MODE D ACTION DE LA MESOTHERAPIE
|
|
- Alain Lheureux
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MODE D ACTION DE LA MESOTHERAPIE
2 A/ GENERALITES Le ou les modes d action de la mésothérapie sont encore du domaine de l hypothèse. A partir du constat clinique du Dr Pistor dans les années 50, on a tenté de passer de l empirisme à un spécificité thérapeutique reposant sur des bases scientifiques. Mais les quelques travaux fondamentaux ébauchés ont rapidement montré leur limite, les universitaires et les scientifiques n étant pas été particulièrement enthousiastes sur le sujet.
3 Le geste de mésothérapie associe une puncture et l injection d un certain volume de liquide. Le binôme piqûre-injection est indissociable et chacun de ces temps peut entraîner des effets qui lui sont propres. B/ EFFETS DE LA PUNCTURE Toute stimulation de la peau (piqûre) déclenche une série d actions réflexes neurologiques, circulatoires, et immunologiques.
4 1.Actions réflexes neurologiques stimulation des nocicepteurs cutanés libération de médiateurs chimiques transmission aux centres médullaires et centraux mise en jeu des mécanismes inhibiteurs de la douleur 2.Actions circulatoires Stimulus mécanique libération de médiateurs chimiques vasodilatateurs type histamine, bradykinines... 3.Immunologiques Microplaie réaction des systèmes de défense cutanés zone de granulation
5 C/ EFFETS DE L INJECTION : CONCEPT DES 4 UNITES DE COMPETENCE En 1987, Dalloz-Bourguignon, Huteau et Kaplan présentent à la SFM leur conception de la mésothérapie, en tant que système thérapeutique basé sur des notions de physiologie et d anatomie.
6 I- CONCEPT DES 3 CONJONCTIFS : Division du tissu conjonctif en 3 types : 1. Le tissu conjonctif papillaire (< 2 mm) 2. Le tissu conjonctif réticulaire (entre 2 et 6 mm) 3. Le tissu conjonctif lamellaire (> 6 mm), plongeant dans les travées conjonctives hypodermiques, constituant les fascias. Chaque tissu conjonctif a ses propres structures histologiques et ses modes de fonctionnement dépendant de sa richesse en cellules immunocompétentes, en terminaisons nerveuses et en densité du réseau vasculaire.
7 1. TC papillaire est superficiel, < à 2mm, dans le derme, semi-fluide, peu structuré, hypercompétent sur le plan microcirculatoire, immunologique et neurologique. 2. TC réticulaire est plus profond, entre 2mm et 6mm, dans le derme, structuré, résistant par ses fibres élastiques, riche en gros vaisseaux. 3. TC lamellaire, conjonctif d accompagnement, dans l hypoderme, riche en adipocytes et accompagnant les paquets vasculo-nerveux auxquels il sert de support.
8 L ensemble de ces 3 conjonctifs baigne dans la substance fondamentale sol / gel, dont le rôle circulatoire et d échanges trophiques est primordial, en plus de son rôle de soutien architectural tiré de sa résille de fibres collagènes et élastiques et de réticuline. Le concept des 3 conjonctifs passe ainsi au concept des 4 unités de compétence.
9 II- CONCEPT DES 4 UNITES DE COMPETENCE 4 unités de compétence : U.C. Immunologique (UCI) U.C. Neurologique (UCN) U.C. Circulatoire (UCC) U.C. Fondamentale (UCF) Les 3 premières baignent dans la 4ème et chaque unité possède : une zone de compétence exclusive (sauf UCF) une zone de compétence partagée une zone de multicompétence Ceci est représenté par le diagramme de VENN
10 UCF UCI UCC UCN DIAGRAMME DE VENN
11 II-A/ Unité de Compétence Fondamentale C est la matrice extra cellulaire rôle nutritionnel. Sol/gel de consistance variable selon la température, la pression oncotique des protéines, la vitesse circulatoire Contient des fibres collagènes et élastiques, des cellules immunocompétentes (macrophages, lympho.t ), des cellules de structure (fibroblastes+) et des médiateurs cellulaires.
12 II-A/ Unité de Compétence Fondamentale Très riche en lymphatiques initiaux captage lymphatique++ et rôle déterminant dans l hydratation et l homéostasie extra cellulaire
13 II-B/ Unité de Compétence Circulatoire Située dans le derme papillaire (2 à 3 mm) avec le réseau planiforme superficiel, constituée de vaisseaux de 40 à 60 microns de diamètre, non fenêtrés, qui alimentent les capillaires et les glomi artériolaires.
14 II-B/ Unité de Compétence Circulatoire Elle intervient par ses 5 compartiments circulatoires :. artériel. capillaire. interstitiel. lymphatique. veineux régulation thermique, des échanges gazeux et nutritionnels, véhicule les informations par médiateurs...
15 La vascularisation sanguine et lymphatique de la peau.(d après Dubreuil et Baudrimont) * *
16 II-C/ Unité de Compétence Neurologique C est l unité de perception-réponse de la peau, avec une répartition métamérique des récepteurs et des effecteurs. Récepteurs sensitifs et récepteurs nociceptifs En relation avec le SN (réflexe axonal, gate control, système sympathique ) Entre 2 et 4 mm, dans le derme papillaire et réticulaire.
17 L innervation de la peau. Systématisation schématique (D après Dubreuil et Baudrimont ) * * *
18 II-D/ Unité de Compétence Immunologique La peau est une enveloppe et un organe de défense aux agressions physiques, thermiques, chimiques et bactériologiques. 3 lignes de défense : 1ére ligne : cellules de Langerhans (même origine que macrophages, présentant les antigènes aux lymphocytes T) et kératinocytes 2ème ligne : lymphocytes T (immunité cellulaire), macrophages (phagocytose), cellules extravasées des capillaires 3ème ligne : drainage lymphatique avec relais par le secteur intravasculaire et le système immunitaire général
19 D/ THEORIE NEURO-ENDOCRINIENNE Proposée en 1982 par Didier Mréjen et basée sur les 4 notions de base de la Mésothérapie Ponctuelle Systématisée : I- La Séméiologie Objective Systématisée II- La Dermo-Neuro-Dystrophie III- La chrono-physio-pathologie IV- Les échelles d algologie
20 I- La Séméiologie Objective Systématisée : Séméiologie cutanée recherchant les points douloureux par la pression et le pincé-roulé qui conduit à une cartographie de points réflexes (Head, Travell, Valleix, Jarricot et Maigne). Cette cartographie a été validée par Mréjen à partir de travaux personnels.
21 II- La Dermo-Neuro-Dystrophie : Cette séméiologie repose sur la notion de dermoneuro-dystrophie, chaque pathologie correspondant à une zone douloureuse anatomiquement définie, localisée au derme ou au tissu sous-cutané (douleur référée). Les lésions dégénératives, en particulier rachidiennes, sont rattachées à un «segment mobile neurophysiologique» et les structures douloureuses en relation avec ce segment se projettent en des points cutanés particuliers, fixes et constants.
22 III- La chrono-physio-pathologie : Le médicament est choisi en fonction de la pathologie, mais aussi de la Dermato-Neuro-Dystrophie et de la «tonalité» de la douleur. IV- Les échelles d algologie : La mise en application de la Mésothérapie Ponctuelle Systématisée nécessite une codification objective et subjective de la douleur.
23 La Mésothérapie Ponctuelle Systématisée est une technique proposant 3 choix : - choix du médicament en fonction de la pathologie et de sa projection cutanée - choix de la poncture, en projection orthogonale de la douleur et sur des point réflexes fixes, fiables et reproductibles regroupés sur des cartographies - choix de la profondeur d injection fonction de l examen cutané
24 Synthèse des mécanismes d action de la mésothérapie La poncture Actions réflexes neurologiques Actions circulatoires Actions immunologiques Local Le mélange Systémique Actions sur les nocicepteurs Actions micro-circulatoires Actions immunologiques Biodistribution et biodisponibilité Pas de 1er passage hépatique Retard d élimination Fixation aux récepteurs
25 CONCLUSIONS La théorie des 4 unités de compétence et la Mésothérapie Ponctuelle Systématisée permettent : - d appréhender logiquement le mode d action de la mésothérapie - d adopter une attitude thérapeutique réfléchie à propos des profondeurs d injection et des mélanges utilisés pour les différentes pathologies - de pratiquer une mésothérapie plus performante que l application de recettes
LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailLe Lipocontrol contre les amas graisseux
Extrait du BLOG VOTRE BEAUTE Le Lipocontrol contre les amas graisseux La lipolyse laser, nous vous en avions parlé dans la rubrique "Moi j'ai osé" du Votre Beauté de juin 2007. En une seule séance, sans
Plus en détailPROPRIÉTÉS D'UN LASER
PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détail2010 DJO - 00-0936-FR - Rev A
DJO France S.A.S Centre Européen de Fret 3 rue de Béthar 64990 Mouguerre FRANCE Tel: +33 (0)5 59 52 80 88 Fax: +33 (0)5 59 52 62 99 Email: physio@djoglobal.com www.djoglobal.fr a brand 2010 DJO - 00-0936-FR
Plus en détailDASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006
DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006 Place des Nouveaux Tests de Dosage de L INTERFERON GAMMA dans le diagnostic de la Tuberculose Fadi ANTOUN, Cellule Tuberculose DASES Le Quotidien du Médecin 2005
Plus en détail*Test sur 20 femmes présentant des taches de sénescence sur les 2 mains et sur le visage. Age moyen 59 ± 1 an. Test par colorimétrie.
WHITE RESOLUTION SOIN ÉCLAIRCISSANT ANTI-TÂCHES, ANTI-ÂGE AU WHITESPHERE TM PREMIUM ET IPARZINE -4A PERFORMANCE PRODUIT Ce soin est une formule ultra-active qui permet de lutter efficacement contre les
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailCOMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE
COMMENT DEVENIR KINÉSITHÉRAPEUTE DESCRIPTION DU MÉTIER Le masseur-kinésithérapeute ou «kiné» dans le langage courant, effectue sur prescription médicale des actes de gymnastique médicale, de massage, de
Plus en détailLa pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle
UEMPSfO - Physiologie Chapitre 4 : La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle Professeur Christophe RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailDERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES
DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies
Plus en détailLes nouveaux traitements du psoriasis
Les nouveaux traitements du psoriasis Ci-après, vous trouverez 3 articles, parus récemment, parmi d'autres tout aussi intéressants, dans notre bulletin trimestriel Pso Magazine: - un extrait de l'exposé
Plus en détailCommuniqué de presse. Merck Serono. 18 septembre 2008
Communiqué de presse 18 septembre 2008 Merck Serono annonce le lancement de l'essai clinique ORACLE MS destiné à évaluer la cladribine en comprimés chez des patients à risque de développer une sclérose
Plus en détailEpaisseur cutanée. Et selon le sexe : femme < homme
Plan Épaisseur cutanée Absorption transcutanée Protection contre la pénétration d allergènes Protection contre la pénétration d agents infectieux JPSA Thermorégulation Nettoyage de la peau Hydratation
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailLa version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailCahier 7. Le soin des plaies : Principes de bases
Cahier 7 Le soin des plaies : Principes de bases Julie Vézina, Inf, M.Sc. (étudiante) Chantal Saint Pierre, Inf, Ph. D Professeure du département des sciences infirmières, UQO Graphiste : Camille Girard
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailComment faire disparaître une Cicatrice de façon Naturelle. Une Peau au Naturel
Comment faire disparaître une Cicatrice de façon Naturelle Une Peau au Naturel Pourquoi est-il important de faire disparaître une cicatrice? Parce que votre Peau est Ce que vous voyez de Vous Ce que les
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailPlan thérapeutique infirmier et stratégies pédagogiques
Plan thérapeutique infirmier et stratégies pédagogiques Jacinthe Savard, inf. M. Sc. Andrée-Anne Picard, inf. B. Sc. AEESICQ St-Jean-sur-Richelieu 2009 Plan de présentation Activités d apprentissage et
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailAspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat
Aspects juridiques de la transplantation hépatique Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat CONTEXTE - La greffe, longtemps image expérimentale, est une thérapeutique éprouvée - Première
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailSommaire de la séquence 8
Sommaire de la séquence 8 Nous avons découvert dans la séquence 7 que les micro-organismes sont présents partout dans notre environnement et qu à la faveur d une lésion, ils sont capables de franchir nos
Plus en détailPourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors?
Pourquoi une femme-enceinte présente un certain nombre de douleurs inconnues jusqu'à lors? elle va pour cela créer des éléments chargées de transmettre un message à son corps (les hormones) : la «relaxine»
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailPrévention des escarres
Prévention des escarres MOBILISATION ET POSITIONNEMENT Historique 1848 : Robert Graves Ecrivait qu il était possible de prévenir les escarres par une mobilisation régulière. 1961 : Kosiak Etude sur les
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailBien vivre, dans les limites de notre planète
isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale
Plus en détail92% d ingrédients biologiques * 21 tests cliniques INFINIMENT PURE, INFINIMENT BELLE, COLOR CARE.
INFINIMENT PURE, INFINIMENT BELLE, COLOR CARE. *Moyenne de tous les composants du kit de coloration ÆQUO COLOR 92% d ingrédients biologiques * 21 tests cliniques ÆQUO, toute la philosophie de la marque
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détail1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985. ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS
Bull. Acad.NatleMéd., 1985, 169, n 7, 1071-1075,séancedu 22 octobre1985 Etude des méridiens d'acupuncture Par les traceurs radioactifs Pierre de VERNEJOUL *, Pierre ALBARÈDE et Jean-Claude DARRAS On sait
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailL infirmier exerce son métier dans le respect des articles R.4311-1 à R.4311-15 et R.4312-1 à 4312-49 du code de la santé publique.
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel d activités Annexe I Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet, un
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailLES ETUDES DE MASSO-KINESITHERAPIE
0-0 LES ETUDES DE MASSO-KINESITHERAPIE Admission Pour être admis en première année de masso-kinésithérapie, les étudiants doivent remplir les quatre conditions suivantes: - être titulaire du baccalauréat
Plus en détailRéférentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :
Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : DERMATOLOGIE ET VENEROLOGIE ADC - Acte de chirurgie BAFA005 1 (I, O) BAFA006 1 0 Exérèse non transfixiante de lésions multiples
Plus en détailDermatologie courante du sujet âgé. Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard
Dermatologie courante du sujet âgé Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard Mécanismes du vieillissement cutané En vieillissant, la peau se ride, s
Plus en détailFonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI
Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailRéforme DFGSM 2 et 3
Réforme DFGSM 2 et 3 texte paru JO 22 mars 2011, faisant suite à celle de la PACES 4 principes - pluridisciplinarité, avec UE intégrés, organe, fonction, santé publique - rejet de l exhaustivité (progression
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailDossier d information sur les bêtabloquants
Dossier d information sur les bêtabloquants Septembre 2014 I. Rappel sur les récepteurs bêta-adrénergiques Il y a actuellement 3 sortes de récepteurs bêta-adrénergiques connus: - Les récepteurs 1 qui sont
Plus en détailSEMEIOLOGIE CARDIO-VASCULAIRE Mesure de la Pression Artérielle
SEMEIOLOGIE CARDIO-VASCULAIRE Mesure de la Pression Artérielle Plan de cours I-Principes généraux... 2 I-1.La mesure exacte : la pression artérielle «intravasculaire»... 2 I.1- La mesure indirecte : notion
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailLes devoirs du Détenteur d équipements
P o u r u n e u t i l i s a t i o n r e s p o n s a b l e d e s f l u i d e s f r i g o r i g è n e s AFCE - Association loi 1901, créée en 1995 : Groupement des industriels et utilisateurs du Froid et
Plus en détailBemer assure son avance par la recherche. L importance de la microcirculation. bemer-sets :: Pro & Classic.
:: know-how :: technology :: technology www.bemergroup.com :: know-how www.bemergroup.com L importance de la microcirculation. La microcirculation a lieu au sein de l immense et fin réseau des microvaisseaux
Plus en détailCOMPRESSEURS DENTAIRES
FRANCE COMPRESSEURS DENTAIRES TECHNOLOGIE SILENCIEUSE MGF NOS SERVICES, NOS ENGAGEMENTS - Les pièces détachées sont disponibles sur stock dans notre site localisé en Saône-et-Loire. Envoi express en h
Plus en détailDU Pharmacien-orthésiste Responsable : Pr. Daniel Cussac
Responsable : Pr. Daniel Cussac Objectifs de la formation Permettre l acquisition par les pharmaciens de compétences indispensables à l application et la délivrance des orthèses (petit appareillage orthopédique).
Plus en détailcompaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte
Influence des paramètres de non compaction ventriculaire gauche sur la fonction ventriculaire chez l adulte C. Defrance, K. Warin-Fresse, G. Fau, P. Guérin, B. Delasalle, P.D. Crochet La non compaction
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailTEINT TERNE? FATIGUE? STRESS?
L E F F E T S U P E R F RU I T S! TEINT TERNE? FATIGUE? STRESS? La vie des femmes modernes met la peau à rude épreuve. Le teint se brouille, les traces de fatigue sont de plus en plus visibles et le visage
Plus en détailDOSSIER D'INSCRIPTION
CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NICE ECOLE D' INFIRMIERS ANESTHESISTES CONCOURS D ENTREE DOSSIER D'INSCRIPTION DATE LIMITE DE DEPOT LE DERNIER JOUR OUVRABLE DU MOIS DE MARS ANNEE N ECOLE INFIRMIERS
Plus en détailNOTICE : INFORMATIONS DESTINÉES A L UTILISATEUR. Firazyr 30 mg solution injectable en seringue pré-remplie Icatibant
B. NOTICE 1 NOTICE : INFORMATIONS DESTINÉES A L UTILISATEUR Firazyr 30 mg solution injectable en seringue pré-remplie Icatibant Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant d utiliser
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailCuves pour Spectrophotomètres
Cuves pour Spectrophotomètres Tél : 01.45.12.90.80 Fax : 01.45.12.94.75 info@bioserv.fr Page 25 TRAYCELL Ultra Micro Cuve à Fibres Optiques La TrayCell Hellma est une ultra micro cuve à fibres optiques
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailMODÈLE POUR L ÉLABORATION D UNE STRATÉGIE GLOBALE D ENTREPRISE
MODÈLE POUR L ÉLABORATION D UNE STRATÉGIE GLOBALE D ENTREPRISE Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F.Adm.A., CMC Conseiller en gestion Direction de la gestion
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailPLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION
PLATE-FORME DE MICROSCOPIE ÉLECTRONIQUE À TRANSMISSION Dr. Mohamed SENNOUR Responsable de la plate-forme JOURNÉE PLATES-FORMES EVRY, GÉNOCENTRE 25 juin 2013 Contexte et historique 2000 : constitution du
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détail