MODE D ACTION DE LA MESOTHERAPIE

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1 MODE D ACTION DE LA MESOTHERAPIE

2 A/ GENERALITES Le ou les modes d action de la mésothérapie sont encore du domaine de l hypothèse. A partir du constat clinique du Dr Pistor dans les années 50, on a tenté de passer de l empirisme à un spécificité thérapeutique reposant sur des bases scientifiques. Mais les quelques travaux fondamentaux ébauchés ont rapidement montré leur limite, les universitaires et les scientifiques n étant pas été particulièrement enthousiastes sur le sujet.

3 Le geste de mésothérapie associe une puncture et l injection d un certain volume de liquide. Le binôme piqûre-injection est indissociable et chacun de ces temps peut entraîner des effets qui lui sont propres. B/ EFFETS DE LA PUNCTURE Toute stimulation de la peau (piqûre) déclenche une série d actions réflexes neurologiques, circulatoires, et immunologiques.

4 1.Actions réflexes neurologiques stimulation des nocicepteurs cutanés libération de médiateurs chimiques transmission aux centres médullaires et centraux mise en jeu des mécanismes inhibiteurs de la douleur 2.Actions circulatoires Stimulus mécanique libération de médiateurs chimiques vasodilatateurs type histamine, bradykinines... 3.Immunologiques Microplaie réaction des systèmes de défense cutanés zone de granulation

5 C/ EFFETS DE L INJECTION : CONCEPT DES 4 UNITES DE COMPETENCE En 1987, Dalloz-Bourguignon, Huteau et Kaplan présentent à la SFM leur conception de la mésothérapie, en tant que système thérapeutique basé sur des notions de physiologie et d anatomie.

6 I- CONCEPT DES 3 CONJONCTIFS : Division du tissu conjonctif en 3 types : 1. Le tissu conjonctif papillaire (< 2 mm) 2. Le tissu conjonctif réticulaire (entre 2 et 6 mm) 3. Le tissu conjonctif lamellaire (> 6 mm), plongeant dans les travées conjonctives hypodermiques, constituant les fascias. Chaque tissu conjonctif a ses propres structures histologiques et ses modes de fonctionnement dépendant de sa richesse en cellules immunocompétentes, en terminaisons nerveuses et en densité du réseau vasculaire.

7 1. TC papillaire est superficiel, < à 2mm, dans le derme, semi-fluide, peu structuré, hypercompétent sur le plan microcirculatoire, immunologique et neurologique. 2. TC réticulaire est plus profond, entre 2mm et 6mm, dans le derme, structuré, résistant par ses fibres élastiques, riche en gros vaisseaux. 3. TC lamellaire, conjonctif d accompagnement, dans l hypoderme, riche en adipocytes et accompagnant les paquets vasculo-nerveux auxquels il sert de support.

8 L ensemble de ces 3 conjonctifs baigne dans la substance fondamentale sol / gel, dont le rôle circulatoire et d échanges trophiques est primordial, en plus de son rôle de soutien architectural tiré de sa résille de fibres collagènes et élastiques et de réticuline. Le concept des 3 conjonctifs passe ainsi au concept des 4 unités de compétence.

9 II- CONCEPT DES 4 UNITES DE COMPETENCE 4 unités de compétence : U.C. Immunologique (UCI) U.C. Neurologique (UCN) U.C. Circulatoire (UCC) U.C. Fondamentale (UCF) Les 3 premières baignent dans la 4ème et chaque unité possède : une zone de compétence exclusive (sauf UCF) une zone de compétence partagée une zone de multicompétence Ceci est représenté par le diagramme de VENN

10 UCF UCI UCC UCN DIAGRAMME DE VENN

11 II-A/ Unité de Compétence Fondamentale C est la matrice extra cellulaire rôle nutritionnel. Sol/gel de consistance variable selon la température, la pression oncotique des protéines, la vitesse circulatoire Contient des fibres collagènes et élastiques, des cellules immunocompétentes (macrophages, lympho.t ), des cellules de structure (fibroblastes+) et des médiateurs cellulaires.

12 II-A/ Unité de Compétence Fondamentale Très riche en lymphatiques initiaux captage lymphatique++ et rôle déterminant dans l hydratation et l homéostasie extra cellulaire

13 II-B/ Unité de Compétence Circulatoire Située dans le derme papillaire (2 à 3 mm) avec le réseau planiforme superficiel, constituée de vaisseaux de 40 à 60 microns de diamètre, non fenêtrés, qui alimentent les capillaires et les glomi artériolaires.

14 II-B/ Unité de Compétence Circulatoire Elle intervient par ses 5 compartiments circulatoires :. artériel. capillaire. interstitiel. lymphatique. veineux régulation thermique, des échanges gazeux et nutritionnels, véhicule les informations par médiateurs...

15 La vascularisation sanguine et lymphatique de la peau.(d après Dubreuil et Baudrimont) * *

16 II-C/ Unité de Compétence Neurologique C est l unité de perception-réponse de la peau, avec une répartition métamérique des récepteurs et des effecteurs. Récepteurs sensitifs et récepteurs nociceptifs En relation avec le SN (réflexe axonal, gate control, système sympathique ) Entre 2 et 4 mm, dans le derme papillaire et réticulaire.

17 L innervation de la peau. Systématisation schématique (D après Dubreuil et Baudrimont ) * * *

18 II-D/ Unité de Compétence Immunologique La peau est une enveloppe et un organe de défense aux agressions physiques, thermiques, chimiques et bactériologiques. 3 lignes de défense : 1ére ligne : cellules de Langerhans (même origine que macrophages, présentant les antigènes aux lymphocytes T) et kératinocytes 2ème ligne : lymphocytes T (immunité cellulaire), macrophages (phagocytose), cellules extravasées des capillaires 3ème ligne : drainage lymphatique avec relais par le secteur intravasculaire et le système immunitaire général

19 D/ THEORIE NEURO-ENDOCRINIENNE Proposée en 1982 par Didier Mréjen et basée sur les 4 notions de base de la Mésothérapie Ponctuelle Systématisée : I- La Séméiologie Objective Systématisée II- La Dermo-Neuro-Dystrophie III- La chrono-physio-pathologie IV- Les échelles d algologie

20 I- La Séméiologie Objective Systématisée : Séméiologie cutanée recherchant les points douloureux par la pression et le pincé-roulé qui conduit à une cartographie de points réflexes (Head, Travell, Valleix, Jarricot et Maigne). Cette cartographie a été validée par Mréjen à partir de travaux personnels.

21 II- La Dermo-Neuro-Dystrophie : Cette séméiologie repose sur la notion de dermoneuro-dystrophie, chaque pathologie correspondant à une zone douloureuse anatomiquement définie, localisée au derme ou au tissu sous-cutané (douleur référée). Les lésions dégénératives, en particulier rachidiennes, sont rattachées à un «segment mobile neurophysiologique» et les structures douloureuses en relation avec ce segment se projettent en des points cutanés particuliers, fixes et constants.

22 III- La chrono-physio-pathologie : Le médicament est choisi en fonction de la pathologie, mais aussi de la Dermato-Neuro-Dystrophie et de la «tonalité» de la douleur. IV- Les échelles d algologie : La mise en application de la Mésothérapie Ponctuelle Systématisée nécessite une codification objective et subjective de la douleur.

23 La Mésothérapie Ponctuelle Systématisée est une technique proposant 3 choix : - choix du médicament en fonction de la pathologie et de sa projection cutanée - choix de la poncture, en projection orthogonale de la douleur et sur des point réflexes fixes, fiables et reproductibles regroupés sur des cartographies - choix de la profondeur d injection fonction de l examen cutané

24 Synthèse des mécanismes d action de la mésothérapie La poncture Actions réflexes neurologiques Actions circulatoires Actions immunologiques Local Le mélange Systémique Actions sur les nocicepteurs Actions micro-circulatoires Actions immunologiques Biodistribution et biodisponibilité Pas de 1er passage hépatique Retard d élimination Fixation aux récepteurs

25 CONCLUSIONS La théorie des 4 unités de compétence et la Mésothérapie Ponctuelle Systématisée permettent : - d appréhender logiquement le mode d action de la mésothérapie - d adopter une attitude thérapeutique réfléchie à propos des profondeurs d injection et des mélanges utilisés pour les différentes pathologies - de pratiquer une mésothérapie plus performante que l application de recettes

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