens» Habiliter les
Plus en détailMÉMOIRE DU PARTI LIBÉRAL DU QUÉBEC
Sommet sur l enseignement supérieur MÉMOIRE DU PARTI LIBÉRAL DU QUÉBEC Enseignement supérieur qualité accessibilité et équité Introduction L enseignement supérieur et la recherche sont parmi les leviers
Plus en détailStandards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience
Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience Ligne provinciale d intervention téléphonique en prévention du suicide 1 866 APPELLE Octobre 2014 Table des matières Contexte...
Plus en détailINTRODUCTION PRÉSENTATION DU PROGRAMME
Université du Québec à Chicoutimi Synthèse de l'évaluation périodique et recommandations du DEPC PROGRAMMES EN LANGUES MODERNES DÉPARTEMENT DES ARTS ET LETTRES Baccalauréat en langues modernes (7896) Certificat
Plus en détailLa gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies
La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies Atelier n 15 Organisateurs : Conseil de l Europe (Centre d expertise sur la réforme de l administration locale
Plus en détailSECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants
POLITIQUE POLITIQUE D ÉDUCATION INTERCULTURELLE DATE : 26 mars 2014 SECTION : Politique NUMÉRO : P201 PAGES : 6 SERVICE ÉMETTEUR : Direction des Services aux étudiants DESTINATAIRES : À toute la communauté
Plus en détailPROGRAMMES DE BOURSES ET DE FORMATION DU HCDH
II. PROGRAMMES DE BOURSES ET DE FORMATION DU HCDH II Les programmes de bourses et de formation examinés dans le présent chapitre ont été instaurés par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits
Plus en détailVers l amélioration continue
Vers l amélioration continue Devis d évaluation et planification des travaux sur l assurance qualité Document recommandé par le comité de suivi du Plan stratégique, le comité de Régie interne et la Commission
Plus en détailObservations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme
Observations sur l avant-projet de loi, Loi sur l aménagement durable du territoire et l urbanisme Déposé à la Commission de l aménagement du territoire de l Assemblée nationale du Québec Dans le cadre
Plus en détailCahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré
Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants
Plus en détailLe Fonds de solidarité FTQ : Partie prenante à la solution pour l industrie du capital de risque au Canada
Le Fonds de solidarité FTQ : Partie prenante à la solution pour l industrie du capital de risque au Canada Rôle clé dans la structuration de l industrie du CR Modèle de création d emplois de qualité et
Plus en détailPour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics
Pour l exclusion des offices d habitation des décrets sur le personnel d entretien des édifices publics Mémoire présenté au ministère du Travail dans le cadre de la consultation de la Loi sur les décrets
Plus en détailRÈGLEMENT DU CONCOURS «FRANCOJEU des cégeps 2015»
RÈGLEMENT DU CONCOURS «FRANCOJEU des cégeps 2015» Par le Francojeu des cégeps 2015 (Francojeu), le Centre collégial de développement de matériel didactique (CCDMD) vise à participer à la valorisation de
Plus en détailL éducation au Québec : L état de la situation
Préscolaire Primaire Secondaire Collégial Universitaire 43101 45 509 93969 68 331 110 297 151 845 241019 251 612 240 980 251 237 L éducation au Québec : L état de la situation L éducation est un des sujets
Plus en détailCAISSE D ÉCONOMIE SOLIDAIRE DESJARDINS
CAISSE D ÉCONOMIE SOLIDAIRE DESJARDINS Projet de loi no 27 Loi sur l économie sociale Mémoire présenté au ministère des Affaires municipales, des Régions et de l Occupation du territoire dans le cadre
Plus en détailMASTER 1 MANAGEMENT DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES ET DES TERRITOIRES
MASTER 1 MANAGEMENT DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES ET DES TERRITOIRES Libellé de l UE (Unité d enseignement) et de l EC (Elément constitutif) SEMESTRE 1 S1 : UE OBLIGATOIRES Management public et stratégie
Plus en détailGhana, de l Inde, de la Jordanie, du Kenya, du Mexique, de New Zélande, du Portugal, de Serbie et du Royaume Uni.
Principes de Belgrade sur la relation entre les Institutions nationales des droits de l Homme et les Parlements (Belgrade, Serbie, les 22-23 février 2012) Le séminaire international de février 2012 sur
Plus en détailCommentaires de. l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document. Un regard neuf sur le patrimoine culturel
Commentaires de l Association québécoise pour le patrimoine industriel (Aqpi) sur le document Un regard neuf sur le patrimoine culturel Dans le cadre de la consultation publique pour une révision de la
Plus en détailConseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR
Plus en détailTransaction proposée entre Groupe TMX inc. et London Stock Exchange Group plc
Transaction proposée entre Groupe TMX inc. et London Stock Exchange Group plc Position de la FCCQ dans le cadre de la consultation publique tenue par l Autorité des marchés financiers 29 juin 2011 555,
Plus en détailAssurances Auto AXA Canada (AAAC 1 ) 2 Partie A 3
Volume 5 Numéro 1 Avril 2007 en partenariat avec la Chaire internationale CMA d étude des processus d affaires Assurances Auto AXA Canada (AAAC 1 ) 2 Partie A 3 Cas produit par Johanne CASSIS 4 et par
Plus en détailLe SPPMM œuvre dans le secteur
LE SYNDICAT DES PROFESSIONNELLES ET PROFESSIONNELS MUNICIPAUX DE MONTRÉAL LE CHOIX des professionnels Le SPPMM œuvre dans le secteur municipal depuis près de 40 ans. Fondé en 1965 par quelques préposés
Plus en détailSoutien aux projets structurants de valorisation de transfert Direction du Soutien à l innovation technologique et sociale
Soutien aux projets structurants de valorisation de transfert Direction du Soutien à l innovation technologique et sociale Plan de la présentation Le secteur Recherche, innovation et science citoyenne
Plus en détailLE COURTAGE D ASSURANCE
Programme 1ère conférence : l éthique du courtier 2ème conférence : la profession du courtier Courtage et environnement concurrentiel Le cadre de l activité L activité La responsabilité des courtiers d
Plus en détail22 2011 (CC-20111-110)
Politiquee linguistique Adoptée : En vigueur : Amendement : 22 mars 2011 (CC-2011-110) 22 mars 2011 Table des matières 1. PRÉAMBULE... 1 2. CHAMP D APPLICATION... 1 3. CADRE LÉGAL ET RÉGLEMENTAIRE...
Plus en détailBDL Info. À la une... Éditorial. Toute l actualité de BDL Informatique / Juin 2013. Une salle «haut débit» à louer.
Toute l actualité de BDL Informatique / Juin 2013 Éditorial Le Cloud du spectacle À la une... Une salle «haut débit» à louer. Nous étions sur un "nuage" lors de l inauguration de notre DataCenter en avril
Plus en détailFORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014
FORMATION ET SUIVI DES PROFESSEURS DES ECOLES STAGIAIRES 2013 2014 1 SOMMAIRE 1) Textes de référence 2) Cadrage départemental 3) Charte du tuteur : rôle et missions 4) Les outils des professeurs des écoles
Plus en détailC EST QUOI UNE ÉCOLE PUBLIQUE ALTERNATIVE QUÉBÉCOISE?
C EST QUOI UNE ÉCOLE PUBLIQUE ALTERNATIVE QUÉBÉCOISE? L école alternative, c est une école publique, intégrée aux commissions scolaires du Québec qui relève du choix des parents à offrir à leur enfant
Plus en détailCoralie Cuillerier, Zahir Ibelaidene, Steve Latour, Martin Pearson, Ahmadou Sarr, Karine Tremblay
IDENTIFICATION DE L ÉQUIPE PLAN DE POSITIONNEMENT D AFFAIRES Coralie Cuillerier, Zahir Ibelaidene, Steve Latour, Martin Pearson, Ahmadou Sarr, Karine Tremblay DESCRIPTION DU PROJETTECHNOLOGIQUE Création
Plus en détailPOLITIQUE RELATIVE À L EMPLOI ET À LA QUALITÉ DE LA LANGUE FRANÇAISE
POLITIQUE RELATIVE À L EMPLOI ET À LA QUALITÉ DE LA LANGUE FRANÇAISE (Adoptée par le Conseil d administration lors de son assemblée régulière du 2 juin 2004) 1. PRINCIPE DIRECTEUR LE COLLÈGE, UN MILIEU
Plus en détailQuestions et réponses sur la cote de rendement au collégial
Questions et réponses sur la cote de rendement au collégial Mars 2013 QUESTIONS ET RÉPONSES SUR LA COTE DE RENDEMENT AU COLLÉGIAL CREPUQ AVANT-PROPOS Ce document apporte des réponses aux principales questions
Plus en détailEtude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France)
Etude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France) Résumé du rapport réalisé par EUROPA pour la DATAR DATAR EUROPA Etude sur les maisons des services publics en Europe Résumé du rapport
Plus en détailÉcologie, démocratie et participation
Écologie, démocratie et participation citoyenne: une équation nécessaire Passeport pour l écocitoyenneté 9e colloque de Montréal en éducation relative à l environnement Novembre 2008 Anne Latendresse Département
Plus en détailAIDE À LA RÉUSSITE SE RÉALISER PLEINEMENT
AIDE À LA RÉUSSITE SE RÉALISER PLEINEMENT «Un enseignant ou une culture ne créent pas un être humain. On n implante pas en lui la capacité d aimer, d être curieux, de philosopher, de symboliser ou d être
Plus en détailPolitique des stages. Direction des études
Direction des études Service des programmes et de la réussite scolaire Politique des stages Recommandée par la Commission des études du 6 décembre 2011 Adoptée par le conseil d administration du 15 mai
Plus en détailLes dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Les dossiers de l enseignement scolaire 2010 l Éducation nationale et la formation professionnelle en France ministère éducation nationale L Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Plus en détailMémoire présenté par la Confédération des syndicats nationaux (CSN) à la Commission des finances publiques
Mémoire présenté par la Confédération des syndicats nationaux (CSN) à la Commission des finances publiques sur le projet de loi n o 15, Loi sur la gestion et le contrôle des effectifs des ministères, des
Plus en détailLes tendances du marché de. la production d électricité. dans le monde. participation d entreprises privées locales ou internationales
Les tendances du marché de la production d électricité dans le monde Samir Allal La globalisation économique a favorisé une plus grande expression des mécanismes concurrentiels. Désormais la concurrence
Plus en détailHorizon 2014. Planification du développement académique de l UQO. Planification stratégique institutionnelle
Horizon 2014 Planification du développement académique de l UQO Planification stratégique institutionnelle Bureau du vice-recteur à l enseignement et à la recherche 15 juin 2009 Adoptée par le conseil
Plus en détailLa logistique au service de la productivité et de l agilité des PME
Activités d apprentissage concernant l adoption de technologies numériques Programme d aide à la recherche industrielle Programme pilote d adoption des technologies numériques Industrial Research Assistance
Plus en détailNOTE D INFORMATION L AGENT TERRITORIAL SPÉCIALISÉ DES ÉCOLES
L AGENT TERRITORIAL SPÉCIALISÉ DES ÉCOLES M AT E RNE L L E S Note d information réalisée par le rectorat de l académie de Montpellier, le centre national de la fonction publique territoriale, le centre
Plus en détailExposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012
Exposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012 Introduction Le Groupe Co-operators limitée est détenu et dirigé par 45 membres-propriétaires de tout le Canada, issus
Plus en détailPrise de position de l initiative des villes pour la formation quant à la politique de formation. La ville fait école
Prise de position de l initiative des villes pour la formation quant à la politique de formation La ville fait école Avant-propos Barbara Eberhard Conseillère municipale, St-Gall Direction école et sport
Plus en détailMaster en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable
Master en Gouvernance et management des marchés publics en appui au développement durable Turin, Italie Contexte Le Centre international de formation de l Organisation internationale du Travail (CIF-OIT)
Plus en détailCOMPTE RENDU DE LA RENCONTRE
COMPTE RENDU DE LA RENCONTRE DE LA TABLE INTERORDRES D ÉDUCATION DU BAS-SAINT-LAURENT TENUE LE 13 JANVIER 2011 DE 13 H 30 À 16 H 30 À LA DIRECTION RÉGIONALE DU MELS Présences : M mes Martine Cliche, présidente,
Plus en détailRÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ
RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ Compte-rendu Réunion du 22 octobre 2008 Cette réunion terminait un processus de 3 ans portant sur les cinq propositions pour une meilleure éducation au Québec. D entrée
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détailI ON S S IR E OI R ULT U R A MO S AV LE LIVRE, AU CŒUR DE LA CULTURE. Plan d action sur le livre
P A HI S S S T C R I ON M Ê IR E ULT U R A MO V ÉM E O IR E UR S AV OI R E LE LIVRE, AU CŒUR DE LA CULTURE Plan d action sur le livre OCCUPATION : DÉVOREUSE DE LIVRES VOTRE LIBRAIRE, AUTEUR DE PETITS BONHEURS
Plus en détailLa LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement?
La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement? La nouvelle loi organique relative aux lois de finances a été promulguée en août 2001. Deux ans plus tard, et bien que la mise en œuvre de cette
Plus en détailSyllabus du cours de musique. Maternelle. enseigné par Joël Chiasson
Syllabus du cours de musique Maternelle enseigné par Joël Chiasson DESCRIPTION DU COURS Le programme de musique permet aux élèves d explorer leurs idées, leurs expériences et leurs émotions et de développer
Plus en détailL apparition des transferts électroniques de fonds aux points de vente (TEF/PV)
6 L apparition des transferts électroniques de fonds aux points de vente (TEF/PV) Le contexte global Les services de transfert électronique de fonds aux points de vente ont fait leur apparition durant
Plus en détailThème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise
Thème E Etablir un diagnostic stratégique Le diagnostic externe Analyse de l environnement de l entreprise On ne peut concevoir l entreprise comme une entité isolée du milieu dans lequel elle agit. L entreprise
Plus en détailLes bibliothèques et les centres de documentation de l'enseignement tertiaire
Réunion d'experts sur Les bibliothèques et les centres de documentation de l'enseignement tertiaire organisée par le Programme pour la construction et l'équipement de l'éducation et le Programme pour la
Plus en détailDocument d information sur les protections d assurance souscrites par l Université Laval à l intention des étudiants
Document d information sur les protections d assurance souscrites par l Université Laval à l intention des étudiants MISE EN GARDE Les informations contenues dans ce document visent strictement à faciliter
Plus en détailDevenez expert en éducation. Une formation d excellence avec le master Métiers de l Enseignement, de l Education et de la Formation
Institut Universitaire de Formation des Maîtres Université de Provence - Aix-Marseille Université 20 ans d expérience dans la formation des professionnels dans les métiers de l enseignement, de l éducation
Plus en détailCONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A
CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,
Plus en détailAnnée 10. Numéro 36. Octobre 2014. Message du président
Année 10 Numéro 36 Octobre 2014 Message du président Fernand Gaudet, président La semaine de la coopération (3 e semaine d octobre) fut une belle occasion pour le mouvement coopératif de démontrer à l
Plus en détailDocument d information sur les protections d assurance souscrites par l Université Laval à l intention des étudiants
Document d information sur les protections d assurance souscrites par l Université Laval à l intention des étudiants MISE EN GARDE Les informations contenues dans ce document visent strictement à faciliter
Plus en détailFiche descriptive d activités
Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités (FDA) La fiche descriptive d activités (FDA) dresse la liste de l ensemble des activités, recensées lors d enquêtes, exercées par des titulaires
Plus en détailREFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312
REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE
Plus en détailORIGINES ET CONTOURS, FONDEMENTS ET TRAJECTOIRE DES ENTREPRISES COLLECTIVES AU QUÉBEC ET DANS LE MONDE
CHAPITRE 1 ORIGINES ET CONTOURS, FONDEMENTS ET TRAJECTOIRE DES ENTREPRISES COLLECTIVES AU QUÉBEC ET DANS LE MONDE L enjeu théorique COOPÉRATION ET ÉCONOMIE SOCIALE : UNE SYNTHÈSE INTRODUCTIVE L initiative
Plus en détailLe Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil:
1. L E C O N S E I L D A D M I N I S T R A T I O N E T S E S F O N C T I O N S 1er janvier 1996, suite à l adoption de résolutions parallèles par l Assemblée générale des Nations Unies et la Conférence
Plus en détailRéguler son enseignement : Pourquoi? Comment?
Mon enseignement, je l évalue, il évolue Réguler son enseignement : Pourquoi? Comment? Lucie Mottier Lopez Université de Genève 13 mai 2013 IFRES, Liège lucie.mottier@unige.ch 1 Plan Un cadre pour penser
Plus en détail2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?
Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers
Plus en détailRECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE
RECOMMANDATION DU CONSEIL SUR LES BONNES PRATIQUES POUR AMELIORER LA SENSIBILISATION AUX RISQUES ET L'EDUCATION SUR LES QUESTIONS D'ASSURANCE RECOMMANDATION DU CONSEIL Ces Bonnes Pratiques ont été approuvées
Plus en détailL ORGANISATION GENERALE DE LA FONCTION PUBLIQUE
L ORGANISATION GENERALE DE LA FONCTION PUBLIQUE I - LES SOURCES DU DROIT DE LA FONCTION PUBLIQUE A - La Constitution et le bloc de constitutionnalité Certains grands principes du droit de la fonction publique
Plus en détailLA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte
LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de
Plus en détailAvant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi
Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi Préambule Le Cameroun a révisé son DSRP i 2003 en lui adressant une direction
Plus en détailNouveau processus budgétaire. performance: Le projet tunisien
Nouveau processus budgétaire axé sur le résultat r et la performance: Le projet tunisien Mohsen Thabet Ministère des Finances Unité GBO Atelier GBO Tunis 26-27 27 Juin Plan de l interventionl 1. Système
Plus en détailASSOCIATION et Chantiers d Insertion par l Activité Economique. Michel Boudol Responsable Atelier DEEE
ASSOCIATION et Chantiers d Insertion par l Activité Economique Michel Boudol Responsable Atelier DEEE 1 Créée en 1985 Implantée dans une ZUS de l agglomération Grenobloise Action Sociale, Environnementale
Plus en détailCANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM
CANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM 1 ère partie Déclaration d intention JEAN-PAUL HAUTIER ADMINISTRATEUR PROVISOIRE ET DIRECTEUR DE LA RECHERCHE DE L ENSAM DIRECTEUR ES QUALITE DE
Plus en détailOFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne
OFFICE DES NATIONS UNIES CONTRE LA DROGUE ET LE CRIME Vienne Mécanisme d examen de l application de la Convention des Nations Unies contre la corruption Documents de base NATIONS UNIES Vienne, 2010 Résolutions
Plus en détailL évolution (révolution) du métier d enseignant-chercheur est-elle favorable à une plus grande employabilité?
1 L évolution (révolution) du métier d enseignant-chercheur est-elle favorable à une plus grande employabilité? Prof. Gérard CLIQUET Président de la CIDEGEF IGR-IAE, Université de Rennes 1, FRANCE L année
Plus en détailENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020
Jean-Louis DELPÉRIÉ Directeur ENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020 Antoine FOURNIER Directeur LES DEUX DERNIÈRES DÉCENNIES ONT VU L ÉMERGENCE EN FRANCE DES
Plus en détailPOLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES
POLITIQUE D OCTROI DES DONS ET COMMANDITES Groupe Affaires corporatives et secrétariat général 19 avril 2013 TABLE DES MATIÈRES 1. CADRE GÉNÉRAL...3 1.1 Politique NOTRE RÔLE SOCIAL...3 1.2 Imputabilité...3
Plus en détailCompte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris
Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires
Plus en détailau concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde
Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources
Plus en détailATELIER Les mutuelles de santé comme acteur et partenaire de la couverture santé universelle
FORMATION SUR LE DEVELOPPEMENT DE L ASSURANCE MALADIE UNIVERSELLE www.coopami.org ATELIER Les mutuelles de santé comme acteur et partenaire de la couverture santé universelle Projet d Appui Institutionnel
Plus en détailContact Personnel. Personal Contact. Chers partenaires,
Édition du printemps 2012 Bulletin d information pour les partenaires de La Personnelle Chers partenaires, Comme annoncé en novembre dernier, notre équipe de la commercialisation a travaillé, au cours
Plus en détailPOLITIQUE INTERCULTURELLE
POLITIQUE INTERCULTURELLE Adoptée à la 269 e réunion du conseil d administration du 21 septembre 2009 Politique interculturelle Préambule Le Collège de Maisonneuve évolue dans un contexte interculturel
Plus en détailProjet de loi n o 20
Loi édictant la Loi favorisant l accès aux services de médecine de famille et de médecine spécialisée et modifiant diverses dispositions législatives en matière de procréation assistée Mémoire présenté
Plus en détailUNIVERSITÉ LAVAL. PLAN DE COURS PROGRAMME en GESTION du DÉVELOPPEMENT TOURISTIQUE. Titre et sigle du cours : Marketing touristique, MRK 20578
1 UNIVERSITÉ LAVAL FACULTÉ DES SCIENCES DE L'ADMINISTRATION Certificat en gestion du développement touristique PLAN DE COURS PROGRAMME en GESTION du DÉVELOPPEMENT TOURISTIQUE IDENTIFICATION Titre et sigle
Plus en détailG uide M éthodologique
MESURES DE PROTECTION DES MINEURS Suivez le guide!!! AVRIL 2015 G uide M éthodologique Document actualisé le 07 avril 2015 par Le Service en charge des Mesures de Protection des Mineurs de l UDAF de la
Plus en détailLA CULTURE CIVILISTE : OBSTACLE OU ATOUT POUR FAIRE DES AFFAIRES?
«Vingt-deuxièmes Entretiens» du Centre Jacques Cartier Rhône-Alpes, 28 novembre 2 décembre 2009 LA CULTURE CIVILISTE : OBSTACLE OU ATOUT POUR FAIRE DES AFFAIRES? Responsables scientifiques : France Barreau
Plus en détailRAPPORT DE 2010 SUR L ATTRIBUTION DE BÉNÉFICES AUX ÉTABLISSEMENTS STABLES
ORGANISATION DE COOPÉRATION ET DE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUES RAPPORT DE 2010 SUR L ATTRIBUTION DE BÉNÉFICES AUX ÉTABLISSEMENTS STABLES 22 juillet 2010 CENTRE DE POLITIQUE ET D ADMINISTRATION FISCALES AVANT-PROPOS
Plus en détailOUTIL DIAGNOSTIQUE DE L ACTION EN PARTENARIAT
OUTIL DIAGNOSTIQUE DE L ACTION EN PARTENARIAT Angèle Bilodeau, Ph.D. 1, 2 Marilène Galarneau, M.Sc. 2 Michel Fournier, M.Sc. 1 Louise Potvin, Ph.D. 2 Gilles Sénécal, Ph.D. 2, 3 Jocelyne Bernier, M.Sc.
Plus en détailPRÉSENTATION DE FRANÇOIS-MARIE MONNET. Aucun moteur de recherche, interrogé sur le tableau attribué à Jérôme Bosch et intitulé «l escamoteur»
PRÉSENTATION DE FRANÇOIS-MARIE MONNET LA TRANSPARENCE EST-ELLE LA SOLUTION POUR RÉTABLIR LA CONFIANCE DANS LA FINANCE? Aucun moteur de recherche, interrogé sur le tableau attribué à Jérôme Bosch et intitulé
Plus en détailLe téléphone public, cent ans d usages et de techniques de Fanny CARMAGNAT
NOTE DE LECTURE Le téléphone public, cent ans d usages et de techniques de Fanny CARMAGNAT par André TURCOTTE «Pourquoi s intéresser au téléphone public?» En posant cette question dès le début de son livre,
Plus en détailPLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB
PLAN STRATÉGIQUE 2013-2018 DE L AFANB En juin 2012, le conseil d administration de l AFANB a décidé d entreprendre une démarche de révision du plan stratégique qui mènera au dépôt d un plan stratégique
Plus en détailSigma Consulting est un cabinet conseil spécialisé en management des organisations. Le Management en mode projet..2
Sigma Consulting est un cabinet conseil spécialisé en management des organisations. Sa mission est d'aider les entreprises à développer la qualité de service dont ont besoin leurs clients internes ou externes.
Plus en détailPROJET D ETABLISSEMENT
PROJET D ETABLISSEMENT «Amener chacun à une autonomie responsable» INTRODUCTION Dans l esprit du Projet Educatif défini par le Pouvoir Organisateur du Collège Notre-Dame et dans la volonté de respecter
Plus en détailFaculté de Psychologie et des Sciences de l Education
Faculté de Psychologie et des Sciences de l Education Recherche-accompagnement de projet d innovation pédagogique et organisationnelle au sein du 2 ème degré professionnel de l enseignement secondaire
Plus en détail2009 et DUBAR C., TRIPIER P., Sociologie des professions, Collection U, Armand Colin,, 2 éd., 2009
L apport de la sociologie des professions 1 à une définition positive des professions libérales. Il est très difficile de trouver une définition «positive» des professions libérales, souvent les professions
Plus en détailLe rôle du courtier principal
AIMA CANADA SÉRIE DE DOCUMENTS STRATÉGIQUES Le rôle du courtier principal Le courtier principal (ou courtier de premier ordre) offre aux gestionnaires de fonds de couverture des services de base qui donnent
Plus en détailCourtage immobilier résidentiel - EEC.1Y
Attestation d études collégiales Courtage immobilier résidentiel - EEC.1Y Le programme d attestation d études collégiales (AEC) Courtage immobilier résidentiel est d une durée de 570 heures L'objectif
Plus en détailLES NON-ALIGNÉS D HIER À AUJOURD HUI
ÉDITORIAL LES NON-ALIGNÉS D HIER À AUJOURD HUI MICHEL ROGALSKI Privé de la présence de Fidel Castro pour cause de maladie, le XIV e Sommet des Non-alignés s est tenu en septembre 2006 à La Havane. L usage
Plus en détail