Réponse: AC. Réponse: BD
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- Timothée Pruneau
- il y a 6 ans
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1 1 :- Les cellules des crêtes neurales (CCN) sont à l origine de la mise en place des dents. - La migration n est qu un élément secondaire du développement embryonnaire. Le principale - Les CCN sont multipotentes. - La différenciation des CCN donnent une grande partie des os du crâne et une partie du SNC. Elles donnent la totalité des cellules osseuses/ cartilagineuses et tout le système dentaire sauf l émail. Réponse: AC 2 :- L émail est d origine mésodermique. ectodermique - La morula précède la blastula. - La morula établit un axe de développement marqué par les pôles animal et végétal. blastula - La carte des territoires présomptifs d une blastula est établie à partir d une double fluorescence. Réponse: BD 3 : Au 17 ème jour stade didermique : - l embryon est ovoïde avec une extrémité plus large céphalique et une plus étroite caudale. - La région céphalique se creuse d un sillon ce qui forme a ligne primitive. caudale - Lors de la gastrulation, l épiblaste (cellules épiblastiques) s invaginent entre l épiblaste et l hypoblaste pour donner le mésoblaste. - Pendant la neurulation, s effectue la migration des cellules neurectodermiques vers la plaque neurale.gastrulation Réponse: AC 4 :- La notochorde se forme au niveau du mésoblaste (dans sa partie centrale). - Il y a des intéractions entre l ectoderme et le mésoderme dorsal qui permettent la formation de la plaque neurale. - La plaque neurale comprend des bourrelets neuraux, qui sont les futures crêtes neurales. - La neurulation est le premier stade d évolution des 3 feuillets. Réponse: ABCD 5 :- La fermeture du tube neural est liée à l expression des gènes PAR 1 et 2 par les cellules de la notochorde. Des cellules ectodermiques - La fermeture des neuropores céphalique et caudale se produit respectivement au jour 24 et La fermeture de la gouttière neurale produit un gradient morphogénique lié au BMP produit par la chorde. BMP par ectoderme et l antagoniste des BMP par la notochorde - Les CCN présentent une capacité migratoire importante mais est à l inverse une faible diversité phénotypique terminale. Une grande diversité Réponse:B 6 :- Les BMP sont présents avant la formation du tube neural. - Les faibles variations de BMP sont suffisantes pour établir la différenciation cellulaire. - Les CCN qui apparaissent différenciées sont majoritaires. minoritaires - Les cellules souches qui persistent dans des tissus différenciés conservent leurs caractéristiques de prolifération, clonogénicité, de division asymétrique et de multipotence. Réponse: ABD 7 :- Selon la position des CCN sur l axe rostro-caudal ; on distingue 5 couches de cellules : céphalique, vagale, troncale, lombo sacrée et caudale. 4 Pas caudale
2 - Les cellules vagales fournissent le système nerveux entérique et le SNC. Pas le système nerveux cental : cellules céphaliques - Les CCN dans la partie céphalique donne la totalité du système nerveux crânien. - Les CCN donnent la totalité des cellules gliales et de schwann et une partie des cellules nerveuses. Réponse:CD 8 :- L os occipital et la partie postérieure du sphénoïde dérivent du mésoderme para axial - Les placodes neurogènes donnent la totalité des neurones des ganglions supérieurs VII, IX et X. inférieur - Le ganglion ptérygo-palatin, sous-mandibulaire et le ganglion otique contrôlent la sécrétion des glandes salivaires et lacrymales. Réponse:AC 9 Devenir des CCNs et mélanocytes : B A-Les CCNs responsables de la différenciation des mélanocytes migrent précocement et en superficie (faux c est tardivement) B-il y a un échange possible de mélanine entre les mélanocytes et le kératinocytes (vrai) C-après avoir migrer les CCNs vont passer du phénotype mésenchymateux au phénotype épithélial (faux c est avant) D-il y a environ 1 kératinocytes pour 30 à 40 mélanocytes (faux c est l inverse) 10 Les voies de migration : B A-la voie de migration des CCNs est un phénomène qui est réversible (faux) B-des molécules peuvent avoir des effets différents sur les mêmes cellules en fonctions des conditions (vrai) C-tous les rhombomères peuvent former des CCNs migratrices (faux pas les rhombomères 3 et 5) D-les neurones à l origine des axes nerveux des placodes gustatives sont d origine endoblastique (faux c est d origine ectoblastique) Chapitre 2 : Formation et devenir de l appareil pharyngé Les réponses en gras sont les réponses correctes. Les explications tirées du cours sont en italique. 11 L appareil pharyngé : (Réponses A, C) A : Apparaît au cours de la 4 ème semaine de développement de l embryon B : Apparaît au cours de la 5 ème semaine de développement de l embryon C : Apparaît le 22 ème jour du développement de l embryon D : Apparaît le 25 ème jour du développement de l embryon E : Est à l origine uniquement de la face L appareil pharyngé est une structure transitoire qui apparaît chez l embryon de 5 mm lors de la 4 ème semaine de développement (à partir de 22 jours). Il est situé dans la région céphalique et à l origine de nombreux éléments de la face et du cou. 12 Composition de l appareil pharyngé : (Réponses C, E) A : Il comporte 6 paires d arcs pharyngés numérotés de I à VI. Non, 5 paires. B : Le 5 ème arc porte le numéro IV. Le 5 ème arc n existe pas. C : Les poches pharyngées sont endodermiques D : Les sillons pharyngés sont endodermiques. Les sillons sont ectodermiques. E : Il comprend 4 sillons et 5 poches 13 Innervation : (Réponses A, B, C, D, E) A : Le 1 er arc pharyngé est innervé par la V ème paire des nerfs crâniens B : Le 3 ème arc pharyngé est innervé par le nerf glosso-pharyngien C : L innervation sensitive de la base de la langue est assurée par la IX ème paire D : L innervation du 6 ème arc pharyngé est assurée par le nerf laryngé inférieur
3 E : Le nerf laryngé inférieur est une branche du nerf vague 14 L arc maxillo-mandibulaire : (Réponses A, C) A : Le bourgeon mandibulaire contient le cartilage de Meckel B : La mandibule se forme par ossification endochondrale. La mandibule se forme par ossification de membrane à partir du mésoblaste entourant le cartilage de Meckel. C : Le ligament sphéno-mandibulaire dérive du cartilage de Meckel D : Les cartilages quadrilatères dérivent du cartilage de Meckel. Le 1 er arc se développe et est remodelé pour former un bourgeon maxillaire et un bourgeon mandibulaire. Chaque bourgeon contient en son centre des éléments cartilagineux produit par les CCN. L un des bourgeons donne naissance au maxillaire avec le développement du cartilage quadrilatère, et l autre à la mandibule avec le développement du cartilage de Meckel. E : Est innervée par la branche mandibulaire du trijumeau V2. La branche mandibulaire du trijumeau est notée V3. 15 Poches et sillons pharyngés : (Réponse D) A : Dans la 2 ème poche, la fusion des feuillets ectodermiques et endodermique forme le tympan. C est le cas mais pour la première poche. B : La 5 ème poche est un diverticule de la 4 ème poche et participe à la formation de la glande parotide. C est bien un diverticule de la 4 ème poche, mais participa à la formation de la glande thyroïde. Elle donne le corps ultimobranchial qui est à l origine des cellules C de la thyroïde. La parotide se forme par une invagination de l ectoderme au fond du sillon intermaxillaire séparant les bourgeons maxillaire et mandibulaire. C : Le conduit auditif externe et la trompe auditive sont issues de premier sillon. Sont issues de la première poche. Le premier sillon forme l épithélium du conduit auditif externe. D : La 2 ème poche forme la tonsille palatine E : Seuls les 3 ème et 4 ème sillons sont recouverts par le 2 ème arc. Les 2 ème, 3 ème et 4 ème sillons sont recouverts par le 2 ème arc. 16 La langue et les glandes salivaires : (Réponses B, D) A : Le sulcus terminalis est un sillon en «V» marquant la fusion du tiers antérieur et des deux tiers posterieurs de la langue. Fusion des 2/3 antérieurs et du 1/3 posterieur de la langue. B : Le corps de la langue est innervé par la branche mandibulaire du nerf trijumeau C : Les glandes salivaires principales sont au nombre de trois en bouche. Parotide, sub-mandibulaire et sublinguale X 2, soit 6 glandes principales en bouche. D : La portion sécrétrice des glandes salivaires principales est l acinus E : L orifice du canal excréteur de la glande parotide est en regard de la première molaire inférieure. Première molaire supérieure. Chapitre 3 17: Quels éléments concernent le 26 e jour du developpement? AD A. Apparition des courbures mésencéphaliques et cervicales B. Apparition du 4 ème arc pharyngé / 3e C. Fermeture du neuropore antérieur / postérieur D. Apparition des ébauches des membres supérieurs 18 : A propos de la mise en place de la face : C A. Les placodes olfactives (ou nasales) sont des épaississements entoblastiques / ectoblastique B. Le processus intermaxillaire provient des bourgeons maxillaires / il provient des processus nasaux médiaux des bourgeons naso-frontal C. La depression entre le processus nasal latéral et le bourgeon maxillaire donnera le conduit lacrymonasal
4 D. Le philtrum est un dérivé des bourgeons maxillaires médiaux / des bourgeons nasaux médiaux 19 : Concernant la formation des cavités nasales et buccales : BD A. La membrane bucconasale va former le palais secondaire / elle disparait B. Le septum nasal médian est formé à partir du bourgeon frontonasal et des bourgeons nasaux médiaux C. La cavité nasale primitive est appelée stomodeum / cavité bucale primitive D. La membrane bucco-pharyngées se rompt aux environs du 24 e jour 20 : A propos de la formation du palais : A A. Les bourgeons palatins sont d abord verticaux et apparaissent lors de la 8-9 e semaine B. La fusion du palais est terminée à la 10 e semaine / 12 e semaine C. Le Fgf-β3 est indispensable à la dispersion de l épithélium médian de jonction / c est le Tgf-β3 D. La suture palatine médiane sépare les processus palatins des maxillaires et l os palatin/ c est la suture palatine transverse 21 : A propos des fentes labio-palatines : B A. 90% des fentes sont des anomalies isolées / 70% (30% sont donc associées à d autres pathologies et peuvent faire parti d un syndrome) B. La prise d alcool lors du deuxième trimestre de la grossesse n augmente pas le risque de fente labiopalatine (elle est vraie, en effet la fusion des deux bourgeons est terminée lors de la fin du premier trimestre) C. Dans les expériences de culture de bourgeons palatins de souris, un traitement avec des oligonucléotides sens Tgf-β3 inhibera la fusion des deux bourgeons / ce sont des oligonucléotides antisens, les oligonucléotides sens ne servant que de controle D. Dans les expériences de culture de bourgeons palatins de souris, un traitement avec des oligonucléotides antisens Tgf-β3 inhibera l adhésion des deux bourgeons / ce traitement inhibe la fusion, mais n inhibe pas l adhésion 22 Forme pour voie orale : BC 1.A-l intestin grêle est composée au jéjunum, le duodénum et de l iléon dans cet ordre d apparition (faux c est duodénum, jéjunum, iléon) B-l estomac sécrète environ 2L de liquide (vrai) C-la longueur du tube digestif est d environ 8,5m (vrai) D-le colon et rectum terminent ont une longueur de 3m (faux 2m, 1,5m colon et le rectum 20cm) 23. ABD A-le liquide secrété au niveau du tube digestif est réabsorbé B-la dissolution du principe actif influence la quantité biodisponible et la vitesse C-tous les principes actifs sont absorbés à 100% (par IV mais absorption et premier passage) D-l effet de premier passage diminue la biodisponibilité du principe actif 24 AC A-le diluant permet de diluer le principe actif pour avoir un comprimé de taille suffisante B-le liant facilite la désintégration du comprimé dans les liquides digestifs (faux c est le délitant ou le désintégrant) C-le lubrifiant réduit les forces de friction interparticules D-la forme galénique à libération immédiate permet une diminution des prises (faux c est la forme galénique à libération modifiée car il y a diminution des fluctuations entre Cmin et Cmax) Les dispositifs transdermiques
5 25 Un dispositif transdermique : (Réponses C, E) A : Est destiné à libérer et à diffuser un ou plusieurs principes actifs localement. Libération et diffusion de un ou de plusieurs principes actifs mais dans la circulation générale B : Peut être placé sur une peau présentant des lésions. Non, peau non lésée C : Le but d un tel dispositif est d obtenir une libération contrôlée et prolongée du principe actif. D : Dans un système de type «réservoir», seule l épaisseur de la membrane contrôle la vitesse de libération du principe actif. L épaisseur et la perméabilité de la membrane contrôlent la vitesse de libération du principe actif. E : Dans un système de type «matriciel», la diffusion du principe actif est le seul paramètre contrôlant la libération du principe actif. 26 L absorption percutanée : (Réponses A, B) A : Est influencée par une température ambiante de 35 C. En effet, la température externe ou interne est un facteur influençant l absorption B : La perméabilité de la peau, qui est plus élevée chez les enfants, influence l absorption cutanée C : L absorption est favorisée par des principes actifs liposolubles, mais est diminuée par des principes actifs de faible poids moléculaire. L absorption est en effet favorisée par des p.a liposolubles car la couche cornée est une zone lipophile. Par contre, des molécules de petite taille diffusent plus facilement entre les cellules, donc l absorption est augmentée en présence de molécules de faible poids moléculaire. D : La première étape de l absorption percutanée est la pénétration au travers de la couche cornée qui est une couche non kératinisée. La couche cornée est une couche de cellules kératinisées. E : Le passage au travers de la couche cornée peut se faire via les appendices implantés dans l épiderme, ou via le passage trans-épidermique (comprenant voie inter-cellulaire et voie trans-cellulaire). Les appendices implantés dans le derme sont les follicules pileux et les glandes sudoripares. 27 Anatomie et physiologie de l œil : C A-pour traverser la cornée le principe actif doit être très hydrophile et peu lipophile (faux il doit être peu hydrophile et peu lipophile) B-la cornée est très vascularisée (faux pas vascularisée mais très innervé) C-la conjonctive est très vascularisée (vrai) D-les trois milieux transparents de l œil sont l humeur aqueuse, le cristallin et la rétine (faux ce n est pas la rétine mais le vitré) 28 Le cou est limité par : AC A-en haut et en antérieur le bord inférieur de la mandibule (vrai) B-en haut et en postérieur par la ligne nucale inférieure (faux c est la ligne nucale supérieure) C-en bas par l extrémité acromiale de la clavicule (vrai) D-en bas un trait virtuel entre l extrémité acromiale et le processus épineux de C4 (faux C7) 29 Les différents constituants du cou : BD A-il y a sept vertèbres cervicales dans le cou qui sont assez immobiles (faux elles sont très mobiles) B-l os hyoïde est composé d un corps de deux petites cornes et de deux grandes cornes (vrai) C-les muscles supra-hyoïdiens peuvent être visibles sur une coupe en C6 mais pas en C2 (faux pas visibles en C6) D-les scalènes appartiennent au groupe latéral profond (vrai) 30 Le nerf phrénique : E A-c est le nerf sensitif du diaphragme (Faux c est le nerf moteur) B-ce nerf naît du plexus brachial (faux du plexus cervical) C-c est le nerf principal de la déglutition (faux c est le muscle principal de la respiration) D-ce nerf barre la face postérieure du scalène antérieur obliquement en bas en avant et en dedans (faux il barre la face antérieur du scalène antérieur) 31 Les groupes musculaires : ACD A-le SCM appartient au groupe latéral superficiel (vrai) B-le défilé des scalènes est limité par les scalènes moyen et postérieur (faux scalènes antérieur et moyen)
6 C-dans la partie basse de ce défilé on trouve l artère subclavière (vrai) D-le muscle digastrique possède deux ventres et un tendon intermédiaire et il appartient aux supra-hyoïdiens (vrai) Nb : dans la partie basse du défilé des scalènes on trouve le plexus brachial organisé en troncs primaires. 32. A propos des enzymes de restriction : BC A - Elles peuvent digérer un simple brin d ADN / Double brin B - Ce sont des endonucléases C - Eco RI donne des coupures à bouts cohésifs D - Lors d une électrophorèse, les fragments de restriction migrent vers la cathode /Anode (les phosphate sont négatifs) 33. A propos des vecteurs de clonage : ABC A - Les plasmides ont généralement une taille comprise entre 2 et 5 kb B - Les plasmides peuvent incorporer des fragments allant jusqu'à 10 kb C - Un plasmide peut être incorporé dans une bactérie par électroporation D - Si une colonie se colore en bleu lors d un test blanc bleu, elle a incorporé un plasmide /Elle a incorporé le plasmide, mais le plasmide n a pas incorporé le gène 34. A propos de l hybridation moléculaire : B A - Pour connaitre le pourcentage d ADN dénaturé, on peut mesurer l absorbance à 280nm / 260nm B - Une diminution de la force ionique entraine une augmentation de la stringence C- Un Southern blot permet d obtenir des informations sur l expression des gènes / Northern blot D - Lors d un Southern blot, on transfert l ADN sur une membrane puis on réalise une électrophorèse / electrophorèse puis transfert 35. A propos de la PCR :BCD A - Pour réaliser une PCR, une amorce suffit/ amorces sont nécessaire (une au début et une à la fin) B - un cycle de PCR comporte 3 étapes C - La RT-PCR nécessite une ADN polymérase ARN-dépendante et une ADN polymérase ADNdépendante D - La PCRq permet de calculer la charge virale d un patient
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