SAELEN Olivier MUGARD Nicolas LOMBARD Maxime. Réunion en ligne et Gestion de contenu vidéo

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1 Réunion en ligne et Gestion de contenu vidéo Université de Technologie de Troyes Printemps 2003

2 Sommaire Sommaire... 2 Remerciements... 3 Introduction... 4 Les réunions d entreprises Les faiblesses des réunions traditionnelles: Les apports de la réunion en ligne Les aspects techniques des réunions électroniques Les grands ensembles de techniques Les systèmes intégrés sur micro-ordinateurs L importance du réseau... 9 La gestion de contenu La gestion de contenu Web Les sites statiques Une évolution : les sites dynamiques Les plate-formes de développement polyvalentes La gestion de contenu Quelles en sont les fonctionnalités attendues? Quels en sont les intérêt? Un cas particulier : l indexation vidéo L indexation automatique Les problèmes Les solutions Le projet Chappes Kayak La compétition sportive : éliminatoires de Kayak Etude de l architecture technique Les fonctionnalités du site L architecture technique du projet Parallèle cas d entreprise Le cadre de l application d entreprise Mise en parallèle des acteurs Apports humains du projet Conclusion Bibliographie UTT P03 2

3 Remerciements Nous souhaitons remercier en premier lieu M. Jean Pierre Cahier pour nous avoir encadré tout au long de la réalisation du projet Kayak. Merci également à M. Dominique Mey et le service audiovisuel de la SME pour nous avoir prêté du matériel de prise de vue. Remercions aussi Mme Catherine Bourry, présidente du club de kayak de Chappes, pour son agréable accueil sur les lieux des éliminatoires. Enfin, des remerciements particuliers à Roland Ratsimiseta d être venu renforcer notre équipe technique, et de nous avoir apporté une précieuse aide le week-end de la compétition. UTT P03 3

4 Introduction Depuis des dizaines d années, le monde de l entreprise a connu de multiples révolutions : de grands groupes se sont formés, dissous, ont fusionné et le temps de l entreprise familiale semble bien révolu dans de nombreux domaines aussi bien du secondaire que du tertiaire. Mais, alors que les entreprises gagnent en taille et en nombre d employés ; et que celles-là même se voient parfois divisées en de multiples filiales, éparpillées autour du monde, se pose rapidement le problème de la communication. Il est en effet difficile et coûteux de parvenir à coordonner les travaux de sites distants : alors que les réunions inter-personnels sont bien souvent un passage obligé dans le cadre d une participation à un projet commun, de telles rencontres impliquent des dépenses importantes Un employé qui doit traverser la France pour se rendre à une réunion de travail coûte doublement de l argent à l entreprise, d abord pour les frais de déplacement, mais aussi parce qu il ne sera pas productif le temps du déplacement. Les outils informatiques répondent à ce problème : ainsi, avec l avènement des technologies réseau haut débit, il devient possible d organiser des réunions en lignes, sur plusieurs sites distants. Ces solutions, qui gagnent toujours plus en possibilités en proposant notamment de l interaction via les outils adéquats, comme le tableau blanc, permettent ainsi à l entreprise de faire de précieuses économies. Il existe un autre intérêt à ces réunions à distances informatisés : l archivage des connaissances échangées en devient facilité Et cela soulève aussi un autre problème : celui de la gestion de contenu, et de l indexation de documents. Il est pratique pour l entreprise d avoir à sa disposition une base importante de connaissances mais cela n a réellement d intérêt que si cette base peut être facilement mise à jour, et si son classement permet d en tirer les informations souhaitées avec aisance! D où l intérêt des nouvelles solutions de gestion de contenu et d indexation, qui fleurissent sur le marché. Nous présenterons d abord les attraits des réunions en ligne et de la vidéoconférence ; puis nous parlerons des problématiques de la gestion de contenu et de l indexation vidéo liée à la problématique de la vidéoconférence. Enfin, nous présenterons le «Projet kayak», qui nous a permis de mettre en pratique les connaissances acquises sur ce domaine. UTT P03 4

5 Les réunions d entreprises Les réunions sont d une importance décisive dans le bon fonctionnement d une entreprise. Elles permettent à des groupes de travail de prendre des décisions, mettre leur travail en commun. Ces réunions conventionnelles, aussi importantes soient-elles, montrent toutefois quelques faiblesses directement dues à la nature humaine. Nous allons donc voir leurs inconvénients et ensuite les réponses que les réunions électroniques peuvent apporter. 1. Les faiblesses des réunions traditionnelles: Une faiblesse des plus évidentes est bien entendu l obligation de proximité des membres de la réunion. Certaines entreprises multi sites se voient restreindre les possibilités de réunion du fait de l éloignement. Une réunion peut se transformer en un lieu où l affrontement des personnalités peut perturber le bon fonctionnement de la communication. Ainsi, les personnes timides auront plus de mal à faire valoir leurs idées face à des personnes au caractère plus extraverti. De même, l appréhension de l évaluation du groupe peut empêcher la communication d idées, notamment l évaluation négative provenant de membres à statut plus élevé. Il est aussi courant que les individus hésitent à critiquer les commentaires des autres par politesse ou par peur des représailles. De cela résulte le fait que les temps de parole de chacun des membres ne sont pas toujours respectés. Ainsi, ce ne sera pas forcement les bonnes personnes qui prendront la parole, et les éléments importants qui auraient pu être dit durant la séance ne le sont pas forcément. Le groupe peut constituer un obstacle à la diffusion d idées. Les participants doivent se concentrer pour écouter et mémoriser ce que disent les autres. Ils ont donc plus de mal à réfléchir à leurs nouvelles idées. Il n est pas exclu que le sujet des réunions dérive par rapport à l agenda initial. Cela est le plus souvent dû à un ordre du jour pas toujours bien défini. Cela peut donc entraîner des discussions trop nombreuses sur d autres sujets et donc altérer la qualité et l efficacité de la réunion. A l inverse, le groupe peut être surchargé d informations sur un même sujet, celles-ci étant présentées plus vite qu elles ne peuvent être traités. Certaines de ces faiblesses, notamment la gestion du temps de parole et de suivi des ordres du jour, tendent à disparaître grâce à des techniques de réunions et l ajout d outils d aides informatiques. Nous allons cependant voir comment les réunions électroniques peuvent apporter des réponses aux faiblesses des réunions traditionnelles. UTT P03 5

6 2. Les apports de la réunion en ligne Une meilleure structuration des réunions L utilisation d outils de réunion électronique, du fait de la nécessité d adaptation des supports à ce nouveau mode de communication, induit une conséquence positive. En effet, les supports doivent être préparés à l avance et suffisamment structuré dans le contenu, ceci permettant une plus grande qualité dans la nature des exposés. Communication parallèle La saisie par clavier en plus de la communication orale permet d ajouter un moyen de communiquer qui n est pas présent lors de réunions traditionnelles. Ce moyen de communiquer permet à la fois de favoriser l expression spontanée, la monopolisation de la parole n a plus lieu d être car il est possible de réagir sans déranger la personne qui s exprime, mais aussi de permettre aux participants de prendre le temps de réfléchir à leurs propos (écris). Cela permet donc de partager une plus grande quantité d information et de qualité supérieure (les arguments écrits seront plus précis et plus synthétique que s ils avaient été exprimés oralement). La communication écrite offre aussi la possibilité aux personnes timides d exprimer plus facilement leurs idées et donc prendre plus part à la réunion. Sauvegarde automatique des informations L utilisation d outils informatiques pour faire circuler l information durant une réunion, rend aisé l enregistrement automatique des participations (écrites, orales et vidéos). Les participants peuvent à tout instant quitter le groupe et revenir plus tard sans pour autant perdre les informations échangées durant leur absence. Il n est plus nécessaire de ce concentrer sur la compréhension et la prise en notes de tout ce qui a pu être dit durant la séance. Chacun peut donc prendre le temps de préparer sa prochaine intervention. Grâce à la sauvegarde automatique tout au long de la réunion, on peut se référer ultérieurement à tous les points abordés. Cette fonctionnalité permet d assurer pratiquement automatiquement la fonction de secrétariat de réunion. Chaque participant peut quitter la séance avec le compte rendu complet de la réunion (sur format papier ou électronique). Ces spécificités pratiques apportées par la visioconférence dépendent intégralement du type d outil utilisé. Nous allons donc voir dans la partie suivante les différents aspects techniques de la réunion en ligne. UTT P03 6

7 3. Les aspects techniques des réunions électroniques La téléréunion peut techniquement s incarner de plusieurs façons. Cela peut aller du plus simple, tel que les réunions téléphonique ou les échanges par messagerie instantanée, au plus complexe, tel que la visioconférence. Nous allons dans cette partie présenter une liste des grands ensembles de techniques rencontrées dans le monde de la réunion en ligne. Nous nous intéresserons par la suite plus particulièrement aux systèmes intégrés sur micro-ordinateur. Nous aborderons enfin l importance du réseau permettant de faire transiter les informations. 3.1 Les grands ensembles de techniques Il apparaît évident que le type de matériel nécessaire pour la mise en place d une application de visioconférence dépend directement de l utilisation qu il va en être fait. Ainsi, pour des applications personnel ou à petit moyen, de simples webcams suffisent pour leur simplicité d utilisation et leur prix abordable. Pour des utilisations plus professionnelles il est nécessaire d opter pour un équipement plus sophistiqué avec caméras vidéo et banc de montage. Les systèmes intégrés sur micro-ordinateurs s appuyant sur des équipements multimédias spécifiques Ce type d équipement est particulièrement adapté à des applications individuelles dans le cadre d échanges s établissant autours des postes de travail des personnes connectées. Ils offrent de grandes possibilités en matière de travail coopératif telles que les tableaux blancs et partages d applications. Cependant les fonctions audiovisuel de captation et visualisation sont notablement réduites. Le fait de s appuyer sur un système informatisé permet d offrir une grande multiplicité des moyens de communications qui vont se rajouter au media centrale qu est la visioconférence. Ainsi il peut y être ajouté des outils de chat, de gestion de contenu vidéo Les unités dédiées ou meubles de visioconférences constituées d un assemblage de matériels dédiés dans le domaine de l image et du son Ces équipements, relativement mobiles du fait de leur compacité, offrent des fonctions plus évoluées dans le traitement audiovisuel et sont particulièrement adaptés aux échanges de groupes jusqu à une vingtaine de personnes. Les studios de visioconférence intégrant des équipements de type télévisuel et nécessitant la présence de personnel technique supplémentaire Ces outils sont plus particulièrement dédiés à des opérations de grande envergure et pour les universités désirant réaliser ce type d application. UTT P03 7

8 3.2 Les systèmes intégrés sur micro-ordinateurs Nous nous intéresserons plus particulièrement aux systèmes intégrés sur micro-ordinateurs car ce sont les moyens le plus accessibles tant sur le plan financier que sur le plan de la simplicité d utilisation. Nous allons donc voir quelques outils utilisés pour réaliser de la visioconférence via des microordinateurs personnels (PC). On peut distinguer deux grands types d outils qui dépendent du type d utilisation : la visioconférence de n à n ou de 1 à n. Les visioconférences n à n correspondent à un besoin de rapprocher un groupe de personnes pour pouvoir retranscrire le scénario d une réunion traditionnelle (prise de parole, présentation de documents, ) dans un contexte d éloignement physique. Les applications 1 à n sont plus appropriées pour de la diffusion d information unidirectionnelle, où le retour de l auditoire n est pas nécessaire sur l instant. Ce type de visioconférence convient aux diffusions de colloques, présentation de produits, et autres diffusions informatives (retransmission télé, évènement sportif ). - Dans la catégorie des logiciels de visioconférence n à n, nous citerons Netmeeting et CUSeeme. o CUSeeme : cet outil offre la possibilité de se connecter avec plusieurs personnes à la fois en même temps. o NetMeeting : il offre de grandes possibilités en matière de travail coopératif. En effet, il ajoute à l échange audiovisuel (vidéo et audio) des outils de chat, tableaux blancs,. Cependant, il ne permet pas de réaliser de la multi conférence, seul un échange 1 à 1 est possible. - Pour ce qui est des applications de visioconférences de type 1 à n, nous allons plutôt introduire des concepts de diffusion qui sont le streaming et le multicast. o Le streaming : Le streaming est un moyen de diffusion de flux vidéo ou audio (ou les deux en même temps) en lecture direct sur internet. C'est-à-dire qu il n y a pas (ou peu) de phase de téléchargement entre le moment où l utilisateur clique sur le lien et le moment où la vidéo apparaît. Ce système de diffusion en flux tendu utilise un cache qui se remplit pendant la diffusion de la vidéo. Cette technique permet aussi d adapter le débit vidéo fourni en fonction de la rapidité de la connexion de l utilisateur. Pour les logiciels gratuits de streaming, le principal inconvénient de cette technique est que le débit de diffusion doit être proportionnel au nombre de connectés, car pour chaque client une connexion est ouverte en lui et le serveur (par exemple : pour servir 10 clients à 10Kbps, il faudrait un débit de sortie de 100Kbps). Pour la création de séquence avec ce format nous pouvons citer l outil Windows Media Encoder : cet outil permet de réaliser des fichiers au format streaming à partir de fichiers vidéos préenregistrés, mais aussi de diffuser des vidéos streaming en direct à partir d une source vidéo externe (caméra, webcam, ). Les solutions payantes s affranchissent quant à elles de ce défaut et permettent de faire du multicast. o Le multicast : Cette technique palie au problème de débit du streaming en offrant la caractéristique au serveur de n envoyer sur le réseau qu un seul paquet multimédia à une certaine adresse (nommée adresse du groupe multicast). Tous les clients qui souhaitent recevoir le flux multimédia informent leur lecteur de l adresse du groupe multicast, ce qui fait que tout les clients lisent le même paquet de données (d où le gain de bande passante). Ce principe fonctionne bien dans le domaine des réseaux locaux mais l exportation au niveau internet est UTT P03 8

9 plus délicate car elle nécessite l utilisation de routeur spécifiques (MRouteur ou routeur multicast). 3.3 L importance du réseau Un autre aspect technique, qu il est important d évoquer dans la mesure où il induit des pratiques différentes en terme d échanges, concerne les modalités de connexion entre les sites. Les modalités actuelles de transmission des signaux de visioconférence sont principalement de type RNIS ou Internet. Les capacités de transmission du médium influent sur la qualité des images et du son transitant dans ces échanges. Ainsi, au niveau de la qualité d image, celle-ci est réduite à la fois en terme de résolution mais aussi en terme de fluidité de mouvement. Les usagers doivent donc nécessairement adapter leur production visuelle à ces contraintes. Le traitement du son, l élément le plus significatif dans les échanges de visioconférence, entraîne lui aussi des pratiques adaptées. En effet, la nécessité de synchroniser les données images et sons traités séparément dans leur transmission entraîne des temps de latence pour chaque démarrage de prise de parole. Ceci induit donc un certain apprentissage dans la gestion de la parole limitant la spontanéité et la souplesse de réactions des participants. Les limites techniques actuelles doivent évidemment être relativisées dans la mesure où l évolution des bandes passantes des réseaux ainsi que des algorithmes de compression annihilera ces contraintes. UTT P03 9

10 La gestion de contenu 1. La gestion de contenu Web Le principe de la gestion de contenu est apparu grâce à l essor des technologies liées à Internet. Il existe plusieurs méthodes pour proposer des informations sur un site Internet. 1.1 Les sites statiques Aux débuts du réseau mondial, la gestion de contenu consistait simplement à mettre en ligne des informations pour pouvoir les partager avec des collègues, par exemple. Il n y avait alors que de petites quantités d informations à mettre à disposition. L auteur du site (le webmestre) était donc celui sur qui reposait la charge de la gestion du site et de ses contenus. Il s occupait aussi bien de la création, que de la maintenance et la mise à jour du contenu, Il avait alors beaucoup de responsabilités et de travail. L administration du site Internet d'une entreprise était donc fondée sur une gestion ultracentralisée des informations. Mais ces sites va connaître un succès grandissant et au fur et à mesure de cet engouement, des problèmes de gestion vont alors apparaître. En effet, le site prenant rapidement de l ampleur, la gestion des pages statiques devient difficile car seul un technicien peut mettre à jour le site (ce qui prend beaucoup de temps à ce dernier, le simple fait de devoir retoucher manuellement le contenu ou la charte graphique du site devient une corvée pour le webmestre.) et cela peut aussi être une source d erreur (de recopiage par exemple). D autre part, les technologies de l Internet évoluent constamment et le webmestre doit se tenir au courant et essayer de s y former, tout en assurant son rôle premier. Par ailleurs, le site, du fait de sa croissance touche un plus grand nombre d utilisateurs, qui ne maîtrisent pas ce langage technique. Cela peut mettre une barrière, et empêcher de bien échanger des informations avec le technicien. De plus, s ils veulent gérer eux-mêmes leurs contenus, ils sont obliger de s initier à ces techniques. Les sites statiques reposent essentiellement sur le langage HTML Malgré tout, ce dernier reste assez facile d accès même s il nécessite certaines connaissances de bases. Ainsi, pour éviter tous ces problèmes l entreprise a eu besoin de modifier le principe de la gestion du contenu de son site Internet. On assiste alors à une véritable industrialisation de la gestion de contenu. Le besoin de décentraliser s est fait ressentir : la création, la mise à jour, les différentes évolutions peuvent être effectuer par des tierces personnes, par forcément expertes en technologies de l Internet. 1.2 Une évolution : les sites dynamiques Par opposition aux sites statiques, de nouvelles technologies ont permis l apparition de sites dynamiques. Ils permettent de créer des pages à la volée, de manière très simple. On sépare donc la présentation des informations et les informations elles-mêmes. Les tâches répétitives sont automatisées et le site garde une charte graphique homogène. De plus, chaque personne de UTT P03 10

11 l entreprise est alors capable d actualiser le site (un simple formulaire à remplir permet d ajouter une information). Ce mode de création fonctionne très bien pour les petites applications. Il repose sur des technologies comme PHP et ASP (propriétaire). Mais la limite de ces types de sites est qu ils reposent souvent sur des systèmes à bases de données relationnelles qui demandent d écrire une application complète pour chaque nouveau projet alors que les fonctions nécessaires sont génériques. 1.3 Les plate-formes de développement polyvalentes Ce troisième type de site Internet est surtout dédié aux grosses entreprises, celles qui gèrent de très grosses quantités de données et d informations. Les plate-formes de développement polyvalentes sont extensibles et très évolutives. Elles fournissent des fonctions génériques et une base de données documentaires. Ce sont des sites dynamiques, très importants et conçus pour recevoir, gérer, classer de très grands volumes d informations. Ils ont été pensés pour simplifier le travail des grandes organisations qui opèrent avec de «grosses» applications, pour leur éviter les soucis caractéristiques des précédents types de sites (statiques et dynamiques simples). On obtient ainsi des serveurs d applications web associés à des systèmes de gestion de contenus ou CMS (Content Management System). Le concept de gestion de contenu prend alors une autre dimension. Les principaux produits sont Zope ou PHPNuke par exemple. 2. La gestion de contenu La gestion de contenu est l'ensemble des concepts et outils visant à résoudre les problèmes de production de contenu des sites web. Elle cherche à intégrer de manière intelligente les différents acteurs du site et les différents supports de diffusion de l'information. (extrait de «Zope - Premier site collaboratif avec Zope et le CMF», paru chez Eyrolles). 2.1 Quelles en sont les fonctionnalités attendues? 1) Contrôle des versions, cette fonction permet à plusieurs membres d une même équipe de travailler sur un même fichier, sans que les modifications des uns n écrasent le travail des autres. 2) Support des métadonnées, ces dernières sont des attributs permettant de qualifier des documents et de les classer, suivant des critères choisis. 3) L'indexation et la recherche, cela permet de proposer un outil de recherche puissant ayant pour bases les métadonnées ou bien le contenu des documents. 4) Une chaîne de validation, qui gère le cycle de vie d un document, en le faisant passer par différent «états». Ainsi, on peut contrôler la qualité de l information. 5) Une base de données documentaires, qui stocke les documents associés à leurs métadonnées. UTT P03 11

12 6) L intégration de sources de données externes, comme des bases LDAP ou XML, par exemple. 7) La gestion des utilisateurs, de leur rôle (droits d accès, permissions), de leur appartenance à un groupe (ayant un projet commun). 8) Mise en page / présentation, création de modèles de pages génériques ayant un aspect uniforme. 9) Interface utilisateur, pour la création et l édition de contenu pour les non-techniciens, pour convertir des documents bureautiques sous forme classique (word, excel, ). 10) Localisation, pour avoir des versions traduites en plusieurs langues, mais aussi pour proposer des informations spécifiques à région concernée. 11) Déploiement global, possibilité de mettre à jour en une seule opération un ensemble de sites locaux via un simple navigateur web. En général, les fournisseurs de logiciels de gestion de contenu n ont pas la solution complète intégrant toutes ces fonctionnalités mais des solutions particulières. 2.2 Quels en sont les intérêt? La gestion de contenu vise principalement à apporter une réponse aux problèmes suivants : - Réduction des coûts : les techniciens peuvent se concentrer sur des tâches qui sont propres à leurs compétences, ils ne sont plus les hommes à tout faire du site Internet. Ainsi, on élimine une partie des goulots d étranglement de la production Internet. Les non-initiés intègrent leurs informations très facilement (grâce aux formulaires d enregistrement). - Réduction des délais de publication : les documents produits par les différents utilisateurs sont presque immédiatement mis en ligne (formulaires) et grâce au déploiement global, une seule mise à jour peut actualiser plusieurs sites. De plus, les CMS permettent aussi de fournir une interface utilisateur configurable. - Augmentation de la valeur ajoutée du contenu : cette rapidité d actualisation permet d avoir en permanence des informations récentes et pertinentes. Par ailleurs, avec l aide des chaînes de validation, il est possible de gérer la qualité du contenu grâce à un suivi des données. De plus, les métadonnées permettent de trouver des informations plus pertinentes car les données sont mieux organisées. - Travail collaboratif : des groupes de travail évoluent efficacement dans leurs projets communs. L assignation de rôles et de droits, ainsi que le contrôle des données permettent d interagir tout en évitant les conflits et en contrôlant l accès aux données. Cela réduit aussi le manque d implication des utilisateurs, les risques d erreur et augmente la qualité de l information. - Décentralisation de la gestion d informations : chaque utilisateur peut participer s il en a les droits a la génération de contenu via un simple navigateur web, n importe où, n importe quand. UTT P03 12

13 Cependant, les logiciels de gestion de contenu ou CMS ne sont pas des produits parfaits mais peuvent être tout de même forts utiles. Voici quelques adresses où vous pourrez trouver des exemples de sites assez riches développés sur la base de ces CMS. 3. Un cas particulier : l indexation vidéo Dans le domaine documentaire, l indexation multimédia consiste à visionner les documents, les découper (pour en extraire les différentes parties) et les analyser. Il faut les décrire dans un langage documentaire tout en choisissant bien les index de référence parmi un vocabulaire contrôlé. Enfin, il faut saisir les notices documentaires qui indexent ce type de document. 3.1 L indexation automatique On peut remarquer que ce processus peut être automatisé pour les textes, il suffit d extraire les bons mots-clés et de créer des tables d index. L automatisation de l indexation de vidéos est possible et repose sur le principe suivant. Il faut affecter à des séquences vidéos des informations sur leur contenu (ce sont des métadonnées). Ce système peut s appliquer dans de nombreux domaines notamment les émissions télévisées, la gestion de médiathèque, des formations filmées, 3.2 Les problèmes Cependant, même si le principe général reste assez simple, il subsiste tout de même quelques problèmes. En effet, il n est aussi facile de faire ressortir automatiquement des mots-clés d une vidéo comme d un texte. Seul l humain peut le faire aisément. Il faut donc extraire des «signatures» du signal vidéo ou audio. Ces critères de recherche et d indexation peuvent être difficiles à choisir mais aussi difficile à repérer. Comment les reconnaître dans un contenu vidéo? De plus, les formats de fichiers sont opaques, compressés. Il devient difficile d en extraire de l information. Il y a beaucoup de mouvements de caméra, d acteurs. La structure peut être plus complexe que celle d un livre (à cause du montage). D autre part, pour les vidéos provenant de la radio ou de la télévision, il n y a pas de découpage. Les fichiers sont longs et donc lourds à gérer (les volumes de données deviennent vite importants malgré la compression). Il faut alors segmenter le flux de diffusion pour obtenir un découpage en séquences, qui seront plus adaptées à l indexation. Il est plus facile de décrire une courte vidéo qu une longue. Par ailleurs, il peut se produire des phénomènes de redondance d informations. En effet, au cours d un reportage, par exemple, il peut y avoir une séquence au début avec un speaker qui parle d un sujet et il peut y avoir exactement le même type à la fin sur le même sujet sans que le contenu soit le même. UTT P03 13

14 3.3 Les solutions Certains types de logiciels (les MAM Media Asset Management) ont été conçus pour essayer d apporter des solutions à ces problèmes. Leur principe général consiste à découper les vidéos en séquences et un «story-board» de la vidéo est alors créé. Le logiciel essaie alors de reconnaître des éléments repèrables (gingles, titres, ). Puis dans un second temps c est la phase d indexation. Elle peut être manuelle ou semiautomatique. Dans le premier cas, une personne est obligée d annoter manuellement les séquences suivant des critères définis. Dans le second cas, il peut y avoir une comparaison des séquences (prédéfinies et indexées) ou bien même une analyse des pixels (pour reconnaître un reportage, d un speaker par exemple). Néanmoins ces techniques ne sont pas encore tout à fait au point car elles restent difficiles à mettre en œuvre (images fondues entre deux scènes différentes par exemple) mais grâce aux progrès numériques, elles sont toujours en évolution. La mise en ligne du journal télévisé de TF1 utilise un de ces logiciels (HyperCast). Avant, cela mettait 2 heures, maintenant il suffit de 5 minutes. Tout d abord il y a récupération du JT avec son conducteur au format XML. Puis, le JT est découpé en petites séquences. Les données du conducteur sont ensuite associées aux séquences (heures, titres du sujet, nom du journaliste,...). Enfin, les séquences sont ensuite mises en ligne de manière automatique. Une autre solution d indexation vidéo existe. Il s agit de la faire intervenir plus tôt, c est à dire pendant la prise de vue. On peut citer par exemple SMIL2 (Langage d'intégration Multimédias Synchronisés), qui est un langage de création de documents multimédias. Un auteur peut ainsi décrire le comportement temporel d'une présentation multimédia, associer des liens hypertextes à des objets médias et décrire la disposition de la présentation sur un écran. Le standard MPEG-7 permettra d insérer directement dans le fichier vidéos des métadonnées et donc d'accélérer les processus d'indexation (il n y aura plus besoin de reprendre les vidéos par la suite). Mais il reste encore en cours de développement et n apparaîtra avant deux ou trois ans. L indexation vidéo est un projet auquel les entreprises accordent de plus en plus d importance et est donc en évolution, de nouveaux progrès sont à venir. UTT P03 14

15 Le projet Chappes Kayak Au milieu du semestre, occasion nous a été offerte de mettre en pratique les connaissances acquises sur les technologies de la vidéoconférence, dans le cadre d une manifestation sportive. Dans cette partie, nous présenterons d abord le contexte de la compétition, et l évolution des choix techniques envisagés. Puis la solution technique finalement retenue sera discutée ; enfin, nous dresserons un bilan de cette expérience. 1. La compétition sportive : éliminatoires de Kayak Le dimanche 27 avril 2003 ont eu lieu, à la base nautique de Chappes, les éliminatoires de Nationale 3 de kayak, pour le quart Nord-Est de la France. Cette compétition a regroupé ainsi 169 participants, issus des clubs des régions Ile de France, Champagne-Ardenne, Franche-Comté, Bourgogne, Alsace, Lorraine, Picardie, et Nord-Pas-de-Calais. C est la première fois que l'association d'education Populaire de l'aube, association s occupant de la gestion de la base nautique, a organisé une telle manifestation. A terme, le souhait de l AEPA est de faire de Chappes un lieu de passage récurrent du calendrier de la saison de kayak. Parallèlement à la manifestation, un site Internet 1 développé par Jean-Pierre Cahier a été réalisé. Ce site regroupe une présentation de la commune de Chappes et de la base nautique, le programme du week-end des 27 et 28 avril, ainsi que de nombreuses informations pratiques, comme les modalités d inscription, les plans d accès au lieu de la compétition, ou les offres d hébergement offertes aux alentours de Chappes. Mais, de part la volonté de marquer au maximum les esprits lors le la toute première venue d un tel évènement sportif à Chappes, et afin de garder un souvenir de cette compétition, l idée est venue de greffer au site Internet une section permettant de visionner le direct de la course le jour même, puis une fois la compétition terminée, de mettre à la disposition des internautes les vidéos de l évènement. Ainsi, ce projet nous aura été proposé dans le cadre d. 1 UTT P03 15

16 2. Etude de l architecture technique Pour le développement du projet, deux tâches distinctes peuvent être relevées : l élaboration des nouvelles pages du site Internet, et la mise en œuvre des moyens techniques sur la base nautique. Dans cette section, nous montrerons successivement l évolution des fonctionnalités initialement prévues du site web jusqu à leur forme finale, et l architecture technique envisagée, puis celle adoptée pour la prise de vue et la diffusion sur Internet. 2.1 Les fonctionnalités du site Un temps imaginées comme un nouveau site web à part entière auquel on aurait accédé via un lien de les pages permettant d accéder aux vidéos de direct puis de différé ont rapidement été intégrées directement au site existant. Une page a ainsi été créée, présentant le projet aux visiteurs du site. Il s agissait ensuite de définir les choix techniques envisagés pour la diffusion vidéo, puis de trouver quelles fonctionnalités pouvaient apporter une véritable valeur ajoutée autour de la présentation des vidéos de la course. La diffusion de vidéo en direct L un des points cruciaux de l application du projet était certainement le suivant : nous n avions aucun budget alloué à la mise en œuvre de l ensemble! D où obligation de se tourner vers les solutions gratuites offertes par le marché. En ce qui concerne les logiciels permettant de diffuser de la vidéo en continu sur le net, en mode «1 à n», trois solutions concurrentes nous sont apparues : ce sont les produits Real Producer de Real Networks, Quicktime Broadcaster de Apple, et Windows Media Encoder de Microsoft. Ces trois logiciels permettent d encoder et de diffuser gratuitement de la vidéo en streaming ; les flux ainsi transmis pouvant être lus par n importe quel internaute possédant le lecteur adéquat. Car c est là un défaut commun aux trois logiciels : le format vidéo des flux de sortie étant propriétaire, il n existe aucune compatibilité entre les trois offres. Ainsi, l internaute doit obligatoirement s équiper respectivement des logiciels de lecture Real One, Quicktime Player ou Windows Media Player pour accéder aux flux de streaming émis. La solution d Apple nécessite obligatoirement l emploi d un serveur Mac ; aussi, nous l avons d office rejeté. Restaient donc les produits de Real et de Microsoft ; mais c est Windows Media Encoder qui s est révélé être le plus simple à manipuler. Aussi, nous l avons installé dans sa version 9 sur le PC dédié à l encodage et à la diffusion vidéo. Afin de pouvoir être lu sur un ordinateur client, ce dernier doit respecter deux conditions. Il doit avant tout posséder Media Player 9 ; aussi, un bouton menant vers le site de téléchargement gratuit de ce logiciel a été créé dans la page. Par ailleurs, le PC doit connaître l adresse du flux streaming diffusé. Ce mécanisme de transmission sera détaillé dans la présentation de l architecture technique finale. UTT P03 16

17 La présentation du parcours L un des souhaits de développement a été de créer une page présentant le parcours de l épreuve. Ainsi, une vidéo de kayakiste descendant le bras de Seine sur lequel se trouve le slalom a été encodé, puis stockée sur le site. La page consacrée à cette présentation contenait en plus le fameux lien de téléchargement du Media Player 9, ainsi qu un avertissement : en effet, l emplacement des portes visibles sur la vidéo ne correspondait pas au tracé final. Il nous a été impossible de montrer le slalom définitif comme nous l aurions souhaité pour une raison toute simple : celui-ci n a été mis en place que le samedi 27 au soir, veille de l épreuve Le forum La mise en place d un forum a été envisagée, pour laisser la possibilité aux visiteurs du site de communiquer entre eux. Par ailleurs, un sujet spécifique aurait pu être créé le jour de la compétition, permettant aux internautes connectés de dialoguer avec une personne de la base nautique pour avoir, par exemple, des informations sur le déroulement de l épreuve. Or, ceci s est révélé être une fausse bonne idée! Tout d abord, la monopolisation d une personne supplémentaire pour l animation du forum le jour J aurait été impossible, chacun ayant déjà de quoi s occuper fort honnêtement Et, de manière plus générale, il faut faire attention à ne pas se laisser dépasser par la technique, et les vastes possibilités qu elle offre. Dans le cas présent, la mise en place d un forum ne relevait pas d une grande nécessité ; et s il avait été malgré tout implémenté, il y aurait eu de grandes chances pour que celui-ci demeure très rarement utilisé. Aussi, il était plus sage en terme d «image» de mettre de côté cette solution, l absence de forum étant bien plus souhaitable que la présence d un forum désespérément vide. La présentation du classement L un des souhaits de départ était de donner à l internaute le classement en temps réel de l épreuve, pendant la compétition. Pour cela, une base de données destiner à contenir les noms des participants, leur numéro de dossard et leur résultat a été crée sous MySQL. Un petit module, développé en Php, permettait la mise à jour de cette base de données. Mais, pour la même raison qui a été évoquée ci-dessus à savoir le manque de personne disponible à consacrer le jour de la compétition pour l application d une telle fonction, l évolution de classement en direct a du être abandonnée. Mais il n y a là pas trop de regrets à avoir ; car quand bien même nous aurions pu déléguer cette tâche à une personne à temps complet, l organisation même des juges chargés de relever les pénalités et les temps de chacun auraient rendu de toute façon impossible une évolution au cas par cas (tous au plus aurions-nous pu faire évoluer le classement d épreuve en épreuve). Ainsi, le classement n aura été finalement disponible qu après l épreuve, grâce à la personne chargée de l informatique qui nous a envoyé les tableaux de résultats. Le stockage des vidéos en différé Initialement, les vidéos stockées sur le site devaient être disponibles par l intermédiaire d une page consacrée, prenant la place de la page destinée à la diffusion de vidéo en direct. De plus, un module de recherche devait permettre de rechercher les vidéos présentant un critère donné ; par exemple, les vidéos des kayakistes de la catégorie K1HC, ou celles de kayakistes ayant malencontreusement dessalé L indexation des vidéos a ainsi été gérée en interne de la façon UTT P03 17

18 suivante : une table dans la base de données a été créée, afin de stocker le nom des vidéos. A chaque tuple correspondant à une vidéo, on associe plusieurs flags pouvant être à 0 ou à 1, selon que la vidéo en question entre ou non dans la catégorie demandée. Supposons qu une vidéo montre un kayakiste ayant dessalé, mais ayant malgré tout réussi à se redresser et finir sa manche : le flag de la catégorie dessalage sera mis à 1, et celui de la catégorie abandon à 0. Bien que techniquement tout à fait réalisable, et à forte valeur ajoutée, cette indexation n a pas été menée à son terme. En effet, problème récurrent dans la gestion de contenu vidéo : l indexation vidéo nécessite un investissement très important en terme de temps! Ainsi, en plus du temps consacré à traiter les vidéos récupérées, à les monter puis à les encoder, il aurait fallu regarder l ensemble des vidéos obtenues afin d en tirer des critères d indexation, puis de les répartir selon ces critères. Ce qui nous était malheureusement impossible La problématique d indexation est donc toujours en attente. Les vidéos n étant pour le moment pas classées, il n était plus aussi nécessaire de créer une page exclusive pour les vidéos. Finalement, ces dernières sont disponibles en cliquant sur le nom du kayakiste voulu dans la page des classements. 2.2 L architecture technique du projet L organisation de la prise de vue sur la base nautique a été le deuxième point important du projet. Pour ce faire, il a fallu partir en repérage sur l île ; puis nous avons imaginé une solution idéalement possible pour nous permettre de filmer et diffuser la vidéo en temps réel sur le net, ainsi qu une solution de secours en cas d impossibilité de mise en œuvre de la première solution. Cette partie présentera donc la configuration de l île et les différentes solutions techniques envisagées : le cas idéal et l architecture effectivement utilisée à savoir le cas de secours! L île de la base nautique Comme le montre la figure 1, l île de la base sépare la Seine en deux bras distincts. Le bras de gauche est moyennement large et peu profond, contrairement à celui de droite, utilisé par les Figure 1 : la base nautique de Chappes kayakistes. Ce dernier est lui-même séparé par une mince et longue bande de terre, sur la moitié de sa longueur. A l amont de cette bande, du côté droit, se trouvent des vannages permettant de contrôler le courant. Ainsi, les kayakistes partent sur le petit bras régulé par ces vannages, entre la UTT P03 18

19 bande de terre et un moulin appartenant à un particulier ; puis ils continuent entre l île principale et le rivage droit, avant de finir leur course un peu plus loin. Deux sources d électricité étaient disponibles indiquées sur le schéma ci-dessus : l une, en se branchant sur le bâtiment principal de l île, l autre via une prise située le long du bloc de vannages. Les différents acteurs intervenant le jour de la compétition Afin de voir avec quels acteurs locaux et dans quelle mesure nous allions interagir principalement le jour de la course, et pour contrôler quelles seront précisément les tâches à effectuer, nous avons modélisé différents diagrammes UML de cas d utilisation (figure 2). Figure 2 : cas d'utilisation de la diffusion en direct Les kayakistes représentent bien évidemment le cœur de la réalisation vidéo ; quant aux jurys, si nous pensions à l origine collaborer avec eux pour présenter par exemple l évolution des résultats, le manque de personnel et des moyens techniques adéquats aura rendu les interactions avec ces acteurs limitées. Le preneur de vue est chargé de filmer chacun des participants tout au long de l épreuve ; comme nous le verrons plus bas, il aura fallu en fait deux personnes différentes pour occuper ce poste. L acteur «prestataire Internet» était initialement pressenti comme étant un intervenant tiers, finalement il n en sera rien. Ainsi, cette dimension du projet n aura pas demandé de ressources en personne le jour de la compétition. Le rôle de technicien devait être à l origine moins gourmand en mobilisation de personnel, ne concernant principalement que la mise en place du matériel. Ainsi, il pouvait être joué par n importe lequel d entre nous avant le début de la compétition. Cependant, à cause de l architecture technique finalement adoptée, son rôle aura été renforcé. UTT P03 19

20 Enfin, le rôle de webmestre, qui devait à l origine collaborer avec les jurys, n aura finalement pas eu lieu d être le jour même de la compétition, pour les raisons décrites ci-dessus. La connexion à Internet Le point crucial de la diffusion de vidéo était sûrement celui-ci! Trouver un point de connexion à Internet ne s est pas fait sans difficultés. En effet, nous devions absolument trouver une connexion présentant un taux d upload de l ordre de 64Kb minimum ; la connexion via le réseau RTC ne permettant qu un upload théorique à 33Kb (dans la pratique, ce taux n est en plus que très rarement atteint), toute connexion classique s est vite retrouvée bannie. Par ailleurs, l ADSL et ses royaux 128Kb de taux en upload ne sont pas disponibles à Chappes Ainsi, si des solutions intermédiaires ont été un temps envisagées l utilisation d un cyberbus notamment, l idéal aurait été de trouver une connexion Numéris, qui présente un taux d upload de 64Kb. La prospection chez plusieurs voisins de la base n ayant donné aucun résultat, Jean-Pierre Cahier a finalement adopté une connexion Numéris pour son propre domicile, nous autorisant à diffuser la vidéo le jour de l épreuve. La configuration imaginée Afin de récupérer l intégralité du parcours, il fallait impérativement deux caméras, l une filmant la première moitié du slalom, l autre la seconde ; et donc, deux preneurs de vue. Les caméras nous ont été prêtées par le service audiovisuel de l UTT. Diffuser les deux caméras sur le net aurait supposé l utilisation d une table de montage ; or, à cause de nos moyens financiers inexistants, nous ne pouvions pas nous procurer de tel matériel. Aussi, décision a été prise de n utiliser les images que d une seule caméra pour la diffusion en direct, l autre servant exclusivement à récupérer des images pour les vidéos en différé. L idée de base était d installer un ordinateur sur l île, équipé d une carte d acquisition vidéo sur laquelle on aurait branché l une des deux caméras. Ce PC aurait été connecté à un deuxième ordinateur, relié à Internet, par réseau Wifi. En effet, en plein air, une connexion Wifi offre des débits plus que suffisants pour ce dont nous avions besoin D autre part, nous n aurions eu aucun ennui législatif. Il faut savoir que le Wifi utilise une bande de fréquence utilisée par l armée ; et, jusqu à très récemment, toute utilisation de cette technique de réseau en plein air était interdite, sauf autorisation spéciale. Heureusement, une dérogation récente a assoupli cette loi pour une cinquantaine de départements, dont celui de l Aube. Bref, cette solution aurait pu être concluante. si nous avions réussi à trouver des cartes Wifi! En effet, malgré nos recherches, nous n avons pas pu nous faire prêter le matériel voulu. D où modification obligée de l architecture et la configuration retenue! L idée des deux caméras a été reprise, de même que l utilisation d un PC sur l île. Mais, alors que ce PC devait initialement recevoir les images destinées à être diffusées en direct, il a au contraire servi à encoder et stocker les images destinées uniquement au différé, au fur et à mesure de la prise d images. La deuxième caméra enregistrait les images du «direct» sur une cassette d une heure ; puis, une fois la cassette finie, elle était acheminée vers l ordinateur connecté au net, par la personne faisant office de «technicien», et coordonnant ainsi tout le processus de diffusion. Cet ordinateur était relié à une troisième caméra, qui faisait office de lecteur pour la cassette apportée. L image était ainsi récupéré par Windows Media Encoder, et diffusée sur le net. UTT P03 20

21 Figure 3 : l'architecture technique Parallèlement à cela, le code suivant a été ajouté sur la page de diffusion en direct : <div align="center"> <EMBED TYPE="application/x-mplayer2" SRC=«video.asx" WIDTH="160" HEIGHT="120" AUTOSTART="1" SHOWCONTROLS="0"> </EMBED> </div> Ce code HTML permet d afficher un petit lecteur Media Player au sein même de la page. Le fichier source indiqué par un tel code est généralement un fichier vidéo ; or, ici, nous voulions nous connecter au flux de streaming. Pour cela, nous avons utilisé un fichier *.asx : il s agit d un fichier au format XML, contenant l adresse IP et le port du serveur de streaming émettant le flux, en plus d autres informations utiles comme l auteur des images. <ASX Version="3.0"> <AUTHOR>Université de Technologie de Troyes - Printemps 2003</AUTHOR> <TITLE>Eliminatoires de Kayak National 3 à Chappes (Aube) - 27 avril 2003</TITLE> <PARAM name="artist" value="jean-pierre Cahier"/> <ENTRY> <REF HREF=" <AUTHOR>Université de Technologie de Troyes - Printemps 2003</AUTHOR> <COPYRIGHT>(P) 2003 Université de Technologie de Troyes</COPYRIGHT> <TITLE>Eliminatoires de Kayak National 3 à Chappes (Aube) - 27 avril 2003</TITLE> <PARAM name="artist" value="jean-pierre Cahier"/> </ENTRY> </ASX> Ainsi, la compétition aura été finalement diffusée le jour J même si le «direct» souhaité a du souffrir d un léger décalage! UTT P03 21

22 Parallèle cas d entreprise Le cas d étude que nous avons développé nous a permis d appliquer les techniques de visioconférence 1 à n et de gestion de contenu vidéo dans le cadre d un évènement sportif. Cependant, ce type d application, dans un cadre strictement professionnel et à des fins coopératives, présenterait une architecture notablement similaire. Nous allons donc voir dans cette partie un comparatif de notre cas d étude avec un cas d entreprise que nous avons jugé des plus représentatif. 1. Le cadre de l application d entreprise Le cas d entreprise choisit est des plus classique car il s agit de la diffusion d un colloque ou d un séminaire sur Internet assistée par des outils de visioconférence et de gestion de contenu. Les participations de chaque intervenant seraient filmées en intégralité, diffusées en temps réel sur Internet puis indexées pour pouvoir être consultées en différé. La situation de l endroit où se déroule le télé séminaire pourrait se caractériser par l exemple montré sur la figure 4 : Animateurs Local technique : facilitateur Auditoire Figure 4 : séminaire diffusé sur le net Nous sommes donc dans la situation d une salle de conférence où les intervenants s expriment devant un auditoire tout en étant filmés. Le point et les pointillés rouges représentent la camera et son angle de vue, permettant de filmer les prestations des intervenants. En vert, une camera permettant de capturer les éventuelles interventions de l auditoire local. Dans le local technique, le facilitateur supervisera le bon déroulement technique de la réunion. UTT P03 22

23 En ce qui concerne l auditoire distant, il peut être constitué de groupe de travail faisant partie de la même entreprise (ou de filiale) et que l éloignement géographique ne permettrait pas d être physiquement présent aux conférences. Du fait de l utilisation du réseau Internet, cet auditoire peut aussi très bien être constitué de particuliers (en relation ou non avec l entreprise), moyennant d éventuels droits d accès. Ceux-ci pourront accéder au télé séminaire via leur ordinateur personnel. L architecture au niveau de l auditoire distant pourrait se présenter selon le schéma de la figure 5 : INTERNET Figure 5 : salle connectée à une session de conférence télédiffusée Nous aurions donc, à gauche, la diffusion du télé séminaire sur écran géant à plusieurs personnes. Et à droite, l auditeur particulier qui pourrait suivre les évènements depuis son domicile ou son bureau. Il est évident que la situation d échange d information d une réunion traditionnelle n est pas réalisable ici du fait du caractère 1 à n de la visioconférence. Cependant l adjonction d autres outils de dialogue, tels que des chats ou des forums, entre les auditeurs distants et des personnes compétentes au niveau de l endroit du déroulement du télé séminaire, pourrait rajouter une dimension communicative intéressante pour les participants. 2. Mise en parallèle des acteurs Nous avions définit, dans une partie précédente, les acteurs de notre projet de diffusion d une compétition de kayak. Il est aisé de reprendre ces acteurs et d en trouver une association dans la situation décrite précédemment. Le tableau figure 6 décrit ces associations. L acteur "prestataire internet" est un élément important dans la visioconférence. Dans notre cas d étude, il était dicté par spécificité géographique du lieu de l évènement, donc assez peu adapté pour ce genre de transmission. Dans le cadre d une application en entreprise, il parait évident que celle-ci soit doté d une liaison spécialisé offrant un débit suffisant pour ce type d application. UTT P03 23

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