CHAMPS & PARTICULES. électrodynamique quantique. Alain Bouquet. Laboratoire AstroParticule & Cosmologie
|
|
- Francine René
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CHAMPS & PARTICULES électrodynamique quantique Alain Bouquet Laboratoire AstroParticule & Cosmologie Université Denis Diderot Paris 7, CNRS, Observatoire de Paris & CEA
2 Théorie quantique des champs 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 2
3 Pourquoi une théorie quantique des champs? Le nombre de particules dans un système quantique n est en général pas conservé extension requise de la mécanique quantique à un nombre variable de particules nombre potentiellement infini dans tous l espace champ Champ = quantité ψ définie en tout point de l espace et du temps ψ(x,t) particules i nombre fini de degrés de liberté nombre fini d opérateurs X i et P i champ nombre infini de degrés de liberté champ d opérateurs (x,t) décomposables en sommes d opérateurs de création-annihilation de quanta au point X =(x,t) ou d impulsion-énergie P = (p,e) Longueur de Compton L C = ħ/mc = 1/m pour des quanta de masse m taille maximale où cela a un sens de parler d une seule particule L << L C énergie E >> mc 2 possibilité de produire de nouvelles (paires de) particules nombre variable de particules 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 3
4 De la mécanique quantique à la théorie quantique des champs Théorie à un quanton libre ou en interaction avec un champ extérieur ex: oscillateur harmonique, Schrödinger, Pauli, Dirac et l atome d hydrogène Théorie à n quantons libres ou en interaction entre eux ou avec un champ extérieur ex: physique atomique, moléculaire, physique du solide Théorie à un nombre variable de quantons libres ou en interaction entre eux ou avec un champ extérieur existence d un vide (état sans quanton) existence d opérateurs de création et d annihilation ex: théorie de Dirac du rayonnement, théorie de Fermi de l interaction faible, théorie de Yukawa de l interaction forte, théories de jauge 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 4
5 Lagrangiens Une théorie (quantique) des champs est définie par un lagrangien L (φ, µ φ) qui est une fonction des champs φ et de leurs dérivées spatiotemporelles µ φ avec deux parties : champs libres (~ énergie cinétique) et interactions (~ énergie potentielle) Champ de spin 0 (scalaire) L (φ, µ φ) = ½ µ φ µ φ ½ m 2 φ 2 + µφ 3 + φ 4 interaction à 3 quantons interaction à 4 quantons Champ de spin ½ L (ψ, µ ψ) = ψ* iγ µ µ ψ m ψ* ψ e ψ*γ µ A µ ψ + G ψ*oψ ψ*oψ interaction électromagnétique interaction de Fermi 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 5
6 Interactions Très schématiquement : interaction nucléon-nucléon par échange d un pion Couplage ψψφ des trois champs au point d espace-temps x Champ ψ(x) état à 1 nucléon d énergie-impulsion P 1 Champ ψ(x) autre état à 1 nucléon d énergie-impulsion P 2 Champ φ(x) état à 1 pion d énergie-impulsion P π vertex champs libres propagateur Champ φ(y) état à 1 pion d énergie-impulsion P π vertex Champ ψ(y) autre état à 1 nucléon d énergie-impulsion P 3 Champ ψ(y) autre état à 1 nucléon d énergie-impulsion P 4 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 6
7 perturbations 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 7
8 Interactions et développement perturbatif Lagrangien hamiltonien équations du mouvement (Klein-Gordon, Dirac, Maxwell) hamiltonien = hamiltonien libre H 0 + hamiltonien d interaction H I On ne sait traiter que le cas où l interaction entre champs est assez faible pour que les champs se comportent en première approximation comme des champs libres ceux-ci sont calculés à partir de l hamiltonien libre états à 1, 2 n quantons d énergie impulsion P 1, P 2 P n (ou de positions x 1 ) puis on calcule les corrections successives dues aux interactions développement en série de puissances du couplage g F(p) = F 0 (p) + g F 1 (p) + g 2 F 2 (p) + + g n F n (p) + F étant une quantité mesurable quelconque (charge, amplitude de diffusion ) et p les impulsions (ou les positions) initiales et finales Risques potentiels un ou plusieurs termes de la série sont infinis la série n a pas de sens les termes de la série divergent (g >1 par ex.) la série n a pas de sens la série ne converge pas vers une valeur finie la série n a pas de sens 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 8
9 Développement de Dyson Rappel de mécanique quantique hamiltonien H = H 0 + H I on sait résoudre l équation de Schrödinger pour H 0, mais pas pour H 0 + H I représentation d interaction où les opérateurs évoluent avec H 0 et les états I > avec H I équation d évolution pour I (t)> Éq. de Schrödinger Tomonaga-Schwinger i d/dt I (t)> = H I I (t)> mais est-on plus avancé? Un peu quand même : I (t)> = U(t,t 0 ) I (t 0 )> i d/dt U(t,t 0 ) I (t 0 )> = H I (t) U(t,t 0 ) I (t 0 )> t U(t,t 0 ) =1 i H I (t 1 )U(t 1,t 0 ) dt 1 =1 i H I (t 1 ) dt 1 2 dt 1 dt 2 H I (t 1 )H I (t 2 ) + t 0 t t 0 t t 0 t 1 t 0 développement perturbatif (attention: ce sont des opérateurs, ordonnés en temps) 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 9
10 Les combattants de l infini Termes du premier ordre pour l électrodynamique quantique diffusion Compton (Klein et Nishina 1927) annihilation e + e (Dirac 1930) Bremsstrahlung e ± e ± (Bethe et Heitler 1934) excellent accord avec les observations diffusion Bahba e + e e + e (Bahba 1935) Mais : termes du deuxième ordre infinis période de flottement 1949 : Tomonaga et Schwinger (indépendamment) calculèrent les termes suivants de la série en compensant des infinis entre eux (renormalisation) sur une idée de Bethe 1949 : Feynman parvint au même résultat par la technique des diagrammes 1949 : Dyson démontra l équivalence des approches, et les généralisa prix Nobel de physique 1965 partagé entre Tomonaga, Schwinger et Feynman 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 10
11 Freeman Dyson (1923- ) n 1949 : démonstration de l équivalence des méthodes de Feynman et de Schwinger et Tomonaga n n Professeur à l Institute of Advanced Studies (Princeton) de 1953 à 1994 Travaux sur n n n n n n 25/03/13 la théorie des nombres et les matrices aléatoires la propulsion nucléaire des fusées (projet Orion) de 1957 à 1961 avec Teller, un petit réacteur nucléaire sûr (TRIGA) construit en petite série (70 ex.) de 1958 à maintenant (avec Areva) la sphère de Dyson en 1960 la démonstration en 1966 que la stabilité de la matière est bien une conséquence du principe d exclusion de Pauli (et non de la répulsion électrostatique des électrons périphériques) le climat et l énergie à partir de 1970 avec Alvin Weinberg Alain Bouquet Particules 19 11
12 Diagrammes de Feynman Série de Dyson : somme d intégrales multiples de produits d opérateurs hamiltoniens ordonnés dans le temps ( invariance relativiste pas évidente) dont chacun est un produit de champs d opérateurs eux-mêmes somme d opérateurs de création et d annihilation Le résultat d un processus physique donné est la valeur moyenne entre états initial et final de la somme de la série Chaque terme du développement en série est donc le produit d opérateurs précis, pris en un point particulier de l espace-temps (ou pour une valeur particulière de l énergie-impulsion) Feynman remarqua que chacun d eux pouvait se représenter par des symboles graphiques que l on devait assembler selon des règles précises 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 12
13 Diagrammes de Feynman Diffusion électron-électron Règles de construction simples chaque particule externe (entrante ou sortante) est représentée par une ligne électron électron vertex photon vertex électron électron chaque interaction est représentée par un vertex Deuxième ordre chaque particule interne est représentée par une ligne partant et aboutissant à un vertex (propagateur) pour un processus donné, les particules externes sont fixées, et on trace tous les diagrammes possibles ayant un nombre quelconque de vertex et de propagateurs seule importe la topologie du diagramme NB: Gell-Mann a toujours parlé des diagrammes de Stueckelberg (qui avait utilisé une notation graphique similaire une décennie auparavant) 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 13
14 Diagrammes de Feynman Règles de calcul simples à chaque particule externe est attribué l état libre ayant l impulsion donnée à chaque vertex est attribué le terme d interaction correspondant du lagrangien à chaque propagateur est attribué (l inverse du) terme libre du lagrangien Champ de spin 0 (scalaire) L (φ, µ φ) = ½ µ φ µ φ ½ m 2 φ 2 + µφ 3 + φ 4 propagateur 1/(P 2 + m 2 ) vertex µ vertex λ Champ de spin ½ L (ψ, µ ψ) = ψ* iγ µ µ ψ m ψ* ψ e ψ*γ µ A µ ψ + G ψ*oψ ψ*oψ propagateur 1/(P + m) vertex eγ µ vertex G 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 14
15 Diagrammes de Feynman Un diagramme de Feynman n est pas un petit dessin C est la traduction graphique d un terme du développement perturbatif de l interaction Exemple : diffusion e e e e au premier ordre vertex vertex au point x de l espace-temps vertex au point x de l espace-temps { { propagateur du photon vertex photon d impulsion k masse du photon 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 15
16 Renormalisation 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 16
17 La source des infinis Les boucles! Par exemple : création d une paire électron-positron par un photon gamma P 2 P 2 P 2 P 2 +k P 1 P 1 P 1 = + photon k Conservation de l énergie et de l impulsion P 1 P 2 P 1 P 2 k P 1 P 2 P1 P 2 La quadri-impulsion k n est pas déterminée somme sur toutes les valeurs possibles Propagateurs k 3 dk 1 P 2 +k +m 1 k 1 2 P 1 P 2 k +m ~ lim Λ Λ 0 dk k = lim Λ ln(λ) 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 17
18 La banque de Heisenberg Vertex nucléon-nucléon-pion Explication courante Conservation de l énergie impulsion longueur de Compton L C = 1/m + inégalités de Heisenberg P 1 = P 2 + P π Δx Δp > ½ ħ Problème : nucléon initial de masse 940 MeV, au repos (choix toujours possible) Δt ΔE > ½ ħ incertitude sur la position de l interaction indétermination sur l impulsion des particules indétermination sur leur énergie incertitude sur l instant d interaction Δx ~ L C (π) = 1/m π Δp ~ m π ΔE ~ m π pion de masse 140 MeV + énergie cinétique et nucléon de masse 940 MeV + énergie cinétique (impulsion de recul)?? métaphore fréquente : le nucléon «emprunte» à la banque de Heisenberg l énergie E ~ m π suffisante pour créer un pion mais il doit la rendre avant l échéance Δt ~ 1/m π le pion ne s éloigne que de Δx ~ 1/m π ~ m 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 18
19 Hors de la couche de masse Invariance du lagrangien par translation spatio-temporelle Théorème de Noether l énergie et l impulsion sont toujours conservées Alors? La couche de masse particule (quanton) de masse m énergie-impulsion P = (E, p) P 2 = E 2 p 2 = m 2 E = ± (p 2 + m 2 ) ½ Vertex nucléon-nucléon-pion Énergie P 1 P 2 P π m couche de masse P 1 = (E 1, p 1 ) P 2 = (E 2, p 2 ) P π = (E π, p π ) antiparticules Impulsion P 1 = P 2 + P π Impossible si P 1 2 = P 2 2 = m N 2 et P π 2 = m π 2 Pion virtuel hors de sa couche de masse P π 2 m π 2 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 19
20 Régularisation Rendre convergentes les intégrales au moyen d un «régulateur» Puis se débarrasser du régulateur à la fin des calculs résultat désormais fini : tout va bien, les infinis se sont compensés résultat encore infini : tout va mal, la théorie n est pas utilisable sans renormalisation Régulateurs Arrêter toutes les intégrales en quadri-impulsion à une valeur «de coupure» Λ à la fin, on fera Λ ± justifié physiquement par l idée que la théorie examinée cesse d être valable à très haute énergie très courte distance Changer (fictivement!) la dimension de l espace-temps de 4 à d, et choisir bien sûr d de sorte que les intégrales convergent à la fin, on fera d 4 Et bien d autres méthodes encore 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 20
21 Renormalisation Exemple: couplage photon-électron-positron, quantité mesurable F(p) dépendant a priori des impulsions entrantes et sortantes p développement en série de puissances du couplage «nu» g (celui du lagrangien) F(p) = g + g 2 F 2 (p) + + g n F n (p) + = + + F(p) g g 3 F 3 (p) Régularisation: coupure à p = Λ F Λ (p) = g + g 2 F Λ2 (p) + g 3 F Λ3 (p) + + g n F Λn (p) + où les termes F Λn divergent en Log(Λ) [ou Λ D ] quand le régulateur Λ NB: selon la régularisation choisie (coupure, dimensionnelle ) les calculs intermédiaires sont très différents, mais le résultat de la renormalisation est le même 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 21
22 Renormalisation (suite) Le couplage est expérimentalement mesurable, pour une impulsion p=µ par exemple Classiquement, on écrirait F(µ) = g déterminant ainsi le paramètre g du lagrangien L hypothèse de renormalisabilité est que le remplacement g F(µ) = g R rend finie la correction ainsi que les corrections suivantes Partant du développement en série F Λ (p, g, Λ) = g + g 2 F Λ2 (p) + + g n F Λn (p) + on le réécrit en fonction de F(µ) = g R F Λ (p, g R, µ, Λ) = g R + g R 2 [ F Λ2 (p) F Λ2 (µ) ] + dans notre exemple F 2 dk/k F Λ2 dk/k 2 intégrale convergente quand Λ et le deuxième terme est maintenant fini s il est exprimé en fonction du g R mesuré 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 22
23 Renormalisation (suite et fin) Au 2 ordre F Λ (p, g R, µ, Λ) = g R + g R 2 [ F Λ2 (p) F Λ2 (µ) ] + Notons que la renormalisation revient à compenser le terme infini F Λ2 (p) par un autre terme infini F Λ2 (µ) le terme infini F Λ2 (p) dépend a priori de p tandis que F Λ2 (µ) est indépendant de p compensation non garantie toute théorie n est pas renormalisable renormaliser à l ordre g 2 R n implique pas que les ordres suivants soient aussi finis ce n est pas garanti toute théorie n est pas renormalisable Au 3 ordre F Λ (p, g R, µ, Λ) = g R + g 2 R [ F Λ2 (p) F Λ2 (µ) ] + g 3 R [ F Λ3 (p) F Λ3 (µ) 2 F Λ2 (µ) [F Λ2 (p) F Λ2 (µ) ]] Théorie renormalisable : F (p, g) F Λ (p, g, Λ) F Λ (p, g R, µ, Λ) F (p, g R, µ) fini quand Λ RÉGULARISATION RENORMALISATION 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 23
24 L opinion de Dirac sur la renormalisation 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 24
25 Électrodynamique quantique (QED) Renormalisation de la charge électrique e(µ) Renormalisation de la masse de l électron m(µ) Et c est tout! Mais les calculs ne sont pas simples pour autant : diagrammes à une seule boucle pour la diffusion électron-positron 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 25
26 Couplages variant avec l échelle d énergie ( distance) Renormalisation de la charge e(µ) polarisation du vide la charge de l électron dépend de l énergie ( distance) à laquelle on la mesure basse énergie (Millikan) α = e 2 /ħc = 1/137 haute énergie (LEP) α = 1/128 Paires virtuelles électron-positron positron attiré par l électron central plus proche électron repoussé par l électron central plus loin la charge apparente augmente près de l électron La renormalisation d une constante de couplage g conduit à une constante g R dépendant de l échelle d énergie µ à laquelle elle est mesurée g (et g R ) ont une dimension (énergie) D g R /g (µ/λ) D D > 0 convergence de la série de perturbations à haute énergie ( courte distance). Pour D = 0 variation logarithmique de g R (µ) la théorie est renormalisable 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 26
27 Quelles théories peuvent être renormalisables? Théories renormalisables constante de couplage de dimension positive ou nulle Mais quelle est la dimension des constantes de couplage? Action S = d 4 x L (φ, ψ) sans dimension (avec ħ = 1) L dimension 1/L 4 = E 4 L (φ, µ φ) = ½ µ φ µ φ ½ m 2 φ 2 + µφ 3 + φ 4 champ scalaire φ de dimension 1 (E 1 ) terme m de dimension 1 (heureusement! E = mc 2 ) couplage µ de dimension 1 couplage de dimension 0 théories renormalisables L (ψ, µ ψ) = ψ* iγ µ µ ψ m ψ* ψ e ψ*γ µ A µ ψ + G ψ*oψ ψ*oψ champ spinoriel ψ (fermions) dimension 3/2 terme m de dimension 1 champ vectoriel A µ (électromagnétisme) dimension 1 couplage électromagnétique e de dimension 0 couplage pion-nucléon de dimension 0 théories renormalisables couplage G de Fermi de dimension 2 ( 1/m 2 ) théorie non renormalisable 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 27
28 Groupe de renormalisation Idée ancienne (Pythagore, Euclide, Galilée) d invariance par changement d échelle Groupe des transformations d échelle (Stueckelberg et Peterman1953, Gell-Mann et Low 1954, Bogoliubov et Shirkov 1955) le point µ en énergie où sont mesurées les masses et constantes de couplage est arbitraire règle pour passer d une valeur µ à une valeur µ équations g/ µ = β(g) avec une fonction β(g) dépendant de la théorie g(µ) 1/g U(1) électromagnétisme SU(2) interaction faible SU(3) interaction forte GeV Kenneth Wilson 1971 : application à la matière condensée, aux transitions de phase et aux phénomènes critiques (Nobel 1982) nouveau point de vue sur le sens physique de la renormalisation 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 28
29 Merci de votre attention! 25/03/13 Alain Bouquet Particules 19 29
TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE I. Les quanta s invitent
TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS III CHAPITRE I Les quanta s invitent I-1. L Univers est en constante évolution 2 I-2. L âge de l Univers 4 I-2.1. Le rayonnement fossile témoigne 4 I-2.2. Les amas globulaires
Plus en détailTD 9 Problème à deux corps
PH1ME2-C Université Paris 7 - Denis Diderot 2012-2013 TD 9 Problème à deux corps 1. Systèmes de deux particules : centre de masse et particule relative. Application à l étude des étoiles doubles Une étoile
Plus en détailQu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir?
exposé UE SCI, Valence Qu est-ce qu un ordinateur quantique et à quoi pourrait-il servir? Dominique Spehner Institut Fourier et Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés Université
Plus en détailLE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 2012 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND
LE PHYSICIEN FRANCAIS SERGE HAROCHE RECOIT CONJOINTEMENT LE PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 0 AVEC LE PHYSICIEN AMERCAIN DAVID WINELAND SERGE HAROCHE DAVID WINELAND Le physicien français Serge Haroche, professeur
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détail= b j a i φ ai,b j. = ˆBa i φ ai,b j. = a i b j φ ai,b j. Par conséquent = 0 (6.3)
I Commutation d opérateurs Chapitre VI Les relations d incertitude I Commutation d opérateurs Un des résultats importants établis dans les chapitres précédents concerne la mesure d une observable  : une
Plus en détailPhysique quantique et physique statistique
Physique quantique et physique statistique 7 blocs 11 blocs Manuel Joffre Jean-Philippe Bouchaud, Gilles Montambaux et Rémi Monasson nist.gov Crédits : J. Bobroff, F. Bouquet, J. Quilliam www.orolia.com
Plus en détailPHYSIQUE QUANTIQUE ET STATISTIQUE PHYS-H-200
UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES Faculté des sciences appliquées Bachelier en sciences de l ingénieur, orientation ingénieur civil Deuxième année PHYSIQUE QUANTIQUE ET STATISTIQUE PHYS-H-200 Daniel Baye revu
Plus en détailStructure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide
Structure quantique cohérente et incohérente de l eau liquide Prof. Marc HENRY Chimie Moléculaire du Solide Institut Le Bel, 4, Rue Blaise Pascal 67070 Strasbourg Cedex, France Tél: 03.68.85.15.00 e-mail:
Plus en détailLa physique nucléaire et ses applications
La physique nucléaire et ses applications I. Rappels et compléments sur les noyaux. Sa constitution La représentation symbolique d'un noyau est, dans laquelle : o X est le symbole du noyau et par extension
Plus en détailPROBLÈMES DE RELATIVITÉ RESTREINTE (L2-L3) Christian Carimalo
PROBLÈMES DE RELATIVITÉ RESTREINTE (L2-L3) Christian Carimalo I - La transformation de Lorentz Dans tout ce qui suit, R(O, x, y, z, t) et R (O, x, y, z, t ) sont deux référentiels galiléens dont les axes
Plus en détailNOTICE DOUBLE DIPLÔME
NOTICE DOUBLE DIPLÔME MINES ParisTech / HEC MINES ParisTech/ AgroParisTech Diplômes obtenus : Diplôme d ingénieur de l Ecole des Mines de Paris Diplôme de HEC Paris Ou Diplôme d ingénieur de l Ecole des
Plus en détail3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailPhotons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique
Photons, expériences de pensée et chat de Schrödinger: une promenade quantique J.M. Raimond Université Pierre et Marie Curie Institut Universitaire de France Laboratoire Kastler Brossel Département de
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailM1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig
1/81 M1107 : Initiation à la mesure du signal T_MesSig Frédéric PAYAN IUT Nice Côte d Azur - Département R&T Université de Nice Sophia Antipolis frederic.payan@unice.fr 15 octobre 2014 2/81 Curriculum
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailMESURE ET INTÉGRATION EN UNE DIMENSION. Notes de cours
MSUR T INTÉGRATION N UN DIMNSION Notes de cours André Giroux Département de Mathématiques et Statistique Université de Montréal Mai 2004 Table des matières 1 INTRODUCTION 2 1.1 xercices.............................
Plus en détailOFFRE DE FORMATION L.M.D. MASTER ACADEMIQUE
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE OFFRE DE FORMATION L.M.D. MASTER ACADEMIQUE Etablissement Faculté / Institut Département
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailLa fonction d onde et l équation de Schrödinger
Chapitre 1 La fonction d onde et l équation de Schrödinger 1.1 Introduction En physique classique, une particule est décrite par sa position r(t). L évolution de sa position (la trajectoire de la particule)
Plus en détailSur certaines séries entières particulières
ACTA ARITHMETICA XCII. 2) Sur certaines séries entières particulières par Hubert Delange Orsay). Introduction. Dans un exposé à la Conférence Internationale de Théorie des Nombres organisée à Zakopane
Plus en détailOù est passée l antimatière?
Où est passée l antimatière? CNRS-IN2P3 et CEA-DSM-DAPNIA - T1 Lors du big-bang, à partir de l énergie disponible, il se crée autant de matière que d antimatière. Alors, où est passée l antimatière? Existe-t-il
Plus en détailOscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté
Chapitre 4 Oscillations libres des systèmes à deux degrés de liberté 4.1 Introduction Les systèmes qui nécessitent deux coordonnées indépendantes pour spécifier leurs positions sont appelés systèmes à
Plus en détailCryptologie et physique quantique : Espoirs et menaces. Objectifs 2. distribué sous licence creative common détails sur www.matthieuamiguet.
: Espoirs et menaces Matthieu Amiguet 2005 2006 Objectifs 2 Obtenir une compréhension de base des principes régissant le calcul quantique et la cryptographie quantique Comprendre les implications sur la
Plus en détailLa physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur!
La physique quantique couvre plus de 60 ordres de grandeur! 10-35 Mètre Super cordes (constituants élémentaires hypothétiques de l univers) 10 +26 Mètre Carte des fluctuations du rayonnement thermique
Plus en détailChapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX
Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément
Plus en détailSection «Maturité fédérale» EXAMENS D'ADMISSION Session de février 2014 RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES. Formation visée
EXAMENS D'ADMISSION Admission RÉCAPITULATIFS DES MATIÈRES EXAMINÉES MATIÈRES Préparation en 3 ou 4 semestres Formation visée Préparation complète en 1 an 2 ème partiel (semestriel) Niveau Durée de l examen
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé 2012-2013 1 Petites questions 1 Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? Réponse : Non, car le complémentaire de ], 0[ n est pas ouvert.
Plus en détailTP1 Méthodes de Monte Carlo et techniques de réduction de variance, application au pricing d options
Université de Lorraine Modélisation Stochastique Master 2 IMOI 2014-2015 TP1 Méthodes de Monte Carlo et techniques de réduction de variance, application au pricing d options 1 Les options Le but de ce
Plus en détailLa masse négative et l énergie positive des antiparticules
Annales de la Fondation Louis de Broglie, Volume 36, 2011 79 La masse négative et l énergie positive des antiparticules Roger Boudet 7 Av. de Servian, 34290 Bassan email: boudet@cmi.univ-mrs.fr RÉSUMÉ.
Plus en détailDM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION
Physique Chapitre 4 Masse, énergie, et transformations nucléaires DM 10 : La fusion nucléaire, l énergie de l avenir? CORRECTION Date :. Le 28 juin 2005, le site de Cadarache (dans les bouches du Rhône)
Plus en détailPlan du cours : électricité 1
Semestre : S2 Module Physique II 1 Electricité 1 2 Optique géométrique Plan du cours : électricité 1 Partie A : Electrostatique (discipline de l étude des phénomènes liés aux distributions de charges stationnaires)
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailPOLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux. - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif -
POLY-PREPAS Centre de Préparation aux Concours Paramédicaux - Section Orthoptiste / stage i-prépa intensif - 1 Suite énoncé des exos du Chapitre 14 : Noyaux-masse-énergie I. Fission nucléaire induite (provoquée)
Plus en détailintrication quantique corrélations à distance et instantanées
intrication quantique corrélations à distance et instantanées 1 Les corrélations quantiques à distance et instantanées Il existe des corrélations quantiques à distance et instantanées dans un système quantique
Plus en détailÉquations non linéaires
Équations non linéaires Objectif : trouver les zéros de fonctions (ou systèmes) non linéaires, c-à-d les valeurs α R telles que f(α) = 0. y f(x) α 1 α 2 α 3 x Equations non lineaires p. 1/49 Exemples et
Plus en détailEquations de Dirac et fermions fondamentaux ( Première partie )
Annales de la Fondation Louis de Broglie, Volume 24, 1999 175 Equations de Dirac et fermions fondamentaux ( Première partie ) Claude Daviau La Lande, 44522 Pouillé-les-coteaux, France email : cdaviau@worldnet.fr
Plus en détailChapitre 1. Une particule quantique sans spin, à 1 dimension (I) 1.1 Espace des états : les fonctions d'ondes
Chapitre 1 Une particule quantique sans spin, à 1 dimension (I) Dans ce chapitre il y a beaucoup de rappels du cours de licence, mais avec une présentation aussi un peu plus formelle. Nous allons étudier
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détailEtrangeté et paradoxe du monde quantique
Etrangeté et paradoxe du monde quantique Serge Haroche La physique quantique nous a donné les clés du monde microscopique des atomes et a conduit au développement de la technologie moderne qui a révolutionné
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détail8/10/10. Les réactions nucléaires
Les réactions nucléaires En 1900, à Montréal, Rutherford observa un effet curieux, lors de mesures de l'intensité du rayonnement d'une source de thorium [...]. L'intensité n'était pas la même selon que
Plus en détailNotes sur le temps en physique (classique)
Notes sur le temps en physique (classique) Titre : Jean-Philippe Uzan Institut d Astrophysique de Paris Le sujet imposé par Annick était le temps en cosmologie. Ce qu un physicien peut faire, c est parler
Plus en détailP17- REACTIONS NUCLEAIRES
PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailaux différences est appelé équation aux différences d ordre n en forme normale.
MODÉLISATION ET SIMULATION EQUATIONS AUX DIFFÉRENCES (I/II) 1. Rappels théoriques : résolution d équations aux différences 1.1. Équations aux différences. Définition. Soit x k = x(k) X l état scalaire
Plus en détailChapitre 6. Réactions nucléaires. 6.1 Généralités. 6.1.1 Définitions. 6.1.2 Lois de conservation
Chapitre 6 Réactions nucléaires 6.1 Généralités 6.1.1 Définitions Un atome est constitué d électrons et d un noyau, lui-même constitué de nucléons (protons et neutrons). Le nombre de masse, noté, est le
Plus en détailCCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé
CCP PSI - 00 Mathématiques : un corrigé Première partie. Définition d une structure euclidienne sur R n [X]... B est clairement symétrique et linéaire par rapport à sa seconde variable. De plus B(P, P
Plus en détailTechniques de Lyapunov en contrôle quantique pour le couplage dipolaire et polarisabilité
Techniques de Lyapunov en contrôle quantique pour le couplage dipolaire et polarisabilité Andreea Grigoriu avec Jean-Michel Coron, Cătălin Lefter and Gabriel Turinici CEREMADE-Université Paris Dauphine
Plus en détailSuites numériques 3. 1 Convergence et limite d une suite
Suites numériques 3 1 Convergence et limite d une suite Nous savons que les termes de certaines suites s approchent de plus en plus d une certaine valeur quand n augmente : par exemple, les nombres u n
Plus en détailLes Conditions aux limites
Chapitre 5 Les Conditions aux limites Lorsque nous désirons appliquer les équations de base de l EM à des problèmes d exploration géophysique, il est essentiel, pour pouvoir résoudre les équations différentielles,
Plus en détailMesures gaussiennes et espaces de Fock
Mesures gaussiennes et espaces de Fock Thierry Lévy Peyresq - Juin 2003 Introduction Les mesures gaussiennes et les espaces de Fock sont deux objets qui apparaissent naturellement et peut-être, à première
Plus en détailI - Quelques propriétés des étoiles à neutrons
Formation Interuniversitaire de Physique Option de L3 Ecole Normale Supérieure de Paris Astrophysique Patrick Hennebelle François Levrier Sixième TD 14 avril 2015 Les étoiles dont la masse initiale est
Plus en détailCompatibilité Électromagnétique
Compatibilité Électromagnétique notions générales et applications à l électronique de puissance Ir. Stéphane COETS 18 mai 2005 Journée d étude en Électronique de Puissance 1 Plan de l exposé La Compatibilité
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailChapitre 5 : Flot maximal dans un graphe
Graphes et RO TELECOM Nancy A Chapitre 5 : Flot maximal dans un graphe J.-F. Scheid 1 Plan du chapitre I. Définitions 1 Graphe Graphe valué 3 Représentation d un graphe (matrice d incidence, matrice d
Plus en détailTransformations nucléaires
Transformations nucléaires Stabilité et instabilité des noyaux : Le noyau d un atome associé à un élément est représenté par le symbole A : nombre de masse = nombre de nucléons (protons + neutrons) Z :
Plus en détailBaccalauréat S Antilles-Guyane 11 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat S ntilles-guyane 11 septembre 14 Corrigé EXERCICE 1 6 points Commun à tous les candidats Une entreprise de jouets en peluche souhaite commercialiser un nouveau produit et à cette fin, effectue
Plus en détailDualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies
Chapitre 6 Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Nous allons maintenant revenir sur les espaces L p du Chapitre 4, à la lumière de certains résultats du Chapitre 5. Sauf mention
Plus en détailChp. 4. Minimisation d une fonction d une variable
Chp. 4. Minimisation d une fonction d une variable Avertissement! Dans tout ce chapître, I désigne un intervalle de IR. 4.1 Fonctions convexes d une variable Définition 9 Une fonction ϕ, partout définie
Plus en détailMODELES DE DUREE DE VIE
MODELES DE DUREE DE VIE Cours 1 : Introduction I- Contexte et définitions II- Les données III- Caractéristiques d intérêt IV- Evènements non renouvelables/renouvelables (unique/répété) I- Contexte et définitions
Plus en détailChamp électromagnétique?
Qu est-ce qu un Champ électromagnétique? Alain Azoulay Consultant, www.radiocem.com 3 décembre 2013. 1 Définition trouvée à l article 2 de la Directive «champs électromagnétiques» : des champs électriques
Plus en détail10 leçon 2. Leçon n 2 : Contact entre deux solides. Frottement de glissement. Exemples. (PC ou 1 er CU)
0 leçon 2 Leçon n 2 : Contact entre deu solides Frottement de glissement Eemples (PC ou er CU) Introduction Contact entre deu solides Liaisons de contact 2 Contact ponctuel 2 Frottement de glissement 2
Plus en détailCe cours introduit l'électrodynamique classique. Les chapitres principaux sont :
11P001 ELECTRDYNAMIQUE I Automne 4 crédits BACHELR 1ère ANNEE MASTER BIDISCIPLINAIRE MINEURE PHYSIQUE CURS BLIGATIRES Enseignant(s) G. Iacobucci P Automne (A) Horaire A C2 E2 LU 1113 EPA JE 810 EPA = obligatoire
Plus en détailModule d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere
Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge
Plus en détailInteraction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n 2. Résonance magnétique : approche classique
PGA & SDUEE Année 008 09 Interaction milieux dilués rayonnement Travaux dirigés n. Résonance magnétique : approche classique Première interprétation classique d une expérience de résonance magnétique On
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailChapitre I La fonction transmission
Chapitre I La fonction transmission 1. Terminologies 1.1 Mode guidé / non guidé Le signal est le vecteur de l information à transmettre. La transmission s effectue entre un émetteur et un récepteur reliés
Plus en détailLE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE
LE COSMODETECTEUR : UN EXEMPLE DE CHAÎNE DE MESURE Enseignement : 1 ère STL Mesures et instrumentation Thème : Instrumentation : Instruments de mesure, chaîne de mesure numérique Notions et contenus :
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détailIntroduction à la relativité générale
Introduction à la relativité générale Bartolomé Coll Systèmes de référence relativistes SYRTE - CNRS Observatoire de Paris Introduction à la Relativité Générale Préliminaires Caractère théorique (formation)
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailSOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique
SOCLE COMMUN - La Compétence 3 Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique DOMAINE P3.C3.D1. Pratiquer une démarche scientifique et technologique, résoudre des
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détail- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE
- MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailAutomatique Linéaire 1 Travaux Dirigés 1A ISMIN
Automatique Linéaire 1 Travaux Dirigés Travaux dirigés, Automatique linéaire 1 J.M. Dutertre 2014 TD 1 Introduction, modélisation, outils. Exercice 1.1 : Calcul de la réponse d un 2 nd ordre à une rampe
Plus en détailPuissance et étrangeté du quantique Serge Haroche Collège de France et Ecole Normale Supérieure (Paris)
Puissance et étrangeté du quantique Serge Haroche Collège de France et Ecole Normale Supérieure (Paris) La physique quantique nous a donné les clés du monde microscopique des atomes et a conduit au développement
Plus en détailLes Prix Nobel de Physique
Revue des Questions Scientifiques, 2013, 184 (3) : 231-258 Les Prix Nobel de Physique Plongée au cœur du monde quantique Bernard Piraux et André Nauts Institut de la Matière Condensée et des Nanosciences
Plus en détailLe modèle de Black et Scholes
Le modèle de Black et Scholes Alexandre Popier février 21 1 Introduction : exemple très simple de modèle financier On considère un marché avec une seule action cotée, sur une période donnée T. Dans un
Plus en détailBaccalauréat ES Pondichéry 7 avril 2014 Corrigé
Baccalauréat ES Pondichéry 7 avril 204 Corrigé EXERCICE 4 points Commun à tous les candidats. Proposition fausse. La tangente T, passant par les points A et B d abscisses distinctes, a pour coefficient
Plus en détailChapitre 7 : Intégration sur un intervalle quelconque
Universités Paris 6 et Paris 7 M1 MEEF Analyse (UE 3) 2013-2014 Chapitre 7 : Intégration sur un intervalle quelconque 1 Fonctions intégrables Définition 1 Soit I R un intervalle et soit f : I R + une fonction
Plus en détailBaccalauréat ES Polynésie (spécialité) 10 septembre 2014 Corrigé
Baccalauréat ES Polynésie (spécialité) 10 septembre 2014 Corrigé A. P. M. E. P. Exercice 1 5 points 1. Réponse d. : 1 e Le coefficient directeur de la tangente est négatif et n est manifestement pas 2e
Plus en détailEQUIPEMENTS ELECTRONIQUES : MAINTENANCE
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION EQUIPEMENTS
Plus en détailIntroduction à la physique quantique. Juin 2014
Introduction à la physique quantique Juin 4 Table des matières Avant Propos............................................ Origine du projet......................................... Guide de lecture..........................................
Plus en détailC4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C C4 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 30 C4: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les nucléons:
Plus en détailStabilité et Réactivité Nucléaire
Chapitre 1 Stabilité et Réactivité Nucléaire Les expériences, maintes fois répétées, montraient chaque fois que les déflexions subies par les particules chargées en interaction avec les noyaux ne correspondaient
Plus en détailAutomatique (AU3): Précision. Département GEII, IUT de Brest contact: vincent.choqueuse@univ-brest.fr
Automatique (AU3): Précision des systèmes bouclés Département GEII, IUT de Brest contact: vincent.choqueuse@univ-brest.fr Plan de la présentation Introduction 2 Écart statique Définition Expression Entrée
Plus en détailExamen d informatique première session 2004
Examen d informatique première session 2004 Le chiffre à côté du titre de la question indique le nombre de points sur 40. I) Lentille électrostatique à fente (14) Le problème étudié est à deux dimensions.
Plus en détailProfesseur Eva PEBAY-PEYROULA
3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre
Plus en détailOM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables
Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables PCSI 2013 2014 Certaines partie de ce chapitre ne seront utiles qu à partir de l année prochaine, mais une grande partie nous servira dès cette année.
Plus en détailErratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2
Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page
Plus en détailApprentissage incrémental par sélection de données dans un flux pour une application de sécurité routière
Apprentissage incrémental par sélection de données dans un flux pour une application de sécurité routière Nicolas Saunier INRETS Télécom Paris Sophie Midenet INRETS Alain Grumbach Télécom Paris Conférence
Plus en détailL histoire de la Physique, d Aristote à nos jours: Evolution, Révolutions
L histoire de la Physique, d Aristote à nos jours: Evolution, Révolutions Martial Ducloy Président Société Française de Physique & Laboratoire de Physique des Lasers Institut Galilée & CNRS Université
Plus en détail