LA CESSION-TRANSMISSION DES PME. Petit-déjeuner de presse 18 mars 2014

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1 LA CESSION-TRANSMISSION DES PME Petit-déjeuner de presse 18 mars 2014

2 Sommaire 1. La cession-transmission des PME : validation des enseignements antérieurs et évolution La cession-transmission dans les DOM : un enjeu de pérennité pour les PME d outre-mer Pour plus d informations, retrouvez les pages correspondantes dans 3-12 CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

3 1. Une démarche originale Plus de opérations en 2012 Une démarche d observation du réel et non d estimation globale > Le choix de l univers des seules PME (et ETI) > Un comptage effectif des entreprises concernées par un événement de cession cessions "directes" faisant l objet d une annonce légale opérations par le biais d un holding ventes de parts sociales de l actionnaire principal transmissions intrafamiliales 2692 changements de dirigeant-actionnaire Un accès aux bases de données pertinentes (Altares, Insee, Infolegale, Corpfin ) via Experian ph > Une démarche reproduite pour les cessions de PME et ETI en 2012 CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

4 1. Validation des grands enseignements antérieurs Plus de opérations en 2012 En 2012, on dénombre cessions avérées ( en 2011) > Un premier cercle stable des cessions certaines (5,2% des PME/ETI) > Une hausse des opérations de 4,3% sur un an Les PME dont la probabilité de cession est élevée sont en forte augmentation : cessionstransmissions dénombrées > Hausse en partie due à la maintenance des bases de données la fiabilité des calculs a été améliorée Une baisse significative des opérations parmi les salariés CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

5 1. Validation des grands enseignements antérieurs L âge n est pas le critère principal Près de 52% des opérations interviennent avant 55 ans CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

6 1. Des logiques sectorielles Des disparités au sein des secteurs Quatre logiques sectorielles de renouvellement > Dans l industrie (agro-alimentaire et manufacturière), le commerce (de détail et de gros) et les activités immobilières, un taux de cession élevé et de disparition faible > L information et la communication ainsi que les transports constituent un deuxième groupe dont le renouvellement est rapide, par la cession comme par la disparition > Les secteurs de l hôtellerie-restauration et des autres activités de services sont plus stables : ils se renouvellent peu par la cession et disparaissent peu > Enfin, les secteurs de l enseignement santé action sociale, des services spécialisés et surtout du BTP ont des taux de cession très faibles malgré des disparitions fréquentes Des taux de cession liés à des effets de structure > Des tailles élevées conduisent à des taux élevés (industrie chimique, métallurgie, génie civil ) > Des petites tailles et un capital détenu par des personne physique mènent en revanche à des taux plus faibles (construction, imprimerie, habillement ) Un faible effet de concentration des PME au moment de la cession pérennise un faible taux de cession dans ces sous-secteurs CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

7 1. Des logiques sectorielles Des disparités au sein des secteurs CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

8 1. La transmission familiale : une réalité méconnue La transmission familiale est décisive en fin d activité professionnelle La maintenance sur les données confirme le profil général de la transmission familiale Une pratique très fréquente après 60 ans : une logique générationnelle qui se prolonge tardivement Des situations différentes selon la taille et le secteur CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

9 1. Transmission familiale : l âge est déterminant mais s exprime différemment suivant le secteur CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

10 1. Transmission familiale : l effet sectoriel s exprime différemment suivant la taille CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

11 1. Le recours à la transmission familiale est dépendante du secteur après 60 ans >20% transm. Fam. >1/4 transmissions familiales >1/3 transmissions familiales CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

12 1. Le débat sur les disparitions sans reprise Disparitions de PME : une méthode d analyse CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

13 1. Le débat sur les disparitions sans reprise Disparitions de PME : une méthode d analyse Les cessations d activité ont concerné PME et ETI, soit un taux de disparition de 2,2 % > disparitions judiciaires de PME > PME ont disparu sans événement judiciaire Les PME qui disparaissent sont de plus petite taille que l ensemble des PME (cédées ou non) > salariés sont concerné par la disparition de leur PME (à mettre en perspective avec les 1,3 million d emplois touchés par des cessions de PME et ETI) Mesure du risque et occurrence des événements : une méthode d analyse > 71% des disparitions présentent un risque élevé > 14%, soit 644 PME présentent un risque faible Dont 157 ont connu une liquidation Dont 186 ont connu une cession une autre année > Restent au maximum 300 PME disparues en bonne santé avant identification des événements exceptionnels (décès et accidents, transferts ) CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

14 Sommaire 1. La cession-transmission des PME : validation des enseignements antérieurs et évolution La cession-transmission dans les DOM : un enjeu de pérennité pour les PME d outre-mer Pour plus d informations, retrouvez les pages correspondantes dans CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

15 2. Un réseau d entreprises dense mais vulnérable Une densité de PME supérieure à la métropole Une croissance des TPE et des entités de 6 à 9 salariés plus marquée qu en métropole Source :Insee, calculs et analyses BPCE CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

16 2. Un réseau d entreprises dense mais vulnérable Des créations robustes et diversifiées Des créations robustes et concentrées sur les services > Le taux de survie après 5 ans est supérieur dans les Antilles à la moyenne mais nettement inférieur à la Réunion Sources : enquête SINE 2006, interrogation 2011 CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

17 2. Un réseau de PME dense mais vulnérable Une puissante dynamique de développement Une évolution rapide depuis 2000 : + 58% de PME dans les DOM contre +23% en métropole malgré de fortes disparités avec l impact de la crise de dans les Antilles face à la progression continue de la Guyane Source :Insee, calculs et analyses BPCE CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

18 2. Un réseau de PME dense mais vulnérable Une économie avant tout résidentielle dans les DOM CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

19 2. Un réseau de PME dense mais vulnérable Des PME de plus petite taille dans les DOM Les PME ultramarines, de plus petite taille qu en métropole, sont handicapées pour atteindre une taille critique suffisante (insularité, taille du marché, spécialisation résidentielle ) Source : données Experian ph, calculs et analyses BPCE CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

20 2. Un réseau de PME dense mais vulnérable Une proportion réduite de PME à faible risque dans les DOM Un net décrochage du niveau de risque des PME ultramarines : > Entre 15% et 19% de PME à risque peu élevé dans les DOM contre 40% en moyenne Source : données et notation «Megascore» Experian ph, calculs et analyses BPCE CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

21 2. Enjeu de développement des territoires La cession, un indicateur de dynamisme territorial Le dynamisme d un tissu d entreprises moyennes engendre un taux de cession élevé (Grand Ouest, Rhône- Alpes et Île-de-France) Des taux de cession très faibles dans les DOM > Guadeloupe : 2,1% > Guyane : 2,4% > Martinique : 2,3% > Réunion : 3,3% > Moy. Départements : 5,5% > Des écarts persistants à taille ou secteur comparable Source : données Experian ph, calculs et analyses BPCE CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

22 2. Un déficit de cessions dans les DOM Une fragilité spécifique à l outre-mer L écart se creuse avec la métropole aux âges les plus élevés, précisément au moment où la transmission devient nécessaire à la pérennité du capital productif CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

23 2. Un vieillissement préoccupant Le déficit de cessions accentue le vieillissement La part des dirigeants de plus de 60 ans dans les DOM, inférieure à la moyenne en 2005, la dépasse nettement en 2012, en particulier pour les entreprises de taille significative CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

24 2. Des disparitions non compensées par les créations Un risque à long terme d atrophie du tissu de PME CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

25 Retrouvez cette présentation et nos publications sur CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

26 Une méthodologie ajustée Des disparitions mieux identifiées > Une PME qui fait l objet d une annonce légale de cessation dans la base Altares est considérée comme disparue, même si elle n est pas encore radiée des listes de PME par l Insee Un meilleur dénombrement des changements de dirigeants > Suite à une opération de maintenance des bases «Dirigeants» en février 2012, les noms des dirigeants sont mieux répertoriés > Décalage de la comparaison des noms des dirigeants pour utiliser une base homogène : Non pas de janvier 2012 à décembre 2012, mais de mars 2012 à février 2012 Une estimation de la probabilité de cession de chaque PME plus précise > Prise en compte des annonces légales de changement de dirigeant en croisement avec les changements de noms de ces derniers dans la base «Dirigeants» d Altares CONFERENCE DE PRESSE, 18 mars

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